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Cloud Computing has emerged as a novel technology today. Every company is a software company today, and it is evident that no company can service without using the power of cloud computing. The cloud is seen as a conceptual layer on the Internet, making all available software and hardware resources transparent, rendering them accessible through a well-defined interface. 

As the companies are increasingly relying on these cloud computing services to be always stable and accessible whenever their customers need them, the services and applications’ downtime is highly unacceptable. In this article, we will be discussing the concepts related to high availability (HA), what it is, how it works, and how companies can take advantage of this. 

Source de l’article sur DZONE

Les clients optent de plus en plus pour des expériences riches de sens et s’en remettent à l’IA pour toutes les autres tâches. C’est pourquoi les entreprises doivent oublier la routine et tendre vers le sublime.

Des clients en quête de sens

Appelons ça la révolution de la quête de sens. De Facebook aux cours de yoga, en passant par les manuels de développement personnel, tout est mis à la disposition d’une classe moyenne mondiale en pleine explosion (+160 millions chaque année (1)) pour l’aider à donner plus de sens à son quotidien, un objectif auxquels aspirent instinctivement tous les hommes (2).

Bien que les entreprises soient tout de même tenues de répondre aux attentes traditionnelles des clients (des produits et services de qualité fournis avec un maximum d’efficacité et un service client optimal), elles doivent maintenant également se focaliser sur la vie à laquelle aspirent les clients. Si une partie de l’expérience client ne parvient pas à offrir un sentiment gratifiant sur le plan émotionnel, elle sera alors reléguée en arrière-plan (voir « L’IA comme intermédiaire »), où des algorithmes de type « configurez puis oubliez » prendront le relais (3).

Avec des technologies comme le Machine Learning, le cloud computing et l’IoT, tout ce qui est perçu comme routinier ou répétitif se transforme en une expérience client automatisée en arrière-plan. Mais, la bonne nouvelle, c’est que ces mêmes technologies constituent aussi un nouveau moyen pour les entreprises de donner plus de sens qu’aujourd’hui aux différentes composantes de l’expérience.

Les différents types d’expériences riches de sens

Bien qu’il existe autant de définitions du terme « expériences riches de sens » que de personnes, pour les entreprises, ces expériences entrent dans quatre grandes catégories :

Divertissement

Dans des centres commerciaux de Californie, de Floride, du Nevada et du Royaume-Uni, cette année, les clients ont enfilé des casques de réalité virtuelle (RV) et ont déambulé dans un espace conçu pour leur donner l’impression d’être dans un film Star Wars. L’expérience a reçu d’excellentes critiques (4). Les frontières entre les marques grand public, les détaillants et le divertissement continueront de s’estomper, comme en témoigne le succès de films et vidéos YouTube qui sont, pour ainsi dire, l’extension de publicités ou jeux vidéo (5).

Interaction

Dans les petites villes, les gens avaient pour habitude d’aller chez le boucher ou dans l’épicerie du coin non seulement pour acheter des produits de première nécessité, mais aussi pour faire le plein de rumeurs sur le quartier. Avec l’apparition des grandes surfaces, ces expériences sociales ont quasiment disparu. Mais grâce au gain d’efficacité généré par le Machine Learning et le commerce en ligne, les retailers peuvent contrecarrer cette tendance en offrant aux gens de nouvelles façons de communiquer avec les autres et avec leurs communautés. L’utilisation de technologies comme la RV, la réalité augmentée (RA) et l’IA pourrait permettre aux retailers haut de gamme de devenir les boîtes de nuit du 21e siècle, par exemple, ou encore à un stade de devenir un nouveau centre commercial.

Apprentissage

Les entreprises doivent s’inspirer de notre fascination pour le fonctionnement des choses pour créer ou développer des relations riches de sens avec leurs clients. En améliorant leur connaissance d’un produit, l’expérience des clients devient ainsi plus riche de sens. Par exemple, les fabricants de téléphones mobiles se livrent une guerre sans merci sur la qualité de leurs appareils photo. Ils ont donc tout intérêt à offrir des cours de photographie en magasin et à domicile par le biais de technologies comme la RV et la RA.

Aspiration

L’alignement des ventes sur une aspiration humaine fondamentale pourrait expliquer pourquoi le nombre de centres de bien-être et de remise en forme dans les centres commerciaux a doublé au cours des cinq dernières années (6). Cela explique aussi pourquoi les applications de suivi de santé et de fitness sont devenues si populaires. Les clients recherchent en effet des moyens de surveiller leurs progrès et de partager leurs objectifs avec une communauté plus vaste.

