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Conversion chaîne en énumération - CVE-2020-36620 (50 Go)

Conversion chaîne en énumération – CVE-2020-36620 (50 Go): Découvrez comment convertir une chaîne en énumération avec 50 Go de données à l’aide de CVE-2020-36620.

## Discuter de la vulnérabilité CVE-2020-36620 et voir comment un package NuGet pour convertir une chaîne en énumération peut rendre une application C# vulnérable aux attaques DoS

En tant qu’informaticien enthousiaste, je vais discuter de la vulnérabilité CVE-2020-36620 et voir comment un package NuGet pour convertir une chaîne en énumération peut rendre une application C # vulnérable aux attaques DoS.

Imaginons une application serveur qui interagit avec un utilisateur. Dans l’un des scénarios, l’application reçoit des données de l’utilisateur sous forme de chaîne et les convertit en éléments d’énumération (chaîne -> énumération).

Le package NuGet en question est conçu pour faciliter ce processus de conversion. Cependant, le package ne vérifie pas si la chaîne reçue est valide et peut donc être exploité par un attaquant pour provoquer un déni de service. Lorsqu’un attaquant envoie une chaîne qui n’est pas valide, le package tente de convertir la chaîne en énumération et cela peut entraîner une exception et un plantage de l’application.

Pour résoudre ce problème, nous devons vérifier que la chaîne reçue est valide avant de l’utiliser. Nous pouvons le faire en utilisant le code C # pour vérifier si la chaîne est comprise dans l’énumération. Si ce n’est pas le cas, nous pouvons alors retourner une erreur à l’utilisateur et éviter ainsi tout plantage de l’application.

En résumé, le package NuGet pour convertir une chaîne en énumération peut être exploité par un attaquant pour provoquer un déni de service. Pour éviter cela, nous devons vérifier que la chaîne reçue est valide avant de l’utiliser. Nous pouvons le faire en codant une fonction qui vérifie si la chaîne est comprise dans l’énumération et retourne une erreur à l’utilisateur si ce n’est pas le cas. En appliquant cette méthode, nous pouvons éviter les attaques DoS et assurer la sécurité de notre application.

Source de l’article sur DZONE

Fargate vs Lambda : Qui sera le vainqueur ?

Fargate et Lambda sont deux technologies très populaires parmi les développeurs cloud. Quel est le meilleur pour votre projet ? Découvrons qui sera le vainqueur !

## Comparaison Fargate vs Lambda dans l’espace sans serveur

Quelles sont les différences entre Fargate et Lambda ?

Fargate et Lambda sont deux options de calcul sans serveur populaires disponibles dans l’écosystème AWS. Bien que les deux outils offrent un calcul sans serveur, ils diffèrent en ce qui concerne les cas d’utilisation, les limites opérationnelles, les allocations de ressources d’exécution, le prix et les performances. Fargate est une moteur de calcul sans serveur proposé par Amazon qui vous permet de gérer efficacement les conteneurs sans les tracas de la mise en provision des serveurs et de l’infrastructure sous-jacente. Lambda, quant à lui, est une plateforme de calcul sans serveur qui vous permet d’exécuter du code sans avoir à gérer des serveurs. Lambda est conçu pour prendre en charge des charges de travail à courtes durées et à faible consommation de ressources.

Quelle est la meilleure option pour l’architecture ?

Lorsqu’il s’agit de choisir entre Fargate et Lambda, il est important de comprendre leurs différences et leurs avantages. Pour les applications à longue durée et à haute consommation de ressources, Fargate est la meilleure option car il offre une gestion des conteneurs plus efficace et une meilleure performance. Cependant, pour les applications à courtes durées et à faible consommation de ressources, Lambda est la meilleure option car il offre une exécution plus rapide et une meilleure utilisation des ressources. En fin de compte, le choix entre Fargate et Lambda dépend des exigences spécifiques de votre application et de votre architecture. Il est important de prendre en compte le coût, la performance et les fonctionnalités avant de prendre une décision finale.

