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SAP NEWSBYTE – 16 août, 2021 – SAP SE (NYSE: SAP) a annoncé aujourd’hui avoir acquis la propriété intellectuelle de SwoopTalent, un leader de la gestion des données sur les talents, dans le cadre d’une acquisition d’actifs.

L’intégration des données et de la technologie d’apprentissage automatique de SwoopTalent aux solutions SAP® SuccessFactors® renforcera la vision de SAP en matière de gestion de l’expérience humaine (HXM), qui donne la priorité aux expériences individuelles des employés et aux opportunités dynamiques qui stimulent l’engagement, améliorent l’agilité organisationnelle, permettant ainsi d’alimenter la transformation de l’entreprise.

« L’individualisation à grande échelle nécessite une plateforme de données sophistiquée et puissante qui s’étend sur plusieurs systèmes « , explique Meg Bear, directrice des produits SAP SuccessFactors. « En rendant les données plus fiables et plus accessibles, nous pouvons aider nos clients à acquérir des connaissances approfondies sur la main d’oeuvre afin d’améliorer, de renouveler et de redéployer efficacement les compétences et de préparer l’avenir de leur entreprise. Les fondateurs de SwoopTalent sont des leaders d’opinion de l’industrie avec une expertise avérée dans l’utilisation des données, l’apprentissage automatique et l’analyse visant à perfectionner la gestion des ressources humaines et rendre les organisations plus compétitives. Nous sommes ravis de les voir rejoindre SAP pour faire avancer notre stratégie HXM. »

Fondée en 2012, SwoopTalent a développé une plateforme alimentée par l’IA qui combine, analyse et entraîne les données provenant de différents systèmes et flux de travail RH. SAP prévoit d’utiliser la technologie de SwoopTalent pour renforcer ses capacités d’IA et fournir aux clients un regard holistique et continuellement mis à jour sur leurs main d’oeuvre – des compétences et capacités aux intérêts et préférences d’apprentissage – afin qu’ils puissent mettre en accord les compétences de chacun aux emplois internes, aux projets, aux formations, aux tuteurs et bien plus encore. Plusieurs employés de l’ingénierie de SwoopTalent rejoindront également l’équipe SAP SuccessFactors.

« Les organisations sont à un moment charnière, car le travail est redéfini autour de l’agilité, de l’objectif et de la culture« , a déclaré Stacy Chapman, PDG et fondatrice de SwoopTalent. « Avec le HXM, SAP a la bonne vision et la bonne stratégie pour fournir une technologie qui permet aux individus de se perfectionner et de construire une carrière en phase avec leurs intérêts et leurs compétences. SAP et SwoopTalent sont en parfaite adéquation culturelle et partagent les mêmes valeurs. Nous sommes ravis de continuer à faire progresser le HXM ensemble« .

SAP et SwoopTalent ont convenu de ne pas divulguer le prix d’achat ou d’autres détails financiers de cette transaction.

Pour en savoir plus, lisez « Empowering a Future-Ready Workforce : Why Data and Our Latest Asset Acquisition Are Key » et notez bien la date de l’événement SuccessConnect le 13 octobre 2021.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

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La gestion d’une PME comme la montée en puissance d’une ETI impliquent nécessairement la digitalisation des processus de l’entreprise. Pour gagner en compétitivité sur le marché actuel, l’implémentation d’un ERP se révèle être un atout indéniable. En effet, il est indispensable d’automatiser les tâches, de fournir des services à distance et de rendre les données accessibles depuis différents supports.

Gérer efficacement les bases de données devient capital et relève d’un véritable enjeu stratégique pour chaque société. Leviers de croissance, centralisation et hiérarchisation des données permettent aux entreprises de se développer. L’externalisation informatique via le cloud assure une flexibilité et une sécurité supplémentaires dans le stockage et la mise à jour des databases. La maintenance à distance réduit considérablement les coûts. Il s’agit aussi de s’adapter aux fluctuations du marché en temps réel avec une réactivité à l’épreuve des aléas économiques. Tous les secteurs d’activité sont alors concernés par la transformation numérique ou l’optimisation de la solution digitale déjà en place. L’importance croissante du commerce en ligne accélère d’ailleurs la tendance.

Le traitement des informations requiert un logiciel de gestion d’entreprise performant, adapté à la taille de la structure et conçu pour permettre son évolution en fonction des objectifs fixés. Le système ERP soutient l’activité dans des conditions de rentabilité optimale au niveau de la production mais aussi de la gestion et du commerce. Il offre également un outil d’analyse fiable pour définir une stratégie d’entreprise pérenne. La solution ERP garantit un pilotage sur-mesure aux PME comme aux ETI. Mais derrière la technologie ERP et sa définition marketing, quelles modalités de déploiement assurent une compétitivité sans délai ? Voici tout ce qu’il faut savoir pour mettre à profit un ERP d’entreprise avec une intégration système réussie, une interface conviviale pour ses utilisateurs et un support client irréprochable.

Tous les bénéfices d’un système ERP pour les PME et les ETI

La transition numérique met en avant l’ERP avec une signification pas toujours accessible aux personnes extérieures au service informatique de l’entreprise. Pourtant, les PME comme les ETI peuvent elles aussi faciliter leur digitalisation en ayant recours à un Progiciel  de Gestion  Intégré  (PGI, de l’anglais ERP), conçu par un éditeur spécialisé. Les coûts de gestion de l’entreprise diminuent également avec l’automatisation des tâches récurrentes et la fin des répétitions de saisies informatiques inutiles entre les services. Avec un PGI, il n’est pas nécessaire d’investir dans une licence pour chaque poste de travail : il gère l’ensemble du système informatique et partage les données en temps réel avec les départements concernés.

Dans l’industrie, les sociétés de services et le commerce, les PME gagnent ainsi du temps et économisent sur leur budget annuel. Les équipes peuvent davantage mettre à profit leur énergie sur des tâches à valeurs ajoutées. L’Enterprise Resource Planning porte les petites structures au rang des ETI. Mais que signifie exactement ce terme informatique et quelles applications trouve-t-il dans les processus de gestion des informations et des services opérationnels des entreprises ?

Qu’est-ce qu’un ERP ?

Le terme désigne un logiciel professionnel aux multiples fonctionnalités. Il est conçu pour répondre à l’efficacité de gestion des processus informatisés de l’entreprise. En français, il est aussi connu sous l’appellation PGI pour Progiciel de Gestion Intégré. Il regroupe un ensemble de programmes paramétrables en fonction des utilisateurs et des besoins en lien avec l’activité. Il intègre à son système d’informations toutes les fonctions d’une société. Outil de gestion informatisée, il met à disposition des services concernés toutes les ressources nécessaires au fonctionnement de l’entreprise. Le PGI favorise le travail en équipe et assure la transmission des données entre les différents départements. Il permet d’interagir avec un site client. Il sert de passerelle entre les données des sites de production et celles des points de livraison. Le PGI promet une logistique sans faille. Mais qu’en est-il plus concrètement ?

Son rôle dans le fonctionnement d’une entreprise

Dans une usine de production, par exemple, l’ERP centralise toutes les informations utiles pour assurer les commandes et les livraisons dans les délais prévus. Il adapte le rendement au stock disponible et au coût total. Il peut être programmé pour commander les matériaux automatiquement avant une pénurie pénalisante. L’ERP envoie alors la facturation de l’approvisionnement au service comptabilité. Il permet de planifier les roulements des équipes en fonction de la rentabilité de la production. Il fournit l’analyse financière nécessaire à la prise de décisions. Les données sont disponibles en temps réel. Même les ressources humaines peuvent bénéficier des applications du PGI. La base de données utilisée prévoit le croisement des informations, leur classement et leur extraction en fonction des stratégies préalablement définies. Autrement dit, l’ERP fluidifie l’agrégation et le traitement des données de toute l’entreprise pour que tous ses services en tirent profit.

L’ERP s’adresse également aux commerces et à la grande distribution. Un logiciel de gestion commerciale facilite la logistique au quotidien et la traçabilité des produits. Il s’inscrit dans une logique de gestion du cœur de métier ou des fonctions administratives comme l’émission des bulletins de paie. L’accès aux différentes informations de la filière entière reste toutefois soumis à des autorisations validées par la structure organisationnelle de l’entreprise. Mais tous les intervenants concernés partagent la même information immédiatement actualisée.

Le fonctionnement d’un ERP au sein d’une PME

L’avantage principal d’une intégration de système réside dans l’homogénéité des données accessibles. La mise à jour d’une information au niveau d’un poste de travail se transmet à tous les étages de l’organigramme de gestion. Chacun dispose des mêmes éléments pour traiter les tâches qui lui sont imparties. Tous bénéficient de la capitalisation des données stockées au sein du réseau interne. L’implémentation d’un ERP implique aussi des passerelles entre les différents programmes des départements spécifiques et leurs nombreux périphériques. Les données transitent sans problèmes de compatibilités ni d’interfaces. Le PGI communique avec les serveurs des fournisseurs et des clients lorsque le contexte s’y prête. Il est alors primordial de définir les fonctionnalités indispensables à l’activité.

Le logiciel gestion commerciale peut gérer l’envoi de mails pour une prospection régulière et une fidélisation des clients efficace. Certains secteurs ont intérêt à utiliser des assistants digitaux pour filtrer les communications par type d’informations. Chaque entreprise a son propre fonctionnement, l’ERP lui donne les moyens de l’optimiser avec une solution globale ou spécifique. Les conseils spécialisés de l’éditeur du progiciel de gestion d’entreprise apportent une expertise dans le choix des applications à mettre en place dans une filière particulière. Un diagnostic ERP après un audit complet des besoins de l’entreprise donne des perspectives nouvelles d’évolution sur le marché.

Choisir un progiciel de gestion intégré en fonction des besoins du business

La nature des données détermine en partie l’algorithme à utiliser. Les informations d’une ligne de production dans une usine ne sont pas du même ordre que celles d’une entreprise de services. Le commerce en ligne requiert des fonctionnalités spécifiques à son activité. La gestion des ressources humaines, des finances ou de la relation clients nécessitent des technologies adaptées à leur environnement de travail, sans nuire au fonctionnement du système global. Les supports multimédias utilisés et les composants de la bureautique déjà installés entrent également en ligne de compte dans la conception du PGI. Pourtant, certaines fonctionnalités sont communes à toutes les PME comme l’accès au réseau ou la gestion des mails. Les modules reliés à la base de données offrent ensuite des applications appropriées à chaque service. Ils visent à donner de l’ampleur au business mais doivent convenir aux dimensions du marché parfois géographiquement limité.

Les PME peuvent aussi disposer d’un terminal performant et sécurisé pour les paiements par carte de crédit via leur dispositif ERP. Mais les adaptations prévues par le fournisseur ERP ne se limitent pas aux opérations à réaliser pour la gestion de l’entreprise. Le progiciel est conçu pour respecter le mode de fonctionnement des équipes ainsi que la structure organisationnelle de l’entreprise.

Les différentes versions de la planification des ressources de l’entreprise

Le système ERP privilégie la gestion management. Il centralise les informations dès leur enregistrement dans la base de données et donne accès aux différentes composantes de l’activité selon les fonctions exercées au sein de la PME. L’ERP permet de superviser les flux en regard de leur rentabilité économique, logistique ou financière. Il fournit des outils d’analyses avancés pour amorcer une dynamique de croissance à partir de la configuration initiale de l’entreprise. La solution proposée répond à la capacité de production de l’entreprise ou à ses objectifs de ventes. Mais la mise au format doit être progressive. Elle nécessite une phase de tests : avant le déploiement intégral de la solution ERP, une intégration pilote garantit la continuité dans la qualité des processus. Il s’agit de ne pas impacter le fonctionnement de l’entreprise et d’assurer une transition à la hauteur des nouveaux objectifs de l’ETI. L’ERP pour PME sert également à travailler en équipe.

Les fonctionnalités à privilégier pour la gestion de projet ou l’organisation administrative

Le pilotage d’un projet et la gestion administrative d’une PME ne relèvent pas des mêmes processus. Ils sont donc assignés à différentes fonctionnalités. Les applications utilisées par les entités de travail organisent l’activité selon le mode opérationnel habituel. Le département des achats ou de la comptabilité ne fonctionne pas sur le modèle de la gestion de projets d’équipes. Les visioconférences et la communication unifiée permettent de mener à bien un projet d’étude. Les données statistiques, la gestion du budget et des délais à respecter avec le logiciel ERP libèrent du temps au chef de projet qui peut alors se concentrer sur les difficultés techniques et la relation client.

