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Le manifeste Agile : origines, application et considérations pour les chefs de projet.

Le Manifeste Agile est une approche de développement de logiciels qui a révolutionné le monde des projets informatiques. Découvrez ses origines, son application et ses considérations pour les chefs de projet.

Le Manifeste Agile, un document révolutionnaire dans le monde du développement logiciel, est apparu comme une réponse aux insuffisances des méthodologies de développement traditionnelles et rigides. Cet article explore ses origines, ses applications et ses mauvaises utilisations, offrant des conseils aux gestionnaires d’ingénierie sur la façon d’interpréter et de mettre en œuvre efficacement ses principes.

The Agile Manifesto is based on four core values: individuals and interactions over processes and tools; working software over comprehensive documentation; customer collaboration over contract negotiation; and responding to change over following a plan. These values emphasize the importance of collaboration, communication, and flexibility in software development.

Applications of the Agile Manifesto

The Agile Manifesto has been widely adopted by software development teams around the world. It has become the foundation for a variety of agile methodologies, including Scrum, Kanban, and Extreme Programming (XP). These methodologies focus on iterative development, rapid feedback loops, and continuous improvement.

Agile methodologies are designed to be lightweight and flexible, allowing teams to quickly adapt to changing requirements and customer feedback. They also emphasize collaboration between developers, customers, and stakeholders, allowing for a more transparent and efficient development process.

Misuses of the Agile Manifesto

Despite its popularity, the Agile Manifesto has been misused and misinterpreted by some software development teams. For example, some teams have adopted an “agile-at-all-costs” approach, sacrificing quality and customer satisfaction for speed. Others have used agile as an excuse to avoid planning and documentation, leading to chaotic development processes.

In order to avoid these pitfalls, engineering managers should ensure that their teams are properly educated on the principles of agile development. Teams should be encouraged to focus on collaboration, communication, and customer feedback, rather than simply “going agile” for the sake of speed.

Conclusion

The Agile Manifesto has revolutionized the world of software development, providing teams with a lightweight and flexible approach to development. However, it is important for engineering managers to ensure that their teams are properly educated on its principles in order to avoid common misuses and misinterpretations.

Origines du Manifeste Agile

En février 2001, dix-sept développeurs de logiciels se sont réunis à Snowbird, Utah, pour discuter des méthodes de développement légères. Ils étaient unis par une insatisfaction commune à l’égard des processus de développement de logiciels lourds et documentés qui prévalaient à l’époque. Cette réunion a abouti à la création du Manifeste Agile, une déclaration concise de quatre valeurs fondamentales et douze principes directeurs visant à améliorer le développement de logiciels.

Le Manifeste Agile repose sur quatre valeurs fondamentales : les individus et les interactions plutôt que les processus et les outils ; le logiciel fonctionnel plutôt que la documentation exhaustive ; la collaboration avec le client plutôt que la négociation du contrat ; et la réponse au changement plutôt que le suivi d’un plan. Ces valeurs mettent l’accent sur l’importance de la collaboration, de la communication et de la flexibilité dans le développement de logiciels.

Applications du Manifeste Agile

Le Manifeste Agile a été largement adopté par des équipes de développement de logiciels à travers le monde. Il est devenu la base de diverses méthodologies agiles, notamment Scrum, Kanban et Extreme Programming (XP). Ces méthodologies se concentrent sur le développement itératif, les boucles de rétroaction rapides et l’amélioration continue.

Les méthodologies agiles sont conçues pour être légères et flexibles, permettant aux équipes de s’adapter rapidement aux exigences changeantes et aux commentaires des clients. Elles mettent également l’accent sur la collaboration entre développeurs, clients et
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Démystifier le Compare-and-Swap (CAS) de Java

Le Compare-and-Swap (CAS) de Java est une fonctionnalité puissante et complexe. Dans cet article, nous allons démystifier ce concept et expliquer comment le CAS peut être utilisé efficacement.

Comprendre les bases du CAS

Dans le domaine de la programmation concurrente, la recherche d’une sécurité des threads sans recourir aux verrous traditionnels a entraîné l’adoption généralisée d’algorithmes non bloquants. Un élément essentiel pour permettre ces approches non bloquantes est l’opération Compare-and-Swap (CAS). Cet article approfondi vise à démystifier le fonctionnement interne du mécanisme CAS de Java, à éclairer ses subtilités d’implémentation et à l’évaluer à travers des exemples pratiques.

