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Protéger les données utilisateur dans Microsoft 365 : Guide pas-à-pas.

Protéger les données des utilisateurs est essentiel pour Microsoft 365. Découvrez comment le faire étape par étape grâce à ce guide pas-à-pas !

## Comprendre le paysage des menaces

Malware: Malware is malicious software designed to damage or gain unauthorized access to a system. It can be spread through email, websites, and other sources.

Phishing: Phishing is a type of social engineering attack in which attackers attempt to gain access to sensitive information by sending emails or other messages that appear to be from a legitimate source.

Data Leakage: Data leakage occurs when confidential information is unintentionally shared with unauthorized parties. This can happen through email, file sharing, or other means.

Data Theft: Data theft is the intentional theft of data by an individual or group. This can be done through malicious software, physical theft of devices, or other means.

Introduction

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je sais que la sécurité des données est une préoccupation majeure pour les organisations qui utilisent Microsoft 365. Avec la sophistication croissante des menaces cybernétiques, il est essentiel d’être conscient des risques potentiels pour vos comptes utilisateurs et vos données. Dans cet article, nous fournirons un guide étape par étape pour vous aider à protéger votre environnement Microsoft 365 contre la perte de données. Nous couvrirons le paysage des menaces, les fonctionnalités de sécurité Microsoft 365, les meilleures pratiques pour sécuriser les comptes utilisateurs et les solutions de sauvegarde de données pour Microsoft 365. Avec les informations et les recommandations fournies dans ce guide, vous serez bien équipé pour protéger les précieuses données de votre organisation et assurer la continuité des activités.

Comprendre le paysage des menaces

Les menaces cybernétiques sont en constante augmentation et il est important de comprendre le paysage des menaces afin de mieux protéger votre environnement Microsoft 365. Les types de perte de données les plus courants auxquels les organisations sont confrontées dans un environnement Microsoft 365 sont les suivants :

Malware : le malware est un logiciel malveillant conçu pour endommager ou obtenir un accès non autorisé à un système. Il peut être diffusé par e-mail, sites web et autres sources.

Phishing : le phishing est une forme d’attaque d’ingénierie sociale dans laquelle des attaquants tentent d’accéder à des informations sensibles en envoyant des e-mails ou d’autres messages qui semblent provenir d’une source légitime.

Fuite de données : la fuite de données se produit lorsque des informations confidentielles sont partagées involontairement avec des parties non autorisées. Cela peut se produire par e-mail, partage de fichiers ou d’autres moyens.

Vol de données : le vol de données est le vol intentionnel de données par un individu ou un groupe. Cela peut être fait par un logiciel malveillant, un vol physique de dispositifs ou d’autres moyens.

Fonctionnalités de sécurité Microsoft 365 et meilleures pratiques

Microsoft 365 propose une gamme de fonctionnalités de sécurité pour protéger vos comptes utilisateurs et vos données. Ces fonctionnalités comprennent l’authentification multifacteur, la protection contre le hameçonnage, la surveillance des activités suspectes, la protection contre les logiciels malveillants et le chiffrement des données. En outre, il existe certaines meilleures pratiques que vous pouvez adopter pour renforcer la sécurité de votre environnement Microsoft 365. Ces pratiques comprennent l’utilisation d’un mot de passe fort et unique pour chaque compte

Source de l’article sur DZONE

Il ne fait aucun doute que le concept de durabilité est en passe de transformer l’économie mondiale. L’épuisement des ressources de la planète, les bouleversements climatiques, la fracture sociale et économique, l’évolution des préférences de consommation, l’activisme salarial, la multiplication des réglementations et la crise de confiance dans les institutions sont autant de facteurs qui poussent les entreprises à se montrer toujours plus prudentes dans leurs objectifs et dans leurs bénéfices. Et tout cela est bon pour les affaires.

En assumant sa responsabilité sociétale, une entreprise renforce la réputation de sa marque. En effet, les demandeurs d’emploi et les consommateurs d’aujourd’hui cherchent à soutenir les organisations qui défendent des valeurs importantes et qui ont une incidence positive sur la société dans son ensemble. Quant aux investisseurs, ils s’intéressent de plus en plus aux objectifs de développement durable, et en particulier à leur impact social. Enfin, les réglementations concernant les droits humains et l’environnement se développent rapidement. De quoi pousser les PDG et les dirigeants d’entreprises à adopter une approche plus durable.

 

Les personnes, la planète et la prospérité

Quand vous entendez le mot « durabilité », vous avez peut-être le réflexe de penser au recyclage ou à l’environnement. Mais le concept ne se résume pas à éliminer les bouteilles d’eau à usage unique ou à réduire la consommation des combustibles fossiles. Le développement durable, c’est bien plus que cela. C’est une approche globale qui intègre des aspects sociaux, environnementaux et économiques – en somme, qui implique les personnes, la planète et la prospérité.

Les entreprises sont de plus en plus conscientes de la nécessité de se préoccuper autant de la durabilité sociale, ou durabilité en ressources humaines, que de ses volets économique et environnemental – car ce sont ces trois facteurs indissociables qui soutiennent et stimulent la durabilité de leurs activités. Les personnes sont les éléments constitutifs de la société ; elles exercent un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Elles sont naturellement au cœur de toute stratégie visant à atteindre des objectifs de développement durable. Dans le monde du travail actuel, les RH ont à la fois l’opportunité et la responsabilité de s’assurer que l’humain est au centre des différentes tâches, en créant un environnement propice aussi bien à l’épanouissement des collaborateurs qu’à la prospérité de l’entreprise dans son ensemble.

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale repose sur un traitement éthique et équitable des personnes au sein d’une entreprise, de sa Supply Chain et des populations parmi lesquelles elle opère.

La durabilité environnementale et économique implique de préserver et d’utiliser avec prudence les ressources naturelles et financières ; de la même manière, la durabilité sociale nécessite de considérer les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses, qui doivent être entretenues et valorisées afin de favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation d’objectifs pérennes.

Les entreprises qui font de la durabilité sociale une priorité en générant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive sont mieux à même de stimuler l’implication et la productivité de leurs collaborateurs. Elles sont également mieux placées pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, responsable des talents internationaux chez EY, nous explique en quoi la durabilité sociale est centrale dans la construction d’un monde du travail meilleur.

