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Diriger le logiciel dans une ère dynamique.

Diriger le logiciel dans une ère dynamique nécessite une compréhension approfondie des technologies actuelles et des tendances à venir. Nous devons nous adapter et trouver des solutions innovantes pour réussir.

Dans le domaine des poursuites professionnelles, il existe une idée fausse commune selon laquelle gérer le développement logiciel est similaire à faire du vélo – une compétence statique qui, une fois acquise, peut être pédalée en avant avec des ajustements minimes. Cependant, dans le paysage en constante évolution de la technologie, une telle comparaison n’est pas seulement trop simpliste, mais peut entraîner de profondes erreurs de jugement en matière de leadership. Contrairement à la prévisibilité inébranlable d’une balade à vélo, le développement logiciel est un processus dynamique et en constante évolution qui défie la nature statique des analogies traditionnelles.

Le développement logiciel est un domaine qui évolue rapidement et qui ne peut pas être comparé à la conduite d’un vélo. Alors que nous célébrons le premier anniversaire de nos projets logiciels, il est important de comprendre que la gestion des projets logiciels est beaucoup plus complexe que de simplement conduire un vélo sur une route familière. Cette méconnaissance provient souvent de dirigeants qui, une fois maîtrisés le codage ou la gestion de projet, se retrouvent piégés dans un état d’esprit qui sous-estime la fluidité du processus de développement logiciel.

Pour comprendre pourquoi le développement logiciel est fondamentalement différent de la conduite d’un vélo, nous devons examiner les différents aspects du processus. Tout d’abord, le développement logiciel est un processus itératif qui nécessite une planification et une exécution minutieuses. Chaque étape du processus doit être testée et validée avant que le projet ne puisse passer à l’étape suivante. En outre, le développement logiciel implique souvent des changements et des ajustements en cours de route, ce qui nécessite une flexibilité et une réactivité constantes de la part des gestionnaires. Enfin, le développement logiciel peut être influencé par des facteurs externes tels que les tendances technologiques et les pratiques commerciales, ce qui signifie que les gestionnaires doivent être conscients des changements et s’adapter rapidement.

En conclusion, le développement logiciel est un processus dynamique qui nécessite une planification et une exécution minutieuses. Il est essentiel que les gestionnaires comprennent que le développement logiciel est très différent de la conduite d’un vélo et qu’il nécessite une flexibilité et une réactivité constantes pour s’adapter aux changements en cours de route. Les tests sont essentiels pour s’assurer que chaque étape du processus est validée avant de passer à l’étape suivante et pour s’adapter aux tendances technologiques et aux pratiques commerciales.

Source de l’article sur DZONE

Pour accompagner sa transformation en acteur d’envergure mondiale, Bridor avait besoin de se doter d’un ERP moderne et de refondre ses processus métiers. Un projet de grande envergure, ayant mené à l’adoption de SAP S/4HANA et de SAP IBP.

Groupe Le Duff est un acteur français, leader de la restauration et de la boulangerie-viennoiserie. Il est présent dans 100 pays, au travers de ses 1250 restaurants et boulangeries et ses 15 sites de production. Groupe Le Duff emploie 30 000 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel dépassant les 2 milliards d’euros.

« Depuis ses débuts en 1976, le chiffre d’affaires du Groupe Le Duff a doublé tous les 5 ans, explique Ronan Le Janne, Responsable des applications de gestion (SAP, BI, SIRH…). La principale filiale du groupe est Bridor, un industriel spécialisé dans les produits de boulangerie surgelés premium, qui compte pour 45% du chiffre d’affaires du groupe. Bridor devient rapidement un acteur d’envergure mondiale, pour lequel il est stratégique de disposer d’un système d’information moderne proposant des processus capables d’accompagner cette forte croissance, organique comme externe. »

Groupe Le Duff utilise des solutions SAP depuis 2002. L’ERP SAP ECC de Bridor, souffrait toutefois de son manque de modernité. « Bridor avait accumulé un certain retard, la dernière montée de version technique SAP datait de 2012. Il devenait primordial de traiter cette dette technique, qui pouvait poser problème, notamment lors de l’adaptation du SI aux règles fiscales des pays dans lesquels nous ouvrons des filiales ».

Un projet ambitieux

La direction a fait le choix de refondre le SI de Bridor, en migrant vers l’ERP SAP S/4HANA, tout en opérant la refonte de ses processus métiers. La société a donc dû assurer un double chantier : la conversion technique vers un nouvel ERP et l’audit de ses processus clés.

Elle décide pour cela de se faire accompagner par VISEO. « Nous avions déjà identifié VISEO comme candidat potentiel, car c’est un spécialiste à la fois du retail et de l’industrie, les deux activités du Groupe Le Duff, poursuit Ronan Le Janne. VISEO a également une bonne connaissance de SAP S/4HANA dans un contexte agroalimentaire. Ses équipes sont donc expérimentées et capables de nous conseiller avec pertinence. Autres points positifs, une méthodologie compréhensible et efficace, ainsi qu’une bonne adhérence avec la culture et les valeurs du Groupe Le Duff ».

L’ERP de Bridor couvre un périmètre étendu : finance, achats, ventes, production, stocks… « Nos usines fonctionnent en 24/7 et s’appuient toutes sur notre ERP SAP, qui est le cœur du réacteur de nos processus industriels et supply chain. Un système qui fonctionne donc lui aussi en 24/7 et qu’il est difficile d’arrêter. C’est pourquoi nous avons voulu faire entrer un maximum de transformation dans ce projet ».

 

Une migration hybride

À mi-chemin entre Brownfield et Greenfield, la migration hybride, dite Bluefield, permet d’opérer une migration technique vers SAP S/4HANA, sans devoir subir le poids du legacy, les données nécessaires étant réintégrées au terme des développements. « La migration hybride nous a permis de nous réapproprier notre système, de le simplifier, en redéfinissant précisément son périmètre et ses fonctionnalités », confirme Ronan Le Janne.

L’audit des processus clés et les ateliers de cadrage se sont traduits par plus d’une centaine d’évolutions métiers, dont :

  • la refonte des structures organisationnelles ;
  • la mise en œuvre de SAP COPA et du General Ledger ;
  • la mise en place du P&L Bridor et Groupe dans SAP ;
  • La mise en œuvre des processus de prévisions, planification et S&OP dans SAP IBP.

Lancé en avril 2021 par la phase de cadrage, le projet s’est poursuivi jusqu’en fin d’année 2022, pour une mise en route de SAP S/4HANA le premier janvier 2023.

