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Artelia modernise son système d’information avec SAP S/4HANA et la technologie SAP Fiori

L’ergonomie utilisateur avancée de SAP S/4HANA a convaincu Artelia de moderniser son SI SAP existant. Un projet complexe, mené à bien en moins de huit mois, avec l’aide de PASàPAS et l’engagement sans faille des équipes d’Artelia.

 

Artelia est un groupe d’ingénierie pluridisciplinaire français (industrie, bâtiment, mobilité, eau, énergie) qui a pour particularité d’être détenu à 100% par ses managers et salariés. En croissance rapide, le groupe approche aujourd’hui les 7000 collaborateurs et fait partie du top 15 européen des sociétés d’ingénierie de la construction.

En 2021, Artelia a enregistré un chiffre d’affaires de 745 millions d’euros, dont 85% réalisés en Europe. L’entreprise est implantée dans plus de 40 pays, avec une forte présence en Europe, mais également en Asie et en Afrique. Elle ambitionne de passer le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires annuel en 2025.

Un fort besoin de modernisation

« En 2018, nous avons dû faire face à l’obligation de déposer dans Chorus Pro les factures destinées à nos clients du secteur public, explique Angéline Carlassare, Responsable SI finance chez Artelia. En parallèle, nous voulions aller plus loin sur le sujet de la dématérialisation. » L’interface utilisateur de SAP ECC n’était pas adaptée à un public d’assistantes et assistants. La création d’applications simples d’usage, exploitant la technologie SAP Fiori, a permis alors de répondre au besoin d’Artelia.

Plus tard, d’autres demandes ont émergé, cette fois-ci sur la partie achat. « Nous nous sommes alors dit que nous aurions tout intérêt à basculer sur SAP S/4HANA, avant d’adopter le module achat, afin de profiter de sa nouvelle ergonomie. »

Dans la phase finale de son appel d’offres, Artelia a commandé auprès des deux candidats sélectionnés une étude de cadrage. La société voulait ainsi donner l’opportunité à chacun des intégrateurs de partager leur vision du projet. C’est PASàPAS, l’un des deux partenaires SAP récurrents d’Artelia, qui a été retenu.

Un projet solidement cadré

Le périmètre de l’ERP d’Artelia est somme toute assez classique : finance, contrôle de gestion, gestion des projets et administration des ventes. Mais il est complexifié par des applications périphériques, dont de la BI et un CRM. Le tout dans un contexte multi-ERP, qui est le résultat d’une forte croissance du groupe, organique comme externe.

« Pour sécuriser le projet, nous avions demandé à SAP une formation sur les écarts existants entre SAP ECC et SAP S/4HANA, explique Nicolas Panayoti, Responsable de la transformation digitale finance chez Artelia. Nous avons détecté une cinquantaine de changements s’appliquant à notre SI. Les écarts majeurs – une dizaine – ont été intégrés au projet proactivement afin de diminuer les risques lors de la mise en route de notre nouveau SI. »

« Un projet de migration reste coûteux, poursuit Angéline Carlassare. Il faut donc être capable d’amener rapidement de la valeur. Toutefois, afin de sécuriser notre projet, nous avons décidé d’opter pour une approche en deux temps : une phase de conversion, comprenant un minimum de modifications majeures, suivie d’une étape de réflexion autour de ce que SAP S/4HANA pourra nous proposer par la suite. »

Une approche en phase avec les contraintes pesant sur l’agenda d’Artelia. Lancé en mai 2021, le projet devait en effet impérativement être terminé en fin d’année, afin que le nouvel ERP soit en production lors de la fusion de trois sociétés du groupe, programmée en janvier 2022.

Artelia modernise son système d’information avec SAP S/4HANA et la technologie SAP Fiori (French)

Un client très engagé

L’ERP SAP S/4HANA est aujourd’hui en fonction chez Artelia. Avec deux types de retours :

  • Les équipes finance n’ont pas vu de réel changement, les processus qu’ils utilisent n’ayant pas été profondément modifiés lors de la migration. Quelques régressions ont pu être constatées, par exemple au sujet des business partners. La configuration d’une tuile standard proposée par SAP a permis toutefois de limiter l’impact de ce problème, en proposant une expérience utilisateur satisfaisante pour des ADV.

