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Paris – le 27 novembre 2023 – À l’occasion de la COP28,  SAP SE dévoile les résultats de son Rapport annuel sur la durabilité, révélant que 87 % des dirigeants français maintiendront ou augmenteront leurs investissements dans les démarches durables d’ici à 2026, dans le but d’obtenir de meilleurs rendements économiques. Cependant, malgré ces ambitions, les entreprises françaises continuent de créer leurs propres obstacles à cette progression.

L’étude mondiale qui a interrogé plus de 4 700 dirigeants d’entreprise, dont 200 en France, est la troisième édition du Rapport annuel sur la durabilité de SAP. Il explore les motivations et les défis clés auxquels font face les organisations cherchant à réduire leur impact environnemental à grande échelle.

Le rapport révèle que 13 % des entreprises françaises déclarent que leurs initiatives environnementales ont déjà un impact positif sur leurs revenus et leurs opportunités de profit, tandis que seulement 12 % d’entre-elles ont désigné le Directeur Financier, pourtant essentiel à la stratégie d’investissement, comme responsable de ces efforts. Quatre entreprises sur dix (41 %) rencontrent des difficultés à mesurer le retour sur investissement, et près d’un tiers (32 %) citent une incapacité à inciter les partenaires et les fournisseurs à agir, rendant ainsi plus difficile la démonstration et la pérennisation des progrès à long terme.

 

La durabilité, en tant qu’opportunité financière, ne doit pas être perçue comme une charge

Autrefois perçues comme des obligations morales ou éthiques, les initiatives visant à protéger la planète sont désormais considérées par les entreprises françaises comme des opportunités financières à long terme. En effet, 34 % d’entre ellesaffirment que les opportunités de revenus et de profit sont le moteur majeur des investissements durables.

Dans un contexte d’inflation, de problèmes d’approvisionnement et de hausse des coûts de la vie, les dirigeants français maintiennent leurs engagements environnementaux, considérant les actions durables comme un moyen de compenser l’incertitude économique. À présent, plus de la moitié (53 %) de ces dirigeants anticipent un rendement financier positif sur leurs investissements en durabilité au cours des cinq prochaines années.

 

Des barrières internes à la prise de décision

Malgré le lien entre les actions environnementales et la hausse des profits à long terme, l’étude de SAP montre que les entreprises françaises n’impliquent que très peu les Directeurs Financiers dans leur feuille de route environnementale, ce qui freine les progrès.

Actuellement, seulement 7 % des entreprises confient la responsabilité de la direction stratégique des actions durables à leur Directeur Financier. Cette responsabilité revient plutôt à d’autres responsables, dont les Directeurs des risques (10 %), les Directeurs des Opérations (11 %), les PDG (24 %) et le Conseil d’Administration (22 %). L’étude suggère que cette approche ne fonctionne pas pour traduire la valeur économique des progrès en matière de développement durable dans l’ensemble de l’entreprise. Jusqu’à 36 % des entreprises françaises identifient les problèmes de financement comme l’une des cinq principales barrières aux actions durables, tandis que 15 % ne parviennent pas à obtenir le soutien des principaux décideurs pour prendre des mesures concertées. Une plus grande responsabilité du Directeur Financier pourrait remédier à cela.

 

La nécessité de mesurer avant d’agir

Seulement 43 % des entreprises sont en mesure de calculer leurs émissions de gaz à effet de serre liées à leur activité. Par ailleurs, 12 % d’entre-elles ne peuvent pas suivre les émissions produites indirectement dans la chaîne d’approvisionnement. Par conséquent, de nombreux dirigeants se tournent vers des estimations pour évaluer l’impact environnemental. Les dirigeants français peinent également à adopter un cadre de rapport normalisé, avec plus d’un tiers (34 %) n’ayant aucune méthodologie cohérente pour calculer l’impact environnemental de leur production.

Cette ambiguïté est exacerbée par l’utilisation de méthodes de mesure conflictuelles dans leurs rapports. Alors que les dirigeants privilégient la mesure directe pour suivre les émissions énergétiques (91 %), la disponibilité des ressources (78 %), les déchets solides (79 %) et l’utilisation de matériaux (78 %), ils s’appuient sur des conjectures et des estimations pour la pollution de l’eau (68 %), l’impact de la chaîne d’approvisionnement (65 %), la perte de la nature (81 %) et la pollution de l’air (89 %). Cette situation conduit à des difficultés signalées par plus de 90 % des entreprises pour recueillir et analyser des données pour la conformité réglementaire. Cela survient à un moment où les dirigeants français doivent déjà naviguer entre une série de réglementations, taxes et prélèvements liés à leur empreinte carbone.

“Dans un contexte où des réglementations plus strictes exigent désormais des entreprises qu’elles divulguent leur impact environnemental, les dirigeants qui ne peuvent pas rapporter avec précision ces données encourent non seulement des allégations de greenwashing, mais également des amendes et des dommages à leur réputation. Se concentrer sur la mise en œuvre d’un cadre de reporting standardisé est une priorité : pour que les entreprises justifient leurs compétences écologiques, obtiennent des mesures précises et mettent en place des actions qui conduiront directement à un impact bénéfique à long terme » conclut Stephen Jamieson, responsable mondial des solutions d’économie circulaire chez SAP.

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contacts presse :

Sylvie Léchevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

 

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Source de l’article sur sap.com

Directement intégré aux solutions qui alimentent les processus les plus critiques,

Joule est un copilote qui comprend vraiment l’entreprise.

 

WALLDORF, Allemagne – le 26 septembre 2023 — SAP SE (NYSE: SAP) a présenté aujourd’hui Joule, un copilote d’intelligence artificielle générative en langage naturel, destiné à transformer la manière dont les entreprises fonctionnent. Joule sera intégré à l’ensemble du portefeuille d’entreprises ayant choisi les solutions cloud de SAP, qui fournissent des informations proactives et contextualisées, issues de l’ensemble de la gamme de solutions SAP, ainsi que de sources tierces. En triant et en contextualisant rapidement des réseaux complexes de données d’entreprises cloisonnées, le nouvel assistant est en mesure de proposer des aperçus complets. Grâce à l’IA générative, Joule améliore la productivité en entreprise et favorise l’atteinte de meilleurs résultats commerciaux, de manière sécurisée et en conformité avec les règlementations. Joule s’inscrit dans la lignée des innovations révolutionnaires de SAP, faisant ses preuves avec des résultats concrets.

 

Joule : une intégration dans l’écosystème de solutions SAP

 

Avec près de 300 millions d’utilisateurs professionnels dans le monde entier qui travaillent régulièrement avec les solutions cloud de SAP, Joule a le pouvoir de redéfinir la manière dont les entreprises – et leurs employés – travaillent“, déclare Christian Klein, PDG et membre du conseil exécutif de SAP SE. “Joule s’appuie sur la position unique de SAP, au carrefour des écosystèmes de l’entreprise et de la technologie, et repose sur l’approche pertinente, fiable et responsable de l’IA métier que nous avons initiée pour continuer à aider nos clients à résoudre leurs problèmes les plus urgents. Joule comprendra ce que vous voulez dire, pas seulement ce que vous dites.”

 

Joule sera intégré aux applications SAP, de la gestion des Ressources Humaines à la Finance, en passant par la Supply Chain, les Achats et la User Expérience, ainsi qu’à la plateforme technologique commerciale de SAP.

 

La capacité de s’adapter à une multitude de cas concrets

 

Le fonctionnement est simple : les employés posent les questions qu’ils souhaitent ou exposent un problème à résoudre, en langage clair, et reçoivent des réponses intelligentes tirées des données commerciales, de textes, d’images et d’informations provenant de l’ensemble du portefeuille de solutions SAP, ainsi que de sources tierces.

 

Imaginez, par exemple, un fabricant demander à Joule de l’aider à mieux comprendre les performances de ventes en magasin : en se connectant à un ensemble de données, Joule est capable de détecter un problème dans la chaîne d’approvisionnement et de proposer des solutions. Joule proposera continuellement et au fil du temps de nouveaux scénarios de plus en plus élaborés, et pour toutes les solutions. Pour les Ressources Humaines, par exemple, il aidera à rédiger des fiches de poste conformes et à générer des questions pertinentes pour les entretiens.

 

« À mesure que l’IA générative dépasse l’engouement initial, le travail visant à garantir un retour sur investissement mesurable commence », précise Phil Carter, vice-président du Groupe, Worldwide Thought Leadership Research, IDC. « SAP a compris que l’IA générative finira par faire partie intégrante de la vie courante et professionnelle de chacun d’entre-nous, et a pris le temps de construire un copilote business qui se concentre sur la réponse à des problématiques du monde réel. Par ailleurs, le Groupe a accordé une importance particulière à la mise en place de garde-fous nécessaires pour garantir la responsabilité des choix de Joule. »

 

Un déploiement progressif prévu à partir du mois de novembre

 

Joule sera disponible avant la fin de l’année avec les solutions SAP SuccessFactors et SAP Start, puis avec SAP S/4HANA Public Cloud Edition en début d’année prochaine. SAP Customer Experience, les solutions SAP Ariba et la plateforme technologique commerciale de SAP suivront avec de nombreuses autres mises à jour à venir dans l’ensemble du portefeuille de SAP, qui seront annoncées lors de SAP SuccessConnect du 2 au 4 octobre, SAP Spend Connect Live du 9 au 11 octobre, SAP Customer Experience Live du 25 octobre, et SAP TechEd du 2 au 3 novembre.

 

Joule s’appuie sur les offres Business AI existantes de SAP alors que plus de 26 000 clients cloud SAP ont maintenant accès à SAP Business AI. La stratégie globale de SAP visant à construire un écosystème d’IA d’avenir comprend des investissements directs, comme ceux annoncés en juillet avec Aleph Alpha, Anthropic et Cohere, ainsi que des partenariats avec des tiers, notamment ceux avec Microsoft, Google Cloud et IBM annoncés en mai 2023. Sapphire Ventures LLC, une société mondiale de capital-risque en logiciels soutenue par SAP, consacre plus d’un milliard de dollars au financement de start-ups technologiques d’entreprise alimentées par l’IA.

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com | sap@the-arcane.com

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Source de l’article sur sap.com

Les modèles « en tant que service » font désormais partie de notre quotidien de consommateurs. À quand remonte la dernière fois que vous avez acheté un CD ou un DVD ? En ce qui me concerne, je ne m’en souviens pas. Toute ma famille utilise des plateformes de diffusion continue pour tout cela. Mes fils et moi commandons même nos lames de rasoir et nos crèmes de rasage selon un modèle similaire. Bien sûr, on dirait bien que c’est toujours moi qui paye, mais c’est un autre sujet !

