Articles

Web2 software engineers have benefitted from design standards, mature programming languages, and vulnerability tools to minimize the risks of an attack. Failure to do so can result in a situation similar to my “Equifax Attack: Only a Matter of Time” publication back in 2017.

Those working in Web3 projects find themselves at an exciting stage. Initiatives like bounties and Decentralized Autonomous Organizations (DAOs) drive new opportunities for these pioneers to explore. Unfortunately, the Web3 landscape is not as mature or defined as earlier phases in the web frontier. Compounding the situation is the risk those challenges impose in a decentralized environment — where exploitation can result in losing a large volume of assets, as well as the time it takes to secure an auditing service for smart contract code and the duration of the audit itself

Source de l’article sur DZONE

Modern cloud environments are ever-changing, and so is the nature of cloud computing. The growing cloud assets accompany the attack surface expansion problem for organizations, which unveils the need for visibility of cloud resources. AWS Config addresses that exact demand. It can be challenging to understand resources within your infrastructure like:

  • Seeing what resources you have
  • Understanding your current configurations
  • Knowledge of configuration changes and change histories
  • Assessing if your resources are compliant with specific governances controls 
  • Having accurate and up-to-date audit information

Depending on the size of your AWS resources or deployment, overcoming these challenges and obtaining this information can become time-consuming and budget-intensive unless you use resource visibility and auditing tool like AWS Config

Source de l’article sur DZONE

De spécialiste de l’ingénierie industrielle, ATS accélère sa transformation numérique et lance sur le marché un portfolio de nouveaux services digitaux notamment sur base de solutions SAP Cloud PLM et Assets (de l’Ingénierie à la machine as a service). Un acteur OT et IT, capable d’accompagner les organisations dans leur voyage vers l’industrie 4.0.

ATS, c’est avant tout une aventure familiale, démarrée en 1989 au Creusot. L’histoire d’un spécialiste en ingénierie industrielle (ATS Engineering), mais aussi en conception et réalisation de moyens de production automatisés (ATS Solutions). L’entreprise compte aujourd’hui 200 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel d’environ 20 millions d’euros.

“La quatrième révolution industrielle nous donne l’opportunité de transformer l’industrie, en la rendant à la fois plus performante et plus attractive. Notre ambition est d’accompagner dans leur transformation les femmes et les hommes (end-users) opérant sur des sites industriels, en apportant de nouveaux outils et services pour remettre l’Homme au centre et réinventer l’expérience Homme-machine.” Explique Rodolphe Roy, Président d’ATS. “Faire grandir l’Humain pour amener plaisir et reconnaissance dans l’industrie : Un élément crucial pour booster l’attractivité et attirer de nouveaux talents.”

Le numérique, nouveau pilier d’ATS

Le premier jalon de la transformation d’ATS est posé en 2011, lorsque Rodolphe Roy en devient l’actionnaire unique. En 2017, une fois le rachat sécurisé, la transformation du groupe peut commencer, avec comme nouvel axe le numérique.

La société est dans le même temps repérée par BPI France, qui l’invite à rejoindre le programme accélérateur PME/PMI, puis la French Fab, le porte-drapeau de l’industrie française en tant qu’ambassadeur pour la Bourgogne. Ce programme accélérateur pousse également ATS à aller au-delà de l’OT pour proposer des services IT à ses clients et remettre l’innovation au centre de sa transformation.

Des LAB’Innovation sont ainsi déployés sur chacun des sites d’ATS, afin de permettre à tous les collaborateurs de l’entreprise d’explorer et d’innover avec de nouvelles technologies digitales, comme le cloud, l’ingénierie collaborative en Réalité Virtuelle, l’impression 3D ou encore la capture de la réalité. Le tout en lien avec les clients et partenaires de l’entreprise.

« Notre langue maternelle est l’OT, mais nous avons fait IT seconde langue, ce qui nous permet d’accompagner les industriels dans leur transformation numérique. Nous avons pour vocation à être la courroie de distribution entre ces deux mondes. »

Il est vrai qu’en tant que concepteur de moyens de production automatisés, et connectés, ATS Solutions apporte déjà un savoir-faire à mi-chemin entre OT et IT, pour le compte de clients prestigieux comme Air Liquide, Arkema, Schneider Electric ou encore le CEA.

ATS Connect, l’intégrateur OT/IT des industriels

“Avec ATS Solutions, nous proposons aux industriels des nouveaux moyens de production (CAPEX) automatisés, connectés et flexibles, rappelle Rodolphe Roy. Toutefois, nous étions un peu frustrés de ne pas pouvoir les accompagner dans leurs phases d’exploitation (OPEX), ni dans leurs projets de numérisation de leurs parcs machines existants.”

“Notre nouvelle activité portée par ATS Connect répond à cela, mais pas seulement : nous accélérons sur l’accompagnement à la transition énergétique et environnementale des industriels, jusqu’aux projets de villes intelligentes (smart city).” Complète Jordan Lecat, COO d’ATS Connect.

ATS Connect est chargée de porter les projets de connexion digitale des équipements. Cela commence par un audit 4.0 du moyen de production, des échanges systématiques avec les utilisateurs finaux pour identifier leurs points de douleurs. Nous traitons ensuite la collecte des données et le traitement de l’information pour créer les bons outils de suivi de performance et de maintenance. Le tout en faisant appel au besoin à des technologies innovantes capables de projeter les entreprises dans le monde de l’industrie 4.0. À ce titre, ATS Connect devient un intégrateur de bout en bout de solutions OT/IT.

SAP, éditeur clé pour ATS

Autre jalon de la transformation d’ATS, la rencontre avec SAP en 2018. ATS voit dans les solutions Cloud Public PLM et Assets, respectivement SAP Enterprise Product Development (SAP EPD) et SAP Intelligent Asset Management (SAP AIM) associé à SAP Business Technology Platform (SAP BTP), une plate-forme ouverte et collaborative de choix pour gérer les équipements des industriels et porter des projets avancés, comme la mise en place de jumeaux numériques connectés. Cette plateforme Cloud devient ainsi un catalyseur pour le développement commercial des nouveaux services numériques d’ATS Connect.

« ATS Connect se positionne clairement comme offreur de solutions Industrie 4.0, explique Jordan Lecat. Nous collectons la data, que nous faisons remonter sur la plate-forme Cloud SAP, afin de proposer des services innovants à nos clients. Par exemple de la maintenance prédictive. Avec ATS Connect, nous pouvons enfin proposer une gestion de bout en bout des moyens de production des industriels. »

Dans le cadre du partenariat entre SAP et le Collectif Continuité Numérique, ATS Connect participe par ailleurs au développement de démonstrateurs Industrie 4.0 autour des jumeaux numériques, lesquels sont déployés sur les Experience Centers SAP de Paris et Barcelone. ATS rejoint ainsi l’écosystème SAP relatif à l’industrie du futur. « Ceci nous rend d’autant plus fiers que nous partageons les valeurs et ambitions portées par SAP et ses Experience Centers : Meet, Inspire, Engage. »

 

The post ATS accompagne les industriels dans leur transformation numérique appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Leader européen du popcorn, Nataïs souhaitait moderniser son ERP SAP ECC. La société a choisi l’ERP SAP S/4HANA Cloud, Private Edition, déployée avec le concours des équipes de STMS, à travers l’offre RISE with SAP.