Que peut faire votre entreprise ?

Votre expérience est dépourvue de sens ? Créez-le !

Les entreprises qui n’offrent pas déjà de dimension riche de sens à l’expérience qu’ils proposent seront reléguées au second plan par les clients ou par des agents d’IA axés sur l’efficacité et agissant pour leur compte. Elles doivent mettre les bouchées doubles pour maximiser le moindre élément riche de sens dans leur expérience et ainsi se protéger de la concurrence. Elles peuvent utiliser les nouvelles tech­nologies pour repousser les limites de l’expérience ou aller complètement au ­delà de ces limites pour donner à leurs produits ou services une autre dimension, où des expériences riches de sens existent déjà.

Prenez soin de vos clients, ne les contrôlez pas

Dans un monde où les clients peuvent exprimer ce que bon leur semble à un assistant d’IA vocal, il est impossible de contrôler la totalité de leur expérience. Prendre soin des clients est donc la meilleure alternative. Vous les aidez ainsi à laisser de côté le superflu et démontrez votre capacité à rassembler le meilleur dans une sorte de forfait d’abonnement, même si une partie de ce travail doit être effectuée par des tiers (comme une marque de niche ayant une expertise bien précise dans un domaine donné).

Supprimez toute distraction

Une fois la proposition de sens essentielle identifiée, automatisez tout ce qui peut distraire le client des éléments les plus riches de sens de l’expérience.

Fournissez une plateforme créatrice de sens

Les entreprises peuvent créer des plateformes technologiques créatrices de sens à un coût relativement bas. Dans le domaine du fitness, par exemple, les entreprises fournissent des plateformes permettant aux développeurs de créer des applications qui aident les utilisateurs à se sentir connectés grâce à différents types de données : meilleurs scores personnels, itinéraires crowdsourcés et compétitions « Roi de la colline ».

Article publié en anglais sur insights.sap.com


Références :

(1) Homi Kharas, The Unprecedented Expansion of the Global Middle Class: An Update (L’expansion sans précédent de la classe moyenne mondiale : mise à jour) (Brookings, février 2017), https://www.brookings.edu/research/the-unprecedented-expansion-of-the-global-middle-class-2/.

(2) Neel Burton, « Our Hierarchy of Needs » (Notre hiérarchie des besoins) Psychology Today, 23 mai 2012 (mis à jour en septembre 2017), https://www.psychologytoday.com/us/blog/hide-and-seek/201205/our-hierarchy-needs.

(3) Volker Hildebrand, Lori Mitchell-Keller, Christopher Koch et Polly Traylor, « Customer Relationship Status: It’s Complicated » (Statut de la relation client : c’est compliqué), Digitalist Magazine, 18 novembre 2015, https://www.digitalistmag.com/executive-research/customer-relationship-status-its-complicated.

(4) « The VOID – Glendale Galleria », Yelp, consulté le 2 octobre 2018, https://www.yelp.com/biz/the-void-glendale-galleria-glendale-2.

(5) « La Grande Aventure Lego », Warner Bros., consulté le
2 octobre 2018, https://www.warnerbros.com/lego-movie.
« Assassin’s Creed », 20th Century Fox Movies, consulté le
2 octobre 2018, https://www.foxmovies.com/movies/assassins-creed.

(6) Diana Olick, « Malls Hope to Get Back in Shape by Adding Gyms » (Les centres commerciaux espèrent retrouver la forme en installant des salles de gym), CNBC, 1er février 2018, https://www.cnbc.com/2018/02/01/malls-hope-to-get-back-in-shape-by-adding-gyms.html.

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Source de l’article sur sap.com

The use of serverless computing has become a must nowadays, and some of you may already know a thing or two about Amazon Web Services like Lambda Functions, Step Functions, and other services AWS provides. However, if this is the first time you hear about them – fantastic!

In this article, we’ll discuss AWS Step Functions, what they are used for, how to use them, and the advantages or disadvantages that they bring.

Source de l’article sur DZONE

The digital world is a place of constant change. Just as you get used to a new design trend, another one appears, forcing you to rethink the way that you approach each client project. 

As a web designer, it’s up to you to make sure that you have your finger on the pulse on the latest transformations in the industry. However, it can be challenging to know for sure which trends you should be taking seriously, and which you can simply ignore. 

One option to refine and enhance your design journey is to pay attention to influencers. 