Quelle que soit l’application ou l’architecture que vous souhaitez mettre en place, Fargate et Lambda sont tous deux des outils puissants qui peuvent vous aider à atteindre vos objectifs. En tant qu’informaticien enthousiaste, je trouve que ces outils sont très utiles pour créer des applications modernes et évolutives. Fargate et Lambda offrent tous les deux des fonctionnalités avancées qui peuvent être utilisées pour créer des architectures robustes et flexibles. Les deux outils sont faciles à utiliser et peuvent être intégrés à d’autres services AWS pour offrir une expérience utilisateur optimale. En fin de compte, le choix entre Fargate et Lambda dépendra des exigences spécifiques de votre application et de votre architecture.

Source de l’article sur DZONE

Choisissez un nombre svp

Bienvenue! Je vous invite à choisir un nombre entre 1 et 10. Une fois que vous aurez choisi, je vous expliquerai ce que vous devez faire ensuite.

# Aléatoire dans les données

L’importance de l’aléatoire dans l’architecture informatique

Lorsque nous parlons d’aléatoire dans le domaine de l’informatique, nous faisons référence à la capacité d’un système à produire des résultats imprévisibles. Bien que les ordinateurs soient conçus pour être prévisibles, ils peuvent être utilisés pour produire des résultats aléatoires. Cette capacité est très importante dans l’architecture informatique, car elle permet de générer des clés de certificats ou des jetons d’accès qui sont difficiles à prédire par les attaquants.

Utilisation de l’aléatoire dans l’architecture informatique

L’utilisation de l’aléatoire dans l’architecture informatique est très courante. Par exemple, il est souvent utilisé pour générer des mots de passe aléatoires et sécurisés. Les mots de passe aléatoires sont plus difficiles à deviner et à pirater que les mots de passe créés par l’utilisateur. De plus, l’aléatoire est souvent utilisé pour générer des clés de chiffrement qui sont utilisées pour crypter les données sensibles. Ces clés doivent être suffisamment aléatoires pour empêcher les attaquants de deviner leur contenu.

En outre, l’aléatoire est également utilisé pour générer des nombres aléatoires qui peuvent être utilisés pour créer des algorithmes plus efficaces et plus sûrs. Par exemple, les algorithmes de tri peuvent être améliorés en utilisant des nombres aléatoires pour déterminer leur ordre. De plus, les algorithmes de recherche peuvent également bénéficier de l’utilisation d’un nombre aléatoire pour déterminer leur direction. Enfin, l’aléatoire est également utilisé pour générer des nombres pseudo-aléatoires qui peuvent être utilisés pour créer des simulations plus réalistes et plus précises.

En tant qu’informaticien enthousiaste, je trouve que l’utilisation de l’aléatoire dans l’architecture informatique est très intéressante et utile. Cela permet aux développeurs de créer des systèmes plus sûrs et plus efficaces. De plus, cela permet également aux utilisateurs finaux de bénéficier d’une meilleure sécurité et d’une meilleure expérience utilisateur.

Source de l’article sur DZONE

Avec l’aide de TeamWork, Albéa a adopté les solutions SAP Asset Manager et SAP Plant Maintenance, afin d’équiper ses techniciens de maintenance d’une solution moderne et mobile. Ce core model sera prochainement déployé sur l’ensemble des sites industriels du groupe.

 

Leader mondial des tubes et emballages pour les produits cosmétiques et parfums. Albéa adresse un large panel de clients, dont des marques prestigieuses comme L’Oréal et Clarins. L’industriel dispose de 43 sites répartis dans 15 pays, où travaillent plus de 12 500 employés. Albéa a réalisé un chiffre d’affaires 2021 de 1,2 milliard de dollars.

La plupart des usines d’Albéa ne disposent pas d’outil dédié pour suivre les activités de maintenance. « Notre objectif était de mettre en place un outil commun pour gérer la maintenance et accompagner les techniciens avec des processus digitalisés et automatisés, tout en favorisant leur mobilité au sein de leur lieu de travail », résume Émilie Ganot, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Un premier site pilote a été désigné pour accueillir cette solution, l’usine Albéa Argonne de Sainte-Menehould, le principal site industriel du groupe en France.

