Articles

Plongée profonde dans AWS CDK : Techniques avancées d'Infrastructure as Code avec Typescript et Python

Plongez dans le monde d’AWS CDK et découvrez les techniques avancées d’Infrastructure as Code avec Typescript et Python !

Comprendre AWS CDK

Comprendre AWS CDK

Qu’est-ce que AWS CDK?

Le Kit de développement Cloud AWS (CDK) est un cadre de développement logiciel open source pour modéliser et fournir des ressources d’application cloud à l’aide de langages de programmation familiers. Les dispositions des applications cloud peuvent être effectuées via AWS CDK dans des langues familières aux développeurs, comme TypeScript et Python, étendant ainsi la flexibilité et la fonctionnalité qui peuvent ne pas être présentes dans une CloudFormation simple basée sur JSON/YAML.

Pourquoi utiliser AWS CDK?

AWS CDK offre une variété d’avantages pour les développeurs qui souhaitent déployer leurs applications cloud. Tout d’abord, il offre une grande flexibilité pour le développement d’applications cloud. Les développeurs peuvent utiliser leur langage de programmation préféré pour définir leurs ressources cloud, ce qui leur permet de créer des applications plus complexes et plus riches. En outre, AWS CDK offre une meilleure visibilité et une meilleure gestion des ressources cloud. Les développeurs peuvent voir clairement ce qui est déployé et comment cela est configuré, ce qui leur permet de mieux gérer leurs applications cloud.

Comment fonctionne AWS CDK?

AWS CDK fonctionne en convertissant le code TypeScript ou Python en CloudFormation. Une fois que le code est converti, il est envoyé à AWS CloudFormation pour être exécuté. AWS CloudFormation prend ensuite le code et le déploie sur les ressources cloud appropriées. Une fois le déploiement terminé, AWS CloudFormation envoie un rapport à l’utilisateur pour confirmer que le déploiement s’est bien déroulé. De plus, AWS CDK fournit des outils supplémentaires pour faciliter le développement et le déploiement des applications cloud.

Source de l’article sur DZONE

Maîtrisez le programmation orientée données avec Java 21 Record et Pattern Matching [Vidéo]

Découvrez comment maîtriser la programmation orientée données avec Java 21 Record et Pattern Matching dans cette vidéo ! Apprenez à créer des applications plus facilement et plus efficacement.

Dans le monde en constante évolution du développement logiciel, les données jouent un rôle central

The main idea behind record patterns is to provide a concise syntax for declaring and deconstructing records. This allows developers to write more expressive code that is easier to read and maintain. Additionally, record patterns make it easier to work with data-oriented programming paradigms such as functional programming.

JEP 441: Pattern Matching for instanceof

JEP 441 introduces pattern matching for the instanceof operator. This feature allows developers to match an object against a pattern, making it easier to process data. The main benefit of this feature is that it makes it easier to write code that is more concise and readable.

Pattern matching for instanceof also provides a more declarative way of processing data. This makes it easier to write code that is more expressive and maintainable. Additionally, this feature makes it easier to work with functional programming paradigms.

Conclusion

Les dernières améliorations apportées à Java 21 sont une preuve supplémentaire de l’importance que les développeurs accordent à la manipulation et au traitement des données. Les JEP 440 et 441 sont des améliorations significatives qui permettent aux développeurs d’écrire du code plus expressif et plus facile à maintenir. Les patrons de données et le filtrage par instanceof offrent une syntaxe plus concise pour déclarer et déconstruire les données, ce qui facilite la navigation et le traitement des données. Ces améliorations sont un pas en avant pour le développement logiciel et permettront aux développeurs d’améliorer leurs compétences et leurs performances.

Améliorations de Java 21 pour le développement logiciel

Dans le monde en constante évolution du développement logiciel, les données jouent un rôle central. La gestion et le traitement efficaces des données sont une préoccupation primordiale pour les développeurs. En tant que l’un des langages de programmation les plus utilisés, Java reconnaît l’importance de la programmation orientée données avec ses dernières améliorations dans Java 21. Deux propositions d’amélioration Java (JEP) se distinguent : JEP 440 et JEP 441.

JEP 440 : patrons de données

JEP 440 est tout au sujet des patrons de données, une fonctionnalité qui améliore considérablement les capacités du langage de programmation Java en matière de manipulation des données. Les patrons de données introduisent une nouvelle façon de déconstruire les valeurs enregistrées, ce qui rend la navigation et le traitement des données plus déclaratifs et composables.

L’idée principale derrière les patrons de données est de fournir une syntaxe concise pour déclarer et déconstruire les enregistrements. Cela permet aux développeurs d’écrire du code plus expressif qui est plus facile à lire et à maintenir. De plus, les patrons de données facilitent la mise en œuvre des paradigmes de programmation orientée données tels que la programmation fonctionnelle.

JEP 441 : filtrage par instanceof

Source de l’article sur DZONE

Angular et ASP.NET Core : une équipe gagnante

Découvrez comment Angular et ASP.NET Core peuvent s’associer pour créer une équipe gagnante et développer des applications web modernes et performantes !

