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Recherche dépasse les bonnes pratiques: une pensée de leadership Google

Découvrez comment la recherche de Google dépasse les bonnes pratiques et révèle une nouvelle pensée de leadership !

La puissance de la prise de décision basée sur la recherche

Google’s commitment to research-driven decision-making has enabled it to stay ahead of the competition. By leveraging data and insights from research, Google is able to identify trends and anticipate customer needs. This allows the company to develop new products and services that meet the changing needs of the market. Additionally, Google’s research-focused approach has enabled the company to identify opportunities for growth and develop strategies to capitalize on them.

Google’s research-driven leadership approach has been a major factor in its success. The company has consistently been able to stay ahead of the competition by leveraging data and insights from research. This has enabled Google to develop innovative products and services that meet the changing needs of the market. Additionally, Google’s research-focused approach has enabled the company to identify opportunities for growth and develop strategies to capitalize on them.

Pourquoi les autres organisations devraient adopter cette stratégie

Les organisations qui souhaitent rester compétitives doivent adopter une approche de leadership axée sur la recherche. Les données et les informations recueillies par la recherche peuvent aider les entreprises à mieux comprendre leurs clients et à identifier des tendances et des opportunités. En outre, l’utilisation des données pour prendre des décisions peut aider les entreprises à développer des produits et services innovants qui répondent aux besoins changeants du marché.

En outre, l’utilisation de données pour prendre des décisions peut aider les entreprises à réduire leurs risques et à améliorer leurs performances. Les données peuvent également aider les entreprises à mieux comprendre leurs clients et à identifier des opportunités de croissance. Enfin, l’utilisation des données pour prendre des décisions peut aider les entreprises à améliorer leur efficacité et à réduire leurs coûts.

En conclusion, l’utilisation de données pour prendre des décisions est un élément essentiel de la stratégie de leadership de Google. Cette approche a permis à l’entreprise de rester compétitive et d’innover constamment. Les autres organisations devraient également envisager d’adopter cette stratégie pour rester compétitives et réussir dans un environnement commercial en constante évolution.

Source de l’article sur DZONE

Comme la plupart des secteurs d’activité, les prestataires de services font face à une pression croissante pour offrir des expériences exceptionnelles à leurs clients tout en préservant leurs marges. Cela soulève la question suivante : est-il possible de fournir plus de valeur aux clients qui utilisent moins de ressources ? Examinons de plus près les résultats du récent article Harvard Business Review, « Stimuler la croissance des services professionnels avec l’ERP cloud » pour en savoir plus.

 

Selon l’article, les prestataires de services parviennent effectivement à identifier, standardiser et automatiser les capacités métier grâce à des progiciels de gestion intégrés (ERP) fournis en tant que service. L’adoption d’un ERP cloud résout les problèmes liés aux logiciels hérités en apportant des améliorations de processus faciles à utiliser et à mettre en œuvre.

 

De l’identification automatique des erreurs dans les factures numérisées à l’acheminement des informations financières directement aux décideurs, un système ERP cloud permet aux prestataires de services, de toutes tailles et de toutes formes, de standardiser leurs données et d’éliminer les activités manuelles de routine qui les ralentissent.

 

Dans le cas de Nagarro, une société d’ingénierie de produits numériques avec des bureaux dans 33 pays différents, la société se préparait à la croissance et cherchait à lancer de nouveaux types d’activités. Avec la mise en œuvre d’un système ERP cloud, Nagarro a automatisé la facturation intra-société, ce qui lui a permis d’économiser 50 % du temps passé auparavant. « Avant, nous devions imprimer une liste de [paiements clients en retard], accéder au système pour chaque client et effectuer une nouvelle transaction pour afficher les détails. Aujourd’hui, tout est sur la base de données, vous pouvez donc double-cliquer, descendre dans chaque client et accéder facilement aux factures en retard », explique Christian Haller, membre du conseil des finances de Nagarro. Le suivi des paiements clients en retard, qui a été effectué manuellement, a été transformé avec un accès Cloud centralisé et a permis un processus de paiement rationalisé et une réussite accrue des projets clients.