Identifier les six piliers de la durabilité sociale

L’équipe de recherche en RH SAP SuccessFactors a identifié six domaines qui forment les piliers de la durabilité sociale. Bien que ces piliers soient distincts les uns des autres, on peut bien entendu identifier des recoupements. Et au centre de tout, il y a évidemment la notion de culture, qui détermine tant de comportements à l’intérieur d’une entreprise aussi bien qu’en dehors. Intéressons-nous à ces piliers, sous l’angle des RH et des processus de gestion du personnel.

 

 

Santé et sécurité
A minima, vous devez garantir la sécurité physique de votre personnel, le protéger contre les risques et subvenir à ses besoins de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une bonne visibilité sur l’ensemble de vos collaborateurs, et notamment sur l’endroit où ils se trouvent ? Savoir qui sont vos salariés et où ils sont, à tout moment, vous permet de réagir rapidement en cas de crise et de proposer une assistance si nécessaire.

Diversité, équité et inclusion
En la matière, il s’agit de garantir à chaque individu un traitement juste et équitable, quels que soient son identité sociale et son système de croyances, de telle sorte qu’il en retire un sentiment authentique d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et de recruter des demandeurs d’emploi issus de milieux divers ? Disposez-vous d’un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Votre système de rémunération est-il transparent ? Avez-vous mis en place des métriques et un suivi des objectifs en matière de diversité, d’équité et d’inclusion ?

Bien-être et équilibre
Au-delà des impératifs de santé et de sécurité de base, il s’agit de prioriser le bien-être global (psychologique, social, financier et professionnel) de vos collaborateurs en mettant à leur disposition les outils et les ressources pertinents. Proposez-vous un ensemble complet d’avantages avec des options attrayantes ? Vos collaborateurs sont-ils suffisamment en confiance pour être pleinement eux-mêmes au travail ? Encouragez-vous une culture du dialogue permanent entre les responsables et leurs équipes ?

Confiance et transparence
Dans ce domaine, il importe que les collaborateurs puissent s’exprimer, comprendre comment sont prises les principales décisions qui les concernent, et être certains que leur entreprise agit de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos collaborateurs et tenez-vous compte de leurs retours ? Avez-vous mis en place des règles et des processus garantissant l’utilisation éthique des technologies intelligentes ainsi que la confidentialité et la protection des données ? Vos métriques de diversité sont-elles publiées et accessibles à tous ?

Autonomie et développement personnel
Vos collaborateurs doivent bénéficier d’informations claires, du soutien et des outils nécessaires pour développer leurs compétences et agir sur leur parcours professionnel. Proposez-vous des options de formation inclusives pour répondre aux besoins et aux préférences d’un personnel diversifié ? Veillez-vous à ce que les responsables transmettent des retours équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

Objectif organisationnel et RSE
Dans ce dernier domaine, l’entreprise s’efforce activement de rendre ce qu’elle reçoit et d’exercer un impact positif sur le monde ; ses collaborateurs sont encouragés à s’impliquer et se sentent galvanisés par la mission et les valeurs du groupe. Veillez-vous à ce que les objectifs individuels soient alignés sur ceux de l’entreprise afin de donner du sens au travail accompli ? Donnez-vous à vos collaborateurs la possibilité de s’adonner à leurs passions ?

 

Que peuvent faire les entreprises pour favoriser la durabilité sociale ?

Aujourd’hui, dans la plupart des entreprises, différents acteurs mènent ce genre d’initiatives sans trop connaître les stratégies des autres ni mettre en place de collaborations. Cela dit, il faut bien commencer quelque part. La première étape, en toute logique, consiste à déterminer où vous en êtes. Disposez-vous d’une stratégie unifiée, au moins dans certains des domaines évoqués plus haut ? Entamez des discussions et lancez-vous dans l’élimination des silos organisationnels.

Accordez la priorité aux personnes. Les progrès pour la planète et la prospérité suivront. C’est cela, être une entreprise résiliente, orientée sur les résultats et sur les personnes. Une entreprise qui n’est pas seulement parée pour répondre aux besoins de gestion d’aujourd’hui, mais qui saura s’adapter à ceux de demain.

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture SuccessConnect « Libérez toute la puissance du potentiel humain et transformez définitivement le monde du travail ».

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Kim Lessley est directrice mondiale du marketing des solutions chez SAP SuccessFactors.

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 20 janvier 2023 – SAP France distingué à deux reprises pour sa qualité d’employeur depuis 2023.

SAP France est fier d’annoncer son classement parmi le TOP 10 des employeurs Best Places to Work de Glassdoor 2023. Au sein de ce même classement, SAP France se hisse à la deuxième place des acteurs High Tech.

L’entreprise se distingue également de nouveau, et pour la 10ème année consécutive par son classement à Top Employer France 2023 en occupant la 8ème place.

Cette année encore, le Groupe a su se démarquer comme étant un employeur attractif et respectueux d’un environnement de travail où la culture du Talent est devenue la véritable pierre angulaire du management, SAP France ayant fait de plusieurs domaines un socle managérial pour attirer et sauvegarder ses Talents.

En offrant un environnement de travail flexible, qui contribue grandement à l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle, et en assurant des engagements forts en matière de Diversité et d’Inclusion, dont notamment la valorisation de l’intergénérationnel et l’accompagnement des salariés aidants, SAP France ne cesse d’améliorer les conditions de travail de l’ensemble de ses équipes.

L’expérimentation de « New ways of Work » démontre à nouveau cette volonté d’aller toujours plus loin pour offrir aux Talents une culture et des engagements alignés avec leurs besoins et leur temps.

Autre facteur souligné des salariés, l’engagement de SAP France en tant qu’entreprise responsable, avec notamment son programme de QVT, sa politique de Mécénat et de mentoring de startups sociales.

En qualité de géant de la Tech Européenne, nous devons montrer l’exemple. Nous devons transmettre et partager nos technologies business avec des entreprises qui en ont besoin. Nous devons offrir à nos Talents un environnement de travail qui puisse prendre en compte les évolutions sociétales, tout en étant à même de travailler l’individualité de chacun. Je m’étais engagé il y a quelques mois à offrir un environnement de confiance au business comme aux équipes SAP France. Ces distinctions prouvent que nous sommes sur la bonne voie, et qu’il nous faut continuer à privilégier une culture responsable du Talent”, indique Olivier Nollent, Président Directeur Général de SAP France.