Ce concept de vente d’un résultat en tant que service est communément appelé « servitization ». Hier simple modèle de consommation, c’est aujourd’hui une approche commerciale plus large, dans laquelle les dépenses d’investissement pour un équipement représentent de plus en plus un obstacle aux yeux de l’acheteur. Souvent, il est bien plus intéressant d’avoir accès au même équipement moyennant des frais mensuels, basés sur une utilisation à l’heure ou encore sur le débit.

Grâce à la servitization, les fabricants trouvent de nouveaux moyens de se rapprocher de leurs clients à travers des modèles économiques inédits. Pour ce faire, ils établissent une relation suivie, basée sur des transactions mensuelles alignées sur la consommation, le débit, la disponibilité ou l’exploitation des équipements plutôt que sur une transaction ou une vente ponctuelle attribuant la responsabilité de la maintenance au prestataire de services.

La servitization appelle des produits plus intelligents

Pour rendre la servitization possible, les équipementiers doivent concevoir des produits plus intelligents, capables de collecter les informations nécessaires à une facturation précise de leurs clients. Ils doivent également s’assurer que leurs équipements fonctionnent en permanence, et génèrent les données dont ils ont besoin pour prévoir les opérations de maintenance qui éviteront les pannes. Grâce à l’Internet des Objets (IdO), des capteurs emmagasinent les informations d’utilisation, de débit ou de performances pertinentes pour alimenter le processus de gestion en tant que service.

Grâce à un jumeau numérique de la machine, le fabricant et le client sont tous deux en mesure d’en surveiller les performances et d’utiliser les algorithmes d’apprentissage automatique afin d’évaluer le degré d’efficacité de son utilisation.

La valeur ajoutée de la servitization

Faire des services une part croissante et dynamique de votre activité, c’est accéder à de nouvelles sources de revenus et améliorer vos marges tout en évitant la banalisation et en érigeant la durabilité en véritable facteur de différenciation.

Prenons un exemple fictif. Soit une entreprise qui produit des machines à laver. Cette entreprise souhaite mettre en place un modèle de « lavage en tant que service », dans lequel elle facturerait ses clients en fonction du nombre de lavages réalisés chaque mois par leurs appareils.

Si, comme moi, le client fait partie d’une famille de cinq personnes, qui utilise la machine quotidiennement, il paiera davantage qu’une personne seule qui ne l’utilise qu’une fois par semaine. Le dénominateur commun est que la machine à laver doit fonctionner à pleine performance chaque fois que nécessaire.

Réinventer les modèles de services

Cette nouvelle offre de service requiert des contrats basés sur les résultats, qui incluent des mesures de performances des cycles de lavage et des accords de niveaux de service (SLA) garantissant une disponibilité à 100 %.

Afin de proposer une expérience immersive aux clients, une application peut leur fournir des données en temps réel sur leurs cycles de lavage : le moment où ils se terminent, combien de cycles ont été exécutés dans le mois, le coût, l’empreinte carbone, les performances de la machine…

Ces informations sont également utilisées par le fabricant et par une société de maintenance tierce pour gérer le cycle de vie complet des services, dans tous ses aspects : de l’installation à la facturation en passant par la garantie, l’émission de tickets de service, les interventions sur site, les réparations en atelier, la facturation et les solutions de financement.

Le modèle de service réduira également l’impact environnemental global de la machine en permettant une surveillance de la consommation d’énergie et d’eau, ainsi qu’une prise en charge de la mise hors service et du recyclage afin de maintenir l’équipement dans l’économie circulaire.

Des services précis afin de réduire les coûts et d’améliorer l’expérience client

La disponibilité des données relatives aux machines aide le fabricant et le partenaire de maintenance à repenser leurs opérations de gestion des services. Ils s’appuient sur une planification avancée basée sur l’IA pour hiérarchiser les interactions, améliorer l’utilisation des ressources et réduire les temps de déplacement.

Lorsqu’un technicien de service est dépêché pour réparer une machine, il doit avoir toutes les pièces nécessaires et toutes les informations de dépannage à portée de main via un appareil mobile. Il peut même être guidé dans son travail de réparation grâce à des lunettes à réalité augmentée. Le problème peut ainsi être résolu en une intervention, ce qui évite les longs délais provoqués par une commande de matériel après le rendez-vous.

Révolutionner le retour sur investissement en augmentant les performances des équipements et en allongeant leur durée de vie

Grâce à la visibilité accrue garantie par les capteurs d’IdO intégrés aux machines à laver, le fabricant est désormais en mesure d’assurer un suivi continu des performances de tous les équipements utilisés. Il peut ainsi surveiller leur état et leurs performances par rapport aux accords de niveau de service.

Le fabricant peut également tirer parti des données émises par toutes les machines et, grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle, identifier des tendances ou encore anticiper le risque de défaillance. Il peut aussi proposer des opérations de maintenance préventive afin de limiter les pannes et de renforcer le service client. Enfin, ces informations peuvent être transmises aux équipes de recherche et de développement afin qu’elles éliminent tout problème récurrent au moment de concevoir la prochaine génération de la machine.

Un cycle de service de lavage vraiment complet

Il est évident que le modèle économique « en tant que service » perdurera – dans nos vies privées bien sûr, mais aussi de plus en plus au sein des entreprises modernes, auxquelles il permettra de dégager des gains dans tous les domaines.

Pour découvrir comment tracer votre voie vers une gestion de service d’excellence, téléchargez le récent livre blanc de Copperberg intitulé « Transformer la gestion des services pour une servicisation fructueuse ».

 

Richard Howells, Vice-président ERP et Supply Chain numérique chez SAP

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Source de l’article sur sap.com

SAP NEWSBYTE – 24 octobre 2022 – SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé la réalisation d’une nouvelle enquête qui révèle que les principaux décisionnaires s’attendent à ce que les problèmes et les perturbations sans précédent de la chaîne d’approvisionnement, auxquels les entreprises américaines sont confrontées depuis des années, ne soient pas encore terminés.

Plus de la moitié (52 %) des personnes interrogées pense que leur chaîne d’approvisionnement doit encore être améliorée et près de la moitié (49 %) s’attend à ce que les problèmes actuels de la chaîne d’approvisionnement durent jusqu’à la fin de 2022. Une personne sur trois affirme qu’ils dureront jusqu’à la fin de l’été 2023. Voici pourquoi :

L’agitation politique mondiale est le principal facteur à l’origine des problèmes actuels de la chaîne d’approvisionnement. Les chefs d’entreprise déclarent que les problèmes rencontrés actuellement sur leur chaîne d’approvisionnement sont principalement dus à l’instabilité politique mondiale (58 %), au manque de matières premières (44 %) et à la hausse des coûts du carburant et de l’énergie (40 %). Seuls 31 % ont cité l’inflation comme un facteur important.

Le coût reste un problème alors que les entreprises rattrapent les pertes de revenus dues à la pandémie. Les entreprises n’étaient pas préparées à ce changement radical du comportement d’achat des consommateurs pendant la pandémie et en ont subi les conséquences financières. Environ la moitié des chefs d’entreprise ont constaté un impact financier dû aux problèmes de chaîne d’approvisionnement depuis le début de la pandémie, notamment :

  • Une diminution des revenus (58%)
  • Obligation de prendre de nouvelles mesures de financement, comme des prêts commerciaux (54 %)
  • Impossibilité de payer les employés (50 %)
  • Des loyers impayés (42%)

Afin de couvrir les coûts supplémentaires liés aux problèmes de chaîne d’approvisionnement, les chefs d’entreprise sont plus nombreux à déclarer qu’ils ont dû recourir au gel des salaires et des recrutements (61%) et à la suppression de postes (50%). Seuls 41% ont choisi d’augmenter le prix de leurs produits/services.

L’impact des problèmes de chaîne d’approvisionnement sur la période des fêtes en 2022

La saison des achats pour les fêtes en 2021 a été tout sauf normale, les chaînes d’approvisionnement ayant été sur-sollicitées. Bien que de nombreuses entreprises aient commencé à se préparer, des questions subsistent quant à la manière dont cette année se déroulera.

Commençons par les consommateurs. Une étude réalisée par SAP auprès de 1 000 consommateurs américains a révélé que près de la moitié d’entre eux (45 %) déclare que le prix est le principal facteur qu’ils prennent en compte dans leur décision d’achat et que 73 % considère qu’il s’agit du troisième facteur le plus important. Avec l’inflation qui fait grimper les coûts et une récession potentielle qui inquiète les consommateurs, il n’est pas surprenant que 65 % prévoit de réduire le budget de dépenses pour les fêtes et que 54 % s’attend à ce que l’inflation ait un impact sur la façon dont ils achèteront leurs cadeaux de Noël, 39 % faisant davantage d’achats en ligne.

Les chefs d’entreprise anticipent la tendance des achats en ligne, 73 % d’entre eux prévoyant une augmentation du volume du commerce électronique cette saison par rapport à l’année dernière. Pour vendre leurs propres produits, les chefs d’entreprise prévoient de miser sur ces points de différenciation :

– La rapidité de la livraison (64%)

– Excellent service client (57%)

– Disponibilité des produits (52%)

– Références en matière de durabilité (47%)

– Réductions de prix (42%)

– Fabrication aux États-Unis (38%)

Les entreprises fortifient leurs chaînes d’approvisionnement pour l’avenir

Toutes les entreprises ont déclaré que leur chaîne d’approvisionnement devait être améliorée dans une certaine mesure, et elles procèdent à des changements importants pour se préparer aux perturbations futures et fortifier leurs chaînes d’approvisionnement. Les chefs d’entreprise prévoient :

– d’adopter de nouvelles technologies pour surmonter les difficultés (74 %)

– de mettre en œuvre de nouvelles mesures d’urgence (67 %)

– de donner la priorité aux solutions de chaîne d’approvisionnement basées aux États-Unis (60 %)

– de trouver de nouvelles solutions de chaîne d’approvisionnement qui soient respectueuses de l’environnement (58 %).

Près de deux entreprises sur trois (64 %) passent d’une chaîne d’approvisionnement “juste à temps” à une chaîne d’approvisionnement “juste au cas où”, en augmentant la quantité de stocks qu’elles entreposent. En fait, 63 % pensent que les États-Unis devraient adopter cette approche pour surmonter les crises potentielles de la chaîne d’approvisionnement.