 

Les systèmes financiers plus anciens sont souvent fragmentés, décousus et dépendants d’une intervention manuelle. De plus, ils ont besoin d’équipes informatiques importantes et dédiées pour exécuter la maintenance et les mises à jour. Ces défis entraînent des retards, des erreurs de données et un manque de visibilité qui font de la survie et de la croissance un effort herculéen. Le résultat de l’exploitation de processus standardisés et d’automatisations accrues signifie que les ressources peuvent se concentrer sur un travail à valeur ajoutée et différenciant, collaborer plus efficacement les unes avec les autres et offrir de meilleures expériences et soins aux clients.

Pour le cabinet de conseil Beyond Technologies, leur priorité était d’optimiser leur cycle quote-to-cash. Avec leur ERP cloud, ils ont utilisé l’intelligence artificielle pour rapprocher automatiquement les encaissements des clients.

 

« Nous avons un taux de réussite de 95 %, ce qui est un grand nombre », explique Luc Dubois, PDG d’Beyond Technology. Les améliorations réalisées au niveau des flux de trésorerie et de l’efficacité opérationnelle leur permettent désormais d’obtenir plus de capitaux pour faire face à la récession, développer leur main-d’œuvre et s’aventurer sur de nouveaux marchés sans recourir à des emprunts coûteux.  Avec des données communes dans une solution ERP unique, l’entreprise a pu accélérer la facturation et être payée plus rapidement.

 

Si vous êtes curieux des nombreux avantages de l’ERP cloud pour les prestataires de services professionnels axés sur la croissance, lisez ce document Harvard Business Review « Stimuler la croissance des services professionnels avec l’ERP cloud » ou écoutez ce podcast « Harvard Business Review Research : Stimuler la croissance des prestataires de services avec l’ERP cloud avec Paul Saunders »

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Source de l’article sur sap.com

Tout ce qu'il faut savoir sur les points de story Jira

Les points de story Jira sont une excellente façon de gérer les projets et de garder une trace des tâches à accomplir. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur cet outil utile !

## Estimer le travail est difficile comme c’est. Utiliser des dates plutôt que des points d’histoire comme facteur décisif peut ajouter encore plus de complications, car ils tiennent rarement compte du travail que vous devez faire en dehors du travail réel, comme les e-mails, les réunions et la recherche supplémentaire. Les dates sont également plus difficiles à mesurer en termes de vélocité, ce qui rend plus difficile l’estimation de la quantité d’effort nécessaire à un travail, même si vous avez des expériences antérieures.

Les points d’histoire, d’autre part, peuvent apporter plus de certitude et simplifier la planification à long terme… Si vous savez comment les utiliser.

Story points are a way of measuring the effort of a task, rather than the time it takes to complete it. They are a unit of measure that can be used to estimate the size of a task and compare it to other tasks. This makes it easier to estimate the amount of work needed for a project and plan accordingly. Story points also make it easier to track progress, as you can measure how much work is completed in a certain period of time.

Estimer le travail est déjà difficile en soi. Utiliser des dates plutôt que des points d’histoire comme facteur décisif peut ajouter encore plus de complications, car ils ne tiennent généralement pas compte du travail que vous devez faire en dehors du travail réel, comme les e-mails, les réunions et la recherche supplémentaire. Les dates sont également plus difficiles à mesurer en termes de vélocité, ce qui rend plus difficile l’estimation de l’effort nécessaire pour un travail, même si vous avez des expériences précédentes.

Les points d’histoire, d’autre part, peuvent apporter plus de certitude et simplifier la planification à long terme… Si vous savez comment les utiliser.

Les points d’histoire sont une façon de mesurer l’effort d’une tâche, plutôt que le temps qu’il faut pour la terminer. Ce sont une unité de mesure qui peut être utilisée pour estimer la taille d’une tâche et la comparer à d’autres tâches. Cela facilite l’estimation de la quantité de travail nécessaire pour un projet et la planification en conséquence. Les points d’histoire facilitent également le suivi des progrès, car vous pouvez mesurer la quantité de travail accomplie pendant une certaine période.

Cependant, pour obtenir le meilleur résultat possible, il est important de savoir comment utiliser correctement les points d’histoire. Pour cela, il est important de comprendre le processus de codage. Le codage est un processus qui consiste à attribuer des points d’histoire à chaque tâche et à déterminer le nombre de points nécessaires pour terminer une tâche donnée. Il est important de comprendre le processus de codage car cela permet de mieux estimer le temps et les efforts nécessaires pour terminer une tâche et de mieux planifier le projet.