Nataïs est une entreprise peu connue du grand public, et pourtant devenue en moins de trente ans le leader européen du marché du popcorn. La société adopte une logique de filière, allant de la semence au produit fini, avec des produits distribués en vrac ou fabriqués et conditionnés pour le compte de grandes enseignes.

Des centaines de millions de grains de popcorn préparés par Nataïs éclatent chaque jour dans les cinémas, foires, fêtes foraines et magasins du monde entier. Mais aussi dans les cuisines, Nataïs ayant produit plus de 210 millions de sachets micro-ondables en 2021.

Nataïs réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 60 millions d’euros, dont 90% à l’export, ses produits étant distribués dans plus de 50 pays. Nataïs compte 140 salariés et s’appuie sur un réseau de 240 agriculteurs locaux qui l’alimentent en maïs et que l’entreprise accompagne en retour dans leurs efforts en matière de développement durable et d’écoresponsabilité. L’ensemble de la « Popcorn family » partage un objectif ambitieux, celui d’être la 1re filière popcorn à atteindre la neutralité carbone, et ce à horizon 2025.

Objectif : moderniser un ERP SAP vieillissant

« Cela fait maintenant plus d’une décennie que nous travaillons avec un ERP SAP, utilisé par une centaine de personnes, confie Célia Ehmann, en charge du périmètre SI au sein de l’entreprise. En septembre 2021, nous avons lancé le projet Caribou, visant à moderniser notre ERP, au travers d’une migration vers l’ERP SAP S/4HANA. »

Nataïs ne voulait pas attendre le dernier moment pour basculer vers le nouvel ERP SAP. D’autant plus que certains projets de développement avaient été mis en pause dans l’attente de la bascule vers SAP S/4HANA.

STMS, qui avait déjà collaboré avec l’entreprise sur d’autres projets, a été choisi pour mener à bien cette migration. Lors de la présentation faite par STMS, Nataïs a eu l’opportunité de découvrir les solutions cloud de SAP, dont l’offre RISE with SAP. « Nous ne savions pas qu’il était possible de basculer en mode cloud. Cette présentation nous a donc permis d’aborder la question du cloud, et de l’offre RISE with SAP. »

En l’occurrence, le cloud permet d’apporter une réponse intéressante aux questions de licensing et de coût d’acquisition de SAP S/4HANA soulevées par l’entreprise gersoise. « Le licensing classique proposé par SAP n’est pas adapté à une PME comme la nôtre. Les avantages apportés par le cloud ont été ici décisifs. »

Après avoir éclairci certains points, comme le périmètre précis de la solution, la compréhension des FUE (Full Users Equivalents), les possibilités de connexion avec les autres applications de l’entreprise, ou encore les moyens de mettre en place un lien internet de secours Internet pour son futur ERP, Nataïs a décidé d’opter pour l’ERP SAP S/4HANA Cloud Private Edition, via l’offre RISE with SAP.

Un triple projet : SAP HANA, SAP S/4HANA et Cloud

Le projet a été lancé en fin d’année 2021. Ou plutôt les projets, Nataïs ayant décidé de basculer de SAP ECC vers SAP S/4HANA, mais également vers la base de données SAP HANA et vers le cloud.

« Concernant l’ERP, nous avons mené un audit en amont pour déterminer ce qu’il fallait modifier ou améliorer en priorité, explique Célia Ehmann. Nous n’avons rien changé du périmètre du système, mais cela nous a permis de définir une feuille de route de développement pour notre nouvel ERP. Nous allons conserver certains spécifiques, même si nous allons profiter du projet pour évaluer les efforts requis afin de basculer certains processus vers les standards préconisés par SAP. »

Le passage à la base de données SAP HANA ne sera pas un problème pour Nataïs, la taille de la base de données utilisée par son ERP SAP ECC restant raisonnable. « Nous allons toutefois mener quelques opérations de nettoyage et d’optimisation, lorsque cela fait sens. » La gestion des infrastructures ne posera pas plus de problèmes à Nataïs. « Je vois bien passer des échanges entre STMS, SAP et nos autres prestataires IT, mais ce sont eux qui se chargent de tous ces sujets techniques. »

Go live programmé pour le 4 mai 2022

La phase de recette a démarré le 15 mars, avec comme objectif un go live le 4 mai 2022. Si la migration est réalisée à périmètre constant, quelques changements notables seront appliqués au nouveau SI. « Nous allons refondre les droits d’accès, afin de sécuriser les rôles et autorisations de chacun. Nous allons également déployer plusieurs tuiles Fiori, relatives notamment à des KPI nous intéressant. Enfin, nous allons traiter quelques sujets liés à mobilité, lesquels devraient faciliter la vie de nos collaborateurs en logistique et approvisionnement maïs notamment.

Avant même sa finalisation, ce projet s’est d’ores et déjà traduit par un premier bénéfice : « Il nous a permis de former et animer une équipe d’utilisateurs clés dynamiques, qui partagent et échangent aujourd’hui leurs bonnes pratiques, et sont moteurs sur des projets d’optimisation de nos processus », conclut Célia Ehmann.

The post Le spécialiste du popcorn Nataïs opte pour l’ERP SAP S/4HANA Cloud avec l’offre RISE with SAP appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Apache Kafka became the de facto standard for processing data in motion across enterprises and industries. Cybersecurity is a key success factor across all use cases. Kafka is not just used as a backbone and source of truth for data. It also monitors, correlates, and proactively acts on events from real-time and batch data sources to detect anomalies and respond to incidents. This blog series explores use cases and architectures for Kafka in the cybersecurity space, including situational awareness, threat intelligence, forensics, air-gapped and zero trust environments, and SIEM/SOAR modernization. This post is part six: SIEM/SOAR Modernization.

Blog Series: Apache Kafka for Cybersecurity

This blog series explores why security features such as RBAC, encryption, and audit logs are only the foundation of a secure event streaming infrastructure. Learn about use cases,  architectures, and reference deployments for Kafka in the cybersecurity space:

Source de l’article sur DZONE

Dans notre précédent article intitulé « Et si l’avenir de la fiscalité passait par le système d’information ? », nous mettions en avant les besoins grandissants en termes de contrôles autour des fonctions fiscales. En effet, les entreprises sont soumises à de nombreuses réglementations ainsi qu’à une complexification de leur système d’information. Il devient donc nécessaire pour beaucoup d’entre elles de mettre en place des outils de « Tax Compliance ». Ils permettent de supporter les équipes fiscales et d’assurer le respect des obligations. Dans ce second article, nous illustrerons au travers des fonctionnalités offertes par un des outils du marché, SAP Tax Compliance, la valeur apportée par cette démarche d’outillée.

Que peut-on attendre d’un outil de Tax Compliance ?

De nombreux outils de Tax Compliance sont aujourd’hui présents sur le marché français et mondial. Ceux-ci diffèrent en fonction de la cible visée, de la PME nationale à la multinationale implantée dans de nombreux pays. Ils offrent des fonctionnalités plus ou moins avancées ainsi qu’une complexité de mise en œuvre plus ou moins lourde.