« Le passage au “juste au cas où” signifie que les entreprises vont entreposer davantage de stocks pour répondre à la demande des clients, mais cela signifie également une augmentation des coûts », selon Scott Russell, Membre du Conseil Exécutif de SAP, Customer Success. « La gestion de la chaîne d’approvisionnement est un exercice d’équilibre constant. Au cours des deux dernières décennies, l’approche “juste à temps” a troqué la résilience contre l’efficacité et la réduction des coûts, ce qui a fragilisé la chaîne logistique. La pandémie et l’effet boule de neige des perturbations connexes ont révélé cette fragilité, ce qui a amené les organisations à se recentrer sur la résilience. Pourtant, le coût reste un facteur, surtout dans le contexte économique actuel. La technologie peut aider les entreprises à trouver le bon équilibre en permettant une collaboration en temps réel entre les partenaires commerciaux. »

SAP aide les entreprises à répondre à la demande grâce à une meilleure visibilité sur des opérations réparties dans le monde entier, à une meilleure collaboration avec les partenaires commerciaux et à une meilleure connaissance des risques, tout en opérant de manière plus durable.

C’est là que les réseaux d’entreprise entrent en jeu. Pour plus d’informations sur la façon dont SAP peut aider à renforcer la résilience de la chaîne d’approvisionnement avec SAP Business Network, visitez le site sap.com/businessnetwork.

Les résultats sont basés sur une enquête menée fin août et début septembre 2022 auprès de 400 hauts responsables de la logistique et de la stratégie de la chaîne d’approvisionnement de petites, moyennes et grandes entreprises basées aux États-Unis.

 

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Source de l’article sur sap.com

Plusieurs études ont démontré que les compétences numériques en France et en Europe ne sont pas assez développées, et que le secteur risque d’être confronté à un déficit important sur les toutes prochaines années. L’implémentation des solutions SAP fait appel à de l’expertise très recherchée depuis de nombreuses années, et encore plus aujourd’hui avec l’accélération de la transformation digitale des entreprises.

De nombreux projets d’implémentation et de déploiement ont toujours cours et les nouvelles installations nécessitent des ressources compétentes sur le déploiement dans le Cloud, le socle technologique SAP BTP (Business Technology Platform), les solutions applicatives et les analytiques de SAP. Nos clients ont le désir d’innover dans leur secteur à travers l’installation des solutions SAP et l’innovation, quelque soit le domaine, nécessite l’acquisition de nouvelles compétences. Le monde de demain appartient aux organisations apprenantes qui permettront à leurs employés de se former tout au long de leur carrière.

Plusieurs profils sont nécessaires pour mener à bien l’implémentation d’un système d’information ERP: chef de projet, architecte solution, consultant technique, développeur, consultant applicatif, business process owner, technicien support, utilisateur métier, formateur, etc. Les métiers de consultant applicatif, de business process owner ou de technicien support ne font pas forcément appel à une formation initiale dans le secteur du numérique telle que le développement, l’architecture ou l’administration de systèmes. Les consultants applicatifs sont en général recrutés et très appréciés pour leurs compétences dans un domaine métier de l’entreprise, tel que la Finance, les Ressources Humaines ou la Supply Chain par exemple et sont souvent issus des écoles de Management ou des formations universitaires en gestion. Certains de ces métiers s’exercent au sein des ESN (Entreprises du Secteur Numérique) et d’autres au sein des DSI des entreprises utilisatrices de SAP.
Devant le besoin massif de nouvelles compétences et afin de faciliter le recrutement et la formation des profils nécessaires à l’écosystème de partenaires et de clients, SAP Learning a mis en place plusieurs programmes de formation. La plupart de ces programmes mènent à une certification SAP , diplôme qui permet de faire valoir ses compétences auprès des employeurs et de rassurer les clients quant aux ressources intervenant dans les projets portés par les ESN. Être certifié SAP aujourd’hui, c’est disposer d’un atout majeur pour sa carrière et pour assurer une implémentation de qualité de nos solutions !

Dans cet article, nous faisons le point sur toutes les possibilités d’apprentissage des solutions SAP, qu’elles soient digitales ou encadrées avec un formateur, en vous partageant les avantages et caractéristiques des différentes options.

1- Plateforme digitale Learning.SAP.com

Afin de faciliter l’accès à la formation sur ses dernières technologies Cloud et BTP, SAP a mis à disposition une nouvelle plateforme digitale lancée lors du SAP TechEd en 2021 : Learning.SAP.com.

La plateforme s’enrichit régulièrement de nouvelles offres de formation et donne accès gratuitement à des e-Learnings très conviviaux et interactifs, développés avec le souci des meilleures pratiques pour les adultes apprenants. Le succès est indéniable avec plus de 470 000 visiteurs et 230 000 apprenants actifs à fin août 2022.

Les formations sont organisées par rôle et par niveau, et ciblent principalement les profils de développeurs sur la Business Technology Platform. Quelques formations sur les solutions applicatives Cloud et sur l’outil Signavio de modélisation des processus métier sont également disponibles.

Certains des parcours de niveau avancé proposés sur le portail mènent à une certification SAP, par exemple « Developping with SAP extension suite » , « Develop advanced extensions with SAP Cloud SDK » ou encore « Explore SAP Analytics Cloud ». Les formations de niveau débutant quant à elles mènent à un « Record of achievement ». Ces deux labels peuvent être partagés sur les réseaux sociaux afin de valoriser facilement ses compétences SAP.

Learning.SAP.com devient le portail d’accès unique à toute la formation sur les solutions SAP et réunit au même endroit tous les sites d’apprentissage tels que le SAP Learning Hub (plateforme par abonnement), le MOOC OPEN SAP, les sites des communautés ou le Training shop pour s’inscrire à une formation en salle.

Ce nouveau portail dispose également d’une zone étudiants , permettant aux jeunes de découvrir SAP et de leur présenter les carrières du secteur du numérique qui présentent de très belles opportunités. Les étudiants des écoles adhérentes au programme University Alliances peuvent accéder à de nombreux contenus de formation gratuits via ce nouvel espace étudiants. Ainsi, les étudiants peuvent acquérir des compétences SAP, voire même une certification , ce qui peut faciliter et accélérer leur première embauche.

Résumé des avantages du portail :  contenus de formation pour les profils techniques et développeurs, certifications SAP sur les dernières technologies BTP et Cloud, langue anglaise, auto-formation à son rythme, formation gratuite et tout le temps accessible, point d’accès unique à tous les sites d’apprentissage de SAP, zone étudiante.

2- Plateforme digitale SAP Learning Hub

Le SAP Learning Hub est une plateforme vendue par abonnement qui contient tout le contenu d’apprentissage sur les solutions SAP à destination de tous les métiers nécessaires aux projets. Différents formats sont disponibles sur cette plateforme : e-books, e-Learnings, tutoriaux, vidéos, contenus delta pour se former aux nouvelles versions et conserver sa certification à jour, etc. Les Learning Journeys présentent les parcours d’apprentissage permettant de mener aux certifications SAP.

Les apprenants sont accompagnés sur la plateforme par un encadrement pédagogique via les Learning Roomsoù ils peuvent poser des questions sur les contenus et échanger avec d’autres apprenants. De nombreuses Live sessions virtuelles permettent également de bénéficier d’interactions avec des formateurs et experts SAP pour faciliter l’apprentissage.

L’abonnement au SAP Learning Hub inclut l’accès à 60 heures d’un système de formation pré-paramétrépermettant ainsi de réaliser les exercices des manuels de formation et de mettre en pratique ses connaissances, ce qui est essentiel à l’ancrage des apprentissages. Deux tests de certification sont également inclus dans le coût de l’abonnement. Le SAP Learning Hub est aujourd’hui largement adopté par les partenaires pour leurs consultants et par les client pour leurs centres de compétences, et compte 800 000 apprenants abonnés .

Résumé des avantages du portail :  contenus de formation exhaustifs pour tous les profils métiers SAP, parcours de formation menant à toutes les certifications SAP, contenus disponibles en plusieurs langues, auto-formation à son rythme et tout le temps accessible, systèmes de formation pré-paramétrés, deux tests de certification inclus, formules de prix attractives adaptées et flexibles selon les besoins des utilisateurs.

3- Programme People To Work

Le programme People To Work a été créé en Allemagne il y a plus de 20 ans, a plusieurs avantages : recruter, former et certifier des consultants ou des utilisateurs métier, avec l’aide de financements gouvernementaux, ce qui permet de réduire les coûts de ces processus, voire de les annuler totalement pour les entreprises recruteuses. Les candidats sont en effet obligatoirement demandeurs d’emploi, inscrits à Pôle Emploi. L’ambition est de permettre à de jeunes diplômés de trouver un premier emploi à la fin de leur parcours d’études ou à des personnes ayant perdu leur emploi de se reconvertir vers un métier du secteur numérique.

Cette mission a été confiée à deux partenaire en France : FITEC et M2I Formation.

Ces deux partenaires se chargent de sourcer les participants au programme de formation auprès de Pôle Emploi, présentent les CV aux entreprises recruteuses, qui après acceptation du profil devront formuler une promesse d’embauche (financement Pôle emploi assujetti à cette condition).

La formation des consultants sur les domaines applicatifs SAP les plus demandés (SAP S/4HANA modules finance et logistique) dure 3 mois et peut mener à une certification. Elle peut inclure également des compétences complémentaires sur les métiers de la comptabilité ou de la logistique, de la gestion de projet, la réponse à un cahier des charges, la gestion de tickets de support aux utilisateurs ou la prise de parole en public par exemple.

La formation d’autres profils tels que les utilisateurs métier (comptables, gestionnaire de l’administration des ventes ou des achats) ou les techniciens de support est aussi assurée dans le cadre du programme People To work. La formation va essentiellement porter sur les processus métier déroulés dans les applications SAP et dure de 15 à 20 jours en présentiel ou de 3 mois en auto-formation accompagnée par un tuteur.

Les deux programmes consultants ou utilisateurs se déroulent en salle ou en classe virtuelle au choix, en langue française et les partenaires disposent du matériel de formation officiel de SAP traduit en français : accès à la plateforme de formation numérique SAP Learning Hub et systèmes de formation SAP pour la pratique des exercices.

Ce programme a été déployé en France à partir de janvier 2020 et a permis de former plus de 1200 personnes sur SAP, dont 460 consultants et 760 utilisateurs métier, et a remporté le Trophées Défi RSE en décembre 2021 pour sa dimension responsable et sociétale :  100% des consultants et 80% des utilisateurs ont retrouvé un emploi à l’issue de la formation.

Résumé des avantages du programme : recrutement, formation, certification, modules applicatifs SAP les plus populaires, langue française, formation des consultants et des utilisateurs métier, financement gouvernementaux et coût proche de zéro pour les entreprises.

4- Partner Talent Initiative

Le Partner Talent Initiative a été lancé en juin 2022. Géré par SAP au niveau européen, il a pour vocation de former de nouveaux consultants qui seront recrutés essentiellement par les partenaires de SAP. Le programme prend également en charge le recrutement des apprenants avec une cible plus large qui inclut des demandeurs d’emploi ou des personnes en activité souhaitant se reconvertir sur le métier de consultant SAP. L’apprenant est rémunéré pendant la durée de la formation. Le programme est payant pour les partenaires recruteurs, à un coût très avantageux compte tenu des prestations proposées.

