Dans son étude 2017 qui désigne les 7 métiers à la fois les plus attractifs et les plus rémunérateurs dans l’Hexagone, le cabinet Robert Half place l’ingénieur DevOps au rang des mieux lotis dans la catégorie systèmes d’information.

Chaque année, le cabinet international de recrutement spécialisé Robert Half publie un florilège des « jobs en or », en s’appuyant sur l’attractivité de ces métiers et leur rémunération. Dans son classement 2017, sept fonctions apparaissent comme telles, dont l’une appartient à la catégories systèmes d’information :  l’ingénieur DevOps. Les 6 autres sont le contrôleur de gestion industriel, le gestionnaire de paie, le contrôleur financier de transition, le HR business partner, l’assistant service client et le directeur de stratégie de contenu (ou head of brand content)

Selon l’analyse de Bruno Fadda, directeur technologie/SI chez Robert Half, pour être un bon « DevOps », il faut être diplômé d’une école d’ingénieur et posséder au moins 3 à 5 ans d’expérience dans le développement logiciel ainsi qu’en administration système.  Cette combinaison entre les métiers du développeur et de l’administrateur système permet d’accroître la fluidité entre le développement et l’exploitation.  Dans cette profession, le salaire brut annuel est compris entre  60 000 et 69 000 € pour un profil ayant de 5 à 10 d’expérience et peut dépasser les 75 000 € au-delà de 15 années d’expertise.

Une fonction clé au sein de la DSI

Côté évolution de carrière, ce spécialiste de l’agilité pourra être amené à devenir manager R & D, ou directeur cloud et DevOps. « Après avoir introduit les méthodes agiles dans leur organisation, les grands groupes et particulièrement les éditeurs de logiciels investissent massivement dans la transformation de l’organisation de leur DSI », commente Bruno Fadda. Pour lui, l’ingénieur DevOps est le profil le plus prisé dans ce contexte. La prise en compte de la gouvernance des données devrait placer le DataOps dans la phase suivante  du processus de transformation digitale des entreprises.

Source : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-en-france-le-devops-fait-partie-des-7-jobs-les-mieux-payes-69486.html

Ankaa Engineering vous propose une solution applicative fédératrice des demandes de support et d’assistance au sein des entreprises et organisations.

Ce portail permet de proposer un point unique d’accès au support IT et/ou Métier des différents acteurs d’une entreprise et de répartir les demandes aux organisations et systèmes de support et de maintenance ad-hoc en fonction de l’utilisateur requérant une assistance ou une nature d’anomalie.

Flux de gestion de l'application support métier

Globalement ce portail apporte des services à trois populations.

En premier lieu, les utilisateurs finaux à qui sont destinés les services du support, et qui y trouvent un catalogue de services lisible replacé dans leur contexte métier c’est-à-dire utilisant une terminologie et une présentation selon leur localisation, leur métier, leur activité, …
L’utilisateur perçoit ainsi mieux les services qui lui sont apportés et navigue aisément dans ce catalogue pour accéder au service qui répond à ses attentes.
Par ailleurs le portail intègre un accès structuré à la documentation métier ou aux procédures afin de développer l’autonomie des utilisateurs.

En second lieu, les équipes  internes ou externes qui traitent les demandes d’assistance ou les signalements d’anomalie. Le portail leur offre la possibilité d’intégrer des questionnaires de pré-analyse des demandes. Ces questionnaires peuvent être spécifiés par domaine fonctionnel, par service, par application, … ils permettent aux équipes en charge du support de recevoir des demandes qualifiées et immédiatement exploitables.
Par ailleurs, ces questionnaires développent l’image de professionnalisme auprès des utilisateurs.
Les demandes ou signalements qualifiés sont ensuite automatiquement injectés dans les systèmes de gestion de tickets des équipes de support et de maintenance.
Le portail peut donc rediriger les demandes vers des systèmes de gestion de tickets hétérogènes dont il peut faciliter la rationalisation en masquant leurs spécificités.