En outre, le codage peut aider à mieux comprendre la complexité des tâches et à planifier plus efficacement. En codant les tâches, vous pouvez voir quelles tâches sont plus complexes et prennent plus de temps et quelles tâches sont plus simples et prennent moins de temps. Cela permet aux gestionnaires de mieux planifier leurs projets et d’atteindre leurs objectifs plus rapidement et plus efficacement.

Enfin, le codage peut également aider à mieux estimer la vitesse et la productivité des équipes. En codant les tâches, vous pouvez voir quelle quantité de travail peut être accomplie par une équipe donnée dans un laps de temps donné. Cela permet aux gestionnaires de mieux estimer le temps et les efforts nécessaires pour terminer un projet et d’améliorer la productivité et la vitesse de l’équipe.

En conclusion, le codage est un outil très utile pour les gestionnaires qui cherchent à mieux estimer le travail et à planifier plus efficacement leurs projets. Il permet

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Directement intégré aux solutions qui alimentent les processus les plus critiques,

Joule est un copilote qui comprend vraiment l’entreprise.

 

WALLDORF, Allemagne – le 26 septembre 2023 — SAP SE (NYSE: SAP) a présenté aujourd’hui Joule, un copilote d’intelligence artificielle générative en langage naturel, destiné à transformer la manière dont les entreprises fonctionnent. Joule sera intégré à l’ensemble du portefeuille d’entreprises ayant choisi les solutions cloud de SAP, qui fournissent des informations proactives et contextualisées, issues de l’ensemble de la gamme de solutions SAP, ainsi que de sources tierces. En triant et en contextualisant rapidement des réseaux complexes de données d’entreprises cloisonnées, le nouvel assistant est en mesure de proposer des aperçus complets. Grâce à l’IA générative, Joule améliore la productivité en entreprise et favorise l’atteinte de meilleurs résultats commerciaux, de manière sécurisée et en conformité avec les règlementations. Joule s’inscrit dans la lignée des innovations révolutionnaires de SAP, faisant ses preuves avec des résultats concrets.

 

Joule : une intégration dans l’écosystème de solutions SAP

 

Avec près de 300 millions d’utilisateurs professionnels dans le monde entier qui travaillent régulièrement avec les solutions cloud de SAP, Joule a le pouvoir de redéfinir la manière dont les entreprises – et leurs employés – travaillent“, déclare Christian Klein, PDG et membre du conseil exécutif de SAP SE. “Joule s’appuie sur la position unique de SAP, au carrefour des écosystèmes de l’entreprise et de la technologie, et repose sur l’approche pertinente, fiable et responsable de l’IA métier que nous avons initiée pour continuer à aider nos clients à résoudre leurs problèmes les plus urgents. Joule comprendra ce que vous voulez dire, pas seulement ce que vous dites.”

 

Joule sera intégré aux applications SAP, de la gestion des Ressources Humaines à la Finance, en passant par la Supply Chain, les Achats et la User Expérience, ainsi qu’à la plateforme technologique commerciale de SAP.

 

La capacité de s’adapter à une multitude de cas concrets

 

Le fonctionnement est simple : les employés posent les questions qu’ils souhaitent ou exposent un problème à résoudre, en langage clair, et reçoivent des réponses intelligentes tirées des données commerciales, de textes, d’images et d’informations provenant de l’ensemble du portefeuille de solutions SAP, ainsi que de sources tierces.

 

Imaginez, par exemple, un fabricant demander à Joule de l’aider à mieux comprendre les performances de ventes en magasin : en se connectant à un ensemble de données, Joule est capable de détecter un problème dans la chaîne d’approvisionnement et de proposer des solutions. Joule proposera continuellement et au fil du temps de nouveaux scénarios de plus en plus élaborés, et pour toutes les solutions. Pour les Ressources Humaines, par exemple, il aidera à rédiger des fiches de poste conformes et à générer des questions pertinentes pour les entretiens.