Un éditeur avec une expertise du métier garantit une implémentation informatique réussie. Si la formation des utilisateurs à l’ERP de l’entreprise est primordiale, sa configuration intuitive autorise une maintenance corrective simplifiée. Une simple mise à jour du système suffit souvent à apporter de nouvelles fonctionnalités pour rester concurrentiel.

Planifier l’évolution des structures organisationnelles du PGI avec une solution SaaS

La pertinence des fonctionnalités de l’ERP permet de gagner en rentabilité mais elle ne suffit pas à garantir la compétitivité en toute circonstance. Or la flexibilité est la clé du succès des PME. Elles profitent alors de leur statut d’ETI avant de conquérir de nouveaux marchés et de s’agrandir. Pour rester concurrentielles, elles doivent désormais se positionner à la pointe de l’innovation technologique.

Le cloud computing offre un système d’exploitation aux multiples possibilités et se révèle simple à utiliser. Il accompagne tous les projets innovants initiés pour s’adapter au marché. Les données sont accessibles même en distanciel et depuis n’importe quel type de terminaux. Les informations doivent pouvoir être consultées directement depuis un smartphone ou une tablette de l’entreprise. Les postes de travail évoluent en mode nomade et nécessitent une gestion à distance via internet. La solution SaaS donne les moyens d’organiser la réactivité des entreprises connectées mais pour quel taux d’investissements de la part des PME ?

Quand les avantages fonctionnels et les intérêts financiers se rencontrent sur le cloud

Le logiciel SaaS prévoit la gestion de l’entreprise dans le Cloud. Il assume un stockage massif de données de façon décentralisée pour gagner en capacités. Il offre un service aux PME en quête de parts de marché supplémentaires. Ce type de logiciels professionnels s’avère performant pour le traitement des données et des flux d’informations. Le fournisseur héberge les codes sources des applis et des données dans un espace de stockage sécurisé. Il garantit la sauvegarde des données en cas de problème technique. Il les rend disponibles depuis internet à la demande de l’entreprise. Les PME n’ont jamais le souci de la maintenance du système. Un abonnement suffit pour profiter d’un usage illimité des ressources web prévues dans la solution SaaS. Les entreprises n’ont pas besoin d’investir dans du matériel puissant pour lancer les applis : le serveur web du logiciel de service s’en occupe à distance.

Le paramétrage du logiciel SaaS sur la table

Le cloud computing fournit les services informatiques indispensables à la croissance des entreprises. En plus de la gestion du réseau et du stockage des bases de données, il intègre l’intelligence artificielle dans les outils d’analyse. La vente et les finances sont gérées dans des conditions optimales. La stratégie évolue au même rythme que le marché. Le fournisseur ERP programme un paramétrage spécifique au domaine d’activité et aux objectifs chiffrés de l’entreprise. Les algorithmes présentent alors des solutions évolutives pour gérer les difficultés et développer un nouveau modèle économique à partir des nouvelles opportunités du marché.

Il existe aussi des solutions prévues pour développer le commerce en ligne. Les analyses prédictives font alors place aux améliorations de l’expérience utilisateur sur le site web. Le décryptage du trafic en ligne et des modalités du déclenchement des achats orientent la stratégie digitale à suivre.

La maintenance du système par SAP France

Leader de l’ERP, SAP France propose des solutions SaaS sur-mesure aux PME et aux ETI. Les entreprises bénéficient d’une expertise du logiciel de service et d’une implémentation spécifique à leurs processus. Spécialisé dans le Cloud, SAP accompagne le projet de digitalisation de la gestion organisationnelle et fonctionnelle des entreprises jusque dans la compétitivité. Ne vous laissez pas distancer sans réagir !

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Vous aimeriez vous concentrer sur le cœur de votre activité, mais votre temps de travail est envahi par les questions de gestion des ressources humaines ? Et si vous choisissiez un logiciel RH pour votre PME/ETI ? Plutôt que d’être préoccupé par les questions relatives aux dates des congés de vos collaborateurs, ou de vous préoccuper de leur dernière augmentation de salaire, laissez une solution RH prendre le relais. Vous remplacerez vos tableaux excel contraignants et obsolètes. Un logiciel de ressources humaines vous simplifie la vie et surtout, la gestion de votre personnel. Mais au juste : quelles fonctionnalités pouvez-vous attendre de ce type de solutions informatiques destinées aux PME/ETI ?

La gestion du personnel à l’aide d’un logiciel RH pour PME/ETI

La mise en œuvre d’une solution RH informatisée au sein de votre PME vous permet d’optimiser et de simplifier la gestion du personnel. Cette dernière est clairement chronophage si on s’y lance avec des outils inappropriés. Cette tâche est complexe, plus qu’on ne le pense souvent. Elle comprend à la fois des aspects administratifs, qualitatifs et stratégiques. L’objectif visé doit être une meilleure qualité de travail de votre personnel, grâce à l’automatisation des tâches.

Les solutions RH de SAP permettent tout d’abord de structurer les données relatives à votre personnel. Ces données sont regroupées dans une même interface, d’où elles sont directement accessibles. Les responsables et managers ont accès aux informations de manière centralisée, sur une plateforme intuitive et conviviale. L’actualisation des données s’effectue en temps réel. Elle est disponible rapidement à toutes les personnes autorisées.

Un logiciel de gestion RH peut être entièrement personnalisé. Il répond aux besoins spécifiques de chaque entreprise. L’interface de base rassemble des données sur le salaire, les formations, les congés, les compétences. D’autres fonctionnalités peuvent venir s’ajouter. Ainsi, il est possible d’intégrer à la base du logiciel le résultat des évaluations et des entretiens, les questions liées à la retraite, et bien d’autres informations encore.

Ces solutions informatiques RH peuvent assister les managers lors du recrutement de nouveaux collaborateurs. Elles facilitent la publication des annonces et le suivi des candidatures. 

Les avantages d’un logiciel SIRH pour PME/ETI

Outre les logiciels RH courants, des solutions spécifiques aux fonctionnalités pointues ont vu le jour. On les appelle couramment SIRH, pour Système d’Information sur les Ressources Humaines. Un logiciel SIRH se compose généralement de plusieurs modules d’application. Ils permettent d’optimiser la gestion du personnel. Cette solution modulaire présente des avantages. En effet, elle est personnalisable en fonction des besoins des PME/ETI. Le logiciel permet une meilleure structuration des données et des processus. Il contribue aussi à sécuriser les données, ainsi que la gestion des salaires. En effet, les solutions SIRH intègrent le plus souvent un logiciel de paie. Elles aident également l’entreprise à respecter les normes légales relatives à la saisie des données personnelles de leurs collaborateurs.

Les fonctionnalités d’un outil SIRH comprennent ainsi la gestion administrative des données du personnel, les temps de travail, les congés et absences, les notes de frais, la formation professionnelle, les salaires, un outil de gestion des diplômes et compétences, les résultats des entretiens d’évaluation et les bilans sociaux, avec reporting RH.

Les PME/ETI n’ont souvent pas les moyens d’engager des employés pour se charger exclusivement des tâches de gestion. C’est pourquoi disposer d’un outil SIRH performant et soigneusement paramétré pour prendre en compte les besoins de l’entreprise constitue un véritable avantage concurrentiel. Vous pouvez dégager un temps considérable en automatisant la plupart des tâches que nous venons de citer. Vous pourrez ainsi, vous et vos collaborateurs, être plus efficaces. De plus, les logiciels SIRH permettent le plus souvent l’intégration d’un module de gestion de projet.

La gestion optimisée des salaires avec un logiciel de paie intégré à votre solution SIRH

Une bonne gestion des salaires prend du temps. Les PME/ETI peinent souvent à remplir pleinement cette mission, ce qui entraîne des erreurs et des conflits avec les collaborateurs. Pourtant, les outils SIRH offrent des solutions conviviales et simples pour automatiser cette tâche administrative et comptable. Le premier avantage est de vous éviter de rassembler les données relatives à la paie à partir de plusieurs systèmes différents. Avec un logiciel SIRH et son module dédié à la paie, il suffit de quelques clics pour préparer efficacement le versement des salaires, puis pour le valider. 

Les solutions SAP vous permettent de consulter les données personnelles relatives à la rémunération par le biais d’une seule interface. Les données pertinentes du dossier du salarié peuvent être extraites rapidement. De même, vous avez accès à la rémunération passée de vos employés et à son historique. Lors du changement de données personnelles, la mise à jour se fait automatiquement, à partir de la base générale. N’oubliez pas qu’il est essentiel que les informations figurant sur les fiches de paie soient correctes. 

Votre logiciel paie vous donne accès à ces données en temps voulu et met en évidence les changements intervenus. Il vous permet aussi de vérifier toutes les fiches avant de les valider et d’effectuer le versement des salaires. Exportez facilement les données salariales de tous les employés et partagez-les avec les comptables. Les employés peuvent également télécharger leur fiche de paie directement depuis leur portail individuel. L’ensemble de la procédure gagne donc en transparence. Les documents sont toujours disponibles en ligne, évitant un classement fastidieux de fiches papier.

Le talent management avec un logiciel RH pour PME/ETI

Votre logiciel de gestion des ressources humaines vous permet également un meilleur management des talents et compétences. Ainsi, les contrats d’objectifs et les évaluations régulières constituent un instrument de gestion RH efficace, qui facilite le talent management et permet aux collaborateurs de développer leur motivation et leurs compétences. Ils contribuent à garantir l’engagement des employés dans leur travail et à déterminer les besoins en qualifications. Grâce aux solutions RH, les entreprises peuvent mettre en place un processus systématique. Ce processus garantit une compréhension commune des exigences et des objectifs.

Les contrats d’objectifs aident les managers à formuler des tâches complexes et à les traduire en résultats concrets et mesurables. Un logiciel RH dédié au management des compétences des salariés contribue à automatiser ce processus et permet une planification efficace. Il assure la transparence nécessaire en attribuant les exigences requises aux différentes fonctions. Le logiciel effectue une comparaison entre l’objectif visé et les compétences des collaborateurs. Il conçoit clairement des déroulements pour les différents projets et processus. Le logiciel RH permet aussi de faciliter l’évaluation. 

Grâce à un concepteur de listes et de statistiques, les bilans sont réalisés de manière flexible et rapide. De cette manière, les responsables de l’entreprise identifient les collaborateurs les plus performants et ceux qui le sont moins. Il nécessitera donc de motiver ou former ces derniers.

La tendance actuelle est au travail agile. Ainsi, les réunions ou entretiens d’évaluation traditionnels sont peu adaptés à ces formes modernes d’activité. De plus en plus d’entreprises ont abandonné les évaluations annuelles et les contrats d’objectifs sur 12 mois, au profit de bilans plus rapprochés, par période de 4 ou 6 mois.  Cela permet aux managers de donner un feedback à leurs employés à des intervalles plus courts. Les managers et les employés discutent ensemble de ce qui s’est bien passé au cours des derniers mois, des points à améliorer et du soutien dont l’employé a besoin. 

Pour éviter que ces entretiens indispensables au talent management ne soient trop chronophages, l’utilisation d’un logiciel RH est recommandée. 

Recruter de nouveaux talents avec un logiciel RH pour PME/ETI

Le recrutement de vos collaborateurs est un facteur essentiel de succès. Vous devez pouvoir effectuer une sélection soigneuse, sans perdre du temps. Affichage du poste, sélection des candidats, contrat de travail : autant d’étapes incontournables que les PME/ETI peuvent gérer plus facilement à l’aide d’un logiciel RH. Ce type de solutions, comme nous l’avons vu, contribue à un talent management efficace. Elles trouvent un domaine d’application idéal dans le recrutement de nouveaux collaborateurs. 

Les logiciels de gestion des ressources humaines présentent l’avantage de permettre un aperçu clair et précis des candidatures. Vous pouvez vous en servir pour publier vos offres d’emploi, mais aussi pour stocker et classer, voire analyser les lettres de motivation, les courriels et les candidatures en ligne. Les données récoltées sont partagées avec les managers responsables. Ils peuvent participer utilement à la décision d’embauche. Le logiciel RH pour PME/ETI vous aide aussi à optimiser les communications avec les candidats, à expédier les invitations à un entretien ou à l’inverse, les refus. Vous pouvez les automatiser tout en conservant leur caractère individualisé. 

Votre solution SIRH veille à ce que rien ne soit oublié. Elle traite toutes les étapes, de manière chronologique, et détermine automatiquement, à chaque demande, l’état du processus. Vous évitez ainsi les retards, par exemple lors de l’envoi des accusés de réception. Vous risquez bien moins de négliger les candidatures les plus intéressantes ou de les perdre. Le logiciel RH peut être programmé pour effectuer une présélection des candidats. Il garantit un gain de temps appréciable pour le service. 