Les formations portent sur les dernières technologies de SAP, incluant des modules de déploiement de la version Cloud de SAP : à titre d’exemple, les modules SAP S/4HANA Financial Accounting, SAP SuccessFactors et SAP BTP font partie du planning de cette fin d’année. Les formations s’étendent sur une durée de 5 à 8 semaines, selon les solutions SAP étudiées. La formation se déroule en langue anglaise, en classe virtuelle avec un animateur ainsi qu’en auto-formation sur la plateforme SAP Learning Hub.

Résumé des avantages du programme: Focus partenaires SAP, recrutement, formation, certification, solutions applicatives et nouvelles technologies SAP y compris Cloud et BTP, langue anglaise pour des déploiements internationaux, durée courte, coûts de formation attractifs.

5-  Académies Blended SAP – Programmes des centres de formation SAP

Les académies Blended SAP existent depuis de nombreuses années, sont délivrées par les centres de formation SAP pour former les consultants et permettent de mener à une certification. Elles peuvent se faire dans le cadre de la formation professionnelle des employés, et peuvent être financées par les OPCOs.

Les formations couvrent les sujets de paramétrage de SAP S/4HANA, mais aussi les sujets technologiques ou les analytiques, se déroulent en langue française, en salle de classe présentielle ou en classe virtuelle au choix, sur une durée de 3 semaines intensives. En prérequis, les participants devront étudier un ou deux modules SAP en auto-formation sur la plateforme SAP Learning Hub. Le dernier module de formation au paramétrage se fait également en auto-formation.

Résumé des avantages du programme : formation professionnelle des consultants, grande diversité de certifications SAP, langue française, programme rapide et intensif de 3 semaines en centre et de 3 semaines en auto-formation à son rythme, financements OPCO possibles.

En résumé, la formation SAP est flexible, moderne et accessible à tous, alors pourquoi encore hésiter à vous lancer et à rejoindre les nombreux professionnels déjà certifiés de notre écosystème à travers le monde ?

En résumé, voici dans un tableau toutes les options de formation présentées dans cet article :

Programme Public Contenus Durée Langue Modalité Recrutement Coût de la formation
Learning.SAP.com Développeurs et profils techniques SAP BTP et solutions Cloud A son rythme Anglais Auto-formation Non Gratuit
SAP Learning Hub Tous profils SAP Tous contenus SAP A son rythme Plusieurs langues Auto-formation encadrée Non Par abonnement, prix flexibles et attractifs
People To Work by SAP Consultants et utilisateurs métiers –

Demandeurs d’emploi

 

SAP S/4HANA FI MM SD 12 semaines Français Salle ou classe virtuelle avec formateur ou

Auto-formation encadrée

Oui Financement par Pôle Emploi
Partner Talent Initiative Consultants –

Reconversion professionnelle

SAP S/4HANA Applications

Cloud

BTP

SuccessFactors

5 à 8 semaines selon programme Anglais Classe virtuelle avec formateur + auto-formation encadrée Oui Financement partiel de SAP, Prix attractif pour les partenaires
Académies Blended Consultants – Salariés en formation professionnelle SAP S/4HANA Applications et plusieurs sujets technologiques 3 semaines avec un formateur et 3 semaines à son rythme Français Salle ou Classe virtuelle avec formateur + auto-formation encadrée Non Financement OPCO possible

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Source de l’article sur sap.com

Aujourd’hui, et pour la première fois depuis des dizaines d’années, l’inflation est devenue une question centrale dans les entreprises. Les taux ayant atteint des records historiques dans la plupart des pays développés, les chefs d’entreprise s’appuient sur le dernier rapport économique mensuel et sur des perspectives assez floues pour prendre leurs décisions : réduction de la production, augmentation des prix, recherche de nouveaux fournisseurs.

Mais quelle que soit la situation des pays – forte hausse, baisse spectaculaire, ou apparente stabilité –, l’inflation entraîne des conséquences de toutes sortes qui varient selon le secteur d’activité, le pays et la conception de la supply chain. Il existe un risque de manque de liquidités nécessaires à la fluidité des opérations. Les actions bancaires centralisées sur les taux d’intérêt peuvent faciliter ou restreindre les activités de prêt et d’emprunt à court terme. Même les défis liés à la supply chain peuvent s’atténuer ou s’intensifier selon la fluctuation des coûts et l’évolution des coûts du stock disponible.

Il n’existe pas d’outil financier simple ou magique que les entreprises peuvent utiliser pour contourner le problème de l’inflation, mais les technologies intelligentes peuvent y contribuer. Les outils tels que l’intelligence artificielle (IA) et l’analytique prédictive aident les entreprises à anticiper et à voir leurs opérations dans leur globalité, à simuler et anticiper les imprévus, et à orienter leurs modèles économiques selon les besoins. Mais surtout, elles disposent de nombreuses options pour comprendre les circonstances économiques, prévoir l’impact, prendre des mesures à court terme, et établir des structures pour consolider leur position.

Voici trois domaines clés dans lesquels ces types de technologies peuvent aider les entreprises à comprendre l’impact des défis de l’inflation, à agir vite et à préparer l’avenir.

Des mouvements de trésorerie en toute intelligence et confiance

La valeur globale de l’argent et des actifs est vouée à diminuer ; plus tôt une entreprise aura des liquidités, plus tôt elle pourra réaliser plus de choses. Pour atténuer ce risque, les entreprises doivent prendre conscience de l’impact potentiel de divers scénarios : hausse des prix des marchandises, pénurie de matières premières, etc. Fortes de ces connaissances, elles doivent pouvoir faire des prévisions de trésorerie complètes et claires, et créer des stratégies flexibles pouvant être ajustées pour gérer efficacement les manques ou excès de trésorerie.

Grâce aux solutions de gestion du fonds de roulement de Taulia, qui font aujourd’hui partie de SAP, les directeurs financiers guident au mieux leur entreprise. Ils peuvent choisir d’ajuster les stratégies de comptabilité clients et fournisseurs, ou d’exploiter la ligne de crédit au plus faible coût disponible de leur établissement bancaire. De plus, des outils financiers, par exemple pour la gestion des escomptes dynamiques et le financement de la supply chain, peuvent débloquer des actifs circulants.

Les solutions de gestion des actifs circulants rendent avec précision les conditions d’inflation au moyen de prévisions basées sur l’IA et de vues mises à jour, toujours à la disposition des planificateurs d’entreprise. De la planification et de la simulation à la sélection des alternatives de financement et des processus de contrôle adéquats, ces fonctions travaillent de manière synchrone
pour offrir une coordination efficace des mouvements de trésorerie, à partir d’une source de confiance unique, parfaitement intégrée à toute l’entreprise.

Toute décision, finalement, concerne les mouvements de trésorerie, et la combinaison d’informations exhaustives et en temps réel, de possibilités générées automatiquement, et d’insights prédictifs, peut aider les entreprises à prendre en toute confiance les meilleures décisions. Et, alors que leur valeur évolue au fil du temps, il sera possible d’acheter et de gérer les marchandises et actifs au prix d’origine, moyennant des coûts de détention inférieurs au taux d’inflation.

Limiter l’exposition aux différences mondiales

Les pays ont rarement les mêmes taux d’inflation, mais l’augmentation des prix des marchandises entraîne inévitablement une hausse des coûts des matières premières. Et dans les pays où l’inflation est plus élevée ou instable, les devises peuvent se déprécier rapidement, provoquant des taux de change record.

Ces fluctuations économiques mondiales peuvent être particulièrement risquées pour les entreprises qui ont emprunté du capital pour profiter des faibles taux d’intérêt ces dernières années. L’inflation est déjà en train d’éroder leur stratégie de remboursement prévue pour les prêts en cours. Et en cas d’une plus forte instabilité dans une autre région, les pressions sur les coûts pourraient encore s’aggraver, les marges se resserrer et l’accès aux liquidités diminuer.

Grâce à l’application SAP Treasury and Risk Management, les responsables de la trésorerie et les directeurs financiers peuvent surveiller les positions de risque, l’évolution des prix des marchandises, et les taux de conversion des devises, même en temps de grande instabilité économique. Ils peuvent développer des stratégies de comptabilité de couverture conformes à l’aide d’une piste d’audit complète, tout en respectant les réglementations telles que le Règlement sur l’infrastructure du marché (EMIR) et la dernière version des Normes internationales d’information financière (IFRS 9).

Les équipes de gestion de la trésorerie peuvent aussi obtenir plus d’insights pour faire face à la dette et gérer les investissements plus efficacement. La solution SAP Treasury and Risk Management offre des informations telles que la trésorerie disponible, des risques liés aux soldes et le retour sur investissement, et surveille les investissements par rapport aux éventuelles fluctuations du taux d’intérêt. En outre, les opérations d’emprunt et de prêt tout au long de la vie d’un prêt peuvent être saisies, analysées et déclarées au fur et à mesure.


Intervenez vite aujourd’hui pour préparer votre avenir

Lorsque les coûts d’ingénierie et de production de produits manufacturés augmentent, les entreprises doivent décider de réduire leurs marges ou de répercuter ces coûts supplémentaires sur le client. C’est un choix difficile, surtout lorsque les consommateurs trouvent déjà les prix très élevés.

En intégrant les solutions SAP Digital Supply Chain à SAP Business Network, les entreprises d’achats, d’approvisionnement et de logistique obtiennent les insights dont ils ont besoin pour générer plus de revenus de chaque dépense et optimiser la réduction des coûts. Ensemble, elles peuvent effectuer des simulations et analyses par simulation pour identifier et engager les partenaires commerciaux capables de gérer les situations émergentes, telles que la hausse de la production, et de réduire encore davantage les pertes financières et matérielles.

Bien sûr, pour gérer efficacement les risques inflationnistes, les entreprises doivent avoir accès aux données adéquates pour prendre des décisions et faire avancer leur supply chain. La combinaison de SAP Digital Supply Chain et de SAP Business Network permet aux entreprises de gérer les ressources de manière plus stratégique afin d’augmenter la productivité, de réduire les coûts d’exploitation et de permettre aux collaborateurs de se consacrer à des tâches plus stratégiques. De plus, les entreprises peuvent éviter les retards et interruptions de la supply chain pour prévenir les pertes de revenus, et éviter les coûts imprévus grâce à une visibilité sur la capacité des stocks et de la production, la maintenance des actifs et les processus logistiques.

Exploiter une position financière solide

Compte tenu des récentes inflations, il est très important pour survivre de comprendre et de gérer les risques financiers dans la supply chain. Et les entreprises capables de progresser et de prendre les bonnes décisions au bon moment sont celles qui disposent d’une visibilité claire sur leurs données et processus relatifs aux achats, à supply chain et à la logistique.