 

« À mesure que l’IA générative dépasse l’engouement initial, le travail visant à garantir un retour sur investissement mesurable commence », précise Phil Carter, vice-président du Groupe, Worldwide Thought Leadership Research, IDC. « SAP a compris que l’IA générative finira par faire partie intégrante de la vie courante et professionnelle de chacun d’entre-nous, et a pris le temps de construire un copilote business qui se concentre sur la réponse à des problématiques du monde réel. Par ailleurs, le Groupe a accordé une importance particulière à la mise en place de garde-fous nécessaires pour garantir la responsabilité des choix de Joule. »

 

Un déploiement progressif prévu à partir du mois de novembre

 

Joule sera disponible avant la fin de l’année avec les solutions SAP SuccessFactors et SAP Start, puis avec SAP S/4HANA Public Cloud Edition en début d’année prochaine. SAP Customer Experience, les solutions SAP Ariba et la plateforme technologique commerciale de SAP suivront avec de nombreuses autres mises à jour à venir dans l’ensemble du portefeuille de SAP, qui seront annoncées lors de SAP SuccessConnect du 2 au 4 octobre, SAP Spend Connect Live du 9 au 11 octobre, SAP Customer Experience Live du 25 octobre, et SAP TechEd du 2 au 3 novembre.

 

Joule s’appuie sur les offres Business AI existantes de SAP alors que plus de 26 000 clients cloud SAP ont maintenant accès à SAP Business AI. La stratégie globale de SAP visant à construire un écosystème d’IA d’avenir comprend des investissements directs, comme ceux annoncés en juillet avec Aleph Alpha, Anthropic et Cohere, ainsi que des partenariats avec des tiers, notamment ceux avec Microsoft, Google Cloud et IBM annoncés en mai 2023. Sapphire Ventures LLC, une société mondiale de capital-risque en logiciels soutenue par SAP, consacre plus d’un milliard de dollars au financement de start-ups technologiques d’entreprise alimentées par l’IA.

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com. 

 

Contact presse : sylvie.lechevin@sap.com | sap@the-arcane.com

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Source de l’article sur sap.com

Révolutionner l'IA: Dévoiler le pouvoir de WatsonX

Avec WatsonX, nous pouvons révolutionner l’IA et découvrir de nouvelles possibilités pour le futur.

L’origine de WatsonX

At its core, WatsonX is designed to be a powerful tool for data scientists and developers. It’s capable of ingesting massive amounts of data, analyzing it in real-time, and producing actionable insights that can be used to make better decisions. In addition, WatsonX is designed to be highly scalable, allowing it to handle large volumes of data with ease.

Les origines de WatsonX

Dans le paysage en constante évolution de l’intelligence artificielle, un nouveau joueur est apparu pour redéfinir les limites de ce qui est possible. Entrez WatsonX, une technologie révolutionnaire qui promet de révolutionner le paysage de l’IA. Dans ce blog, nous plongerons profondément dans les intrications de WatsonX, explorerons des exemples captivants et dévoilerons les cas d’utilisation potentiels qui peuvent vraiment le rendre viral.

Derivé de l’iconique Watson AI, qui a célèbrement battu des champions humains dans Jeopardy !, WatsonX représente le point culminant de plusieurs années de recherche, de développement et de progrès. Né de la fusion d’apprentissage machine avancé, de traitement du langage naturel et d’informatique quantique, WatsonX n’est pas seulement une évolution; c’est un bond quantique en avant dans la capacité de l’IA.

Au cœur de WatsonX se trouve un outil puissant conçu pour les scientifiques des données et les développeurs. Il est capable d’ingérer des masses de données, de les analyser en temps réel et de produire des informations exploitables qui peuvent être utilisées pour prendre de meilleures décisions. De plus, WatsonX est conçu pour être hautement extensible, ce qui lui permet de gérer facilement de grandes volumes de données.

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Expliquer les modèles d'apprentissage machine: renforcer la confiance et la compréhension des systèmes IA

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Comprendre comment fonctionnent les modèles d’apprentissage machine est essentiel pour renforcer la confiance et la compréhension des systèmes IA. Découvrons ensemble comment ces modèles fonctionnent!