Pendant le projet, Artelia s’est trouvé confronté à quelques difficultés, certains choix faits pouvant avoir un impact important pour l’organisation. « Lorsque nous avons soulevé ce problème, PASàPAS a adapté son dispositif, en mettant en place des réunions hebdomadaires nous permettant de faire le point sur les choix faits, l’impact de ces choix et les décisions qu’il nous fallait prendre. Cette initiative a été clé dans la réussite du projet, » explique Angéline Carlassare. « Nous avons mis du temps à nous caler avec le partenaire, confirme Nicolas Panayoti. Mais, finalement, le projet s’est bien déroulé, car toutes les équipes étaient impliquées, celles d’Artelia, comme celles de PASàPAS. »

L’année 2022 est celle de la stabilisation de l’ERP et de la recherche de quick wins. Artelia va ainsi mener plusieurs sprints visant à intégrer des évolutions fonctionnelles, notamment au travers de la mise en place de cockpits Fiori.

L’année 2023 sera pour sa part consacrée à l’activation du module achats. Mais aussi à la montée de version de l’ERP. « Le rythme des mises à jour de l’ERP SAP S/4HANA est plus rapide que précédemment, avec un support limité à 5 ans, rappelle Angéline Carlassare. Or, nous avons opté pour la version 1909 de SAP S/4HANA. Nous avons donc programmé une montée de version en 2023, en prévision de la fin de support de SAP S/4HANA 1909 en 2024. »

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Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

Welcome to our annual guessing game of what the next twelve months will bring.

As ever, the design world isn’t isolated from the world in which it exists, so when events shape our lives, they impact our work, the work clients ask for, and the work that inspires us. According to Collins Dictionary, the word of the year for 2022 was permacrisis. And frankly, 2023 doesn’t look any less turbulent, with some good and some bad things already on the horizon.

Russia seems all but certain to retreat to Crimea and claim its objectives in Ukraine have been achieved; Ukraine may not accept that end, but it will probably be enough to end sanctions against Russia, which will significantly impact the economy worldwide. Brazil may have been forced to watch Argentina lift the FIFA World Cup, but it has a new (old) president and fresh hope for the survival of the Amazon rainforest. Crypto has weathered a series of storms (although there may be more to come), and historical precedence suggests the bear market has run its course; 2023 will see stagnation, with an upward trend taking hold toward the end of the year. The former Pope has died, potentially paving the way for the retirement of the current Pope and the election of a new Pope, bringing with it either renewed liberalism or renewed conservatism to the world’s largest religion. Oh, and the IMF thinks a third of the world will be in recession at some point in 2023; the UK and Russia already are, and policymakers in the US are looking nervous.

And that’s just the obvious. Of course, there will be surprises, too, because there always are.

Against this backdrop, designers must not only navigate a problematic jobs market but produce designs that respond to the needs and desires of their clients’ users.

How Did I Do in 2022?

Before diving into this year’s predictions, let’s take a look at how I thought 2022 would play out.

I predicted that 2022 would be the year of blockchain, with decentralized data storage taking over. Well, I got the decentralized part right, but not so much the blockchain aspect (feel free to tell me I’m wrong on Mastodon because I’m not checking Twitter anymore). I’ll call that half a point.

I said design would be positive, playful, and accessible. I think design did emerge from its obsession with corporate minimalism, but positive and playful? Unfortunately, I’m calling that a miss.

I said everything would be green. Again, that’s a miss. If there was a color for 2022, it was a pink-purple gradient.

I predicted hero text would replace hero images, and in the third quarter of 2022, that’s exactly the trend we saw; tick.

Finally, I suggested that illustration would adopt a grainy texture. Well, some designers did, but it was hardly a dominant trend, so I’m going to have to call that a miss.

So for my 2022 predictions, I scored 30%. Way worse than last year’s clean sweep. Let’s see if we can’t beat that in 2023…

1. We’ll Stop Freaking Out Over AI

By now, you’ve probably tried AI, freaked out, and Googled how to start a small holding in the mountains.

The truth is that AI is just a tool. And a good one at that. AI is really good at derivative work. But it’s entirely incapable of improvising, holding opinions, having an agenda, or thinking outside the box.

AI will not replace your job — unless your job is deleting the background from photos, in which case it already has. Since when did Stephen King get replaced by a spellchecker?

If you haven’t tried an AI tool yet, I’d encourage you to try it. It does the small repetitive tasks well.

2. We’ll Embrace the Real World

One of the reasons AI can’t be creative is that it doesn’t have the same number of input sensors we have. We can smell, hear, feel, and experience the world in a multitude of different ways.

