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In the era of web-scale, every organization is looking to scale its applications on-demand, while minimizing infrastructure expenditure. Cloud-native applications, such as microservices are designed and implemented with scale in mind and Kubernetes provides the platform capabilities for dynamic deployment, scaling, and management. 

Autoscaling and scale to zero is a critical functional requirement for all serverless platforms as well as platform-as-a-service (PaaS) solution providers because it helps to minimize infrastructure costs.

Source de l’article sur DZONE

If you like to build websites with WordPress, then you’re in for a treat.

Now, for the first time, you don’t need to know how to code to use Google’s popular Material Design system on your WordPress website; the web giant has released a WordPress plugin and theme to import its colors, icons, UI elements, and typography straight into your CMS.

Google already provided a set of tools for generating Material Design themes, but until now you needed to know how to copy that code across to your site files. With this latest plugin and theme, all you need to do is click and go.

 

You need to install both the plugin and theme to take advantage of Material Design for WordPress. Using the add-ons, you can tweak your typography via Google Fonts, add-in MD color, and even choose your own icons. If even that’s too much, pick one of the pre-built themes. One of the best features is that the plugin warns you if your customizations break accessibility guidelines, saving you a do-over when you discover it later on.

Google calls it “an experimental plugin and theme,” which means it’s subject to change. And Google has been quick to emphasize that the plugin is very much a work in progress, asking for feedback to help them direct future development efforts.

It’s a really great option for anyone who’s starting on the web, building their first site, or who really wants a nice reliable design system that they can build on in the future.

It’s yet another automation tool that has driven WordPress to the top of the technology pile and made it the CMS of choice for 40% of the web. As tech hots up and AI continues to develop, it’s hard to dismiss the idea that one day soon, our only contribution to websites will be paying the hosting bill!

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Le mois dernier, 162 personnes d’horizons très différents ont embarqué à bord d’un navire pour rejoindre le Sommet contre la pollution plastique des océans (OPLS) dans le gyre de l’Atlantique Nord, un système circulaire de courants océaniques. Ces personnes ont pris part à une expédition de recherche expérimentale pour mieux comprendre l’étendue de la pollution plastique, et pour développer des partenariats et des solutions intersectorielles en vue de relever ce défi mondial au cours de la prochaine décennie.

Organisée par SoulBuffalo, cette expérience immersive a été conçue pour mettre les décideurs en situation, afin qu’ils puissent observer et ressentir par eux-mêmes le côté catastrophique de la pollution plastique. Selon l’Oceanic Society basée en Californie, entre 4 et 12 millions de tonnes métriques de plastique sont déversées chaque année dans l’océan, soit suffisamment pour couvrir tout le littoral de la planète ! Et ces chiffres devraient plus que doubler dans les dix prochaines années.

Cependant, la pollution plastique océanique est un problème que nous pouvons résoudre. Nous savons comment ramasser les ordures et nous savons comment les recycler. Selon Ted Siegler, un économiste spécialisé dans les ressources qui a travaillé pendant 25 ans sur la gestion des ordures dans les pays en développement, l’urgence est de construire les institutions et systèmes nécessaires pour y parvenir avant que l’océan ne se transforme irrémédiablement en une « soupe plastique » dénuée de toute forme de vie.

Pas un poisson en vue

Le groupe OPLS était constitué de producteurs, fabricants, marques, recycleurs et syndicats d’éboueurs. Étaient également au rendez-vous des experts financiers, des scientifiques, des revues comme le National Geographic, des chercheurs, des leaders éclairés et des innovateurs, depuis les cadres d’entreprises telles que Coca-Cola, Nestlé, Procter & Gamble et Dow Chemicals, jusqu’aux ONG telles que Greenpeace, WWF et Ocean Conservancy.

Chaque fois que le navire s’approchait d’algues sargasses, les participants interrompaient leurs réunions pour sauter dans des bateaux pneumatiques munis de leur équipement de plongée.

Ils ne virent aucun poisson de la journée. Et au début, ils ne virent pas beaucoup de plastique non plus. Le plastique est trompeur, car il n’est pas visible à la surface. Dans l’océan, il se décompose en petites particules qui sont capturées par les algues et ingérées par les espèces marines.

« Le vrai problème, c’est ce qui n’est pas visible », déclare Michael Groves, PDG de Topolytics, une entreprise d’analyse de données dédiée à la gestion des déchets, qui participait à l’expédition. Il explique que sur une distance d’un kilomètre, le navire a récupéré 76 débris microplastiques immédiatement sous la surface.