En troisième lieu, les personnes en charge du suivi de la performance du support (responsable de département IT, responsable métier d’un site, achats dans le cadre d’un support sous-traité). Le portail permet d’intégrer des flux de suivi des tickets issus de systèmes de gestion hétérogènes et de construire des KPI standard mesurant la performance ou le respect des engagements du support.
Le portail permet de construire ces KPI et de les analyser sur l’ensemble des axes de sa base de connaissances (par exemple par pays, par site, par application, par responsable métier).
Ces différents axes de lecture des indicateurs permettent une analyse globale et ciblée permettant de piloter au mieux les activités de support.
Les utilisateurs finaux peuvent, de plus, accéder au suivi d’avancement de leurs demandes de support indépendamment du service ou du système de gestion de ces tickets.

En savoir plus ? Contactez nous

Le diagramme de Kano a été inventé par le Dr Noriaki Kano en 1984 afin d’évaluer la satisfaction client.

L’approche de  Noriaki Kano s’appuie sur l’interrogation d’un client sur son niveau de satisfaction et de non satisfaction au regard de la présence ou de l’absence d’une fonction.

L’analyse simultanée des deux tendances va permettre de hiérarchiser les points de l’interview.

L’analyse des réponses va amener à une classification de chaque point  :

1- Les attentes de base (B) : ces points doivent impérativement être satisfaits pour répondre au besoin et sont considérés comme obligatoires et leur présence est considérée comme « juste normale » alors que leur absence à l’inverse engendre des dysfonctionnement.

2 – Les attentes proportionnelles (L) : Les fonctionnalités linéaires augmente avec le niveau de performance et ont un impact direct avec la satisfaction des clients

3 – Les attentes attractives (E) : c’est les options qui apportent un plus significatif mais dont l’absence n’engendre pas de critique de la part du client. Ce sont celles qui font la différence sur le marché.

4 – Indifférents – (I) :  Aucun impact en cas de présence/absence, peu de valeur ajoutée.

5 – A double tranchant – (Q, R) :  Incohérence de réponses ou réponses ambiguës.

Courbes de la matrice de Kano

C’est un outil d’évaluation «Qualitatif » qui repose sur des interviews.
Pour construire ce diagramme, un questionnaire Kano recueil pour chaque fonction le niveau de satisfaction de l’interviewé sur une échelle de 5 valeurs :

  1. ca me plait (Like)
  2. c’est normal (Expect)
  3. ca m’est égal (Neutral)
  4. je fais avec (Live with)
  5. ca me dérange (Dislike)

La méthode consiste à évaluer successivement le niveau de satisfaction d’une part si la fonction est présente et d’autre part si elle absente.
On consolide les réponses obtenues et selon le plus grand nombre de réponse similaires, on se reporte à la matrice de Kano pour obtenir sa classification

Matrice de Kano

Toute l’originalité de cette approche consiste en fait à poser la question que l’on ne pose jamais ou très rarement : Et si tu n’as pas ce que tu demandes… que se passe-t-il ?

Utiliser Kano pour hiérarchiser les demandes utilisateurs ?

Dans le périmètre d’un projet fonctionnel ou d’une activité de MCO (Maintien en Condition Opérationnelle), face à un volume important de demande, le recours à la matrice de Kano permet de hiérarchiser les demandes, de les pondérer de façon à concentrer les énergies sur celles génératrices de valeur ajoutée.

Urgent ! Recherche #hashtag

hashtag

hashtag

Marqueur de métadonnée composé du signe typographique croisillon « # » (hash en anglais) suivi d’un ou plusieurs mots accolés (tag), le hashtag est un symbole incontournable sur les réseaux sociaux.
Popularisé par Twitter en 2009, le hashtag a été depuis adopté par Facebook, Tumblr, Instagram, Pinterest, Google+, certains thèmes WordPress, …
Le hashtag s’est rapidement imposé comme système permettant de catégoriser les messages.
Fort de son succès le hashtag est désormais souvent utilisé par les entreprises pour référencer leurs opérations évènementielles ou leurs marques sur les réseaux sociaux.
Ceci dans le but d’apporter en temps réel une actualisation des informations relative à l’évènement, au produit ou analyser les appréciations des clients.
Pour utiliser cette méthode marketing il est important dans un premier temps d’identifier les produits, marques, évènements que vous souhaitez suivre.
Il faut ensuite nommer chaque hashtag afin que chacun soit facilement mémorisable par la population cible de vos opérations.

