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# Aléatoire dans les données

L’importance de l’aléatoire dans l’architecture informatique

Lorsque nous parlons d’aléatoire dans le domaine de l’informatique, nous faisons référence à la capacité d’un système à produire des résultats imprévisibles. Bien que les ordinateurs soient conçus pour être prévisibles, ils peuvent être utilisés pour produire des résultats aléatoires. Cette capacité est très importante dans l’architecture informatique, car elle permet de générer des clés de certificats ou des jetons d’accès qui sont difficiles à prédire par les attaquants.

Utilisation de l’aléatoire dans l’architecture informatique

L’utilisation de l’aléatoire dans l’architecture informatique est très courante. Par exemple, il est souvent utilisé pour générer des mots de passe aléatoires et sécurisés. Les mots de passe aléatoires sont plus difficiles à deviner et à pirater que les mots de passe créés par l’utilisateur. De plus, l’aléatoire est souvent utilisé pour générer des clés de chiffrement qui sont utilisées pour crypter les données sensibles. Ces clés doivent être suffisamment aléatoires pour empêcher les attaquants de deviner leur contenu.

En outre, l’aléatoire est également utilisé pour générer des nombres aléatoires qui peuvent être utilisés pour créer des algorithmes plus efficaces et plus sûrs. Par exemple, les algorithmes de tri peuvent être améliorés en utilisant des nombres aléatoires pour déterminer leur ordre. De plus, les algorithmes de recherche peuvent également bénéficier de l’utilisation d’un nombre aléatoire pour déterminer leur direction. Enfin, l’aléatoire est également utilisé pour générer des nombres pseudo-aléatoires qui peuvent être utilisés pour créer des simulations plus réalistes et plus précises.

En tant qu’informaticien enthousiaste, je trouve que l’utilisation de l’aléatoire dans l’architecture informatique est très intéressante et utile. Cela permet aux développeurs de créer des systèmes plus sûrs et plus efficaces. De plus, cela permet également aux utilisateurs finaux de bénéficier d’une meilleure sécurité et d’une meilleure expérience utilisateur.

Source de l’article sur DZONE

Avec l’aide de TeamWork, Albéa a adopté les solutions SAP Asset Manager et SAP Plant Maintenance, afin d’équiper ses techniciens de maintenance d’une solution moderne et mobile. Ce core model sera prochainement déployé sur l’ensemble des sites industriels du groupe.

 

Leader mondial des tubes et emballages pour les produits cosmétiques et parfums. Albéa adresse un large panel de clients, dont des marques prestigieuses comme L’Oréal et Clarins. L’industriel dispose de 43 sites répartis dans 15 pays, où travaillent plus de 12 500 employés. Albéa a réalisé un chiffre d’affaires 2021 de 1,2 milliard de dollars.

La plupart des usines d’Albéa ne disposent pas d’outil dédié pour suivre les activités de maintenance. « Notre objectif était de mettre en place un outil commun pour gérer la maintenance et accompagner les techniciens avec des processus digitalisés et automatisés, tout en favorisant leur mobilité au sein de leur lieu de travail », résume Émilie Ganot, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Un premier site pilote a été désigné pour accueillir cette solution, l’usine Albéa Argonne de Sainte-Menehould, le principal site industriel du groupe en France.

SAP Asset Manager : une offre mobile et ergonomique

Les usines d’Albéa, dont celle de Sainte-Menehould, travaillent la plupart sur un ERP SAP ECC. Certains utilisateurs étaient toutefois réticents à l’idée d’adopter SAP Plant Maintenance (SAP PM), jugé trop peu ergonomique et trop coûteux à maintenir. Plusieurs offres de GMAO ont été étudiées au fil des ans, mais elles restaient complexes à intégrer avec la gestion des stocks et le contrôle de gestion.

« Lors d’une démonstration de SAP Asset Manager (SAP AM), nous avons découvert un outil ergonomique, qui permet aux opérateurs de maintenance d’utiliser une tablette pour saisir leurs opérations et faire remonter des informations dans SAP PM. Nous avons alors validé l’utilisation de SAP AM, avec SAP PM en back-end, » témoigne Astrid Chauvin, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Premier avantage, la solution s’interface nativement avec SAP ECC et ses différents modules (stocks, achats et finance). L’interface repose sur la technologie Fiori, qui permet de proposer une expérience utilisateur optimisée, compatible avec les terminaux mobiles. Enfin, l’application offre la capacité de saisir des données hors connexion, ce qui peut être très utile en environnement industriel.