Multipliez ce chiffre par la quantité de microplastique présente dans la colonne d’eau qui descend jusqu’à une profondeur de 2,5 kilomètres et vous comprendrez l’immensité du problème.

Accepter la responsabilité

Comme l’explique Virginie Helias, directrice du développement durable chez Procter & Gamble, « le problème de la pollution plastique dans nos océans relève de la responsabilité de tous aujourd’hui, y compris des entreprises qui produisent et utilisent une grande partie du plastique dans le monde. »

John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace, le confirme.

« Les personnes présentes sur ce navire représentent des entreprises responsables d’une grande partie de l’empreinte plastique de la planète. Nous avons donc réuni ici les personnes réellement à même de résoudre le problème de la pollution plastique », a-t-il affirmé. « Plusieurs entreprises se concentrent sur des solutions en aval telles que le recyclage et l’éducation des consommateurs, mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un plus grand nombre d’individus, d’entreprises et de gouvernements qui assument la responsabilité de la fin de production. »

John Hocevar estime que nous ne pourrons pas venir à bout de la pollution plastique tant que nous continuerons à en tirer parti et déclare que la plupart des entreprises ne sont même pas conscientes de la quantité de plastique qu’elles produisent. Le point de départ pour toute entreprise est d’évaluer son empreinte plastique, puis de se fixer des objectifs pour la réduire.

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Plusieurs marques durables comme Procter & Gamble intensifient leurs initiatives en matière d’économie circulaire pour réduire, réutiliser et recycler les matières plastiques et autres ressources, et beaucoup d’autres prennent des mesures pour lancer des initiatives similaires.

Adidas, par exemple, fabrique des chaussures à partir du plastique repêché dans les océans. L’on doit cette idée à John Warner, un fondateur de la chimie verte, qui faisait partie de l’expédition.

Dow Chemicals, l’un des sponsors de l’expédition OPLS, a récemment annoncé qu’il participerait à une levée de fonds mondiale d’un milliard de dollars pour venir à bout des déchets plastiques dans l’environnement.

Jim Sullivan, qui pilote l’accélérateur d’innovation de SAP en matière de développement durable à l’échelle mondiale et qui a participé à l’organisation de l’expédition, souligne que pour résoudre une crise mondiale de cette ampleur, nous devons entamer un dialogue ouvert et parfois difficile avec les différentes parties prenantes. Nous devons également adopter une approche multisectorielle qui permette d’identifier les compromis avec d’autres défis mondiaux, tels que le changement climatique, afin d’éviter des conséquences graves. De plus, nous devons utiliser des métriques communes pour donner la priorité aux activités les plus significatives et suivre les progrès réalisés sur la voie des aspirations telles que le « zéro plastique » dans la nature en 2030.

Préserver plutôt que consommer

Il n’existe aucune solution ou entreprise capable de résoudre ce problème à elle seule. Les partenariats et les solutions évolutives tels que le Sommet contre la pollution plastique des océans constituent une pièce centrale du futur que nous devons inventer.

Dans un premier temps, il vaudrait la peine de revenir sur le « conflit d’intérêts initial entre les populations autochtones et les populations à l’ère industrielle, à savoir la gestion de la terre, de l’eau, du feu et de l’air ». Selon Patricia Anne Davis, gardienne de la sagesse navajo, ce conflit d’intérêts est toujours d’actualité.

Les populations autochtones ont protégé ces éléments depuis le début de l’humanité, alors que les populations à l’ère industrielle ont saccagé la planète en seulement un ou deux siècles. Ce conflit n’est plus durable et doit cesser, dans l’intérêt de tous les êtres humains de la planète.

« Nous devons passer de la consommation à la préservation », indique Damien Johnson, qui participait au sommet en tant que représentant du bureau d’innovation SAP en Amérique du Nord. Damien Johnson estime que la solution comporte deux volets : premièrement, stopper l’introduction de nouveaux déchets plastiques et deuxièmement, améliorer les processus de recyclage des déchets existants.

« L’utilisation du plastique a été motivée par l’innovation et le souhait d’améliorer l’expérience client.  Nous devons à présent utiliser la technologie et l’innovation pour maintenir cette expérience, mais supprimer les matières plastiques à usage unique », conclut-il.