Pour de nombreuses entreprises dans le monde, les solutions SAP sont déjà l’un des moyens les plus efficaces de protéger leur solidité financière en période d’inflation. Elles continueront d’ailleurs à alléger leurs défis au fur et à mesure que leur portefeuille évolue afin de répondre aux besoins d’une économie en mutation et d’un environnement compétitif.

En savoir plus : https://www.sap.com/france/products/erp/s4hana.html

Article de Neil Krefsky, Eamon Ida, Haresh Chhaya, Max Hendrickx25 août 2022

Neil Krefsky est directeur du marketing produits pour la gestion des finances et des risques chez SAP.

Haresh Chhaya est responsable des solutions pour la gestion de la trésorerie et des fonds de roulement chez SAP.

Max Hendrickx est directeur principal du centre d’excellence pour la gestion du fonds de roulement chez SAP.

Eamon Ida est directeur du marketing pour les solutions dédiées aux réseaux d’entreprises chez SAP

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Source de l’article sur sap.com

Paris, France & Walldorf, Allemagne, le 16 févr. 2022SAP SE (NYSE : SAP) et le cabinet de conseil en management et technologie BearingPoint ont annoncé unir leurs forces dans le domaine des solutions liées à l’empreinte carbone et environnementale. Les entreprises collaboreront afin de faire progresser la conception et le développement d’une solution de pointe aidant les clients à atteindre l’objectif de neutralité carbone.

Mesurer, contrôler et piloter l’empreinte carbone est un élément clé pour atteindre l’objectif de neutralité carbone et fait partie du programme d’action climatique promu par SAP. Les entreprises sont soumises à une pression croissante pour déterminer leur empreinte carbone, non seulement au niveau de l’entreprise, mais également au niveau des produits. Cependant, l’acquisition, la consolidation et la cartographie des données sont des défis auxquels de nombreuses entreprises sont confrontées. Avec le récent lancement de SAP® Cloud for Sustainable Enterprises les solutions SAP pour le développement durable et la longue expérience de BearingPoint en matière de calcul des émissions sur le marché, les entreprises sont bien équipées pour développer des solutions innovantes permettant de répondre aux préoccupations de leurs clients en matière d’empreinte environnementale sur l’ensemble de leur chaîne de valeur.

« Le partenariat de codéveloppement entre SAP et BearingPoint permettra de réunir deux propositions de valeur fortes. BearingPoint a une longue expérience dans l’identification des potentiels de réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’atteinte des objectifs de développement durable des clients. SAP apporte des capacités d’innovation, un large éventail de systèmes et un accès aux clients. Ensemble, en tant que partenaires, nous repousserons les limites pour faire avancer l’économie sur la voie de la neutralité carbone », a déclaré Gunther Rothermel, SVP, responsable du développement durable de SAP S/4HANA, SAP.

 

Bilan carbone pour l’ensemble de la chaîne de valeur : scope 1, 2 et 3

Si de nombreuses entreprises ont déjà évalué leurs émissions de scope 1 et 2, il est essentiel d’évaluer l’ensemble de la chaîne de valeur en introduisant les émissions de scope 3. Pour ce faire, les réseaux environnementaux doivent permettre l’échange de données avec des partenaires tels que les fournisseurs, les clients, les auditeurs et les pouvoirs publics, même s’ils utilisent des systèmes informatiques différents. S’appuyant sur le savoir-faire approfondi de BearingPoint en matière de calculs et d’algorithmes relatifs à l’empreinte des produits et des entreprises, la solution SAP Product Footprint Management prend en charge la collecte et le calcul des données permettant la réalisation d’un bilan carbone et environnemental de bout en bout. La solution SAP est entièrement intégrée à SAP® S/4HANA et à l’architecture d’entreprise intelligente, mais se connecte également à d’autres sources de données. Cela lui permet d’effectuer des évaluations automatisées des empreintes à travers la chaîne de valeur, y compris dans des paysages de systèmes hétérogènes.

« Avec SAP, nous allons codévelopper – en utilisant notre logiciel propriétaire – et fournir une solution unique sur le marché permettant de mesurer et d’optimiser l’impact climatique des produits tout au long de leur cycle de vie. SAP Product Footprint Management dispose de fonctionnalités sophistiquées permettant de déterminer l’empreinte carbone d’un seul produit. Notre expérience industrielle éprouvée depuis plus de 10 ans dans le calcul et l’optimisation de l’empreinte « CO2 » des produits et des entreprises permettra à nos clients communs d’atteindre leurs objectifs de dé-carbonisation. Chez BearingPoint, nous sommes convaincus qu’avec les solutions innovantes de SAP, son organisation commerciale et son expertise du marché, nous pouvons avoir un impact positif sur le climat », a déclaré Donald Wachs, Responsable des Business Services et membre du comité de Direction BearingPoint.

« Le partenariat avec BearingPoint accélère la feuille de route de la solution SAP Product Footprint Management et contribuera à faire de nous un leader du marché des solutions de calcul des empreintes produit aidant nos clients à optimiser la durabilité de leurs produits et services », a déclaré Peter Maier, président de la division Industries et conseil à la clientèle de SAP.

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque entreprise à fonctionner comme une entreprise intelligente. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à fonctionner au mieux : les clients de SAP génèrent 87% du commerce mondial. Nos technologies de machine learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée contribuent à transformer les activités des clients en entreprises intelligentes. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de l’activité et favorise la collaboration, cela les aidant à garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie pour les entreprises afin qu’elles puissent consommer nos logiciels comme elles l’entendent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux entreprises et aux administrations publiques de 25 secteurs d’activité dans le monde entier de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et améliore la vie des gens.

Pour plus d’informations, visitez www.sap.com.

 

À propos de BearingPoint

BearingPoint est un cabinet de conseil en management et technologie indépendant aux racines européennes et à la couverture mondiale.

Le cabinet est structuré autour de trois entités.  La première couvre les activités de conseil en mettant clairement l’accent sur les domaines d’expertises clés du cabinet à développer dans le monde entier. La deuxième fournit des solutions technologiques avancées combinant conseil et logiciel, et offre des services gérés à forte valeur ajoutée aux clients. La troisième se concentre sur des investissements innovants ; par exemple dans des solutions logicielles très spécifiques permettant de répondre aux exigences réglementaires ou d’accompagner la transformation numérique. Elle a également pour vocation d’explorer des business models innovants avec les clients et les partenaires, en favorisant la création d’écosystèmes, le financement et le développement de start-ups.

BearingPoint compte parmi ses clients les plus grandes organisations mondiales publiques et privées ; fort d’un réseau international de plus de 10 000 collaborateurs, BearingPoint accompagne ses clients dans plus de 75 pays et les aide à obtenir des résultats mesurables et durables.

 

Informations complémentaires:

Site Internet: www.bearingpoint.com

LinkedIn: www.linkedin.com/company/bearingpoint

Twitter: @BearingPoint_de

 

Contact presse Bearing Point

Alexander Bock

Global Manager Communications

Téléphone: +49 89 540338029

E-mail: alexander.bock@bearingpoint.com

 

Publicis Consultants pour SAP

Chloé Jalaguier : chloe.jalaguier@publicisconsultants.com

Robin Legros : robin.legros@publicisconsultants.com

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Source de l’article sur sap.com

La gestion financière de l’entreprise déborde de beaucoup le pré carré qu’on lui attribue habituellement. Sa fonction première est de tenir les cordons de la bourse. Mais elle joue aussi un rôle essentiel dans le développement stratégique de l’entreprise. Des ressources humaines à l’expérience client, en passant par la logistique ou le marketing, la fonction finance doit pouvoir collaborer étroitement avec tous les acteurs de l’organisation. D’où l’importance de déployer un outil de gestion financière tenant compte de l’entreprise dans toute sa complexité. Un domaine dans lequel l’ERP a su démontrer son talent, aussi bien en matière de gestion financière, de gestion de comptabilité que d’analyse prospective.

Qu’est-ce qu’un ERP ?

Un ERP (Enterprise Resource Planning) ou PGI (Progiciel de Gestion Intégrée) permet aux entreprises de centraliser tout leur système d’information au sein d’un seul outil de gestion.

Le modèle de l’ERP a beaucoup évolué au fil des décennies. Grâce aux progrès de la numérisation et du cloud computing, il offre désormais une solution globale qui facilite la gestion de toutes les fonctions de l’entreprise, à commencer par la gestion financière.

Le choix d’un ERP passe souvent par la définition précise des besoins et des objectifs des entreprises. Ces derniers varient non seulement en fonction du cœur de métier et de l’environnement concurrentiel, mais aussi de la structure même de l’entreprise. C’est pourquoi il est fréquent de sélectionner son ERP de gestion financière en fonction de la taille de son organisation : TPE, PME/PMI, ETI ou grande entreprise.

ERP ou logiciel de comptabilité ?

Durant de nombreuses années, la notion d’ERP a été associée au logiciel de comptabilité utilisé par les services comptables au sein de la plupart des entreprises. Encore aujourd’hui, l’apparition du terme ERP comptable démontre que les fonctionnalités de l’outil sont souvent résumées à la gestion de la comptabilité.

Il existe toutefois des ERP comptables qui représentent une évolution certaine dans le domaine du logiciel de comptabilité. Ils regroupent :

La gestion de la comptabilité générale ;

  • L’analyse des écritures comptables ;
  • Le Fichier des Ecritures Comptables, ou FEC, un document qu’il est obligatoire de transmettre à l’administration fiscale depuis 2014 ;
  • Le rapprochement des écritures bancaires ;
  • Les déclarations de TVA ;
  • La comptabilisation des décaissements et encaissements ;
  • La comptabilité des comptes clients et fournisseurs.

Toutes ces fonctionnalités sont incluses au sein d’un logiciel qui propose de nombreux autres outils : gestion des ressources humaines, logistique, suivi de la relation client, analyse des performances de vente, etc.

L’ERP finance, ou le FRP

Le terme FRP (ou Financial Resource Planning) est apparu dans les années 2000 pour désigner un nouveau type de logiciel de gestion financière. Il s’agit en premier lieu d’un produit orienté PME et grandes entreprises. Il leur permet de piloter leur gestion financière avec un outil de type ERP. Depuis, d’autres solutions logicielles ont été développées en reprenant le principe de l’ERP appliqué à la gestion financière de l’entreprise.

Aujourd’hui, les ERP proposent des fonctions utiles aux entreprises de toute taille, y compris dans la gestion de leurs finances. En effet, ils coordonnent gestion de comptabilité et gestion financière. De plus, ils apportent de nombreux autres bénéfices en termes de productivité, de rentabilité, de gestion des risques ou encore de stratégie marketing.

Quel ERP choisir pour votre gestion financière ?