TeamWork a assuré, en collaboration avec Albéa, l’intégration de cette solution. « TeamWork est un partenaire de confiance avec lequel nous aimons travailler, poursuit Astrid Chauvin. La force de TeamWork est de savoir aborder les sujets tant sur leurs aspects fonctionnels que techniques, le tout avec une forte connaissance métier. De plus, c’est une structure à taille humaine, très accessible. »

Une solution bien acceptée

« Le site Albéa Argonne est une grosse usine, comprenant 20 lignes de fabrication et 550 salariés, dont 20 techniciens de maintenance travaillant en 24/7, détaille Émilie Ganot. Nous avons décidé dans un premier temps de déployer la solution sur deux lignes pilotes. Le core model que nous allons mettre au point sera ensuite déployé sur le reste de l’usine, puis sur les autres sites industriels du groupe. »

Dans l’absolu, le déploiement de SAP AM reste un projet assez simple. Albéa a dû toutefois déployer simultanément SAP AM et SAP PM. De plus, l’intégration mobile – native dans SAP S/4HANA – a nécessité la mise en place d’un add-on spécifique sous SAP ECC. Enfin, la solution SAP AM repose sur des services mobiles de la SAP Business Technology Platform, qu’il a donc fallu aussi mettre en place et configurer. Au final, 5 mois ont été nécessaires entre le kick off du projet et le go live de la solution.

« Notre plus grande surprise a été l’adhésion des utilisateurs, note Astrid Chauvin. Ils ne voulaient initialement pas utiliser la solution SAP PM. En leur proposant SAP AM, nous avons donc eu l’impression de jouer à quitte ou double. Mais, dès que les utilisateurs ont entamé le projet avec nous et vu comment l’outil se présentait sur des tablettes, l’enthousiasme a été immédiat. Ceci nous a confortés dans l’idée que nous avions fait le bon choix. »

Reste que la solution n’est pas sans défauts. Si son cœur ne connaît qu’une grosse mise à jour par an, cette mise à jour peut avoir des implications aussi bien sur SAP AM, SAP PM que la SAP BTP. Quant à l’application mobile, elle est mise à jour bien plus fréquemment. Les équipes ont donc dû apprendre à gérer une solution hybride, mêlant on premise, cloud et mobilité.

La satisfaction prévaut toutefois depuis le go live. Prochaine étape sur le court et moyen terme, le déploiement de ce core model sur les autres lignes de production du groupe. À plus long terme, Albéa espère tirer profit du couple SAP AM / SAP PM pour se lancer dans la maintenance prédictive de ses outils de production.

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Source de l’article sur sap.com

SAP France obtient la note de 77/100 à l’Index de l’égalité femmes-hommes au titre de l’année 2022. Cet Index a été calculé sur la base de 5 indicateurs :

  • Les écarts de rémunération : 37/40 points
  • La répartition des augmentations : 10/20 points
  • La répartition des promotions : 15/15 points
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité : 15/15 points
  • La mixité des dix plus hauts salaires : 0/10 points

La parité et la mixité étaient une priorité pour SAP France bien avant la mise en place de l’Index égalité professionnelle. En effet, SAP France renouvelle et adapte ses Accords Egalité Professionnelle depuis de nombreuses années. SAP France est en effet engagé dans une politique à long terme dans ces domaines avec notamment la mise en place de plans d’action égalité femme/homme et des analyses de rémunération régulières. Nos Accords n’abordent pas uniquement la question des salaires mais également des formations, du recrutement, du développement, etc. Autant d’éléments impactant l’égalité professionnelle, éléments que l’index, tel qu’il est construit aujourd’hui, ne permet pas de mesurer. SAP France entend poursuivre ses efforts et ses engagements dans le domaine de l’égalité professionnelle. Les négociations relatives au renouvellement de l’Accord Egalité Professionnelle débuteront prochainement.

Depuis 2022, l’Index de l’égalité salariale Femmes-Hommes prévoie également la mise en place d’objectifs de progression pour tous les indicateurs n’ayant pas obtenus la note maximale en cas de résultat inférieur à 85 sur 100. Dans cette perspective et  au-delà des mesures susmentionnées, des objectifs de progression ont été fixés :

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur l’aspect des écarts de rémunération femmes-hommes :
    • Des niveaux de salaires équivalents à l’embauche pour un même niveau de responsabilités, de formation, d’expérience et de compétences professionnelles.
    • Sensibilisation des managers quant à l’importance de l’équité de traitement dans leurs prises de décisions relatives à la revue de salaire annuelle, l’attribution de primes exceptionnelles dites « spot awards », attribution de RSU, etc.
    • Nomination de référents de l’égalité professionnelle pouvant être sollicités si un salarié estimait être discriminé en terme de rémunération.
    • Maintien du paiement de la part variable à 100% pendant la période de congés maternité.
    • Maintien du salaire sur la base du TTC en cas d’incapacité temporaire du travail au-delà de 90 jours consécutifs d’arrêt.

Les autres dispositions permettant de réduire les écarts de rémunération figurent au paragraphe suivant (dispositions prévues pour progresser sur les écarts de répartition des augmentations individuelles). Ces dispositions s’appliquent pour ces 2 indicateurs.