Influencers aren’t just there to guide customers into making purchasing decisions. These people are thought-leaders in their field. They spend all of their time tracking down ideas and concepts that really work. That way, they can maintain a successful reputation online.

Sourcing information and motivation from the following UX influencers could help you to create some truly amazing websites in 2020: 

1. Andrew Kucheriavy 

Andrew Kucheriavy is the phenomenal co-founder and CEO of a company named Intechnic. Andrew was one of the first people in the world to be given the “Master in User Experience” award. This means that he’s an excellent person to pay attention to if you want help understanding the ins and outs of user experience design

As one of the leading visionaries in UX, business strategy, and inbound marketing, Andrew has a lot of useful information to offer professionals and learners alike. Andrew is particularly active on Twitter, where he’s constantly sharing insights on design and marketing. You can also find input from Andrew on the Intechnic blog. 

2. Jeff Veen 

Another must-follow for designers who want to learn more about understanding their audience and their position in the marketplace, Jeff Veen is a leader in UX and product design. Veen got his start with the founding team for Wired, before he created the Adaptive Path company for UX consulting. Jeff Veen is also known for being responsible for various aspects of Google Analytics. 

Over the years, Jeff has expanded his knowledge in the design space, and mentored various companies, from WordPress to Medium. He also has a fantastic podcast that you can listen to for guidance when you’re on the go. 

3. Jared Spool 

Jared Spool has been tackling the most common issues of user experience since before the term “UX” was even a thing. Excelling in the design world since 1978, Jared has become one of the biggest and most recognizable names in the user experience environment. He’s the founder of the User Interface Engineering consulting firm. The company concentrates on helping companies to improve their site and product usability. 

Jared offers plenty of handy information to stock up on in his Twitter feed. Additionally, you can find plenty of helpful links to blogs and articles that he has published around the web on Twitter too. He’s followed by Hubgets, PICUS, and many other leading brands. Make sure that you check out his collection of industry-leading talks on UIE. 

4. Jen Romano Bergstrom

An experimental psychologist, User Experience Research coach, and UX specialist, Jen is one of the most impressive women in the web design world. She helped to create the unique experiences that customers can access on Instagram and Facebook. Additionally, she has a specialist knowledge of eye-tracking on the web. You can even check out Jen’s books on eye-tracking and usability testing

When she’s not writing books or researching user experience, Jen is blogging and tweeting about usability and researching new strategies in the web design space. It’s definitely worth keeping up with Jen on Twitter, particularly if you want to be the first to know about her upcoming seminars and learning sessions. 

5. Katie Dill 

Katie Dill is the former Director of Experience for Airbnb, so you know that she knows her way around some unique experiences. With an expertise in working with companies that harness new technologies and UX design, Katie Dill is at the forefront of the user experience landscape. Dill attends various UX conferences throughout the year, and publishes a range of fantastic videos on YouTube. 

You can find blogs and articles from Katie published on the web; however, you’ll be able to get the most input from her by following Katie on her Twitter account. 

6. Khoi Vinh 

Khoi Vinh is one of the most friendly and unique UX bloggers and influencers on the market today. He knows how to talk to people in a way that’s interesting and engaging – even about more complicated topics in UX design. Vinh is a principle designer at Adobe, and he has his own podcast called Wireframe. However, he still finds time to keep his followers engaged on Twitter. 

Over the years, Khoi has worked as a Design Director for Etsy and the New York Times. Vinh also wrote a book called “Ordering Disorder” which examines grid principles in web design. According to Fast Company, he’s one of the most influential designers in America. Additionally, Khoi has a brilliant blog where you can check out all of his latest insights into UX design. 

7. Cory Lebson

Cory Lebson is a veteran in the world of web design and user experience. With more than 2 decades of experience in the landscape, Cory has his own dedicated UX consulting firm named Lebsontech. Lebson and his company concentrate on offering UX training, mentoring, and user experience strategy support to customers. Cory also regularly speaks on topics regarding UX career development, user experience, information architecture and more. 

Cory is an excellent influencer to follow on Twitter, where you’ll find him sharing various UX tricks and tips. You can also check out Cory’s handbook on UX careers, or find him publishing content on the Lebsontech blog too. 

8. Lizzie Dyson

Another amazing woman in the industry of UX, Lizzie Dyson is changing the experience landscape as we know it. Although she’s a relatively new figure in the web design world, she’s recognized world-wide for her amazing insights into the world of web development. Lizzie also helped to create a new group specifically for women that want to get involved in web design. 