« Compte tenu de la complexité du projet, cela s’est très bien passé. Une organisation stricte, une implication sans faille des métiers et une forte réactivité de la part de VISEO nous ont permis de tenir le planning que nous avions défini en 2020. Dès le 2 janvier 2023, de gros volumes d’opérations ont été enregistrés dans notre ERP SAP S/4HANA. Depuis, nous n’avons pas constaté de perte de productivité et le nombre de tickets d’incidents reste maîtrisé. C’est un démarrage bien maîtrisé et une belle réussite pour le Groupe Le Duff. »

Quelques travaux sur la partie finance ont été effectués sur le premier trimestre 2023 et un accompagnement au changement sera nécessaire pour acculturer les équipes à certaines nouvelles fonctionnalités et certains nouveaux processus. Mais le projet arrive à son terme, dans les délais et pour le budget prévu. « Un projet réussi, pour un rapport qualité / prix imbattable », conclut Ronan Le Janne. Prochaine étape, l’adoption de SAP S/4HANA Retail.

 

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Source de l’article sur sap.com

L'avantage des conteneurs

Les conteneurs offrent une variété d’avantages pour les entreprises, notamment une meilleure efficacité, une plus grande flexibilité et une plus grande sécurité.

Rapport des tendances des conteneurs de DZone 2023 : Edge Computing et Conteneurs

Edge computing est une technologie qui permet aux données d’être traitées et analysées à la périphérie du réseau, plutôt que dans un centre de données centralisé. Cela permet aux utilisateurs de bénéficier d’une plus grande latence et d’une meilleure réactivité, car les données sont traitées plus rapidement et plus près de leur emplacement. De plus, cela permet aux entreprises d’accéder à des données plus précises et à jour, ce qui est essentiel pour prendre des décisions commerciales informées.

Les conteneurs sont une technologie qui permet aux développeurs de créer des applications qui peuvent être facilement déployées et exécutées sur un grand nombre de plates-formes. Les conteneurs offrent une portabilité, une isolation et une sécurité accrues, ce qui en fait un excellent outil pour le déploiement d’applications sur le cloud et l’edge computing. En combinant les avantages des conteneurs et de l’edge computing, les entreprises peuvent déployer des applications plus rapidement et plus efficacement, tout en réduisant les coûts et en améliorant la qualité des données.

Cependant, l’utilisation conjointe de l’edge computing et des conteneurs présente également des défis. Les données doivent être gérées de manière sûre et sécurisée, ce qui peut être difficile à garantir lorsque les données sont stockées sur des appareils distants. De plus, les développeurs doivent s’assurer que les applications qu’ils déploient sur l’edge computing fonctionnent correctement et sont optimisées pour les plates-formes cibles. Enfin, il est important de garantir que les données soient stockées et traitées conformément aux réglementations en vigueur.

Edge computing et conteneurs sont devenus très populaires ces derniers temps, offrant des solutions innovantes à divers défis liés au traitement des données dans notre vie quotidienne. Ces technologies ont maintenant pénétré une large gamme d’appareils, y compris nos voitures, nos téléphones et même nos réfrigérateurs, ouvrant de nouvelles possibilités pour les cas d’utilisation et nous permettant de résoudre plus efficacement les défis liés au traitement des données. Dans cet article, nous explorerons l’intersection entre l’edge computing et les conteneurs, leur importance et les défis associés. Les avantages de l’utilisation conjointe de l’edge computing et des conteneurs sont évidents, mais il est important de comprendre les défis associés à cette technologie pour pouvoir tirer le meilleur parti de cette technologie.

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Les flux d'événements ne sont rien sans action.

Les flux d’événements sont une chose, mais sans action, ils ne servent à rien. Il est donc important de passer à l’action pour tirer le meilleur parti des opportunités qui se présentent.

Événements de flux et traitement des flux d’événements

En tant qu’informaticien enthousiaste, je voudrais discuter des flux d’événements et du traitement des flux d’événements en profondeur. Chaque point de données dans un système qui produit des données de manière continue correspond à un événement. Les flux d’événements sont décrits comme un flux continu d’événements ou de points de données. Les flux d’événements sont parfois appelés flux de données dans la communauté des développeurs, car ils se composent de points de données continus. Le traitement des flux d’événements fait référence à l’action prise sur les événements générés.

Le traitement des flux d’événements est très différent du traitement par lots, car le traitement des flux d’événements est conçu pour traiter les données en temps réel. Cela signifie que les données sont traitées immédiatement après leur arrivée et que les résultats sont immédiatement disponibles. Cela permet aux systèmes de prendre des décisions en temps réel et de réagir rapidement aux changements. Les avantages du traitement des flux d’événements comprennent une meilleure prise de décision, une plus grande réactivité et une plus grande efficacité.

Le traitement des flux d’événements est utilisé pour une variété de tâches, notamment la surveillance en temps réel, le routage et le filtrage des données, l’analyse prédictive et la détection des anomalies. Par exemple, un système peut surveiller en temps réel les données provenant d’une base de données et prendre des mesures en fonction des résultats obtenus. Il peut également être utilisé pour analyser les données en temps réel et prendre des décisions basées sur ces analyses. Enfin, le traitement des flux d’événements peut être utilisé pour détecter les anomalies dans les données et prendre des mesures pour y remédier.

Pour illustrer le traitement des flux d’événements, considérons un système qui surveille en temps réel les données provenant d’une base de données. Le système surveille les données à l’aide d’une application qui analyse les données et prend des mesures en fonction des résultats obtenus. Lorsque le système détecte une anomalie, il peut prendre des mesures pour corriger le problème ou avertir l’utilisateur. De plus, le système peut être configuré pour analyser les données en temps réel et prendre des décisions basées sur ces analyses. Ainsi, le traitement des flux d’événements permet aux systèmes de surveiller, analyser et prendre des décisions basées sur les données provenant d’une base de données en temps réel.

Source de l’article sur DZONE

Faciliter la construction des budgets et améliorer l’alignement entre les métiers, voilà les deux principaux objectifs que Solinest visait avec sa nouvelle solution de planification. SAP Analytics Cloud a été retenu pour répondre à ces besoins.

Solinest est un spécialiste du négoce de produits de grande consommation : confiseries, snacks, boissons et produits frais. Des articles qui peuvent être trouvés en devant de caisse et dans les rayons de 50.000 points de vente français : hypermarchés, supermarchés et commerces de proximité. La société alsacienne est également présente en Belgique et au Luxembourg.

Solinest distribue les produits de ses 40 marques partenaires, mais participe aussi au développement de marques de distributeurs et propose ses propres offres, comme la marque [N.A!]. Entreprise familiale et indépendante, Solinest compte 500 collaborateurs, pour 300 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel.

Comme toutes les sociétés œuvrant dans le secteur de la distribution, Solinest réalise de gros volumes de transactions avec de faibles marges, nécessitant un apport constant de nouveaux marchés. La réactivité est un des autres enjeux auquel est confrontée la société. Réactivité se traduisant par un besoin d’alignement permanent entre marketing, commerce, logistique, finance et direction.