 

L’objectif est de progressivement arriver à se rapprocher, voir atteindre la note maximale sur ce premier indicateur, à l’aide des dispositions susmentionnées et sous-mentionnées.

 

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur les écarts de répartition des augmentations individuelles :
    • Garantir l’équité de traitement lors des révisions salariales annuelles : analyse de la moyenne d’augmentation, analyse du % de femmes et d’hommes augmentés.
    • Analyse annuelle via la méthode statistique dite de régression multiple. Tous les salariés avec des écarts supérieurs à 2% se voient leur salaire réajusté avec un budget dédié à l’égalité professionnelle. Les salariés exclus de l’analyse statistique, du fait d’un échantillonnage trop faible, font partis d’une analyse dite non statistique et reçoivent les ajustements de salaire nécessaires, le cas échéant.
    • Analyse du nombre d’augmentés dans l’année N au cours du T4 de l’année N (augmentés lors de la revue de salaire et lors des demandes d’augmentations hors cycle dites « off-cycles »).
    • Toute augmentation intervenue dans le cadre de réajustement de salaire ne saurait avoir des répercussions sur les décisions prises pendant la revue de salaire annuelle.
    • Sensibilisation des managers sur ces sujets, notamment lors des sessions d’information dédiées à la revue de salaire mais également dans les divers supports et communications dédiés.

 

L’objectif est d’atteindre la note maximale sur l’indicateur 2 lors du prochain calcul en appliquant l’ensemble de ces mesures. SAP France ayant précédemment obtenu la note maximale depuis la mise en place de l’Index.

 

  • SAP France obtient la note maximale sur les écarts de répartition des promotions. Vous retrouverez, ci-dessous, un certain nombre de mesures mises en place, à date, pour garantir l’équité de traitement quant à l’aspect évolution de carrière. A noter , par ailleurs, que seules les promotions (changement de T-level) comptent pour cet indicateur mais que chez SAP France, il peut également y avoir des progressions (changement de grade). Ces dernières ne sont pas prises en compte dans le calcul de l’indicateur du fait de la méthodologie établie pour le calcul de l’Index :
    • Analyse du % de femmes et d’hommes promus ou progressés lors des révisions salariales annuelles .
    • Analyse du nombre de promus dans l’année N au cours du T4 de l’année N (promus lors de la revue de salaire et lors des demandes de promotions hors cycle dites « off-cycles »).
    • Les changements de grades (dites « progressions » en interne) dans un même niveau (T-Level) ne sont pas pris en compte dans le calcul de l’Index mais ils sont néanmoins indissociables des promotions puisque les progressions dans les niveaux de carrière sont un préalable à la promotion au niveau supérieur. Dans cette perspective, notre Accord prévoit la garantie de l’équité de traitement lors des révisions salariales annuelles via une analyse de tous les salariés qui sont sur un grade 1 depuis 3 ans ou plus.
    • Garantir l’égalité d’accès à la formation, élément déterminant pour l’évolution professionnelle et donc favorisant les promotions.
    • Formations dédiées au développement de l’assertivité des femmes, notamment des femmes promues managers, expertes ou ayant vocation à le devenir.
    • Mise en place d’un Comité de mobilité interne afin d’identifier les besoins de mobilité interne.
    • Solutions de garde d’enfants et d’aide aux aidants pour favoriser l’équilibre temps de travail, temps de formation, temps de vie.
    • Nomination de référents de l’égalité professionnelle pouvant être sollicités si un salarié estimait être discriminé quant aux opportunités de carrière.

 

 

  • SAP France a toujours obtenu la note maximale sur le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité. En effet, SAP France apporte une attention particulières à la rémunération des femmes en congés maternité depuis de nombreuses années. A noter que SAP France a également un certain nombre de dispositifs en place pour les salariés en congés parental. Ces dispositions sont consultables dans notre Accord Egalité Professionnelle.

 

  • Les dispositions prévues, à date, pour progresser sur la mixité des dix plus hauts salaires :
    • Comme mentionné précédemment : garantir l’égalité d’accès à la formation, élément déterminant pour l’évolution professionnelle et ainsi favoriser l’accès, pour les femmes, à des postes de managers, experts ou de Direction. Les grilles de salaire pour ces niveaux de postes étant plus élevées, si le % de femmes se positionnant sur ces niveaux de postes augmente, il y aura alors, de fait, plus de chance d’atteindre la mixité des dix plus hauts salaires.
    • Solutions de garde d’enfants et d’aide aux aidants pour favoriser l’équilibre temps de travail, temps de formation, temps de vie. Permettant ainsi d’envisager plus facilement l’accès aux postes susmentionnés.
    • Toujours dans cette même logique d’évolution de carrière : entretien professionnel tel que prévu par la loi mais également entretiens trimestriels des salariés avec leurs managers (lors de « SAP Talk ») pour identifier les besoins en formation, aspirations en terme de développement de carrière, etc.