Le fonctionnement sans heurts d’une application nécessite une construction robuste et une coordination sans faille entre ses technologies front-end et back-end. Le front-end est responsable de la définition de l’interface utilisateur et de l’expérience utilisateur d’une application, tandis que le back-end alimente ses fonctionnalités et gère la logique.

C’est pourquoi il est impératif que les développeurs trouvent une combinaison de technologies qui garantisse une faisabilité maximale entre les deux extrémités, ce qui permettra de créer une application robuste et fonctionnelle.

Coding is the foundation of any application. It is the process of writing instructions in a programming language that a computer can understand and execute. It requires a deep understanding of the underlying technologies and their associated frameworks.

Pour que l’application fonctionne sans heurts, il est nécessaire d’avoir un build robuste et une coordination sans faille entre les technologies front-end et back-end. Le front-end est responsable de la définition de l’interface utilisateur et de l’expérience utilisateur, tandis que le back-end alimente ses fonctionnalités et gère la logique.

C’est pourquoi il est impératif que les développeurs trouvent une combinaison de technologies qui assure une faisabilité maximale entre les deux extrémités, ce qui permettra de créer une application robuste et fonctionnelle.

Le codage est la base de toute application. Il s’agit du processus d’écriture d’instructions dans un langage de programmation que l’ordinateur peut comprendre et exécuter. Il nécessite une compréhension approfondie des technologies sous-jacentes et de leurs frameworks associés.

Source de l’article sur DZONE

Garder son emploi, mais pas le même.

Garder son emploi est une décision difficile à prendre lorsque l’on souhaite changer de métier, mais c’est possible ! Découvrez comment.

## Est-ce que le examen OCP a encore du sens?

Récemment, j’ai consacré trois articles à mon étude réticente pour l’examen OCP-17 Java, en donnant des conseils sur la façon de rendre l’effort moins pénible. Je ne l’ai pas encore passé. Avec chaque nouvelle avancée en assistance à la programmation IA, affiner vos compétences en tant que compilateur humain me semble de plus en plus anachronique. C’était toujours un acte de masochisme, mais je suis de plus en plus convaincu qu’il n’y a aucun avantage professionnel à devenir bon dans quelque chose que la machine est supérieure. Je concède que toute poursuite peut être bénéfique ou agréable pour des raisons autres que la simple utilité, mais en tant que développeur, je suis payé pour être productif. Passer un bon moment au travail est un plus, et les compétences que l’OCP exige ne sont pas mon idée de plaisir.

De nombreuses tâches intellectuelles qui sont difficiles pour les humains sont faciles pour les ordinateurs (échecs, arithmétique, apprentissage par cœur) et le sont depuis des décennies. Nous avons inventé les langages de programmation de haut niveau et la collecte des déchets car les êtres humains sont terribles pour inverser les bits et gérer la mémoire. La feuille de route des langages informatiques et des outils est celle de l’abstraction croissante. GitHub Copilot et ses semblables ne sont que la prochaine étape inévitable pour éliminer la complexité accidentelle.

Bien que je sois un développeur expérimenté, je n’ai pas le temps ou l’envie de passer des heures à apprendre des concepts qui ne sont pas directement liés à mon travail quotidien. De plus, je ne vois pas l’intérêt de passer un examen qui ne me donnera pas une certification reconnue par l’industrie. Cependant, je suis conscient que l’utilisation des données est essentielle pour les développeurs modernes. Les données sont utilisées pour prendre des décisions, améliorer les performances et créer des produits innovants. Les développeurs doivent être à l’aise avec les bases de données, l’analyse des données et le traitement des données. Les compétences en matière de données sont très recherchées par les employeurs et peuvent être acquises par le biais d’un cours ou d’une formation en ligne.

Je pense que les développeurs doivent se concentrer sur leurs compétences en matière de données plutôt que sur l’apprentissage d’un langage de programmation spécifique. Les technologies évoluent rapidement et il est important de rester à jour. Les développeurs doivent être en mesure d’utiliser les technologies les plus récentes et les plus pertinentes pour leurs projets. Les compétences en matière de données sont essentielles pour réussir dans ce domaine et devraient être une priorité pour tout développeur.

Source de l’article sur DZONE

De zéro à héros: Apprendre Web3 avec Infura et Python

Devenez un héros du Web3 en apprenant à utiliser Infura et Python ! Découvrez comment créer des applications décentralisées avec ces outils puissants.

Comment démarrer avec le Web3

Pour commencer

Même si je code depuis la fin des années 90, je suis vraiment un débutant complet dans le monde de Web3. Je ne suis pas un expert, donc je n’essaierai pas d’expliquer les fondamentaux. Il y a beaucoup de guides et de tutoriels de contenu excellents là-bas. Je suggère de commencer par la documentation Infura, qui est très complète et compréhensible.