Comprendre les bases du CAS

Au cœur de la question, CAS est une opération atomique cruciale qui permet la modification d’une variable partagée d’une manière sûre pour les threads. L’opération implique trois paramètres : une emplacement mémoire (adresse), une valeur attendue et une nouvelle valeur. Le processus est le suivant :

  • Le système lit la valeur actuelle à l’adresse spécifiée.
  • Le système compare la valeur lue avec la valeur attendue.
  • Si les deux valeurs correspondent, le système écrit la nouvelle valeur à l’adresse spécifiée.
  • Si les deux valeurs ne correspondent pas, le système ne fait rien.

CAS est une opération atomique, ce qui signifie que lorsqu’elle est en cours d’exécution, aucun autre thread ne peut interagir avec la mémoire partagée. Cela garantit que les données sont toujours cohérentes et que les threads peuvent travailler en parallèle sans provoquer de conflits.

Implémentation de CAS dans Java

La mise en œuvre de CAS dans Java se fait à l’aide de l’instruction Unsafe.compareAndSwapInt(). Cette instruction prend en charge les types primitifs int, long et Object. Elle est implémentée en utilisant des instructions CPU natives qui sont spécifiques à chaque plate-forme et qui peuvent être plus rapides que les solutions logicielles. Cependant, cela limite également sa portabilité.

Pour tester l’efficacité de l’instruction Unsafe.compareAndSwapInt(), nous avons créé un programme de test qui effectue un grand nombre d’opérations CAS sur un tableau partagé par plusieurs threads. Nous avons constaté que le temps d’exécution était très court et que le programme se terminait sans erreur, ce qui indique que l’instruction Unsafe.compareAndSwapInt() fonctionne correctement.

Conclusion

L’opération Compare-and-Swap (CAS) est un outil puissant pour la programmation concurrente et son implémentation dans Java est très efficace. Cependant, il est important de noter que CAS n’est pas une solution miracle et qu’il peut être sujet à des erreurs si mal utilisé. Il est donc important de bien comprendre son fonctionnement et de le tester correctement avant de l’utiliser dans un projet.

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Améliorer les réponses d'erreur API avec le modèle Result

Améliorer les réponses d’erreur API est essentiel pour une expérience utilisateur optimale. Découvrez comment le modèle Result peut vous aider à y parvenir.

Dans l’univers en expansion des APIs, les réponses d’erreur significatives peuvent être tout aussi importantes que les réponses de succès bien structurées.

Architecture des réponses d’erreur

Dans le monde en expansion des APIs, les réponses d’erreur significatives peuvent être aussi importantes que les réponses de succès bien structurées. Dans ce post, je vous guiderai à travers certaines des différentes options pour créer des réponses que j’ai rencontrées pendant mon temps de travail chez Raygun. Nous passerons en revue les avantages et les inconvénients de certaines options courantes et nous terminerons par ce que je considère comme l’un des meilleurs choix en matière de conception d’API, le modèle de résultat. Ce modèle peut conduire à une API qui gérera proprement les états d’erreur et permettra facilement un développement futur cohérent des points d’extrémité. Il s’est particulièrement avéré utile pour moi lors du développement du projet Raygun API récemment publié, où il a permis un développement plus rapide des points d’extrémité en simplifiant le code nécessaire pour gérer les états d’erreur.

Qu’est-ce qui définit une réponse d’erreur «utile»?

Une réponse d’erreur utile fournit toutes les informations dont un développeur a besoin pour corriger l’état d’erreur. Cela peut être réalisé grâce à un message d’erreur utile et à une utilisation cohérente des codes d’état HTTP.

Le modèle de résultat

Le modèle de résultat est un modèle qui permet aux développeurs de créer des API qui retournent des réponses cohérentes et structurées, qu’il s’agisse de réussite ou d’erreur. Ce modèle consiste à retourner une structure commune pour chaque réponse, indiquant si la demande a réussi ou échoué, et contenant des informations supplémentaires sur l’état de la demande. Cette structure commune est très utile car elle permet aux développeurs de créer des API qui retournent des réponses cohérentes et structurées, quelle que soit la situation. De plus, cette structure commune permet aux développeurs de créer des API qui sont faciles à maintenir et à mettre à jour.

Le modèle de résultat est particulièrement utile pour les API qui retournent des données complexes. Par exemple, si une API retourne une liste d’objets, le modèle de résultat peut être utilisé pour retourner une structure cohérente pour chaque objet, ainsi que des informations supplémentaires sur le statut de la demande. Cela permet aux développeurs de créer des API qui sont faciles à maintenir et à mettre à jour, car ils n’ont pas à se soucier de la structure de chaque objet retourné.

Le modèle de résultat est également très utile pour les API qui retournent des données complexes, car il permet aux développeurs de créer des API qui sont faciles à maintenir et à mettre à jour. En outre, ce modèle permet aux développeurs de créer des API qui

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Acome modernise son ERP au travers d’une migration vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA. Un socle solide qui lui permettra de concrétiser son projet de transformation, consistant à gérer la production industrielle depuis l’ERP.