Most of us spent a year in lockdown working remotely. Then rushed back to the office, only to discover that our teamwork didn’t actually improve. With the worsening economic outlook, big companies are looking to budget, and the simplest way to cut costs is to ask staff to work remotely.

When your commute is a five-second walk to the spare bedroom, you find yourself with more free time. Sure, you could probably learn Python, but wouldn’t you be happier learning to paddleboard?

As we open ourselves to new experiences, our design work will inevitably become more diverse and natural.

3. We’ll Reject Brutalism

It had a good run, but Brutalism isn’t a good fit for most UI projects. The trend of 2021–22 will vanish as quickly and as unexpectedly as it arrived.

4. We’ll Reject Darkmode

It has had a good run, and dark mode is a perfect fit for most UI projects. But we’re all kinda sick of it.

I hope I’m wrong about this one; not only is dark mode genuinely better for both your eyes and the environment, but the rich, warm blackness is the perfect antidote to sterile white corpo-minimalism.

Dark mode options are built into our OS, so it’s doubtful that it’s going to vanish anytime soon. However, dark mode as a design trend for its own sake is probably on the wane.

Typically trends come and go in symmetrical waves. Dark mode has been a dominant trend for years, so it should take as long to vanish completely.

5. We’ll Embrace Personal Retro

Every year we get the exciting job of guessing which decade the zeitgeist will rip off next. Will 2023 be the year of ’80s retro, ’90s retro, ’00s retro, or maybe (somebody shoot me) ’10s retro?

The retro trends we’ve seen over the last few years have been poor pastiches of their associated decades. If last year’s ’90s retro was inspired by the ’90s, it was a ’90s someone else was living.

In 2023 we’ll move beyond someone else’s ideas of what the past was like, to a personal vision of what came before. One in which the sunbleached colors of eternal Summers in the suburbs dominate.

6. We’ll Fall For Borecore

We’re all guilty of designing with our egos from time to time, and there is a tendency to hit users between the eyes with the biggest type, the loudest gradient, and the flashiest animation.

If you truly want to impress users in 2023, stop inserting pop-ups, adverts, cookie notices, and the other extraneous detritus that stops them from doing whatever it is they arrived on your site for. Impressing users in 2023 means clean typography, low-distraction art direction, and helpful content. Boring design just isn’t as boring as it used to be.

In 2023, the best thing designers can do for their users is get out of the way.

Happy New year! We hope it’s a good one.

 

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As we move into 2023, there are an increasing number of ways companies can engage with their customers. And as the number of apps, browser extensions, social media feeds, newsletters, vlogs, and podcasts grows, you can be forgiven for thinking that websites are a little less essential than they were in say, 2021.

However, the truth is that websites remain an irreplaceable part of the digital landscape and they will continue to be into 2023 and beyond.

Websites, as the keystone of a centralized, privately run digital experience couldn’t be more relevant. Unlike competing technologies, websites allow almost total control of their source code, and that provides an opportunity for skilled designers and developers to compete against the biggest names in their clients’ industries in a way that simply isn’t possible in tightly governed systems like social media.

Not only does quality web design help businesses increase their traffic, but it can increase the quality of that traffic; an attractive and user-friendly web page will encourage web users to stay on the page longer, and explore more of the content it links to.

Websites vs. Social Media

For many brands, the option they turn to for connecting with customers is social media. Particularly platforms like Facebook and Instagram. While billions of us are happy to while away our free time on social media, it’s not a great platform for informed decision-making or task fulfillment. For any form of productivity, websites are superior:

  • Flexibility: Websites can be customized to suit a company’s vision and values, whereas social media tends to magnify accounts that reflect its own values.
  • Ownership: When you publish on your website you own your content, when you post to social media the platform tends to own your content.
  • Investment: As we’ve seen recently with a certain bird-themed social network, you can spend years investing time in your social media channel only to have it canceled by an individual with his own agenda.
  • Findability: Websites are discoverable on search engines, and although algorithms govern these search engines, competition across different search engines keeps search algorithms honest. Social media networks each use a single algorithm making them free to skew browsing any way they choose.
  • Scaleability: Websites can take advantage of the latest technologies to improve user experience, on social media user experience is governed by the network’s decisions.

Websites vs. Apps

When it comes to owning a piece of the internet, a connected app feels like ownership. However, websites have a number of benefits over an app, from a superior user experience to lower development costs. And ultimately, apps are also controlled by 3rd parties.