« Le système d’information de Solinest est compact, avec un ensemble de solutions SAP et des interfaces simples : un ERP SAP ECC, un data warehouse SAP BW, SAP BPO et SAP Analysis », explique Franck Prevost, DSI du groupe. Ce SI met l’accent sur des technologies matures, avec un reporting effectué sur Excel et manquant donc de flexibilité. « Nous avions besoin d’un outil transversal facilitant les échanges entre directions et permettant d’adresser le budget et les prévisions. »

SAP Analytics Cloud et Censio Karamba

« Nous souhaitions trouver une solution adaptée dans le catalogue SAP, poursuit Franck Prevost. Nous hésitions entre SAP Business Planning and Consolidation (SAP BPC) et SAP Analytics Cloud (SAC). Nous avons alors cherché une société capable de mettre en place des POC afin de vérifier laquelle de ces deux solutions répondrait le mieux à nos besoins. Censio Karamba a été choisi pour créer ces démonstrateurs. Après analyse, nous avons opté pour SAC, car c’est une solution cloud accessible et agile, capable de faire tout ce que l’on attendait (construction de budget, simulations, indicateurs et tableaux de bord), tout en étant au cœur de la roadmap de SAP. »

Ce projet structurant est stratégique pour Solinest. Une attention particulière a donc été portée sur la définition du modèle et des nouveaux processus, et une réflexion a été menée sur les besoins en matière de simulation. Trois lots ont été définis :

  • Budget : un lot devant être mis en place en septembre 2020, pour permettre la saisie des budgets 2021 dans SAC. Une phase critique du projet.
  • Répartition du réel : ce lot nécessitant de disposer d’une année de référence, il a été décidé de le mettre en place après le budget.
  • Contribution consolidée : l’objectif est ici de définir ce que les marques Solinest (comme [N.A!]) apportent en tant que marque et au distributeur. Rolling forecast et processus IBP font également partie de ce lot.

De mars à septembre 2020, les équipes de Solinest et de Censio Karamba ont mis en place la connexion entre SAP BW et SAC, modélisé l’intégralité du P&L, pris en compte les inducteurs de prix et coûts (environ 200) et créé les états de restitution par couples pays-canaux. En parallèle, il a fallu accompagner et former les utilisateurs en vue de la campagne de saisie de données relative au budget 2021. « Cette étape était très importante, car nous voulions être en mesure de faire interagir quatre métiers : marketing, commerciaux, supply chain et contrôleurs de gestion », explique Franck Prevost. Soit 400 personnes à former. Cette tâche fut d’autant plus complexe que le télétravail était la règle pendant une grande partie de cette période.

Premier succès, avec le rendu du lot 1 dans les temps, permettant une saisie du budget 2021 dans SAC. Crise sanitaire oblige, le lot 2 a été reculé de novembre 2020 à janvier 2021. Enfin, le lot 3 a été livré en juin 2021. Au total, le projet aura duré près de 18 mois.

Des métiers qui gagnent en autonomie

Le premier bénéfice, c’est l’autonomie apportée aux métiers. Ils deviennent indépendants du contrôleur de gestion sur la saisie et la restitution des données, et de l’IT sur les aspects techniques. Dans le même temps, le rôle du contrôle de gestion évolue : « d’opérateur de saisie, il devient celui qui orchestre les processus budgétaires », note Franck Prevost.

Autre avantage apporté par SAP Analytics Cloud : il permet à tous les collaborateurs d’accéder au même niveau d’information, de partout. « Il n’est plus nécessaire d’attendre que le contrôleur de gestion ait produit ses restitutions pour accéder aux informations. Dorénavant, tout le monde a accès à la donnée, au même moment. »

Prochainement, Solinest envisage de basculer de SAP BW vers SAP BW/4HANA. Mais aussi de mettre en place de nouveaux outils de simulation dédiés aux commerciaux et des tableaux de bord destinés au comité de direction de l’entreprise. L’aventure SAP Analytics Cloud ne fait donc que commencer pour Solinest.

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Source de l’article sur sap.com

SCM est un industriel indépendant né de la cession de la filiale oil and gas du groupe américain TE Connectivity. Suite à cette transaction, l’entreprise sarthoise avait un an pour basculer vers son propre ERP. Elle a opté pour une offre cloud SAP S/4HANA aux fonctionnalités resserrées sur l’essentiel, afin de tenir des délais de mise en place particulièrement courts. Avec l’aide des équipes de delaware, SCM a atteint ses objectifs en à peine 6 mois.

Une société presque centenaire, qui retrouve son indépendance

Systèmes et Connectique du Mans – SCM – conçoit, produit, teste, livre et installe des connecteurs électriques de puissance et optiques adaptés à des environnements extrêmes de corrosion, température et pression. La société travaille principalement pour des acteurs du secteur pétrolier et gazier (elle équipe notamment des plates-formes d’extraction en mer), mais également des clients des secteurs de la défense, du transport ferroviaire et de l’aéronautique. Elle s’appuie sur un site industriel moderne de 14.400 m². SCM emploie aujourd’hui environ 140 personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 20 millions d’euros.

L’histoire de SCM est intimement liée à celle de CKB (Carier Kheops Bac), entreprise reprise en 2012 par TE Connectivity. Lorsque le groupe américain annonce la délocalisation des activités de sa filiale, les salariés reprennent la main, avec le lancement de SCM en avril 2021. La filiale oil and gas de TE Connectivity utilisait l’ERP SAP ECC 6 du groupe. Suite à la cession d’actif, SCM disposait d’une année pour mettre en place son propre ERP.

Autre contrainte, la nécessité de basculer d’un système SAP conçu pour une multinationale et massivement customisé vers une solution plus simple, adaptée à une ETI française. Le tout dans un contexte de fin de vie programmée de SAP ECC.

Un projet mené à bien dans des délais records

Sur les conseils de SAP et de l’intégrateur delaware, SCM opte pour une migration vers une solution SAP cloud de dernière génération, au travers de l’offre RISE with SAP S/4HANA. Le projet démarre le 22 septembre 2021. Afin de limiter la conduite du changement, l’entreprise choisit de rester dans un premier temps en SAP GUI, comme le permet l’offre RISE with SAP S/4HANA. Les impacts du changement d’ERP sont ainsi minimisés. Un important travail de nettoyage des données a également été mené, afin de se concentrer sur les seules informations nécessaires au fonctionnement de la nouvelle structure.

Le démarrage du nouveau système a été effectif le 26 mars 2022, après seulement 6 mois de travaux. SCM a pu commencer à utiliser immédiatement son ERP SAP S/4HANA : émission des premières factures, enregistrement des réceptions de produits et des mouvements de stock, saisie des validations de qualité, etc. Aucun incident majeur n’a été remonté depuis ce lancement express de la solution SAP S/4HANA en mode cloud.

Satisfait de l’accompagnement proposé par delaware tout au long du projet, SCM a décidé de lui confier la tierce maintenance applicative de son ERP pour les 15 prochains mois. Dans un premier temps, la société s’appuiera sur cette TMA pour stabiliser son système d’information SAP et lui apporter quelques premières améliorations.

