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La philosophie DevOps, la plateforme la pratique.

La philosophie DevOps est une pratique qui vise à améliorer la collaboration entre les développeurs et les opérateurs afin de fournir des plateformes plus efficaces.

« DevOps est mort. »

Mais pas exactement. Mais la méthodologie DevOps de « vous le construisez, vous le gérez » a échoué aux équipes de développement depuis des années.

The problem is that DevOps was never meant to be a long-term solution. It was designed to help teams quickly move from idea to production. But as teams grow and become more complex, the DevOps model becomes increasingly difficult to maintain.

In its place, a new approach is emerging: architecture-driven development. This approach focuses on creating a well-defined architecture for the system before development begins. This architecture defines the components of the system, how they interact, and how they should be deployed. It also provides a framework for making changes to the system over time.

Avec l’émergence de nouvelles technologies et de nouveaux modèles de développement, le concept de DevOps est en train de s’estomper. La méthodologie DevOps « tu construis, tu gères » a été un échec pour les équipes de développement depuis des années. Le problème est que DevOps n’a jamais été conçu comme une solution à long terme. Il était destiné à aider les équipes à passer rapidement de l’idée à la production. Mais à mesure que les équipes grandissent et deviennent plus complexes, le modèle DevOps devient de plus en plus difficile à maintenir.

En remplacement, une nouvelle approche est en train d’émerger : le développement guidé par l’architecture. Cette approche se concentre sur la création d’une architecture bien définie pour le système avant le début du développement. Cette architecture définit les composants du système, comment ils interagissent et comment ils doivent être déployés. Elle fournit également un cadre pour apporter des modifications au système au fil du temps.

L’avantage de cette approche est qu’elle permet aux équipes de développement de se concentrer sur la construction d’un produit robuste et extensible plutôt que sur la gestion des opérations. En définissant une architecture claire et cohérente, les équipes peuvent se concentrer sur la création d’un produit qui répond aux besoins des utilisateurs et qui peut évoluer avec le temps. Cela permet aux équipes de se concentrer sur la qualité et la stabilité du produit plutôt que sur le temps de mise en production.

En fin de compte, l’architecture-driven development offre aux équipes de développement une meilleure façon de travailler et une meilleure façon de construire des produits robustes et extensibles. Il permet aux équipes de se concentrer sur la qualité et la stabilité du produit plutôt que sur le temps de mise en production. En outre, il permet aux équipes de mieux gérer les changements et les mises à jour du produit au fil du temps.

Source de l’article sur DZONE

SAP France s’engage avec la start-up Evolukid, les territoires de Lens-Liévin et Aix-Marseille pour le lancement du programme KESK’IA, programme d’excellence dédié aux étudiants en filières informatiques et digitales.

Paris, le 3 avril 2023 – SAP, leader mondial des logiciels innovants de gestion d’entreprises, renforce sa présence dans les territoires au service de l’égalité des chances avec le lancement du programme KESK’IA, en partenariat avec Evolukid, plateforme éducative pour développer les compétences du futur. Sur tout le territoire hexagonal, SAP France s’associe aux côtés de ses partenaires tels que L’Oréal, Société Générale, TATA Consultancy Services et UPS.

 

Favoriser l’égalité des chances dans le numérique avec KESK’IA.

Entre février et juin 2023, près de 100 étudiants seront accompagnés pour réaliser des prototypes d’Intelligence Artificielle au service de leur territoire. Sélectionnés parmi plus de 450 candidatures, ils seront chargés de développer des projets concrets à impacts positifs dans sept territoires via le programme KESK’IA. Ce programme d’excellence destiné aux étudiants en filière Informatique ou digitale vise à perfectionner leurs compétences et à préparer les talents de demain dans le domaine de l’Intelligence Artificielle.

Pendant toute la durée du programme, des mentors de SAP France accompagneront ces futurs talents pour la mise en œuvre d’une vingtaine de prototypes autour de quatre thématiques :

  • Prévention des risques et sécurité : détection du harcèlement
  • Environnement et écologie: Reconnaissance des déchets dans des zones difficilement accessibles par drones, réduction du gaspillage alimentaires dans les cantines scolaires
  • E-Réputation: Mesure des commentaires négatifs sur la collectivité
  • Aménagement du territoire : Reconnaissance d’infrastructures endommagées par drones ou caméra de vidéo-surveillance.

« SAP France est très fier de participer au programme KESK’IA, en partenariat avec Evolukid. Depuis toujours, SAP est déterminé à aller chercher les talents sur tout le territoire : en milieu urbain, rural ou en QPV. Ce programme renforce nos engagements en faveur de l’accessibilité de notre filière. C’est également une formidable occasion de montrer aux collectivités les atouts de l’IA et de les équiper face aux défis technologiques actuels. » déclare Olivier Nollent, Président – Directeur Général de SAP France.

« Pouvoir faire émerger de l’innovation et de la valeur ajoutée des quartiers populaires est ce que l’on recherche. Il faut redonner de la confiance à ces jeunes qui n’ont pas les relations pour rentrer facilement sur le marché : c’est ce que permet KESK’IA. Pouvoir s’appuyer sur de grandes entreprises de la tech telles que SAP est important et stimulant. C’est une vraie chance pour les étudiants du programme, mais aussi pour ces entreprises qui peuvent s’investir dans un projet à impact et faire grandir de nouveaux talents. » a ajouté Morad Attik, CEO d’Evolukid et Directeur du programme KESK’IA.