Comprendre les prérequis

Avant de commencer à développer des applications Web3, il est important de comprendre les prérequis. Tout d’abord, vous devez comprendre les principes fondamentaux de la blockchain et des crypto-monnaies. Ensuite, vous devez comprendre le protocole Ethereum et la plate-forme Ethereum. Enfin, vous devez comprendre le langage de programmation Solidity et le framework Web3.js. Une fois que vous avez compris ces concepts, vous pouvez commencer à développer des applications Web3.

Test

Une fois que vous avez compris les prérequis, vous pouvez commencer à tester votre application Web3. Pour ce faire, vous pouvez utiliser un service d’API tel que Infura pour accéder à la blockchain Ethereum. Vous pouvez également utiliser Python pour interagir avec la blockchain via Infura. Une fois que vous avez mis en place votre environnement de développement, vous pouvez commencer à tester votre application Web3 en utilisant des outils tels que Truffle et Ganache. Vous pouvez également tester votre application sur un réseau réel en utilisant un service tel que MetaMask.

Source de l’article sur DZONE

Ruby prend en charge WebAssembly

Ruby, le langage de programmation populaire, a récemment annoncé qu’il prend désormais en charge WebAssembly, ce qui ouvre de nouvelles possibilités pour les développeurs.

« Ruby Rejoint le Rang des Langues Capables de Cibler WebAssembly avec sa Dernière Version 3.2 »

En tant qu’informaticien enthousiaste, je suis ravi de voir que Ruby a rejoint les rangs des langages capables de cibler WebAssembly avec sa dernière version 3.2. Cette mise à jour apparemment mineure pourrait être la plus grande chose qui soit arrivée à ce langage depuis Rails, car elle permet aux développeurs Ruby d’aller au-delà du back-end. En portant leur code sur WebAssembly, ils peuvent le faire fonctionner n’importe où : sur le front-end, sur des périphériques embarqués, en tant que fonctions sans serveur, à la place des conteneurs ou sur le bord. WebAssembly a le potentiel de faire de Ruby un langage universel.

Qu’est-ce que WebAssembly?

WebAssembly (souvent abrégé en Wasm) est un format d’instructions binaires bas niveau qui s’exécute sur une machine virtuelle. Le langage a été conçu comme alternative à JavaScript. Son objectif est de faire fonctionner des applications sur n’importe quel navigateur à des vitesses proches de celles natives. Wasm peut être ciblé depuis n’importe quel langage de haut niveau tel que C, Go, Rust et maintenant également Ruby.

Les avantages de WebAssembly pour les développeurs Ruby

Les développeurs Ruby peuvent tirer parti de WebAssembly pour créer des applications plus performantes et plus flexibles. Les applications compilées en Wasm sont plus rapides et plus légères que les applications JavaScript, ce qui les rend plus faciles à télécharger et à exécuter. De plus, les applications Wasm peuvent être exécutées sur des périphériques embarqués et des systèmes d’exploitation légers, ce qui permet aux développeurs Ruby d’accéder à une gamme plus large de plates-formes et de périphériques. Enfin, le code Wasm peut être exécuté en tant que fonction sans serveur, ce qui permet aux développeurs Ruby de réduire leurs coûts de serveur et d’améliorer la scalabilité et la sécurité de leurs applications.

En conclusion, l’ajout de WebAssembly à Ruby est une excellente nouvelle pour les développeurs Ruby. Grâce à cette technologie, ils peuvent créer des applications plus performantes et plus flexibles qui peuvent être exécutées sur une variété de plates-formes et de périphériques. De plus, le code Wasm peut être exécuté en tant que fonction sans serveur, ce qui permet aux développeurs Ruby de réduire leurs coûts de serveur et d’améliorer la scalabilité et la sécurité de leurs applications. Enfin, cette technologie offre aux développeurs Ruby la possibilité de travailler avec des données volumineuses et complexes, ce qui ouvre la voie à un nouveau type d’applications.

Source de l’article sur DZONE

Le Big Data est le flot d’informations dans lequel nous nous trouvons tous les jours (des zettaoctets de données provenant de nos ordinateurs, des terminaux mobiles et des capteurs). Ces données sont utilisées par les entreprises pour orienter la prise de décisions, améliorer les processus et les stratégies, et créer des produits, des services et des expériences centrés sur le client.

Le Big Data désigne non seulement de gros volumes de données, mais aussi des données de nature variée et complexe. Il dépasse généralement la capacité des bases de données traditionnelles à capturer, gérer et traiter ce type de données. De plus, le Big Data peut provenir de n’importe où et de tout ce que nous sommes en mesure de surveiller numériquement. Les satellites, les appareils IoT (Internet des Objets), les radars et les tendances des réseaux sociaux ne sont que quelques exemples parmi la multitude de sources de données explorées et analysées pour rendre les entreprises plus résilientes et compétitives.