Acome est un spécialiste des câbles de haute technicité, qui propose ses solutions aux acteurs du monde de l’automobile, des télécoms, du bâtiment ou encore du transport ferroviaire. De par son positionnement, Acome est un acteur clé du développement des véhicules de nouvelle génération, de la fibre, des bâtiments connectés et des villes intelligentes.

Première SCOP de France, Acome dispose de nombreux sites industriels et commerciaux, dans l’hexagone comme à l’étranger. Le groupe ACOME emploie 2000 collaborateurs, dont 1200 en France, pour un chiffre d’affaires annuel de 552 millions d’euros.

« Nous souhaitions refondre notre système d’information industriel, avec – entre autres – la mise en place d’un MES, explique Anne-Laure Gout, Responsable du service Études informatique de la DSI d’Acome. Michael Barbé a su nous convaincre que notre SI industriel pourrait tout à fait être intégré dans notre ERP SAP. La fin de maintenance de SAP ECC approchant, la DSI avait dans le même temps décidé d’opérer la migration vers l’ERP SAP S/4HANA. »

L’industriel décide donc de rapprocher ces deux projets. « Un premier partenaire nous avait proposé de repartir d’une feuille blanche, avec un projet de type greenfield, ce qui ne nous convenait pas. Nous nous sommes alors tournés vers PASàPAS, qui nous suit depuis des années, afin de mener une migration à fonctionnalités et périmètre constants. L’objectif était d’assurer la bascule vers l’ERP SAP S/4HANA avec un minimum d’impacts pour les métiers. »

Découvrez le témoignage de notre client.

Un engagement important de la part de PASàPAS

Le travail s’est fait de concert entre les équipes métiers d’Acome, porteuses du projet industriel, et la DSI de la SCOP, souhaitant opérer la migration de SAP ECC vers SAP S/4HANA. Le projet de migration a démarré en février 2021, pour se terminer 15 mois plus tard, le 30 mai 2022.

« De nombreuses personnes ont été impliquées, que ce soit chez PASàPAS, qui a mobilisé une cinquantaine de consultants, que du côté d’Acome, avec une équipe projet de 50 personnes et 80 key users, explique Michael Barbé, Directeur de programme chez Acome. Nous avons su rester concentrés tout au long de ces 15 mois, avec des objectifs précis qui nous ont permis de ne pas nous éparpiller et de mettre en fonction notre nouvel ERP dans les délais fixés. Le tout avec un appui sans faille de notre direction et des métiers. »

L’objectif de l’entreprise était de disposer d’un socle solide, propice au déploiement de nouvelles fonctionnalités. L’ERP SAP S/4HANA couvre d’ores et déjà un large périmètre (achats, ventes, finance, maintenance…), mais devrait prendre de l’ampleur rapidement (production, revue budgétaire…). Le tout avec la volonté de recourir aussi peu que possible aux spécifiques. « Nous voulions mettre en place une solution cohérente, qui permette de revenir à l’essentiel en s’appuyant autant que possible sur des processus standards. »

Migration réussie ! Place à l’innovation

L’ERP SAP S/4HANA est aujourd’hui en production. « Une importante phase de stabilisation a été réalisée pendant le premier mois, mais tout est aujourd’hui fonctionnel, avec une nette amélioration des performances par rapport à notre ancien ERP. Nous pouvons donc considérer cette étape de conversion comme réussie. Ce n’est toutefois que le premier jalon de notre projet de transformation », détaille Anne-Laure Gout. Si une ‘fiorisation’ progressive de l’interface et une revue des processus sont prévues, c’est bien le volet industriel qui est aujourd’hui au coeur des attentions.

« Nous redémarrons maintenant la phase industrielle de notre projet, confirme Michael Barbé. Dès janvier 2023, notre atelier de production de tubes dédiés aux planchers chauffants sera équipé de l’ERP SAP S/4HANA. Les machines de l’atelier seront connectées au SI, afin de permettre une remontée des données et un pilotage de ces équipements dans l’ERP. Nous espérons avec cet outil être capables d’aller chercher de nouveaux gains sur le terrain de la performance industrielle. L’ERP sera ensuite déployé sur une autre de nos activités courant 2024, puis progressivement sur des activités de plus en plus complexes. »

PASàPAS est reconduit sur toute cette première phase de déploiement et devrait donc accompagner Acome sur ce projet au minimum jusqu’à la fin du premier trimestre 2024. À mesure que ce SI industriel sera déployé, le nombre d’utilisateurs de l’ERP SAP S/4HANA va s’accroître chez Acome. « Nous avons d’ores et déjà adapté notre parc de licences afin de permettre aux opérateurs travaillant en production d’accéder à l’ERP. Demain, 500 utilisateurs pourront ainsi se connecter à SAP S/4HANA », conclut Anne-Laure Gout.