## Expliquer la signification de l’explicabilité des modèles d’apprentissage automatique

L’explicabilité des modèles est devenue un domaine de recherche très important ces dernières années, car elle permet de comprendre comment fonctionnent les systèmes d’intelligence artificielle et de machine learning. Elle est également essentielle pour garantir la transparence et la responsabilité des systèmes d’IA. Cet article explore la signification de l’explicabilité des modèles, ses applications à divers domaines et l’influence qu’elle a sur la fiabilité des systèmes d’intelligence artificielle.

L’explicabilité des modèles est particulièrement importante pour les domaines qui traitent des questions sensibles ou critiques, tels que le secteur de la santé, où les prises de décision doivent être fondées sur des données fiables et compréhensibles. La capacité des systèmes d’IA à fournir des explications compréhensibles par les humains est essentielle pour garantir la confiance et l’adoption responsable des systèmes d’IA.

Les chercheurs ont mis au point plusieurs méthodes pour améliorer l’explicabilité des modèles d’intelligence artificielle et de machine learning. Ces méthodes peuvent être classées en trois catégories : l’analyse de l’architecture du modèle, l’analyse des poids et l’analyse des résultats. L’analyse de l’architecture du modèle consiste à étudier la structure du modèle et à déterminer comment les différents composants interagissent entre eux. L’analyse des poids consiste à examiner les poids assignés aux différents composants du modèle pour comprendre leur influence sur les résultats. Enfin, l’analyse des résultats consiste à étudier les résultats du modèle et à déterminer quelles variables sont les plus importantes pour expliquer le comportement du modèle. Ces méthodes peuvent être utilisées pour améliorer la transparence et la responsabilité des systèmes d’IA.

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Trois étapes du processus de développement de produit

Le développement d’un produit peut être divisé en trois étapes principales : conception, production et commercialisation. Découvrez comment chaque étape contribue à la réussite du produit !

Rôle du gestionnaire de produit

Product Development Process

The product development process is a continuous cycle of research, design, development, testing, and launch. The product manager is responsible for ensuring that the product is built according to the product vision and that it meets the needs of the customer. The product manager will also need to ensure that the product is tested thoroughly before launch.

Frameworks

Frameworks are useful for product managers to remember the overall product development process. Some popular frameworks include Lean, Agile, and Scrum. Each of these frameworks has its own set of principles and practices that can be used to guide the product development process. The product manager should be familiar with the different frameworks and be able to apply them to their product development process.

Le rôle du Product Manager

Les Product Managers ne sont pas des managers de quiconque, à l’exception des stagiaires qui aspirent à devenir eux-mêmes des Product Managers. Le PM agit comme un noeud central dans le processus de développement du produit et est en fin de compte responsable du succès du produit. Le rôle réunit tous les points de vue et est conçu sans rapports directs afin que l’équipe d’ingénierie/design puisse établir une relation de communication ouverte pour exprimer leurs idées et leurs préoccupations.

Processus de développement du produit

Le processus de développement du produit est un cycle continu de recherche, de conception, de développement, de test et de lancement. Le Product Manager est responsable de s’assurer que le produit est construit conformément à la vision du produit et qu’il répond aux besoins du client. Le Product Manager devra également s’assurer que le produit est bien testé avant son lancement.

Cadres

Les cadres sont utiles pour que les Product Managers se souviennent du processus de développement du produit dans son ensemble. Certains cadres populaires incluent Lean, Agile et Scrum. Chacun de ces cadres a ses propres principes et pratiques qui peuvent être utilisés pour guider le processus de développement du produit. Le Product Manager devrait être familier avec les différents cadres et être en mesure de les appliquer à son processus de développement du produit.

Le test est une étape importante du processus de développement du produit. Il est essentiel que le produit soit testé avant son lancement afin d’identifier et de corriger les bogues et les problèmes techniques avant qu’ils ne deviennent des problèmes pour les clients. Les tests peuvent être effectués manuellement ou automatiquement, en fonction des exigences du produit et des ressources disponibles. Les tests manuels peuvent être effectués par des humains ou par des robots, tandis que les tests automatisés peuvent être effectués à l’aide d’outils logiciels spécialisés. Les tests peuvent également être effectués à l’aide d’outils d’analyse des performances pour vérifier la qualité et la stabilité du produit.