Néanmoins, nous pouvons regrouper les fonctionnalités offertes en deux grandes catégories :

  • L’aide à la conformité des déclarations (a priori) :
    • l’optimisation de l’élaboration de la liasse fiscale (élaboration, vérification et dématérialisation),
    • la détermination de taux,
    • la conformité de la facturation électronique,
    • La déclaration de TVA (soumission, reporting et contrôles).
  • La mise en place de contrôles afin de s’assurer de la conformité (a posteriori) :
    • l’analyse du FEC,
    • les contrôles sur les référentiels (fournisseurs, articles, etc.),
    • les contrôles sur les transactions effectuées.

En complément, nous devons également prendre en compte le fait que les gouvernements exigent de plus en plus de données en temps réel, la qualité des données devient un prérequis clé pour la gestion des processus fiscaux et cela peut être amélioré en mettant en œuvre des contrôles fiscaux et en abordant les problèmes à la source, comme nous allons le voir avec l’outil SAP Tax Compliance.

Quels critères prendre en compte dans le choix de son outil de Tax Compliance

 

Le choix d’une solution doit être fondé sur les critères tant fonctionnels que techniques, pour répondre aux besoins suivants :

  • Facilité d’installation et d’exploitation de la solution: évaluer le degré d’autonomie sur l’installation et le paramétrage du logiciel, ainsi que le degré d’intégration dans le paysage SI existant. Il est en effet important que les utilisateurs métiers aient un degré d’autonomie suffisant sur l’exploitation de l’outil pour ne pas avoir de besoin de solliciter les équipes IT pour la moindre opération dans l’outil
  • Réponse aux besoins métier au travers de la couverture et richesse fonctionnelle: il est nécessaire d’évaluer la couverture d’un maximum de fonctionnalités et de contrôles standards, ainsi que la couverture géographique au travers d’une gestion multi-pays. Assurance de la facilité de prise en main par l’utilisateur final ou l’auditeur externe au travers d’une ergonomie conviviale et intuitive
  • Exploitation des résultats simple et accessible : évaluer la facilité de compréhension et d’interprétation des résultats de contrôles, la facilité d’export sur des outils bureautiques, ainsi que la capacité de génération des rapports d’anomalie sous format.doc ou .pdf avec explication des résultats, annotations utilisateurs, etc.,
  • L’intégration dans le paysage applicatif de l’entreprise est également primordiale dans le cas très fréquent où plusieurs ERP ou systèmes comptables cohabitent. Devoir multiplier les outils de Tax Compliance pour adresser les différents systèmes serait en effet contre-productif.

Présentation d’un outil : SAP TAX Compliance

SAP Tax Compliance propose une approche centralisée des contrôles de conformité, couvrant tout l’ensemble du processus, de la détection à la correction, en passant par le reporting et l’audit. À l’aide de l’apprentissage automatique à l’échelle de l’entreprise et de contrôles automatisés, l’application permet aux utilisateurs de détecter systématiquement les problèmes de conformité. Mais aussi d’améliorer la qualité des données fiscales, de rationaliser les corrections et d’atténuer rapidement le risque de non-conformité.

L’automatisation des processus de contrôle fiscal en temps quasi réel permet aux organisations de passer à des modèles de travail en continu. Elle permet aussi de résoudre les problèmes dès le début des processus ce qui est essentiel pour éviter de lourdes charges de travail à la fin de la période. Mais également de se conformer aux mandats les plus exigeants que les gouvernements introduisent dans le monde entier. En fait, avec l’introduction de la conformité numérique, la qualité des données fiscales est plus importante que jamais.

SAP Tax Compliance est une solution agnostique qui peut être intégré à SAP S/4HANA ou facilement déployé côte à côte. Elle peut aussi intégrer des données issues d’autres systèmes ERP (SAP ECC ou non SAP) ou spécialisés métiers (MDM, facturation, site de vente en ligne…). Cela offre ainsi la possibilité de capturer simultanément de gros volumes de données à partir de plusieurs systèmes. La solution offre également un apprentissage automatique natif et une intégration avec le workflow SAP. L’intérêt est de permettre l’automatisation et l’orchestration transparente des tâches de correction.

 

SAP Tax Compliance en un coup d'œil
SAP Tax Compliance en un coup d’œil

SAP Tax Compliance est fourni avec des règles de contrôles préconfigurées pour vous aider à démarrer et à améliorer immédiatement la qualité des données fiscales.

Par exemple, cela vous permet d’identifier et de corriger facilement les immatriculations de TVA manquantes sur les transactions intracommunautaires de l’UE ou les factures enregistrées sans code TVA. Vous pouvez également utiliser le moteur de détection pour faciliter l’examen des factures avec un montant de TVA très élevé. Ceci, permet de générer une réserve de travail pour examiner efficacement les exceptions sans avoir à identifier manuellement les éléments sur l’ensemble des transactions commerciales.

Il est également très flexible et permet d’enrichir facilement l’ensemble des règles de contrôles de la TVA aux droits de douane et autres taxes. Il permet également de relever constamment la barre en matière de conformité en développant vous-même des règles de contrôles fiscaux supplémentaires. Ou bien encore en intégrant le contenu prêt à l’emploi de notre partenaire Mazars.

Ces règles peuvent être facilement créées en définissant de nouvelles vues sur les données. Une fois celles-ci en place, le reste de la configuration peut être facilement complété via une assistance numérique fourni en tant qu’application Fiori qui guide l’utilisateur dans ses choix. Il s’agit de limiter l’implication du service informatique au développement réel des vues. Mais aussi de permettre aux utilisateurs métier d’adapter les contrôles, de réorganiser les listes de travail, de configurer le Machine Learning lorsque les données historiques sont suffisamment significatives. Ainsi que d’adapter les plannings en fonction des besoins de l’entreprise. Les utilisateurs métiers peuvent également gérer les tâches et les groupes d’utilisateurs correspondants responsables de l’achèvement. L’objectif est de garantir que la configuration en cours peut être facilement adaptée à mesure que l’entreprise évolue sans avoir recours à des experts informatiques qui sont toujours très demandés.

La solution permet également des simulations de paramétrages des règles de contrôle fiscal pour optimiser les contrôles et réduire les faux positifs.

SAP Tax Compliance fournit un tableau de bord centralisé pour obtenir des informations en temps réel sur l’état de conformité dans le monde entier. Il devient également un référentiel central de problèmes et de solutions qui peuvent être exploités pour conduire des améliorations en continu des processus. De plus, il permet d’empêcher les problèmes de se produire en premier lieu.

SAP Tax Compliance intègre des mécanismes d’apprentissage automatique

SAP Tax Compliance automatise au-delà de la détection, rationalisant l’ensemble du processus de correction. Il intègre des mécanismes d’apprentissage automatique prêt à l’emploi pour augmenter l’efficacité. De plus, il propose des modèles de workflow natifs pour orchestrer efficacement les tâches entre la myriade d’équipes qui doivent être impliquées dans le processus de correction.

Ces fonctionnalités d’apprentissage automatique peuvent être activées et maintenues par les utilisateurs métiers. Le but étant de libérer la puissance des données sans avoir besoin du support du département IT.

Comment réussir son projet de mise en place ?

Bien qu’il s’agisse d’un projet de mise en place d’outil, celui-ci ne doit pas être considéré comme un projet purement technique mais bien un projet global impliquant les acteurs métiers dès les premières phases. Il s’agit d’être sûr de ne pas se tromper d’objectif. Mais également de réellement apporter la valeur attendue pour toutes les parties prenantes.