SAP Asset Manager : une offre mobile et ergonomique

Les usines d’Albéa, dont celle de Sainte-Menehould, travaillent la plupart sur un ERP SAP ECC. Certains utilisateurs étaient toutefois réticents à l’idée d’adopter SAP Plant Maintenance (SAP PM), jugé trop peu ergonomique et trop coûteux à maintenir. Plusieurs offres de GMAO ont été étudiées au fil des ans, mais elles restaient complexes à intégrer avec la gestion des stocks et le contrôle de gestion.

« Lors d’une démonstration de SAP Asset Manager (SAP AM), nous avons découvert un outil ergonomique, qui permet aux opérateurs de maintenance d’utiliser une tablette pour saisir leurs opérations et faire remonter des informations dans SAP PM. Nous avons alors validé l’utilisation de SAP AM, avec SAP PM en back-end, » témoigne Astrid Chauvin, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Premier avantage, la solution s’interface nativement avec SAP ECC et ses différents modules (stocks, achats et finance). L’interface repose sur la technologie Fiori, qui permet de proposer une expérience utilisateur optimisée, compatible avec les terminaux mobiles. Enfin, l’application offre la capacité de saisir des données hors connexion, ce qui peut être très utile en environnement industriel.

TeamWork a assuré, en collaboration avec Albéa, l’intégration de cette solution. « TeamWork est un partenaire de confiance avec lequel nous aimons travailler, poursuit Astrid Chauvin. La force de TeamWork est de savoir aborder les sujets tant sur leurs aspects fonctionnels que techniques, le tout avec une forte connaissance métier. De plus, c’est une structure à taille humaine, très accessible. »

Une solution bien acceptée

« Le site Albéa Argonne est une grosse usine, comprenant 20 lignes de fabrication et 550 salariés, dont 20 techniciens de maintenance travaillant en 24/7, détaille Émilie Ganot. Nous avons décidé dans un premier temps de déployer la solution sur deux lignes pilotes. Le core model que nous allons mettre au point sera ensuite déployé sur le reste de l’usine, puis sur les autres sites industriels du groupe. »

Dans l’absolu, le déploiement de SAP AM reste un projet assez simple. Albéa a dû toutefois déployer simultanément SAP AM et SAP PM. De plus, l’intégration mobile – native dans SAP S/4HANA – a nécessité la mise en place d’un add-on spécifique sous SAP ECC. Enfin, la solution SAP AM repose sur des services mobiles de la SAP Business Technology Platform, qu’il a donc fallu aussi mettre en place et configurer. Au final, 5 mois ont été nécessaires entre le kick off du projet et le go live de la solution.

« Notre plus grande surprise a été l’adhésion des utilisateurs, note Astrid Chauvin. Ils ne voulaient initialement pas utiliser la solution SAP PM. En leur proposant SAP AM, nous avons donc eu l’impression de jouer à quitte ou double. Mais, dès que les utilisateurs ont entamé le projet avec nous et vu comment l’outil se présentait sur des tablettes, l’enthousiasme a été immédiat. Ceci nous a confortés dans l’idée que nous avions fait le bon choix. »

Reste que la solution n’est pas sans défauts. Si son cœur ne connaît qu’une grosse mise à jour par an, cette mise à jour peut avoir des implications aussi bien sur SAP AM, SAP PM que la SAP BTP. Quant à l’application mobile, elle est mise à jour bien plus fréquemment. Les équipes ont donc dû apprendre à gérer une solution hybride, mêlant on premise, cloud et mobilité.

La satisfaction prévaut toutefois depuis le go live. Prochaine étape sur le court et moyen terme, le déploiement de ce core model sur les autres lignes de production du groupe. À plus long terme, Albéa espère tirer profit du couple SAP AM / SAP PM pour se lancer dans la maintenance prédictive de ses outils de production.

