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Combler les lacunes en matière de compétences est une responsabilité permanente des ressources humaines. Et à mesure que les conditions sociétales, business et macroéconomiques changent, les RH doivent réimaginer la force de travail de demain. Car le sol se dérobe constamment sous leurs pieds. Aujourd’hui, avec la crise du COVID-19, la vitesse à laquelle les RH doivent déployer les initiatives d’upskilling et de reskilling va en s’accélérant.

Upskilling et reskilling, de quoi parle-t-on ?

  • Définition de l’Upskilling (en français, « perfectionnement professionnel ») : former les salariés dans le but d’améliorer leurs performances dans leurs fonctions actuelles.
  • Définition du Reskilling (en français « requalification ») : former les salariés en vue d’une nouvelle fonction, en particulier lorsque les objectifs de l’entreprise ont changé.

La formation, une priorité renforcée par le contexte COVID-19

Malheureusement, il n’existe aucun plan reproductible pour une formation réussie. Chaque entreprise a des besoins spécifiques qui évoluent avec le temps. Dès mars 2020, les e-commerçants se sont empressés de recruter et de former (upskilling), afin de répondre à la hausse de la demande. Les services publics étaient, quant à eux, déjà engagés dans le reskilling. Avec l’introduction de technologies intelligentes permettant d’automatiser certaines tâches répétitives, ils ont pu donner une responsabilité accrue ou plus stratégique à leurs employés. Mais bien que l’intensité et la nature des efforts de formation aient varié d’un secteur à l’autre, le constat est général : le COVID-19 a forcé la main à toutes les entreprises. Reskilling et upskilling ne sont plus des mots à la mode : les efforts doivent être entrepris, et rapidement.

De nombreuses études montrent que les entreprises mènent une vraie guerre des talents, recrutant agressivement des candidats aux compétences identiques ou similaires. Pour certains postes il pourrait pourtant être plus économique, rapide et efficace de former les collaborateurs. Afin qu’ils puissent occuper des fonctions supérieures ou entièrement nouvelles. Mais il ne s’agit pas de choisir entre recruter et former. Ce qu’il faut, c’est un recrutement efficace associé à une stratégie de formation. Car investir dans les collaborateurs apporte plusieurs avantages : une réduction du turn-over ainsi qu’une amélioration de la productivité et de l’innovation.

HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

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HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

Aujourd’hui l’urgence est plus forte que jamais. S’engager dans l’upskilling et le reskilling peut être la clé de la survie à la crise du COVID-19. Aussi bien pour les jeunes entreprises qui doivent réussir rapidement que pour les organisations installées qui recherchent de la stabilité et une croissance à long terme. La difficulté étant que, maintenant et dans un avenir prévisible, les RH devront trouver le juste équilibre entre embauches, formations et licenciements. Et ce à chaque heure de la journée.

Comprendre les besoins organisationnels et être capable d’y répondre rapidement sera la clé, non seulement de la carrière des professionnels RH mais aussi du succès des organisations qui les entourent.

Du télétravail à l’upskilling et reskilling

Arrêtez-vous un instant et pensez à quel point tout a changé en seulement quelques mois. À la fin de l’année 2019, si un DRH était entré dans le bureau du PDG et lui avait recommandé de commencer à planifier un futur avec des salariés majoritairement en télétravail, on l’aurait sans doute sèchement renvoyé à son bureau. Aujourd’hui le télétravail est devenu normal, si ce n’est la norme.

Mais le principal enseignement est que les organisations se sont révélées plus agiles et réactives que prévu. Et si chacun a été capable d’adopter le télétravail tout en restant efficace, pourquoi les entreprises n’arriveraient-elles pas à former les employés à de nouvelles compétences, rapidement, afin d’atteindre les objectifs fluctuants de l’organisation ? L’upskilling et le reskilling dans un environnement de travail à distance est un défi mais également une nécessité. Et gardons aussi à l’esprit que l’apprentissage « sur le tas », par la pratique, fera partie du chemin. En effet, trouver l’équilibre demande aujourd’hui une adaptation continue, voire même à la volée.

Pensez-y de cette manière : il a fallu des décennies avant que les téléphones portables ne puissent être glissés dans nos poches. Puis le smartphone est arrivé. Aujourd’hui, une application ou un jeu mobile peuvent devenir viraux à l’échelle mondiale, en quelques minutes.

La fonction RH connaît la même évolution rapide. Il y a quelques décennies le passage des documents papier aux fichiers informatiques s’opérait lentement. Aujourd’hui les RH ont délégué les tâches répétitives à des intelligences artificielles ou à des portails en ligne et élaborent des stratégies d’e-learning et de modélisation des effectifs. Si leur fonction est d’aligner les objectifs de formation sur les besoins de l’entreprise, alors les RH ont, comme tout le monde, besoin d’upskilling. Une stratégie de formation pertinente et agile, prête à être déployée à tout moment, est la carte que les professionnels RH ont en main avec leur siège à la table des décisions.