« Nous sommes passés d’un groupe international disposant de 90 sites dans le monde à une entreprise industrielle sarthoise d’un peu plus de 100 personnes. Il nous fallait un ERP adapté à ce nouveau contexte : une solution plus simple, capable d’aller à l’essentiel. Au cours du projet, nous avons pris le temps de déterminer quelles fonctionnalités nous étaient vraiment utiles et lesquelles étaient de l’ordre du confort (des sujets que nous étudierons ultérieurement) ce qui nous a permis de mettre en place notre nouvel ERP dans des délais particulièrement courts, » témoigne Frédéric Kleindienst, président de SCM.

« SCM est l’exemple d’une entreprise qui souhaite bénéficier de la force d’un ERP tel que celui de SAP sans y ajouter les contraintes. La nouvelle version S/4HANA Cloud de SAP est adaptée aux PME/ETI car elle allie une couverture fonctionnelle standard riche et une simplicité de gestion et d’utilisation de par son prisme SAAS. La binôme SAP – delaware permet de faire bénéficier à SCM d’un système reconnu partout dans le monde tout en y ajoutant la flexibilité et la réactivité attendues par une PME/ETI. C’est le modèle SAP tel que nous le définissons pour les 15 prochaines années à venir » déclare Lahcen Binoumar, Head of General Business, SAP France.

« Ce projet était un énorme challenge. Nous avons réussi à basculer vers l’ERP SAP S/4HANA en seulement 6 mois, alors qu’il faut habituellement entre 10 et 12 mois. Nous avons pu compter sur les équipes de delaware, qui nous ont accompagnés tout au long de ce projet, mais aussi sur nos équipes internes et nos utilisateurs, particulièrement matures sur l’environnement SAP. Afin de tenir les délais, nous avons opté pour un ERP resserré, que nous améliorerons par la suite, en lui ajoutant des fonctionnalités qui nous permettront de travailler encore plus confortablement, » détaille Mickaël Medard, directeur de programme, et supply chain Management, SCM

« Nous avons su mettre en place une solution de pointe, dans des délais particulièrement courts. Nous entretenons des relations étroites avec nos clients, afin de mieux comprendre leurs besoins et de leur apporter un service de qualité. La symbiose a ici été parfaite entre nos équipes, celles de SAP et de SCM. En optant pour l’offre RISE with SAP S/4HANA, la bascule vers le cloud a par ailleurs été grandement simplifiée, SAP devenant le point de contact unique pour la contractualisation, la mise à disposition et le maintien en conditions opérationnelles des infrastructures cloud, » résume Fatsah Nasri, chef de projet et Aymeric Fosset, Partner, delaware France.

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Source de l’article sur sap.com


Découvrez les saisons précédentes de la série de podcasts SAP intitulée « Parlons des données » dans nos précédents blogs sur la saison 5 et la saison 4.

Il est essentiel de créer un robuste socle de données et d’atteindre l’excellence en matière d’informations pour obtenir l’agilité d’entreprise nécessaire pour faire face aux changements et prendre rapidement les bonnes décisions stratégiques. Aider les équipes métier à mettre à profit leurs ressources de données et une remarquable réactivité pour optimiser la collecte et la communication de ces précieuses ressources est extrêmement utile pour renforcer l’efficacité au sein de l’entreprise et gérer de façon optimale les périodes de changements.

Nous avons donc réuni des experts en gestion et stratégie des données pour évoquer les sujets et tendances clés qui transforment la façon dont les entreprises exploitent les données pour libérer tout le potentiel de ces précieuses ressources.

Écoutez cette série de podcasts en anglais pour tout savoir sur les données !

Surveillez les nouveaux podcasts et rattrapez votre éventuel retard en la matière.

Écoute possible sur Spotify, SoundCloud, iTunes, PlayerFM ou YouTube.

Aperçu de la saison 6 : podcasts sur la stratégie de données, cas d’utilisation et solutions SAP associées

Ep. 58 — Partie 2 : Intégration de SAP Signavio Process Intelligence à SAP Data Intelligence

Cet épisode dit tout sur SAP Signavio Process Intelligence : le pourquoi, le quoi et le comment. Il aborde également l’intégration entre SAP Signavio Process Intelligence et SAP Data Intelligence.  Intervenants : Silvio Arcangeli, directeur principal SAP Signavio Process Intelligence, et Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions de gestion des données chez SAP.

Ep. 57 — Partie 1 : SAP et Signavio : le quoi et le comment

Cet épisode présente SAP Signavio. Il présente la solution ainsi que les éléments clés et la façon dont SAP et Signavio travaillent ensemble pour améliorer les processus.
Intervenants : Silvio Arcangeli, directeur principal SAP Signavio Process Intelligence, et Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions de gestion des données chez SAP.

Ep. 56 — Ce que le conseil d’administration doit savoir sur les données

Ce podcast porte sur les fondements nécessaires aux membres de conseils d’administration, en particulier ceux d’entreprises non natives des données, pour gérer les opportunités et risques majeurs, mener des examens plus approfondis, et assumer leur responsabilité de supervision axée sur les données. Écoutez Dr Thomas C. Redman, « le docteur Données », président de Data Quality Solutions, et Maria Villar, en charge de l’innovation en matière de gestion et de stratégie des données d’entreprise chez SAP, partager leurs précieux insights.

Ep. 55 — Les femmes dans le domaine des données

Rejoignez cette discussion interactive avec des femmes ayant toute une carrière en lien avec les données, dont Kristin McMahon, vice-présidente mondiale Solutions et marketing chez SAP, Corrie Brague, directrice principale Gestion des données chez SAP, Ina Felsheim, directrice marketing produits chez AWS, et Ginger Gatling, directrice principale Gestion des données chez SAP. Vous entendrez leur avis sur l’état actuel de la gestion des données, des conseils pour une carrière en lien avec les données et des insights sur l’importance de la promotion des données dans tous les secteurs.

Ep. 54 — SAP et OpenText : réduction des coûts, amélioration des performances et migration vers SAP S/4HANA avec solide retour sur investissement

Cet épisode concerne le traitement des documents, le partenariat avec OpenText et une récente étude axée sur le retour sur investissement évoquant la réduction des coûts, l’amélioration des performances et l’efficacité en matière de migration vers SAP S/4HANA.
Intervenantes : Sheila McCarthy, directrice mondiale du marketing et des solutions, et Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions SAP

Ep. 53 — Données et analytique SAP : cas d’utilisation client pour l’intégration des données

Ce podcast s’appuie sur l’épisode 51 évoquant les services de gestion des données disponibles dans SAP Business Technology Platform. Dans cet épisode, nous découvrons une entreprise disposant de données en silos, déconnectées et dépourvues de contexte commercial. Ce podcast explique comment SAP Business Technology Platform, et plus particulièrement les services de données et d’analytique, ont été utilisés pour ajouter un contexte commercial à la masse de données existantes afin de favoriser des décisions fiables.
Intervenants : Silvio Arcangeli, directeur principal Stratégie produits technologiques et plateformes chez SAP, Axel Schuller, responsable Solutions de gestion des données SAP, Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions de gestion des données chez SAP.