  • Accessibility: Websites are universally accessible, while apps are usually limited to certain operating systems or platforms. If you want to distribute to devices, you’ll need to be approved by the store owner who can (and will) change the terms and conditions of store distribution without consulting you.
  • Flexibility: Websites provide a greater level of flexibility and scalability than apps.
  • Cost-effective: A simple website can be created and launched in a weekend, they are considerably more cost-effective to develop and maintain than apps.
  • Findability: Search engines have evolved around website technologies, and it is far easier to create a discoverable website than an app that ranks high in an app store.
  • Universality: Websites have lower entry costs for users, and there aren’t any downloads or purchases required.
  • 3rd-party features: Websites can integrate 3rd-party content like chatbots, payment gateways, and forms, that generally require licensing to include in an app.

Websites vs. Podcasts and Vlogs

There’s no question that podcasts and vlogs are engaging types of content. However, they are very limited when it comes to different kinds of experience. These tend to be passive, linear experiences. Even if your podcast opens itself up to listener interaction, your customers are still passive consumers.

  • Cost-effective: Websites can be set up very cheaply, podcasts and vlogs on the other hand require high-production values to compete.
  • Longevity: Well-written website content can remain relevant for years, the lifespan of a vlog or podcast is often just a few months.
  • Flexibility: Websites can embed podcasts and vlogs, as well as virtually any other content; podcasts and vlogs can only ever be podcasts and vlogs. Websites will continue to evolve long after podcasts are obsolete.
  • Simple: There is now a range of no-code options for creating a reliable website, meaning it can be done with little to no skills or experience. Podcasts and vlogs require a great deal of technical knowledge to produce.
  • Findability: As with other technologies, podcasts and vlogs can’t compete with websites when it comes to search engine optimization.
  • Faster: A well-designed website is much smaller than a podcast or vlog, making it cheaper and easier to access, especially on a cellular network.

Websites in 2023 and Beyond

In 2023 websites will still be a critical part of a successful business strategy and web designers will continue to be essential members of any team.

Websites continue to offer numerous benefits over other technologies including increased flexibility, cost-effectiveness, and superior search engine opportunities.

Unlike social media platforms that allow you to customize a few assets like avatars and colors, websites can be completely customized to fit the tone and style of a brand. Additionally, websites have a far lower barrier to entry than podcasts, vlogs, or apps. While apps may offer a richer set of features than a website, that is offset by the restrictions on platform and device capabilities that apps impose.

Websites will continue to evolve as the tech landscape changes. New ideas for consuming digital media will appear over time, offering unique new experiences — for example, mass adoption of AR (Augmented Reality) is just around the corner. However, the website is perfectly evolved for the types of simple customer interaction that businesses rely on, and will continue to matter in 2023 and beyond.

 

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Introduction

Governance is the way in which an organization is run and controlled [1]. Governance is the way rules, norms, and actions are structured, sustained, regulated, and held accountable [2].

Generally, governance is categorized into three types based on the nature of the organization, type of outcomes desired, and practical agenda of the organization [3-12].

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Productivity is a crowded space, with countless apps and services promising to make your life and business easier and more profitable. Of all the apps that make that promise, very few deliver, but we’ve found one that does: Taskade.

Flexible Planning With Taskade

Every problem is unique, and part of what defines us as creative professionals is the different ways we approach problems. What suits one person in one situation doesn’t suit another in another. This is where many planning apps fall down: they adopt one singular approach and expect users to fit around the app.

Taskade is different. Like the love-child of Trello, Notion, and Slack, Taskade uses a template approach to create a flexible planning system that you can use in whatever way you prefer.

When you open up Taskade, you’ll see some quick options: ‘blank,’ ‘weekly planner,’ ‘meeting agenda,’ and so forth. But there’s also a ‘more’ option that will give you access to the hundreds of templates Taskade supplies. There are dozens of template categories, and each category contains multiple templates that you can use to drive your planning process.

Whether you’re looking for a task list for launching on Product Hunt, a design system checklist, or a project scrum board, you’ll find the template ready and waiting for you.

If none of the predesigned options are right for the task at hand, Taskade gives you the option to create your own template from the basic building blocks of boards, actions, mind maps, charts, and lists.

Team Collaboration With Taskade

One of Taskade’s main strengths is its ability to work equally well for individuals and teams.

It makes sense when you’re evaluating a product that you do it on your own. But we encourage you to bring team members on board early in the trial because it’s when working with teams that Taskade really excels as a collaborative tool.