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Source de l’article sur sap.com

NEW YORK/WALLDORF, Allemagne – 7 décembre 2022 – PwC et SAP ont annoncé une nouvelle stratégie de co-innovation visant à faire du développement durable une partie intégrante des opérations commerciales. Cette stratégie vise à créer des solutions fiables pour relever les principaux défis Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance d’entreprise (ESG). Elle couvre la mesure, le reporting et le pilotage du carbone ainsi que la décarbonisation de la chaîne d’approvisionnement, le risque climatique et l’analyse concurrentielle.

La nouvelle stratégie ESG s’appuie sur la force de l’alliance existante entre PwC et SAP, qui a fourni avec succès des solutions de transformation d’entreprise à des clients dans plus de 80 pays.

La stratégie comprend des solutions co-innovées, créées avec l’expertise approfondie de PwC en matière d’ESG et de comptabilité, visant à permettre aux entreprises d’appliquer des mesures ESG à travers leurs opérations fiables, auditables et vérifiables. Ces solutions s’appuient sur la solution SAP® Cloud for Sustainable Enterprises, ainsi que sur la solution SAP Sustainability Control Tower et la solution SAP Product Footprint Management. Ensemble, PwC et SAP aident les entreprises à tirer parti des solutions dont elles ont besoin pour satisfaire aux exigences de conformité et stimuler la croissance, afin de répondre aux attentes toujours plus grandes des clients et des investisseurs. Ils aident également les clients à façonner l’avenir de leur stratégie net zéro et de leur reporting sur le développement durable.

La stratégie de PwC et SAP comprend des solutions englobant une stratégie ESG à l’échelle de l’entreprise, allant de l’optimisation des transactions et de la reconnaissance des crédits d’impôt à la gestion des risques liés aux tiers et à l’analyse concurrentielle. Les trois principaux défis à relever en matière d’ESG, de réduction des émissions et de rapports sur le développement durable seront également abordés :

  • Le reporting et la diffusion aidant à satisfaire aux exigences en matière d’établissement de rapports et de diffusion des données sur la mesure du carbone de niveau investisseur, ceci afin de répondre aux demandes des investisseurs, prêteurs, régulateurs et clients.
  • L’opérationnalisation de la durabilité pour soutenir la prise en compte des mesures ESG, en particulier les questions sur le carbone, directement dans les fonctions commerciales, telles que la vente, la capitalisation et la fiscalité.
  • La gestion des risques, le suivi et la conformité de la chaîne d’approvisionnement étendant le soutien aux mesures ESG pour couvrir l’impact des fournisseurs sur les performances organisationnelles.

Des solutions comme l’outil primé Climate Excellence de PwC Allemagne, basé sur SAP Business Technology Platform, ont déjà démontré la force de la collaboration entre les deux organisations pour mettre sur le marché des innovations ESG.

PwC et SAP s’attachent à aider les entreprises à répondre aux exigences de reporting et d’auditabilité imposées par l’European Financial Reporting Advisory Group (EFRAG) et l’International Sustainability Standards Board (ISSB). Ils aident également les entreprises à se conformer à une décision connexe proposée par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Les solutions fournies par PwC et SAP permettent de créer l’environnement en temps réel, et axé sur les données dont les clients ont besoin pour exploiter et promouvoir l’entreprise durable de demain.

Bob Moritz, Global Chairman de PwC, a déclaré : « L’ESG est devenu un impératif commercial et est au cœur de la stratégie mondiale de PwC, ‘The New Equation’, qui vise à aider les clients à instaurer la confiance avec leurs parties prenantes et à obtenir des résultats durables. De nouvelles exigences en matière de reporting et de divulgation ESG sont établies, et une plus grande transparence est essentielle pour instaurer la confiance. Cette conviction est au cœur de notre nouvelle stratégie de co-innovation avec SAP qui vient élargir notre collaboration pour mettre l’accent sur le développement de solutions ESG. PwC a travaillé intensément afin d’aider les entreprises à répondre à leurs exigences pour atteindre leurs objectifs ESG. L’association entre notre expertise et notre réputation de confiance et d’intégrité à la plateforme technologique de SAP, permettra d’apporter des capacités et des solutions plus larges pour répondre aux défis des entreprises dans le respect de leurs engagements ESG et de durabilité. »

Christian Klein, CEO et Membre du Conseil d’Administration de SAP SE, a déclaré : « La clé de la capacité de chaque organisation à atteindre ses objectifs de durabilité et à susciter des changements positifs, est la transparence. Notre collaboration permettra de combiner l’expertise sectorielle approfondie et la connaissance des clients de PwC avec notre portefeuille de technologies de pointe en matière de développement durable. La transparence ESG qui en résultera aidera les entreprises à réinventer leurs modèles économiques et à obtenir des résultats durables dont le monde a besoin de toute urgence.”

Pour en savoir plus sur la stratégie de co-innovation ESG de PwC et SAP, visitez notre site Web.

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Source de l’article sur sap.com

Voyons concrètement comment certains clients Success Factors ont réussi à transformer leur culture de la formation et gestion des talents en s’appuyant sur SAP SuccessFactors Learning et SAP SuccessFactors Work Zone.

 

L’une des plus anciennes organisations au Monde, Royal Mail Group, peut retracer son histoire sur plus de 500 ans, depuis son origine en 1516. Ceci étant, comme tant d’autres entreprises, elle est confrontée à la nécessité d’une transformation de ses activités commerciales pour être reconnue comme la première entreprise de livraison au Royaume-Uni et en Europe et pour rester en tête de l’évolution des besoins du marché.

Royal Mail Group est une organisation mondiale, opérant dans 43 pays à travers le monde et employant plus de 140 000 personnes. Elle distribue chaque année plus de 1,8 milliard de colis et 14 milliards de lettres. Pour poursuivre la transformation de ses activités et de sa main-d’œuvre, Royal Mail avait besoin d’une plateforme offrant une expérience utilisateur personnalisée, fournissant les bons outils et les bonnes informations au bon format et au bon moment, afin de remplir ses fonctions quotidiennes. Avec SAP SuccessFactors Work Zone, SAP SuccessFactors Learning et BLEND de TalenTeam, Royal Mail a transformé son expérience d’apprentissage en proposant une plateforme numérique de développement personnel centrée sur l’utilisateur, baptisée ” The Royal Mail Academy “, qui a eu un impact intrinsèque sur la culture d’entreprise grâce à une approche ascendante de l’apprentissage et du développement.