Ep. 52 — Rapprochement des données financières

Savez-vous que le rapprochement des données financières est incontournable dans tout projet de mise en œuvre SAP ? En quoi cela consiste-t-il et pourquoi est-ce nécessaire pour toutes les entreprises d’y prêter attention ? Rejoignez Syin Tan, Kevin Zheng, Lucas Morris et Sam Bannigan, représentants Pratiques relatives aux données chez Deloitte, qui évoquent les coûts, risques et exigences de conformité liés au rapprochement financier, et la façon dont ils ont mis à profit SAP Data Intelligence pour maîtriser ce facteur de réussite essentiel.
Intervenants : Kevin Zheng, spécialiste des données chez Deloitte Consulting, Syin Tan, spécialiste finance et données chez Deloitte Consulting, et Lucas Morris, spécialiste finance chez Deloitte Consulting.

Ep. 51 — Les meilleures façons d’exploiter les services de gestion des données avec SAP Business Technology Platform

Ce podcast explore les plus importants services de gestion des données disponibles sur SAP Business Technology Platform. Ces services incluent le catalogage des données et la gestion des métadonnées, l’intégration des données et le traitement des données. La façon dont ces services sont utilisés dans l’ensemble du portefeuille données et analytique de SAP Business Technology Platform sera également abordée. Rejoignez ce podcast pour découvrir les dernières innovations concernant les services de gestion des données et comment les mettre à profit.
Intervenants : Silvio Arcangeli, directeur principal Stratégie produits technologiques et plateformes chez SAP, Axel Schuller, responsable Solutions de gestion des données SAP, Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions de gestion des données chez SAP.

Ep. 50 — SAP et Sodales : comment innover, créer et monétiser vos solutions SAP BTP Sodales Solutions crée des solutions pour la gestion EHS (Environnement, Hygiène et Sécurité) des entreprises et elle s’appuie pour cela sur SAP Business Technology Platform (SAP BTP). Grâce à son innovation continue et à sa mise à profit de SAP BTP, Sodales exploite chaque opportunité d’amélioration. Écoutez ce que ce « modèle en matière de SAP BTP » a à dire et découvrez son approche en matière d’innovation, mais aussi des réflexions concernant SAP Store, les critères d’embauche, etc.

Ep. 49 — Le problème oublié : comment gérer la croissance du volume de données tout en réduisant les coûts et les risques La croissance du volume des données s’accélère. Les coûts et les risques liés à la gestion de toutes ces données ne se limitent pas au stockage. Rejoignez Deepak Sood, PDG d’Auritas, et Robert Pickering, directeur principal Gestion des solutions Business Technology Platform chez SAP, qui expliquent comment et pourquoi gérer le cycle de vie des données tout en trouvant le juste équilibre en matière de coûts des ressources, propriété, risques et conformité légale.

Ep. 48 — Découverte de la valeur ajoutée de SAP BTP pour les partenaires, avec SAP, IDC et le partenaire SAP Rizing Dans cet épisode de podcast, vous entendrez des dirigeants de SAP, IDC et Rizing, partenaire SAP, évoquer la valeur ajoutée obtenue par les partenaires avec SAP Business Technology Platform (SAP BTP). Paul Edwards (directeur, canaux logiciels et écosystèmes chez IDC) mène une discussion particulièrement instructive avec Martin Stenzig(directeur de la technologie chez Rizing) et Tom Le (vice-président mondial Conseil en solutions partenaires, SAP), en abordant les conclusions du guide de la réussite partenaires IDC qui explore les accélérateurs opérationnels et technologiques offerts aux partenaires via SAP BTP. Les dirigeants abordent des sujets tels que la façon dont Rizing innove avec SAP BTP, le périmètre et l’impact de la plateforme sur la valeur du cycle de vie client, ainsi que les programmes SAP proposés pour assurer la réussite des partenaires avec SAP BTP. Pour en savoir plus, accédez au podcast dès maintenant.

Ep. 47 — Prévision du prix des produits de base avec SAP Data Intelligence Ratan Yedla et Sumanth Krishnan de VASPP Technologies évoquent le fonctionnement de la prévision des prix des produits de base avec SAP Data Intelligence. Ils abordent le recours à des modèles d’IA (intelligence artificielle) et de ML (Machine Learning) pour prévoir les futurs prix en fonction de modèles passés, d’événements externes et de données IoT, et expliquent combien mieux prévoir les prix, avec moins d’erreurs, permet de meilleures décisions d’achat et des économies pour les entreprises. VASPP Technologies a réalisé ce travail lors du sprint de contenus SAP Data Intelligence.

Ep. 46 — Création de l’automatisation intelligente de DataXstream avec SAP Data Intelligence Xilin Cheng et Kathleen Taggart de DataXstream évoquent la création de l’automatisation intelligente et les avantages du recours à SAP Data Intelligence pour les opérations de Machine Learning (MLOps). L’équipe aborde les difficultés rencontrées par le grossiste pour traiter un gros volume de devis et de commandes avec précision et efficacité. Traditionnellement, il fallait que des représentants du service client, comprenant SAP GUI et ayant des années d’expérience dans le secteur, passent des heures à saisir des données. Avec l’automatisation intelligente, la reconnaissance optique de caractères permet de lire du texte dans les modèles de Machine Learning créés par Xilin. Il évoque les techniques de traitement du langage naturel (TLN) utilisées, mais aussi les avantages du développement de pipelines de Machine Learning dans SAP Data Intelligence. Kathleen et Xilin évoquent pour finir l’avenir de l’automatisation intelligente et le potentiel qu’offre le Machine Learning pour remporter plus de contrats et améliorer l’expérience d’achat des clients.

Pour en savoir plus, consultez les ressources et informations supplémentaires disponibles ici :

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Source de l’article sur sap.com

La gestion d’une PME comme la montée en puissance d’une ETI impliquent nécessairement la digitalisation des processus de l’entreprise. Pour gagner en compétitivité sur le marché actuel, l’implémentation d’un ERP se révèle être un atout indéniable. En effet, il est indispensable d’automatiser les tâches, de fournir des services à distance et de rendre les données accessibles depuis différents supports.

Gérer efficacement les bases de données devient capital et relève d’un véritable enjeu stratégique pour chaque société. Leviers de croissance, centralisation et hiérarchisation des données permettent aux entreprises de se développer. L’externalisation informatique via le cloud assure une flexibilité et une sécurité supplémentaires dans le stockage et la mise à jour des databases. La maintenance à distance réduit considérablement les coûts. Il s’agit aussi de s’adapter aux fluctuations du marché en temps réel avec une réactivité à l’épreuve des aléas économiques. Tous les secteurs d’activité sont alors concernés par la transformation numérique ou l’optimisation de la solution digitale déjà en place. L’importance croissante du commerce en ligne accélère d’ailleurs la tendance.