Choosing a #

Choosing a #

Reste ensuite à rédiger ses messages en intégrant chaque hashtag en lieu et place des termes habituels.

Exemple : « #AnkaaEngineering lance une campagne de pub TV sur #BFMTV »
Ce message sera ainsi classé sous le hashtag #AnkaaEngineering et #BFMTV simultanément.
Il sera accessible via une recherche sur l’un ou l’autre de ces mots clés.

Aujourd’hui les premiers moteurs de recherche de hashtag sur internet commencent à arriver.
Ce qui simplifie le travail de recherche et consolidation des différentes publications qui auraient pu être réalisées sur les différents réseaux sociaux qui ont implémentés ce système de classement.

Citons parmi les pionniers de ces moteurs de recherche Tagsinaction ou Tagboard.
Google est aussi présent sur cette gamme d’outil.
Après avoir implémenté l’utilisation du hashtag sur Google+, Google autorise maintenant la recherche via Google Search des posts tagués avec ce type de marqueur.

news.cnet.com
www.seochat.com

Témoignage recueilli auprès de la DSI de la société SOMFY-DOMIS :

« Nous avons sollicité les services Ankaa Engineering à l’occasion d’un projet commercial stratégique pour notre entreprise. L’analyse de l’objectif attendu, la capacité de synthèse des besoins et l’organisation mise en oeuvre en réponse par Ankaa Engineering ont permis d’atteindre l’objectif tant en terme qualitatif que celui de respect des délais imposés »

Alain DEPLANTE
DOMIS Groupe SOMFY
10 Avenue Jean Moulin
74 RUMILLY
Logo SomfyLogo DOMIS
Somfy a réalisé un chiffre d’affaires de 989,6 M€ sur l’exercice 2012, dont 889,8 M€ pour Somfy Activités, la branche industrielle du Groupe, et 103,1 M€ pour Somfy Participations, sa branche d’investissement. Somfy emploie 7600 collaborateurs dans le monde. Son métier est organisée autour de 2 activités :
– Pour la maison, l’Activité Stores et volets conçoit et développe des moteurs, des télécommandes, des points de commande, des capteurs, des technologies et des solutions de domotique pour une large gamme de stores d’extérieur et de volets roulants, de stores

d’intérieur, écrans de projection, stores verticaux extérieurs, brise-soleil orientables et fenêtres.

– Pour le résidentiel, l’Activité Accès conçoit et développe des moteurs, télécommandes et points de commande, capteurs et accessoires pour les portails et portes de garage, ainsi que des alarmes. Pour l’utilisateur, les bénéfices sont la sécurité et la maîtrise de ses accès à distance.

Témoignage recueilli auprès de la DSI de la société BODYCOTE-TECHMETA :

« Ankaa Engineering intervient depuis plusieurs années sur différentes problématiques liées à notre infrastructure informatique et nos mutations applicatives Le pragmatisme des conseils et la qualité des consultants délégués lors de chaque mission se traduisent par un excellent niveau de service. La relation établie avec Ankaa Engineering est celle d’un véritable partenariat »

Nathalie HOENY
Responsable informatique (DSI)