The Ladies that UX monthly meet-up welcomes a community of women into the digital landscape, helping them to learn and expand their skills. Lizzie regularly publishes content online as part of Ladies that UX. Additionally, she appears on the Talk UX feed – an annual design and tech conference held for women around the world. 

9. Chris Messina 

Chris Messina is a product designer and a technical master who understands what it takes to avoid disappointing your users. With more than a decade of experience in the UX design landscape, Messina has worked for a variety of big-name brands, including Google and Uber. He is best known as the inventor of the hashtag!

Chris is a highly skilled individual who understands the unique elements that engage customers and keep people coming back for more on a website. You can see Chris speaking at a selection of leading conferences around the world. Check out some of his talks on YouTube or track down his schedule of upcoming talks here. Chris also has a variety of fantastic articles on Medium to read too. 

10. Elizabeth Churchill

Last, but definitely not least, Elizabeth Churchill is a UX leader with an outstanding background in psychology, research science, psychology, artificial intelligence, cognitive science, human interaction with computers and more. She knows her way around everything from cognitive economics, to everyday web design. Churchill also acts as the director of UX for Google Material Design. 

A powerhouse of innovation and information, Churchill has more than 50 patents to her name. She’s also the vice president of the Association for Computing Machinery too. When she’s not sharing information on Twitter, Elizabeth also has a regular column that you can tune into on the ACM Interactions magazine. 

Who Are You Following in 2020?

Whether you’re looking for inspiration, guidance, or information, the right influencers can deliver some excellent insights into the world of web design. There are plenty of thought leaders out there in the realm of user experience that can transform the way that you approach your client projects. You might even discover a new favourite podcast to listen to, or an amazing series of videos that help you to harness new talents. 

Influencers are more than just tools for digital marketing; they’re an excellent source of guidance for growing UX designers too.

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

A data scientist extracts manipulate and generate insights from humongous data. To leverage the power of data science, data scientists apply statistics, programming languages, data visualization, databases, etc.

So, when we observe the required skills for a data scientist in any job description, we understand that data science is mainly associated with Python, SQL, and R. The common skills and knowledge expected from a data scientist in the data science industry includes – Probability, Statistics, Calculus, Algebra, Programming, data visualization, machine learning, deep learning, and cloud computing. Also, they expect non-technical skills like business acumen, communication, and intellectual curiosity.

Source de l’article sur DZONE

La crise économique actuelle pousse les entreprises vers des logiciels et des services basés sur le cloud computing qui sont peu gourmands en ressources, rentables et faciles à déployer. SAP est dans une position unique pour offrir ces solutions.

Le groupe New Ventures and Technologies de l’entreprise, dirigé par Max Wessel, est une unité exploratoire mise en place pour produire rapidement des technologies de pointe, orientées vers l’avenir. En plus de diriger le groupe, M. Wessel est directeur de l’innovation pour SAP et directeur général de SAP Bay Area. Wessel nous parle ici de son approche pour encourager l’innovation.

Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

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Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

Q : Qu’est-ce que l’innovation chez SAP ?

R : L’innovation est un grand mot, et nous en faisons beaucoup chez SAP. C’est dans chaque changement progressif que nous apportons à un produit, dans chaque itération de notre modèle commercial et de notre approche pour engager les clients. Et nous devrions être fiers de tout cela. Lorsque les clients nous demandent ce qu’ils pensent de l’innovation, c’est souvent à propos de l’adoption de technologies et de modèles commerciaux véritablement nouveaux. Ces dernières années, SAP a fait de grands progrès en ciblant les changeurs de jeu en plus de notre activité principale. Par exemple, l’équipe Voice AI de Newport Beach utilise le traitement du langage naturel pour analyser les données du centre d’appel SAP Concur afin de déterminer l’efficacité d’un engagement. Au lieu de passer des centaines d’heures à vérifier manuellement les journaux d’appels, l’intelligence artificielle (IA) prend le relais. C’est un excellent exemple de l’utilisation d’une nouvelle technologie pour résoudre un problème ancien. Comment SAP crée-t-il de l’innovation organique ?

Dans toute l’entreprise, nous introduisons de nouvelles fonctionnalités, de nouveaux produits et de nouveaux services sur ce qui semble être une base quotidienne. Cette innovation nous a permis de nous implanter solidement dans l’environnement de nos clients. Cependant, pour assurer une croissance transformatrice, nous avons également besoin d’une grande vision. Nous devons nous projeter dans dix ans, identifier les grands problèmes qui méritent d’être résolus, puis les attaquer de manière à apporter de la valeur à nos clients.