Le traitement des informations requiert un logiciel de gestion d’entreprise performant, adapté à la taille de la structure et conçu pour permettre son évolution en fonction des objectifs fixés. Le système ERP soutient l’activité dans des conditions de rentabilité optimale au niveau de la production mais aussi de la gestion et du commerce. Il offre également un outil d’analyse fiable pour définir une stratégie d’entreprise pérenne. La solution ERP garantit un pilotage sur-mesure aux PME comme aux ETI. Mais derrière la technologie ERP et sa définition marketing, quelles modalités de déploiement assurent une compétitivité sans délai ? Voici tout ce qu’il faut savoir pour mettre à profit un ERP d’entreprise avec une intégration système réussie, une interface conviviale pour ses utilisateurs et un support client irréprochable.

Tous les bénéfices d’un système ERP pour les PME et les ETI

La transition numérique met en avant l’ERP avec une signification pas toujours accessible aux personnes extérieures au service informatique de l’entreprise. Pourtant, les PME comme les ETI peuvent elles aussi faciliter leur digitalisation en ayant recours à un Progiciel  de Gestion  Intégré  (PGI, de l’anglais ERP), conçu par un éditeur spécialisé. Les coûts de gestion de l’entreprise diminuent également avec l’automatisation des tâches récurrentes et la fin des répétitions de saisies informatiques inutiles entre les services. Avec un PGI, il n’est pas nécessaire d’investir dans une licence pour chaque poste de travail : il gère l’ensemble du système informatique et partage les données en temps réel avec les départements concernés.

Dans l’industrie, les sociétés de services et le commerce, les PME gagnent ainsi du temps et économisent sur leur budget annuel. Les équipes peuvent davantage mettre à profit leur énergie sur des tâches à valeurs ajoutées. L’Enterprise Resource Planning porte les petites structures au rang des ETI. Mais que signifie exactement ce terme informatique et quelles applications trouve-t-il dans les processus de gestion des informations et des services opérationnels des entreprises ?

Qu’est-ce qu’un ERP ?

Le terme désigne un logiciel professionnel aux multiples fonctionnalités. Il est conçu pour répondre à l’efficacité de gestion des processus informatisés de l’entreprise. En français, il est aussi connu sous l’appellation PGI pour Progiciel de Gestion Intégré. Il regroupe un ensemble de programmes paramétrables en fonction des utilisateurs et des besoins en lien avec l’activité. Il intègre à son système d’informations toutes les fonctions d’une société. Outil de gestion informatisée, il met à disposition des services concernés toutes les ressources nécessaires au fonctionnement de l’entreprise. Le PGI favorise le travail en équipe et assure la transmission des données entre les différents départements. Il permet d’interagir avec un site client. Il sert de passerelle entre les données des sites de production et celles des points de livraison. Le PGI promet une logistique sans faille. Mais qu’en est-il plus concrètement ?

Son rôle dans le fonctionnement d’une entreprise

Dans une usine de production, par exemple, l’ERP centralise toutes les informations utiles pour assurer les commandes et les livraisons dans les délais prévus. Il adapte le rendement au stock disponible et au coût total. Il peut être programmé pour commander les matériaux automatiquement avant une pénurie pénalisante. L’ERP envoie alors la facturation de l’approvisionnement au service comptabilité. Il permet de planifier les roulements des équipes en fonction de la rentabilité de la production. Il fournit l’analyse financière nécessaire à la prise de décisions. Les données sont disponibles en temps réel. Même les ressources humaines peuvent bénéficier des applications du PGI. La base de données utilisée prévoit le croisement des informations, leur classement et leur extraction en fonction des stratégies préalablement définies. Autrement dit, l’ERP fluidifie l’agrégation et le traitement des données de toute l’entreprise pour que tous ses services en tirent profit.

L’ERP s’adresse également aux commerces et à la grande distribution. Un logiciel de gestion commerciale facilite la logistique au quotidien et la traçabilité des produits. Il s’inscrit dans une logique de gestion du cœur de métier ou des fonctions administratives comme l’émission des bulletins de paie. L’accès aux différentes informations de la filière entière reste toutefois soumis à des autorisations validées par la structure organisationnelle de l’entreprise. Mais tous les intervenants concernés partagent la même information immédiatement actualisée.

Le fonctionnement d’un ERP au sein d’une PME

L’avantage principal d’une intégration de système réside dans l’homogénéité des données accessibles. La mise à jour d’une information au niveau d’un poste de travail se transmet à tous les étages de l’organigramme de gestion. Chacun dispose des mêmes éléments pour traiter les tâches qui lui sont imparties. Tous bénéficient de la capitalisation des données stockées au sein du réseau interne. L’implémentation d’un ERP implique aussi des passerelles entre les différents programmes des départements spécifiques et leurs nombreux périphériques. Les données transitent sans problèmes de compatibilités ni d’interfaces. Le PGI communique avec les serveurs des fournisseurs et des clients lorsque le contexte s’y prête. Il est alors primordial de définir les fonctionnalités indispensables à l’activité.

Le logiciel gestion commerciale peut gérer l’envoi de mails pour une prospection régulière et une fidélisation des clients efficace. Certains secteurs ont intérêt à utiliser des assistants digitaux pour filtrer les communications par type d’informations. Chaque entreprise a son propre fonctionnement, l’ERP lui donne les moyens de l’optimiser avec une solution globale ou spécifique. Les conseils spécialisés de l’éditeur du progiciel de gestion d’entreprise apportent une expertise dans le choix des applications à mettre en place dans une filière particulière. Un diagnostic ERP après un audit complet des besoins de l’entreprise donne des perspectives nouvelles d’évolution sur le marché.

Choisir un progiciel de gestion intégré en fonction des besoins du business

La nature des données détermine en partie l’algorithme à utiliser. Les informations d’une ligne de production dans une usine ne sont pas du même ordre que celles d’une entreprise de services. Le commerce en ligne requiert des fonctionnalités spécifiques à son activité. La gestion des ressources humaines, des finances ou de la relation clients nécessitent des technologies adaptées à leur environnement de travail, sans nuire au fonctionnement du système global. Les supports multimédias utilisés et les composants de la bureautique déjà installés entrent également en ligne de compte dans la conception du PGI. Pourtant, certaines fonctionnalités sont communes à toutes les PME comme l’accès au réseau ou la gestion des mails. Les modules reliés à la base de données offrent ensuite des applications appropriées à chaque service. Ils visent à donner de l’ampleur au business mais doivent convenir aux dimensions du marché parfois géographiquement limité.

Les PME peuvent aussi disposer d’un terminal performant et sécurisé pour les paiements par carte de crédit via leur dispositif ERP. Mais les adaptations prévues par le fournisseur ERP ne se limitent pas aux opérations à réaliser pour la gestion de l’entreprise. Le progiciel est conçu pour respecter le mode de fonctionnement des équipes ainsi que la structure organisationnelle de l’entreprise.