L’objectif étant d’obtenir progressivement des points sur cet indicateur 5 en appliquant l’ensemble de ces mesures.

Les détails de certaines mesures et les KPIs sont consultables dans notre Accord Egalité Professionnelle.

Nous vous informons également, qu’au titre de l’année 2022, SAP France comptabilise une majorité de femmes dans ses instances dirigeantes (54% de femmes et 46% d’hommes). Ce résultat démontre que la parité et la mixité sont des priorités pour SAP France. Retrouvez ci-dessous le détail des indicateurs résultant de la loi visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle :

  • Pourcentage de femmes parmi l’ensemble des cadres dirigeants : non applicable
  • Pourcentage d’hommes parmi l’ensemble des cadres dirigeants : non applicable
  • Pourcentage de femmes parmi l’ensemble des membres des instances dirigeantes (en prenant en compte les personnes non salariées) : 54%
  • Pourcentage d’hommes parmi l’ensemble des membres des instances dirigeantes (en prenant en compte les personnes non salariées) : 46%

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Source de l’article sur sap.com

Tester la sécurité des objets connectés

Tester la sécurité des objets connectés est essentiel pour protéger nos données et notre vie privée. Découvrez comment vous assurer que vos appareils sont en sécurité.

## La sécurité de l’Internet des objets (IoT) est essentielle

L’Internet des objets (IoT) a révolutionné nos vies et apporté de nombreux avantages, mais il présente une grande surface d’attaque et n’est pas sûr tant qu’il n’est pas sécurisé. Les appareils IoT sont une cible facile pour les cybercriminels et les pirates informatiques s’ils ne sont pas correctement sécurisés. Vous pouvez avoir de graves problèmes avec des données financières et confidentielles qui sont invitées, volées ou cryptées.

Il est difficile de repérer et de discuter des risques pour les organisations, sans parler de la construction d’une méthodologie globale pour y faire face, sans connaissances pratiques de ce qu’est la sécurité IoT et sans la tester. La prise de conscience des menaces de sécurité et la façon d’y échapper est la première étape, car les solutions IoT nécessitent beaucoup plus de tests qu’auparavant. La sécurité intégrée est souvent absente lorsqu’il s’agit d’introduire de nouvelles fonctionnalités et produits sur le marché.

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je sais que le test est une partie essentielle du processus de développement de produits IoT. Les tests peuvent être effectués à chaque étape du cycle de développement, depuis le développement jusqu’à la mise en production. Les tests peuvent être effectués manuellement ou automatiquement, selon les besoins spécifiques et les contraintes budgétaires. Les tests peuvent inclure des tests fonctionnels, des tests de performance, des tests de sécurité et des tests de conformité. Les tests peuvent être effectués sur des appareils physiques ou virtuels, en fonction des exigences et des contraintes. Les tests peuvent également être effectués à l’aide d’outils spécialisés tels que des outils de test d’intrusion, des outils de test d’authentification et des outils de test de sécurité.

Les tests peuvent aider à identifier les vulnérabilités et à déterminer si les produits IoT sont conformes aux normes de sécurité et aux exigences réglementaires. Les tests peuvent également aider à améliorer l’efficacité et la fiabilité des produits IoT et à réduire les risques liés à la sécurité. Les tests peuvent également aider à améliorer la qualité du produit et à réduire le temps et les coûts de développement. Les tests peuvent également aider à améliorer l’expérience utilisateur et à assurer un meilleur niveau de sécurité pour les utilisateurs finaux.

En conclusion, le test est essentiel pour assurer la sécurité des produits IoT. Les tests peuvent être effectués à chaque étape du cycle de développement et peuvent aider à identifier les vulnérabilités, à améliorer l’efficacité et la fiabilité des produits IoT, à réduire les risques liés à la sécurité et à améliorer l’expérience utilisateur.

Source de l’article sur DZONE

Déboguer des sites web avec les outils de développeur Safari

Déboguer des sites web peut être une tâche difficile, mais en utilisant les outils de développeur Safari, cela devient plus facile et plus rapide !

Safari : le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones

Je suis un scientifique excité qui vient de faire une découverte sensationnelle : Safari est le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones. Il se classe deuxième dans les préférences des navigateurs, juste après Chrome. Ses plus de 250 fonctionnalités offrent aux utilisateurs des avantages remarquables qui le distinguent des autres navigateurs les plus populaires tels que Chrome et Firefox. De plus, la popularité de l’iPhone a entraîné une part de marché mondiale des smartphones de 53,6 % pour Safari.

L’année dernière, le nombre d’appareils actifs d’Apple a connu une augmentation significative à 1,5 milliard. Puisque la base d’utilisateurs continue de croître, Apple s’assure constamment d’une expérience utilisateur presque parfaite et d’une performance optimisée sur tous ses appareils.