 

SAP France, un leader mondial engagé pour l’insertion professionnelle dans les territoires.

En tant que partenaire du programme KESK’IA, SAP France apporte sa contribution aux côtés de la Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin (CALL) et la Métropole d’Aix-Marseille et accompagne 20 étudiants répartis dans ces deux territoires. En renforçant sa présence dans les territoires en dehors de ses sites d’implantation français, SAP en France souhaite être le moteur de l’intégration, de l’égalité des chances et de l’insertion professionnelle dans le domaine de l’IA.

Dans le Nord-Pas-de-Calais et dans les Bouches-du-Rhône, SAP vise à résoudre le déficit de compétences, de vocations des jeunes dans le numérique et s’emploie à faire grandir les talents de ces deux territoires en apportant des connaissances et un nouveau réseau professionnel.

« Rêver, s’obstiner et réussir… il y a de la magie à voir grand ! Et cette citation d’Erick Orsenna et Marie Eloy qui caractérise la team et les jeunes de Lens. Car avoir ce type de programme chez nous et les grands groupes comme SAP et l’Oréal à nos côtés c’est inespéré ! Alors oui, ils rêvent mais ils sont obstinés à réussir ce projet. » ajoute Saliha SADOUKI, Responsable Pôle Communication & Numérique, Maison de l’Emploi du bassin Lens, Liévin, Hénin, Carvin.

Après quatre mois de développement, les étudiants présenteront devant un jury d’experts et d’élus leurs prototypes. Les sept prototypes finalistes qui représenteront les sept territoires du programme KESK’IA seront présentés par les étudiants en juin. Les trois meilleurs projets seront récompensés lors d’une cérémonie nationale à Paris rassemblant sponsors, entreprises partenaires, collectivités et experts de l’intelligence artificielle.

 

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À propos de SAP en France 

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.   

 

A propos d’Evolukid 

Evolukid, startup EdTech, accompagne depuis 2016 les collectivités territoriales et les entreprises dans la mise en œuvre de projets innovants liés aux nouvelles technologies. Notre expertise – incluant l’ingénierie pédagogique, le matériel, les intervenants formés, les déplacements et la logistique globale – nous permet d’intervenir partout en France et à l’étranger. Depuis 2019, nous avons lancé la plateforme éducative en ligne Evolukid : notre solution en ligne proposant des parcours éducatifs et des classes virtuelles pour répondre aux besoins des familles. Evolukid devient une véritable école numérique pour tous types de projets.

En partenariat avec la Banque des Territoires, Evolukid lance en février 2023 le programme KESK’IA pour former les étudiants et les talents des quartiers populaires à l’intelligence artificielle. Des villes associées telles que Lens, Meaux, Nantes, Marseille, et des acteurs majeurs de l’économie tels que Sales Force, Google, et d’autres leaders mondiaux qui rejoignent actuellement l’initiative seront parties prenantes du programme KESK’IA.

Ces jeunes étudiants, sélectionnés à l’issue du processus pédagogique, répondront à des problématiques locales d’écologie, de gestion des déchets et de citoyenneté par l’intelligence artificielle en livrant des prototypes fonctionnels (généralisables à d’autres territoires). Enfin, à l’issue de cette initiative, lors de la grande soirée de clôture avec l’ensemble des sponsors et partenaires, les candidats présenteront leurs prototypes et se verront décerner le prix de la meilleure innovation par un grand jury. Cela permettra aux entreprises non seulement de recruter les meilleurs, mais aussi de rappeler que les quartiers prioritaires sont le creuset de l’ambition de la France de se hisser parmi les premières nations en matière d’innovation et de nouvelles technologies.

 

Contact presse : 

SAP France 

Sylvie Léchevin

sylvie.lechevin@sap.com

sap@the-arcane.com

Evolukid

Amadou Dabitao ou Lralia Sall

contact@bnagency.co / lralia@bnagency.co

+33 6 95 10 50 99

 

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Source de l’article sur sap.com

Fargate vs Lambda : Qui sera le vainqueur ?

Fargate et Lambda sont deux technologies très populaires parmi les développeurs cloud. Quel est le meilleur pour votre projet ? Découvrons qui sera le vainqueur !

## Comparaison Fargate vs Lambda dans l’espace sans serveur

Quelles sont les différences entre Fargate et Lambda ?

Fargate et Lambda sont deux options de calcul sans serveur populaires disponibles dans l’écosystème AWS. Bien que les deux outils offrent un calcul sans serveur, ils diffèrent en ce qui concerne les cas d’utilisation, les limites opérationnelles, les allocations de ressources d’exécution, le prix et les performances. Fargate est une moteur de calcul sans serveur proposé par Amazon qui vous permet de gérer efficacement les conteneurs sans les tracas de la mise en provision des serveurs et de l’infrastructure sous-jacente. Lambda, quant à lui, est une plateforme de calcul sans serveur qui vous permet d’exécuter du code sans avoir à gérer des serveurs. Lambda est conçu pour prendre en charge des charges de travail à courtes durées et à faible consommation de ressources.

Quelle est la meilleure option pour l’architecture ?