C’est pour cela que nous préconisons la mise en place d’une équipe projet pluridisciplinaire. Une équipe qui regroupe les compétences financières, fiscales, juridiques, comptables et IT. Celle-ci est capable de cerner les besoins de la façon la plus exhaustive possible. Mais aussi de mettre en place une cartographie des risques et d’identifier les contrôles afférents.

Au-delà du module Tax compliance il peut être intéressant de disposer d’une solution complète pour la gestion fiscale de bout en bout qui couvre :

  • Contrôles fiscaux pour améliorer la qualité des données fiscales et éviter les interruptions d’activité.
  • Rapports électroniques en temps réel avec rapprochement complet pour une mise en conformité efficace.

SAP Tax Compliance offre une intégration transparente avec la nouvelle solution SAP Document and Reporting Compliance. Cette solution regroupe les anciennes solutions SAP pour la facturation numérique en temps réel (SAP Document Compliance) et la gestion des déclarations périodiques (SAP Advance Compliance Reporting ACR). Elle garantit que les problèmes identifiés soient rapidement suivis, que l’origine de ces déficiences soient analysées et résolues afin d’empêcher les interruptions d’activité.

Ces solutions SAP pour la facturation numérique en temps réel et la gestion des déclarations périodiques proposent déjà plus de 300 modèles pré-configurés de déclaration pour plus de 50 pays.

En synthèse, l’automatisation des contrôles et de la fonction fiscale devient de plus en plus nécessaire. L’obligation de bien s’outiller devient incontournable.

Vincent DOUX – SAP +33 6 03 43 72 95 v.doux@sap.com
Jérôme HUBER – Mazars +33 6 67 51 13 38 jerome.huber@mazars.fr
Vincent THEOT – Mazars +33 6 60 47 46 64 vincent.theot@mazars.fr
Heyfa LIMAM – Mazars +33 6 66 90 10 81 heyfa.limam@mazars.fr
Nicolas RICHARD – Mazars +33 6 66 61 91 35 nicolas.richard@mazars.fr

The post SAP Tax Compliance, un outil de transformation digitale des fonctions fiscales appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

La gestion d’une PME comme la montée en puissance d’une ETI impliquent nécessairement la digitalisation des processus de l’entreprise. Pour gagner en compétitivité sur le marché actuel, l’implémentation d’un ERP se révèle être un atout indéniable. En effet, il est indispensable d’automatiser les tâches, de fournir des services à distance et de rendre les données accessibles depuis différents supports.

Gérer efficacement les bases de données devient capital et relève d’un véritable enjeu stratégique pour chaque société. Leviers de croissance, centralisation et hiérarchisation des données permettent aux entreprises de se développer. L’externalisation informatique via le cloud assure une flexibilité et une sécurité supplémentaires dans le stockage et la mise à jour des databases. La maintenance à distance réduit considérablement les coûts. Il s’agit aussi de s’adapter aux fluctuations du marché en temps réel avec une réactivité à l’épreuve des aléas économiques. Tous les secteurs d’activité sont alors concernés par la transformation numérique ou l’optimisation de la solution digitale déjà en place. L’importance croissante du commerce en ligne accélère d’ailleurs la tendance.

Le traitement des informations requiert un logiciel de gestion d’entreprise performant, adapté à la taille de la structure et conçu pour permettre son évolution en fonction des objectifs fixés. Le système ERP soutient l’activité dans des conditions de rentabilité optimale au niveau de la production mais aussi de la gestion et du commerce. Il offre également un outil d’analyse fiable pour définir une stratégie d’entreprise pérenne. La solution ERP garantit un pilotage sur-mesure aux PME comme aux ETI. Mais derrière la technologie ERP et sa définition marketing, quelles modalités de déploiement assurent une compétitivité sans délai ? Voici tout ce qu’il faut savoir pour mettre à profit un ERP d’entreprise avec une intégration système réussie, une interface conviviale pour ses utilisateurs et un support client irréprochable.

Tous les bénéfices d’un système ERP pour les PME et les ETI

La transition numérique met en avant l’ERP avec une signification pas toujours accessible aux personnes extérieures au service informatique de l’entreprise. Pourtant, les PME comme les ETI peuvent elles aussi faciliter leur digitalisation en ayant recours à un Progiciel  de Gestion  Intégré  (PGI, de l’anglais ERP), conçu par un éditeur spécialisé. Les coûts de gestion de l’entreprise diminuent également avec l’automatisation des tâches récurrentes et la fin des répétitions de saisies informatiques inutiles entre les services. Avec un PGI, il n’est pas nécessaire d’investir dans une licence pour chaque poste de travail : il gère l’ensemble du système informatique et partage les données en temps réel avec les départements concernés.

Dans l’industrie, les sociétés de services et le commerce, les PME gagnent ainsi du temps et économisent sur leur budget annuel. Les équipes peuvent davantage mettre à profit leur énergie sur des tâches à valeurs ajoutées. L’Enterprise Resource Planning porte les petites structures au rang des ETI. Mais que signifie exactement ce terme informatique et quelles applications trouve-t-il dans les processus de gestion des informations et des services opérationnels des entreprises ?

Qu’est-ce qu’un ERP ?

Le terme désigne un logiciel professionnel aux multiples fonctionnalités. Il est conçu pour répondre à l’efficacité de gestion des processus informatisés de l’entreprise. En français, il est aussi connu sous l’appellation PGI pour Progiciel de Gestion Intégré. Il regroupe un ensemble de programmes paramétrables en fonction des utilisateurs et des besoins en lien avec l’activité. Il intègre à son système d’informations toutes les fonctions d’une société. Outil de gestion informatisée, il met à disposition des services concernés toutes les ressources nécessaires au fonctionnement de l’entreprise. Le PGI favorise le travail en équipe et assure la transmission des données entre les différents départements. Il permet d’interagir avec un site client. Il sert de passerelle entre les données des sites de production et celles des points de livraison. Le PGI promet une logistique sans faille. Mais qu’en est-il plus concrètement ?

Son rôle dans le fonctionnement d’une entreprise

Dans une usine de production, par exemple, l’ERP centralise toutes les informations utiles pour assurer les commandes et les livraisons dans les délais prévus. Il adapte le rendement au stock disponible et au coût total. Il peut être programmé pour commander les matériaux automatiquement avant une pénurie pénalisante. L’ERP envoie alors la facturation de l’approvisionnement au service comptabilité. Il permet de planifier les roulements des équipes en fonction de la rentabilité de la production. Il fournit l’analyse financière nécessaire à la prise de décisions. Les données sont disponibles en temps réel. Même les ressources humaines peuvent bénéficier des applications du PGI. La base de données utilisée prévoit le croisement des informations, leur classement et leur extraction en fonction des stratégies préalablement définies. Autrement dit, l’ERP fluidifie l’agrégation et le traitement des données de toute l’entreprise pour que tous ses services en tirent profit.

L’ERP s’adresse également aux commerces et à la grande distribution. Un logiciel de gestion commerciale facilite la logistique au quotidien et la traçabilité des produits. Il s’inscrit dans une logique de gestion du cœur de métier ou des fonctions administratives comme l’émission des bulletins de paie. L’accès aux différentes informations de la filière entière reste toutefois soumis à des autorisations validées par la structure organisationnelle de l’entreprise. Mais tous les intervenants concernés partagent la même information immédiatement actualisée.