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Source de l’article sur sap.com

Utiliser FaceIO pour développer le module d'authentification d'utilisateur d'une application web basée sur l'IA.

Utiliser FaceIO pour développer le module d’authentification d’utilisateur d’une application web basée sur l’IA est une solution innovante et sécurisée. Découvrez comment cela fonctionne!

Comment développer le module de connexion d’utilisateur du projet d’application Web à l’aide de l’interface de service AI tiers

Dans le passé, le développement des systèmes d’informations web application a nécessité une fonction module d’authentification d’utilisateur indispensable. La fonction d’authentification d’utilisateur comprend l’enregistrement et l’authentification de connexion des utilisateurs. Dans les méthodes de développement passées, la manière courante de réaliser le module de fonction d’authentification d’utilisateur est d’utiliser l’e-mail et le SMS pour vérifier. Maintenant, de nombreux ordinateurs des utilisateurs sont équipés de caméras, qui peuvent pleinement utiliser la technologie d’intelligence artificielle de reconnaissance faciale pour réaliser l’authentification d’utilisateur. J’ai utilisé la bibliothèque JavaScript de FaceIO pour mettre en œuvre l’authentification d’utilisateur dans le projet web app.

Cet article présente principalement comment développer le module de connexion utilisateur du projet web application à travers l’interface de service AI tiers. Le code source du projet web application a été téléchargé sur GitHub et est basé sur le protocole MIT. Il n’y a pas de restrictions.

En tant qu’informaticien enthousiaste, j’ai trouvé que l’utilisation de la reconnaissance faciale pour l’authentification d’utilisateur était très pratique. En outre, j’ai également constaté que la base de données des services AI tiers était très riche et complète. Cela me permet de trouver facilement les informations dont j’ai besoin pour le développement du projet web application. De plus, ces services AI tiers fournissent également des API très pratiques pour intégrer leurs fonctions à mon projet. Grâce à ces API, je peux facilement intégrer la reconnaissance faciale à mon projet web application et réaliser l’authentification d’utilisateur.

Source de l’article sur DZONE

Protéger les données utilisateur dans Microsoft 365 : Guide pas-à-pas.

Protéger les données des utilisateurs est essentiel pour Microsoft 365. Découvrez comment le faire étape par étape grâce à ce guide pas-à-pas !

## Comprendre le paysage des menaces

Malware: Malware is malicious software designed to damage or gain unauthorized access to a system. It can be spread through email, websites, and other sources.

Phishing: Phishing is a type of social engineering attack in which attackers attempt to gain access to sensitive information by sending emails or other messages that appear to be from a legitimate source.

Data Leakage: Data leakage occurs when confidential information is unintentionally shared with unauthorized parties. This can happen through email, file sharing, or other means.

Data Theft: Data theft is the intentional theft of data by an individual or group. This can be done through malicious software, physical theft of devices, or other means.

Introduction

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je sais que la sécurité des données est une préoccupation majeure pour les organisations qui utilisent Microsoft 365. Avec la sophistication croissante des menaces cybernétiques, il est essentiel d’être conscient des risques potentiels pour vos comptes utilisateurs et vos données. Dans cet article, nous fournirons un guide étape par étape pour vous aider à protéger votre environnement Microsoft 365 contre la perte de données. Nous couvrirons le paysage des menaces, les fonctionnalités de sécurité Microsoft 365, les meilleures pratiques pour sécuriser les comptes utilisateurs et les solutions de sauvegarde de données pour Microsoft 365. Avec les informations et les recommandations fournies dans ce guide, vous serez bien équipé pour protéger les précieuses données de votre organisation et assurer la continuité des activités.

Comprendre le paysage des menaces

Les menaces cybernétiques sont en constante augmentation et il est important de comprendre le paysage des menaces afin de mieux protéger votre environnement Microsoft 365. Les types de perte de données les plus courants auxquels les organisations sont confrontées dans un environnement Microsoft 365 sont les suivants :

Malware : le malware est un logiciel malveillant conçu pour endommager ou obtenir un accès non autorisé à un système. Il peut être diffusé par e-mail, sites web et autres sources.