Lorsqu’il s’agit de choisir entre Fargate et Lambda, il est important de comprendre leurs différences et leurs avantages. Pour les applications à longue durée et à haute consommation de ressources, Fargate est la meilleure option car il offre une gestion des conteneurs plus efficace et une meilleure performance. Cependant, pour les applications à courtes durées et à faible consommation de ressources, Lambda est la meilleure option car il offre une exécution plus rapide et une meilleure utilisation des ressources. En fin de compte, le choix entre Fargate et Lambda dépend des exigences spécifiques de votre application et de votre architecture. Il est important de prendre en compte le coût, la performance et les fonctionnalités avant de prendre une décision finale.

Quelle que soit l’application ou l’architecture que vous souhaitez mettre en place, Fargate et Lambda sont tous deux des outils puissants qui peuvent vous aider à atteindre vos objectifs. En tant qu’informaticien enthousiaste, je trouve que ces outils sont très utiles pour créer des applications modernes et évolutives. Fargate et Lambda offrent tous les deux des fonctionnalités avancées qui peuvent être utilisées pour créer des architectures robustes et flexibles. Les deux outils sont faciles à utiliser et peuvent être intégrés à d’autres services AWS pour offrir une expérience utilisateur optimale. En fin de compte, le choix entre Fargate et Lambda dépendra des exigences spécifiques de votre application et de votre architecture.

Source de l’article sur DZONE

Aujourd’hui, le monde de l’entreprise reconnaît volontiers que ses ressources les plus précieuses sont sa propriété intellectuelle et les individus qui la composent.

Imaginez si vous pouviez collecter les connaissances des employés pour que ces derniers puissent les partager avec leurs collègues via l’apprentissage par les pairs ? C’est là tout l’attrait de la plateforme d’apprentissage collaboratif de 360Learning, désormais disponible sur SAP Store. La plateforme facilite une montée en compétences rapide, plus particulièrement dans les environnements professionnels qui évoluent vite et au sein desquels les besoins de formation sont constants. Tout le monde a la possibilité de créer, de proposer du contenu et de collaborer sur des cours. Ainsi, les formations sont mises à disposition plus rapidement, les employés, les clients et les partenaires se forment plus vite, et le gain de temps est considérable. Chez 360Learning, on dit qu’on “accélère le partage de compétences”. Compte tenu de la pénurie actuelle de talents, c’est une possibilité qui arrive à point nommé.

Optimisation de l’efficacité et du transfert des connaissances par le biais de la collaboration

L’idée d’une plateforme de formation menée par les pairs a germé il y a dix ans dans l’esprit de Nick Hernandez, le PDG de l’entreprise. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, elle n’a pas été insufflée par la pénurie de talents. Comme il l’explique, ce sont deux principes qui ont marqué sa vie qui ont été sa plus grande source d’inspiration. Tout d’abord, son amour pour l’enseignement qui lui vient de ses parents, tous deux enseignants. Ils ont émigré d’Amérique du Sud pour bénéficier d’une bourse d’études en France.

Ensuite, le travail du philosophe Michel Foucault qu’il a découvert alors qu’il était étudiant en informatique et philosophie. Nick résume ainsi la pensée de Foucault au sujet du lien entre le savoir et le pouvoir : «La science repose sur l’intuition. Lorsqu’un individu a une idée, celle-ci est souvent controversée : il n’y a aucun moyen de prouver qu’elle va fonctionner. Les progrès scientifiques sont toujours validés par un processus de revue par les pairs. C’est comme cela que j’en ai déduit qu’il fallait développer un outil pour aider les collaborateurs à apprendre les uns des autres. En bref : il est temps d’exploiter le savoir collectif de l’entreprise et accélérer ce processus. Plutôt que de faire intervenir un consultant externe, il vaut mieux capitaliser sur les connaissances essentielles, qui sont détenues par les collaborateurs eux-mêmes. L’apprentissage par les pairs est bien plus efficace et rentable que solliciter des prestataires externes ».

Permettre l’utilisation de la plateforme à des milliers de créateurs de contenu et d’apprenants.

Nick et ses co-fondateurs, Guillaume Alary, CRO, et Sebastien Mignot, CTO, tous trois récemment diplômés, ont passé deux ans à développer la solution en se fondant sur leur propre intuition, tout en cherchant un revenu potentiel. Après avoir trouvé l’adéquation parfaite entre le produit et son marché, et après avoir mené des expérimentations et tenu compte du feedback reçu, l’équipe a intégré un moyen pour valider et contrôler le contenu car, selon leurs propres mots : « une entreprise n’est pas une démocratie ».

 

“L’éducation a bouleversé la vie de mes parents et, par conséquent, la mienne”, déclare Nick. “J’ai canalisé ma passion pour l’apprentissage en créant 360Learning. Alors que d’innombrables innovations viennent constamment alimenter le marché de la tech, ce que nous proposons chez 360Learning est bien plus personnel qu’un énième outil SaaS B2B. Je crois sincèrement que l’apprentissage change la vie et que tout un chacun doit en bénéficier.