Pour répondre à ces exigences, Apple a mis en place une base de données qui stocke des informations sur les performances et les préférences des utilisateurs. La base de données est mise à jour en permanence pour s’adapter aux changements des appareils et des systèmes d’exploitation. Elle permet également aux développeurs de créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est également utilisée pour surveiller les performances des applications et des services afin de garantir une expérience optimale pour les utilisateurs.

Grâce à cette base de données, Apple est en mesure d’offrir une expérience utilisateur exceptionnelle et une performance optimale sur tous ses appareils. Les développeurs peuvent également créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est donc un outil essentiel pour Apple pour offrir une expérience utilisateur optimale à ses utilisateurs.

Source de l’article sur DZONE

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements.

Licenciement : quatre syllabes qu’aucun collaborateur n’a envie d’entendre, et qu’aucun dirigeant d’entreprise n’a envie de prononcer. Malheureusement, les entreprises confrontées à un ralentissement de la croissance, à une forte inflation et à l’augmentation des coûts de la main-d’œuvre peuvent se trouver contraintes d’envisager une telle option.

Mais les licenciements posent un problème : généralement, ils sont une réaction plus qu’une précaution ou un choix stratégique. La première vague est souvent déclenchée par la crainte en cas de baisse prévue de la demande ou de ralentissements économiques. La seconde, la troisième, voire la quatrième, quant à elles, sont autant de mouvement de repli après des pertes financières. Mais le plus préoccupant dans une réduction de personnel, c’est le risque accru de voir baisser la productivité, la qualité des produits et des services, et de perdre des talents qualifiés dont vous aurez besoin pour saisir les occasions futures de rebondir.

Selon LeadershipIQ, 74 % des collaborateurs encore en poste après une vague de licenciements indiquent que leur productivité a décliné, et 69 % pensent que la qualité des produits et des services de leur entreprise s’est détériorée. Encore plus dommageable peut-être : 87 % des travailleurs restants sont moins enclins à recommander leur entreprise à de futurs candidats.

Anticiper la courbe des données

Après une réduction des effectifs, on peut s’attendre à des sentiments de culpabilité, d’anxiété ou de colère. Toutefois, les entreprises ne peuvent pas se permettre de les laisser impacter leur santé financière immédiate et leurs perspectives de croissance à long terme. Alors comment faire face à l’effet accordéon des licenciements et des embauches de masse ?

La technologie utilisée par une entreprise peut, sans le moindre doute, être un facteur de transformation ou de rupture. Ainsi, l’automatisation des tâches simples, des flux de processus, des simulations de scénarios et de la planification de gestion renforce l’efficacité opérationnelle. Les innovations intelligentes (telles que l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique, l’automatisation robotisée des processus, le traitement du langage naturel et l’analytique prédictive) transforment les données d’entreprise en insights riches. Exécutées dans le cloud, ces technologies permettent à vos collaborateurs de prendre des décisions stratégiques et précises, dans le feu de l’action – partout et à tout moment.

Selon IDC, toutes ces fonctionnalités numériques peuvent participer à améliorer les résultats de l’entreprise en augmentant de 75 % à 95 % le chiffre d’affaires, le resserrement des coûts, les bénéfices, la satisfaction client, l’efficacité opérationnelle, la productivité des collaborateurs et l’innovation. Cependant, elles sont inefficaces, voire contre-productives si elles s’appuient sur des données inexactes, incomplètes ou obsolètes.

Heureusement, les solutions d’ERP cloud sont conçues pour relever le défi, de manière à devancer les incertitudes économiques et les turbulences du marché. Les technologies d’entreprise ont le pouvoir de limiter les risques financiers en générant des rapports précis et complets sur les opérations de gestion en temps réel. Ainsi, il est possible d’intégrer un ERP cloud aux solutions de gestion des RH et du personnel afin d’obtenir une vision globale et transparente des performances, des compétences et de l’expérience de vos effectifs.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment un ERP cloud génère de la croissance stratégique pour les leaders de la finance – Par un invité SAP

En agrégeant des applications, des systèmes et des référentiels auparavant cloisonnés, l’ERP cloud constitue une source d’informations unique. Il traite l’ensemble des données générées par les différentes fonctions, vérifie leur qualité et leur exactitude, et les synchronise dans toutes les applications. Résultat : une compréhension globale des besoins de l’entreprise, basée sur les données et tournée vers l’avenir, qui combine des informations opérationnelles, expérimentales et autres insights essentiels.

Armées de toutes ces informations, les entreprises sont à même d’expérimenter de meilleures façons de gérer l’évolution de leurs besoins. Ainsi, elles peuvent identifier les rôles redondants ou qui ont perdu leur pertinence. Mais au lieu de réduire les effectifs et d’embaucher de nouvelles personnes pour combler un manque de talents, elles ont la possibilité de former les salariés concernés à de nouveaux postes. En retour, les connaissances internes sont conservées et la confiance des collaborateurs dans la direction générale s’en trouve renforcée – des atouts critiques pour stimuler l’implication, l’innovation et les performances.