Vous obtenez un aperçu synthétique et transparent de l’ensemble du processus de gestion des candidats. Qu’il s’agisse de déterminer des quotas, de générer une correspondance automatique, de sélectionner des profils ou d’effectuer un premier classement des candidatures, le logiciel RH garantit un accès rapide à toutes les données nécessaires. Il détecte aussi les doublons et peut générer un historique des requêtes ou des candidatures.

A retenir

Comme nous avons pu le voir, le choix d’un outil SIRH contribue à optimiser de nombreux processus de gestion au sein des entreprises. Cette optimisation dégage du temps pour les responsables et leurs collaborateurs. Cela est essentiel pour les PME et ETI, qui ne peuvent disposer d’un service de ressources humaines dédié. L’outil SIRH participe au succès de l’entreprise. Il facilite la mise en œuvre de ses projets.

Facteur d’innovation et de progression de l’activité, les logiciels RH SAP facilitent la gestion de la paie, la gestion des talents et la gestion plus classique du personnel. Différents modules peuvent venir répondre à des besoins spécifiques de l’entreprise.

SAP SuccessFactors vous aide à repenser la gestion des ressources humaines. L’outil modernise le fonctionnement de votre PME ou ETI. Vous centralisez la gestion des documents et des dossiers et rationalisez vos services. Vous gagnez en efficacité et en agilité, grâce à des solutions informatiques taillées sur mesure pour l’entreprise d’aujourd’hui. 

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La mise en oeuvre d’un nouveau système ERP offre une occasion majeure de transformer numériquement votre entreprise. Non seulement vous pouvez dépasser les fonctionnalités limitées ou la technologie obsolète de votre ancien système, mais vous pouvez également tirer parti des capacités du système ERP moderne pour vous aider à saisir de nouvelles opportunités commerciales.

Cependant, toutes les mises en place ne se déroulent pas sans heurts. Alors comment préparer votre entreprise à une mise en oeuvre réussie de l’ERP ? Comment éviter les coûts et les risques inutiles ? Ces meilleures pratiques de mise en œuvre d’un ERP peuvent vous aider à éviter les pièges les plus courants et à profiter plus rapidement des avantages de votre nouveau système ERP.

Par où commencer votre projet ERP ?

Lorsque les gens pensent à la mise en oeuvre d’un système, ils commencent souvent par envisager les fonctionnalités souhaitées. Mais les nouvelles fonctionnalités ou technologies ne sont pas le cœur du problème ; ce dont une entreprise a besoin pour se développer, ce sont des processus de gestion modernes. Ce n’est qu’avec des processus efficaces qui vous permettent d’être agile et réactif que vous pourrez stimuler votre compétitivité et mieux servir vos clients internationaux.

Souvent, les processus existants sont rigides et ne répondent pas aux besoins de l’entreprise. Même lorsque des processus éprouvés et rentables sont en place, ils doivent souvent être mis à jour pour répondre à l’évolution des besoins ou être enrichis de nouvelles fonctionnalités, comme l’accès mobile, les alertes et la veille économique. Il est donc important de toujours garder ces processus au cœur de votre plan de mise en œuvre.

Quel est le plus grand facteur de réussite ? Votre équipe de projet.

Toutes les études de cas sur la mise en oeuvre d’un ERP se rejoignent
: le facteur déterminant est l’équipe de mise en œuvre.

Un excellent logiciel n’est excellent que s’il est mis en œuvre par une équipe solide. Si les membres de l’équipe n’ont pas le temps, le soutien ou les compétences nécessaires pour effectuer le travail efficacement, ils ne réussiront pas – et le projet souffrira probablement de retards, de coûts supplémentaires et/ou d’un logiciel qui ne répond pas aux besoins de l’entreprise.

Les entreprises qui ont connu des revers ou des échecs en matière d’ERP ont souvent affecté des employés qui « avaient le temps » de travailler sur le projet. Mais pour réussir, vous devez recruter les personnes dont « vous ne pouvez pas vous passer ». Il s’agit des personnes bien occupées qui connaissent les processus opérationnels, travaillent bien avec les autres membres de l’organisation et ont le respect de la direction. Dédiez ces personnes au projet à plein temps (40 heures de disponibilité), ou autant d’heures que possible par semaine.

N’ajoutez à l’équipe de projet clé aucune personne qui ne peut pas consacrer au moins 25 % de son temps (minimum 10 heures) au projet chaque semaine. Les membres de l’équipe consacrant moins d’un quart de leur temps pourront rattraper les activités du projet mais n’y apporteront aucune valeur ajoutée.

Le soutien de la direction à votre équipe est essentiel. Dans toute mise en œuvre importante, des décisions doivent être prises concernant les priorités et les compromis en matière de ressources. Sans un soutien et un engagement fort, même les équipes qualifiées peuvent échouer.

La mise en oeuvre rapide d’un système ERP moderne est l’une des choses les plus importantes qu’une entreprise puisse réaliser. Cela vaut la peine d’y consacrer vos meilleurs éléments et de poser les bases du succès dès le départ.

Comment planifier la mise en œuvre de votre ERP

Planifiez la séquence de mise en place de façon réaliste. Tenez compte de la disponibilité de votre équipe de direction, des managers et des experts internes qui contribuent à l’effort.

Classez vos besoins par ordre de priorité afin de pouvoir vous concentrer sur les gains importants tout en constituant une base logicielle et technologique de base qui pourra évoluer en fonction des besoins de votre entreprise.

Votre plan détaillé et vos indicateurs clés de performance seront adaptés à vos besoins spécifiques. Toutefois, les activités clés suivantes sont des étapes communes à toutes les mises en place réussies :

Mise en oeuvre d'un ERP

1. Sélectionnez un partenaire intégrateur pour vous aider à la mise en œuvre

Votre équipe de projet n’est probablement pas très expérimentée dans la mise en œuvre d’un logiciel ERP ; elle aura besoin d’aide. Cherchez et sélectionnez un ou plusieurs consultants qualifiés pour la mise en oeuvre de l’ERP, ayant une connaissance approfondie et une expérience de l’application ERP que vous allez installer. Confirmez qu’ils comprennent comment la nouvelle solution logicielle soutient vos processus d’affaires actuels et à venir. Interrogez leurs références pour le vérifier.

Vos partenaires intégrateurs doivent disposer d’un personnel formé à votre secteur d’activité et disponible sur vos sites. Si vous avez des clients et des fournisseurs internationaux, vos partenaires doivent avoir les compétences nécessaires en matière de commerce international, de langues et de devises pour rationaliser votre mise en œuvre.

Enfin, examinez le logiciel de gestion de projet que l’entreprise utilise pour vous assurer qu’il est compatible avec votre système interne de planification, d’ordonnancement et de suivi.

2. Détaillez toutes les tâches du projet

Votre partenaire de mise en place vous aidera à dresser une liste détaillée de toutes les tâches à accomplir. Cette liste sera longue. La formation seule, par exemple, comprend de nombreuses tâches :

  • Formation de l’équipe de projet : Votre équipe doit se familiariser avec le logiciel afin de pouvoir décider comment adapter vos processus d’entreprise.
  • Formation de l’équipe informatique : L’équipe informatique doit être formée afin de comprendre comment installer et maintenir le système de manière optimale.
  • Formation des utilisateurs métiers : Toutes les personnes appelées à utiliser le logiciel doivent apprendre comment il fonctionne.
  • Formation continue : Les nouveaux utilisateurs auront besoin d’être formés au fur et à mesure qu’ils rejoignent votre entreprise, vous devrez donc mettre en place un plan à plus long terme.

La liste des tâches doit être divisée en phases. Il faut prévoir du temps pour le pilote en salle de conférence, la personnalisation de l’application, l’intégration à d’autres applications et sources de données, la mise en œuvre de l’infrastructure, le nettoyage des données, l’acceptation par les utilisateurs, etc.

3. Calculez les heures de travail

Estimez soigneusement le temps nécessaire à chacune des tâches. Pour ce faire, comprenez la tâche et le travail qu’elle implique, puis déterminez le nombre d’ « heures de travail » nécessaires. Il peut s’agir d’une fourchette d’heures, mais elle doit être précise. Additionnez les heures de travail pour chaque phase du projet et désignez la personne chargée de les réaliser.

C’est pourquoi il est important de faire appel à un partenaire intégrateur qui connaît bien la solution logicielle. Si vous effectuez cette étape correctement, vous serez en mesure de calculer avec précision votre calendrier, de déterminer si vous avez besoin d’aide en dehors de votre équipe actuelle et de limiter les dérapages.

4. Créez un calendrier réaliste

Maintenant que vous avez calculé les heures de travail disponibles et nécessaires, vous pouvez créer un calendrier réaliste. Dans de nombreux cas, le premier passage révèle un problème de capacité par rapport au calendrier de mise en œuvre qui avait été présenté à l’origine aux dirigeants.

Voici un exemple de calcul qui illustre les écarts potentiels :

  • Délai de mise en service prévu = 12 mois ou 1 an
  • Nombre total d’heures de travail disponibles sur une période de 12 mois = 540/semaine ou 28 080 heures/an
  • Nombre total d’heures de travail nécessaires à la mise en place = 42 000 heures au total
  • Heures requises divisées par les heures disponibles par an = 1,496 années

Le résultat ? La date de mise en service est manquée avant le début du projet. Voici quelques solutions possibles :

  • Réduire le scope – même si l’équipe a convenu que ces tâches sont essentielles.
  • Repousser la date à une date réaliste
  • Ajouter plus de ressources internes et externes (heures de travail disponibles)
  • Décomposer le projet en phases

C’est ici que l’équipe de direction devra prendre la décision. Ce n’est qu’un exemple des raisons pour lesquelles ils doivent être impliqués dans le processus de sélection et de mise en œuvre du logiciel.

5. Menez un projet pilote

Une fois le projet lancé et avant la mise en service, effectuez un test ou un pilote (dans une salle de conférence) avant le déploiement complet. Ce pilote interne vous permettra de vous assurer que vous avez mis en place les processus opérationnels appropriés pour les besoins actuels et futurs de l’entreprise. Lorsque vous concevez vos nouveaux processus, il est important de comprendre l’éventail des options disponibles dans votre système ERP – et de valider vos processus avec l’équipe de projet et les parties prenantes de la communauté des utilisateurs.

Au cours de cette phase de plusieurs semaines, votre partenaire de mise en place installera un logiciel pilote qui vous permettra de tester tous vos processus et de vous assurer qu’ils fonctionnent comme prévu, sans surprise. Souvent, vous pouvez appliquer les meilleures pratiques pour gagner du temps, en particulier si vous disposez des outils de configuration pour effectuer des ajustements rentables à mesure que vous affinez vos opérations.

6. Nettoyez vos données

Cela semble simple, mais le nettoyage des données est une activité chronophage. Il est préférable de commencer à évaluer l’exactitude de vos données dès que possible, car il faut beaucoup d’efforts pour réaliser cette étape correctement. Au cours du projet, des changements de processus métiers se produiront – soyez donc prêt pour des étapes supplémentaires de gestion des données pendant la mise en œuvre.

7. Tenez tout le monde informé

Chaque semaine, un membre du personnel doit contacter toutes les parties prenantes clés afin qu’elles soient informées des points positifs et moins positifs de l’avancement du projet de mise en œuvre. Le pire scénario est celui où les gens ne sont pas tenus au courant et sont pris par surprise.

La plupart des bons systèmes de gestion de projet comportent des représentations visuelles de l’avancement du projet.