Créer de la valeur

L’un des problèmes qui se pose avec les déchets plastiques, c’est qu’ils ne possèdent pas encore de valeur marchande…

Dans de nombreux pays comme le Brésil et l’Inde, les ramasseurs de rue récupèrent du métal, des guenilles et du papier, puis les revendent en vue de leur recyclage. Mais la plupart des matières plastiques n’intéressent personne, car elles ne possèdent aucune valeur marchande.

« Le pire, c’est que les entreprises qui veulent utiliser du plastique recyclé ont du mal à en trouver sur le marché », déclare Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP.

C’est pour cette raison que Padmini Ranganathan et son équipe sont en train d’intégrer de nouvelles entreprises comme Plastics for Change sur Ariba Network, pour associer l’économie parallèle de ramassage de déchets à des systèmes plus officiels d’offre et de demande de matières secondaires.

« Nous devons intégrer les déchets plastiques dans la chaîne logistique, afin qu’ils ne soient pas récupérés dans le secteur illégal, car les éboueurs travaillent dur pour trier et convertir les déchets en valeur marchande », prévient Padmini Ranganathan.

La solution à long terme passe par un changement de fond, aussi bien dans le système de flux d’articles que dans les systèmes numériques.

« Outre les ERP et les processus de gestion, nous devons exploiter des systèmes numériques agiles et évolutifs au fur et à mesure que la chaîne logistique du plastique se transforme », déclare Padmini Ranganathan.

Technologie et travail d’équipe

Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, ces experts estiment que si les gouvernements, les ONG, les consommateurs et les entreprises s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. En effet, la plupart des matières plastiques sont rejetées dans l’océan par cinq fleuves en Asie, ce qui signifie qu’une simple réduction de 20 % des matières plastiques déversées dans les cours d’eau au cours des sept prochaines années permettrait de revenir aux niveaux de pollution plastique océanique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. En réunissant les entreprises, les gouvernements, les ONG et les groupes de protection des océans, il est possible de créer une solution globale pour un avenir durable.

Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

Are you facing problems while trying to find XPath in Selenium? Well, you are not alone! This is among the most common challenges most developers face while using Selenium for web testing. But not anymore, as we have picked 10 of the best Chrome extensions to make it easier for you to find XPath in Selenium.

Before we begin, we think it’s a good idea to point out what XPath in Selenium is.

Source de l’article sur DZONE

La Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels (DNCCGCP) de la Ligue Nationale de Basket (LNB) s’appuie avec succès sur la solution SAP Analytics Cloud pour répondre à 4 grands principes : assurer la pérennité des clubs, favoriser le respect de l’équité sportive, contribuer à la régulation économique des comptes et évaluer la santé financière des clubs. Le besoin initial : mettre en place un outil fiable et performant pour consolider les données financières et analyser ces dernières facilement. Cette collaboration s’inscrit dans la continuité de la stratégie de digitalisation de la LNB.

La Ligue Nationale de Basketball organise et gère les championnats professionnels masculins par délégation de la Fédération Française de Basketball.

Centraliser sur le cloud les données financières des 18 clubs français

Les données financières de chaque club sont réparties sur des postes produits et des postes charges. Les postes produits, principales sources de recettes, sont liés aux matchs (billetterie, buvette et merchandising), aux subventions des collectivités territoriales, au sponsoring privé et aux droits TV. Les postes charges sont quant à eux liés aux salaires des joueurs et des entraîneurs. Pour créer un socle commun et centraliser toutes ces données, la LNB a fait le choix de SAP Analytics Cloud pour ses capacités de stockage et de transmission des données, son aspect collaboratif mais aussi pour ses états de restitution simplifiés. Toutes les données sont désormais stockées sur le cloud SAP pour plus de simplicité, d’accessibilité et de gain financier.

« La Ligue Nationale de Basket a engagé une stratégie tournée vers le numérique il y a plusieurs années. Elle a même créé cette année sa propre chaine OTT. En choisissant SAP Analytics Cloud, nous avons fait le choix d’avoir un socle commun qui permet de veiller à la santé financière des clubs, d’évaluer les zones de risques et d’identifier les irrégularités. Le Cloud était important car n’engendrait pas de coût pour les clubs et apportait beaucoup de simplicité d’usage », explique Paul Lafont, Référent de la Commission de Contrôle de Gestion et du Conseil Supérieur de Gestion Contrôleur de Gestion.