Entièrement déployée en 12 semaines seulement, la plateforme permet de réunir tous les employés en un seul endroit pour tous leurs besoins RH, ainsi que les applications et services dont ils ont besoin. Aujourd’hui, les données permettent d’identifier plus facilement les experts locaux, 30 % du public cible a déjà utilisé la nouvelle plateforme après la mise en œuvre, l’agilité entre les gestionnaires de programmes et les employés de première ligne a augmenté, l’engagement des employés s’est considérablement amélioré et la diffusion des informations à grande échelle est plus rationalisée

Un autre client intéressant : Corning Incorporated, une entreprise technologique multinationale spécialisée dans les verres spéciaux, les céramiques ainsi que dans les matériaux et technologies connexes, opérant dans 60 pays et employant plus de 50 000 employés.

Ils utilisent SAP SuccessFactors Work Zone pour différents cas d’utilisation, mais concentrons-nous sur celui de la formation et du développement. Comme d’autres gros clients, Corning est composé de nombreuses divisions commerciales différentes qui ont toutes des besoins différents. L’objectif était de mettre en place différentes expériences universitaires d’apprentissage en tirant parti de l’investissement existant dans SAP SuccessFactors Learning et de créer un environnement qui permet aux personnes d’être guidées dans le développement de leur carrière. L’utilisation des espaces de travail améliore l’expérience globale, par exemple en complétant l’apprentissage formel par un apprentissage collaboratif.

Corning utilise les capacités de personnalisation pour aider les individus à trouver des informations pour des utilisations particulières et qui leurs sont utiles, au lieu d’être potentiellement submergés par trop d’informations. Il est utile de donner à l’utilisateur la possibilité de choisir le contenu qu’il souhaite et qui l’intéresse. Il peut s’agir de tout type d’information provenant des solutions SAP SuccessFactors, mais aussi de Microsoft Teams pour faciliter les groupes d’apprentissage virtuels.

Corning prévoit également d’accompagner ses collaborateurs délocalisés en distanciel grâce aux fonctionnalités de SAP SuccessFactors Work Zone, car elle ne dispose pas actuellement d’une plateforme pour communiquer avec elle de manière efficace. Avec cette solution, l’entreprise peut communiquer de manière plus plus engageante, directement depuis leur appareil mobile ou même leur ordinateur portable à la maison, et ce dans plusieurs langues. Corning étudie actuellement la solution SAP SuccessFactors Opportunity Marketplace, qui permettra à ses employés de piloter leur propre développement et leur croissance tout en s’alignant sur les valeurs et la stratégie de Corning en matière de talents. Cela peut être un facteur de différenciation important lorsqu’il s’agit d’attirer et de retenir les talents, tout en permettant à l’entreprise de soutenir la croissance de ses effectifs.

Découvrez comment les solutions SAP SuccessFactors et SAP SuccessFactors Work Zone aident les entreprises à améliorer leurs expériences d’apprentissage pour se préparer à l’avenir.

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Margit Bauer est directrice du marketing des solutions chez SAP SE.

Mark Tarallo est chercheur en marketing de solutions chez SAP.

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Il ne fait aucun doute que la durabilité transforme l’économie mondiale. La diminution des ressources planétaires, le changement climatique, la division sociale et économique, l’évolution des préférences des consommateurs, l’activisme des employés, l’augmentation des réglementations et la baisse de la confiance institutionnelle conduisent tous à ce que les organisations soient de plus en plus mesurées en fonction de leur objectif ainsi que du profit. Et c’est bon pour les affaires.

 

Agir de manière socialement responsable renforce la réputation de la marque d’une organisation. Les demandeurs d’emploi et les consommateurs veulent aujourd’hui soutenir les organisations qui défendent quelque chose d’important et qui ont un impact positif sur la société dans son ensemble. Les investisseurs mettentdavantage l’accent sur les objectifs de développement durable en mettant davantage l’accent sur l’impact social. Les droits de l’homme et les réglementations environnementales se multiplient rapidement. Tout cela exige une approche plus durable de la part des PDG et des chefs d’entreprise.

 

Les gens, la planète et la prospérité

 

Lorsque vous entendez le mot durabilité, la première chose à laquelle vous pensez peut-être est le recyclage ou la durabilité environnementale, mais la durabilité va bien au-delà de l’élimination des bouteilles d’eau à usage unique et de la réduction de la consommation de combustibles fossiles. Une approche holistique de la durabilité intègre la durabilité sociale, environnementale et économique – ou les personnes, la planète et la prospérité.

 

Les organisations reconnaissent de plus en plus la nécessité de se concentrer autant sur la durabilité sociale, ou sur les personnes, qu’elles l’ont été sur la durabilité économique et environnementale – les trois ensemble soutiennent et stimulent la durabilité de l’entreprise. Les gens constituent la société, ont un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Les gens sont au cœur de toute stratégie visant à progresser vers les objectifs de développement durable. Dans le milieu de travail d’aujourd’hui, les RH ont à la fois la possibilité et la responsabilité de veiller à ce que les employées soient au centre du travail en créant un environnement dans lequel la main-d’œuvre et l’organisation peuvent s’épanouir.

 

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

 

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale se concentre sur le traitement de ces dernières – celles qui font partie de la main-d’œuvre d’une organisation, à travers leurs chaînes d’approvisionnement et dans les communautés dans lesquelles elles opèrent – de manière éthique et équitable.

 

Tout comme la durabilité environnementale et économique qui nécessitent une préservation et une utilisation prudentes des ressources naturelles et financières, la durabilité sociale nécessite de traiter les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses qui doivent être soutenues et valorisées pour favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation des objectifs de durabilité.

 

Les entreprises qui accordent la priorité à la durabilité sociale, en créant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive, sont en mesure de stimuler l’engagement et la productivité des employés. Ils sont également mieux placés pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, leader mondial des talents chez EY, explique comment la durabilité sociale est au cœur de la construction d’un monde du travail meilleur.

 

Déballer les  six piliers de la durabilité sociale

 

L’équipe SAP SuccessFactors HR Research a identifié six domaines distincts, ou piliers, qui comprennent la durabilité sociale. Bien que les domaines soient distincts, il est également clair qu’il existe un chevauchement entre ces piliers. Au centre de tout cela, bien sûr, se trouve la culture – car elle dicte tant de comportements à la fois à l’intérieur et à l’extérieur d’une organisation. Découvrons un peu ces domaines dans le contexte des processus RH et des ressources humaines.