Commencez par les processus les plus importants de votre entreprise

Toutes les entreprises n’ont pas les mêmes problèmes. Il est donc préférable de passer en revue vos processus opérationnels et de classer par ordre de priorité ceux qui doivent être abordés en premier. Voici une liste de domaines à haute valeur ajoutée à prendre en compte :  

  • La veille stratégique, y compris les alertes de gestion et les tableaux de bord : Votre équipe a besoin de mises à jour rapides sur les problèmes de l’entreprise, ainsi que de la possibilité d’approfondir facilement les détails pour résoudre rapidement les problèmes – au bureau, à la maison ou sur la route. Vous avez besoin d’une intelligence d’affaires intégrée et de données qui se trouvent dans une base de données unique.
  • Gestion de la relation client (CRM) : Aujourd’hui, les processus CRM touchent généralement toutes les parties d’une entreprise. Les ventes directes, les distributeurs, les showrooms, le commerce électronique, le service client et les commerciaux partagent tous des informations sur les clients avec la gestion des commandes, les opérations, les achats, l’ingénierie, les comptes clients et l’expédition.
  • Finance et comptabilité : Des transactions financières précises et en temps réel, des indicateurs clés de performance et des analyses sont essentiels à toute entreprise, et ils doivent couvrir tous les sites et départements. Outre la comptabilité, elles doivent être intégrées à l’évaluation des coûts, à la budgétisation, aux prévisions, aux projets, à la gestion des actifs, à la conformité et à la gestion de la trésorerie.
  • Gestion de la chaîne logistique (DSC) et fabrication : Les délais serrés, les faibles marges et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement constituent un défi pour toutes les entreprises. Leur gestion nécessite un travail d’équipe – collaboration avec les fournisseurs, les transporteurs, les sociétés d’import/export, les banques et d’autres partenaires – souvent sur des appareils mobiles répartis sur plusieurs sites.
  • Ressources humaines (RH) : La gestion d’une main-d’œuvre diversifiée est plus difficile aujourd’hui que jamais, et votre équipe a besoin d’un accès immédiat et sécurisé aux informations sur les employés pour la paie, les avantages sociaux, la budgétisation, la programmation et les besoins de conformité. De plus, le recrutement, le développement et la fidélisation des employés constituent une part importante de l’évaluation des plans d’affaires actuels et proposés.
  • Langues, devises et sites multinationaux : À mesure que vous développez votre entreprise, en particulier si vous vous implantez dans de nouvelles régions ou de nouveaux pays, vous devez être en mesure d’ouvrir et de développer de nouvelles opérations de manière cohérente et rapide. Cela nécessite des capacités logicielles étendues et avancées, ainsi que des services cohérents de la part de votre fournisseur de logiciels sur chaque site.
  • La mobilité : La capacité d’accéder à l’information et de travailler à distance est désormais vitale – comme l’a démontré la pandémie de COVID-19. Les entreprises qui disposent des outils nécessaires pour s’adapter rapidement peuvent prendre l’avantage en période de perturbation.

Conseils pour atténuer les risques liés à la mise en œuvre d’un ERP

Tous les projets comportent un élément de risque. Vous trouverez ci-dessous cinq conseils précieux pour améliorer vos chances de mener à bien votre projet dans les délais et les budgets impartis.

  1. Choisissez des partenaires expérimentés en matière de logiciels, de processus opérationnels et de mise en oeuvre qui possèdent un savoir-faire sectoriel et local. Interrogez toujours des références dans des entreprises comme la vôtre.
  2. Ne poussez pas une technologie dépassée au-delà de ses limites. Éliminez les anciens systèmes autonomes dépassés et, dans la mesure du possible, consolidez vos données dans une base de données unique (version unique de la vérité) avec une veille économique intégrée pour des performances multinationales.
  3. Dans l’économie numérique, les entreprises doivent souvent intégrer des systèmes entre les unités commerciales ainsi qu’avec les clients et les fournisseurs. Confirmez que vous disposez de capacités d’intégration dans le cloud et d’une expertise en matière de réseaux de fournisseurs.
  4. Évitez les dérives du projet. Il est fréquent de découvrir des besoins et des opportunités au cours de la mise en œuvre d’un ERP. Il est donc important de gérer les ordres de modification pour éviter les retards et les dépassements de coûts.
  5. Confirmez que vous disposez d’une expertise cohérente sur tous vos sites. Vous avez besoin d’une formation, d’une mise en place et d’une assistance, souvent fournies par la direction locale, les distributeurs de logiciels, les sociétés de conseil et votre partenaire logiciel.

Conseils pour éviter les coûts supplémentaires liés à la mise en œuvre d’un ERP

L’investissement dans un nouveau système ERP comprend l’engagement en temps de votre entreprise, le conseil en processus métier et en mise en œuvre, les logiciels et les services cloud, ainsi que l’équipement en ordinateurs, tablettes et téléphones – il est donc important de contrôler le projet et les coûts.

Voici quelques points clés à suivre :

  • Restez concentré sur le coût total de possession (TCO). Gérez vos coûts totaux – et les avantages au fil du temps pour minimiser les dépenses et maximiser le rendement. N’oubliez pas que la mise en œuvre d’un système ERP aura un impact important sur votre entreprise.
  • Respectez l’orientation de l’entreprise et n’imposez pas de changements de processus inutiles. Dans de nombreux cas, les entreprises sont contraintes de modifier leur mode de fonctionnement pour s’adapter à leur logiciel, ce qui augmente les coûts de mise en œuvre et d’exploitation.
  • Concentrez-vous sur les processus de routine qui apportent une valeur significative à l’entreprise.  La gestion des commandes des clients, la mise à jour des prix, l’ajout de nouveaux produits et services, la modification des détails de fabrication et l’intégration des nouveaux employés sont des exemples de ces processus de routine.
  • Évitez les personnalisations et tirez parti d’une interface utilisateur configurable, des tableaux de bord, des alertes, des flux de travail, de la veille économique et des fonctionnalités mobiles. Grâce à ces fonctionnalités, vous pouvez rationaliser le travail de tous vos services ainsi que procéder à des ajustements rapides et rentables si nécessaire.
  • Les piratages de systèmes et les violations de données coûtent cher. Lorsque vous utilisez Internet, utilisez une solution ERP en nuage sécurisée si nécessaire – confirmez que vos fournisseurs de logiciels et de services prennent en charge une gamme d’options de déploiement de logiciels sécurisés.

Quand votre mise en oeuvre ERP sera-t-elle terminée ?

Une fois votre mise en oeuvre initiale terminée, vous aurez toujours besoin de la flexibilité nécessaire pour ajouter des fonctionnalités supplémentaires à votre entreprise. De nombreux changements peuvent être à l’origine de ces opportunités, comme de nouveaux sites, de nouvelles gammes de produits et de services, et des acquisitions.

La transformation numérique offre également des possibilités supplémentaires de faire équipe avec les clients et les fournisseurs pour redéfinir la manière dont les affaires sont menées dans votre secteur. Souvent, ces projets incluent de nouvelles technologies, comme l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle (IA), ainsi que l’intégration avec des équipements et des véhicules utilisant l’Internet des objets (IoT) pour améliorer la vitesse et l’efficacité.

Prêt à passer à l’étape suivante ?

Dans tout projet ERP, il y aura des problèmes inattendus – alors attendez-vous à en rencontrer dans le vôtre. Mais, en suivant les meilleures pratiques pour une mise en oeuvre réussie de l’ERP, vous pouvez les identifier et les traiter dès qu’ils se présentent afin de gérer efficacement vos risques et vos coûts.

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Source de l’article sur sap.com

Avec l’aide de son partenaire STMS, Latécoère a créé et déployé une série d’applications visant à faciliter le travail des magasiniers et opérateurs susceptibles de se déplacer au sein des sites de production. Des outils s’appuyant sur SAP Cloud Platform.

Latécoère est un équipementier majeur du monde aéronautique. Le groupe toulousain compte plus de 100 années d’existence. Il a réalisé un chiffre d’affaires 2020 dépassant les 410 millions d’euros, avec une production répartie dans 13 pays et près de 4200 collaborateurs. Latécoère dispose de deux activités principales : aérostructures (AS : tronçons de fuselage, portes d’avion…) et systèmes d’interconnexion (IS : câblage, meubles électriques…).

La société a lancé en parallèle deux projets ayant trait à la mobilité. « Côté AS, nous voulions équiper les magasiniers d’outils mobiles leur permettant de limiter les allers et retours entre le magasin et les bureaux, ainsi que le recours à une double saisie papier/numérique. Côté IS, les besoins sont identiques, avec en plus une problématique de traçabilité. Nous souhaitions en effet pouvoir suivre chaque lot, à chaque étape », explique Karim hajjaji, IT Manager, Support Process & Execution . Dans les deux cas, l’objectif est de faciliter la vie des opérateurs, tout en renforçant la qualité des données et la traçabilité.

SAP est déjà utilisé au sein de l’entreprise et semblait être le choix naturel pour ces projets. « Nous ne voulions pas rajouter de couche applicative supplémentaire à notre SI. Rapidement nous avons perçu le potentiel de SAP Cloud Platform pour enrichir notre SI de solutions mobiles dédiées. Nous y avons vu aussi une technologie qui pourrait nous propulser vers l’avenir et non nous retenir dans le passé. Notre partenaire STMS, avec lequel nous travaillons en confiance depuis de nombreuses années, a fini de nous convaincre d’aller vers SAP Cloud Platform. »

Une constellation de projets menés en mode express

STMS a choisi de travailler sous forme de sprints, avec des applications déployées fonctionnalité par fonctionnalité. Sur la partie AS, quatre sprints ont été lancés en juin, septembre, octobre et décembre 2019, avec une mise en production des outils entre un et deux mois plus tard. Le déploiement s’est effectué sur des tablettes Microsoft Surface Go. Les applications couvrent la plupart des transactions effectuées par un magasinier : réception des marchandises, prise de décision d’usage, inventaire et transferts de stocks internes, picking pour expédition.

Trois sprints ont été menés sur la partie IS, séparés en deux phases : une première comprenant un sprint mené entre avril et juillet 2019 et une seconde avec deux sprints organisés entre septembre 2020 et janvier 2021. Du matériel plus spécifique (des lecteurs Zebra) a ici été employé. Les tâches prises en charge par les applications vont de la réception des articles à la gestion des bacs en passant par l’inventaire des pièces.

L’un des défis qu’a dû relever STMS était de travailler avec des équipes réparties dans le monde entier. Un key user était en effet choisi sur chaque site, avec un leader situé en République tchèque. Quant au chef de projet, c’est au Brésil qu’il a été choisi. « C’était une volonté de notre part d’aller chercher des key users partout dans le monde, afin de ne rien rater concernant les besoins attendus pour ces solutions mobiles », explique Sébastien Ducruezet (IT Departement – Support Process & Execution – Purchase, Supply Chain & Quality). Les consultants de STMS ont utilisé des outils collaboratifs pour communiquer avec les équipes de Latécoère, tout en maquettant les applications avec SAP Build, au fur et à mesure de l’expression de besoins. Une fois une maquette validée, le projet correspondant partait en développement, test puis déploiement.

Un déploiement en cours… et déjà d’autres projets

Côté AS, toutes les applications sont aujourd’hui en production, sur l’ensemble des sites. Pour la branche IS, les travaux ne sont pas terminés : les applications sont déployées sur les sites français, mais à l’étranger il faudra attendre la fin des restrictions de déplacement liées à la crise du Coronavirus pour que les formations puissent s’organiser. Des travaux ont été initiés sur la branche IS afin de mesurer les gains apportés par ces solutions mobiles. Latécoère s’attend à des bénéfices en termes d’efficacité et de qualité des données.

L’approche SAP Cloud Platform, testée avec succès sur ces applications mobiles, a d’ores et déjà trouvé un écho sur les chaînes de production. Ainsi, lorsqu’il a fallu mettre en place dans les ateliers des interfaces permettant aux opérateurs de saisir la liste de composants prélevés, c’est  SAP Cloud Platform et une interface de type Fiori qui ont été mises en œuvre.

Et Latécoère entend bien ne pas s’arrêter en si bon chemin. Au travers de ces applications de nouvelle génération, l’entreprise prépare ses collaborateurs au passage à l’ERP SAP S/4HANA, qui propose lui aussi une interface utilisateur modernisée. SAP Cloud Platform devrait par ailleurs être stratégique pour faciliter cette migration. « Nous envisageons de développer nos spécifiques sur SAP Cloud Platfom et non plus directement dans l’ERP, poursuit Karim hajjaji, IT Manager, Support Process & Execution. C’est un changement de paradigme pour nous, mais aussi un moyen de simplifier notre future migration vers SAP S/4HANA. Chaque spécifique déplacé sur SAP Cloud Platform sera un obstacle de moins à notre migration. »

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Source de l’article sur sap.com

En s’associant à des entreprises sociales, les grandes firmes peuvent accélérer leur croissance tout en s’assurant que leurs opérations ont un impact positif sur le plan humanitaire et environnemental.

Le monde des affaires n’a jamais été aussi rude. Alors que la planète connaît de multiples crises (pandémie mondiale, injustice sociale, surconsommation des ressources et changement climatique), les grandes firmes doivent repenser leur stratégie de création de valeur. Dans toutes les régions du monde et tous les secteurs d’activité, les entreprises doivent mettre en place de nouvelles initiatives, au-delà de leur mission et de leurs activités de base, pour contribuer à un monde plus prospère, équitable et durable.

Les entreprises qui y parviendront trouveront le juste équilibre. Aujourd’hui plus que jamais, les employés cherchent à s’épanouir dans leur travail et à évoluer dans un environnement orienté vers la diversité et l’intégration. Le développement durable, tourné vers l’avenir et axé sur les solutions, attire les talents et renforce l’engagement. Simultanément, les entreprises cherchent à renforcer leur agilité, leur résilience et leur capacité d’innovation pour créer de la valeur à long terme.