 

Le lancement initial de 360Learning s’est opéré via une stratégie d’inbound marketing et il n’a pas fallu longtemps avant que l’entreprise décroche un important contrat. Les choses ont ensuite suivi leur cours naturellement. Le défi suivant a été la mise à l’échelle pour les grandes entreprises. Aujourd’hui, un client de 360Learning représente plus de 100 000 utilisateurs et 1 200 auteurs. Il est donc essentiel de disposer d’une infrastructure robuste capable de prendre en charge ce volume, ainsi que des fonctionnalités puissantes comme celles liées à l’Intelligence Artificielle pour automatiser les processus. Les formations sont améliorées en continu par les collaborateurs eux-mêmes, qui identifient les contenus obsolètes ou suggèrent des éléments à ajouter. Le feedback et les données obtenues au fil des interactions sont remontés aux coachs qui facilitent l’apprentissage en s’assurant que les cours sont accessibles, intuitifs, exploitables facilement, et surtout intéressants.

La plateforme est désormais disponible dans 14 langues et compte certaines des marques les plus réputées parmi ses utilisateurs. Plus de 400 employés travaillent pour 360Learning, dont les bureaux sont implantés à New York, Londres, Paris et Karlsruhe, en Allemagne.

L’intégration à SAP SuccessFactors Learning for Data Intelligence

Bruce Mazza et Hugues Lajouanie en charge des partenariats internationaux, font remarquer que l’inbound marketing est toujours une stratégie cruciale. « Depuis que nous avons mis l’accent sur les actions marketing avec nos partenaires et l’intégration aux systèmes RH des clients, nous sommes désormais en mesure d’étendre les fonctionnalités de montée en compétence collaborative de 360Learning à de nombreuses grandes entreprises », explique Bruce. « Il y a des entreprises pour lesquelles notre plateforme vient compléter l’offre de SAP, en mettant l’accent sur l’expérience des experts qui créent les cours et des apprenants qui en bénéficient. SAP dispose d’une suite de solutions particulièrement qualitative”. Il ajoute : « L’intégration à SAP SuccessFactors HXM et SAP SuccessFactors Learning nous permet d’étendre la montée en compétences grâce à l’expertise interne à des clients qui ont des besoins de formation à la conformité ou encore liés à la Data Intelligence. Par exemple, faire le lien entre les écarts de compétences et l’engagement expert et la création de cours ».

La plateforme d’apprentissage collaboratif de 360Learning est qualifiée de « solution durable » sur SAP Store car elle illustre un réel engagement social via le développement des compétences. Découvrez comment la plateforme accompagne les employés dans le développement de leurs compétences en visionnant la vidéo sur SAP Store.

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF (Allemagne), le 8 mars 2023. SAP SE (NYSE: SAP) annonce des innovations majeures et des partenariats clés dans le domaine de la data, pour permettre aux clients d’accéder aux données critiques de leur entreprise, venant ainsi accélérer la compréhension des informations et améliorer leur prise de décision. SAP lance la solution SAP® Datasphere, la dernière génération de solutions de gestion de données, qui permet aux clients d’accéder facilement aux informations business directement exploitables dans l’ensemble du paysage de la data. SAP annonce également son partenariat avec des entreprises leaders dans les secteurs de la data et de l’IA – Collibra NV, Confluent Inc., DataBricks Inc. et DataRobot Inc. – afin d’enrichir SAP Datasphere et permettre aux entreprises de concevoir une architecture de données unifiée, combinant en toute sécurité les données SAP et non-SAP.

Jusqu’à aujourd’hui, l’accès et l’utilisation des données constituaient un réel défi au vu de la complexité de leur localisation et de leur système, qu’elles soient chez des fournisseurs de cloud computing, de data ou en site propre. Les clients devaient extraire les données depuis leurs sources d’origine et les exporter vers un point central, perdant au passage un aspect essentiel de leur contexte métier, et ne le récupérant qu’au prix d’efforts intenses sur le plan informatique. Avec ces annonces, SAP Datasphere met fin à cette « taxe cachée » sur la data, permettant aux clients de construire leur architecture de données qui fournit rapidement des informations significatives, tout en préservant le contexte et la logique de l’organisation.

« Les clients SAP générant 87% du commerce total mondial, les données SAP font partie des actifs business les plus précieux de l’entreprises et sont contenues dans les fonctions les plus déterminantes d’une organisation : de la fabrication aux chaînes d’approvisionnement, en passant par la finance, les ressources humaines et bien plus encore » a déclaré Juergen Mueller, Chief Technology Officer et Membre Exécutif du Board de SAP. « Nous voulons aider nos clients à passer à la vitesse supérieure pour intégrer facilement, et en toute confiance, les données SAP avec les données non-SAP provenant d’applications et de plateformes tierces, afin de débloquer des informations et des connaissances entièrement nouvelles pour que la transformation digitale atteigne un autre niveau. »

 

SAP Datasphere

Disponible dès aujourd’hui, SAP Datasphere est la nouvelle génération de SAP Data Warehouse Cloud. Elle permet aux professionnels de la data de fournir un accès évolutif aux données critiques de l’entreprise. Grâce à une expérience simplifiée pour l’intégration, le catalogage, la modélisation sémantique, le stockage et la virtualisation des données, SAP Datasphere permet aux professionnels de la data de faciliter la distribution des données critiques de l’entreprise en préservant le contexte et la logique de cette dernière, avec une vision 360° de l’ensemble des données de l’organisation. SAP Datasphere s’appuie sur SAP Business Technology Platform (BTP), intégrant de solides fonctionnalités en termes de sécurité pour l’entreprise : base de données, cryptage, gouvernance. Aucune étape ou migration supplémentaire n’est requise pour les clients actuels de SAP Data Warehouse Cloud, qui bénéficieront automatiquement des nouvelles fonctionnalités de SAP Datasphere dans leur environnement produit. Ces nouvelles fonctionnalités comprennent le catalogage des données qui permet de les découvrir et de les gérer automatiquement, de simplifier leur réplication avec une mise à jour en temps réel, et d’améliorer leur modélisation pour conserver la richesse du contexte métier dans les applications SAP. D’autres fonctionnalités d’intégration d’applications reliant les données et les métadonnées des applications SAP Cloud à SAP Datasphere sont prévues.