Once you’ve created a new planning project, you can invite your team, either by email or — if they’re already registered — by tagging them with their Taskade username.

You can assign tasks to individuals or multiple individuals (a much better option than the free-for-all you find in some to-do apps). You can also set deadlines for tasks so that everyone knows what the schedule is.

Team Chat on Taskade

Another area that Taskade excels for teams is the built-in real-time live chat. You can communicate with team members right in the project instead of jumping onto Slack or email.

For teams working remotely, or even just multi-tasking throughout the day, it’s a great way of ensuring that everyone has the information they need. As a result, mistakes are minimized, and best of all, there’s a written record that can be referred back to at any time.

Chat can be sent to the whole team, or direct messaged to an individual, so you don’t need to worry about filling up everyone’s notifications with messages that don’t apply to them.

Project Management With Taskade

If you’re working on a single project, then you probably know exactly where it is at all times. But for anyone working on multiple projects, it can be hard to keep track of everything. So Taskade has several different options for project managers.

The Mindmap section is one of the most useful parts of Taskade because it gives you a complete overview of everything in your project. You can see what has been completed and how much time it took — that way, you can assess how viable the timeline for your other tasks is.

Another great feature of Taskade is the activity feed. When one of your team makes a change to a project, it will pop up in your activity feed, and the next time you log in, you’ll see the status of your projects with a single glance.

Multi-Platform

One of our favorite aspects of Taskade is that it works equally well across different platforms. As well as the desktop web app, you’ll also find native apps in the iOS app store and the Android play store.

Syncing your account over different apps is awesome because ideas often occur at inconvenient times — on your commute, walking the dog. Even when you’re at your desk, it’s much handier to grab your phone and make notes than it is to switch to your browser and visit a site.

Easy Registration

If you’re feeling the pressure of a bulging inbox, or to-do lists on multiple post-its, then the last thing you need is another complex, confusing task to add to the pile.

Taskade is super-easy to get started with. Just click the ‘Sign up’ link in the top right of the site, and you’ll have three options: Sign up with Google, sign up with your email, or you can continue as a guest.

If you’re not sold yet, then continue as a guest — essentially a free trial — you can sign in properly later once your curiosity is satisfied.

Free to Use

Taskade is free to use on a limited basis. The free plan comes with 500Mb of storage and a maximum 25Mb file size. You can create individual tasks or whole projects, workflows, and custom templates and share tasks and projects with your team. That’s enough to help you make the most of Taskade for $0.

If you find that the generous free plan isn’t quite enough, paid plans start at just $5 per month. The paid plan gives you unlimited storage and bumps the maximum file size up to 250Mb. You have the same core features as the free plan; it’s just that they’re unlimited, which means you can do even more planning. In addition, the paid plan adds some handy extra features that are great time-savers, such as sorting tasks, creating repeat tasks, and bulk assigning tasks. Just look at how Taskade compares to similar tools.

Most professionals will get along with the free plan just fine, but $5 per month for unlimited storage is a great deal. On top of that, you have future premium features to look forward to, including a project revision history and a calendar view.

You can sign up to Taskade for free now, as a guest, with your email, or with Google.

 

[– This is a sponsored post on behalf of Taskade –]

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It’s difficult to find a boardroom anywhere in the world where cloud-native transformation isn’t a top-five item on the business agenda. Businesses understand that in order to survive and keep up with their competitors, they need to lean heavily into the cloud and embrace it as part of their digital transformation strategy. According to a recent survey of C-suite executives, almost 90% of organizations now understand that cloud technology is going to be a critical step on their path to success. But are they running before they’ve learned to walk? 

Businesses that run headlong into cloud-native transformations tend to do so with an idealized view of what it is they want to achieve. They invest heavily and devote their most valuable resources to trying to achieve the perfect transformation, pinning all of their future successes on it. However, we all know that true perfection is unobtainable, and in pursuing it so doggedly we often cut corners and miss opportunities along the way. The ‘rush to cloud’ has only been exacerbated by the pandemic, pushing companies to up their investments and accelerate their plans for cloud transformation. But rather than speeding up, some of these businesses might be better off slowing down to figure out where they’re going and how to get there. 

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“Cette initiative est née de notre profonde conviction que les entreprises, quelle que soit l’industrie, peuvent tirer parti du partage d’experiences.”