Parallèlement à cette vision, SAP doit donner à ses innovateurs les moyens d’explorer de nouvelles technologies, de travailler avec les clients sur des preuves de concept (POC) et de partager de grandes idées avec des collègues du monde entier. C’est cet échange qui nous permet d’identifier ensemble les grandes idées. L’année dernière, plus de 20 000 employés se sont engagés dans notre programme d’intrapreneurs, et lors de notre réunion de lancement du développement en janvier, nous avons officiellement lancé l’outil SAP Technology Radar, une plateforme centrale et interne d’échange de connaissances sur les nouvelles technologies. Nous voulons que chaque employé contribue au processus de développement de SAP. Et notre équipe New Ventures and Technologies soutient cette conversation.

Quelles sont les grandes tendances que vous observez ?

Il existe encore un énorme potentiel pour l’apprentissage machine au sein de l’entreprise. C’est pourquoi nous continuons à pousser les capacités d’IA dans la reconnaissance vocale et à étudier la génération de données synthétiques et les nouvelles méthodes de cryptage. Nous pensons qu’elles joueront un rôle dans l’introduction de capacités d’IA avancées dans l’entreprise.

Mais ce n’est pas seulement une question de technologies. Il s’agit aussi de simplifier le déploiement et la personnalisation des logiciels grâce à des logiciels « sans code » et à l’automatisation des processus d’entreprise. Ces progrès permettront à presque tout le monde de créer une application commerciale, sans avoir besoin d’être ingénieur.

La dernière tendance est l’application de nouveaux modèles commerciaux pour fournir des logiciels de manière fondamentalement différente. Par exemple, nous sommes désormais en mesure de mettre en relation des petites et moyennes entreprises (PME) avec des partenaires de prêt dans Ariba Network, en utilisant leurs factures comme point de référence pour le crédit. Cela nous a permis d’ouvrir le crédit à des entreprises qui en ont désespérément besoin pendant la crise économique actuelle, sans frais pour les entreprises ou pour nos clients SAP Ariba – tout cela parce que nous avons expérimenté ce nouveau modèle commercial au cours des deux dernières années.

Comment trouvez-vous ces points forts dans le portefeuille de SAP ?

SAP brille lorsque nous comprenons le problème du client, que nous avons une expertise approfondie du domaine dans un secteur d’activité donné et que nous infusons de nouvelles technologies pour résoudre le problème. Le produit de prêt aux PME que je viens de mentionner, Apparent Financing by SAP, est venu de l’équipe d’Ariba Network sur la base de conversations qu’ils ont eues avec leurs clients. Ils avaient une compréhension approfondie du problème du client, mais ils avaient besoin d’un partenaire technologique et l’ont trouvé dans notre organisation.

Une partie de notre rôle consiste à entamer une conversation avec l’ensemble de SAP sur l’avenir. Chaque année, nous menons diverses campagnes d’innovation chez SAP. Grâce à ces efforts, une grande partie des projets que nous lançons viennent directement des experts de notre entreprise. J’encourage mon équipe à adopter l’esprit d’un débutant en prenant du recul pour écouter toutes les idées des experts en produits et comprendre où se trouvent les nouvelles opportunités.

Comment éviter la cannibalisation de nos solutions classiques ?

Je préfère que nous cannibalisions nos solutions classiques plutôt que de laisser un concurrent le faire. C’est là que nous devons faire preuve de créativité et de conviction. Si nous sommes convaincus que le monde changera dans 10 ans, nous devrions alors nous engager dans une cannibalisation des flux existants. Le passage au « cloud » au cours de la dernière décennie est une chose dont SAP devrait être immensément fier. Mais le nuage est plus qu’un nouveau mécanisme de livraison, et il nous a obligé à réorganiser beaucoup de nos produits. Et nous l’avons fait avec audace, convaincus que le nuage serait le mécanisme de diffusion préféré de nombre de nos clients dans de nombreuses situations.

Comment pouvons-nous inciter nos employés à être plus innovants ?

Je m’oppose à la prémisse selon laquelle les employés ne sont pas assez innovants. Je reçois de nos collègues plus d’idées plus créatives et une compréhension plus approfondie d’un problème de l’industrie que vous ne pouvez l’imaginer. Au lieu d’inciter les gens à être plus innovants, nous devons les responsabiliser. L’une des initiatives dont je suis le plus fier chez SAP est notre programme d’intrapreneuriat. Lorsque j’ai repris l’organisation, moins de 3 000 personnes participaient chaque année à notre groupe d’exploration et d’accélération. Nous en avons maintenant plus de 20 000, et l’objectif cette année est d’en engager 25 000.