Messer Americas, leader mondial dans le domaine des gaz industriels et médicaux en Amérique du Nord et du Sud, avait besoin d’un accès simple et sécurisé aux données SAP et non SAP au sein de son organisation pour améliorer la prise de décision – pilotée par les données – et de libérer les ressources informatiques afin qu’elles se concentrent sur des tâches plus stratégiques. Grâce à SAP Datasphere, Messer Americas a construit une architecture moderne de données qui préserve le contexte de ses données d’entreprise.

« SAP Datasphere simplifie notre vue d’ensemble de la data et renforce notre confiance dans les données que nous utilisons tous les jours, ce qui nous permet de mieux répondre aux besoins de l’entreprises » explique David Johnston, Chief Information Officer de Messer Americas. « Nous sommes en mesure de réagir plus rapidement aux changements émergents de l’offre et de la demande, ce qui se traduit par une meilleure gestion des stocks, un meilleur service client et l’optimisation de notre chaîne logistique ».

 

Partenariats stratégiques

SAP et ses nouveaux partenaires open data aideront des centaines de millions d’utilisateurs à travers le monde à prendre des décisions stratégiques fondées sur des quantités massives de données. Les partenaires stratégiques de SAP apportent leur talent unique, issu de leur écosystème, et permettent aux clients de combiner toutes leurs données comme jamais auparavant.

« Tout le monde souhaite avoir accès aux données SAP, c’est pourquoi il est absolument nécessaire de prendre le meilleur des fournisseurs technologiques pour mettre en place une stratégie complète autour de la data », a déclaré Dan Vesset, Vice-Président du Groupe IDC, chargé des analyses et études de marché sur la data. « Les organisations vivent aujourd’hui dans un monde où la lecture de données multi-cloud, multifournisseurs, hors et sur site est la norme. SAP adopte une nouvelle approche en s’associant à un groupe restreint de partenaires de premier plan, traitant les données tierces comme des citoyens de tout premier ordre afin de mieux répondre aux besoins des clients. »

 

A propos des partenaires

  • Collibra prévoit une intégration sur mesure avec SAP, permettant aux clients de mettre en place une stratégie de gouvernance d’entreprise, en construisant un catalogue de données complet, avec un historique sur l’ensemble de leurs données, qu’il s’agisse à la fois de données SAP et non SAP. Collibra rend les données fiables et accessibles à l’ensemble de l’entreprise.
  • Confluent prévoit de connecter sa plateforme de streaming de données, permettant aux entreprises de débloquer des données business précieuses et de les connecter à des applications externes en temps réel. L’offre cloud native de Confluent est la plateforme de référence pour les données dynamiques, permettant un flux illimité en temps réel provenant de diverses sources au sein de l’organisation.
  • Les clients de DataBricks peuvent intégrer leur Data Lakehouse à SAP afin de partager les données tout en préservant leur sémantique et les aide ainsi à simplifier leur vue d’ensemble.
  • DataRobot permet aux clients d’exploiter les capacités d’apprentissage automatique multimodales sur SAP Datasphere et de les intégrer directement dans leur bases, quelle que soit la plateforme cloud où elles sont stockées.

 

A propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

 

Contact presse

sylvie.lechevin@sap.com

Note aux journalistes
Pour prévisualiser et télécharger des séquences d’archives et des photos de presse pour diffusion, veuillez consulter le site www.sap.com/photos. Vous trouverez sur cette plateforme du contenu en HD pour vos médias.

Pour les clients souhaitant s’informer sur les produits SAP
Global Customer Center : +49 180 534-34-24

Ce document contient des déclarations qui sont des prédictions, des projections concernant des événements futurs. Ces déclarations sont basées sur des attentes, des prévisions et des hypothèses qui sont soumises à des risques et à des incertitudes pouvant entraîner des différences significatives entre les résultats réels. Des informations supplémentaires peuvent être trouvées dans les documents que nous déposons auprès de la Securities and Exchange Commission, y compris, mais sans s’y limiter, la section sur les facteurs de risque du rapport annuel 2022 de SAP sur le formulaire 20-F.

© 2023 SAP SE. Tous droits réservés. SAP et les autres produits et services mentionnés dans le présent document, ainsi que leurs logos respectifs, sont des marques (déposées ou non) de SAP SE en Allemagne et dans d’autres pays.

Veuillez consulter https://www.sap.com/copyright pour obtenir des informations supplémentaires sur les marques.

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Source de l’article sur sap.com

Pourquoi les clients de Twilio ne s'en vont pas ?

Les clients de Twilio sont fidèles car ils bénéficient d’une technologie innovante, d’un service client exceptionnel et d’un soutien technique inégalé.