« Les investisseurs évaluent de plus en plus les entreprises à l’aune de leur impact sur la société et l’environnement. »

Chez SAP, nous ne faisons pas de distinction. Notre approche consiste à évoluer de manière globale et à aligner nos objectifs. Notre principe fondateur consiste à placer les objectifs communs et les valeurs partagées au cœur de l’activité, tout en exploitant les technologies numériques. Cette puissante combinaison inspire, implique et attire les talents, en stimulant par là même l’innovation, l’agilité et la résilience.

Les collaborateurs inspirés et les prouesses technologiques ouvrent la voie au changement positif et au développement, comme le partenariat avec les entreprises sociales.

Les entreprises sociales sont des sociétés ordinaires à but lucratif, qui poursuivent une mission humanitaire ou environnementale. Lorsqu’elles réalisent des bénéfices, elles en reversent une part significative au profit de cette mission. Les entreprises sociales représentent une ressource largement sous-exploitée par les grandes firmes, qui doivent répondre aux attentes en constante évolution des consommateurs, des employés et des investisseurs. En établissant un partenariat avec une entreprise sociale ou en achetant ses produits ou services, ces sociétés peuvent en effet transformer une activité de base comme l’acquisition de biens et de services en stratégie de croissance durable, tout en renforçant le sentiment d’appartenance des collaborateurs et la fidélité des clients.

Priorité à l’impact social

Les consommateurs attendent des entreprises qu’elles aient à la fois un impact économique et social. C’est ce qui ressort de l’évolution spectaculaire des comportements d’achat. Selon le NYU Stern Center for Sustainable Business, la hausse des ventes de biens de consommation emballés enregistrée entre 2013 et 2018 est due à 50 % aux produits commercialisés sur le marché durable.

En outre, de plus en plus d’employés attendent de leur entreprise qu’elle promeuve des solutions aux défis mondiaux. Les candidats les plus performants recherchent aujourd’hui des entreprises qui soutiennent des initiatives ayant un impact social et qui leur permettent de mettre leurs compétences non seulement au service du chiffre d’affaires et du résultat net, mais aussi de la « ligne verte » de croissance durable.

Les investisseurs évaluent de plus en plus les entreprises à l’aune de leur impact sur la société et l’environnement, et les répercussions financières sont réelles. Les questions environnementales et sociales sont à l’origine de 25 % de l’argent investi aux États-Unis. À l’échelle mondiale, 23 000 millions de dollars sont aujourd’hui alloués à des fonds engagés dans le cadre d’investissements responsables.

Les entreprises sociales œuvrent depuis des décennies à la mise en place de modèles d’entreprise plus durables et inclusifs. Souvent en sous-effectif, à la poursuite de missions, elles sont fortement affectées par la pandémie mondiale. Ce contexte offre aux grandes firmes une opportunité de taille : soutenir ces entreprises vitales en pleine croissance et protéger ainsi des années d’innovation et de création de valeur.

Le secteur des entreprises sociales est estimé à 12 000 millions de dollars à l’échelle mondiale et pourrait créer 380 millions d’emplois d’ici 2030. Un soutien significatif et un partenariat avec les entreprises sociales permettraient d’intégrer le changement social et des missions humanitaires plus ciblées dans les activités de base.

Plateforme SAP One Billion Lives

L’un des principes de SAP One Billion Lives est de trouver comment les entreprises pourrait mieux se développer. L’ambition de SAP One Billion Lives d’avoir un impact positif sur un milliard d’individus repose en partie sur le soutien aux entrepreneurs sociaux.

En interne, SAP One Billion Lives aide les employés qui conçoivent et développent un portefeuille de projets durables de valeur partagée. Ces projets se proposent de contribuer à la résolution des plus grands défis de notre planète en exploitant ce que SAP a de meilleur à offrir : ses collaborateurs, ses technologies, ses écosystèmes et ses ressources.

« Les entreprises sociales sont des sociétés ordinaires à but lucratif, qui poursuivent une mission humanitaire ou environnementale. »

Guidés par leur cœur et leur expertise, et étayés par les ressources SAP, nos employés ont su créer des activités qui ont contribué à l’établissement de protocoles de traitement contre le cancer plus efficaces en Inde, qui ont amélioré les actions de secours aux sinistrés dans le monde, qui ont rendu possible la création d’une chaîne logistique durable et qui ont permis de lutter contre le travail des enfants dans les mines de cobalt. Face à la pandémie mondiale, SAP One Billion Lives s’est également attaché à relever les défis de la COVID-19, depuis l’apport d’une réponse humanitaire jusqu’à une meilleure gestion des groupes affectés à différents stades sur le lieu de travail.

Exploiter les achats solidaires

SAP One Billion Lives mise sur l’intégration des entreprises sociales dans l’économie mondiale par le biais de nouvelles pratiques d’approvisionnement et d’un soutien aux entrepreneurs sociaux. La mission externe de la plateforme consiste notamment à vanter les bienfaits, réels et inhérents, du soutien aux entreprises sociales.

Les achats solidaires constituent l’un des moyens les plus simples pour une grande firme de renforcer considérablement sa contribution à un monde plus durable et plus équitable. Les éléments fondamentaux d’une entreprise peuvent sembler universels, qu’il s’agisse de services marketing, de café ou de papier. Il existe des entreprises sociales qui peuvent répondre à ces besoins et à bien d’autres encore. La valeur augmente et les dépenses restent les mêmes. SAP a consacré 2,5 % de ses dépenses réductibles au Royaume-Uni pour soutenir les entreprises sociales et nous prévoyons non seulement d’augmenter ce chiffre de manière significative, mais aussi de développer le programme à l’échelle mondiale.

SAP Ariba Network, le plus grand réseau de commerce interentreprises au monde, qui traite plus de 3 000 millions de dollars de transactions par an, a établi un partenariat avec Social Enterprise UK. SAP a intégré les membres de Social Enterprise UK au service d’une mission sur le réseau Ariba, mettant ainsi en contact de nombreuses entreprises sociales avec des grandes firmes du monde entier désireuses de dépenser autrement.

« Les entreprises sociales œuvrent depuis des décennies à la mise en place de modèles d’entreprise plus durables et inclusifs. »

SAP estime que nous avons un rôle essentiel à jouer. Nous pouvons favoriser la création de valeur plus ciblée pour nos clients et nos communautés en les aidant à fonctionner de manière durable, à innover et à nouer des partenariats pour créer un monde plus équitable.

SAP défend les trois thèmes exposés dans le premier article de cette série. Les défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui ne sont pas indépendants, mais plutôt interdépendants. Nous sommes profondément convaincus que les entreprises les plus performantes de demain rechercheront le bénéfice, la résilience et la durabilité à parts égales. La formule est claire : servir un objectif et renforcer la croissance.

Publié en anglais sur The New Economy

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Source de l’article sur sap.com

Après avoir mis SAP HANA au cœur du SI financier de SCOR, SAP annonce que son client a finalisé avec succès sa roadmap finance. Annoncée en 2015, cette dernière permet aux différents métiers de la finance de SCOR de répondre sereinement aux objectifs des années à venir. La raison d’être du projet : être au service des métiers pour soutenir l’excellence opérationnelle du domaine finance.

Quatrième réassureur mondial, SCOR offre à ses clients une gamme innovante et diversifiée de solutions et de services pour le contrôle et la gestion des risques via une assise financière solide. Fidèle à sa devise « l’Art et la Science du Risque », le Groupe met son expertise reconnue au sein du secteur et ses solutions financières de pointe au service du bien-être et de la résilience des populations.

Répondre à de nombreux enjeux business et numérique pour évoluer technologiquement

SCOR concrétise sa roadmap 2015-2020 avec la conversion vers S/4HANA opérée en Juillet 2020, point d’orgue d’une ambition métier supportée par SAP HANA visant à mettre en place une plateforme financière unique et intégrée pour l’ensemble des besoins de la Finance.

Ce plan sur 5 ans a permis la mise en place des axes suivants :

  • Le passage des portfolio Analytics (SAP BW) et EPM (SAP BFC) sur une instance SAP HANA unique
  • La migration du General Ledger (ECC) sur S/4HANA;
  • La création et le développement de la Reporting Factory, s’appuyant sur un catalogue analytique en temps réel et réconcilié « by design » par une consolidation très précise grâce à 3 outils SAP intégrés :
    • Analysis For Office (AO) pour l’analyse et la manipulation des données
    • SAP Analysis Cloud (SAC) pour le dashborading
    • Disclosure Management (DM) pour le reporting statique
  • La digitalisation et la robotisation des processus Finance au sein du Groupe

Un déploiement prenant en considération tous les paramètres, coûts, délais et qualité grâce à l’expertise consolidée métier, projets et systèmes du SAP Competency Center de SCOR dirigé par François Bossard, qui s’est vu être complétée par le déploiement sur une instance unique de la gestion de la trésorerie (SAP TRM), de la communication bancaire (SAP BCM), de la gestion budgétaire (SAP eBPC) et de la sécurisation du cycle de développement (Solution Manager).

SCOR est désormais doté d’un avantage concurrentiel indéniable pour les 3 prochaines années dans le domaine de la Finance en termes d’innovations technologiques. Sa plateforme est complètement intégrée et dotée d’interfaces répondant en temps réel voire en streaming, un niveau d’intégration que de nombreux acteurs commencent tout juste à entrevoir. Ces avancées sont dues à un concept fonctionnel clé : la réconciliation « by design » de l’ensemble des domaines de la finance au sein d’une plateforme unifiée.

« SCOR posait il y a 10 ans les bases d’une vision rationnalisée de son système d’information financier en migrant l’ensemble de ses comptabilités dans SAP. Ces cinq dernières années, il nous paraissait naturel de faire fructifier cet acquis via une roadmap de développement ambitieuse, associant enrichissements fonctionnels et innovations technologiques pour en tirer tous les bénéfices, optimisant nos processus financiers et nos capacités analytiques. Grâce à ces acquis et à une migration fluide vers S/4HANA réalisée en quelques mois, nous pouvons compter sur une plateforme financière performante qui est en mesure d’encaisser les impacts des prochaines échéances d’évolution règlementaire IFRS9 et IFSR17 », précise Marc Philippe, Directeur des Systèmes d’Information du Groupe SCOR.

Une implémentation réussie pour aller plus loin dans l’excellence opérationnelle

Déployée en juillet 2020, SAP S/4HANA, montre déjà de nombreux bénéfices : des économies sur de nombreux projets, des gains de temps pour mieux redéployer les ressources, la mise en place de process plus intégrés, plus automatisés, plus simples et plus informés pour permettre aux équipes de se concentrer sur leur valeur ajoutée et ainsi libérer du temps aux collaborateurs pour se concentrer sur l’opérationnel. Cette nouvelle étape répond à une logique stratégique sur le moyen long-terme. En effet, elle permet de se rapprocher tactiquement de la roadmap SAP, d’avoir toujours un œil sur l’innovation, d’aller encore plus loin dans l’excellence opérationnelle ou encore de se rapprocher davantage de la réalité comptable tout en abordant de manière plus sereine les challenges normatifs de l’industrie pour les 3 prochaines années.

A l’initiative et à la direction de cette roadmap, y compris la conversion vers S/4HANA venant la conclure, Marc Henry, Head of Finance Projects, Systems, Processes and Controls du Groupe SCOR, précise que « S/4HANA nous permet de construire et développer IFRS9 et IFRS17 sur la nouvelle plateforme sans avoir à faire de migration par la suite. La solution nous permet aussi de développer de nouvelles fonctionnalités clés comme l’ajout de devises, de ledger, de GAAPs et d’aller encore plus loin dans l’intégration du domaine de la finance ».

La solution SAP Analytics Cloud permet de déployer un ensemble de best practices, de capitaliser sur l’ensemble des efforts consentis sur HANA et de s’inscrire comme early-adopter de la roadmap de SAP pour assurer une co-innovation et un partage constant avec toutes les parties prenantes. La solution fournit également au top management des données en temps réel leur permettant d’avoir un avis fiable et factuel sur plusieurs process comme la santé financière de leur division dans le cadre d’un projet ou encore sur le pilotage de KPIs plus globaux. Enfin, SAC permet de rendre les utilisateurs de la solution plus indépendants afin d’être davantage sur l’accompagnement et la certification de la donnée plutôt que sur sa production par les équipes métier.

SAP Business Planning and Consolidation (eBPC) a offert à SCOR la possibilité d’adapter ses plans de planification, de budgétisation, de prévision pour améliorer l’ensemble du processus budgétaire du Groupe. La solution a également permis d’entrevoir des gains additionnels au regard de la roadmap SAP et de son intégration avec d’autres outils déjà existants comme SAP Analytics Cloud Planning. L’objectif : accélérer les cycles budgétaires et de clôture financière, et renforcer l’expérience utilisateur.