 

Santé et sécurité

Au minimum, vous devez vous assurer que la main-d’œuvre est à l’abri des risques physiques pour la santé et la sécurité et a accès aux nécessités de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une visibilité sur l’ensemble de vos effectifs, y compris leurs emplacements ? Savoir qui et où se trouve votre personnel à tout moment vous permet de réagir rapidement en temps de crise et de fournir un soutien en cas de besoin.

 

Diversité, équité et inclusion

Ici, l’accent est mis sur le traitement juste et équitable de chaque individu, quel que soit son groupe d’identité sociale ou son système de croyances, et sur la garantie qu’il ressent un véritable sentiment d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et d’engager des demandeurs d’emploi d’horizons divers ? Avez-vous un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Offrez-vous une transparence salariale ? Mesurez-vous et suivez-vous les objectifs de diversité, d’équité et d’inclusion ?

 

Bien-être et équilibre

Au-delà de la santé et de la sécurité de base, ce domaine vise à garantir que le bien-être holistique des employés – psychologique, social, financier et professionnel – est prioritaire et soutenu avec les outils et les ressources nécessaires. Offrez-vous un ensemble complet d’avantages sociaux avec des options intéressantes ? Vos employés se sentent-ils à l’aise de se mettre entièrement au travail ? Avez-vous favorisé une culture de dialogue continu entre les managers et leurs subordonnés ?

 

Confiance et transparence

Ici, l’accent est mis sur le fait que les employés ont une voix, comprennent comment les décisions clés qui les affectent sont prises et font confiance à leur organisation pour agir de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos employés et agissez-vous en fonction des commentaires qu’ils fournissent ? Avez-vous établi des politiques et des processus pour l’utilisation éthique des technologies intelligentes et la confidentialité et la protection des données ? Publiez-vous publiquement des indicateurs de diversité ?

 

Autonomisation et croissance

Ici, les employés reçoivent la clarté, le soutien et les outils nécessaires pour développer leurs compétences et sont habilités à influencer leur trajectoire de carrière. Offrez-vous des options d’apprentissage inclusif pour répondre aux besoins et aux préférences d’apprentissage d’une main-d’œuvre diversifiée ? Assurez-vous que les managers fournissent des commentaires équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

 

Objectif organisationnel et RSE

Dans ce dernier pilier, l’organisation travaille activement à redonner et à avoir un impact positif sur le monde ; les employés sont encouragés à participer et se sentent dynamisés par la mission et les valeurs de l’organisation. Assurez-vous que les objectifs individuels sont alignés sur les objectifs de l’entreprise pour accroître le sens du but et le sens du travail ? Offrez-vous à votre personnel l’espace nécessaire pour poursuivre ses passions ?

 

Que peuvent faire les organisations pour favoriser la durabilité sociale ?

 

Dans la plupart des organisations aujourd’hui, différentes parties de l’entreprise dirigent ces efforts avec une connaissance ou une collaboration minimale des stratégies des autres. Cependant, nous devons commencer quelque part. La première étape la plus logique est de comprendre où vous en êtes aujourd’hui. Avez-vous une stratégie unifiée – au moins sur certains de ces piliers ? Commencez les conversations et commencez à briser les silos organisationnels.

 

Donnez la priorité aux gens, et la planète et la prospérité suivront. C’est ce que signifie être une organisation résiliente, axée sur les résultats et axée sur les personnes. Une organisation non seulement équipé pour répondre aux besoins commerciaux d’aujourd’hui, mais qui s’adapte aux besoins commerciaux de demain.

 

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture de SuccessConnect, Libérez le pouvoir du potentiel humain et changez le travail pour de bon.

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Kim Lessley est  global director of Solution Marketing chez SAP SuccessFactors.

Mots-clés: Ressources Humaines,

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SAP NEWSBYTE – 25 octobre 2022 – Aujourd’hui, à l’occasion de SAP Spend Connect Live, la conférence la plus importante du secteur sur la gestion des dépenses, SAP SE (NYSE : SAP) annonce des innovations, des avancées et des points d’attention dans ce domaine :

SAP franchit des étapes clés dans son parcours FedRAMP®

Aujourd’hui, et dans les mois à venir, les agences gouvernementales et les organismes hautement réglementés des États-Unis auront accès aux solutions de gestion des dépenses et de réseau d’entreprise SAP, leaders sur le marché, qui sont déployées avec un haut niveau de sécurité. Les étapes importantes sont les suivantes :

  • Les solutions SAP Fieldglass sont désormais disponibles dans l’Environnement Commercial Réglementé (CRE) de SAP National Security Services (SAP NS2), qui a été construit selon les critères de base du National Institute of Standards and Technology (NIST) avec les paramètres modérés de FedRAMP. Il est également conforme à la Réglementation sur le Trafic International d’Armes (ITAR).
  • SAP Business Network for Procurement et SAP Business Network for Supply Chain seront disponibles dans SAP NS2 CRE en 2023. Les clients pourront ainsi collaborer avec leurs partenaires commerciaux dans un environnement qui répond aux exigences de sécurité et de conformité des agences gouvernementales fédérales.
  • SAP travaille également avec SAP NS2 pour ajouter les solutions d’approvisionnement SAP Ariba au portefeuille SAP NS2.
  • SAP Concur est actuellement “en cours de traitement” pour une autorisation d’agence FedRAMP. Un organisme d’évaluation tiers a effectué une évaluation complète de la sécurité, et l’agence sponsor a procédé à un examen de l’ensemble des autorisations de sécurité. Les solutions SAP Concur devraient être répertoriées sur la Marketplace FedRAMP d’ici la fin de l’année.

Intégration renforcée entre les solutions SAP Ariba et Icertis

Dans le cadre du partenariat élargi annoncé en début d’année, une intégration plus étroite entre SAP Ariba Sourcing and Procurement et les solutions de gestion des contrats d’Icertis peut aider les clients à gérer un plus grand nombre de scénarios. L’intégration plus stricte permet une meilleure collaboration et expérience utilisateur ainsi que des processus de gestion des contrats flexibles et rationalisés. Les utilisateurs peuvent désormais répliquer dans Icertis des espaces de travail contractuels issus des solutions SAP Ariba, lancer la création de contrats dans Icertis pour des espaces de travail contractuels provenant de SAP Ariba, et gérer plus efficacement les processus de modification des contrats. Ces intégrations sont développées et soutenues conjointement par les équipes de SAP Ariba et d’Icertis et ouvrent la voie à de futures innovations. En outre, pour les clients disposant de solutions SAP Fieldglass, il existe une intégration directe avec la plateforme Icertis Contract Intelligence, qui permet de rationaliser les processus de sourcing, d’onboarding et d’offboarding pour les travailleurs externes. Conçues pour apporter de la valeur à l’échelle de l’entreprise, ces intégrations permettent d’accélérer les négociations, de renforcer la conformité, d’obtenir des informations commerciales et une automatisation alimentées par l’IA.