Les différentes versions de la planification des ressources de l’entreprise

Le système ERP privilégie la gestion management. Il centralise les informations dès leur enregistrement dans la base de données et donne accès aux différentes composantes de l’activité selon les fonctions exercées au sein de la PME. L’ERP permet de superviser les flux en regard de leur rentabilité économique, logistique ou financière. Il fournit des outils d’analyses avancés pour amorcer une dynamique de croissance à partir de la configuration initiale de l’entreprise. La solution proposée répond à la capacité de production de l’entreprise ou à ses objectifs de ventes. Mais la mise au format doit être progressive. Elle nécessite une phase de tests : avant le déploiement intégral de la solution ERP, une intégration pilote garantit la continuité dans la qualité des processus. Il s’agit de ne pas impacter le fonctionnement de l’entreprise et d’assurer une transition à la hauteur des nouveaux objectifs de l’ETI. L’ERP pour PME sert également à travailler en équipe.

Les fonctionnalités à privilégier pour la gestion de projet ou l’organisation administrative

Le pilotage d’un projet et la gestion administrative d’une PME ne relèvent pas des mêmes processus. Ils sont donc assignés à différentes fonctionnalités. Les applications utilisées par les entités de travail organisent l’activité selon le mode opérationnel habituel. Le département des achats ou de la comptabilité ne fonctionne pas sur le modèle de la gestion de projets d’équipes. Les visioconférences et la communication unifiée permettent de mener à bien un projet d’étude. Les données statistiques, la gestion du budget et des délais à respecter avec le logiciel ERP libèrent du temps au chef de projet qui peut alors se concentrer sur les difficultés techniques et la relation client.

Un éditeur avec une expertise du métier garantit une implémentation informatique réussie. Si la formation des utilisateurs à l’ERP de l’entreprise est primordiale, sa configuration intuitive autorise une maintenance corrective simplifiée. Une simple mise à jour du système suffit souvent à apporter de nouvelles fonctionnalités pour rester concurrentiel.

Planifier l’évolution des structures organisationnelles du PGI avec une solution SaaS

La pertinence des fonctionnalités de l’ERP permet de gagner en rentabilité mais elle ne suffit pas à garantir la compétitivité en toute circonstance. Or la flexibilité est la clé du succès des PME. Elles profitent alors de leur statut d’ETI avant de conquérir de nouveaux marchés et de s’agrandir. Pour rester concurrentielles, elles doivent désormais se positionner à la pointe de l’innovation technologique.

Le cloud computing offre un système d’exploitation aux multiples possibilités et se révèle simple à utiliser. Il accompagne tous les projets innovants initiés pour s’adapter au marché. Les données sont accessibles même en distanciel et depuis n’importe quel type de terminaux. Les informations doivent pouvoir être consultées directement depuis un smartphone ou une tablette de l’entreprise. Les postes de travail évoluent en mode nomade et nécessitent une gestion à distance via internet. La solution SaaS donne les moyens d’organiser la réactivité des entreprises connectées mais pour quel taux d’investissements de la part des PME ?

Quand les avantages fonctionnels et les intérêts financiers se rencontrent sur le cloud

Le logiciel SaaS prévoit la gestion de l’entreprise dans le Cloud. Il assume un stockage massif de données de façon décentralisée pour gagner en capacités. Il offre un service aux PME en quête de parts de marché supplémentaires. Ce type de logiciels professionnels s’avère performant pour le traitement des données et des flux d’informations. Le fournisseur héberge les codes sources des applis et des données dans un espace de stockage sécurisé. Il garantit la sauvegarde des données en cas de problème technique. Il les rend disponibles depuis internet à la demande de l’entreprise. Les PME n’ont jamais le souci de la maintenance du système. Un abonnement suffit pour profiter d’un usage illimité des ressources web prévues dans la solution SaaS. Les entreprises n’ont pas besoin d’investir dans du matériel puissant pour lancer les applis : le serveur web du logiciel de service s’en occupe à distance.

Le paramétrage du logiciel SaaS sur la table

Le cloud computing fournit les services informatiques indispensables à la croissance des entreprises. En plus de la gestion du réseau et du stockage des bases de données, il intègre l’intelligence artificielle dans les outils d’analyse. La vente et les finances sont gérées dans des conditions optimales. La stratégie évolue au même rythme que le marché. Le fournisseur ERP programme un paramétrage spécifique au domaine d’activité et aux objectifs chiffrés de l’entreprise. Les algorithmes présentent alors des solutions évolutives pour gérer les difficultés et développer un nouveau modèle économique à partir des nouvelles opportunités du marché.

Il existe aussi des solutions prévues pour développer le commerce en ligne. Les analyses prédictives font alors place aux améliorations de l’expérience utilisateur sur le site web. Le décryptage du trafic en ligne et des modalités du déclenchement des achats orientent la stratégie digitale à suivre.

La maintenance du système par SAP France

Leader de l’ERP, SAP France propose des solutions SaaS sur-mesure aux PME et aux ETI. Les entreprises bénéficient d’une expertise du logiciel de service et d’une implémentation spécifique à leurs processus. Spécialisé dans le Cloud, SAP accompagne le projet de digitalisation de la gestion organisationnelle et fonctionnelle des entreprises jusque dans la compétitivité. Ne vous laissez pas distancer sans réagir !

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SAP Manufacturing Execution s’invite sur les lignes d’assemblage du géant Airbus. Une solution qui permet de faciliter le travail des opérateurs, tout en améliorant les performances des lignes de production.

Airbus est un acteur bien connu dans le monde de l’aviation civile, avec plus de 12.600 avions livrés à ses clients. C’est aussi un acteur majeur dans le monde des hélicoptères (plus de 12.000 appareils assemblés), de la défense et de l’espace.

Avant la crise sanitaire, les livraisons étaient en forte croissance (+37 % sur 5 ans) et le carnet de commandes promettait du travail aux usines d’Airbus pour les 8,5 années à venir. L’arrivée du Coronavirus et son impact massif sur les déplacements par avion ont provoqué une chute massive des activités de la société. Si l’entreprise travaille déjà sur les avions de demain, avec par exemple des modèles à l’impact carbone réduit de 25 %, elle doit aussi optimiser sa production.

« Dans ce contexte d’adaptation rapide au changement, l’introduction d’un système de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) va être un élément clé de notre transformation », explique Alexandre Sizaret, Head of Production System Efficiency & Manufacturing Digitalisation, Airbus. Le projet a été lancé fin 2016, mais l’arrivée de la crise lui a donné un nouvel élan.

SAP et Sopra Steria à la manœuvre

SAP Manufacturing Execution (SAP ME) est aligné avec les principes du système d’information d’Airbus, AOS (Airbus Operating System) : standardisation des processus, management visuel, suivi et amélioration continus. Il vient naturellement compléter l’ERP et le PLM au sein des usines. Enfin, son interface utilisateur simple est adaptée aux opérateurs travaillant sur des chaînes de production.

Airbus veut répondre à plusieurs challenges au travers de SAP ME : l’organisation de la production (organisation des effectifs, allocation des ressources…) ; le pilotage de l’activité (lignes de production, séquences à exécuter et avancement des séquences) ; l’interfaçage avec l’opérateur (au travers de tablettes, voire de smartphones) ; le support (détection des problèmes et alerte du manager, de la maintenance ou d’autres fonctions support).