BODYCOTE TECHMETA
141 Route des Machurettes
74 METZ-TESSY

Logo TECHMETA

TECHMETA a été créée en 1964 et a participé durant 40 années au développement international de la technologie du FAISCEAU D’ELECTRONS selon 2 axes principaux :- la pratique à une échelle industrielle du soudage à façon par FAISCEAU d’ELECTRONS avec un parc intégré et diversifié de plus de 20 MACHINES à SOUDER par FAISCEAU d’ELECTRONS en exploitation au service de sa clientèle. – La conception et la production d’une gamme étendue d’équipements à faisceau d’électrons. Equipements standards et selon spécifications clients. Depuis 1985, elle a été choisie comme partenaire des plus grands projets nationaux et internationaux intégrant la technologie du faisceau d’électrons : Soudage des sous-marins nucléaires pour la Marine Nationale Française, grands développements du C.E.A., soudage des boosters de la fusée européenne ARIANE V, soudage en continu du supra-conducteur pour le projet international CERN/CMS pour lequel TECHMETA a reçu les  » golden  » et  » cristal  » awards 2003. Depuis 1990, elle a développé, en collaboration avec un laboratoire universitaire, une technologie spécifiques de couches minces déposées sous vide : en particulier les résistances électriques pelliculaires Ni-Cr et des produits de chauffage issus de cette technologie. Elle compte plus de 70 spécialistes internationalement reconnus et intervenant dans le monde entier.En février 2007, Techmeta rejoint Bodycote, leader mondial des procédés thermiques, aujourd’hui présent dans plus de 30 pays, sur près de 300 sites. L’entreprise, devenue Bodycote Techmeta, conserve et développe toutes ses activités, d’équipementier et prestataire de service dans le domaine du soudage par faisceau d’électrons.

Selon la méthode agile SCRUM, les développements applicatifs sont organisés selon une récurrence de « Sprints », cycles de développements partiels.
Pendant un Sprint, des réunions appelées « Scrum » établissent le point d’avancement des travaux depuis la dernière réunion et organise la suite jusqu’à la réunion suivante.
Chaque Sprint se termine par une phase de test des fonctionnalités livrées « en l’état ».
Le « Backlog » de produit référence les fonctionnalités implémentées.

Le fait de livrer « au fil de l’eau » les modules applicatifs réalisés permet de vérifier l’appréciation du « client » à chaud et d’opérer sans attendre les corrections et ajustements, dans une situation de correctifs mineurs.

La gouvernance d’un SI s’appuie sur la mise en place d’indicateurs de mesure et de suivi.

Le framework méthodologique développé par Ankaa Engineering® organise ces différents compteurs en 4 grandes familles :
Exploitation
– Temps d’arrêt des systèmes
– Charge LAN et WAN
– Indisponibilité applicative
– Temps de réponse
– Audit sécurité (Mises à jour anti-virus, patches, réinitialisation de mots de passe, etc)
Support
– Nombre d’appel total utilisateur
– Nombre de tickets (ouverts, en cours, fermés)
– Nombre moyen d’incidents par utilisateur (ou service)
– Durée moyenne de traitement d’un ticket
– Délai moyen de résolution d’un ticket
Projet
– Audit de conformité de la solution avec les attentes exprimées.
– Nombre de jours de correctifs post-livraison
– Ecarts entre le nombre de jours de tests prévus et celui réalisé
– Ecarts entre la documentation réalisée et celle prévue
– Ecarts entre le délai de livraison réalisé et celui prévu
– Ecarts entre le budget réalisé et le prévisionnel
– Tableau de capacité d’affectation réelle des ressources sur les projets
Finance
– Part du budget DSI / Budget global
– Part de l’effectif DSI / Effectif global
– Budget annuel d’acquisition de logiciel
– Budget annuel d’acquisition de matériel
– Budget annuel d’achats de services
– Budget de maintenance applicative, matériel
– Valeur annuelle du SI / utilisateur
– Cout de maintenance du SI / utilisateur

Compte tenu des moyens à mettre en oeuvre pour faire vivre ces compteurs, le but n’est pas d’avoir un tableau de bord exhaustif mais ne faire le choix des indicateurs les plus pertinents en fonction des besoins de suivi et/ou de l’organisation de la DSI.