Nouvelles fonctionnalités des solutions SAP Ariba en avant-première

SAP continue de promouvoir l’innovation dans le domaine des achats et a présenté en avant-première de nouvelles fonctionnalités conçues pour aider les entreprises à évoluer vers une expérience d’achat plus prédictive, personnalisée et durable. Les nouvelles fonctionnalités d’achat à 360° sont une évolution de l’achat guidé, dont SAP a été le pionnier il y a plusieurs années, visant à améliorer l’expérience d’achat de tous : de l’employé qui a besoin d’un nouvel ordinateur portable, aux acheteurs principaux sur des secteurs stratégiques et pour tout type de dépenses (matériaux directs et indirects, maintenance, réparation et opérations et services). Ces nouvelles fonctionnalités devraient être disponibles pour certains clients au début de l’année 2023.

SAP fait de la gestion des stocks un domaine d’intérêt et d’investissement permanent

La gestion des stocks est le fondement d’une stratégie d’approvisionnement efficace, surtout dans cette économie post-pandémique. Le rôle essentiel que joue l’approvisionnement dans la continuité des activités ne cessant de croître, il désormais nécessaire de numériser la gestion des stocks et les stratégies d’approvisionnement. Une étude récente menée par Economist Impact, sponsorisée par SAP, souligne que la gestion des stocks est l’un des principaux moteurs de la transformation numérique des achats, plus de 40 % des personnes interrogées ayant choisi cette fonction comme priorité absolue.

Des études de ce type et les commentaires issus de nos conversations permanentes avec les clients valident et orientent notre stratégie et notre feuille de route produit “, a déclaré Muhammad Alam, Président et Chef de Produit, Intelligent Spend and Business Network, SAP. “Nous nous concentrons et investissons davantage dans le développement de solutions qui aideront nos clients à véritablement numériser la gestion des stocks afin de transformer les données en informations qui peuvent conduire à de meilleurs résultats commerciaux.”

La solution pour la gestion des stocks devrait être disponible pour certains clients d’ici la fin de l’année, avec une disponibilité élargie tout au long de 2023.

Les clients disposant de plusieurs environnements ERP peuvent simplifier la gestion de leurs achats

 SAP Central Procurement, édition Cloud privé, est désormais disponible et aide les clients à améliorer la cohérence, l’efficacité, la visibilité et le contrôle. Avec cette nouvelle édition, les clients gèrent l’ensemble de l’entreprise sans devoir entrer et sortir des systèmes ou sans perturber les solutions et les flux de travail existants qu’ils ont mis des années à définir et à perfectionner. Les organisations peuvent gérer de manière centralisée les opérations d’approvisionnement à partir d’un seul endroit, quel que soit l’environnement ERP qui sert de back-end. Bien que les transactions individuelles soient toujours traitées dans chaque back-end, l’équipe en chargé des achats dispose d’une vue et d’un contrôle centralisé sur tous les éléments, des demandes d’achat aux achats, en passant par la recherche de fournisseurs et les contrats.

Parmi les clients, citons Accenture, Baker Hughes, Barrick Gold, CDW, Constellation Brands, Devon Energy, Duke Energy, Endress+Hauser, Fifty Thousand Hours, Guidant Global, Hilltop Holdings, Insight, INVISTA, Johnson & Johnson, KUKA, LG Smith Transport, Los Alamos National Laboratory, Mabe, Merck & Co, Ontario Power Generation, Pfizer, Sony Pictures Entertainment, T-Mobile, Thermo Fischer Scientific, Walmart, Van Genechten Packaging N.V., W.R. Grace et W.W. Grainger partageront leurs expériences et expliqueront comment ils naviguent dans un environnement marqué par des perturbations constantes de la chaîne logistique et d’évolution des tendances macroéconomiques. Pour plus d’informations, consultez le catalogue des sessions SAP Spend Connect Live, et regardez les sessions à la demande dans l’expérience virtuelle à partir du 8 novembre.

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Source de l’article sur sap.com

SAP NEWSBYTE – 24 octobre 2022 – SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé la réalisation d’une nouvelle enquête qui révèle que les principaux décisionnaires s’attendent à ce que les problèmes et les perturbations sans précédent de la chaîne d’approvisionnement, auxquels les entreprises américaines sont confrontées depuis des années, ne soient pas encore terminés.

Plus de la moitié (52 %) des personnes interrogées pense que leur chaîne d’approvisionnement doit encore être améliorée et près de la moitié (49 %) s’attend à ce que les problèmes actuels de la chaîne d’approvisionnement durent jusqu’à la fin de 2022. Une personne sur trois affirme qu’ils dureront jusqu’à la fin de l’été 2023. Voici pourquoi :

L’agitation politique mondiale est le principal facteur à l’origine des problèmes actuels de la chaîne d’approvisionnement. Les chefs d’entreprise déclarent que les problèmes rencontrés actuellement sur leur chaîne d’approvisionnement sont principalement dus à l’instabilité politique mondiale (58 %), au manque de matières premières (44 %) et à la hausse des coûts du carburant et de l’énergie (40 %). Seuls 31 % ont cité l’inflation comme un facteur important.

Le coût reste un problème alors que les entreprises rattrapent les pertes de revenus dues à la pandémie. Les entreprises n’étaient pas préparées à ce changement radical du comportement d’achat des consommateurs pendant la pandémie et en ont subi les conséquences financières. Environ la moitié des chefs d’entreprise ont constaté un impact financier dû aux problèmes de chaîne d’approvisionnement depuis le début de la pandémie, notamment :

  • Une diminution des revenus (58%)
  • Obligation de prendre de nouvelles mesures de financement, comme des prêts commerciaux (54 %)
  • Impossibilité de payer les employés (50 %)
  • Des loyers impayés (42%)

Afin de couvrir les coûts supplémentaires liés aux problèmes de chaîne d’approvisionnement, les chefs d’entreprise sont plus nombreux à déclarer qu’ils ont dû recourir au gel des salaires et des recrutements (61%) et à la suppression de postes (50%). Seuls 41% ont choisi d’augmenter le prix de leurs produits/services.