L’utilité de l’ERP finance a été solidement démontrée pour les PME, les ETI et les entreprises de plus grande taille. Cependant, nombre d’entre elles hésitent encore sur le choix de leur progiciel de gestion intégrée. Deux cas de figure :

  • Il s’agit d’une PME/ETI en cours de création ou n’ayant jamais fonctionné avec un ERP pour leur gestion financière ;
  • Une  première intégration a déjà eu lieu avec un ERP Finance. Mais, l’entreprise souhaite évoluer vers une nouvelle solution plus adaptée à ses besoins actuels. Un changement d’ERP peut s’imposer lorsque le logiciel actuel ne couvre plus tous les besoins de l’entreprise, ou bien lorsqu’il a atteint ses limites fonctionnelles.

Dans les 2 cas, PME ou entreprises de taille intermédiaire sont confrontées à une gamme de plus en plus étendue de progiciels, aux fonctionnalités toujours plus séduisantes. La première étape consiste donc à définir précisément les attentes de chaque entreprise pour sa fonction finance. Or, les besoins de cette dernière sont beaucoup plus importants qu’il n’y paraît. L’étude menée conjointement par Oxford Economics et SAP le démontre.

Un ERP finance pour soutenir la coopération stratégique entre vos services

Le rôle du service financier ne se réduit pas aux fonctions comptables et budgétaires de l’entreprise. C’est un acteur stratégique de son développement. En collaborant avec les autres services de l’entreprise, il apporte une visibilité essentielle à leur stratégie, grâce au soutien financier qu’il apporte.

Sur un panel de 255 cadres financiers interrogés dans le cadre de l’étude menée par SAP et Oxford Economics :

  • 28 % déplorent le manque de coopération entre les différents services de l’entreprise ;
  • 25 % estiment que leur entreprise connaît des difficultés à élaborer une analyse de rentabilité ou une orientation stratégique.

Les outils financiers de l’ERP doivent donc être adaptés à ce besoin de la fonction finance de participer à une stratégie de développement globale. Leur objectif permet de briser l’organisation « en silo » qui dresse une barrière hermétique entre les différents services.

Un outil de gestion financière pour faire face aux risques

En cette période marquée par l’apparition de la Covid-19 et ses conséquences majeures sur l’économie mondiale, la fonction finance est plus que jamais un acteur incontournable de la gestion du risque.

Une gestion financière harmonisée permet par conséquent de mieux anticiper les évolutions de l’entreprise :

  • En fonction des changements de réglementation ;
  • Sous la pression d’événements extérieurs : crises sanitaires, économiques, financières, etc.

Expérience client et expérience collaborateur

L’étude SAP/Oxford Economics soulève également la question de l’amélioration de l’expérience client et de l’expérience collaborateur. Un domaine de première importance, fréquemment souligné par les entreprises les plus performantes du marché.

Le rôle du directeur financier consiste dans ce cadre à coordonner les efforts des différents services : département commercial, gestion de la relation client, communication, etc. L’ERP Finance fait une fois encore office de ciment entre ces fonctions.

L’amélioration de l’expérience collaborateur est tout aussi essentielle. C’est même une problématique majeure pour le chef d’entreprise : fidélisation des employés, transmission de la culture d’entreprise, coopération, montée en compétences… Autant de questions essentielles à la santé et au développement de l’organisation.

Là aussi, la gestion du financement des formations professionnelles internes, la fluidité des relations entre RH et employés, l’optimisation des outils de paie, etc. font partie intégrante des responsabilités de l’équipe financière.

SAP : 3 ERP pour optimiser la gestion financière des PME et des ETI

Concepteur expert de solutions de gestion financière pour les entreprises de toutes tailles, SAP a mis au point différents ERP spécialement calibrés selon les besoins de votre PME ou de votre ETI. 3 ERP finance à découvrir dès aujourd’hui : SAP S/4HANA, SAP Business One et SAP Business ByDesign.

SAP S/4HANA

SAP S/4HANA est une solution ERP développée par SAP pour la base de données SAP HANA. Il est deployable sur cloud privé ou public, en interne ou sous une forme hybride. Ce progiciel intègre toutes les dernières évolutions numériques :

  • Cloud Computing : facilitez l’accès aux données de l’entreprise à tous ses acteurs, sur un support 100 % sécurisé. Libérez de l’espace données avec la base In-Memory en colonnes ;
  • UX optimisée : SAP S/4HANA mise sur une interface intuitive, accessible à tous les collaborateurs quelle que soit leur connaissance des nouvelles technologies ;
  • Gestion financière facilitée : Grâce à l’IA intégrée et les fonctions d’analyse améliorées, les analyses et insights sont plus rapides. Votre service financier détient un outil conçu pour l’amélioration des performances de l’entreprise ;
  • Réduction des coûts : optimisation de l’infrastructure informatique, rationalisation des flux, amélioration de la fonction logistique… L’usage d’un ERP Finance adapté fait partie des leviers budgétaires à actionner pour augmenter la rentabilité de l’entreprise.

SAP Business One

Cet ERP spécifiquement conçu pour les TPE et les PME prend le relais de votre logiciel de comptabilité pour vous permettre une gestion rationalisée de tous les processus métiers indispensables au fonctionnement de votre entreprise.

L’ERP est deployable sur Cloud ou in situ par le biais de la plateforme SAP HANA. Business One intègre la gestion de la comptabilité, la gestion des finances et toutes les fonctions stratégiques de l’entreprise au cœur d’un seul et même outil.

L’entreprise gagne en efficacité. Par conséquent, l’analyse de ses performances lui offre plus de visibilité, grâce à une interface accessible et adaptée aux besoins de vos collaborateurs. SAP Business One vous permet ainsi de passer à une nouvelle phase de votre développement. Son déploiement rapide et sa facilité d’exécution facilitent votre prise de décision dans tous les domaines.

SAP Business ByDesign

SAP Business ByDesign est une suite ERP complète pour accompagner la croissance des PME et des ETI :

  • Un outil de Cloud Computing clé en main, prêt à l’emploi ;
  • Des processus rationalisés de bout en bout grâce à une application intelligente ;
  • Une analyse en temps réel de toutes vos performances et indicateurs clés.

Cet ERP intègre gestion financière, logiciel de comptabilité, mais aussi outils d’analyse évolués pour exploiter tout le potentiel de votre entreprise et prendre les bonnes décisions quant à son développement. Il est particulièrement adapté aux organisations connaissant une forte croissance et désirant atteindre des objectifs plus ambitieux.

Conclusion : l’ERP Finance SAP au service de toutes les PME et ETI

Au-delà du simple outil de gestion comptabilité, l’ERP est un système d’information et d’analyse perfectionné, en évolution constante. SAP a tiré profit de sa longue expérience auprès des petites et moyennes entreprises pour concevoir les progiciels les plus pertinents. Ce sont désormais des partenaires incontournables de l’entreprise, accessibles à tous ses collaborateurs.

Vous hésitez encore sur le choix de votre ERP de gestion financière ? Les conseillers SAP sont à votre disposition pour vous présenter les produits les plus adaptés à votre cœur de métier.

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Source de l’article sur sap.com

L’année dernière, alors que le monde traversait une période de disruption majeure, beaucoup d’entreprises ont dû revoir leurs priorités et s’adapter à cette nouvelle réalité. Dans un contexte aussi instable et incertain, il était essentiel pour elles de disposer de processus numériques solides, capables de faire face aux exigences du télétravail, des changements de comportement des consommateurs et d’un environnement macro-économique plus difficile.

On a fait appel aux organisations de gestion de la trésorerie et des risques pour identifier les nouvelles sources de liquidité, apporter des insights clés sur la trésorerie et atténuer les risques financiers. Ces organisations ont elles-mêmes pu obtenir une meilleure visibilité sur l’état de leurs liquidités, prendre de nouvelles mesures pour combler les manques de trésorerie et fixer intelligemment de nouvelles priorités.

Les équipes de gestion de la trésorerie ont vite abandonné leurs opérations de routine pour se consacrer à la gestion de la crise. Si quelques entreprises étaient bien préparées et capables de réagir vite, grâce à leurs investissements dans des systèmes intégrés de gestion de la trésorerie, pour d’autres, la crise a été un signal d’alarme qui les a forcées à accélérer leur transformation pour améliorer leur collaboration et l’automatisation de leurs processus.

Aujourd’hui, alors qu’on espère voir la vague de la crise reculer, les équipes de gestion de la trésorerie doivent prendre le temps de réfléchir aux initiatives prioritaires à lancer afin de continuer à accélérer leur transformation.

Quels outils doivent-elles adopter pour renforcer leur collaboration et mettre en place un processus complet de gestion de l’actif circulant, des créances en cours aux encaissements ? Comment peuvent-elles obtenir une visibilité en temps réel sur la trésorerie, sans continuellement rechercher manuellement les mêmes informations ? Comment peuvent-elles mettre en œuvre un traitement direct au moyen des systèmes et réseaux adéquats ? Comment peuvent-elles mieux automatiser leur processus de gestion des commandes, en exploitant les nouvelles technologies telles que le Machine Learning ? Doivent-elles modifier leur stratégie de risque lié aux opérations de change pour mieux se préparer à la prochaine crise ? Comment peuvent-elles repenser le financement de leur chaîne logistique ?

Gestion des risques et de la trésorerie

Pour vous apporter des insights sur certaines de ces questions, nous avons créé le « Treasury and Risk Show », dans le cadre du sommet virtuel SAP Finance and Risk. Nous présenterons les innovations de SAP pour venir en aide à ses clients en ces temps difficiles.

Des experts SAP en gestion de la trésorerie et des risques vous parleront de la stratégie SAP, du portefeuille de produits et des dernières innovations dans ces domaines.

Vous verrez aussi comment Zalando, leader de la vente en ligne, vient de terminer la mise en œuvre de SAP Treasury and Risk Management, en plus de SAP S/4HANA. Ils nous expliqueront comment, en transformant leur gestion de la trésorerie, ils ont pu se préparer à réagir vite à la crise et à accélérer leur croissance.

Nous avons hâte de vous présenter la proposition de valeur de SAP pour vous aider à réellement faire avancer votre gestion de la trésorerie et des risques.

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Source de l’article sur sap.com

Il existe des centaines de systèmes ERP parmi lesquels choisir, avec un large panel de fonctionnalités, de points forts, de points faibles, d’applicabilité et de tarifs. Si cela peut sembler intimidant, un processus méthodique de comparaison des ERP peut guider votre équipe vers la bonne décision dans un délai raisonnable.