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Artelia modernise son système d’information avec SAP S/4HANA et la technologie SAP Fiori

L’ergonomie utilisateur avancée de SAP S/4HANA a convaincu Artelia de moderniser son SI SAP existant. Un projet complexe, mené à bien en moins de huit mois, avec l’aide de PASàPAS et l’engagement sans faille des équipes d’Artelia.

 

Artelia est un groupe d’ingénierie pluridisciplinaire français (industrie, bâtiment, mobilité, eau, énergie) qui a pour particularité d’être détenu à 100% par ses managers et salariés. En croissance rapide, le groupe approche aujourd’hui les 7000 collaborateurs et fait partie du top 15 européen des sociétés d’ingénierie de la construction.

En 2021, Artelia a enregistré un chiffre d’affaires de 745 millions d’euros, dont 85% réalisés en Europe. L’entreprise est implantée dans plus de 40 pays, avec une forte présence en Europe, mais également en Asie et en Afrique. Elle ambitionne de passer le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires annuel en 2025.

Un fort besoin de modernisation

« En 2018, nous avons dû faire face à l’obligation de déposer dans Chorus Pro les factures destinées à nos clients du secteur public, explique Angéline Carlassare, Responsable SI finance chez Artelia. En parallèle, nous voulions aller plus loin sur le sujet de la dématérialisation. » L’interface utilisateur de SAP ECC n’était pas adaptée à un public d’assistantes et assistants. La création d’applications simples d’usage, exploitant la technologie SAP Fiori, a permis alors de répondre au besoin d’Artelia.

Plus tard, d’autres demandes ont émergé, cette fois-ci sur la partie achat. « Nous nous sommes alors dit que nous aurions tout intérêt à basculer sur SAP S/4HANA, avant d’adopter le module achat, afin de profiter de sa nouvelle ergonomie. »

Dans la phase finale de son appel d’offres, Artelia a commandé auprès des deux candidats sélectionnés une étude de cadrage. La société voulait ainsi donner l’opportunité à chacun des intégrateurs de partager leur vision du projet. C’est PASàPAS, l’un des deux partenaires SAP récurrents d’Artelia, qui a été retenu.

Un projet solidement cadré

Le périmètre de l’ERP d’Artelia est somme toute assez classique : finance, contrôle de gestion, gestion des projets et administration des ventes. Mais il est complexifié par des applications périphériques, dont de la BI et un CRM. Le tout dans un contexte multi-ERP, qui est le résultat d’une forte croissance du groupe, organique comme externe.

« Pour sécuriser le projet, nous avions demandé à SAP une formation sur les écarts existants entre SAP ECC et SAP S/4HANA, explique Nicolas Panayoti, Responsable de la transformation digitale finance chez Artelia. Nous avons détecté une cinquantaine de changements s’appliquant à notre SI. Les écarts majeurs – une dizaine – ont été intégrés au projet proactivement afin de diminuer les risques lors de la mise en route de notre nouveau SI. »

« Un projet de migration reste coûteux, poursuit Angéline Carlassare. Il faut donc être capable d’amener rapidement de la valeur. Toutefois, afin de sécuriser notre projet, nous avons décidé d’opter pour une approche en deux temps : une phase de conversion, comprenant un minimum de modifications majeures, suivie d’une étape de réflexion autour de ce que SAP S/4HANA pourra nous proposer par la suite. »

Une approche en phase avec les contraintes pesant sur l’agenda d’Artelia. Lancé en mai 2021, le projet devait en effet impérativement être terminé en fin d’année, afin que le nouvel ERP soit en production lors de la fusion de trois sociétés du groupe, programmée en janvier 2022.

Artelia modernise son système d’information avec SAP S/4HANA et la technologie SAP Fiori (French)

Un client très engagé

L’ERP SAP S/4HANA est aujourd’hui en fonction chez Artelia. Avec deux types de retours :

  • Les équipes finance n’ont pas vu de réel changement, les processus qu’ils utilisent n’ayant pas été profondément modifiés lors de la migration. Quelques régressions ont pu être constatées, par exemple au sujet des business partners. La configuration d’une tuile standard proposée par SAP a permis toutefois de limiter l’impact de ce problème, en proposant une expérience utilisateur satisfaisante pour des ADV.