L’impact des problèmes de chaîne d’approvisionnement sur la période des fêtes en 2022

La saison des achats pour les fêtes en 2021 a été tout sauf normale, les chaînes d’approvisionnement ayant été sur-sollicitées. Bien que de nombreuses entreprises aient commencé à se préparer, des questions subsistent quant à la manière dont cette année se déroulera.

Commençons par les consommateurs. Une étude réalisée par SAP auprès de 1 000 consommateurs américains a révélé que près de la moitié d’entre eux (45 %) déclare que le prix est le principal facteur qu’ils prennent en compte dans leur décision d’achat et que 73 % considère qu’il s’agit du troisième facteur le plus important. Avec l’inflation qui fait grimper les coûts et une récession potentielle qui inquiète les consommateurs, il n’est pas surprenant que 65 % prévoit de réduire le budget de dépenses pour les fêtes et que 54 % s’attend à ce que l’inflation ait un impact sur la façon dont ils achèteront leurs cadeaux de Noël, 39 % faisant davantage d’achats en ligne.

Les chefs d’entreprise anticipent la tendance des achats en ligne, 73 % d’entre eux prévoyant une augmentation du volume du commerce électronique cette saison par rapport à l’année dernière. Pour vendre leurs propres produits, les chefs d’entreprise prévoient de miser sur ces points de différenciation :

– La rapidité de la livraison (64%)

– Excellent service client (57%)

– Disponibilité des produits (52%)

– Références en matière de durabilité (47%)

– Réductions de prix (42%)

– Fabrication aux États-Unis (38%)

Les entreprises fortifient leurs chaînes d’approvisionnement pour l’avenir

Toutes les entreprises ont déclaré que leur chaîne d’approvisionnement devait être améliorée dans une certaine mesure, et elles procèdent à des changements importants pour se préparer aux perturbations futures et fortifier leurs chaînes d’approvisionnement. Les chefs d’entreprise prévoient :

– d’adopter de nouvelles technologies pour surmonter les difficultés (74 %)

– de mettre en œuvre de nouvelles mesures d’urgence (67 %)

– de donner la priorité aux solutions de chaîne d’approvisionnement basées aux États-Unis (60 %)

– de trouver de nouvelles solutions de chaîne d’approvisionnement qui soient respectueuses de l’environnement (58 %).

Près de deux entreprises sur trois (64 %) passent d’une chaîne d’approvisionnement “juste à temps” à une chaîne d’approvisionnement “juste au cas où”, en augmentant la quantité de stocks qu’elles entreposent. En fait, 63 % pensent que les États-Unis devraient adopter cette approche pour surmonter les crises potentielles de la chaîne d’approvisionnement.

« Le passage au “juste au cas où” signifie que les entreprises vont entreposer davantage de stocks pour répondre à la demande des clients, mais cela signifie également une augmentation des coûts », selon Scott Russell, Membre du Conseil Exécutif de SAP, Customer Success. « La gestion de la chaîne d’approvisionnement est un exercice d’équilibre constant. Au cours des deux dernières décennies, l’approche “juste à temps” a troqué la résilience contre l’efficacité et la réduction des coûts, ce qui a fragilisé la chaîne logistique. La pandémie et l’effet boule de neige des perturbations connexes ont révélé cette fragilité, ce qui a amené les organisations à se recentrer sur la résilience. Pourtant, le coût reste un facteur, surtout dans le contexte économique actuel. La technologie peut aider les entreprises à trouver le bon équilibre en permettant une collaboration en temps réel entre les partenaires commerciaux. »

SAP aide les entreprises à répondre à la demande grâce à une meilleure visibilité sur des opérations réparties dans le monde entier, à une meilleure collaboration avec les partenaires commerciaux et à une meilleure connaissance des risques, tout en opérant de manière plus durable.

C’est là que les réseaux d’entreprise entrent en jeu. Pour plus d’informations sur la façon dont SAP peut aider à renforcer la résilience de la chaîne d’approvisionnement avec SAP Business Network, visitez le site sap.com/businessnetwork.

Les résultats sont basés sur une enquête menée fin août et début septembre 2022 auprès de 400 hauts responsables de la logistique et de la stratégie de la chaîne d’approvisionnement de petites, moyennes et grandes entreprises basées aux États-Unis.

 

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Source de l’article sur sap.com

Aujourd’hui, et pour la première fois depuis des dizaines d’années, l’inflation est devenue une question centrale dans les entreprises. Les taux ayant atteint des records historiques dans la plupart des pays développés, les chefs d’entreprise s’appuient sur le dernier rapport économique mensuel et sur des perspectives assez floues pour prendre leurs décisions : réduction de la production, augmentation des prix, recherche de nouveaux fournisseurs.

Mais quelle que soit la situation des pays – forte hausse, baisse spectaculaire, ou apparente stabilité –, l’inflation entraîne des conséquences de toutes sortes qui varient selon le secteur d’activité, le pays et la conception de la supply chain. Il existe un risque de manque de liquidités nécessaires à la fluidité des opérations. Les actions bancaires centralisées sur les taux d’intérêt peuvent faciliter ou restreindre les activités de prêt et d’emprunt à court terme. Même les défis liés à la supply chain peuvent s’atténuer ou s’intensifier selon la fluctuation des coûts et l’évolution des coûts du stock disponible.

Il n’existe pas d’outil financier simple ou magique que les entreprises peuvent utiliser pour contourner le problème de l’inflation, mais les technologies intelligentes peuvent y contribuer. Les outils tels que l’intelligence artificielle (IA) et l’analytique prédictive aident les entreprises à anticiper et à voir leurs opérations dans leur globalité, à simuler et anticiper les imprévus, et à orienter leurs modèles économiques selon les besoins. Mais surtout, elles disposent de nombreuses options pour comprendre les circonstances économiques, prévoir l’impact, prendre des mesures à court terme, et établir des structures pour consolider leur position.

Voici trois domaines clés dans lesquels ces types de technologies peuvent aider les entreprises à comprendre l’impact des défis de l’inflation, à agir vite et à préparer l’avenir.