Le fonctionnement d’un ERP au sein d’une PME

L’avantage principal d’une intégration de système réside dans l’homogénéité des données accessibles. La mise à jour d’une information au niveau d’un poste de travail se transmet à tous les étages de l’organigramme de gestion. Chacun dispose des mêmes éléments pour traiter les tâches qui lui sont imparties. Tous bénéficient de la capitalisation des données stockées au sein du réseau interne. L’implémentation d’un ERP implique aussi des passerelles entre les différents programmes des départements spécifiques et leurs nombreux périphériques. Les données transitent sans problèmes de compatibilités ni d’interfaces. Le PGI communique avec les serveurs des fournisseurs et des clients lorsque le contexte s’y prête. Il est alors primordial de définir les fonctionnalités indispensables à l’activité.

Le logiciel gestion commerciale peut gérer l’envoi de mails pour une prospection régulière et une fidélisation des clients efficace. Certains secteurs ont intérêt à utiliser des assistants digitaux pour filtrer les communications par type d’informations. Chaque entreprise a son propre fonctionnement, l’ERP lui donne les moyens de l’optimiser avec une solution globale ou spécifique. Les conseils spécialisés de l’éditeur du progiciel de gestion d’entreprise apportent une expertise dans le choix des applications à mettre en place dans une filière particulière. Un diagnostic ERP après un audit complet des besoins de l’entreprise donne des perspectives nouvelles d’évolution sur le marché.

Choisir un progiciel de gestion intégré en fonction des besoins du business

La nature des données détermine en partie l’algorithme à utiliser. Les informations d’une ligne de production dans une usine ne sont pas du même ordre que celles d’une entreprise de services. Le commerce en ligne requiert des fonctionnalités spécifiques à son activité. La gestion des ressources humaines, des finances ou de la relation clients nécessitent des technologies adaptées à leur environnement de travail, sans nuire au fonctionnement du système global. Les supports multimédias utilisés et les composants de la bureautique déjà installés entrent également en ligne de compte dans la conception du PGI. Pourtant, certaines fonctionnalités sont communes à toutes les PME comme l’accès au réseau ou la gestion des mails. Les modules reliés à la base de données offrent ensuite des applications appropriées à chaque service. Ils visent à donner de l’ampleur au business mais doivent convenir aux dimensions du marché parfois géographiquement limité.

Les PME peuvent aussi disposer d’un terminal performant et sécurisé pour les paiements par carte de crédit via leur dispositif ERP. Mais les adaptations prévues par le fournisseur ERP ne se limitent pas aux opérations à réaliser pour la gestion de l’entreprise. Le progiciel est conçu pour respecter le mode de fonctionnement des équipes ainsi que la structure organisationnelle de l’entreprise.

Les différentes versions de la planification des ressources de l’entreprise

Le système ERP privilégie la gestion management. Il centralise les informations dès leur enregistrement dans la base de données et donne accès aux différentes composantes de l’activité selon les fonctions exercées au sein de la PME. L’ERP permet de superviser les flux en regard de leur rentabilité économique, logistique ou financière. Il fournit des outils d’analyses avancés pour amorcer une dynamique de croissance à partir de la configuration initiale de l’entreprise. La solution proposée répond à la capacité de production de l’entreprise ou à ses objectifs de ventes. Mais la mise au format doit être progressive. Elle nécessite une phase de tests : avant le déploiement intégral de la solution ERP, une intégration pilote garantit la continuité dans la qualité des processus. Il s’agit de ne pas impacter le fonctionnement de l’entreprise et d’assurer une transition à la hauteur des nouveaux objectifs de l’ETI. L’ERP pour PME sert également à travailler en équipe.

Les fonctionnalités à privilégier pour la gestion de projet ou l’organisation administrative

Le pilotage d’un projet et la gestion administrative d’une PME ne relèvent pas des mêmes processus. Ils sont donc assignés à différentes fonctionnalités. Les applications utilisées par les entités de travail organisent l’activité selon le mode opérationnel habituel. Le département des achats ou de la comptabilité ne fonctionne pas sur le modèle de la gestion de projets d’équipes. Les visioconférences et la communication unifiée permettent de mener à bien un projet d’étude. Les données statistiques, la gestion du budget et des délais à respecter avec le logiciel ERP libèrent du temps au chef de projet qui peut alors se concentrer sur les difficultés techniques et la relation client.

Un éditeur avec une expertise du métier garantit une implémentation informatique réussie. Si la formation des utilisateurs à l’ERP de l’entreprise est primordiale, sa configuration intuitive autorise une maintenance corrective simplifiée. Une simple mise à jour du système suffit souvent à apporter de nouvelles fonctionnalités pour rester concurrentiel.

Planifier l’évolution des structures organisationnelles du PGI avec une solution SaaS

La pertinence des fonctionnalités de l’ERP permet de gagner en rentabilité mais elle ne suffit pas à garantir la compétitivité en toute circonstance. Or la flexibilité est la clé du succès des PME. Elles profitent alors de leur statut d’ETI avant de conquérir de nouveaux marchés et de s’agrandir. Pour rester concurrentielles, elles doivent désormais se positionner à la pointe de l’innovation technologique.

Le cloud computing offre un système d’exploitation aux multiples possibilités et se révèle simple à utiliser. Il accompagne tous les projets innovants initiés pour s’adapter au marché. Les données sont accessibles même en distanciel et depuis n’importe quel type de terminaux. Les informations doivent pouvoir être consultées directement depuis un smartphone ou une tablette de l’entreprise. Les postes de travail évoluent en mode nomade et nécessitent une gestion à distance via internet. La solution SaaS donne les moyens d’organiser la réactivité des entreprises connectées mais pour quel taux d’investissements de la part des PME ?

Quand les avantages fonctionnels et les intérêts financiers se rencontrent sur le cloud

Le logiciel SaaS prévoit la gestion de l’entreprise dans le Cloud. Il assume un stockage massif de données de façon décentralisée pour gagner en capacités. Il offre un service aux PME en quête de parts de marché supplémentaires. Ce type de logiciels professionnels s’avère performant pour le traitement des données et des flux d’informations. Le fournisseur héberge les codes sources des applis et des données dans un espace de stockage sécurisé. Il garantit la sauvegarde des données en cas de problème technique. Il les rend disponibles depuis internet à la demande de l’entreprise. Les PME n’ont jamais le souci de la maintenance du système. Un abonnement suffit pour profiter d’un usage illimité des ressources web prévues dans la solution SaaS. Les entreprises n’ont pas besoin d’investir dans du matériel puissant pour lancer les applis : le serveur web du logiciel de service s’en occupe à distance.

Le paramétrage du logiciel SaaS sur la table

Le cloud computing fournit les services informatiques indispensables à la croissance des entreprises. En plus de la gestion du réseau et du stockage des bases de données, il intègre l’intelligence artificielle dans les outils d’analyse. La vente et les finances sont gérées dans des conditions optimales. La stratégie évolue au même rythme que le marché. Le fournisseur ERP programme un paramétrage spécifique au domaine d’activité et aux objectifs chiffrés de l’entreprise. Les algorithmes présentent alors des solutions évolutives pour gérer les difficultés et développer un nouveau modèle économique à partir des nouvelles opportunités du marché.