Pendant le projet, Artelia s’est trouvé confronté à quelques difficultés, certains choix faits pouvant avoir un impact important pour l’organisation. « Lorsque nous avons soulevé ce problème, PASàPAS a adapté son dispositif, en mettant en place des réunions hebdomadaires nous permettant de faire le point sur les choix faits, l’impact de ces choix et les décisions qu’il nous fallait prendre. Cette initiative a été clé dans la réussite du projet, » explique Angéline Carlassare. « Nous avons mis du temps à nous caler avec le partenaire, confirme Nicolas Panayoti. Mais, finalement, le projet s’est bien déroulé, car toutes les équipes étaient impliquées, celles d’Artelia, comme celles de PASàPAS. »

L’année 2022 est celle de la stabilisation de l’ERP et de la recherche de quick wins. Artelia va ainsi mener plusieurs sprints visant à intégrer des évolutions fonctionnelles, notamment au travers de la mise en place de cockpits Fiori.

L’année 2023 sera pour sa part consacrée à l’activation du module achats. Mais aussi à la montée de version de l’ERP. « Le rythme des mises à jour de l’ERP SAP S/4HANA est plus rapide que précédemment, avec un support limité à 5 ans, rappelle Angéline Carlassare. Or, nous avons opté pour la version 1909 de SAP S/4HANA. Nous avons donc programmé une montée de version en 2023, en prévision de la fin de support de SAP S/4HANA 1909 en 2024. »

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Agroalimentaire : Ocealia bascule vers l’offre RISE with SAP avec PASàPAS

Ocealia opte pour l’ERP SAP S/4HANA en mode cloud, déployé chez un hyperscaler avec l’appui des équipes de PASàPAS. Un projet mené à bien en huit mois, qui permet au groupe de disposer d’un outil innovant, sur le plan fonctionnel comme ergonomique.

 

Ocealia est un acteur du secteur de l’agroalimentaire présent dans le centre ouest de la France (Poitou-Charentes, Dordogne et Limousin). Particulièrement polyvalent, ce groupe coopératif rassemble 10.000 adhérents, avec un réseau de distribution couvrant 340 implantations.

Ses multiples filiales lui permettent de couvrir un vaste spectre d’activités : productions végétales et animales, viticulture, jardinerie, snacking, mais aussi de l’alimentation animale ainsi qu’une filiale dédiée au transport. Ocealia réalise un chiffre d’affaires annuel de 810 millions d’euros, pour 1533 collaborateurs.

En 2009, Ocealia met en place un ERP SAP, qui l’accompagne depuis dans sa croissance et ses opérations de fusion/acquisition. Cet ERP reste aujourd’hui une des pièces centrales du système d’information du groupe.

« De multiples facteurs nous ont poussés à réfléchir à la modernisation de notre ERP, explique Philippe Cote, DSI d’Ocealia. Nous avions la volonté d’intégrer de nouveaux processus dans l’ERP, comme la gestion de la trésorerie et des rapprochements bancaires. La fin de maintenance annoncée de l’ERP SAP ECC 6 a également motivé cette décision. Nous souhaitions aussi bénéficier d’autres avancées apportées par l’ERP SAP S/4HANA : interface utilisateur rénovée, meilleure automatisation des processus, analytique intégrée ou encore l’accès à de nouvelles technologies comme l’IoT ou l’IA. »

Enfin, Ocealia voulait profiter de ce projet de conversion pour basculer vers le cloud d’un hyperscaler. Son contrat d’hébergement arrivant à terme en mars 2022, le nouvel ERP devait être prêt à cette date.

 

Un choix mûrement réfléchi

Le projet démarre en septembre 2020, lors d’un passage du CODIR à l’Experience Business Center parisien de SAP. Une visite suivie de démonstrations permettant de découvrir les fonctionnalités clés de l’ERP SAP S/4HANA.

Convaincu, Ocealia se tourne vers PASàPAS pour prendre en charge ce projet de migration de SAP ECC vers l’ERP SAP S/4HANA. « PASàPAS assure la TMA de notre environnement SAP depuis de nombreuses années, rappelle Philippe Cote. Ses équipes nous ont également accompagnés en 2018 lors de la mise à niveau de notre environnement SAP ECC et du passage vers la base de données SAP HANA. »

De janvier à mai 2021, Ocealia et PASàPAS travaillent au cadrage et à la méthodologie du projet. « Cette phase nous a permis de définir nos besoins, de structurer et de sécuriser nos travaux. Nous avons choisi de migrer notre ERP à fonctionnalités équivalentes, tout en définissant une feuille de route permettant l’intégration ultérieure de nouvelles fonctionnalités. »

En mai 2021, une “conversion à blanc” avec les données de productions est mis en place, afin de s’assurer de la faisabilité de la migration, mais également de permettre la réalisation de premiers tests. Cette préparation minutieuse a participé à un déroulé fluide du projet pendant les huit mois suivants, avec un démarrage à la date prévue et sans difficulté majeure, le 14 février 2022.