Réduire les temps de traitement et accélérer la prise de décision

En 2017, la LNB et SAP créent une architecture commune visant à imposer un plan comptable à tous les clubs pour faciliter le contrôle de leurs données, comparer leurs santés financières et mieux évaluer les zones de risques. Etendue ensuite aux clubs en septembre 2018, la solution SAP apporte de nombreux bénéfices métiers aux clubs et à la LNB comme :

  • Un stockage de données et la création d’un historique instantané et accessible à tous.
  • L’importation directe des balances comptables dans l’outil : gain de temps, limite du risque d’erreur, pas de ressaisie des données de l’échéance précédente…
  • Le développement de la capacité d’analyses des clubs à travers des états de restitution.
  • L’optimisation des flux liés à la collecte instantanée des infos financières.

Désormais, la LNB possède une vue instantanée des comptes des clubs. Les gains de temps sont également très importants. Pour les clubs, la soumission des données financières est désormais 8 fois plus rapide, passant de deux jours ouvrables à deux heures chaque cycle budgétaire. La LNB a également gagné 1,5 jours de saisie manuelle des données pour chaque cycle budgétaire grâce à l’importation automatisée des données.

«Les capacités de planification de SAP Analytics Cloud nous permettent de collecter, stocker et analyser plus efficacement les informations financières de toutes nos équipes. Cela nous fournit des informations financières fiables et approfondies qui nous aident à remplir notre mission et contribuent à assurer la viabilité économique des clubs. La solution nous a permis de prendre des décisions rapides pendant la pandémie COVID-19, avec des simulations montrant les impacts financiers de l’interruption de la saison », conclut Paul Lafont.

Consultez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

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Source de l’article sur sap.com

It’s February, and the spring sun is finally starting to peep through the winter clouds. While many of us are still largely restricted to our homes, the web has kept on growing.

We see a shift in attitude towards natural health, wellbeing, and sustainability, and these are now being branded less often as outliers and increasingly mainstream. We’re also seeing more and more color all the time, ranging from an emotional signifier in the background to being a functional element in its own right.

GOOD Meat

Gorgeous color in the background image and the scrolling narrative pull the user in on this site for lab ‘grown’ meat.

Hanwag 100 Years

This page celebrating 100 years of outdoor footwear company Hanweg uses a mix of illustrations and photographs to create a timeline marking the company’s highlights alongside what else was happening at the time. Any excuse to get Yoda in.

Gaffer

Gaffer describes itself as bridging the gap between football, music, fashion, and culture. The site has a glossy feel, with strong art direction and an easily navigable architecture.

Remember MLK

This rather beautifully made tribute to Martin Luther King uses some great typographic effects, and the variations, in contrast, create a layering of the different content elements.

Bonjour Agency

The home page for design agency Bonjour Paris uses sideways scrolling to give an overview of the whole site. There is a lot of content, but it doesn’t feel like waffle, and exploring the site is a pleasant experience in itself.

Wild Souls

Wild Souls is a Greek company that principally makes nut butters, tahini, and halva. The site is very colorful but warm, and the display type — Canela — has a slight softness to it that is appealing.

Nicolas Loureiro

This is a strong portfolio site for interactive and graphic designer Nicolas Loureiro. The work is front and center, and the navigation is pleasing.

Studio Nanna Lagerman

Studio Nanna Lagermann is a small interior design studio that works on private homes, public spaces, and set design. The site creates a feeling of space and calm. Colors are soft and neutral, and the type, although massive in places, is clean and sophisticated.

Aurelia Durand

Illustrator Aurelia Durand created her own typeface that she uses in her work, and it is used as the main display font here too. This site has a sense of joy about it that is hard to resist.

Archivio Mario Russo

This site documents the life and work of 20th-century Italian artist Mario Russo. The layout is thoughtful, and the text, while informative, doesn’t detract from the work being shown.

Gigantic Candy

Gigantic Candy makes vegan chocolate candy bars. The site is big, bold and lo-fi, and has a sense of fun to it.

dBodhi

dBodhi sells handcrafted furniture from Java, made from reclaimed teak and locally grown plant materials. The clean layout combined with a slight sepia tone on all the photography creates a feeling of quietness and nature.

Menu Durable

Menu Durable is a guide to creating healthier, sustainable food menus in Canadian healthcare facilities. There is a lot of information here, and it is well written and attractively presented with clear color coding.

Virgile Guinard

This is a lovely, simple portfolio site for photographer Virgile Guinard. By using blocks of color pulled from each photograph’s predominant color and only revealing each photograph on rollover, each image is allowed to stand out.

The Bold Type

This site for The Bold Type Hotel in Patra, Greece, is a boutique hotel website archetype, but it is done well. The pinky sand background color is a good choice, and the photographs are excellent.