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements. À partir des données concernant leurs collaborateurs et les performances de leur entreprise, ils sont en mesure de procéder à des modifications qui augmentent la valeur ajoutée de leurs activités, mais aussi de respecter les engagements pris envers leurs collaborateurs, leurs clients et leurs partenaires.

Mais le fait de disposer d’une vue d’ensemble des opérations de gestion (incluant les flux de trésorerie, les risques concurrentiels et les prévisions de la demande) est peut-être plus précieux encore. Grâce à cela, les décideurs mesurent mieux les impacts à long terme d’un licenciement, et peuvent imaginer des scénarios plus efficaces qui préserveront l’entreprise dans l’immédiat, tout en la préparant à progresser et à saisir les opportunités de reprise le plus rapidement possible.

Faire face à aujourd’hui et se préparer pour l’avenir

Un licenciement peut être inévitable. Mais au lieu d’y recourir automatiquement, planifier soigneusement sa main-d’œuvre est un meilleur moyen de faire face aux difficultés de l’économie mondiale et aux incertitudes du paysage concurrentiel.

Les solutions d’ERP cloud permettent aux dirigeants de redéfinir leurs priorités, afin de continuer à fournir des produits et services qui génèrent une croissance constante du chiffre d’affaires. Plus important encore : elles stimulent la confiance, poussant ainsi le personnel à tout mettre en œuvre pour aider l’entreprise à réussir dans une conjoncture délicate.

Pour découvrir comment un ERP cloud peut aider votre entreprise à faire face aux incertitudes, à relever les défis financiers et à améliorer ses résultats, consultez le rapport Aberdeen intitulé « Comment l’efficacité et l’innovation basées sur le cloud permettent de résoudre les défis financiers ».

 

– Par Wynona Benson, SAP

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Les modèles « en tant que service » font désormais partie de notre quotidien de consommateurs. À quand remonte la dernière fois que vous avez acheté un CD ou un DVD ? En ce qui me concerne, je ne m’en souviens pas. Toute ma famille utilise des plateformes de diffusion continue pour tout cela. Mes fils et moi commandons même nos lames de rasoir et nos crèmes de rasage selon un modèle similaire. Bien sûr, on dirait bien que c’est toujours moi qui paye, mais c’est un autre sujet !

Ce concept de vente d’un résultat en tant que service est communément appelé « servitization ». Hier simple modèle de consommation, c’est aujourd’hui une approche commerciale plus large, dans laquelle les dépenses d’investissement pour un équipement représentent de plus en plus un obstacle aux yeux de l’acheteur. Souvent, il est bien plus intéressant d’avoir accès au même équipement moyennant des frais mensuels, basés sur une utilisation à l’heure ou encore sur le débit.

Grâce à la servitization, les fabricants trouvent de nouveaux moyens de se rapprocher de leurs clients à travers des modèles économiques inédits. Pour ce faire, ils établissent une relation suivie, basée sur des transactions mensuelles alignées sur la consommation, le débit, la disponibilité ou l’exploitation des équipements plutôt que sur une transaction ou une vente ponctuelle attribuant la responsabilité de la maintenance au prestataire de services.

La servitization appelle des produits plus intelligents

Pour rendre la servitization possible, les équipementiers doivent concevoir des produits plus intelligents, capables de collecter les informations nécessaires à une facturation précise de leurs clients. Ils doivent également s’assurer que leurs équipements fonctionnent en permanence, et génèrent les données dont ils ont besoin pour prévoir les opérations de maintenance qui éviteront les pannes. Grâce à l’Internet des Objets (IdO), des capteurs emmagasinent les informations d’utilisation, de débit ou de performances pertinentes pour alimenter le processus de gestion en tant que service.

Grâce à un jumeau numérique de la machine, le fabricant et le client sont tous deux en mesure d’en surveiller les performances et d’utiliser les algorithmes d’apprentissage automatique afin d’évaluer le degré d’efficacité de son utilisation.

La valeur ajoutée de la servitization

Faire des services une part croissante et dynamique de votre activité, c’est accéder à de nouvelles sources de revenus et améliorer vos marges tout en évitant la banalisation et en érigeant la durabilité en véritable facteur de différenciation.

Prenons un exemple fictif. Soit une entreprise qui produit des machines à laver. Cette entreprise souhaite mettre en place un modèle de « lavage en tant que service », dans lequel elle facturerait ses clients en fonction du nombre de lavages réalisés chaque mois par leurs appareils.

Si, comme moi, le client fait partie d’une famille de cinq personnes, qui utilise la machine quotidiennement, il paiera davantage qu’une personne seule qui ne l’utilise qu’une fois par semaine. Le dénominateur commun est que la machine à laver doit fonctionner à pleine performance chaque fois que nécessaire.