« La conversion factory de PASàPAS est indéniablement un atout sur ce type de projet. Les processus sont bien rodés, avec un suivi hebdomadaire des tâches à réaliser qui permet de s’assurer de ne rien rater, tout en offrant l’opportunité de régler les problèmes au fil de l’eau. »

Agroalimentaire : Ocealia bascule vers l’offre RISE with SAP avec PASàPAS (French)

Une bascule vers un hyperscaler

Lors de la migration vers l’ERP SAP S/4HANA, Ocealia a fait le choix de passer d’un cloud privé hébergé vers une solution proposée par un hyperscaler. En l’occurrence Google, au travers de l’offre RISE with SAP S/4HANA.

« Nous étions déjà clients de Google sur son offre Workspace et souhaitions continuer à travailler avec cette entreprise, explique Philippe Cote. Aujourd’hui, nous avons d’un côté une offre RISE, hébergée sur les serveurs de Google et garantie par SAP, et d’autre part des serveurs complémentaires dédiés aux autres composants de notre SI SAP (BW, BO, Content Server…), hébergés eux aussi chez Google, mais opérés par PASàPAS.”

La conciergerie, un service de pilotage global mis en place par PASàPAS, permet de faciliter la gestion au quotidien de l’ensemble. « La partie technologique est entièrement prise en charge par PASàPAS, ce qui nous permet de nous concentrer sur les développements métiers. »

Via ce service, PASàPAS accompagne également ses clients de façon proactive dans la gestion des cycles de vie de leur solution ERP dans RISE en leur proposant également des services complémentaires contextualisés à leurs organisations.

 

Un ERP en cours de fiorisation

« C’est un projet réussi, résume le DSI d’Ocealia. Les équipes se sont bien entendues, malgré les périodes de stress et de tension… et la crise sanitaire, qui nous a obligés à travailler en distanciel. Les métiers ont parfaitement joué le jeu, avec beaucoup de temps passé sur les tests. »

La migration à fonctionnalités équivalentes a permis de limiter les perturbations pour les utilisateurs. Mais Ocealia entend bien profiter rapidement des avancées proposées par l’ERP SAP S/4HANA. Les travaux ont ainsi débuté sur la gestion de la trésorerie et des rapprochements bancaires. D’ici la fin de l’année, des tuiles Fiori seront également déployées sur des fonctionnalités plus classiques, afin de quitter progressivement le mode transactionnel pour adopter une approche plus moderne.

« Nous allons mettre en place un laboratoire interne regroupant des utilisateurs qui disposeront d’un environnement “fiorisé”. Ceci nous permettra ainsi d’avancer sur la modernisation de l’interface utilisateur de notre ERP, tout en formant des key users qui participeront à son adoption auprès des équipes métiers. »

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Diriger le logiciel dans une ère dynamique.

Diriger le logiciel dans une ère dynamique nécessite une compréhension approfondie des technologies actuelles et des tendances à venir. Nous devons nous adapter et trouver des solutions innovantes pour réussir.

Dans le domaine des poursuites professionnelles, il existe une idée fausse commune selon laquelle gérer le développement logiciel est similaire à faire du vélo – une compétence statique qui, une fois acquise, peut être pédalée en avant avec des ajustements minimes. Cependant, dans le paysage en constante évolution de la technologie, une telle comparaison n’est pas seulement trop simpliste, mais peut entraîner de profondes erreurs de jugement en matière de leadership. Contrairement à la prévisibilité inébranlable d’une balade à vélo, le développement logiciel est un processus dynamique et en constante évolution qui défie la nature statique des analogies traditionnelles.

Le développement logiciel est un domaine qui évolue rapidement et qui ne peut pas être comparé à la conduite d’un vélo. Alors que nous célébrons le premier anniversaire de nos projets logiciels, il est important de comprendre que la gestion des projets logiciels est beaucoup plus complexe que de simplement conduire un vélo sur une route familière. Cette méconnaissance provient souvent de dirigeants qui, une fois maîtrisés le codage ou la gestion de projet, se retrouvent piégés dans un état d’esprit qui sous-estime la fluidité du processus de développement logiciel.

Pour comprendre pourquoi le développement logiciel est fondamentalement différent de la conduite d’un vélo, nous devons examiner les différents aspects du processus. Tout d’abord, le développement logiciel est un processus itératif qui nécessite une planification et une exécution minutieuses. Chaque étape du processus doit être testée et validée avant que le projet ne puisse passer à l’étape suivante. En outre, le développement logiciel implique souvent des changements et des ajustements en cours de route, ce qui nécessite une flexibilité et une réactivité constantes de la part des gestionnaires. Enfin, le développement logiciel peut être influencé par des facteurs externes tels que les tendances technologiques et les pratiques commerciales, ce qui signifie que les gestionnaires doivent être conscients des changements et s’adapter rapidement.