L’importance de l’analyse du Big Data

La véritable valeur du Big Data se mesure d’après votre capacité à l’analyser et à le comprendre. L’intelligence artificielle (IA), le machine learning et les technologies de base de données modernes permettent de visualiser et d’analyser le Big Data pour fournir des informations exploitables en temps réel. L’analyse du Big Data aide les entreprises à exploiter leurs données en vue de saisir de nouvelles opportunités et de créer de nouveaux modèles de gestion. Comme l’a si bien dit Geoffrey Moore, auteur et analyste de gestion, « sans analyse du Big Data, les entreprises sont aveugles et sourdes, errant sur le Web comme des cerfs sur une autoroute ».

How does Big Data and Analytics work? Simply Explained

Click the button below to load the content from YouTube.

How does Big Data and Analytics work? Simply Explained


L’évolution du Big Data

Aussi inconcevable que cela puisse paraître aujourd’hui, l’Apollo Guidance Computer a emmené l’homme sur la lune avec moins de 80 kilo-octets de mémoire. Depuis, la technologie informatique s’est développée à un rythme exponentiel, de même que la génération de données. La capacité technologique mondiale à stocker des données a doublé tous les trois ans depuis les années 1980. Il y a un peu plus de 50 ans, lors du lancement d’Apollo 11, la quantité de données numériques générées dans le monde aurait pu tenir dans un ordinateur portable. Aujourd’hui, l’IDC estime ce chiffre à 44 zettaoctets (soit 44 000 milliards de gigaoctets) et prévoit qu’il atteindra 163 zettaoctets en 2025.

44 zettaoctets de données numériques aujourd’hui, IDC

163 zettaoctets de données numériques en 2025, IDC

Plus les logiciels et la technologie se développent, moins les systèmes non numériques sont viables. Le traitement des données générées et collectées numériquement requiert des systèmes de data management plus avancés. En outre, la croissance exponentielle des plates-formes de réseaux sociaux, des technologies pour smartphones et des appareils IoT connectés numériquement ont contribué à l’émergence du Big Data.


Types de Big Data : que sont les données structurées et non structurées ?

Les ensembles de données sont généralement catégorisés en trois types, selon leur structure et la complexité de leur indexation.

Illustration des différents types de big data : données structurées, données non-structurées, données semi-structurées.

  1. Données structurées : ce type de données est le plus simple à organiser et à rechercher. Il peut inclure des données financières, des machine logs et des détails démographiques. Une feuille de calcul Microsoft Excel, avec sa mise en forme de colonnes et de lignes prédéfinies, offre un moyen efficace de visualiser les données structurées. Ses composants peuvent facilement être catégorisés, ce qui permet aux concepteurs et administrateurs de bases de données de définir des algorithmes simples pour la recherche et l’analyse. Même lorsque les données structurées sont très volumineuses, elles ne sont pas nécessairement qualifiées de Big Data, car elles sont relativement simples à gérer et ne répondent donc pas aux critères qui définissent le Big Data. Traditionnellement, les bases de données utilisent un langage de programmation appelé SQL (Structured Query Language) pour gérer les données structurées. SQL a été développé par IBM dans les années 1970 pour permettre aux développeurs de créer et gérer des bases de données relationnelles (de type feuille de calcul) qui commençaient à émerger à l’époque.
  2. Données non structurées : cette catégorie de données peut inclure des publications sur les réseaux sociaux, des fichiers audio, des images et des commentaires client ouverts. Ces données ne peuvent pas être facilement capturées dans les bases de données relationnelles standard en lignes et colonnes. Auparavant, les entreprises qui voulaient rechercher, gérer ou analyser de grandes quantités de données non structurées devaient utiliser des processus manuels laborieux. La valeur potentielle liée à l’analyse et à la compréhension de ces données ne faisait aucun doute, mais le coût associé était souvent trop exorbitant pour en valoir la peine. Compte tenu du temps nécessaire, les résultats étaient souvent obsolètes avant même d’être générés. Contrairement aux feuilles de calcul ou aux bases de données relationnelles, les données non structurées sont généralement stockées dans des lacs de données, des entrepôts de données et des bases de données NoSQL.
  3. Données semi-structurées : comme leur nom l’indique, les données semi-structurées intègrent à la fois des données structurées et non structurées. Les e-mails en sont un bon exemple, car ils incluent des données non structurées dans le corps du message, ainsi que d’autres propriétés organisationnelles telles que l’expéditeur, le destinataire, l’objet et la date. Les dispositifs qui utilisent le marquage géographique, les horodatages ou les balises sémantiques peuvent également fournir des données structurées avec un contenu non structuré. Une image de smartphone non identifiée, par exemple, peut indiquer qu’il s’agit d’un selfie et préciser l’heure et l’endroit où il a été pris. Une base de données moderne exécutant une technologie d’IA peut non seulement identifier instantanément différents types de données, mais aussi générer des algorithmes en temps réel pour gérer et analyser efficacement les ensembles de données disparates.

Les sources du Big Data

Les objets générateurs de données se développent à un rythme spectaculaire, depuis les drones jusqu’aux grille-pains. Toutefois, à des fins de catégorisation, les sources de données sont généralement divisées en trois types :

Illustration des différentes sources du big data : données sociales, données machine, données altérables.