« Après le succès de la première implémentation avec SAP, nous souhaitions poursuivre la collaboration. Nous avons pu mettre en place une plate-forme mondiale intégrée, dotée d’une base de données unique disponible en temps réel. SCOR a pu capitaliser sur tout le travail effectué précédemment, avoir un seul point d’accès pour la donnée Finance et rendre certains modules plus flexibles. Nous sommes très fiers d’être une vitrine pour SAP qui nous offre de réels bénéfices opérationnels à court terme », ajoute Marc Henry.

A propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

 

Contacts presse :

Daniel MARGATO, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline BARRIERE : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP Press Room; press@sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP & Siemens jettent les bases d’un partenariat ambitieux : ouvrir la voie à de nouvelles opportunités, supprimer les silos et accélérer la transformation.

SAP & Siemens jettent les bases d’un partenariat ambitieux

Depuis l’annonce du partenariat signé entre SAP et Siemens le 14 juillet 2020, nous avons été ravis de voir à quel point les utilisateurs, partenaires et analystes adhéraient à cette initiative audacieuse et à notre ambition commune d’ouvrir la voie à de nouvelles opportunités, de supprimer les silos et d’accélérer la transformation. Tenir la promesse d’un retour sur investissement plus rapide, de processus de développement durables et de nouvelles opportunités métiers nécessite un nouveau niveau d’intégration. Et c’est ce dans quoi SAP et Siemens ont investi massivement – jusqu’à maintenant dans les coulisses.

La continuité numérique requiert un meilleur niveau d’intégration

Nous savons que nos clients sont aujourd’hui mis au défi d’améliorer leur vitesse de mise sur le marché tout en créant des produits toujours plus complexes et de meilleure qualité. Bien que nos solutions offrent des capacités de pointe dans leurs domaines fonctionnels respectifs, le véritable bénéfice ne peut venir que d’une communication en boucle fermée native et transparente entre le développement produits et la gestion d’entreprise. C’est le cap que nous suivons conjointement :

Combiner l’expertise en intégration de SAP et Siemens

L’intégration entre les systèmes d’ingénierie et d’entreprise n’est pas un phénomène nouveau. Mais il reste complexe. Pourquoi ? Parce que se mettre d’accord sur un langage commun, des processus communs et les solutions et architectures techniques associées à travers tous les secteurs d’activité, les organisations et les réseaux est une tâche difficile. Sans compter les exigences propres à l’ingénierie, aux métiers, à l’informatique et à l’industrie.

Un partenariat stratégique tel celui que nous avons mis en place avec Siemens est une excellente occasion de résoudre certains de ces problèmes fondamentaux. Nous nous appuyons sur l’idée que nos systèmes d’ingénierie et d’entreprise seront égaux et adopteront le niveau d’interopérabilité et de visibilité nécessaire pour concrétiser l’idée de continuité numérique.

 

Un modèle de données unique : garant du succès

Un modèle de données aligné entre SAP et Siemens est à la base de l’intégration en tant que couche intermédiaire. Cet alignement est rendu possible grâce à un niveau d’abstraction des données qui seront échangées entre Siemens Teamcenter et l’ERP SAP S/4HANA.  Ce modèle de données doit être compréhensible des deux côtés et dotée d’une sémantique claire, adaptée à toutes les implémentations.

Ce modèle de données aligné continuera à évoluer afin de permettre le  développement de nouveaux scénarios d’intégration.

Aperçu de la feuille de route 2021-2022 : une innovation continue s’appuyant sur des fondations solides

Depuis l’annonce du partenariat, les équipes de développement de Siemens et SAP se sont réunies pour mettre en œuvre les principes évoqués ci-dessus. Elles ont commencé parse concentrer sur le développement d’un ’échange transparent des données produits, afin de permettre une intégration bidirectionnelle des processus. Puis ont mis l’accent sur une couverture de bout en bout de processus métiers spécifiques : en commençant par la fabrication sur stock (MTS), la configuration à la commande (CTO) et l’ingénierie à la commande (ETO).

Le résultat est une feuille de route définie conjointement, qui commence avec une première version programmée au quatrième trimestre 2021.

Etape 1 : intégration du PLM vers SAP

La première release s’appuiera sur notre modèle commun et les processus de bout en bout sous-jacents afin d’établir les fondations de  permettant une traçabilité,  une fédération des données et des liensinter systèmes. Elle se concentrera sur les processus et le transfert de données depuis le  Teamcenter vers SAP, tels que :

  • Création des fiches article dans SAP basés sur les sémantiques métiers
  • Transfert des données de classification pour permettre un flux d’informations cohérent vers SAP
  • Création des fiches info document dans SAP
  • Transfert de la nomenclature vers SAP
  • Capacité pour Teamcenter de déclencher des modifications en provenance de l’ingénierie

Etape 2 : élargir le scope et fermer la boucle entre le développement produit et SAP

Début 2022, la prochaine vague d’innovations se focalisera sur la « fermeture de la boucle » entre SAP et le développement produit. Nous nous concentrerons sur les fondations des processus métier avancés, y compris les scénarios de configuration à la commande (CTO), d’ingénierie à la commande (ETO), etc. Voici quelques fonctionnalités clés de cette version :

  • Création de fiches articles et de nomenclatures spécifiques
  • Capacité pour SAP de déclencher des changements d’ingénierie et de fabrication
  • Transfert de la définition de la configuration des produits à variantes
  • Fourniture de données pertinentes pour la fabrication tout au long du processus métier
  • Transfert des gammes SAP
  • Mise à disposition d’une solution cross système pour la gestion du portefeuille produits et projets (PPM)

Etape 3 : interopérabilité bidirectionnelle des systèmes et scénarios d’intégration avancés

Nous avons également prévu une seconde version en 2022, qui ne se concentrera pas seulement sur l’amélioration continue des processus avancés de configuration (CTO) et d’ingénierie (ETO), mais également sur une intégration bidirectionnelle favorisant transparence et interopérabilité. Les fonctionnalités proposées comprendront :

  • Gestion des nomenclatures spécifiques à la commande dans SAP
  • Échange de modèles produit pour la configuration de variantes et règles de contraintes d’ingénierie
  • Mise à disposition de scénarios Engineering to Order (ETO) sans couture
  • Échange d’informations sur les fournisseurs basés sur les informations fournisseurs
  • Activation de la traçabilité inter systèmes pour les workflows
  • Activation de l’analyse d’impact inter systèmes

Si vous souhaitez en savoir davantage sur notre feuille de route, rendez-vous dans les prochaines semaines sur le SAP Roadmap Explorer.

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Source de l’article sur sap.com

Le data mining est le processus d’extraction d’informations utiles à partir d’une accumulation de données, souvent à partir d’un data warehouse (entrepôt de données) ou d’une collection d’ensembles de données liés. Les outils de data mining incluent de puissantes fonctionnalités statistiques, mathématiques et analytiques dont l’objectif principal est de passer au crible de vastes ensembles de données pour identifier les tendances, les modèles et les relations, pour des prises de décisions et une planification éclairées.

Souvent associé aux demandes du service marketing, le data mining est considéré par de nombreux dirigeants comme un moyen de mieux comprendre la demande et de voir l’impact des modifications apportées aux produits, des prix ou des promotions sur les ventes. Mais le data mining présente également des avantages considérables pour d’autres domaines d’activité. Les ingénieurs et les concepteurs peuvent analyser l’efficacité des modifications de produit et rechercher les causes possibles de la réussite ou de l’échec d’un produit en fonction de la manière, du moment et du lieu d’utilisation des produits. Le MRO (entretien, réparation et fonctionnement) est en mesure de mieux planifier le stock de pièces et l’affectation du personnel. Les entreprises de services professionnels peuvent utiliser le data mining pour identifier les nouvelles opportunités liées à l’évolution des tendances économiques et aux changements démographiques.

Le data mining s’avère davantage utile et précieux maintenant que l’on se retrouve avec des ensembles de données plus volumineux et une expérience utilisateur accrue. Logiquement, plus il y a de données, plus elles cachent d’informations et de renseignements. Par ailleurs, plus les utilisateurs se familiarisent avec les outils et comprennent la base de données, plus ils deviennent créatifs vis-à-vis des explorations et des analyses.


Pourquoi utiliser le data mining ?

Le principal avantage du data mining est sa capacité à repérer des modèles et des relations dans de grands volumes de données provenant de plusieurs sources. Avec de plus en plus de données disponibles, provenant de sources aussi variées que les réseaux sociaux, les capteurs à distance et les rapports de plus en plus détaillés sur les mouvements de produits et l’activité du marché, le data mining offre les outils nécessaires pour exploiter pleinement le Big Data et le transformer en renseignements exploitables. De plus, il peut aider à « sortir des sentiers battus ».

Le processus de data mining peut détecter des relations et des modèles surprenants et intrigants dans des fragments d’informations apparemment non liées. Comme les informations tendent à être compartimentées, il a toujours été difficile, voire impossible, de les analyser dans leur ensemble. Toutefois, il peut exister une relation entre les facteurs externes (démographiques ou économiques, par exemple) et la performance des produits d’une entreprise. Les dirigeants, qui examinent régulièrement les chiffres des ventes par territoire, ligne de produits, canal de distribution et région, manquent souvent de contexte externe pour ces informations. Leur analyse souligne « ce qui s’est passé », mais ne détaille pas vraiment « pourquoi cela s’est passé de cette manière ». Le data mining peut apporter une solution.

Le data mining peut rechercher des corrélations avec des facteurs externes. Si la corrélation n’indique pas toujours la causalité, ces tendances peuvent être des indicateurs précieux pour guider les décisions relatives aux produits, aux canaux et à la production. La même analyse peut être bénéfique pour d’autres domaines de l’activité, de la conception de produit à l’efficacité opérationnelle, en passant par la prestation de services.


Historique du data mining

Nous collectons et analysons des données depuis des milliers d’années et, à bien des égards, le processus est resté le même : identifier les informations nécessaires, trouver des sources de données de qualité, collecter et combiner les données, utiliser les outils les plus efficaces pour analyser les données, et tirer parti des enseignements appris. À mesure que l’informatique et les systèmes basés sur les données se sont développés, il en a été de même pour les outils de gestion et d’analyse des données. Le véritable point d’inflexion est venu dans les années 1960 avec le développement de la technologie de base de données relationnelle et des outils de requête en langage naturel orienté utilisateur, tels que Structured Query Language (SQL). Les données n’étaient plus disponibles uniquement via des programmes codés personnalisés. Grâce à cette avancée, les utilisateurs pouvaient explorer leurs données de manière interactive et en extraire les « joyaux cachés ».

Le data mining est traditionnellement un ensemble de compétences spécialisées dans la science des données. Cependant, chaque nouvelle génération d’outils analytiques nécessite dans un premier temps des compétences techniques avancées, mais évolue rapidement pour devenir accessible aux utilisateurs. L’interactivité, c’est-à-dire la possibilité de laisser les données vous parler, est la principale avancée. Posez une question et visualisez la réponse. En fonction de ce que vous apprenez, posez une autre question. Ce type d’itinérance non structurée à travers les données permet à l’utilisateur d’aller au-delà des limites de la conception de bases de données spécifiques à une application et permet de découvrir des relations qui dépassent les limites fonctionnelles et organisationnelles.

Le data mining est une composante clé de la Business Intelligence. Les outils d’exploration de données sont créés dans les tableaux de bord décisionnels, en extrayant des informations du Big Data, y compris les données des réseaux sociaux, des flux de capteurs IoT, des appareils de localisation, du texte non structuré, des vidéos, etc. Le data mining moderne s’appuie sur le Cloud, l’informatique virtuel et les bases de données in-memory pour gérer les données de diverses sources de manière rentable et s’adapter à la demande.


Comment cela fonctionne ?