La raison pour laquelle nous menons le programme intrapreneuriat n’est pas que nous pensons qu’il va générer de meilleures idées – les idées sont déjà là. Il s’agit de donner aux gens un moyen de développer ces idées, de les tester et de les commercialiser. Et plus nous en ferons pour faciliter l’innovation, plus il sera facile pour les gens d’innover.

Que devons-nous faire pour permettre un meilleur rendement de l’innovation ?

Je pense que nous avons besoin de trois ingrédients : un capital patient, une structure créative et un mandat exécutif. S’attaquer aux grands problèmes prend du temps, et c’est pourquoi nous devons planifier en termes d’horizons temporels de dix ans. Nous devons mettre en place de petites équipes pour résoudre les problèmes que seul SAP peut résoudre et leur donner la patience et la structure qui leur permettent d’apporter de la valeur au marché. Si elles s’attaquent à des problèmes suffisamment importants, si on leur donne ce mandat, si on leur permet d’emprunter une voie non linéaire, elles feront des choses étonnantes.

En tant que directeur général de SAP Bay Area, quels avantages y a-t-il à faire partie des 20 sites mondiaux qui composent le réseau de laboratoires SAP ?

Au début de la pandémie COVID-19, nous avons pu joindre tous les directeurs de laboratoires par téléphone pour comprendre les meilleures pratiques réglementaires et les communications numériques dans différents environnements culturels. C’est un parfait exemple de la façon dont nous pouvons exploiter le meilleur d’une force de développement mondiale pour favoriser l’amélioration. Mais nous combinons également des idées et des forces lorsqu’il s’agit d’activer la base d’employés pour stimuler l’innovation, de créer des hackathons, de donner aux employés les moyens de trouver de nouvelles idées commerciales ou d’étendre notre portée dans l’écosystème afin d’identifier des partenaires locaux qui peuvent mettre nos produits et services sur le marché.

Quelle est votre recette personnelle pour pérenniser SAP ?

Tout ce que nous faisons du point de vue de l’innovation doit viser à rendre les logiciels d’entreprise plus personnels, plus flexibles et plus ouverts. Il est plus facile que jamais de connecter les systèmes entre eux, ce qui signifie que plus vos systèmes et votre écosystème sont ouverts, plus vous pouvez proposer une grande variété d’innovations. SAP compte 100 000 employés, mais 7,5 milliards de personnes sur la planète sont motivées pour nous aider à améliorer le fonctionnement du monde. Nous serions négligents si nous ne nous ouvrions pas aux idées extérieures sur la manière de faire évoluer les logiciels d’entreprise.

 

 

Publié initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Web developers have been the bedrock of any company’s business strategy for some time, and the industry is continuing to thrive and grow at a rapid pace. This is why it’s surprising that it is so lacklustre when it comes to diversity.

A recent study revealed 80% of those in the design industry are male, and more specifically 79% within the field of web design. According to WISE, just 23% of the people working in STEM roles (Science, Technology, Engineering and Maths) are female and women currently account for just 15.8% of the UK’s current generation of engineering and technology graduates.

Why the Lack of Diversity in Web Design?

The main reason for this, as cited by the Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD) found that women still lack the confidence to pursue these careers, despite their school results being as good as (or better) than their male counterparts. Research has found that the professional and technical services sector has the fourth-highest gender pay gap of all UK industries. If more women were to join these higher-paid sectors it could help reduce the gender pay gap as a whole, as well as help female economic empowerment.

This division is seen in ethnic minority groups too. The numbers for BAME (Black, Asian, Minority Ethnic) employees in the British tech industry are unknown but is estimated by the British Computer Society to be at 1-2%, a ridiculously low number in this day and age. This is why groups and organisations are cropping up designed to promote an industry that reflects all of society rather than one part of it. Here are some of the organisations to pay attention to who are bridging the diversity gaps in web design.