Données sociales

Comme leur nom l’indique, les données sociales sont générées par les réseaux sociaux : commentaires, publications, images et, de plus en plus, vidéos. En outre, compte tenu de l’ubiquité croissante des réseaux 4G et 5G, on estime que le nombre de personnes dans le monde qui regardent régulièrement des contenus vidéo sur leur smartphone atteindra 2,72 milliards en 2023. Bien que les tendances concernant les réseaux sociaux et leur utilisation évoluent rapidement et de manière imprévisible, leur progression en tant que générateurs de données numériques est incontestable.

Données machine

Les machines et appareils IoT sont équipés de capteurs et ont la capacité d’envoyer et de recevoir des données numériques. Les capteurs IoT aident les entreprises à collecter et traiter les données machine provenant des appareils, des véhicules et des équipements. Globalement, le nombre d’objets générateurs de données augmente rapidement, des capteurs météorologiques et de trafic jusqu’à la surveillance de la sécurité. Selon l’IDC, il y aura plus de 40 milliards d’appareils IoT en 2025, générant près de la moitié des données numériques mondiales.

Données altérables

Il s’agit des données parmi les plus évolutives au monde. Par exemple, un détaillant international traite plus d’un million de transactions client par heure. Si l’on ajoute à cela les transactions d’achat et bancaires au niveau mondial, on comprend mieux le volume phénoménal de données générées. En outre, les données altérables contiennent de plus en plus de données semi-structurées, y compris des images et des commentaires, ce qui les rend d’autant plus complexes à gérer et à traiter.


Les cinq V du Big Data

Ce n’est pas parce qu’un ensemble de données est volumineux qu’il s’agit nécessairement de Big Data. Pour être qualifiées en tant que telles, les données doivent posséder au minimum les cinq caractéristiques suivantes :

Illustration des 5 V du Big Data : Volume, Vitesse, Variété, Véracité, Valeur.

  1. Volume : même si le volume n’est pas le seul composant qui constitue le Big Data, il s’agit d’une de ses caractéristiques principales. Pour gérer et exploiter pleinement le Big Data, des algorithmes avancés et des analyses pilotées par l’IA sont nécessaires. Mais avant tout cela, il doit exister un moyen fiable et sécurisé de stocker, d’organiser et d’extraire les téraoctets de données détenus par les grandes entreprises.
  2. Vitesse : auparavant, les données générées devaient ensuite être saisies dans un système de base de données traditionnel (souvent manuellement) avant de pouvoir être analysées ou extraites. Aujourd’hui, grâce à la technologie du Big Data, les bases de données sont capables de traiter, d’analyser et de configurer les données lorsqu’elles sont générées, parfois en l’espace de quelques millisecondes. Pour les entreprises, cela signifie que les données en temps réel peuvent être exploitées pour saisir des opportunités financières, répondre aux besoins des clients, prévenir la fraude et exécuter toute autre activité pour laquelle la rapidité est un facteur clé.
  3. Variété : les ensembles de données contenant uniquement des données structurées ne relèvent pas nécessairement du Big Data, quel que soit leur volume. Le Big Data comprend généralement des combinaisons de données structurées, non structurées et semi-structurées. Les solutions de gestion des données et les bases de données traditionnelles n’offrent pas la flexibilité et le périmètre nécessaires pour gérer les ensembles de données complexes et disparates qui constituent le Big Data.
  4. Véracité : bien que les bases de données modernes permettent aux entreprises d’accumuler et d’identifier des volumes considérables de Big Data de différents types, elles ne sont utiles que si elles sont précises, pertinentes et opportunes. S’agissant des bases de données traditionnelles alimentées uniquement avec des données structurées, le manque de précision des données était souvent dû à des erreurs syntaxiques et des fautes de frappe. Les données non structurées présentent toute une série de nouvelles difficultés en matière de véracité. Les préjugés humains, le « bruit social » et les problèmes liés à la provenance des données peuvent avoir un impact sur la qualité des données.
  5. Valeur : les résultats de l’analyse du Big Data sont souvent fascinants et inattendus. Mais pour les entreprises, l’analyse du Big Data doit fournir une visibilité qui les aident à gagner en compétitivité et en résilience, et à mieux servir leurs clients. Les technologies modernes du Big Data offrent la possibilité de collecter et d’extraire des données susceptibles de procurer un avantage mesurable à la fois en termes de résultats et de résilience opérationnelle.

Avantages du Big Data

Les solutions modernes de gestion du Big Data permettent aux entreprises de transformer leurs données brutes en informations pertinentes avec une rapidité et une précision sans précédent.

