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D’ici 2020, une nouvelle monnaie digitale devrait voir le jour au Japon. Inspiré par le succès des pays d’Europe du Nord qui ont réussi à diminuer considérablement la quantité d’argent liquide en circulation, le pays veut inciter les citoyens japonais à privilégier les méthodes digitales de paiement.

Une nouvelle monnaie digitale d’ici 2020

D’après le quotidien financier

Financial Times

, un consortium de banques japonaises a décidé de lancer une nouvelle monnaie digitale afin de détourner les citoyens de l’argent liquide. Ce consortium, dirigé par le Mizuho Financial Group et la Japan Post Bank aurait prévu de lancer cette nouvelle monnaie d’ici 2020, à temps pour les Jeux Olympiques de Tokyo.

Ce nouveau projet, soutenu par la Banque centrale du Japon, vise à développer une technologie permettant aux Japonais de payer des biens et services avec leurs smartphones.

Objectif : réduire l’argent liquide en circulation

La cash représente actuellement 70 % des transactions en valeur au Japon. Une telle dépendance à l’argent liquide est source de coûts pour les banques et les gouvernements. En effet, les banques doivent payer pour gérer, transporter et contrôler de larges quantités d’argent liquide tandis que les gouvernements perdent des recettes fiscales à cause du travail au noir payé en cash ou des transactions illégales sur le marché noir.

D’après le consortium de banques, l’adoption d’une monnaie digitale pourrait rapporter 10 milliards de yens à l’économie japonaise, soit 76,4 millions d’euros. Le J-Coin sera échangé à un taux de change d’un pour un avec le yen. En Europe, plusieurs pays font le pari d’une société sans cash permise par l’essor des méthodes de paiement digital : l’argent physique en circulation a chuté de 27 % depuis 2011 en Suède grâce au succès des paiements digitaux tandis que le Danemark veut permettre à ses restaurants, stations-service et magasins de vêtements d’arrêter d’accepter l’argent liquide. Par ailleurs, au Royaume-Uni, l’argent liquide est désormais minoritaire.

Les banques japonaises ne sont pas les seules à développer leur propre monnaie digitale : des banques de premier plan, comme HSBC, Barclays, UBS et Satander, inspirées par le succès des bitcoins, développent un « Universal Settlement Coin » afin de faciliter les échanges entre elles.

 

 

Modifié le 28/09/2017 à 16h13

Origine : Articles Clubic

Source : http://ift.tt/2fuD0r9

 

L’idée de passer au tout électrique dans les dix années à venir devient un peu plus concrète avec la présentation ce mercredi par EasyJet d’un prototype d’avion de ligne 100% électrique.

La compagnie s’est associée avec la start-up américaine Wright Electric pour développer un avion spécialisé dans les petits trajets, mais qui devrait malgré tout pouvoir assurer la liaison entre Paris et Londres.

François Bacchetta, directeur général d’EasyJet France a confié à RTL : « On ne sera plus dépendant du carburant et du pétrole. Le prix du carburant va croître, c’est aussi quelque chose qui va nous permettre de pouvoir assurer les liaisons intraeuropéennes et nationales ».

L’appareil devrait embarquer des moteurs électriques directement dans ses ailes, il proposera une autonomie de 540 kilomètres avec une capacité allant de 120 à 220 passagers. Un modèle commercial pourrait être proposé dès 2027.

L’arrivée sur le marché de ces avions électriques devrait permettre de réduire significativement le cout des transports, puisque la majorité du prix des billets pour les vols actuels correspond au prix du carburant nécessaire au voyage.

Source : http://ift.tt/2xInSQJ

Amazon a dévoilé une nouvelle série de terminaux, parmi lesquels de nouveaux Amazon Echo (99,99 $) et Echo Plus (149,99 $), l’Echo Spot (129,99 $) et un nouveau stick Fire TV (69,99 $). Il développe ainsi sa vision de la maison connectée.

Amazon vend ses appareils à des prix très abordables. Gagner de l’argent grâce à ses terminaux n’est pas (du moins pour l’instant) sa priorité. C’est la conquête; il s’agit pour l’entreprise de toucher suffisamment de foyers assez rapidement pour devenir la norme de fait.

Et Amazon a déjà réussi à prendre une avance conséquente, principalement grâce au succès surprise de l’Echo original. Qui imaginait qu’un haut-parleur Bluetooth doté d’un assistant numérique intégré (et pas un thermostat ou une alarme incendie) deviendrait le catalyseur de l’intérêt des consommateurs pour la maison connectée ?

Depuis lors, Amazon a rapidement enrichi son portefeuille matériel. Et ce qui est clair, c’est la volonté de l’entreprise de s’assurer que ses terminaux et services s’installent à tous les points de contact fondamentaux de la maison; le nouveau Echo Spot veut se substituer au réveil, par exemple.