Il existe aussi des solutions prévues pour développer le commerce en ligne. Les analyses prédictives font alors place aux améliorations de l’expérience utilisateur sur le site web. Le décryptage du trafic en ligne et des modalités du déclenchement des achats orientent la stratégie digitale à suivre.

La maintenance du système par SAP France

Leader de l’ERP, SAP France propose des solutions SaaS sur-mesure aux PME et aux ETI. Les entreprises bénéficient d’une expertise du logiciel de service et d’une implémentation spécifique à leurs processus. Spécialisé dans le Cloud, SAP accompagne le projet de digitalisation de la gestion organisationnelle et fonctionnelle des entreprises jusque dans la compétitivité. Ne vous laissez pas distancer sans réagir !

The post Comment gagner en compétitivité avec un logiciel ERP innovant ? appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Lors de sa conférence globale SAPPHIRE NOW®, SAP SE (NYSE : SAP) a dévoilé SAP® Business Network, la première étape d’une stratégie ambitieuse visant à créer de nouvelles communautés professionnelles capables d’améliorer les résultats commerciaux, de mieux gérer l’évolution des conditions économiques et géopolitiques et de renforcer les contributions au développement durable.

Le groupe a également annoncé un certain nombre de nouvelles innovations destinées à aider les clients à transformer leurs processus d’entreprise, à améliorer leurs performances et à donner le meilleur d’eux-mêmes. Les points forts de ces innovations prévues sont les suivants :

Les solutions de Business Process Intelligence proposent désormais la solution SAP Process Insights

Dans le cadre du portefeuille de solutions de Business Process Intelligence (BPI), la solution SAP Process Insights permet aux entreprises d’analyser et d’améliorer leurs processus de gestion dans le monde réel. EY, Deloitte et Infosys Limited sont les premiers partenaires stratégiques à travailler avec le portefeuille BPI de SAP pour aider les entreprises à se transformer. Pour en savoir plus : « SAP annonce la nouvelle solution SAP Process Insights pour une compréhension rapide et facile de la performance des processus« .

Verify, une nouvelle fonctionnalité de SAP Concur®, utilise l’intelligence artificielle et le machine learning pour simplifier la vérification des notes de frais

Le service Verify, une nouvelle fonctionnalité des solutions SAP Concur®, utilise l’intelligence artificielle et le machine learning pour identifier automatiquement les problèmes et anomalies potentiels des notes de frais. Les modèles d’IA sont construits à partir de l’analyse de plus de 1 000 milliards de dollars de dépenses et de dizaines de millions de dépenses et de reçus. Verify peut approuver les notes de frais automatiquement, tout en signalant d’éventuelles anomalies pour que les auditeurs les examinent. Grâce à cette expérience alimentée par l’IA, les auditeurs ne perdent plus de temps à examiner des notes de frais conformes, mais restent en capacité de détecter des problèmes de conformité ou de fraude. Pour en savoir plus : « Verify applique l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique pour simplifier l’audit des dépenses« .

SAP Upscale Commerce, une solution no-code pour un engagement direct du consommateur

La solution SAP Upscale Commerce est une solution de commerce en ligne sans code qui permet aux détaillants de taille moyenne de créer une expérience d’achat omnicanale en quelques minutes. Grâce à l’IA intégrée, les détaillants peuvent proposer des offres personnalisées basées sur une vision à 360 degrés de leurs clients, à partir du ressenti client et des données d’achat. Grâce à une architecture API « headless », les détaillants peuvent fournir aux clients des informations en temps réel sur leurs achats et leur livraison, quel que soit le canal. SAP Upscale Commerce est intégré à SAP S/4HANA®, ce qui permet de s’assurer que les expériences en contact client fonctionnent avec les systèmes back-end de finance, de logistique et d’exécution pour offrir une expérience client fluide. Pour en savoir plus : « SAP Upscale Commerce offre aux marques du Midmarket une voie sans code et sans maintenance vers l’engagement direct du consommateur« .

Trois nouvelles fonctionnalités de la SAP Business Technology Platform, pour exploiter les données en toute transparence

La solution SAP Analytics Cloud offre désormais des fonctionnalités d’analyse et de planification de la main-d’œuvre opérationnelle et une intégration avec les solutions SAP SuccessFactors®. Ces fonctionnalités relient les données opérationnelles, financières et humaines pour donner aux entreprises une vision plus complète de leur personnel. Pour en savoir plus : « Enabling Human-Centric & Data-Driven Workforce Planning« .

La nouvelle marketplace de données pour la solution SAP Data Warehouse Cloud, quant à elle, permet aux clients et aux partenaires de se connecter à des fournisseurs de données de tous les secteurs et de toutes les branches d’activité afin d’obtenir des informations pour une meilleure prise de décision.

SAP étend également son offre low-code/no-code : Les services SAP Intelligent Robotic Process Automation peuvent désormais capturer et automatiser les interactions des utilisateurs et s’intégrer à SAP Process Insights pour identifier les opportunités d’automatisation à fort impact.

Vous pouvez en savoir plus sur les mises à jour de la plate-forme SAP Business Technology et obtenir d’autres informations dans le guide de l’innovation de SAPPHIRE NOW.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Mateo Moreau : 06.31.80.86.93 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

 

 

The post SAPPHIRE NOW : de nouvelles innovations SAP pour renforcer l’autonomie des clients appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Asset management and website performance optimization are two of those unavoidable headaches faced by every website owner.

A digital asset management (DAM) platform can provide centralized asset repositories with intuitive dashboards to help you manage assets. On the other hand, an image CDN can help you get rid of that messy responsive syntax and provide dynamic asset optimization with huge performance boosts.

The problem is that website performance has become such a competitive factor that DAMs with other priorities tend to fall short. On the other hand, specialized image CDNs don’t solve the problems associated with image management, particularly within organizations.

With that in mind, I propose solving these problems for good by putting together image management and optimization stack using ImageEngine and Cloudinary. Instead of being a comparison between these two tools, this article describes the benefits of using them to complement each other.

Features and Asset Management Capabilities

As a DAM, Cloudinary provides you with a visual interface to store, manage, and edit your image and video assets. In that way, it’s not much different from any other professional image managing software such as Adobe Bridge, except that it’s an online, browser-based service.

Using the Media Library, you can upload, delete, and organize images in folders, for example. The visual image editor allows you to make advanced transformations and image touch-ups and see the results instantaneously using tools like sliders, dropdowns, etc. You can even chain transformations together for multi-layered effects.

Cloudinary also allows you to manipulate images and videos this way using their URL-based API.

Cloudinary has additional auxiliary features that make asset management easier (especially in organizations), such as backups, role-based multi-user admin, and feature extensions via third-party integrations and add-ons.

This is something most image CDNs don’t provide. Instead, they allow you to access and transform images using URL manipulation. Transformations are usually made using string-based parameters or directives. A serverless, headless DAM, if you will.

However, the advantage of using a dedicated image CDN like ImageEngine, is that it can usually provide enhanced asset optimization. ImageEngine, for example, is an intelligent image CDN that uses WURFL device detection to finely read the context an image is accessed from (device model, PPI, OS, browser, resolution, etc.) and then chooses the optimal image for that configuration.

This frees up website owners from having to do any additional optimization. This business logic is also built-in to all of their global PoP servers, and ImageEngine specifically delivers cache-hit ratios close to 100%. The following performance section will illustrate the difference this can make in practice.