C’est un secret de polichinelle : nous sommes fans de Twilio. Avec plus de dix millions de clients qui utilisent leur plateforme, il semble que nous ne sommes pas seuls. Longtemps la coqueluche des développeurs, la plateforme accessible de Twilio facilite l’envoi de messages vocaux, vidéo et SMS dans presque tous les contextes.

En tant qu’informaticien enthousiaste, je suis un grand fan de Twilio. Avec plus de dix millions d’utilisateurs qui utilisent leur plateforme, il semble que je ne sois pas le seul. Depuis longtemps, Twilio est le chouchou des développeurs. Sa plateforme abordable facilite l’envoi de messages vocaux, vidéo et SMS dans presque tous les contextes.

Le code est le cœur et l’âme de Twilio. Leur plateforme est conçue pour aider les développeurs à créer des applications qui peuvent communiquer avec leurs utilisateurs à travers le monde entier. Avec Twilio, les développeurs peuvent créer des applications qui peuvent envoyer des messages vocaux, vidéo et SMS à travers des API faciles à utiliser. Les développeurs peuvent également intégrer des fonctionnalités telles que la reconnaissance vocale et la géolocalisation à leurs applications.

Twilio offre également des outils puissants pour aider les développeurs à créer des applications plus robustes et plus sécurisées. Ils offrent une gamme complète d’outils pour la sécurité et la conformité, ainsi que des outils pour la surveillance et l’analyse des performances. Les développeurs peuvent également utiliser des outils tels que le SDK de Twilio pour créer des applications plus riches et plus interactives.

En bref, Twilio est une plateforme incroyablement puissante qui offre aux développeurs une variété d’outils pour créer des applications innovantes et robustes. Avec leur approche abordable et leur gamme complète d’outils de codage, Twilio est un excellent choix pour les développeurs qui cherchent à créer des applications de communication modernes et sécurisées.

Source de l’article sur DZONE

Stratégies de déploiement Kubernetes

Les stratégies de déploiement Kubernetes peuvent aider les entreprises à améliorer leurs processus de développement et de déploiement. Elles offrent une solution pratique et évolutive pour gérer les applications.

Déployer des applications avec Kubernetes est devenu de plus en plus populaire en raison de ses nombreux avantages. Kubernetes permet une gestion facile des applications conteneurisées, fournissant une plateforme pour le déploiement, le dimensionnement et la gestion des applications. Avec Kubernetes, les applications peuvent être déployées rapidement et de manière cohérente sur différents environnements, y compris les plates-formes sur site et cloud.

Lors du déploiement d’applications avec Kubernetes, beaucoup d’entre nous auront des questions sur quel type de déploiement utiliser – roulement, bleu-vert, canari, etc. Dans cet article, nous discuterons de ces types de déploiement (canari, roulement et bleu-vert), de leur fonctionnement et de celui que vous devriez choisir.

En tant qu’informaticien enthousiaste, le déploiement d’applications avec Kubernetes est devenu de plus en plus populaire en raison de ses nombreux avantages. Kubernetes permet une gestion facile des applications conteneurisées, fournissant une plateforme pour le déploiement, le redimensionnement et la gestion des applications. Avec Kubernetes, les applications peuvent être déployées rapidement et de manière cohérente dans différents environnements, y compris sur les plates-formes en local et dans le cloud.

Lors du déploiement d’applications avec Kubernetes, beaucoup d’entre nous auront des questions sur quel type de déploiement utiliser – roulement, bleu-vert, canari, etc. Dans cet article, nous discuterons de ces types de déploiement (canari, roulement et bleu-vert), de la façon dont ils fonctionnent et de celui que vous devriez choisir.

Le type de déploiement le plus couramment utilisé est le déploiement à roulement. Cette méthode consiste à effectuer des mises à jour progressives sur un ensemble d’instances. Les instances sont mises à jour une par une, ce qui permet de s’assurer que chaque instance est correctement mise à jour avant de passer à la suivante. Cette méthode est très utile lorsque vous souhaitez mettre à jour un grand nombre d’instances sans interrompre le service.

Le déploiement bleu-vert est une autre méthode couramment utilisée pour le déploiement des applications. Cette méthode consiste à déployer une nouvelle version de l’application sur un nouvel environnement, puis à basculer l’utilisation sur ce nouvel environnement. Cette méthode est très utile lorsque vous souhaitez tester une nouvelle version de l’application avant de la mettre en production.

Le déploiement canari est une autre méthode couramment utilisée pour le déploiement des applications. Cette méthode consiste à déployer une nouvelle version de l’application sur un petit groupe d’utilisateurs. Une fois que la nouvelle version a été testée par ce groupe d’utilisateurs, elle peut être déployée sur l’ensemble des utilisateurs. Cette méthode est très utile lorsque vous souhaitez tester une nouvelle version de l’application avant de la mettre en production.

En conclusion, le choix du type de déploiement à utiliser dépendra des besoins spécifiques de votre application et de votre environnement. Chaque type de déploiement a ses avantages et ses inconvénients et peut être plus ou moins adapté à votre situation. Il est donc important de prendre le temps d’analyser les différents types de déploiement et de choisir celui qui convient le mieux à votre application et à votre environnement. En utilisant Kubernetes pour gérer vos applications, vous pouvez facilement choisir le type de déploiement qui convient le mieux à votre application et à votre environnement.