Réinventer les modèles de services

Cette nouvelle offre de service requiert des contrats basés sur les résultats, qui incluent des mesures de performances des cycles de lavage et des accords de niveaux de service (SLA) garantissant une disponibilité à 100 %.

Afin de proposer une expérience immersive aux clients, une application peut leur fournir des données en temps réel sur leurs cycles de lavage : le moment où ils se terminent, combien de cycles ont été exécutés dans le mois, le coût, l’empreinte carbone, les performances de la machine…

Ces informations sont également utilisées par le fabricant et par une société de maintenance tierce pour gérer le cycle de vie complet des services, dans tous ses aspects : de l’installation à la facturation en passant par la garantie, l’émission de tickets de service, les interventions sur site, les réparations en atelier, la facturation et les solutions de financement.

Le modèle de service réduira également l’impact environnemental global de la machine en permettant une surveillance de la consommation d’énergie et d’eau, ainsi qu’une prise en charge de la mise hors service et du recyclage afin de maintenir l’équipement dans l’économie circulaire.

Des services précis afin de réduire les coûts et d’améliorer l’expérience client

La disponibilité des données relatives aux machines aide le fabricant et le partenaire de maintenance à repenser leurs opérations de gestion des services. Ils s’appuient sur une planification avancée basée sur l’IA pour hiérarchiser les interactions, améliorer l’utilisation des ressources et réduire les temps de déplacement.

Lorsqu’un technicien de service est dépêché pour réparer une machine, il doit avoir toutes les pièces nécessaires et toutes les informations de dépannage à portée de main via un appareil mobile. Il peut même être guidé dans son travail de réparation grâce à des lunettes à réalité augmentée. Le problème peut ainsi être résolu en une intervention, ce qui évite les longs délais provoqués par une commande de matériel après le rendez-vous.

Révolutionner le retour sur investissement en augmentant les performances des équipements et en allongeant leur durée de vie

Grâce à la visibilité accrue garantie par les capteurs d’IdO intégrés aux machines à laver, le fabricant est désormais en mesure d’assurer un suivi continu des performances de tous les équipements utilisés. Il peut ainsi surveiller leur état et leurs performances par rapport aux accords de niveau de service.

Le fabricant peut également tirer parti des données émises par toutes les machines et, grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle, identifier des tendances ou encore anticiper le risque de défaillance. Il peut aussi proposer des opérations de maintenance préventive afin de limiter les pannes et de renforcer le service client. Enfin, ces informations peuvent être transmises aux équipes de recherche et de développement afin qu’elles éliminent tout problème récurrent au moment de concevoir la prochaine génération de la machine.

Un cycle de service de lavage vraiment complet

Il est évident que le modèle économique « en tant que service » perdurera – dans nos vies privées bien sûr, mais aussi de plus en plus au sein des entreprises modernes, auxquelles il permettra de dégager des gains dans tous les domaines.

Pour découvrir comment tracer votre voie vers une gestion de service d’excellence, téléchargez le récent livre blanc de Copperberg intitulé « Transformer la gestion des services pour une servicisation fructueuse ».

 

Richard Howells, Vice-président ERP et Supply Chain numérique chez SAP

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Levallois-Perret, le 17 janvier 2023. SAP SE (NYSE: SAP) annonce la nomination d’Olivier Nollent au poste de Président Directeur Général de SAP France, l’une des plus importantes filiales commerciales de SAP. Il succède à Gérald Karsenti qui se consacre à de nouveaux projets.

Arrivé chez SAP France en avril 2018 au poste de Directeur Général puis nommé Président Directeur Général en 2020, Gérald Karsenti aura contribué de façon importante à la visibilité de SAP sur le marché français en plaçant toujours le succès des clients et des partenaires au cœur de sa mission.

Alors que SAP France a conduit ces derniers mois de nombreux et importants chantiers de transformation, tant auprès de ses équipes que de ses clients et partenaires, la nomination d’Olivier Nollent va permettre à SAP France de poursuivre la dynamique commerciale engagée et d’accélérer la transition de l’entreprise vers le Cloud en France.

Cette nomination s’inscrit dans la continuité des efforts de développement menés auprès des clients et de tout l’écosystème de partenaires dans leurs grands enjeux de transformation digitale, ainsi que dans la poursuite de la croissance de SAP en France via le développement de ses activités Cloud auprès des grands comptes et PME/ETI.

« Depuis son arrivée au sein de SAP, Olivier a su très rapidement démontrer sa pertinence et son efficacité au service des engagements de SAP France, des clients, des partenaires et des équipes. Son parcours orienté Cloud, son expérience des grands acteurs de notre secteur, sa solide expertise dans le développement du business de la Tech, tout comme ses qualités de leader largement éprouvées depuis son arrivée, sont autant d’atouts dont nous avions besoin pour consolider les fondations de SAP France et retrouver la place qui doit être la nôtre sur le marché. Je remercie également Gérald d’avoir guidé SAP France sur la voie de la transformation de façon remarquable ces 5 dernières années » souligne Rohit Nagarajan, Président EMEA North de SAP.