 

Il est ingénieur de formation, issu de Polytech’Nice-Sophia. Elle est diplômée en mathématiques appliquées et a validé une thèse en théorie de l’optimisation. Ils mènent leur carrière dans de grandes entreprises technologiques internationales. Et dirigent le Industrial Council of Artificial Intelligence Research (ICAIR). Olena Kushakovska (SAP) et Jean-Michel Sauvage (Amadeus) pilotent ensemble ICAIR depuis 2020. Ils ont une ambition claire pour l’organisation : accélérer le travail sur l’IA en mettant l’accent sur le développement durable. A l’occasion du 1er SAP Sustainability Summit, la directrice générale de SAP Labs France et le directeur R&D pour les solutions Revenue Management d’Amadeus se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour nous donner leur vision de l’IA durable.

  1. Quels sont les principaux avantages de l’IA dans votre secteur ?

Olena Kushakovska : Chez SAP, nous permettons à nos clients de devenir des entreprises intelligentes, d’utiliser les données pour bâtir des entreprises plus performantes, plus résilientes, plus rentables, plus agiles et plus durables. Nous mettons tout en œuvre pour que la réalité de l’entreprise intelligente soit pleinement intégrée avec les fonctionnalités d’Intelligence Artificielle.

Jean-Michel Sauvage : L’IA est une technologie majeure qui offre la meilleure utilisation possible des données et fournit un service plus performant, plus efficace, prévisible, personnalisé et à plus forte valeur ajoutée sur l’ensemble de la chaîne.

  1. Quand, pourquoi et comment vous êtes-vous engagé avec ICAIR ?

Olena : Amadeus et SAP sont membres fondateurs de ICAIR. La décision d’aller de l’avant a été prise entre Gilles Floyrac et moi il y a environ 2 ans. Gilles était le président d’Amadeus Nice à l’époque et la région Côte d’Azur venait de décrocher le label 3IA. Son idée était que les entreprises conduisent l’agenda industriel parallèlement au monde universitaire. Plus de 60 entreprises de la zone ont soutenu le projet 3IA. Nous avons contacté les entreprises que nous pensions intéressées (ex. IBM, ARM, NXP, Thales Alenia Space, Orange) et le “Club” est né. La réunion de mise en place entre les responsables de site pour sceller le club s’est tenue chez Amadeus puis la 1ère session de travail a eu lieu chez SAP en juin 2019.

Jean-Michel : Les techniques d’IA n’étant pas spécifiques à la résolution d’un problème, cette initiative est motivée par la forte conviction que les entreprises, même lorsqu’elles travaillent dans différents secteurs, peuvent bénéficier de l’apprentissage et du partage d’expériences sur les défis auxquels elles sont confrontées sur des problèmes techniques similaires.

« Nous nous efforçons d’utiliser l’IA de manière durable et d’atteindre les objectifs de durabilité de l’ONU au sein du secteur. » Olena KUSHAKOVSKA

  1. Qu’est-ce qui est spécial avec ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR se concentre sur la recherche appliquée, et à ce titre, est un moyen de lier la recherche fondamentale et les résultats académiques à leur application dans un environnement industriel.

Olena : ICAIR est à taille humaine, agile, diversifié, industriel, pratico-pratique, avec des cas d’utilisation réels. Des entreprises leaders dans le monde composent le conseil. Pour autant, il y a un faible niveau d’administration, une faible bureaucratie, mais beaucoup de bonne volonté et un grand écosystème. La bienveillance et le soutien sont sans faille, et l’implication continue !

  1. Pourquoi avoir choisi l’IA durable comme thème du programme ICAIR ? 

Jean-Michel : L’IA s’accompagne de défis, tant en termes de technologie, de puissance de calcul, que de biais d’apprentissage, ou de décisions humainement explicables. Nous pensons que l’IA peut être conçue et utilisée de manière durable et apporter de la valeur d’une manière qui respecte la planète et les communautés.

Olena : On questionne souvent l’IA en termes écologique ou éthique. Nous voulons envisager la durabilité dans un contexte beaucoup plus large, celui des objectifs de durabilité des Nations Unies. La durabilité s’entend comme la capacité de notre génération à atteindre ses objectifs, sans compromettre la capacité de la génération future à atteindre les leurs. Et ce, par rapport à toutes les ressources : naturelles, humaines, économiques. Nos efforts se concentrent sur l’IA durable pour atteindre les objectifs des Nations Unies au sein de l’industrie.