En tant qu’informaticien enthousiaste, le déploiement d’applications avec Kubernetes est devenu très populaire ces dernières années grâce aux nombreux avantages qu’il offre. Kubernetes simplifie la gestion des applications conteneurisées et fournit une plateforme pour le déploiement, le redimensionnement et

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Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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En triant de vieux cartons dans mon garage, mon fils est tombé sur ma collection de films des années 1980 et 1990. Tandis que je le regardais exhumer les cassettes VHS, les DVD et quelques LaserDiscs de cette capsule temporelle de ma jeunesse, j’ai réalisé à quel point nous avons rapidement cessé de stocker nos films sur des étagères pour nous tourner vers le visionnage en streaming à la demande, sur un seul et même terminal qui tient dans une poche.

Plus frappantes encore sont les leçons tirées de chaque évolution de la livraison à domicile. Certaines entreprises ont conservé des modèles économiques classiques, convaincues que toute nouveauté n’est qu’une passade. D’autres se sont adaptées à chaque fois qu’elles se sont senties réellement menacées par la concurrence.

Mais les entreprises qui ont réellement tiré leur épingle du jeu sont celles qui ont mis en place et pérennisé de vraies innovations transformationnelles, avec la volonté assumée de toucher de nouveaux marchés, d’attirer de nouveaux clients et de répondre aux demandes et aux attentes.

Malheureusement, la plupart des entreprises de taille moyenne n’ont pas encore assimilé cette leçon en matière d’innovation. D’après un Info Snapshot IDC sponsorisé par SAP, seules 18 % des entreprises interrogées jugent que la transformation de leur modèle économique est une priorité – ce qui suggère que la plupart d’entre elles comptent seulement réagir aux bouleversements du secteur.

« Globalement, les entreprises de taille moyenne n’accordent pas la priorité à l’innovation, même si la rapidité d’adaptation et l’évolutivité stratégique sont inscrites dans leur ADN », explique Jeremy Rader, directeur général Stratégie et solutions d’entreprise (ESS) des groupes Data Platforms (DPG) et Cloud & Enterprise Solutions (CESG) d’Intel. « Soyons réalistes : le temps, l’argent et les ressources sont déjà comptés. Mais la technologie cloud peut permettre de rendre l’innovation plus abordable et plus facile à gérer pour celles qui explorent de nouvelles opportunités de transformation, moins coûteuses, moins risquées, et découvrent ainsi de meilleures manières de rester compétitives. »

 

Une étape essentielle pour assurer la prospérité d’une entreprise

Les défis de gestion et les demandes du marché sont chaque jour plus complexes, substantiels, et de plus grande envergure. Mais plutôt que de suivre chaque nouvelle tendance en matière de produits, chaque évolution des clients ou chaque innovation de la concurrence, les entreprises doivent concevoir les produits et services dont leur clientèle a réellement besoin. Cela implique d’établir une passerelle entre le cycle de vie des produits et des données de qualité, prises en charge par une plateforme interconnectée dotée des fonctions de gestion, d’analytique et d’intelligence artificielle nécessaires pour les collecter, les intégrer et les contextualiser en temps réel.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Tendances 2022 en matière de biens de consommation : votre marque peut-elle offrir une satisfaction et un confort instantanés ? – Par Susan Galer

« Le plus grand obstacle à l’innovation est la crainte du changement et de l’échec », rappelle M. Rader. « Quand les gens sont capables de gérer, de protéger, de contextualiser et d’analyser des volumes considérables de données en toute confiance, ils ont toutes les clés pour obtenir des résultats plus significatifs, quoi qu’ils fassent. Tout cela commence par la mise en place d’une plateforme cloud interconnectée et fiable. »

Lorsque les données de différents services et fonctions (marketing, ventes, services, opérations et finances) sont intégrées, consolidées et recoupées avec la veille concurrentielle, les entreprises de taille moyenne sont mieux à même de justifier leurs investissements dans l’innovation produit. Elles peuvent alors établir le calendrier, les étapes, l’expertise et les technologies nécessaires pour concrétiser ces innovations d’une manière qui favorise la croissance.

Lorsqu’une entreprise obtient les bonnes données et sait comment en tirer les insights stratégiques dont elle a besoin, une culture de l’innovation commence à se mettre en place. Par exemple, les collaborateurs se mettent à surveiller étroitement les indicateurs de performance clés qui évaluent la demande de produits, la satisfaction client et les inquiétudes des services au regard des performances financières, de manière à pouvoir réagir plus rapidement et efficacement aux bouleversements.

 

Une innovation alimentée par les données pour garder une longueur d’avance

Les entreprises de taille moyenne ne peuvent pas se permettre de perdre du temps, ni de réaliser un projet d’innovation en se contentant d’espérer qu’il fonctionne. Mais ne pas innover est un risque encore plus grand dans un marché en constante évolution, rempli de clients qui en attendent chaque jour davantage.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment les entreprises de taille moyenne peuvent relancer leur activité, se développer et s’étendre grâce aux technologies avancées – Par un invité SAP

Et lorsque les entreprises accordent davantage d’attention à la qualité et à l’impact de ces données, l’innovation n’est plus reléguée au second plan, comme une activité dont chacun sait qu’elle est nécessaire sans pouvoir s’y consacrer. Il devient possible d’allouer les ressources adéquates à explorer les opportunités, expérimenter de nouvelles idées et renforcer son avantage concurrentiel.