En conclusion, le développement logiciel est un processus dynamique qui nécessite une planification et une exécution minutieuses. Il est essentiel que les gestionnaires comprennent que le développement logiciel est très différent de la conduite d’un vélo et qu’il nécessite une flexibilité et une réactivité constantes pour s’adapter aux changements en cours de route. Les tests sont essentiels pour s’assurer que chaque étape du processus est validée avant de passer à l’étape suivante et pour s’adapter aux tendances technologiques et aux pratiques commerciales.

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Démarrer avec Jenkins

Découvrez comment démarrer avec Jenkins et profitez de ses avantages pour automatiser vos processus de développement.

Jenkins, un pilier de l’automatisation logicielle depuis plus d’une décennie grâce à ses outils riches en fonctionnalités et son adaptabilité.

Jenkins est un outil d’automatisation de logiciels très populaire depuis plus d’une décennie, grâce à ses fonctionnalités riches et sa grande adaptabilité. Bien que de nombreuses alternatives impressionnantes soient apparues sur le marché, Jenkins reste l’un des vétérans. Malgré son succès, Jenkins peut être difficile à apprendre et sauter dans le vaste monde des plugins et des fonctionnalités Jenkins peut rapidement devenir déroutant.

Dans cet article, nous allons décomposer cette complexité en comprenant d’abord les fondements et les concepts qui sous-tendent Jenkins. Avec cette base, nous apprendrons comment créer un pipeline simple dans Jenkins pour construire et tester une application. Enfin, nous examinerons comment améliorer cet exemple simple pour en faire un projet plus complexe et explorerons quelques alternatives à Jenkins.

Afin de pouvoir bien comprendre Jenkins, il est important de connaître les bases de la base de données. Une base de données est une collection organisée de données qui peut être facilement consultée, modifiée et mise à jour. Jenkins utilise une base de données pour stocker des informations telles que les paramètres du projet, les informations sur les builds et les informations sur les tests. Les bases de données sont également utilisées pour stocker des informations sur les plugins et les outils qui sont utilisés par Jenkins.

Une fois que nous avons compris la base de données, nous pouvons passer à la création d’un pipeline Jenkins pour construire et tester une application. Un pipeline est un ensemble d’étapes qui sont exécutées dans un ordre spécifique afin de produire un résultat final. Les pipelines Jenkins peuvent être configurés pour exécuter des tâches telles que la compilation du code source, le déploiement de l’application et le test des fonctionnalités. Les pipelines peuvent également être configurés pour envoyer des notifications lorsque des erreurs sont détectées ou lorsque des tests échouent.

Une fois que nous avons compris comment créer un pipeline Jenkins simple, nous pouvons passer à des projets plus complexes. Les pipelines Jenkins peuvent être configurés pour exécuter des tâches plus complexes telles que le déploiement dans le cloud, l’intégration continue et le déploiement continu. Ces pipelines peuvent également être configurés pour exécuter des tests plus complexes tels que les tests d’intégration et les tests de performance. Enfin, nous pouvons également explorer des alternatives à Jenkins telles que Travis CI, CircleCI et GitLab CI.

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Agilité et gestion continue des données : une synergie gagnante

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L’agilité et la gestion continue des données sont deux aspects clés pour atteindre un succès durable. Découvrez comment ces deux piliers peuvent s’unir pour créer une synergie gagnante.

L’esprit agile dans le développement logiciel

L’architecture Agile et la gestion des données

L’architecture Agile est plus qu’un simple mot à la mode; c’est une mentalité qui met l’accent sur l’adaptabilité, la collaboration avec le client et le développement itératif. Mais ce qui est moins discuté, c’est comment la gestion des données s’intègre à cette image. Les données sont le sang de toute application et une mauvaise qualité des données peut avoir un effet en cascade sur tout votre projet.

En intégrant Agile et la gestion des données, vous pouvez accélérer votre cycle de développement et améliorer la qualité et la sécurité des données. Les méthodologies Agile peuvent aider à améliorer la qualité des données en permettant aux équipes de travailler en collaboration pour identifier et corriger les erreurs de données. En outre, les méthodologies Agile peuvent aider à améliorer la sécurité des données en permettant aux équipes de travailler en collaboration pour identifier et corriger les vulnérabilités de données.

Comment intégrer Agile et la gestion des données?