  • Développement de produits et de services :l’analyse du Big Data permet aux développeurs de produits d’analyser les données non structurées, telles que les témoignages clients et les tendances culturelles, et de réagir rapidement.
  • Maintenance prédictive : dans le cadre d’uneenquête internationale, McKinsey a constaté que l’analyse du Big Data émanant des machines IoT pouvait réduire les coûts de maintenance des équipements jusqu’à 40 %.
  • Expérience client :dans le cadre d’une enquête réalisée en 2020 auprès de responsables d’entreprises du monde entier, Gartner a déterminé que « les entreprises en croissance collectent plus activement des données sur l’expérience client que les entreprises à croissance nulle ». L’analyse du Big Data permet aux entreprises d’améliorer et de personnaliser l’expérience de leurs clients avec leur marque.
  • Gestion de la résilience et des risques :la pandémie de COVID-19 a été une véritable prise de conscience pour de nombreux dirigeants d’entreprise qui se sont rendu compte à quel point leur activité était vulnérable. La visibilité offerte par le Big Data peut aider les entreprises à anticiper les risques et à se préparer aux imprévus.
  • Économies et efficacité accrue : lorsque les entreprises effectuent une analyse avancée du Big Data pour tous les processus de l’organisation, elles peuvent non seulement détecter les inefficacités, mais aussi déployer des solutions rapides et efficaces.
  • Amélioration de la compétitivité : les informations obtenues grâce au Big Data peuvent aider les entreprises à réaliser des économies, à satisfaire leurs clients, à concevoir de meilleurs produits et à innover dans les opérations de gestion.

IA et Big Data

La gestion du Big Data repose sur des systèmes capables de traiter et d’analyser efficacement de gros volumes d’informations disparates et complexes. À cet égard, le Big Data et l’IA ont une relation de réciprocité. Sans l’IA pour l’organiser et l’analyser, le Big Data n’aurait pas grande utilité. Et pour que l’IA puisse générer des analyses suffisamment fiables pour être exploitables, le Big Data doit contenir des ensembles de données suffisamment étendus. Comme l’indique Brandon Purcell, analyste chez Forrester Research, « les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

« Les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

Brandon Purcell, analyste, Forrester Research


Machine learning et Big Data

Les algorithmes de machine learning définissent les données entrantes et identifient des modèles associés. Ces informations permettent de prendre des décisions avisées et d’automatiser les processus. Le machine learning se nourrit du Big Data, car plus les ensembles de données analysés sont fiables, plus le système est susceptible d’apprendre, de faire évoluer et d’adapter ses processus en continu.


Technologies du Big Data

Architecture du Big Data

À l’instar de l’architecture du bâtiment, l’architecture du Big Data fournit un modèle pour la structure de base déterminant la manière dont les entreprises gèrent et analysent leurs données. L’architecture du Big Data mappe les processus requis pour gérer le Big Data à travers quatre « couches » de base, des sources de données au stockage des données, puis à l’analyse du Big Data, et enfin via la couche de consommation dans laquelle les résultats analysés sont présentés en tant que Business Intelligence.

‍Analyse du Big Data

Ce processus permet de visualiser les données de manière pertinente grâce à l’utilisation de la modélisation des données et d’algorithmes spécifiques aux caractéristiques du Big Data. Dans le cadre d’une étude approfondie et d’une enquête de la MIT Sloan School of Management, plus de 2 000 dirigeants d’entreprise ont été interrogés sur leur expérience en matière d’analyse du Big Data. Comme on pouvait s’y attendre, ceux qui s’étaient impliqués dans le développement de stratégies de gestion du Big Data ont obtenu les résultats les plus significatifs.

Big Data et Apache Hadoop

Imaginez une grande boîte contenant 10 pièces de 10 centimes et 100 pièces de 5 centimes. Puis imaginez 10 boîtes plus petites, côte à côte, contenant chacune 10 pièces de 5 centimes et une seule pièce de 10 centimes. Dans quel scénario sera-t-il plus facile de repérer les pièces de 10 centimes ? Hadoop fonctionne sur ce principe. Il s’agit d’une structure en open source permettant de gérer le traitement du Big Data distribué sur un réseau constitué de nombreux ordinateurs connectés. Ainsi, au lieu d’utiliser un gros ordinateur pour stocker et traiter toutes les données, Hadoop regroupe plusieurs ordinateurs sur un réseau pouvant évoluer presque à l’infini et analyse les données en parallèle. Ce processus utilise généralement un modèle de programmation appelé MapReduce, qui coordonne le traitement du Big Data en regroupant les ordinateurs distribués.

Lacs de données, entrepôts de données et NoSQL

Les bases de données traditionnelles de type feuille de calcul SQL servent à stocker les données structurées. Le Big Data non structuré et semi-structuré nécessite des modèles de stockage et de traitement uniques, car il ne peut pas être indexé et catégorisé. Les lacs de données, les entrepôts de données et les bases de données NoSQL sont des référentiels de données capables de gérer les ensembles de données non traditionnels. Un lac de données est un vaste pool de données brutes qui n’ont pas encore été traitées. Un entrepôt de données est un référentiel de données qui ont déjà été traitées à des fins spécifiques. Les bases de données NoSQL fournissent un schéma flexible qui peut être modifié en fonction de la nature des données à traiter. Ces systèmes présentent chacun des avantages et des inconvénients, c’est pourquoi de nombreuses entreprises utilisent plutôt une combinaison de ces référentiels de données pour répondre au mieux à leurs besoins.