Le rôle du Product Manager est crucial pour le succès d’un produit. Il est responsable de veiller à ce que le produit soit construit selon la vision du produit et réponde aux besoins des clients. Il doit également s’assurer que le produit est bien testé avant son lancement. Les cadres tels que Lean, Agile et Scrum peuvent être utilisés pour guider le processus de développement du produit. Enfin, les tests

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Évaluation des risques avec la technologie Blockchain.

La technologie Blockchain offre de nouvelles possibilités pour évaluer les risques et améliorer la sécurité des transactions. Découvrez comment elle peut aider à protéger vos actifs.

Évaluation des risques : une technologie émergente à explorer

La technologie de la blockchain est un domaine technologique émergent et pour explorer ses nombreuses applications, plusieurs entreprises ont des équipes de recherche dédiées à cet effet. Un tel domaine qui pourrait tirer parti de cette technologie est l’évaluation des risques. La technologie blockchain peut aider à créer un système sécurisé et décentralisé qui peut être utilisé pour gérer les risques. Ces évaluations, si elles sont effectuées, ont le potentiel d’être considérées comme plus précises et fiables que tous les audits externes.

L’évaluation des risques est une activité importante pour aligner qui est souvent mentionnée comme faisant partie de la stratégie de sécurité des politiques et procédures d’une organisation. Il commence par l’analyse des différents actifs de l’entreprise, ce qui entraîne l’identification de risques et de vulnérabilités potentiels. La probabilité et l’impact des risques identifiés sont évalués. L’équipe de sécurité développe ensuite des stratégies pour les atténuer ou les gérer. Le processus d’évaluation des risques nécessite une collaboration intensive avec plusieurs parties prenantes et est à la fois chronophage et intensif en ressources.

La technologie blockchain peut être utilisée pour améliorer le processus d’évaluation des risques et le rendre plus efficace. En utilisant la technologie blockchain, les données peuvent être stockées de manière sûre et décentralisée, ce qui permet aux différentes parties prenantes d’accéder aux données en temps réel. La technologie blockchain peut également être utilisée pour automatiser le processus d’évaluation des risques, ce qui réduit considérablement le temps et les ressources nécessaires pour le mener à bien. En outre, la technologie blockchain peut être utilisée pour créer un système de codage qui peut être utilisé pour vérifier l’intégrité des données et s’assurer qu’elles ne sont pas modifiées ou falsifiées.

La technologie blockchain offre donc une solution intéressante pour améliorer le processus d’évaluation des risques et le rendre plus efficace. Elle peut être utilisée pour stocker et partager des données en toute sécurité, automatiser le processus et vérifier l’intégrité des données. Les entreprises qui souhaitent améliorer leur processus d’évaluation des risques devraient envisager d’explorer la technologie blockchain et d’investir dans la recherche et le développement de solutions basées sur cette technologie.

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Examine the Impact of Emptiness

 Examine the Impact of Emptiness

Google Cloud Platform: A Revolutionary Discovery

As a scientist, I am always looking for new and innovative ways to make discoveries and advance my research. Recently, I have made a revolutionary discovery that has the potential to revolutionize the way we conduct research and analyze data. This discovery is Google Cloud Platform.

Google Cloud Platform is a suite of cloud computing services that runs on the same infrastructure that Google uses internally for its end-user products, such as Google Search and YouTube. It provides a range of services including computing, storage, networking, big data, machine learning, and more. With Google Cloud Platform, researchers can access powerful computing resources without having to purchase and maintain their own hardware. This makes it much easier and more cost-effective to conduct research, analyze data, and develop new applications.

The power of Google Cloud Platform lies in its scalability. Researchers can easily scale up their computing resources as needed, without having to invest in additional hardware. This makes it ideal for large-scale research projects that require a lot of computing power. Additionally, Google Cloud Platform provides a wide range of tools and services that make it easy to manage and analyze data. This includes BigQuery, which allows researchers to query large datasets quickly and easily, as well as tools for machine learning and artificial intelligence.

In conclusion, Google Cloud Platform is a revolutionary discovery that has the potential to revolutionize the way we conduct research and analyze data. With its scalability and range of tools and services, it makes it much easier and more cost-effective to conduct research and develop new applications. I am excited to see how this discovery will continue to shape the future of research and data analysis.

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

Lire les actualités

 

D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com