Un core model pour toutes les usines Airbus

Pour son projet, Airbus a opté pour une approche core model associant une équipe pluridisciplinaire et multifonctionnelle. « Nous avons mis tout le monde autour de la table – opérateurs, management, intervenants métiers et techniques – afin de mettre au point une unique solution adaptée à toutes les usines, dans tous les pays », explique Alexandre Sizaret.

Après les phases de cadrage et de maquettage, la construction de la solution a été réalisée, avec une mise en place des différentes fonctionnalités de manière incrémentale. Une première version a été déployée sur des usines pilotes volontaires. L’organisation a souhaité ensuite prendre un peu de recul pour identifier les sources d’irritation. Dans le même temps, une analyse a été menée sur l’utilisation du MES et l’adhésion aux processus proposés. « Nous avons voulu vérifier que l’outil répondait bien aux besoins exprimés et qu’il était correctement utilisé. » Une importante phase de consolidation avant le déploiement à grande échelle de SAP ME.

La solution est aujourd’hui présente sur l’ensemble des sites européens du groupe : 10 usines et 2 lignes d’assemblage final. Soit un total de 279 stations de production. 7700 personnes ont été formées, dont 5500 sont des utilisateurs réguliers de SAP Manufacturing Execution. Plus de 2,4 millions d’opérations ont été effectuées sur SAP ME au cours de l’année 2020. Pour tenir cette charge, le système est réparti sur quatre sites, selon un même core model.

Au sein des sites de production, des écrans géants ont été déployés, secondés par des tablettes, smartphones et équipements IoT (scanners, lecteurs de badges…). SAP ME interagit directement avec l’ERP SAP, que ce soit pour la qualité, la conformité, la gestion des aléas, la maintenance ou encore la logistique. Il interagit aussi avec le PLM. Il est ainsi possible de visualiser pièces et maquettes en 3D et de disposer d’instructions de montage détaillées.

Plus d’efficacité au quotidien

SAP Manufacturing Execution est vu par Airbus comme un facilitateur du travail des opérateurs. Mais aussi comme un élément clé pour mesurer, soutenir et améliorer les performances des lignes de production. « Parmi les bénéfices les plus visibles, nous constatons une réduction des temps de production, des déplacements des opérateurs, de la documentation de production et plus généralement du recours aux documents papier, constate Alexandre Sizaret. Un autre bénéfice, moins facilement mesurable, est l’amélioration des performances des lignes de production, au travers d’un meilleur pilotage et d’une meilleure réactivité face aux aléas. »

Le MES est un élément clé pour épauler la production au quotidien, mais aussi un socle qui va aider  à la démocratisation de nouvelles technologies, comme les jumeaux numériques ou la maintenance prédictive. « Nous souhaitons aller vers l’opérateur 4.0 en le connectant à la bonne information, au bon moment, au travers de technologies comme la réalité virtuelle, la réalité augmentée ou l’interaction vocale avec les solutions numériques. Nous voulons également nous servir de la puissance de la data pour améliorer les processus, détecter les bonnes pratiques et prévenir les aléas. C’est un changement de paradigme qui nous permettra de basculer de la réaction à l’anticipation. »

 

 

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La plupart de mes conversations et pensées de ces derniers mois ont tourné autour de trois petits mots. Non, ce ne sont pas les trois petits mots auxquels vous pensez peut-être immédiatement, mais plutôt trois mots particulièrement chers au cœur des professionnels de la planification et de l’analyse financières en ce moment : l’agilité, la réactivité et la résilience.

Ce sont presque devenus des mots d’ordre pour le secteur ces neuf derniers mois, à mesure que les professionnels ont pris conscience de la nécessité de fournir à leur entreprise les informations requises pour prendre des décisions immédiates, de planifier et planifier encore, de générer des prévisions et de simuler de multiples résultats potentiels en fonction de variables en constante évolution. Et il apparaît clairement que certains y étaient bien mieux préparés que d’autres.

Notre enquête 2020 consacrée aux professionnels de la planification et de l’analyse financières, effectuée en collaboration avec FP&A Trends, a mis clairement en évidence une différence dans la réussite des pratiques de planification et d’analyse financières entre notre groupe entier d’entreprises interrogées et celles considérées comme ayant les « bonnes pratiques » en matière de planification et d’analyse financières. Parmi les défis cités par les entreprises interrogées, on retrouve le besoin de meilleurs systèmes de budgétisation et de prévision (cité par 30 % des entreprises interrogées), mais, d’un autre côté, de nombreuses entreprises déclarent utiliser des feuilles de calcul (73 %) dans le cadre de leurs processus de planification et de prévision. Bien sûr, même si nous avons tous utilisé et adoré les feuilles de calcul pour leur abondance et leur disponibilité, nous devons aussi reconnaître qu’elles ont certaines limites : elles nécessitent des interventions manuelles, sont propices aux erreurs de données et de calculs, peuvent devenir compliquées et peu pratiques, et ne pas offrir la flexibilité et l’agilité requises pour des recalculs et simulations rapides. Donc, à l’heure où les équipes de planification et d’analyse financières doivent se montrer particulièrement agiles, réactives et résilientes, les jours sont certainement comptés pour les anciens systèmes de planification, budgétisation et prévision basés sur feuilles de calcul. En fait, il est sans doute temps pour les entreprises d’examiner attentivement l’importance stratégique de la planification et de l’analyse financières pour leur activité, en réfléchissant aux défis identifiés en 2020, pour mieux cerner les opportunités d’améliorations pour 2021 et au-delà.

Et si les entreprises pouvaient…

  • Planifier et prévoir avec une facilité, une agilité et une flexibilité accrues.
  • Simuler de multiples scénarios de gestion en temps réel en réponse aux évolutions du marché.
  • Renforcer la résilience des plans stratégiques, mais aussi des processus et systèmes sur lesquels la planification et l’analyse financières reposent.

Comment de telles capacités permettraient-elles de transformer votre approche en matière d’analyse et de planification financières ?

Et, face à l’actuel besoin d’agilité, de réactivité et de résilience accrues dans le domaine de la planification et de l’analyse financières, quel est votre plan ?

Rejoignez mes collègues Pras Chatterjee et Chris Chan pour notre présentation consacrée à la planification et à l’analyse financières, proposée dans le cadre du SAP Finance and Risk Virtual Summit. Ils échangeront avec des invités spéciaux pour approfondir certaines des problématiques induisant des changements dans les pratiques de planification et d’analyse financières, et identifieront pour les professionnels de la finance des opportunités de transformer leur approche en matière de planification et d’analyse financières. Il s’agira de 45 minutes particulièrement riches et intenses, axées sur la planification et l’analyse financières, et la présentation de multiples fonctionnalités incontournables : ne manquez pas cet événement exceptionnel !

Merci de votre attention, nous espérons vous retrouver bientôt !

Publié en anglais sur blogs.sap.com

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