Des mouvements de trésorerie en toute intelligence et confiance

La valeur globale de l’argent et des actifs est vouée à diminuer ; plus tôt une entreprise aura des liquidités, plus tôt elle pourra réaliser plus de choses. Pour atténuer ce risque, les entreprises doivent prendre conscience de l’impact potentiel de divers scénarios : hausse des prix des marchandises, pénurie de matières premières, etc. Fortes de ces connaissances, elles doivent pouvoir faire des prévisions de trésorerie complètes et claires, et créer des stratégies flexibles pouvant être ajustées pour gérer efficacement les manques ou excès de trésorerie.

Grâce aux solutions de gestion du fonds de roulement de Taulia, qui font aujourd’hui partie de SAP, les directeurs financiers guident au mieux leur entreprise. Ils peuvent choisir d’ajuster les stratégies de comptabilité clients et fournisseurs, ou d’exploiter la ligne de crédit au plus faible coût disponible de leur établissement bancaire. De plus, des outils financiers, par exemple pour la gestion des escomptes dynamiques et le financement de la supply chain, peuvent débloquer des actifs circulants.

Les solutions de gestion des actifs circulants rendent avec précision les conditions d’inflation au moyen de prévisions basées sur l’IA et de vues mises à jour, toujours à la disposition des planificateurs d’entreprise. De la planification et de la simulation à la sélection des alternatives de financement et des processus de contrôle adéquats, ces fonctions travaillent de manière synchrone
pour offrir une coordination efficace des mouvements de trésorerie, à partir d’une source de confiance unique, parfaitement intégrée à toute l’entreprise.

Toute décision, finalement, concerne les mouvements de trésorerie, et la combinaison d’informations exhaustives et en temps réel, de possibilités générées automatiquement, et d’insights prédictifs, peut aider les entreprises à prendre en toute confiance les meilleures décisions. Et, alors que leur valeur évolue au fil du temps, il sera possible d’acheter et de gérer les marchandises et actifs au prix d’origine, moyennant des coûts de détention inférieurs au taux d’inflation.

Limiter l’exposition aux différences mondiales

Les pays ont rarement les mêmes taux d’inflation, mais l’augmentation des prix des marchandises entraîne inévitablement une hausse des coûts des matières premières. Et dans les pays où l’inflation est plus élevée ou instable, les devises peuvent se déprécier rapidement, provoquant des taux de change record.

Ces fluctuations économiques mondiales peuvent être particulièrement risquées pour les entreprises qui ont emprunté du capital pour profiter des faibles taux d’intérêt ces dernières années. L’inflation est déjà en train d’éroder leur stratégie de remboursement prévue pour les prêts en cours. Et en cas d’une plus forte instabilité dans une autre région, les pressions sur les coûts pourraient encore s’aggraver, les marges se resserrer et l’accès aux liquidités diminuer.

Grâce à l’application SAP Treasury and Risk Management, les responsables de la trésorerie et les directeurs financiers peuvent surveiller les positions de risque, l’évolution des prix des marchandises, et les taux de conversion des devises, même en temps de grande instabilité économique. Ils peuvent développer des stratégies de comptabilité de couverture conformes à l’aide d’une piste d’audit complète, tout en respectant les réglementations telles que le Règlement sur l’infrastructure du marché (EMIR) et la dernière version des Normes internationales d’information financière (IFRS 9).

Les équipes de gestion de la trésorerie peuvent aussi obtenir plus d’insights pour faire face à la dette et gérer les investissements plus efficacement. La solution SAP Treasury and Risk Management offre des informations telles que la trésorerie disponible, des risques liés aux soldes et le retour sur investissement, et surveille les investissements par rapport aux éventuelles fluctuations du taux d’intérêt. En outre, les opérations d’emprunt et de prêt tout au long de la vie d’un prêt peuvent être saisies, analysées et déclarées au fur et à mesure.


Intervenez vite aujourd’hui pour préparer votre avenir

Lorsque les coûts d’ingénierie et de production de produits manufacturés augmentent, les entreprises doivent décider de réduire leurs marges ou de répercuter ces coûts supplémentaires sur le client. C’est un choix difficile, surtout lorsque les consommateurs trouvent déjà les prix très élevés.

En intégrant les solutions SAP Digital Supply Chain à SAP Business Network, les entreprises d’achats, d’approvisionnement et de logistique obtiennent les insights dont ils ont besoin pour générer plus de revenus de chaque dépense et optimiser la réduction des coûts. Ensemble, elles peuvent effectuer des simulations et analyses par simulation pour identifier et engager les partenaires commerciaux capables de gérer les situations émergentes, telles que la hausse de la production, et de réduire encore davantage les pertes financières et matérielles.

Bien sûr, pour gérer efficacement les risques inflationnistes, les entreprises doivent avoir accès aux données adéquates pour prendre des décisions et faire avancer leur supply chain. La combinaison de SAP Digital Supply Chain et de SAP Business Network permet aux entreprises de gérer les ressources de manière plus stratégique afin d’augmenter la productivité, de réduire les coûts d’exploitation et de permettre aux collaborateurs de se consacrer à des tâches plus stratégiques. De plus, les entreprises peuvent éviter les retards et interruptions de la supply chain pour prévenir les pertes de revenus, et éviter les coûts imprévus grâce à une visibilité sur la capacité des stocks et de la production, la maintenance des actifs et les processus logistiques.

Exploiter une position financière solide

Compte tenu des récentes inflations, il est très important pour survivre de comprendre et de gérer les risques financiers dans la supply chain. Et les entreprises capables de progresser et de prendre les bonnes décisions au bon moment sont celles qui disposent d’une visibilité claire sur leurs données et processus relatifs aux achats, à supply chain et à la logistique.

Pour de nombreuses entreprises dans le monde, les solutions SAP sont déjà l’un des moyens les plus efficaces de protéger leur solidité financière en période d’inflation. Elles continueront d’ailleurs à alléger leurs défis au fur et à mesure que leur portefeuille évolue afin de répondre aux besoins d’une économie en mutation et d’un environnement compétitif.

En savoir plus : https://www.sap.com/france/products/erp/s4hana.html

Article de Neil Krefsky, Eamon Ida, Haresh Chhaya, Max Hendrickx25 août 2022

Neil Krefsky est directeur du marketing produits pour la gestion des finances et des risques chez SAP.

Haresh Chhaya est responsable des solutions pour la gestion de la trésorerie et des fonds de roulement chez SAP.

Max Hendrickx est directeur principal du centre d’excellence pour la gestion du fonds de roulement chez SAP.

Eamon Ida est directeur du marketing pour les solutions dédiées aux réseaux d’entreprises chez SAP

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Source de l’article sur sap.com