Check out the key differences between ImageEngine and Cloudinary. And, for a deeper insight, see the comparison with other similar CDNs, like imgix and Cloudflare

Performance

Just to cover our bases and prove that this is an effective asset management and optimization stack, I’m also going to affirm it using a Lighthouse performance audit. Here is a quick summary of the results:

For this test, I built a web page with a tonne of images with overly large file sizes. In this first Lighthouse audit, I didn’t apply any optimization to the images. Here’s the result:

As you can see, we had some major problems when it came to the loading time of our assets. Overall, the page took more than 10 seconds to load. One of Google’s crucial user-centric performance metrics, LCP, scored a miserable 7.5s. Lighthouse suggested that some of the main problems encountered were the asset file size, inefficient cache policies, using non-optimal image formats, and improperly sized images.

Both Cloudinary and ImageEngine are supposed to address all of these factors with their auto image optimization. In the next audit, I used the same page and content but served my images via Cloudinary:

As you can see, there is improvement in most factors. FCP is now in the green, and both the Speed index and LCP times have almost halved. Even TTI and CLS improved slightly. That being said, it’s still nowhere near optimal, and we’re still falling short of the all-important 3-second loading time ceiling.

So, finally, let’s do another Lighthouse audit – this time using ImageEngine on top of Cloudinary. Here are the results:

With ImageEngine, I finally scored in the green with 95. All the metrics that have to do with the sheer speed at which image content loads improved. The Speed Index and LCP, which is the most important, improved dramatically. CLS scored worse, but this typically varies from test to test.

You can find another and more extensive breakdown of the performance and pricing comparison here.

Transformations, Bandwidth Utilization, and Cost

Cloudinary’s pricing plans work on a credit-based system. Starting with the free account, you get 25 credits/month. Each credit can be used for 1,000 transformations, 1 GB of storage, or 1 GB of net viewing bandwidth. The other two packages cost $99 for 225 credits and $249 for 600 credits, respectively.

You should plan to generate a minimum of 5 transformations per image. In effect, that limits you to around 200 images with the free plan, excluding whatever manual transformations you make.

ImageEngine’s Basic plan costs $49 and provides you with 100 GB of Smart Bytes. Smart Bytes are based on optimized image content and translate to roughly 400-500 GB of raw images.

So, with Cloudinary, you have to compromise between bandwidth and storage usage as well as the number of transformations you can make. Transformations for Cloudinary are counted as they are dynamically generated on-demand.

However, if you use ImageEngine for optimization, you can switch off Cloudinary’s auto-optimization. When a new image variant is needed, it will be generated and delivered via ImageEngine. Considering variant count isn’t limited by ImageEngine, this will drastically cut down on the number of credits you’ll need to spend on transformations.

Effectively, that means you could use the bulk of your Cloudinary credits purely for storage and specific transformations. For example, advanced cropping, applying effects, or color adjustments. These are, after all, the main functions of a DAM.

With this setup, ImageEngine’s Basic plan and Cloudinary’s free plan should be adequate for most websites, saving around $50 a month.

How to Implement Cloudinary with ImageEngine

Signing up for Both Services

As it will house all of your image assets, the logical place to start would be to sign up with Cloudinary.

Create a (free) account, and make sure to take note of your “cloud name” during the setup wizard. This will be the name of your designated storage location on the Cloudinary platform and is usually a garbled string like di2zgnxh0 by default. However, you can change this to something more meaningful.

Once you’ve signed up, you can start uploading your image assets and creating different versions/transformations of them. Setting up Cloudinary integration on a CMS, like WordPress, is usually straightforward. Just indicate the CMS you’ll be using, copy the API key, install the plugin, and activate it.

Next, sign up for a free trial with ImageEngine. There will also be a short setup wizard during which you will:

  1. Provide ImageEngine with the website where your images will be delivered.
  2. Supply your image origin (in this case, your Cloudinary web folder). For now, you can only add the Cloudinary, e.g., res.cloudinary.com.
  3. Get your ImageEngine image-serving domain, e.g., {randomstring}.cdn.imgeng.in

When in your ImageEngine dashboard, you’ll see this domain listed under “Engines” as well as an entry for Cloudinary under “Origins.” Edit the latter and under “Advanced,” add your Cloudinary folder to the “PATH” field.

That’s it, you should now be able to store and manage images via Cloudinary and serve them via the ImageEngine CDN.

Dynamically Loading Specific Image Variants

Let’s take a look at a use case for loading different transformations of individual images on your site. This example will showcase how you can use Cloudinary’s advanced image editing tools to transform images while still reaping the optimization rewards of using ImageEngine as your image CDN.

A popular practice today is to use rounded images for team, client, or profile portraits. Using Cloudinary, you can load this transformation using the following URL:

https://res.cloudinary.com/myimages/image/upload/w_400,h_400,c_crop,g_face,r_max/w_200/profile.jpg

This will resize the image to 400 by 400px, focus on the face, and apply the maximum amount of radial cropping around it – to a width of 200px.

The same image can then be accessed via your ImageEngine delivery engine simply by swapping out the domain:

https://images.myimageengine.com.imgeng.in/image/upload/w_400,h_400,c_crop,g_face,r_max/w_200/profile.jpg

NOTE: I added my Cloudinary folder designation (“myimages”) as the path to my image origin. With that config, I don’t need to include it every time I use the image URL.

For example, you can set up the origin like this:

And, then under advanced:

If I specifically wanted to load the profile picture in WebP format (for transparency support, for example), I could add the ImageEngine directive f_webp:

https://images.myimageengine.com.imgeng.in/image/upload/w_400,h_400,c_crop,g_face,r_max/w_200/?imgeng=/f_webp/profile.jpg

ImageEngine and Cloudinary – The Wrap Up

Both ImageEngine and Cloudinary are superb platforms that can make managing image and video assets easier and improve your website maintenance. However, both services have their specialty in which they outperform each other.

For ImageEngine, it’s delivering blisteringly fast image loading times in next-gen formats and with a minimal loss of visual quality.

For Cloudinary, it’s providing a visual interface to organize, store, and edit your image and video assets.

As a further incentive, letting each of these services handle what they’re best at can lead to lowering your long-term operating costs.

 

[– This is a sponsored post on behalf of ImageEngine –]

Source

The post Start Using a Smart DAM and Image Optimization Stack first appeared on Webdesigner Depot.


Source de l’article sur Webdesignerdepot

WordPress powers nearly 40% of all websites, thanks to its commitment to making publication possible for everyone, for free. Combined with premium plugins and themes, it’s possibly the ultimate tool for building attractive, unique, and feature-rich websites without any coding or design experience.

However, you do pay the price for this experience, with WordPress and its third-party products not always being built for performance – whether it’s page loading times or SEO.

Image optimization is a particularly big concern. Images are one, if not the largest, contributors to page weight, and it’s growing significantly by the year. So, while images are crucial for beautifying your website pages, they are also one of the biggest factors slowing it down.

In terms of image optimization, WordPress+Elementor brings very little to the table. WordPress core now comes with both responsive syntax and lazy-loading. Elementor itself also only comes with responsive syntax out-of-the-box. However, these are baseline techniques for image optimization that will deliver the bare minimum of improvements.