Il y a environ autant d’approches du data mining qu’il y a d’explorateurs de données. L’approche dépend du type de questions posées, du contenu et de l’organisation de la base de données ou des ensembles de données fournissant la matière première pour la recherche et l’analyse. Cela dit, certaines étapes organisationnelles et préparatoires doivent être accomplies pour préparer les données, les outils et les utilisateurs :

  1. Comprendre le problème, ou du moins le domaine d’enquête.Le décideur, qui doit prendre les commandes de cette grande aventure de data mining, a besoin d’une compréhension générale du domaine dans lequel il travaillera, à savoir les types de données internes et externes qui doivent faire partie de cette exploration. On suppose qu’il a une connaissance approfondie de l’entreprise et des domaines fonctionnels impliqués.
  2. Collecte de données. Commencez par vos systèmes et bases de données internes. Liez-les à l’aide de leurs modèles de données et de divers outils relationnels, ou rassemblez les données dans un entrepôt de données (data warehouse). Cela inclut toutes les données provenant de sources externes qui font partie de vos opérations, telles que les données de force de vente et/ou de service, les données IoT ou des réseaux sociaux. Recherchez et acquérez auprès des associations professionnelles et des gouvernements les droits sur les données externes, notamment les données démographiques, économiques et relatives au marché, telles que les tendances du secteur et les indices financiers. Intégrez-les dans le périmètre du kit d’outils (intégrez-les dans votre data warehouse ou reliez-les à l’environnement de data mining).
  3. Préparation et compréhension des données.Faites appel aux experts en la matière pour définir, catégoriser et organiser les données. Cette partie du processus est parfois appelée « remaniement des données ». Certaines données peuvent nécessiter un nettoyage pour supprimer les doublons, les incohérences, les enregistrements incomplets ou les formats obsolètes. La préparation et le nettoyage des données peuvent se poursuivre à mesure que de nouveaux projets ou des données provenant de nouveaux champs d’enquête deviennent intéressants.
  4. Formation des utilisateurs.Vous ne donneriez pas à votre adolescent les clés de la Ferrari sans qu’il n’ait appris à conduire ou qu’il n’ait pratiqué la conduite sur route avec un moniteur. Par conséquent, veillez à dispenser une formation formelle à vos futurs explorateurs de données et à les familiariser avec ces outils puissants. La formation continue est également bienvenue une fois qu’ils maîtrisent les bases et qu’ils peuvent passer à des techniques plus avancées.

Techniques de data mining

Gardez à l’esprit que l’exploration de données est basée sur un kit d’outils plutôt que sur une routine ou un processus fixe. Les techniques spécifiques de data mining citées ici ne sont que des exemples d’utilisation des outils par les organisations afin d’explorer leurs données et rechercher des tendances, des corrélations et des renseignements.

D’une manière générale, les approches de data mining peuvent être catégorisées comme étant orientées (vers un résultat spécifique souhaité) ou non orientées, comme un simple processus de découverte. D’autres explorations peuvent être destinées au tri ou à la classification des données, telles que le regroupement des clients potentiels en fonction d’attributs commerciaux comme le secteur, les produits, la taille et le lieu géographique. De même, la détection de cas particuliers ou d’anomalies est une méthode automatisée de reconnaissance des anomalies réelles (plutôt que simple variabilité) dans un ensemble de données qui affiche des modèles identifiables.

Association

Un autre objectif intéressant est l’association, qui relie deux événements ou activités apparemment non liés. Il existe un récit bien connu des débuts de l’analyse et du data mining, peut-être fictif, selon lequel une chaîne de magasins découvrait une corrélation entre les ventes de bière et de couches. Il avait été supposé que les nouveaux papas stressés qui sortaient tard le soir pour acheter des couches pouvaient aussi prendre un pack de 6 bières dans la foulée. Les magasins ont alors placé la bière et les couches à proximité, ce qui a augmenté les ventes de bière.

Clustering

Cette approche vise à regrouper les données par similitudes plutôt que par hypothèses prédéfinies. Par exemple, lorsque vous explorez vos informations commerciales clients combinées à des données externes démographiques et de crédit à la consommation, vous pourriez découvrir que vos clients les plus rentables vivent dans des villes de taille moyenne.

La majorité du temps, le data mining est exécuté en soutien à la prévision. Plus vous comprenez les modèles et les comportements, mieux vous pouvez prévoir les actions futures liées aux causes ou aux corrélations.

Régression

L’une des techniques mathématiques proposées dans les kits d’outils de data mining est l’analyse de régression, qui prédit un nombre en fonction de modèles historiques projetés dans le futur. Divers autres algorithmes de détection et de suivi des modèles fournissent des outils flexibles pour aider les utilisateurs à mieux comprendre les données et le comportement qu’elles représentent.

Ce ne sont là que quelques-uns des outils et des techniques disponibles dans les kits d’outils de data mining. Le choix de l’outil ou de la technique est en quelque sorte automatisé en ce sens que les techniques seront appliquées en fonction de la manière dont la question est posée. Auparavant, l’exploration de données revenait à « découper en tranches » la base de données, mais la pratique est aujourd’hui plus sophistiquée et les termes comme association, clustering et régression sont monnaie courante.


Exemples de cas d’utilisation

Le data mining est essentiel à l’analyse des sentiments, à l’optimisation des prix, au marketing de bases de données, à la gestion des risques de crédit, à la formation et à l’assistance, à la détection des fraudes, aux diagnostics médicaux, à l’évaluation des risques, aux systèmes de recommandation (à savoir, « les clients qui ont acheté ceci ont également aimé… »), et bien plus encore. Elle peut être un outil efficace dans pratiquement n’importe quel secteur, y compris la distribution de détail, la distribution de gros, les services, la fabrication, les télécommunications, les communications, les assurances, l’éducation, la santé, la banque, la science, l’ingénierie et le marketing en ligne ou les réseaux sociaux.

Développement de produit

Les entreprises qui conçoivent, fabriquent ou distribuent des produits physiques peuvent identifier des opportunités pour mieux cibler leurs produits en analysant les habitudes d’achat conjuguées aux données économiques et démographiques. Leurs concepteurs et ingénieurs peuvent également recouper les commentaires des clients et des utilisateurs, les données de réparation et d’autres données pour identifier les opportunités d’amélioration des produits.

Production

Les fabricants peuvent suivre les tendances de qualité, les données de réparation, les taux de production et les données de performance des produits sur le terrain pour identifier les problèmes de production. Ils peuvent également détecter les améliorations pouvant être apportées aux processus afin d’accroître la qualité, gagner du temps, réduire les coûts, améliorer la performance des produits et/ou repérer tout besoin de renouvellement d’équipements.

Industries
des services

Dans le secteur des services, les utilisateurs peuvent trouver des opportunités similaires d’amélioration des produits en comparant les commentaires des clients (directs ou publiés sur les réseaux sociaux ou d’autres sources) et les données relatives aux services, canaux, performance des pairs, régions, tarifs, ou encore les données démographiques ou économiques.

Enfin, toutes ces découvertes doivent être transposées dans les prévisions et la planification afin que l’ensemble de l’entreprise soit en phase avec les changements de la demande anticipés grâce à une connaissance plus approfondie du client, et soit ainsi mieux positionnée pour exploiter les opportunités venant d’être identifiées.


Défis liés au data mining

  • Big Data : la génération de données est de plus en plus rapide, ce qui offre de plus en plus d’opportunités pour le data mining. Cependant, des outils d’exploration de données modernes sont nécessaires pour extraire une signification du Big Data, compte tenu du volume élevé, de la grande rapidité et de la grande variété des structures de données, ainsi que du volume croissant de données non structurées. De nombreux systèmes existants ont du mal à gérer, à stocker et à utiliser ce grand flux d’intrants.
  • Compétence de l’utilisateur : les outils d’exploration et d’analyses des données sont conçus pour aider les utilisateurs et les décideurs à comprendre et à obtenir des informations à partir de grands volumes de données. Bien que hautement techniques, ces outils puissants offrent désormais une excellente expérience utilisateur, de sorte que pratiquement tous les utilisateurs sont en mesure d’utiliser ces outils avec un minimum de formation. Toutefois, pour tirer pleinement profit des avantages, l’utilisateur doit comprendre les données disponibles et le contexte commercial des informations qu’il recherche. Il doit également savoir, au moins de manière générale, comment fonctionnent les outils et ce qu’ils peuvent faire. Ces outils ne sont pas hors de portée du responsable ou dirigeant moyen, mais nécessitent un apprentissage, raison pour laquelle les utilisateurs doivent consacrer du temps au développement de cette nouvelle compétence.
  • Qualité et disponibilité des données : avec ces énormes quantités de nouvelles données, il existe également des masses de données incomplètes, incorrectes, trompeuses, frauduleuses, endommagées ou simplement inutiles. Les outils peuvent contribuer à résoudre ce problème, mais les utilisateurs doivent constamment tenir compte de la source des données et de sa crédibilité et fiabilité. Les préoccupations en matière de confidentialité sont également importantes, tant en ce qui concerne l’acquisition des données que la prise en charge et la gestion une fois qu’elles sont en votre possession.

Pictogramme qui représente un entrepôt de données

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FAQ sur le data mining

Quelle est la différence entre le machine learning et le data mining ?

Le data mining consiste à utiliser des outils analytiques avancés pour extraire des informations utiles d’une accumulation de données. Le machine learning est un type d’intelligence artificielle (IA) qui permet aux systèmes d’apprendre par l’expérience. L’exploration de données peut utiliser le machine learning lorsque les programmes analytiques ont la possibilité d’adapter leurs fonctionnalités en fonction de l’analyse de données qu’ils effectuent.

Existe-t-il une différence entre le data mining et l’analyse de données ?

L’analyse des données est un terme général pour le large éventail de pratiques visant à identifier les informations utiles, à les évaluer et à fournir des réponses spécifiques. Le data mining est un type d’analyse des données qui se concentre sur l’exploration de grands ensembles de données combinés pour découvrir des modèles, des tendances et des relations susceptibles de générer des informations et des prévisions.

Le data mining est-il identique à la science des données ?

La science des données est un terme qui inclut de nombreuses technologies de l’information, y compris les statistiques, les mathématiques et les techniques de calcul sophistiquées appliquées aux données. Le data mining est un cas d’utilisation de la science des données centré sur l’analyse de grands ensembles de données provenant d’un large éventail de sources.

Le data mining est-il identique au data warehouse ?

Un data warehouse est un ensemble de données, généralement provenant de sources multiples (ERPCRM, par exemple) qu’une entreprise rassemblera dans l’entrepôt à des fins d’archivage et d’analyse à grande échelle, comme le data mining.

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Source de l’article sur sap.com

La modélisation des données correspond au processus de création de diagrammes de flux de données. Lors de la création d’une structure de base de données, qu’elle soit nouvelle ou non, le concepteur commence par élaborer un diagramme illustrant la façon dont les données entreront et sortiront de la base de données. Ce diagramme est utilisé pour définir les caractéristiques des formats et structures de données, ainsi que des fonctions de gestion de base de données, afin de répondre efficacement aux exigences des flux de données. Une fois la base de données créée et déployée, le modèle de données servira de documentation expliquant les motifs de création de la base de données ainsi que la manière dont les flux de données ont été conçus.

Le modèle de données résultant de ce processus établit une structure de relations entre les éléments de données dans une base de données et sert de guide d’utilisation des données. Les modèles de données sont un élément fondamental du développement et de l’analyse de logiciels. Ils fournissent une méthode standardisée pour définir et mettre en forme les contenus de base de données de manière cohérente dans les systèmes, ce qui permet à diverses applications de partager les mêmes données.


Pourquoi la modélisation des données est-elle importante ?

Un modèle de données complet et optimisé permet de créer une base de données logique et simplifiée qui élimine la redondance, réduit les besoins en stockage et permet une récupération efficace. Elle dote également tous les systèmes de ce que l’on appelle une « source unique de la vérité », ce qui est essentiel pour assurer des opérations efficaces et garantir une conformité vérifiable aux réglementations et exigences réglementaires. La modélisation des données est une étape clé dans deux fonctions vitales d’une entreprise numérique.

Projets de développement logiciel (nouveaux ou personnalisations) mis en place par le service informatique

Avant de concevoir et de créer un projet logiciel, il doit exister une vision documentée de ce à quoi ressemblera le produit final et de son comportement. Une grande partie de cette vision concerne l’ensemble de règles de gestion qui régissent les fonctionnalités souhaitées. L’autre partie est la description des données : les flux de données (ou le modèle de données) et la conception de la base de données qui les prendra en charge.

La modélisation des données est une trace de cette vision et fournit une feuille de route pour les concepteurs de logiciels. Grâce à la définition et à la documentation complètes des flux de données et de la base de données, ainsi qu’au développement des systèmes conformément à ces spécifications, les systèmes devraient être en mesure de fournir les fonctionnalités attendues requises pour garantir l’exactitude des données (en supposant que les procédures ont été correctement suivies).

Analyses et visualisation (ou Business Intelligence) : un outil de prise de décision clé pour les utilisateurs

Avec l’augmentation des volumes de données et le nombre croissant d’utilisateurs, les entreprises ont besoin de transformer les données brutes en informations exploitables pour prendre des décisions. Sans surprise, la demande en analyse des données a augmenté de façon spectaculaire. La visualisation des données rend les données encore plus accessibles aux utilisateurs en les présentant sous forme graphique.