Ces produits ne seront peut-être pas tous des succès, mais Amazon peut itérer à un rythme beaucoup plus rapide que ses concurrents pour maintenir son avance : Apple HomePod n’est même pas encore sur le marché.

Le cœur de la maison est la clé

De nombreuses entreprises s’intéressent au domaine de la maison intelligente, rendent les serrures intelligentes, les caméras, les capteurs de mouvement, etc. Mais ce qui importe vraiment, c’est de devenir l’acteur qui fournira le lien permettant de connecter tous ces différents éléments ensemble.

C’est pourquoi le nouveau Echo Plus est intéressant : Amazon fait un geste explicite pour être le hub principal, car il peut découvrir et configurer automatiquement les lumières, les verrous, les prises et les interrupteurs sans avoir besoin de plateformes ou d’applications supplémentaires.

Et la fonctionnalité « routines » d’Alexa sera capable de tout lier en vous permettant d’automatiser une série d’actions avec une seule commande vocale : en disant « Alexa, bonne nuit » afin d’éteindre les lumières, verrouiller la porte, et éteindre le téléviseur, par exemple.

Une plateforme à laquelle d’autres applications et terminaux peuvent se connecter ? Cela commence à ressembler beaucoup à un système d’exploitation selon moi

Ce n’est pas non plus seulement la maison; Amazon a annoncé un accord pour rendre Alexa disponible dans les véhicules BMW et Mini à partir du milieu de l’année prochaine. Les conducteurs peuvent ainsi utiliser l’assistant numérique pour obtenir des itinéraires, jouer de la musique ou contrôler des appareils connectés du domicile tout en voyageant et sans avoir à utiliser une application distincte. Les voyageurs auront également accès à des compétences Alexa provenant de développeurs tiers comme Starbucks, leur permettant de commander leur café tout en conduisant. Ils n’auront ainsi pas à faire la queue pour récupérer leur commande.

Alexa embarque en voiture

En janvier, Amazon et Ford ont déclaré qu’ils travaillaient ensemble pour permettre aux commandes vocales d’allumer le moteur, de verrouiller ou de déverrouiller les portes, de jouer de la musique et d’utiliser d’autres compétences.

Amazon Alexa semble avoir réalisé une percée. Contrairement aux assistants vocaux comme Siri ou Google Assistant, il ne tente pas de cannibaliser d’autres moyens de communiquer avec les périphériques, mais propose de nouveaux usages. Sur un téléphone, Siri se morfond car il est plus facile d’utiliser le clavier à l’écran. Mais dans la maison – et sur la route – la voix a plus de sens.

Il est encore tôt, mais je pense que Alexa a les moyens de devenir l’une des interfaces standards, certainement pour les consommateurs – un système d’exploitation pour la maison, sinon plus, si les ponts dans l’automobile se consolident. Tout cela fera de Amazon une force sérieuse avec laquelle compter.

Windows a le poste de travail, et Android et iOS peuvent se disputer le smartphone, mais à présent Alexa a une emprise sur la maison intelligente.

Article traduit et adapté par Christophe Auffray, ZDNet.fr

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/amazon-alexa-un-os-a-l-assaut-d-ios-android-et-windows-39857956.htm#xtor=RSS-1

Lancé en 2014, l’initiative Degooglisons Internet est pilotée par l’association Framasoft et propose de réunir sous une même étiquette plus de 30 services libres et décentralisés afin de proposer aux internautes des alternatives aux services phares détenus par les Gafa. Si vous ne supportez plus d’utiliser Doodle ou que Dropbox vous inspire tout le dégoût du monde, vous avez tout intérêt à vous tourner vers cette initiative qui regroupe sur un site dédié une trentaine de services alternatifs. La campagne baptisée Degooglisons Internet a rencontré un franc succès au cours de ses trois années d’existence comme le rappelaient ses organisateurs.

Mais il est maintenant temps pour le projet de passer dans sa seconde phase et de faire le point. Dans un post de blog, les membres de l’association Framasoft reviennent ainsi sur cette nécessaire évolution du projet après trois années passées à un rythme acharné pour passer sur un peaufinage du projet « Il y a dans ces trois ans un aspect publish or perish, « sors un service ou finis aux oubliettes », qui ne convient pas à l’attention et au soin que l’on veut apporter à nos propositions » expliquent les organisateurs.

Faire le point, mais ne pas s’arrêter en si bon chemin

Il ne sera donc pas question d’ajouter ad vitam aeternam de nouveaux services à la déjà longue liste de ceux proposés au sein de l’initiative, mais bien de répondre en proposant une philosophie alternative et de peaufiner la qualité des services déjà proposés. Parmi les pistes évoquées, l’association envisage ainsi d’améliorer la qualité de ses tutoriaux afin de permettre aux utilisateurs de s’émanciper peu à peu de la tutelle Framasoft, mais envisage aussi un travail sur les données.