NOR NORM

Nor Norm provide an office furniture subscription service. The site is clean with a feeling of light and space. There is a good balance between an overview of the process and details of the individual items available.

Ask Us For Ideas

At first glance, Ask Us For Ideas looks like a creative agency, but it is actually a creative broker, matching clients with agencies.

Prinoth Clean Motion

Prinoth has been making snow groomers since the 1960s, and this microsite is to mark the launch of their new hydrogen and electric versions. It is as slick and glossy as any luxury car website. And now I know what a snow groomer is.

Pschhh

Design agency Pschhh has embraced the use of circles, reflecting the sound of bubbles their name suggests.

CōLab

CōLab is a design and marketing firm. There is a great use of color and movement here, and you don’t really notice initially that there is no actual work on show.

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Everyday design fans submit incredible industry stories to our sister-site, Webdesigner News. Our colleagues sift through it, selecting the very best stories from the design, UX, tech, and development worlds and posting them live on the site.

The best way to keep up with the most important stories for web professionals is to subscribe to Webdesigner News or check out the site regularly. However, in case you missed a day this week, here’s a handy compilation of the top curated stories from the last seven days. Enjoy!

The New Trello – Going Beyond the Board

Flameshot – Superb Screenshot Tool

GitHub Surf – Open repositories in a VSCode Environment

The Never-Ending Job of Selling Design Systems

The Secret Ingredients to Design

What Saul Bass Can Teach Us About Web Design

2021 Planner for Notion – A Smart Notion Workspace

Ideas for CSS Button Hover Animations

Ray.so – Create Beautiful Images of Your Code

Variable Font Reveals The Full Horror of The Climate Crisis

Design Systems For Figma: Year In The Life Of A Material Design Advocate

Interface Market – An Extensive Collection of App UI Kits

DogeHouse – Open-Source Audio Chat on the Web

Interaction Design is More Than Just User Flows and Clicks

Design Trends 2021

Straw.Page – Extremely Simple Website Builder

The Impact of Web Design and SEO Conversion Rates

Powerful Microinteractions to Improve Your Prototypes

What’s New in Ecommerce, February 2021

Colortopia – The Easiest Way to Find Colors

5 Simple Design Patterns to Improve Your Website

TextBuddy for macOS – A Swiss Army Knife for Plain Text

Upcoming Interesting JavaScript ES2021 (ES12) Features

WordPress 5.7: Big ol’ jQuery Update

JavaScript reducer – A Simple, Yet Powerful Array Method

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The very nature of big data integration requires an organization to become more flexible in some ways; particularly when gathering input and metrics from such varied sources as mobile apps, browser heuristics, A / V input, software logs, and more. The number of different methodologies, protocols, and formats that your organization needs to ingest while complying with both internal and government-mandated standards can be staggering.

Is there a clean and discreet way to achieve fast data integration and still reap all of the benefits of big data analytics?

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UX principles guide many of our decisions when we design and build sites and apps. Understanding UX principles doesn’t mean you can dodge your own testing, but they do give you a head start.

Often named for the researcher who identified a particular truth, or pattern, these laws are the product of hundreds, and sometimes thousands of hours of lab and field-based research.

How well do you know these UX laws? We’ll start you off with an easy one…

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Since the skeuomorphism of the early 00s, the design trend of choice has been minimalism. In fact, minimalism has been de rigueur for substantially longer than that.

You can make a fair case that minimalism was the defining theme of the 20th century. Beginning with the widespread adoption of grotesque typefaces in mass advertising the century before, continuing through the less-is-more philosophies of the middle part of the century, and culminating in the luxury of 80s and 90s consumerism.

Minimalism has been central to the design practice of almost every designer that we recognize as a designer. It underpins the definition of the discipline itself.

With the weight of such illustrious history, it’s no wonder that the fledgling web — and in the scale of history, the web is still a very new phenomenon — adopted minimalism.

And then there’s the fact that a minimalist approach works on the web. Multiple viewports, multiple connection speeds, multiple user journeys, all of these things are so much easier to handle if you reduce the number of visual components that have to adapt to each context.

And yet, despite this, an increasing number of designers are abandoning minimalism in favor of a more flamboyant approach where form is function. It’s clearly happening. What’s not clear is whether this is a short-lived, stylistic fad or something altogether more fundamental. In other words, are designers about to abandon grids, or are they just slapping some gradients on an otherwise minimal design?

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