  1. Quel est le champ d’application d’ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR a été pensé de telle sorte que des chercheurs d’entreprises de Sophia Antipolis hébergeant des laboratoires de recherche travaillant dans différents contextes industriels, et sur différents sujets, puissent discuter et échanger leurs points de vue sur des questions communes liées à l’utilisation de l’IA dans leurs industries respectives.

Olena : Notre objectif est de travailler sur des projets communs et d’échanger sur les meilleures pratiques en matière d’apprentissage automatique et d’intelligence artificielle. Cela permettra de faire progresser les recherches en matière d’IA. Enfin, nous comptons utiliser notre puissance commune pour promouvoir la Côte d’Azur en tant que berceau de l’IA durable.

  1. Qu’est-ce qui vous motive personnellement ?

Olena : Ma volonté est de promouvoir notre grande collaboration, dans l’écosystème incroyablement riche sur le plan technologique et intellectuel de la Côte d’Azur, en montrant à nos maisons-mères que cet endroit est vraiment exceptionnel, et y développer une véritable communauté autour de l’IA. Je veux aussi que la France et l’Europe obtiennent la place qu’elles méritent dans le monde en ce qui concerne l’IA, en veillant à ce que l’IA soit utilisée à bon escient, que la Côte d’Azur soit identifiée comme l’endroit idéal pour l’IA durable, et enfin que les gens ne craignent plus l’IA.

Jean-Michel : Je suis un passionné d’aviation et d’informatique. Heureusement pour moi, les voyages et l’aviation en particulier sont des domaines pleins de défis combinatoires, très complexes à résoudre et à optimiser. Chez Amadeus, nous sommes déjà pleinement engagés dans le déploiement de l’IA. Nous sommes également engagés depuis de nombreuses années dans le développement de systèmes ouverts et interopérables, car nous pensons que c’est en combinant les meilleurs services « atomiques » que nous apporterons une plus grande valeur ajoutée à nos clients, à l’industrie du voyage et aux voyageurs. Mais nous savons aussi que, comme toute évolution de ce genre, elle a besoin de temps, d’expérience, de tests et d’apprentissage. L’IA s’accompagne de nombreuses questions et défis sans réponse. Avec ICAIR, nous faisons partie de l’apprentissage, de l’enseignement, et nous voulons y répondre de la bonne manière.

 

 

 

Les membres sont des entreprises internationales avec des sites sur la Côte d’Azur et menant des recherches en IA :

  • Accenture,
  • ACRI-ST,
  • AIRFRANCE KLM,
  • Amadeus,
  • ARM,
  • Hewlett Packard Enterprise,
  • IBM,
  • NXP Semiconductors,
  • Orange,
  • Renault Software Labs,
  • SAP Labs France,
  • STMicroelectronics,
  • Thales Alenia Space.

Le programme touche l’ensemble de l’écosystème du label 3IA de la Côte d’Azur :

  • Académiques : Institut 3IA, UCA (Université Côte d’Azur), Ecoles, Centres de Recherche
  • Secteurs d’activité : ICAIR, ClusterIA
  • Institutions : MIA, OTESIA, EuropIA
  • Associations : Telecom Valley, Pôle SCS

Des initiatives liées à l’IA lancées par ces acteurs soutiennent la dynamique territoriale de la Côte d’Azur. Elles se rapportent aux objectifs de développement durable des Nations unies et constituent le champ d’application du programme « IA durable ».

En savoir plus : ICAIR – Industrial Council of Artificial Intelligence Research

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Source de l’article sur sap.com

With billions of internet users worldwide spending several hours online each day, the online presence of brands is now a necessary avenue for building, boosting, and maintaining positive value and attracting and interacting with customers. 

This has created increasing pressure for web design agencies when creating and managing websites. This pressure is multiplied by all the projects that web design agencies have to handle at one time. This is because different clients demand different things for their websites, whether it’s a signature feature or specialized functionality. 

Hence, it’s vital that the tools the agencies use to work are simple enough and suited to the tasks they have to accomplish in order to build and maintain these projects. Having the right tools can increase efficiency and effectiveness in managing websites.

Challenges in Modern Web Design

Building a website with all the essentials in mind is always easier said than done. Websites have to be both functional and easy on the eyes to invite traffic, disseminate information, or appeal a product or service to a target audience, and all while having an attractive and convenient interface.

The good news is that it’s perfectly possible to design a quality website and without spending a fortune to do so. Below are some of the challenges that web design agencies face when trying to deliver and reconcile efficient user experience and effective user interface in web design.