La méthodologie décrite ici, éprouvée, peut vous aider à trouver la solution qui répond le mieux aux besoins de votre entreprise. Elle peut sembler basique mais les entreprises qui se mettent en quête d’un fournisseur ERP sans suivre ces étapes logiques sont souvent confrontées à des retards, coûts supplémentaires et à une personnalisation inutile. Au contraire, les entreprises qui appliquent les meilleures pratiques gagnent généralement en fluidité dans le processus de sélection et dans les implémentations subséquentes. Elles peuvent ainsi profiter plus rapidement des avantages d’un système ERP moderne et être plus compétitives à l’ère du numérique.


Une méthodologie en 5 étapes pour évaluer les systèmes ERP

Une fois la décision prise de remplacer un ancien système ERP, la première étape consiste à monter une équipe pour piloter le processus de comparaison, de sélection et d’implémentation du logiciel ERP. L’équipe commence son travail par l’élaboration d’un plan initial, qui est plutôt à ce stade une stratégie générale.

Le processus de sélection d’un fournisseur ERP se déroule en cinq étapes :

  1. Définition des besoins en matière d’ERP
  2. Appel d’offres
  3. Evaluation de pré-sélection
  4. Comparaison des ERP et évaluation détaillée
  5. Décision finale et contrat

Diagramme illustrant les 5 principales étapes du processus d'évaluation d'un ERP


1.      Définition des besoins en matière d’ERP

Vous devrez transmettre des informations concernant votre entreprise et ses besoins à vos fournisseurs ERP potentiels afin qu’ils puissent configurer, packager et tarifer correctement la solution appropriée. Commencez par identifier les principales ressources en ligne, telles que les démonstrations de produits et les blogs, qui racontent l’histoire de votre entreprise.

Décrivez votre entreprise et ses processus de manière générale plutôt que de créer de longues listes de besoins et processus spécifiques. Informez les fournisseurs de la taille de votre entreprise, de son volume d’activité et de transactions, de la complexité des différents processus et de toute caractéristique ou facteur spécifique. Concentrez-vous sur les critères et processus qui donnent à votre entreprise son avantage concurrentiel. Ce sont ces éléments qui différencieront les systèmes et qui vous permettront d’examiner de près la façon dont chacun peut être configuré pour les prendre en charge.

Indiquez les éléments que vous aimez dans votre système actuel. En effet, vous voudrez que votre nouveau système les gère au moins aussi bien. De même, indiquez les choses que votre système actuel ne fait pas (ou mal). Signalez les applications, fonctions ou modifications personnalisées qui doivent être prises en charge par des fonctionnalités standard ou une personnalisation simple du nouveau système (et non une modification). En d’autres termes, concentrez-vous sur les éléments qui sont uniques à votre entreprise et partez du principe que les éléments de base se feront d’eux-mêmes (vous vérifierez cette hypothèse lors des démonstrations et des évaluations finales).

« Concentrez-vous sur les éléments qui sont uniques à votre entreprise et partez du principe que les éléments de base se feront d’eux-mêmes. »

Principaux points à retenir et conseils

Ne vous fiez pas aux listes de contrôle / vérification des ERP. Ces check-lists, une vieille pratique courante dans le secteur, ne permettent pas de départager les solutions et ne vous aident pas vraiment à faire un bon choix. La majorité des éléments figurant sur ces listes sont des fonctions et caractéristiques proposées par tous les systèmes, au moins dans une certaine mesure. Et les fournisseurs en compétition sont susceptibles de cocher « oui » dans l’interprétation la plus large de la fonctionnalité.

Choisissez les bonnes personnes pour votre équipe projet. La spécification des besoins est une tâche difficile. Elle nécessite des collaborateurs engagés, qui connaissent bien l’entreprise et qui ont du temps à consacrer au projet. Refreinez la tentation de constituer une équipe de personnes enthousiastes mais inexpérimentées.

Assurez-vous que votre appel d’offres contient les informations suivantes :

  • Présentation de votre entreprise et de ses processus
  • Ce que votre système actuel fait bien
  • Ce qu’il ne fait pas aussi bien que vous le souhaiteriez
  • Ce que vous voulez que le nouveau système fasse d’autre (classé par ordre d’importance)

2. Appel d’offres ERP

L’étape suivante consiste à envoyer un appel d’offres à un groupe sélectionné de fournisseurs. Leur nombre peut varier, mais n’oubliez pas que vous devrez procéder à un examen détaillé pour chaque réponse. L’expérience a montré que plus le nombre de fournisseurs est réduit, plus les informations fournies sont détaillées et meilleures sont les réponses. Il est donc préférable d’identifier une douzaine (ou moins) des meilleurs candidats pour votre short list.

« L’expérience a montré que plus le nombre de fournisseurs est réduit, plus les informations fournies sont détaillées et meilleures sont les réponses. »

En réponse, les fournisseurs d’ERP doivent proposer un système qui offre les fonctionnalités et les caractéristiques requises pour répondre aux besoins que vous avez identifiés. Les propositions contiendront également des informations sur leurs sociétés, leurs produits, leur expérience dans le domaine, les ressources qu’ils consacreront à l’implémentation, ainsi que d’autres informations destinées à gagner votre confiance.

Alors comment identifier la douzaine (ou moins) de candidats sur lesquels concentrer vos efforts de sélection ? Comment réduire la liste des centaines de fournisseurs d’ERP pour n’en retenir que quelques-uns ? Commencez par consulter les publications spécialisées qui présentent des « success stories ERP  » (gardez à l’esprit que ces publications ne vous parleront probablement pas des difficultés rencontrées ou des échecs, mettez donc ces informations en perspective). Utilisez vos contacts – par exemple associations et groupes d’entreprises – pour identifier d’autres professionnels qui ont pu avoir une expérience récente de la sélection et de l’implémentation d’un ERP.

Il existe également de nombreux annuaires en ligne, outils de sélection et services de sélection de systèmes qui peuvent vous aider à identifier les logiciels qui possèdent les fonctionnalités dont vous avez besoin et/ou les fournisseurs qui ont de l’expérience dans votre secteur.

Pour obtenir des conseils personnalisés, vous pouvez passer un contrat avec la branche conseil de votre cabinet comptable ou trouver une ressource conseil indépendante dans votre région et/ou dans votre secteur d’activité. Veillez à vérifier leurs antécédents et leurs affiliations pour vous assurer qu’ils sont réellement indépendants et pas associés à un ou plusieurs fournisseurs de systèmes ERP.

Vous pouvez choisir d’inclure certains fournisseurs de systèmes ERP qui présentent un intérêt pour d’autres raisons. Peut-être qu’un ou plusieurs de vos clients les plus importants utilisent un système ERP et vous ont encouragé à utiliser le même système. Ou peut-être que votre société fait partie d’une grande entreprise ou d’un groupe qui a opté pour une plateforme ERP donnée. Demandez une proposition au fournisseur recommandé puis évaluez toutes les propositions de manière équitable et impartiale avant de prendre votre décision.

Principaux points à retenir et conseils

Veillez à ce que toutes les parties prenantes définissent leurs besoins. Votre appel d’offres doit inclure les contributions de toutes les parties prenantes. Dans le cas contraire, vous risquez de choisir un système ERP qui ne sert que certaines fonctions de votre entreprise, obligeant les autres départements à investir dans des systèmes autonomes. Évaluez les systèmes qui fonctionnent pour l’ensemble de l’entreprise et utilisez le calendrier de déploiement pour livrer les modules prioritaires en premier.

Faites attention au classement des besoins. Souvent, l’appel d’offres est divisé en domaines fonctionnels avec des sections à remplir par chaque service. Chaque département – qu’il s’agisse des RH ou des opérations – fait généralement un excellent travail de classement des fonctionnalités pour son unité opérationnelle, mais ses priorités peuvent ne pas correspondre aux objectifs globaux de l’entreprise. C’est à votre équipe projet d’ajuster les priorités dans une perspective plus large. Quelles sont les fonctionnalités vitales, importantes ou simplement souhaitables ?

Vérifiez la disponibilité effective des fonctionnalités. Les sociétés de logiciels ont d’excellents départements marketing ; certaines vendent des produits qui n’ont pas été entièrement développés et testés. Faites des recherches sur les fonctionnalités « à venir dans une prochaine version » par rapport à celles qui sont utilisées dans les références actuelles. Il est tout à fait envisageable de prendre en compte les fonctionnalités en cours de développement – mais ne pariez pas tout votre projet sur des fonctionnalités à venir si elles sont essentielles.

Évaluez vos processus. Les processus intégrés dans les ERP packagés sont considérés comme étant conformes aux « meilleures pratiques ». Les consultants et les experts de l’implémentation d’ERP vous diront qu’il est presque toujours préférable de modifier la procédure pour l’adapter au logiciel (en tenant compte de la dimension « meilleure pratique ») que de modifier le logiciel pour l’adapter à la procédure existante. Toutefois, c’est à vous de prendre cette décision. Mais n’oubliez pas que les nouveaux processus peuvent être à l’origine des progrès et des avantages que vous tirez d’un nouveau système. N’oubliez pas non plus que tous les logiciels ERP modernes sont personnalisables. Vous disposez donc d’une grande souplesse pour modifier l’affichage, les procédures, les caractéristiques des données et leur traitement, et bien d’autres choses encore – sans modifier le code.

Tenez compte du retour sur investissement de votre ERP. La plupart des entreprises exigent une analyse du retour sur investissement (ROI) comme condition préalable à l’autorisation et au financement de tout projet majeur. Comme son nom l’indique, il s’agit de la somme des coûts liés à l’achat et au déploiement du nouveau système, plus la différence des coûts d’exploitation par rapport à ceux du système existant. Le ROI tient également compte des avantages qui s’ajoutent aux économies directes, notamment l’amélioration du rendement, du service à la clientèle et de la productivité au travail.


3.      Evaluation de pré-sélection

L’évaluation se déroule en deux phases. Au cours de la première phase, toutes les propositions sont évaluées pour voir dans quelle mesure elles correspondent à votre environnement et aux exigences décrites dans votre appel d’offres (cette phase ne comprend pas la comparaison des fournisseurs, qui relève de la deuxième phase d’évaluation).

L’objectif à ce stade est d’écarter les offres qui ne remplissent pas vos critères et de classer celles qui semblent convenir. Il en résulte une short list des meilleures propositions. Celles-ci, et seulement celles-ci, seront soumises à une évaluation détaillée jusqu’à la sélection finale.