« Je remercie Gérald pour son accompagnement au cours des dix derniers mois. Je suis très honoré de la confiance qui m’est faite et des responsabilités qui me sont confiées. Mes expériences passées dans de grandes entreprises Tech américaines m’ont permis d’acquérir une expertise reconnue notamment dans l’accompagnement de la transformation des business models de nos clients. Cette nomination intervient suite à une année réussie, tant sur les projets menés auprès des équipes SAP, que sur le renforcement de la relation avec nos clients et partenaires en tant que premier acteur de la Tech européenne. C’est dans cette optique que s’inscrit ma vision pour SAP France. », indique Olivier Nollent.

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La plus grande marque de bijoux au monde a choisi RISE with SAP comme étant l’une des solutions phares pour soutenir son ambitieux parcours digital et servir de point d’appui à sa croissance future.

Partout dans le monde, les grandes marques du Retail sont en concurrence pour répondre à la nouvelle attitude des clients, pour construire et étendre les relations avec les marques et pour satisfaire les nouvelles attentes en matière de personnalisation et de fluidité de l’expérience d’achat en ligne, comme en magasin.

Tout accessible partout et tout le temps

Pandora conçoit, fabrique et commercialise des bijoux contemporains à des prix abordables et déploie une stratégie de croissance ambitieuse, qui sera pleinement mise en œuvre d’ici 2026. La stratégie Phoenix s’articule autour de quatre axes : la marque, le design, la personnalisation et les marchés principaux – tous centrés sur l’objectif global de Pandora : devenir la marque la plus importante et la plus désirable sur le marché des bijoux à prix abordables. Les ambitions de croissance de Pandora sont à leur tour soutenues par une stratégie de digitalisation globale qui couvre l’ensemble des activités du Groupe. L’un des éléments clés est la mise en place d’un nouveau noyau digital simplifié avec SAP S/4HANA Cloud comme nouveau système ERP de l’entreprise.

Après une période de redressement au cours de laquelle nous avons dû renouer avec nos principaux clients et nous concentrer sur l’ADN de Pandora, ainsi que sur des produits tels que le bracelet et les charms Moments, nous avons désormais atteint le stade de mise à l’échelle“, a déclaré David Walmsley, Chief Digital & Technology Officer de Pandora, avant de poursuivre : “La transformation de notre ERP se concentrera principalement sur les finances, sur tout ce qui concerne les stocks et sur les processus commerciaux end-to-end venant refléter l’expérience client“.

Une véritable omnicanalité avec la même expérience client, partout dans le monde

Lorsque le dispositif sera intégralement déployé d’ici 2026, SAP permettra à Pandora d’offrir à ses clients une expérience omnicanale avec des transactions et des interactions transparentes, que ce soit en ligne ou en magasin. Les clients de Pandora pourront voir l’inventaire des produits disponibles en temps réel, évitant ainsi les situations où un produit donné semble être disponible en magasin, mais ne l’est plus, comme cela peut être parfois le cas si les trois systèmes actuels ne sont pas synchronisés. Ceci s’inscrit dans le cadre des récentes initiatives d’amélioration lancées par Pandora comme le click & collect, le shop online et le pick up in store, afin d’offrir une expérience d’achat omnicanale vraiment agréable.

Les bijoux Pandora sont vendus dans plus de 100 pays à travers 6 400 points de vente, dont plus de 2 400 concept stores.

Avec SAP S/4HANA for Retail, SAP Customer Activity Repository (CAR) et SAP Business Technology Platform (BTP) et d’autres améliorations numériques prévues dans le cadre de notre stratégie de numérisation, nous serons en mesure d’offrir la même expérience client dans le monde entier. Lorsque le système sera entièrement déployé, le détail de l’expédition et la disponibilité ne dépendront plus de l’endroit où se trouve le client, mais au contraire, il pourra trouver la même disponibilité de bijoux et des suggestions personnalisées sur les pièces à acheter, quel que soit l’endroit où il fait ses achats », a déclaré David Walmsley qui poursuit :

Certains parlent de ‘supprimer la douleur du shopping’, mais chez Pandora, nous voulons célébrer le shopping et en faire une expérience personnelle où, grâce à la technologie SAP et grâce à nos autres outils digitaux, nous comprenons, surprenons et ravissons nos clients. Notre activité consiste à vendre des souvenirs. Pour Pandora, c’est en associant magasin et technologie que la magie opère. En s’y prenant bien, nous ne nous contentons pas de faciliter la vie de nos clients, nous créons des ambassadeurs de la marque“.

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