Girls Who Code

Girls Who Code are working to create opportunities for women within tech, aiming to deepen their computer science skills and confidence. They run a range of programs designed to equip women with the necessary computing skills to pursue opportunities in the field and to give chances that are often shunned due to society. Founder Saujani states that women are socialized to seek perfection, and this is something that needs to be overcome. One way to break that mentality at an early age, she says, is coding:

[Girls] walk into these classrooms and they feel like they will never be good at it, and when they learn how to create something, whether it’s a website or app, it changes their mindset and they stop giving up

Adobe Design Circle

Adobe Design Circle is another initiative aiming to introduce all members of society to design. They want to create more visibility for design as a viable career path for anyone that might be considering it, and to help with youth entering the field. This is opening the opportunities of working in tech and web to aspiring designers at a young age who aren’t necessarily yet conditioned by the pressures of society and showing them it can be a realistic career path.

They have their own scholarships and mentoring initiative to support these goals too. The faces behind the team of Adobe Design Circle range through multiple ethnicities and have a fairly even male-female divide. This equal representation alone is inspiring. One of Adobe’s core missions is to offer youth the opportunity to learn and express themselves through creativity and technology, regardless of their economic or cultural backgrounds. With this they specifically encourage applicants of all backgrounds to apply and offer many other opportunities from mentoring to internships.

Ladies that UX

Ladies that UX are a collaborative community of women in UX aiming to “support each other, push the UX boundaries and promote female skill and talent.” It is a European-based initiative where each city involved runs slightly different events and groups decide together what they would like to get from their meetups. They assist each other with UX challenges, discuss topics, and brainstorm ideas. Ladies that UX was created in 2013 by Georgie Bottomley and Lizzie Dyson with the aim of bringing together women in the industry, offering support and creating connections around the world.

Xuntos

Xuntos is aiming to create the largest community of ambitious and talented individuals from under-represented groups in the technology industry. It works to nurture university students and recent graduates that are often overlooked in the tech industry by the means of educational workshops, university hubs, events and an active community. The very name “Xuntos” is a Galician word which means “together” and this is their most important factor. They want people to realise they are not alone and just because the representation isn’t there, doesn’t mean their capabilities aren’t.

Colorintech

Colorintech is a non-profit organisation that was founded in 2016. It aims to close the gap and shorten the learning curve, with a strong community designed to help each other. The company was founded by Silicon Valley tech executive Dion McKenzie and ex-Googler Ashleigh Ainsley after they became frustrated at the few black individuals in the field. Since its inception 30,000 students, professionals, volunteers and tech companies have been impacted by their work, and over 450 minorities graduated from their programs in 2019 alone.

UKBlackTech

UKBlackTech are on a mission to create the most diverse tech sector in the world. Their aim is to encourage more ethnic minorities to enter the UK’s technology workforce and make an impact. To help with this, they design and implement different initiatives to help them get employed and retain employment, put on bespoke events that target aspects such as specific job roles or tech topics and promote different opportunities for members to apply to.

Witty Careers

Witty Careers was created with the aim to support women from black and ethnic minority backgrounds in the UK and equip them with the skills to build a career in the tech industry. They run different practical skills workshops and events which in the past have included visits to a Microsoft store, Uber, and Pivotal. They open doors for communications, networking and future career prospects for those in the minority. They also have a handy range of resources designed to help you get into the career you want. From CV writing advice to industry insights, they are all free of charge.

Featured image via Unsplash.

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SAP propose depuis une quinzaine d’années une solution de gestion d’entrepôt appelée SAP Extended Warehouse Management, qui s’est enrichie pour répondre aux besoins des clients, quel que soit l’industrie ou le marché adressé : gestion avancée des vagues, mobilité, pilotage intégré de la mécanisation, Labor Management, pré colisage, intégration avec la production … Le tout dans une approche ‘Digital Supply Chain of One’, visant à fournir à nos clients une chaine logistique agile, unifiée et ‘end to end’.

Dans cette démarche d’amélioration et d’innovation continue, un nouveau module a vu le jour l’année dernière pour apporter un niveau supplémentaire d’optimisation aux clients qui le souhaitent.

SAP Warehouse Insights est un module basé sur la plateforme SCP (SAP Cloud Platform), et dédié à l’optimisation des entrepôts et de leurs ressources. Basé sur les dernières technologies : algorithmes, cloud computing et machine learning, cet outil complète les fonctions déjà avancées de la solution SAP Extended Warehouse Management. Les principaux domaines sont : la cartographie des entrepôts, des fonctions supplémentaires d’analyses et de monitoring de KPIs, la simulation de l’utilisation des ressources, et l’optimisation en temps réel.