Bases de données in-memory

Les bases de données traditionnelles sur disque ont été conçues pour SQL et les bases de données relationnelles. Bien qu’elles soient capables de traiter de gros volumes de données structurées, elles ne sont pas adaptées au stockage et au traitement des données non structurées. Dans le cas des bases de données in-memory, le traitement et l’analyse se font entièrement dans la RAM, pour ne pas avoir à extraire les données d’un système sur disque. Les bases de données in-memory reposent également sur des architectures distribuées. Cela signifie qu’elles peuvent atteindre des vitesses beaucoup plus élevées en utilisant le traitement parallèle, par rapport aux modèles de base de données sur disque à un seul nœud.


Fonctionnement du Big Data

Le Big Data remplit ses fonctions lorsque son analyse fournit des informations pertinentes et exploitables qui améliorent l’activité de manière significative. Pour se préparer à la transition vers le Big Data, les entreprises doivent s’assurer que leurs systèmes et processus sont en mesure de collecter, de stocker et d’analyser le Big Data.

Illustration du fonctionnement du Big Data : collecter le Big Data, stocker le Big Data, Analyser le Big Data

  1. Collecter le Big Data.Une grande partie du Big Data est constituée d’énormes ensembles de données non structurées qui émanent de sources disparates et incohérentes. Les bases de données traditionnelles sur disque et les mécanismes d’intégration des données ne sont pas suffisamment performants pour les gérer. La gestion du Big Data requiert des solutions de base de données in-memory et des solutions logicielles spécifiques de l’acquisition de ce type de données.
  2. Stocker le Big Data.Comme son nom l’indique, le Big Data est volumineux. De nombreuses entreprises utilisent des solutions de stockage sur site pour leurs données existantes et espèrent réaliser des économies en réutilisant ces référentiels pour traiter le Big Data. Toutefois, le Big Data est plus performant lorsqu’il n’est pas soumis à des contraintes de taille et de mémoire. Les entreprises qui n’intègrent pas dès le départ des solutions de stockage Cloud dans leurs modèles de Big Data le regrettent souvent quelques mois plus tard.
  3. Analyser le Big Data. Il est impossible d’exploiter pleinement le potentiel du Big Data sans utiliser les technologies d’IA et de machine learning pour l’analyser. L’un des cinq V du Big Data est la « vitesse ». Pour être utiles et exploitables, les informations du Big Data doivent être générées rapidement. Les processus d’analyse doivent s’auto-optimiser et tirer régulièrement profit de l’expérience, un objectif qui ne peut être atteint qu’avec l’IA et les technologies modernes de bases de données.

Applications du Big Data

La visibilité offerte par le Big Data est bénéfique à la plupart des entreprises ou secteurs d’activité. Cependant, ce sont les grandes entreprises aux missions opérationnelles complexes qui en tirent souvent le meilleur parti.

Finance

Dans le Journal of Big Data, une étude de 2020 souligne que le Big Data « joue un rôle important dans l’évolution du secteur des services financiers, en particulier dans le commerce et les investissements, la réforme fiscale, la détection et les enquêtes en matière de fraude, l’analyse des risques et l’automatisation ». Le Big Data a également contribué à transformer le secteur financier en analysant les données et les commentaires des clients pour obtenir les informations nécessaires à l’amélioration de la satisfaction et de l’expérience client. Les ensembles de données altérables figurent parmi les plus importants et les plus évolutifs au monde. L’adoption croissante de solutions avancées de gestion du Big Data permettra aux banques et aux établissements financiers de protéger ces données et de les utiliser d’une manière qui bénéficie à la fois au client et à l’entreprise.

Hygiène et santé
publique

L’analyse du Big Data permet aux professionnels de santé d’établir des diagnostics plus précis, fondés sur des données avérées. De plus, le Big Data aide les administrateurs d’hôpitaux à identifier les tendances, à gérer les risques et à limiter les dépenses inutiles, afin de consacrer le maximum de fonds aux soins des patients et à la recherche. En cette période de pandémie, les chercheurs du monde entier s’efforcent de traiter et de gérer au mieux la COVID-19, et le Big Data joue un rôle fondamental dans ce processus. Un article de juillet 2020 paru dans The Scientist explique comment des équipes médicales ont pu collaborer et analyser le Big Data afin de lutter contre le coronavirus : « Nous pourrions transformer la science clinique en exploitant les outils et les ressources du Big Data et de la science des données d’une manière que nous pensions impossible ».

Transport et logistique

L’« effet Amazon » est un terme qui définit la manière dont Amazon a fait de la livraison en un jour la nouvelle norme, les clients exigeant désormais la même vitesse d’expédition pour tout ce qu’ils commandent en ligne. Le magazine Entrepreneur souligne qu’en raison de l’effet Amazon, « la course logistique au dernier kilomètre ne fera que s’intensifier ». Les entreprises du secteur s’appuient de plus en plus sur l’analyse du Big Data pour optimiser la planification des itinéraires, la consolidation des charges et les mesures d’efficacité énergétique.