Les modèles de données actuels transforment les données brutes en informations utiles qui peuvent être transposées dans des visualisations dynamiques. La modélisation des données prépare les données pour l’analyse : nettoyage des données, définition des mesures et des dimensions, amélioration des données par l’établissement de hiérarchies, la définition d’unités et de devises et l’ajout de formules.


Quels sont les types de modélisation des données ?

Les trois types de modèles de données clés sont le modèle relationnel, le modèle dimensionnel et le modèle entité-association. Il en existe d’autres qui ne sont pas communément utilisés, notamment les types hiérarchique, réseau, orienté objet et à plusieurs valeurs. Le type de modèle définit la structure logique, à savoir comment les données sont stockées, organisées et extraites.

  1. Type relationnel : bien qu’« ancien » dans son approche, le modèle de base de données le plus couramment utilisé aujourd’hui est le relationnel, qui stocke les données dans des enregistrements au format fixe et organise les données dans des tables avec des lignes et des colonnes. Le type de modèle de données le plus basique comporte deux éléments : des mesures et des dimensions. Les mesures sont des valeurs numériques, telles que les quantités et le chiffre d’affaires, utilisées dans les calculs mathématiques comme la somme ou la moyenne. Les dimensions peuvent correspondre à des valeurs numériques ou textuelles. Elles ne sont pas utilisées dans les calculs et incluent des descriptions ou des emplacements. Les données brutes sont définies comme une mesure ou une dimension. Autres termes utilisés dans la conception de base de données relationnelle : « relations » (la table comportant des lignes et des colonnes), « attributs » (colonnes), « nuplets » (lignes) et « domaine » (ensemble de valeurs autorisées dans une colonne). Bien qu’il existe d’autres termes et exigences structurelles qui définissent une base de données relationnelle, le facteur essentiel concerne les relations définies dans cette structure. Les éléments de données communs (ou clés) relient les tables et les ensembles de données. Les tables peuvent également être explicitement liées, comme une relation parent/enfant, y compris les relations dites un-à-un (one-to-one), un-à-plusieurs (one-to-many) ou plusieurs-à-plusieurs (many-to-many).
  2. Type dimensionnel : moins rigide et structurée, l’approche dimensionnelle privilégie une structure de données contextuelle davantage liée à l’utilisation professionnelle ou au contexte. Cette structure de base de données est optimisée pour les requêtes en ligne et les outils d’entreposage de données. Les éléments de données critiques, comme une quantité de transaction par exemple, sont appelés « faits » et sont accompagnés d’informations de référence appelées « dimensions », telles que l’ID de produit, le prix unitaire ou la date de la transaction. Une table de faits est une table primaire dans un modèle dimensionnel. La récupération peut être rapide et efficace (avec des données pour un type d’activité spécifique stockées ensemble), mais l’absence de relations peut compliquer l’extraction analytique et l’utilisation des données. Étant donné que la structure des données est liée à la fonction qui produit et utilise les données, la combinaison de données produites par divers systèmes (dans un entrepôt de données, par exemple) peut poser des problèmes.
  3. Modèle entité-association (modèle E-R) : un modèle E-R représente une structure de données métier sous forme graphique contenant d’une part des boîtes de différentes formes pour représenter des activités, des fonctions ou des « entités », et d’autre part des lignes qui représentent des dépendances, des relations ou des « associations ». Le modèle E-R est ensuite utilisé pour créer une base de données relationnelle dans laquelle chaque ligne représente une entité et comporte des zones qui contiennent des attributs. Comme dans toutes les bases de données relationnelles, les éléments de données « clés » sont utilisés pour relier les tables entre elles.

Quels sont les trois niveaux d’abstraction des données ?

Il existe de nombreux types de modèles de données, avec différents types de mises en forme possibles. La communauté du traitement des données identifie trois types de modélisation permettant de représenter les niveaux de pensée au fur et à mesure que les modèles sont développés.

Modèle de données conceptuel

Ce modèle constitue une « vue d’ensemble » et représente la structure globale et le contenu, mais pas le détail du plan de données. Il s’agit du point de départ standard de la modélisation des données qui permet d’identifier les différents ensembles de données et flux de données dans l’organisation. Le modèle conceptuel dessine les grandes lignes pour le développement des modèles logiques et physiques, et constitue une part importante de la documentation relative à l’architecture des données.

Modèle de données logique

Le deuxième niveau de détail est le modèle de données logique. Il est étroitement lié à la définition générale du « modèle de données » en ce sens qu’il décrit le flux de données et le contenu de la base de données. Le modèle logique ajoute des détails à la structure globale du modèle conceptuel, mais n’inclut pas de spécifications pour la base de données en elle-même, car le modèle peut être appliqué à diverses technologies et divers produits de base de données. (Notez qu’il peut ne pas exister de modèle conceptuel si le projet est lié à une application unique ou à un autre système limité).

Modèle de données physique

Le modèle de base de données physique décrit comment le modèle logique sera réalisé. Il doit contenir suffisamment de détails pour permettre aux techniciens de créer la structure de base de données dans les matériels et les logiciels pour prendre en charge les applications qui l’utiliseront. Il va sans dire que le modèle physique est spécifique à un système logiciel de base de données en particulier. Il peut exister plusieurs modèles physiques dérivés d’un seul et même modèle logique si plusieurs systèmes de base de données seront utilisés.

Processus et techniques de modélisation des données

La modélisation des données est par essence un processus descendant qui débute par l’élaboration du modèle conceptuel pour établir la vision globale, puis se poursuit avec le modèle logique pour s’achever par la conception détaillée contenue dans le modèle physique.

L’élaboration du modèle conceptuel consiste principalement à mettre des idées sous la forme d’un graphique qui ressemble au diagramme des flux de données conçu par un développeur.

Les outils de modélisation des données modernes peuvent vous aider à définir et à créer vos modèles de données logiques et physiques et vos bases de données. Voici quelques techniques et étapes classiques de modélisation des données :

  • Déterminez les entités et créez un diagramme entité-association. Les entités sont considérées comme des « éléments de données qui intéressent votre entreprise ». Par exemple, « client » serait une entité. « Vente » en serait une autre. Dans un diagramme entité-association, vous documentez la manière dont ces différentes entités sont liées les unes aux autres dans votre entreprise, et les connexions qui existent entre elles.
  • Définissez vos faits, mesures et dimensions. Un fait est la partie de vos données qui indique une occurrence ou une transaction spécifique, comme la vente d’un produit. Vos mesures sont quantitatives, comme la quantité, le chiffre d’affaires, les coûts, etc. Vos dimensions sont des mesures qualitatives, telles que les descriptions, les lieux et les dates.
  • Créez un lien de vue de données à l’aide d’un outil graphique ou via des requêtes SQL. Si vous ne maîtrisez pas SQL, l’option la plus intuitive sera l’outil graphique : il vous permet de faire glisser des éléments dans votre modèle et de créer visuellement vos connexions. Lors de la création d’une vue, vous avez la possibilité de combiner des tables et d’autres vues dans une sortie unique. Lorsque vous sélectionnez une source dans la vue graphique et que vous la faites glisser dans une source déjà associée à la sortie, vous pouvez soit la joindre, soit créer une union de ces tables.

Les solutions analytiques modernes peuvent également vous aider à sélectionner, filtrer et connecter des sources de données à l’aide d’un affichage graphique de type glisser-déposer. Des outils avancés sont disponibles pour les experts en données qui travaillent généralement au sein des équipes informatiques. Toutefois, les utilisateurs peuvent également créer leurs propres présentations en créant visuellement un modèle de données et en organisant des tables, des graphiques, des cartes et d’autres objets pour élaborer une présentation basée sur des analyses de données.


Exemples de modélisation des données

Pour toute application, qu’elle soit professionnelle, de divertissement, personnelle ou autre, la modélisation des données est une étape préalable nécessaire à la conception du système et à la définition de l’infrastructure nécessaire à sa mise en œuvre. Cela concerne tout type de système transactionnel, de suite d’applications de traitement des données, ou tout autre système qui collecte, crée ou utilise des données.

La modélisation des données est essentielle pour l’entreposage de données car un entrepôt de données est un référentiel de données provenant de plusieurs sources, qui contiennent probablement des données similaires ou liées, mais disponibles sous des formats différents. Il est nécessaire de mapper en premier lieu les formats et la structure de l’entrepôt afin de déterminer comment manipuler chaque ensemble de données entrant pour répondre aux besoins de la conception de l’entrepôt, afin que les données soient utiles pour l’analyse et l’exploration de données. Le modèle de données est alors un catalyseur important pour les outils analytiques, les systèmes d’information pour dirigeants (tableaux de bord), l’exploration de données et l’intégration à tous les systèmes et applications de données.

Dans les premières étapes de conception de n’importe quel système, la modélisation des données est une condition préalable essentielle dont dépendent toutes les autres étapes pour établir la base sur laquelle reposent tous les programmes, fonctions et outils. Le modèle de données est comparable à un langage commun permettant aux systèmes de communiquer selon leur compréhension et leur acceptation des données, comme décrit dans le modèle. Dans le monde actuel de Big Datad’apprentissage automatiqued’intelligence artificiellede connectivité Cloudd’IdO et de systèmes distribués, dont l’informatique en périphérie, la modélisation des données s’avère plus importante que jamais.


Évolution de la modélisation des données

De façon très concrète, la modélisation des données est apparue en même temps que le traitement des données, le stockage de données et la programmation informatique, bien que le terme lui-même n’ait probablement été utilisé qu’au moment où les systèmes de gestion de base de données ont commencé à évoluer dans les années 1960. Il n’y a rien de nouveau ou d’innovant dans le concept de planification et d’architecture d’une nouvelle structure. La modélisation des données elle-même est devenue plus structurée et formalisée au fur et à mesure que davantage de données, de bases de données et de variétés de données sont apparues.

Aujourd’hui, la modélisation des données est plus essentielle que jamais, étant donné que les techniciens se retrouvent face à de nouvelles sources de données (capteurs IdO, appareils de localisation, flux de clics, réseaux sociaux) et à une montée des données non structurées (texte, audio, vidéo, sorties de capteurs brutes), à des volumes et à une vitesse qui dépassent les capacités des systèmes traditionnels. Il existe désormais une demande constante de nouveaux systèmes, de nouvelles structures et techniques innovantes de bases de données, et de nouveaux modèles de données pour rassembler ces nouveaux efforts de développement.


Quelle est la prochaine étape de la modélisation des données ?

La connectivité des informations et les grandes quantités de données provenant de nombreuses sources disparates (capteurs, voix, vidéo, emails, etc.) étendent le champ d’application des projets de modélisation pour les professionnels de l’informatique. Internet est, bien sûr, l’un des moteurs de cette évolution. Le Cloud est en grand partie la solution car il s’agit de la seule infrastructure informatique suffisamment grande, évolutive et agile pour répondre aux exigences actuelles et futures dans un monde hyperconnecté.

Les options de conception de base de données évoluent également. Il y a dix ans, la structure dominante de la base de données était relationnelle, orientée lignes et utilisait la technologie traditionnelle de l’espace disque. Les données du grand livre ou de la gestion des stocks d’un système ERP standard étaient stockées dans des dizaines de tables différentes qui doivent être mises à jour et modélisées. Aujourd’hui, les solutions ERP modernes stockent des données actives dans la mémoire à l’aide d’une conception en colonnes, ce qui réduit considérablement le nombre de tables et accroît la vitesse et l’efficacité.

Pour les professionnels du secteur, les nouveaux outils en libre-service disponibles aujourd’hui continueront à s’améliorer. De nouveaux outils seront également introduits pour rendre la modélisation et la visualisation des données encore plus simples et plus collaboratives.


Synthèse

Un modèle de données bien pensé et complet est la clé du développement d’une base de données véritablement fonctionnelle, utile, sécurisée et exacte. Commencez par le modèle conceptuel pour présenter tous les composants et fonctions du modèle de données. Affinez ensuite ces plans dans un modèle de données logique qui décrit les flux de données et définit clairement les données nécessaires et la manière dont elles seront acquises, traitées, stockées et distribuées. Le modèle de données logique donne lieu au modèle de données physique spécifique à un produit de base de données et constitue le document de conception détaillé qui guide la création de la base de données et du logiciel d’application.

Une bonne modélisation des données et une bonne conception de base de données sont essentielles au développement de bases de données et de systèmes d’application fonctionnels, fiables et sécurisés, qui fonctionnent bien avec les entrepôts de données et les outils analytiques, et facilitent l’échange de données entre les partenaires et entre les suites d’application. Des modèles de données bien pensés aident à garantir l’intégrité des données, ce qui rend les données de votre entreprise encore plus précieuses et fiables.


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Source de l’article sur sap.com