1. Appealing User Experience

Designing a good website means ensuring that the user experience is appealing to a general audience, but this is one of the most difficult parts of web design. Agencies must be careful not to turn off users with a confusing user experience. For instance, making important information difficult to find on web pages, using technical jargon that ordinary users wouldn’t understand, and focusing too much on the design rather than the overall experience are a few big mistakes that no designer should ever commit.

Instead, web design agencies should focus not only on making the design look good but also on making the experience smooth and fast for the regular site visitor. This includes improving design elements to make navigation easier as well as optimizing webpage load speeds.

2. Working With a Budget

It’s common for the client and the web design agency’s budgets to not line up at all times. Either the client will find the project quote too high, or the designer will find the client’s budget too low. The cost of a web design project can vary greatly, depending on what needs to be done. 

Although having to build a good website on a budget may be difficult, it’s important for both parties to come up with a set amount before the project even starts. The client should always specify what they want to achieve and how much they’re willing to pay to get it, and the agency should let the client know beforehand if this is possible.

3. Integrating Third-Party Functionality

Sometimes, clients may make requests for third-party functions that may not be easily integrated into the site. To prevent this, web design agencies should always consider integration when building a site. Most businesses and companies now have at least one social media account, so it doesn’t make sense for their site to remain disconnected.

When a website visitor shares an excerpt on a social media site like Facebook, Pinterest, or Twitter, other people who can see their posts may become interested in visiting the original post on the website. Properly integrating third-party applications and functions into a website can get it more online presence and popularity.

4. Suitability to Different Devices

There are many devices that people can use to access the web. From smartphones to desktop computers, from cars to game consoles, and even wristwatches and digital cameras, all of these can be web-enabled as long as there’s an available internet connection. 

Websites nowadays should always be compatible with any of the devices people might use to go to the website. They should look pleasing and load fast regardless of what device a visitor is using.

5. Security of Personal Information

Most websites require personal or financial information, whether for account verification, for website subscription, or something else. Websites should be designed with personal security in mind, which is even more important since hacking has been on the rise since the coronavirus hit.

One of the biggest threats that websites face today is phishing, or when an attacker will pretend to be a trusted contact and attempt to compel you to click a malicious link. Another is ransomware, or where cybercriminals hold customer data for ransom and attempt to extort online business owners. Yet one more is SQL injections, or where hackers will attempt to execute malicious SQL commands in your website’s database. 

The best practices in regards to web design to mitigate these risks include third-party plugins and themes, keeping all of your software up to date, setting your web applications so they run the fewest privileges possible, and utilizing SSL certificates and HTTPS protocols. 

Adopting Site-Building Platforms

Gone are the days where you had to be technologically gifted to design a website from scratch, usually through manual HTML codes. Back then, you had to know your way around the web if you wanted to set-up and manage a site of your own.

Now, there are a lot of good website builders that allow you to create websites in a faster period of time. Even web design agencies now make use of such builders in order to make the job easier and more convenient. Not to mention, it allows agencies to focus on the design alone.

Although these platforms offer predesigned templates based on the most common purposes of websites, they normally allow the user to white label the website into the branding specific to the business or agenda of the website owner. The text styles, colors, and sizes coordinated to the website’s theme, and colors can be designed specifically to match the business or organization’s image and identity. 

Simply put, creating websites through a web builder platform can provide web design agencies with easy-to-understand tools that their teams and members can all uniformly use to more effectively and more efficiently handle all their projects.

With services that allow mobile optimization, site management, and even drag-and-drop editing, web design agencies can now better manage their projects and finish with their tasks more quickly.

Not only that, by using white labelling, services can conserve their time and energy into focusing on creating the best website for their client. With all the website builders currently available on the market today, just picking the right one can give web design agencies the best tools to use when creating, designing, and maintaining websites. 

 

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EclipseCon Community Day is on Monday, October 19 14:00 to 18:00 CET (the day before the start of the main EclipseCon conference). Community Day at EclipseCon has always been a great event for Eclipse working groups and project teams. This year both EclipseCon and Community Day is virtual and free. Space for Community Day is limited, so please register and save your spot soon.

We have a packed agenda centered on the Jakarta EE, MicroProfile and Cloud Native Java communities. If there is a set of very focused sessions you should attend on these topics, the agenda offers the one place this year to do so. The sessions are intended not only for learning, but also for the community to actively engage with some key leaders. Note, after you register for EclipseCon, you will need to reserve your spot for Community Day through the Swapcard platform (let me know if you run into any issues).

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