Phishing : le phishing est une forme d’attaque d’ingénierie sociale dans laquelle des attaquants tentent d’accéder à des informations sensibles en envoyant des e-mails ou d’autres messages qui semblent provenir d’une source légitime.

Fuite de données : la fuite de données se produit lorsque des informations confidentielles sont partagées involontairement avec des parties non autorisées. Cela peut se produire par e-mail, partage de fichiers ou d’autres moyens.

Vol de données : le vol de données est le vol intentionnel de données par un individu ou un groupe. Cela peut être fait par un logiciel malveillant, un vol physique de dispositifs ou d’autres moyens.

Fonctionnalités de sécurité Microsoft 365 et meilleures pratiques

Microsoft 365 propose une gamme de fonctionnalités de sécurité pour protéger vos comptes utilisateurs et vos données. Ces fonctionnalités comprennent l’authentification multifacteur, la protection contre le hameçonnage, la surveillance des activités suspectes, la protection contre les logiciels malveillants et le chiffrement des données. En outre, il existe certaines meilleures pratiques que vous pouvez adopter pour renforcer la sécurité de votre environnement Microsoft 365. Ces pratiques comprennent l’utilisation d’un mot de passe fort et unique pour chaque compte

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Les flux d'événements ne sont rien sans action.

Les flux d’événements sont une chose, mais sans action, ils ne servent à rien. Il est donc important de passer à l’action pour tirer le meilleur parti des opportunités qui se présentent.

Événements de flux et traitement des flux d’événements

En tant qu’informaticien enthousiaste, je voudrais discuter des flux d’événements et du traitement des flux d’événements en profondeur. Chaque point de données dans un système qui produit des données de manière continue correspond à un événement. Les flux d’événements sont décrits comme un flux continu d’événements ou de points de données. Les flux d’événements sont parfois appelés flux de données dans la communauté des développeurs, car ils se composent de points de données continus. Le traitement des flux d’événements fait référence à l’action prise sur les événements générés.

Le traitement des flux d’événements est très différent du traitement par lots, car le traitement des flux d’événements est conçu pour traiter les données en temps réel. Cela signifie que les données sont traitées immédiatement après leur arrivée et que les résultats sont immédiatement disponibles. Cela permet aux systèmes de prendre des décisions en temps réel et de réagir rapidement aux changements. Les avantages du traitement des flux d’événements comprennent une meilleure prise de décision, une plus grande réactivité et une plus grande efficacité.

Le traitement des flux d’événements est utilisé pour une variété de tâches, notamment la surveillance en temps réel, le routage et le filtrage des données, l’analyse prédictive et la détection des anomalies. Par exemple, un système peut surveiller en temps réel les données provenant d’une base de données et prendre des mesures en fonction des résultats obtenus. Il peut également être utilisé pour analyser les données en temps réel et prendre des décisions basées sur ces analyses. Enfin, le traitement des flux d’événements peut être utilisé pour détecter les anomalies dans les données et prendre des mesures pour y remédier.

Pour illustrer le traitement des flux d’événements, considérons un système qui surveille en temps réel les données provenant d’une base de données. Le système surveille les données à l’aide d’une application qui analyse les données et prend des mesures en fonction des résultats obtenus. Lorsque le système détecte une anomalie, il peut prendre des mesures pour corriger le problème ou avertir l’utilisateur. De plus, le système peut être configuré pour analyser les données en temps réel et prendre des décisions basées sur ces analyses. Ainsi, le traitement des flux d’événements permet aux systèmes de surveiller, analyser et prendre des décisions basées sur les données provenant d’une base de données en temps réel.

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Tester la sécurité des objets connectés

Tester la sécurité des objets connectés est essentiel pour protéger nos données et notre vie privée. Découvrez comment vous assurer que vos appareils sont en sécurité.