This means that, while Elementor makes it easy to design sweet-looking WordPress pages (with tonnes of creatively utilized images), you will probably pay the price when it comes to performance. But don’t worry. We will show you how to dramatically improve web performance by over 30 points on scoring tools like Google’s PageSpeed Insight

Why Optimize Your Elementor Images with ImageEngine?

In general, image CDNs use various techniques to get image payloads as small as possible and deliver image content faster, all while minimizing the visual impact. ImageEngine is no different in that regard.

Firstly, ImageEngine, when used in auto mode, will apply all of the following optimizations that web performance tools like Google’s PageSpeed Insight recommend. For example:

  • Properly size images – ImageEngine automatically resizes images for optimal size-to-quality ratios depending on the screen size of the user device. ImageEngine supports Retina devices.
  • Efficiently encode images – Applies different rates of compression depending on the PPI of the user devices. For example, ImageEngine adapts and more aggressively compresses on higher PPI devices without losing visual quality.
  • Next-gen format conversion – Automatically converts images to the optimal next-gen format according to the browser, device, or OS. ImageEngine can convert images to WebP or JPEG-2000 as well as GIFs to MP4 or WebP.  AVIF is also available in a manual directive mode.
  • Strip unnecessary metadata

While these features are standard for most image CDNs, ImageEngine is unique for its use of WURFL device detection. This gives ImageEngine much deeper insight into the user device accessing a website page and, by extension, its images. Using the screen size, resolution, PPI, etc., ImageEngine can make more intelligent decisions regarding how to reduce image payloads while maintaining visual quality.

This is why ImageEngine brands itself as an “intelligent, device-aware” image CDN and why it can reduce image payloads by as much as 80% (if not more).

ImageEngine also provides a proprietary CDN service to accelerate image delivery. The CDN consists of 20 globally positioned PoPs with the device-aware logic built-in. This allows you to deliver image content faster in different regions while also serving images straight from the cache with a ~98% hit ratio.

ImageEngine also supports Chrome’s save data setting. If someone has a slow connection or has activated this setting, ImageEngine will automatically compress image payloads even more, to provide a better user experience on slower connections.

How to Use ImageEngine with WordPress and Elementor

If you’re using WordPress and Elementor, then chances are you want to spend as little time on development and other technicalities as possible. Luckily, ImageEngine is a highly streamlined tool that requires little to no effort to integrate or maintain with a WordPress site.

Assuming you already have a WordPress website with Elementor, here are the step-by-step instructions to use ImageEngine:

  1. Go to ImageEngine.io and sign up for a 30-day free trial.
  2. Provide ImageEngine with the URL of the website you want to optimize.
  3. Create an account (or sign up with your existing Google, GitHub, or ScientiaMobile account).
  4. Provide ImageEngine with the current origin where your images are served from. If you upload images to your WordPress website as usual, then that means providing your WordPress website address again.
  5. Finally, ImageEngine will generate an ImageEngine delivery address for you from where your optimized images will be served. This typically takes the form of: {randomstring}.cdn.imgeng.in. You can change the delivery address to something more meaningful from the dashboard, such as myimages.cdn.imgeng.in.

Now, to set up ImageEngine on your WordPress website:

  1. Go to the WordPress dashboard and head to Plugins -> Add New.
  2. Search for the “Image CDN” plugin by ImageEngine. When you find it, install and activate the plugin.

  1. Go to Settings -> Image CDN. OK, so this is the ImageEngine plugin dashboard. To configure it, all you need to do is:

a. Copy the delivery address you got from ImageEngine above and paste it in the “Delivery Address” field.

b. Tick the “Enable ImageEngine” box.

That’s literally it. All images that you use on your WordPress/Elementor pages should now be served via the ImageEngine CDN already optimized. 

ImageEngine is largely a “set-it-and-forget-it” tool. It will provide the best results in auto mode with no user input. However, you can override some of ImageEngine’s settings from the dashboard or by using URL directives to manipulate images.

For example, you can resize an image to 300 px width and convert it to WebP by changing the src attribute like this:

<img src="https://myimages.cdn.imgeng.in/wp-content/uploads/2021/03/banner-logo.png?imgeng=/w_300/f_webp">

However, use this only when necessary, as doing so will limit ImageEngine’s adaptability under different conditions.

What Improvement Can You Expect?

Let’s see what results you can expect from using an image CDN to improve your page loading times.

For this, I created two identical WordPress pages using the Elementor theme. The one page purely relied on WordPress and Elementor, while I installed and set up ImageEngine for the other. The page had some galleries as well as full-size images:

The pages used many high-quality images, as you might expect to find on a professional photography gallery, photography blog, stock photo website, large e-commerce site, etc. I then ran page performance tests using Chrome’s built-in Lighthouse audit tool, choosing scores representing the average results I got for each page.

For thoroughness, I tested both the mobile and desktop performance. However, I focused on the mobile results as these showcase more of the image CDN’s responsive capabilities. Mobile traffic also accounts for the majority share of internet traffic and seems to be the focus for search engines going forward.

So, first of all, let’s see the mobile score for the page without ImageEngine:

As you can see, there was definitely a struggle to deliver the huge amount of image content. Google has shown that 53% of mobile users abandon a page that takes more than 3s to load. So, clearly, this page has major concerns when it comes to user experience and retaining traffic.

The desktop version fared much better, although it still left much to be desired:

When digging into the reasons behind the slowdown, we can identify the following problems:

Most of the issues related somehow to the size and weight of the images. As you can see, Lighthouse identified a 3.8 MB payload while the total image payload of the entire page was close to 40 MB.

Now, let’s see what kind of improvement ImageEngine can make to these issues by looking at the mobile score first:

So, as you can see, a major improvement of 30 points over the standard WordPress/Elementor page. The time to load images was cut down by roughly 80% across the key core web vital metrics, such as FCP, LCP, and the overall Speed Index.

In fact, we just reached that critical 3s milestone for the FCP (the largest element on the visible area of the page when it initially loads), which creates the impression that the page has finished loading and will help you retain a lot of mobile traffic.

The desktop score was also much higher, and there was further improvement across the key performance metrics.

If we look at the performance problems still present, we see that images are almost completely removed as a concern. We also managed to bring down the initial 3.8 MB payload to around 1.46 MB, which is a ~62% reduction:

An unfortunate side effect of using WordPress and WordPress plugins is that you will almost inevitably face a performance hit due to all the additional JavaScript and CSS. This is part of the reason why we didn’t see even larger improvements. That’s the price you pay for the convenience of using these tools.

That being said, the more images you have on your pages, and the larger their sizes, the more significant the improvement will be.

It’s also worth noting that lazy-loaded images were loaded markedly faster with ImageEngine if you quickly scroll down the page, again making for an improved user experience.

Thanks to its intelligent image compression, there was also no visible loss in image quality, as you can see from this comparison:

Conclusion

So, as you can see, we can achieve significant performance improvements on image-heavy websites by using the ImageEngine image CDN, despite inherent performance issues using a CMS. This will translate to happier users, better search engine rankings, and an overall more successful website.

The best part is that ImageEngine stays true to the key principles of WordPress. You don’t have to worry about any of the nuts and bolts on the inside. And, ImageEngine will automatically adjust automation strategies as needed, future-proofing you against having to occasionally rework images for optimization.

Source

The post Create Beautiful WordPress Pages with Optimized Images Using Elementor and ImageEngine first appeared on Webdesigner Depot.


Source de l’article sur Webdesignerdepot