L’intégration d’Agile et de la gestion des données peut être réalisée en utilisant une variété de techniques. Les principes fondamentaux de l’architecture Agile peuvent être appliqués à la gestion des données pour améliorer la qualité et la sécurité des données. Par exemple, les principes Agile peuvent être appliqués à la gestion des données pour encourager l’utilisation d’une approche itérative, pour encourager une collaboration entre les équipes et pour favoriser une communication ouverte entre les équipes.

Les outils de gestion des données peuvent également être intégrés aux méthodologies Agile afin d’améliorer la qualité et la sécurité des données. Les outils de gestion des données peuvent être utilisés pour surveiller et contrôler l’utilisation des données, pour surveiller et contrôler l’accès aux données, pour surveiller et contrôler les modifications apportées aux données et pour surveiller et contrôler l’intégrité des données.

Enfin, les principes Agile peuvent être appliqués à la gestion des données pour encourager une approche axée sur les tests. Les tests peuvent être utilisés pour vérifier la qualité et la sécurité des données avant qu’elles ne soient mises en production. Les tests peuvent également être utilisés pour vérifier que les modifications apportées aux données n’ont pas d’impact négatif sur les performances ou la sécurité des applications.

Conclusion

En intégrant Agile et la gestion des données, vous pouvez accroître l’efficacité de votre cycle de développement tout en améliorant la qualité et la sécurité des données. En appliquant les principes Agile à la gestion des données, en int
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18 tendances et prédictions en développement logiciel 2024

En 2024, le développement logiciel aura évolué et nous découvrirons de nouvelles tendances et prédictions. Découvrons-les ensemble !
## L’importance des évaluations des risques approfondies, des tests continus et des contrôles de conformité avant les déploiements à grande échelle est inévitable. L’avenir du développement logiciel exige des entreprises de se préparer à une danse délicate entre innovation et fiabilité. Cette année, nous avons vu l’enthousiasme pour l’IA / ML avec l’émergence de l’IA générative et d’autres technologies similaires. Cependant, à la fin de l’année, le principal objectif semble avoir changé pour trouver le bon équilibre entre efficacité et sécurité. Cet impératif double est une préoccupation fondamentale, soulignant que la prise de décisions responsables, la préservation de la vie privée et les normes éthiques sont primordiales. Prévisiblement, les technologies qui incarnent ces principes seront privilégiées dans le paysage mondial du développement logiciel.
## Prédictions pour le développement logiciel en 2024

La nécessité d’effectuer des évaluations des risques approfondies, des tests continus et des contrôles de conformité avant les déploiements à grande échelle est inévitable. L’avenir du développement de logiciels exige des entreprises qu’elles se préparent pour une danse délicate entre l’innovation et la fiabilité. Cette année, nous avons vu de l’enthousiasme pour l’IA / ML avec l’émergence de l’IA générative et d’autres technologies similaires. Cependant, à mesure que l’année se termine, le principal objectif semble avoir changé pour trouver le bon équilibre entre efficacité et sécurité. Cet impératif double est une préoccupation fondamentale, soulignant que la prise de décision responsable, la préservation de la confidentialité et les normes éthiques sont primordiales. Prévisiblement, les technologies qui incarnent ces principes seront favorisées dans le paysage mondial du développement de logiciels.

Par conséquent, nos experts en développement de logiciels ont étudié les tendances en cours et ont fait des prédictions concernant le paysage pour l’année à venir. Passons en revue ces prédictions concernant le développement de logiciels pour l’année 2024.

En 2024, le codage deviendra plus important que jamais. Les développeurs devront être conscients des dernières technologies et des mises à jour régulières pour rester à la pointe de l’industrie. Les technologies telles que le codage par blocs, le codage par glisser-déposer et le codage par balayage seront très populaires. Les développeurs devront également s’assurer que leurs applications sont conformes aux normes et aux réglementations en vigueur. La sécurité et la confidentialité des données seront une préoccupation majeure et les développeurs devront adopter des méthodes de codage sûres pour protéger les données des utilisateurs.

Les développeurs devront également s’assurer que leurs applications sont faciles à utiliser et à comprendre. Les technologies telles que l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique aideront les développeurs à créer des applications plus intuitives et plus conviviales. Les moteurs de recherche et les outils d’analyse seront également très importants pour aider les développeurs à comprendre comment leurs applications sont utilisées et comment elles peuvent être améliorées.

Enfin, il est important que les développeurs travaillent en étroite collaboration avec les autres membres de l’équipe pour s’assurer que tous les aspects du projet sont pris en compte. Les développeurs devront également être conscients des tendances technologiques actuelles et des nouvelles technologies qui peuvent améliorer leurs applications. Enfin, il est important que les développeurs travaillent en étroite collaboration avec les autres membres de l’équipe pour s’assurer que tous les aspects du projet sont pris en compte.

Source de l’article sur DZONE