Éducation

Depuis l’apparition de la pandémie, les établissements d’enseignement du monde entier ont dû réinventer leurs programmes d’études et leurs méthodes d’enseignement afin de faciliter l’apprentissage à distance. L’un des principaux défis a été de trouver des moyens fiables d’analyser et d’évaluer la performance des étudiants et l’efficacité globale des méthodes d’enseignement en ligne. Un article paru en 2020 au sujet de l’impact du Big Data sur la formation et l’apprentissage en ligne indique, au sujet des enseignants, que « le Big Data les aide à gagner en confiance pour personnaliser l’enseignement, développer l’apprentissage mixte, transformer les systèmes d’évaluation et promouvoir l’apprentissage continu ».

Énergie et services publics

Selon le U.S. Bureau of Labor Statistics, le service public consacre plus de 1,4 milliard de dollars aux relevés de compteurs et s’appuie généralement sur des compteurs analogiques et des lectures manuelles peu fréquentes. Les relevés de compteurs intelligents fournissent des données numériques plusieurs fois par jour et, grâce à l’analyse du Big Data, ces informations permettent d’accroître l’efficacité de la consommation énergétique, ainsi que la précision des prix et des prévisions. En outre, lorsque les agents n’ont plus à se charger des relevés de compteurs, la saisie et l’analyse des données peuvent permettre de les réaffecter plus rapidement là où les réparations et les mises à niveau sont les plus urgentes.

Publié en anglais sur insights.sap.com

The post Qu’est-ce que le Big Data ? appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Les risques croissants liés aux cybermenaces, à la protection des données et aux nouvelles lois sur la confidentialité poussent les entreprises leaders à identifier et mettre en place des mesures efficaces de limitation des risques.

Alors que votre entreprise s’engage dans la transformation numérique et transfère toujours plus d’applications vers le cloud, vous avez besoin d’une sécurité plus intelligente, automatisée et intégrée. SAP vous aide à atteindre ces objectifs avec les solutions SAP pour la cybersécurité et la protection des données. Ces solutions uniques considèrent en parallèle les transactions métier et les risques liés à la sécurité, et contribuent à la sécurité des données, propice à une confiance numérique durable.

Nos solutions vous aideront à :

  • Détecter et traiter les activités suspectes dans les environnements logiciels SAP®.
  • Analyser le langage de programmation ABAP® et le code source non-ABAP pour identifier les risques.
  • Effectuer une surveillance des systèmes et applications à gros volumes, avec alertes et outils analytiques, mais aussi intégration à d’autres outils de gestion des événements et des informations de sécurité (SIEM).
  • Assurer le contrôle de vos données et une transparence optimale dans les environnements de type Hyperscale (clouds publics).
  • Gérer et faciliter la sécurisation des données personnelles, en toute conformité, avec notamment des capacités liées au masquage et à la journalisation.

Invitation spéciale :

Rejoignez-moi, ainsi que mes collègues Evelyne Salie, Anne Marie Colombo et Wasif Gilani, pour obtenir des informations de SAP, mais aussi de notre invité spécial, Kevin Heckel de Deloitte, le 23 mars 2021, pour notre présentation intitulée « Cybermenaces, confidentialité et sécurité », proposée dans le cadre du sommet virtuel SAP Finance and Risk.

Nous évoquerons ces sujets et la façon dont les technologies SAP peuvent aider les professionnels de la sécurité, de la protection des données et de la confidentialité à transformer votre approche en matière d’automatisation et de conformité.

Wasif Gilani nous parlera d’une nouvelle solution incontournable : SAP Data Custodian.

Nous évoquerons également deux autres solutions : SAP Enterprise Threat Detection et notre tableau de bord de cybersécurité SAP Analytics Cloud (Arndt Lingscheid et Gabriele Fiata).

En somme, nous vous proposons 45 minutes particulièrement riches et intenses, axées sur la cybersécurité et la protection des données, et la présentation de multiples fonctionnalités absolument incontournables.

Nous sommes impatients de vous retrouver à l’occasion de cet événement virtuel unique !  Rendez-vous à 11 h (UTC-4) ou bien à la demande, une fois l’événement terminé.

Et en attendant, voici quelques suggestions :

Consultez ce document de deux pages consacré à la manière dont Deloitte a utilisé SAP Enterprise Threat Detection pour optimiser la surveillance des menaces de sécurité pour nombre de ses applications.

Accédez à notre dizaine de sessions à la demande pour bénéficier de présentations de produits approfondies et pour découvrir les nombreux cas dans lesquels SAP utilise ses propres solutions pour gérer les risques, automatiser des centaines de contrôles et effectuer ses propres programmes d’audit interne à travers l’entreprise. Inscrivez-vous pour regarder la session de votre choix et approfondir les domaines de la GRC (gouvernance, gestion des risques et conformité), de la gouvernance des accès, de la confidentialité et de la cybersécurité.

The post Adoptez une stratégie gagnante face aux cybermenaces et aux risques liés à la confidentialité et à la sécurité appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com