« La problématique des silos de données centralisés par quelques monopoles mérite une réponse bien plus complexe et complète que simplement proposer « 32 services alternatifs » » expliquent ainsi les auteurs du post, ce qui laisse penser que Framasoft s’interroge sur la portabilité des données entre les différents services qu’ils proposent.

Cette mise au point est aussi l’occasion de faire taire les faux espoirs concernant l’apparition d’un hypothétique Framamail : « Nous allons vous décevoir tout de suite : nous n’allons pas proposer de Framamail, tout du moins pas sous la forme que vous imaginez. L’e-mail est une technologie à la fois simple (dans sa conception) et extrêmement complexe (dans sa maintenance). » L’initiative propose déjà plusieurs outils permettant d’héberger soi-même son propre serveur de mail, mais proposer un service de webmail comparable à ce que propose Gmail, le pillage des données personnelles en moins, n’est pas pour tout de suite.

L’idée n’est pas complètement écartée, mais Framasoft explique que sa mise en œuvre demanderait de nouveaux recrutements à temps plein au sein de l’équipe afin d’être en mesure de fournir un service décent. Framasoft préfère donc conserver son budget pour les autres services afin d’être en mesure d’assurer un service correct au plus grand nombre.

À l’occasion de ce point d’étape Framasoft profite de l’occasion pour présenter un redesign de son site Degooglisons Internet, qui correspond de leur propre aveu à une « v1 » de celui-ci. L’association diffuse également une infographie réalisée par Geoffrey Dorne faisant le point sur les différentes initiatives de Framasoft et les développements futurs. La nouvelle campagne sera officiellement lancée le 9 octobre pour une durée, là aussi, de trois ans.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/degooglisons-internet-un-point-d-etape-avant-une-nouvelle-campagne-39857954.htm#xtor=RSS-1

Le chef du Parti travailliste Jeremy Corbyn a prévenu qu’il fallait faire plus pour faire face aux défis posés par les robots et l’automatisation.

Lors de son discours pendant la conférence du parti politique, il a jugé urgent de réagir au défi de l’automatisation et de la robotique qui pourraient rendre obsolètes tant de métiers d’aujourd’hui.

« C’est une menace au service de la cupidité, mais c’est une grande opportunité si elle est gérée dans l’intérêt de la société dans son ensemble. Nous ne recueillerons pas pleinement ces formidables avancées technologiques si elles » sont monopolisées par quelques-uns pour accumuler des profits.

Automatisation et IA : une opportunité, si…

Pour Corbyn, le partage des bénéfices tirés d’une « gestion publique » des avantages de l’automatisation pourrait être la « passerelle vers un nouvel équilibre entre le travail et les loisirs. Un tremplin pour plus de créativité et de culture. »

Si le progrès technologique a toujours entraîné des destructions d’emplois, il aurait cependant eu pour effet d’en créer davantage. Mais pour experts et universitaires, la montée en puissance de l’intelligence artificielle pourrait produire des résultats différents. D’abord en automatisant potentiellement des emplois de la classe moyenne considérés sûrs, tout en contribuant peu à la création de nombreux nouveaux emplois.

Cependant, un obstacle au projet de Corbyn se pose : il serait extrêmement difficile d’isoler les bénéfices résultant uniquement de l’automatisation et de la robotique afin de les taxer, même si cela permettait une redistribution plus équitable. Mais l’élu travailliste a également déclaré que la reconversion et la formation devaient être une priorité pour le gouvernement.

« La marée de l’automatisation et des changements technologiques signifie que la formation et la gestion de la main-d’œuvre doivent être au premier plan durant les prochaines années. »

Ses déclarations font écho aux résultats d’un rapport du Congrès des syndicats (TUC) du Royaume-Uni publié au début de ce mois-ci. Selon le document, les gains de productivité découlant de la technologie tendent à profiter aux propriétaires d’entreprise sous forme de profits et ne sont pas partagés avec les travailleurs au travers de meilleurs salaires et conditions de travail.

Le Congrès souhaite que la vague imminente de gains de productivité permise par l’IA soit traitée différemment des profonds changements industriels des années 70 et 80, qui ont abouti à des traumatismes pour des communautés et offert peu de perspectives.

La formation plus que jamais essentielle

Le TUC juge nécessaire que plus de mesures soient prises pour limiter les perturbations dans la vie des travailleurs par les gains probables de productivité générés par l’AI et la robotique au cours des prochaines décennies. Les syndicats appellent à maximiser les possibilités pour les travailleurs de bénéficier des avantages de ces évolutions.