Si vous souhaitez approfondir la question, regardez la rediffusion du webinaire sponsorisé par Intel sur la manière dont les entreprises de taille moyenne peuvent favoriser une culture de l’innovation, dans le cadre de notre série #ConnectGrowWin.

 

Par Richard Howells, vice-président Gestion des solutions pour la Supply Chain numérique, SAP

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NEW YORK/WALLDORF, Allemagne – 7 décembre 2022 – PwC et SAP ont annoncé une nouvelle stratégie de co-innovation visant à faire du développement durable une partie intégrante des opérations commerciales. Cette stratégie vise à créer des solutions fiables pour relever les principaux défis Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance d’entreprise (ESG). Elle couvre la mesure, le reporting et le pilotage du carbone ainsi que la décarbonisation de la chaîne d’approvisionnement, le risque climatique et l’analyse concurrentielle.

La nouvelle stratégie ESG s’appuie sur la force de l’alliance existante entre PwC et SAP, qui a fourni avec succès des solutions de transformation d’entreprise à des clients dans plus de 80 pays.

La stratégie comprend des solutions co-innovées, créées avec l’expertise approfondie de PwC en matière d’ESG et de comptabilité, visant à permettre aux entreprises d’appliquer des mesures ESG à travers leurs opérations fiables, auditables et vérifiables. Ces solutions s’appuient sur la solution SAP® Cloud for Sustainable Enterprises, ainsi que sur la solution SAP Sustainability Control Tower et la solution SAP Product Footprint Management. Ensemble, PwC et SAP aident les entreprises à tirer parti des solutions dont elles ont besoin pour satisfaire aux exigences de conformité et stimuler la croissance, afin de répondre aux attentes toujours plus grandes des clients et des investisseurs. Ils aident également les clients à façonner l’avenir de leur stratégie net zéro et de leur reporting sur le développement durable.

La stratégie de PwC et SAP comprend des solutions englobant une stratégie ESG à l’échelle de l’entreprise, allant de l’optimisation des transactions et de la reconnaissance des crédits d’impôt à la gestion des risques liés aux tiers et à l’analyse concurrentielle. Les trois principaux défis à relever en matière d’ESG, de réduction des émissions et de rapports sur le développement durable seront également abordés :

  • Le reporting et la diffusion aidant à satisfaire aux exigences en matière d’établissement de rapports et de diffusion des données sur la mesure du carbone de niveau investisseur, ceci afin de répondre aux demandes des investisseurs, prêteurs, régulateurs et clients.
  • L’opérationnalisation de la durabilité pour soutenir la prise en compte des mesures ESG, en particulier les questions sur le carbone, directement dans les fonctions commerciales, telles que la vente, la capitalisation et la fiscalité.
  • La gestion des risques, le suivi et la conformité de la chaîne d’approvisionnement étendant le soutien aux mesures ESG pour couvrir l’impact des fournisseurs sur les performances organisationnelles.

Des solutions comme l’outil primé Climate Excellence de PwC Allemagne, basé sur SAP Business Technology Platform, ont déjà démontré la force de la collaboration entre les deux organisations pour mettre sur le marché des innovations ESG.

PwC et SAP s’attachent à aider les entreprises à répondre aux exigences de reporting et d’auditabilité imposées par l’European Financial Reporting Advisory Group (EFRAG) et l’International Sustainability Standards Board (ISSB). Ils aident également les entreprises à se conformer à une décision connexe proposée par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Les solutions fournies par PwC et SAP permettent de créer l’environnement en temps réel, et axé sur les données dont les clients ont besoin pour exploiter et promouvoir l’entreprise durable de demain.

Bob Moritz, Global Chairman de PwC, a déclaré : « L’ESG est devenu un impératif commercial et est au cœur de la stratégie mondiale de PwC, ‘The New Equation’, qui vise à aider les clients à instaurer la confiance avec leurs parties prenantes et à obtenir des résultats durables. De nouvelles exigences en matière de reporting et de divulgation ESG sont établies, et une plus grande transparence est essentielle pour instaurer la confiance. Cette conviction est au cœur de notre nouvelle stratégie de co-innovation avec SAP qui vient élargir notre collaboration pour mettre l’accent sur le développement de solutions ESG. PwC a travaillé intensément afin d’aider les entreprises à répondre à leurs exigences pour atteindre leurs objectifs ESG. L’association entre notre expertise et notre réputation de confiance et d’intégrité à la plateforme technologique de SAP, permettra d’apporter des capacités et des solutions plus larges pour répondre aux défis des entreprises dans le respect de leurs engagements ESG et de durabilité. »

Christian Klein, CEO et Membre du Conseil d’Administration de SAP SE, a déclaré : « La clé de la capacité de chaque organisation à atteindre ses objectifs de durabilité et à susciter des changements positifs, est la transparence. Notre collaboration permettra de combiner l’expertise sectorielle approfondie et la connaissance des clients de PwC avec notre portefeuille de technologies de pointe en matière de développement durable. La transparence ESG qui en résultera aidera les entreprises à réinventer leurs modèles économiques et à obtenir des résultats durables dont le monde a besoin de toute urgence.”

Pour en savoir plus sur la stratégie de co-innovation ESG de PwC et SAP, visitez notre site Web.

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