SAP Warehouse Insights a été conçu pour tout type de clients et d’industries. Il apporte un niveau ultime dans l’optimisation des ressources et des missions en proposant les meilleurs scénarios possibles. Si le module s’enrichit en permanence de nouvelles fonctions, à ce jour il faut retenir 3 principaux sujets :

  • Visualisation dynamique de la cartographie entrepôt et des parcours des opérateurs,
  • Analyse des opérations, basées sur les données historiques comme la charge de travail et les distances de déplacement des ressources,
  • Optimisation / ré optimisation des missions (Warehouse Orders) affectées aux ressources pour réduire les déplacements à vide.

 

Cartographie entrepôt

Les utilisateurs peuvent interroger la cartographie d’un site de façon dynamique et interactive. Cela se traduit par une visualisation précise et aisée des différentes zones, avec la capacité d’aller jusqu’à la granularité la plus fine  (emplacement), et de s’assurer de l’adéquation de la configuration avec les besoins du terrain, ainsi qu’aux fonctions d’optimisation des déplacements.

Exemple d’écran de visualisation de différents types de zones de stockage :

‘Travel distance Network’ : Configuration simplifiée des chemins

La configuration des chemins est utilisée pour l’optimisation des déplacements. Les utilisateurs peuvent visualiser rapidement sur la carte, la complétude et la bonne configuration des chemins et segments paramétrés. En cas de rupture ou de mauvaise configuration, il est alors aisé de ‘réparer’ ou créer de nouvelles connexions à partir des nœuds existants. Exemple d’écran :

Configuration assistée

SAP Warehouse Insights facilite par ailleurs la création et la maintenance de la cartographie des sites. Il est possible d’importer des plans ‘CAD’ (Computer Aided Design) sous format PDF et de les utiliser directement dans le système. L’opérateur va ensuite pouvoir enrichir les informations avec les données ‘business’ comme les allées ou types de stockage. Le système va alors automatiquement propager ces paramètres de configuration sur les emplacements éligibles.

Exemple d’écran :

Fonctions de simulation

Cette première approche repose sur une optimisation ‘Off Line’. Il s’agit d’utiliser les données historiques pour comprendre et remédier à une situation insatisfaisante. SAP Warehouse Insights va ainsi utiliser les missions (Warehouse orders) et les ressources dans un processus avancé de simulation, pour proposer des scénarios réoptimisés, visant à limiter les déplacements, le nombre de ressource et par conséquent permettre une meilleure productivité tout en réduisant les couts d’exécution.

Le système offre une représentation simple et claire des gains potentiels d’optimisation, à travers une représentation des déplacements modélisés et comparables en un simple coup d’œil (avant optimisation / après optimisation).

Exemple d’écran de visualisation et comparaison des chemins :

Heatmap intégrée

SAP Warehouse Insights propose également une fonction de heatmap, très utile à l’analyse des flux dans l’entrepôt et à l’identification des goulets d’étranglement au sein d’une zone, d’une allée ou d’une gare de préparation. La ‘chaleur’ est déterminée en fonction du nombre de tâches réalisées sur chaque emplacement.

Exemple d’écran :

Optimisation temps réel et continue

Le processus de ré optimisation présenté plus haut est alors réalisé en temps réel, avec la possibilité de configurer des règles différentes en fonction par exemple des types de flux ou zones.

Exemple d’écran de configuration :

Principe de fonctionnement :

Les Missions ‘ouvertes’ sont récupérées et traitées en lien avec le système de destination, comme SAP EWM, à une fréquence configurable (ex : toutes les 10 minutes).

La ré optimisation des missions et des ressources associées est alors réalisée et une nouvelle séquence est déterminée suivant les critères souhaités d’optimisation des déplacements ou de dates/heures « au plus tard ».

Les missions ré optimisées sont ensuite remontées vers le système de destination pour exécution par les opérateurs en mode ‘dirigé’ par le système.

Un écran de monitoring permet également de suivre et visualiser les résultats de l’optimisation proposée par le système, avec notamment pour chaque ressource les missions associées, séquences, trajet à vide et en charge … Exemple d’écran :

Indicateurs de performance

En complément, SAP Warehouse Insights inclut des indicateurs offrant une vue analytique sur les opérations et la performance :

  • Utilisation par ressources
  • Charge par groupes de ressources
  • Charge des ressources par groupes de missions (‘queues’)
  • Temps de déplacements à vides par type de ressources
  • Temps total de déplacement par ressource

Exemple d’écran de consultation des opérations en entrepôt

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Source de l’article sur sap.com