Les gains de revenus permis par un accroissement de la productivité pourraient justifier la fin des reports programmés de départ à la retraite, suggère-t-il ainsi, tout en appelant à un droit  à un « bilan à mi-carrière » et à de nouveaux investissements dans la formation sur le lieu de travail.

« Les révolutions technologiques antérieures n’ont pas réduit le nombre d’emplois. Mais elles se sont accompagnées d’une réduction du nombre total d’heures travaillées. Un avantage potentiel du changement technologique qui devrait être adopté est sa capacité à améliorer la qualité de vie professionnelle » considère le rapport.

Les effets de l’IA et de la robotique sur les emplois sont complexes à évaluer : certaines estimations suggèrent que jusqu’à un tiers des emplois pourraient être automatisés; mais il est probable que de nouveaux emplois seront également créés.

Si certains travailleurs pourraient voir leur productivité et leurs salaires s’améliorer grâce à l’IA et à l’automatisation, d’autres dont les niveaux de compétences sont « inférieurs » verraient en revanche leur emploi changer ou disparaître. Une concurrence accrue pour les emplois restants pourrait en outre encore réduire les salaires.

Article traduit et adapté par Christophe Auffray, ZDNet.fr


ZDNet vous accompagne

6 grands mythes autour de l’Intelligence Artificielle

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/l-idee-de-taxation-des-robots-fait-son-chemin-39857938.htm#xtor=RSS-1

Europe Google
Le mardi 12 septembre 2017, le parlement européen a voté un texte pour la mise en place de WIFI4EU, un programme qui prévoit de « fournir une connexion Internet gratuite de haute qualité » partout sur tout le vieux Continent. Le projet ambitionne de faire installer des milliers de bornes wifi gratuites dans plusieurs villes et villages […]
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SkyGuru
Amadeus Altea, un logiciel de réservation aérienne utilisé par plusieurs aéroports à travers le monde, a été touché cette semaine par une panne informatique sévère. En conséquence, l’enregistrement des passagers et l’achat de billet sont devenus impossibles, au grand damne des voyageurs qui se sont retrouvés coincés dans de longues files d’attente. Selon les informations […]
By Fredzone Source : http://ift.tt/2xLEirD

Dubai is building a massive Mars prototype city in the desert

The design concept for one of the domes of the future Mars Science City.The design concept for one of the domes of the future Mars Science City.

Image: dubai media centre

Dubai certainly doesn’t shy away from grand, magnificent projects, but this is truly something else.

The United Arab Emirates government has assigned world-renowned architect Bjarke Ingels, founder of the aptly named BIG study, to build nothing less than a prototype Mars city in the desert, and the designs are stunning.

The announcement came a few days before Elon Musk said SpaceX will start robotic flights to Mars by 2022, with humans on Mars by 2024.

That timeline is considerably quicker than the UAE’s plans for a « mini-city » on Mars by 2117. In February, Prime Minister Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum said in a series of tweets that « Mars 2117 » will involve Emirati and international scientists. « We’re building a space pioneering passion among our young people, » he said.

The Mars Science City project is another step in that direction. At a cost of nearly $140 million, it will cover 1.9 million square feet and will provide « a viable and realistic model to simulate living on the surface of Mars. »

Artist illustration of the Mars Science City.

Artist illustration of the Mars Science City.

Image: dubai media centre

The project aims at attracting « the best scientific minds from around the world, » according to the press release. It looks pretty alluring for scientists and engineers, and some of them will be able to live in the red planet city for one year.

Formed by interconnected domes, Mars Science City will have several labs for food, energy and water, and agricultural testing.

An illustration of the concept for the domes.

An illustration of the concept for the domes.

Image: DUBAI MEDIA CENTRE

That’s not only to simulate life on Mars using 3D printing technology and heat and radiation insulation, but possibly to « address global challenges such as food, water, and energy security on Earth, » according to the release.

The prototype city will also feature a museum, whose walls will be 3D printed using desert sand, aimed at educating young citizens about « humanity’s greatest space achievements, » the release said.

In case you’re wondering why they’re calling it a prototype, that’s because the UAE are serious about settling on Mars — they’re looking to build the first colony on the red planet by 2117.

Artist's illustration.

Artist’s illustration.

Image: DUBAI MEDIA CENTRE

This is what Sheikh Mohammed bin Rashid, prime minister and ruler of Dubai, said upon the announcement of Mars Science City earlier this week:

« The UAE is a great country with vision and understanding of the challenges we face and the rapid changes our world is experiencing, »

« We believe in the potential of space exploration, and in collaborating with global partners and leaders in order to harness the findings of this research and movement that seeks to meet people’s needs and improve quality of life on earth.

« The new project is another step in the UAE’s leading contributions to the global science movement; we seek to set an example and motivation for others to participate, and contribute, to humanity’s march into space.

No word yet on how scientists can apply, but watch this space…

By Mashable Source : http://ift.tt/2xGp05K