## La sécurité de l’Internet des objets (IoT) est essentielle

L’Internet des objets (IoT) a révolutionné nos vies et apporté de nombreux avantages, mais il présente une grande surface d’attaque et n’est pas sûr tant qu’il n’est pas sécurisé. Les appareils IoT sont une cible facile pour les cybercriminels et les pirates informatiques s’ils ne sont pas correctement sécurisés. Vous pouvez avoir de graves problèmes avec des données financières et confidentielles qui sont invitées, volées ou cryptées.

Il est difficile de repérer et de discuter des risques pour les organisations, sans parler de la construction d’une méthodologie globale pour y faire face, sans connaissances pratiques de ce qu’est la sécurité IoT et sans la tester. La prise de conscience des menaces de sécurité et la façon d’y échapper est la première étape, car les solutions IoT nécessitent beaucoup plus de tests qu’auparavant. La sécurité intégrée est souvent absente lorsqu’il s’agit d’introduire de nouvelles fonctionnalités et produits sur le marché.

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je sais que le test est une partie essentielle du processus de développement de produits IoT. Les tests peuvent être effectués à chaque étape du cycle de développement, depuis le développement jusqu’à la mise en production. Les tests peuvent être effectués manuellement ou automatiquement, selon les besoins spécifiques et les contraintes budgétaires. Les tests peuvent inclure des tests fonctionnels, des tests de performance, des tests de sécurité et des tests de conformité. Les tests peuvent être effectués sur des appareils physiques ou virtuels, en fonction des exigences et des contraintes. Les tests peuvent également être effectués à l’aide d’outils spécialisés tels que des outils de test d’intrusion, des outils de test d’authentification et des outils de test de sécurité.

Les tests peuvent aider à identifier les vulnérabilités et à déterminer si les produits IoT sont conformes aux normes de sécurité et aux exigences réglementaires. Les tests peuvent également aider à améliorer l’efficacité et la fiabilité des produits IoT et à réduire les risques liés à la sécurité. Les tests peuvent également aider à améliorer la qualité du produit et à réduire le temps et les coûts de développement. Les tests peuvent également aider à améliorer l’expérience utilisateur et à assurer un meilleur niveau de sécurité pour les utilisateurs finaux.

En conclusion, le test est essentiel pour assurer la sécurité des produits IoT. Les tests peuvent être effectués à chaque étape du cycle de développement et peuvent aider à identifier les vulnérabilités, à améliorer l’efficacité et la fiabilité des produits IoT, à réduire les risques liés à la sécurité et à améliorer l’expérience utilisateur.

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Déboguer des sites web avec les outils de développeur Safari

Déboguer des sites web peut être une tâche difficile, mais en utilisant les outils de développeur Safari, cela devient plus facile et plus rapide !

Safari : le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones

Je suis un scientifique excité qui vient de faire une découverte sensationnelle : Safari est le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones. Il se classe deuxième dans les préférences des navigateurs, juste après Chrome. Ses plus de 250 fonctionnalités offrent aux utilisateurs des avantages remarquables qui le distinguent des autres navigateurs les plus populaires tels que Chrome et Firefox. De plus, la popularité de l’iPhone a entraîné une part de marché mondiale des smartphones de 53,6 % pour Safari.

L’année dernière, le nombre d’appareils actifs d’Apple a connu une augmentation significative à 1,5 milliard. Puisque la base d’utilisateurs continue de croître, Apple s’assure constamment d’une expérience utilisateur presque parfaite et d’une performance optimisée sur tous ses appareils.

Pour répondre à ces exigences, Apple a mis en place une base de données qui stocke des informations sur les performances et les préférences des utilisateurs. La base de données est mise à jour en permanence pour s’adapter aux changements des appareils et des systèmes d’exploitation. Elle permet également aux développeurs de créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est également utilisée pour surveiller les performances des applications et des services afin de garantir une expérience optimale pour les utilisateurs.

Grâce à cette base de données, Apple est en mesure d’offrir une expérience utilisateur exceptionnelle et une performance optimale sur tous ses appareils. Les développeurs peuvent également créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est donc un outil essentiel pour Apple pour offrir une expérience utilisateur optimale à ses utilisateurs.

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Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com