Si vous devez examiner de nombreuses réponses, les détails auront tendance à se brouiller et il vous sera difficile de vous souvenir des réponses particulièrement solides (ou celles insuffisantes) et dans quels domaines. Une échelle de notation numérique peut vous aider à ne pas perdre le fil et à documenter votre processus de décision. Voici quelques conseils supplémentaires pour vous aider lors de cette étape de documentation :

  • Mettez en place un formulaire ou une feuille de calcul agencée de manière à ce que les évaluateurs puissent noter chaque proposition en fonction des principaux critères que vous avez spécifiés. Demandez à chaque examinateur d’attribuer une note à chaque critère d’évaluation (l’échelle peut être de un à dix, de un à cinq, de un à trois, ou tout autre niveau de granularité que vous jugez approprié). Vous pouvez avoir autant ou aussi peu d’examinateurs que vous le souhaitez.
  • Laissez de la place pour des notes et des questions, pour le suivi. Vous pouvez demander des éclaircissements à ce stade ou attendre l’évaluation détaillée des propositions présélectionnées. Attribuez un coefficient à chaque critère en fonction de l’importance de la fonction ou du processus pour votre entreprise.
  • Multipliez la note donnée par chaque évaluateur par le coefficient de chaque critère et calculez une note globale pour chaque fournisseur. Le plus souvent, plusieurs d’entre eux se classeront en haut de l’échelle, plusieurs autres un peu plus loin dans le classement, et quelques-uns ne seront pas retenus. Vous devriez maintenant avoir votre short list de finalistes – idéalement trois à cinq candidats – pour l’évaluation finale.
  • Il y a de bonnes chances que vous puissiez identifier les meilleurs candidats, mais si ce n’est pas aussi clair, revenez aux évaluations individuelles et discutez-en avec l’équipe.

Principaux points à retenir et conseils

Traitez chaque fournisseur potentiel de la même manière. N’acceptez pas de démonstrations en direct, de réunions spéciales en présentiel ou de visites sur place, à moins que vous ne soyez prêt à offrir la même possibilité à tous les fournisseurs. Il est important de maintenir des règles du jeu équitables. Une technique courante consiste à organiser une « conférence des candidats » dans vos locaux pour faire visiter les lieux à tous les fournisseurs potentiels et répondre à leurs questions (devant tout le monde).

N’oubliez pas qu’une proposition est un document de vente. Les réponses contiendront les informations que vous avez demandées et bien plus. Partez du principe que toutes les affirmations sont véridiques ; vous pourrez vérifier la plupart, sinon toutes, au cours du processus d’évaluation. Mais sachez que les auteurs de la proposition répondront à vos questions de manière à présenter leurs produits sous le jour le plus favorable.

Recherchez les valeurs aberrantes. Accordez une attention particulière aux critères pour lesquels les notes varient considérablement. Si un évaluateur donne une note très élevée à une proposition pour un critère et qu’un autre évaluateur lui donne une note très basse, cela vaut la peine d’en discuter. Interrogez les deux évaluateurs de manière constructive pour savoir ce que chacun pensait. Il est probable que l’un ou l’autre ait remarqué quelque chose que les autres n’ont pas vu ou n’ont pas considéré comme important. À la suite de ces discussions, vous souhaiterez peut-être ajuster les notes pour un critère spécifique, ce qui pourrait modifier le classement général.


4. Comparaison des ERP et évaluation détaillée

Une fois que vous avez identifié trois à cinq finalistes, il est temps de vous mettre au travail pour vérifier leurs affirmations et valider leurs références.

Comment commencer votre évaluation

  • Prenez contact avec chacun des fournisseurs potentiels et annoncez-leur la bonne nouvelle : ils ont été retenus dans la short list ! (Il n’y a pas de mal à leur dire combien il y a d’autres finalistes et même à leur faire savoir avec quelles entreprises ils sont en concurrence, si vous êtes à l’aise pour le faire).
  • Dans certains cas, vous pouvez également leur demander d’affiner leurs propositions.
  • Discutez avec les utilisateurs actuels du système (ou rendez-leur visite), de préférence ceux de votre industrie (ou d’un marché comparable) et de la taille de votre entreprise.
  • Obtenez des références si les éditeurs ne les ont pas déjà fournies (les fournisseurs peuvent hésiter à fournir des références pour des raisons de concurrence. Mais vous devez insister. Rassurez-les sur le fait que vous signerez et respecterez les accords de non-divulgation).

Comment gérer les démonstrations

C’est également le moment d’inviter les candidats présélectionnés à effectuer des démonstrations détaillées de leurs systèmes – mais vous devez contrôler ces démonstrations.

  • Fournissez à chaque candidat un script ou une liste des fonctionnalités que vous souhaitez voir bien avant la démonstration prévue. Tous les fournisseurs potentiels devraient recevoir la même liste.
  • Permettez-leur de montrer les fonctions spéciales qu’ils souhaitent mettre en avant uniquement après vous avoir montré les fonctions et les processus décrits dans l’appel d’offres.
  • Assurez-vous que votre script ou votre liste inclut les exigences spécifiques identifiées à l’étape 1. Les systèmes ERP traitent les processus courants de la même manière ; ce sont les exceptions qui posent problème (par exemple, la possibilité d’entrer des commandes pour des articles qui ne sont pas en stock, de vendre des articles dans des packages, des kits ou des ensembles, ou encore la prise en charge d’un processus spécifique de rapprochement des factures).
  • Pendant la démonstration, vous voudrez voir comment le logiciel peut être configuré et adapté pour prendre en charge vos processus et procédures uniques. Cela dit, restez ouvert d’esprit dans la mesure où vous pourriez découvrir certaines meilleures pratiques dans ces fonctions standard qui amélioreraient les opérations et les résultats de votre entreprise.
  • Dans l’idéal, le démonstrateur sera en mesure de montrer le fonctionnement du système en utilisant vos propres données. Ce n’est pas toujours possible, mais lorsque c’est le cas, cela vous donnera une bien meilleure idée de la façon dont le système fonctionnerait dans votre environnement.

Principaux points à retenir et conseils

Ne vous laissez pas éblouir par les démonstrations. Les professionnels qui font la démonstration des logiciels sont généralement très expérimentés et ont une forte personnalité. Leur objectif est de vous convaincre et de vendre leur logiciel. Ne vous laissez pas distraire par la personne ou le discours de vente, aussi captivant soit-il. Concentrez-vous sur le fond.

Tirez le meilleur parti des visites de référence. Sélectionnez avec soin les visites que vous souhaitez faire. Passez un bref appel à votre interlocuteur pour vous assurer qu’il a bien déployé le logiciel et qu’il a obtenu les avantages promis. Convenez de ce qu’il vous montrera et des personnes que vous rencontrerez au cours de la visite. Une fois sur place, jugez soigneusement si leur succès est reproductible dans votre environnement. Posez également les questions difficiles : « Quelles ont été vos plus grandes surprises ? » et « Si c’était à refaire, que feriez-vous différemment ? ».

Continuez à poser des questions. Encouragez votre équipe à poser des questions, ne serait-ce que pour clarifier les réponses. Faites-le lors de l’examen de l’appel d’offres et pendant les démonstrations ; cela réduira considérablement les risques de mauvaises surprises. C’est le moment de découvrir les réponses qui ne vous plaisent pas – avant que les négociations ne commencent. N’oubliez pas non plus que vous obtenez vos réponses gratuitement à ce stade, alors apprenez-en le plus possible. Lorsque vous commencerez à implémenter le produit, il se peut que vous deviez attendre une assistance ou même payer des frais.


5. Décision finale et contrat

Une fois les évaluations détaillées terminées, vous constaterez probablement que deux ou trois fournisseurs répondent à vos critères. Sélectionnez celui qui, selon vous, répond le mieux à vos besoins actuels et futurs, mais n’écartez pas les autres. Faites-leur plutôt savoir qu’ils vous conviennent mais qu’ils ne sont pas votre premier choix ; cela laisse la porte ouverte au cas où vos négociations avec le meilleur candidat ne se déroulent pas comme prévu.

Vous pouvez maintenant commencer à négocier les détails du contrat avec le meilleur candidat. La plupart des entreprises savent comment cette étape est « censée fonctionner ». Mais comme pour toutes les autres étapes du processus d’évaluation et de sélection d’un ERP, vous risquez d’avoir des surprises.

Le pouvoir est de votre côté dans les négociations. Cependant, il est préférable de considérer le fournisseur comme un futur partenaire, et non comme un adversaire dans les négociations. Visez un accord équitable qui incite les deux parties à déployer le système de manière efficace et à en assurer le bon fonctionnement.

Chaque aspect de l’implémentation du système et du maintien de l’assistance doit être discuté et documenté – en détaillant le prix, la personne responsable et, dans certains cas, le temps nécessaire. Le contrat comporte de nombreux aspects, dont notamment (mais pas exclusivement) :

  • L’achat initial, la location ou la licence du matériel et des logiciels.
  • L’implémentation du matériel et des logiciels (en précisant ce qu’englobe le mot ‘ »implémentation »).
  • Coût et calendrier de la simulation d’implémentation (avant ou après le paiement du logiciel).
  • Coûts de formation initiale et continue
  • Maintenance continue du matériel et des logiciels (et à quel niveau).
  • Conversion des données et intégration à d’autres systèmes
  • Mise en réseau et sécurité
  • Personnalisations (initiales et avec les versions futures)

Principaux points à retenir et conseils

N’annoncez pas votre sélection finale avant les négociations. À la fin de la phase d’évaluation détaillée, l’équipe peut vouloir déclarer un « gagnant ». Cependant, informer le candidat principal qu’il est « l’élu » n’est pas dans l’intérêt de votre entreprise. Il n’est pas rare d’avoir des surprises au cours du processus de négociation et vous devrez peut-être revoir votre choix.

Planifiez à long terme. Lors du démarrage, veillez à examiner attentivement les coûts à long terme afin que vos estimations soient correctes et que vous ne faussiez pas les chiffres du retour sur investissement de l’ERP. Certains fournisseurs offrent davantage de services gratuits pendant une période plus longue et d’autres peuvent confier leur assistance à long terme à une entreprise qui facture à l’appel. Certains fournisseurs fixent un plafond pour l’augmentation des tarifs annuels de maintenance ou d’abonnement, mais beaucoup ne le font pas. D’autres vendent un abonnement SaaS (Software-as-a-Service) à bas prix, qu’ils augmentent considérablement après quelques années. Certains fournisseurs proposent une mise à jour annuelle, mais ne fournissent aucune assistance réelle lors du processus de mise à jour. Posez des questions et obtenez des réponses écrites pour être sûr de bien appréhender vos coûts à long terme.


L’importance de l’équipe projet

Le facteur le plus important pour le succès du processus d’évaluation du système ERP est l’équipe projet. Cette équipe doit être constituée très tôt et doit être le moteur de l’élaboration, de la diffusion et de l’évaluation de l’appel d’offres et de la sélection du nouveau système ERP.

D’après notre expérience, lorsque les équipes sont au milieu d’une investigation et d’une évaluation détaillées, elles prennent souvent des raccourcis. Mais si votre équipe projet suit ces cinq étapes et prête attention aux enseignements tirés, elle sera en mesure de trouver la solution optimale pour répondre aux exigences de votre entreprise, maintenant et pour l’avenir.


Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com