L’avenir du travail est là

Pour les RH, le défi n’est pas simplement d’identifier les lacunes en matière de compétences et de décider s’il faut embaucher ou former. Il s’agit de quantifier l’impact, revoir le plan d’action, puis de quantifier encore, etc. Dans un monde où chaque décision repose sur un calcul de ROI, même subjectif, il est essentiel pour les RH de relier les initiatives de formation aux objectifs immédiats et long terme de l’entreprise. Prenons deux exemples :

  • Delaware Consulting (1700 employés), en implémentant des solutions logicielles de formation robustes, a pu réaliser des économies grâce à un suivi plus précis de ses dépenses. Delaware a ainsi réduit de 5 % les coûts liés aux annulations de formations et de 12 % le temps consacré à l’administratif RH.
  • Newcrest Mining, en Australie, a utilisé des solutions logicielles similaires pour économiser 1,6 million de dollars US en frais de formation au cours des six premiers mois et a également dégagé 3,2 millions de dollars d’économies par gains de productivité la première année.

Le défi, cependant, est le temps : quand et comment les employés peuvent-ils être formés ? C’est particulièrement délicat lorsque l’on sait qu’un employé dispose en moyenne de 14 minutes de temps libre par semaine pour se former. Trouver un moyen d’ajouter une formation à la journée de travail est plus compliqué que de décider s’il faut ou non former. De plus, toute initiative d’upskilling ou de reskilling doit plus largement s’inscrire dans une planification stratégique des effectifs.

Cela signifie que certains salariés seront sélectionnés pour développer de nouvelles compétences quand d’autres seront laissés de côté. Les employés sont intelligents et savent ce qui se passe autour d’eux. C’est pourquoi les initiatives de formation doivent être accompagnés d’un plan de communication solide. Afin que les rumeurs, notamment sur les réductions d’effectifs, ne s’ébruitent pas. Toute stratégie de reskilling ou d’upskilling doit également être associée à un plan de communication interne solide. Un domaine où les RH assument une responsabilité croissante. Dans le cadre d’un vaste effort à l’échelle de l’entreprise, il est essentiel de veiller à ce que chacun, qu’il participe ou non à l’effort de requalification, comprenne les objectifs de l’organisation et la manière dont son travail sera affecté.

Les pièges et obstacles de l’upskilling et du reskilling

Il est également important de garder en tête différents scénarios. Comme la possibilité pour les salariés requalifiés d’exporter leurs nouvelles compétences ailleurs, voire chez un concurrent. Le turn-over est toujours une préoccupation, même en temps normal. Mais si l’attrition peut affecter le ROI associé à un effort de reskilling ou d’upskilling, l’alternative consistant à ne pas former, et donc à ne pas répondre à l’évolution du contexte, serait bien pire.

C’est pourquoi il est essentiel de relier directement les efforts de formation aux résultats de l’entreprise. Par exemple : si l’objectif est de stimuler les ventes en formant de nouveaux commerciaux, il faut mesurer la hausse des ventes. Cherchez des partenaires dans l’entreprise qui peuvent s’appuyer sur des outils ou localisez des parties prenantes pour vous aider à mesurer l’impact de votre travail. Les craintes d’attrition ou de perte de temps équivalent, en fin de compte, à une paralysie par l’analyse. S’engager dans le reskilling et l’upskilling est une question de capacité de l’entreprise à faire face à la concurrence. C’est pourquoi les RH ne doivent pas être considérées comme une entité administrative mais comme une entité pouvant s’attaquer de front aux déficiences de l’entreprise.

Être compétitif dans le contexte business moderne exige à la fois de réimaginer la fonction RH et de créer une culture de l’apprentissage. L’un ne va pas sans l’autre. Les efforts de formation exigent également des RH qu’ils aient une stratégie claire sur les personnes qui recevront de nouvelles compétences et sur ce qu’elles sont censées apporter à l’avenir. Enfin, il faut tenir compte de la manière dont la technologie peut évoluer et avoir un impact sur l’efficacité de tout effort de formation. Un système de gestion de la formation (LMS) moderne peut vous aider à atteindre vos objectifs d’upskilling et de reskilling.

Alors que la pandémie de COVID-19 est un facteur de complication, il faut considérer la formation comme un facteur clé de stabilité et de croissance à long terme. Qui aide à pivoter face aux défis. Le COVID-19 a accéléré les tendances déjà en place et a mis en évidence ce que les entreprises savaient déjà : les organisations dont vous entendrez parler comme des « success stories » dans quelques années seront celles qui se seront activement engagées dans l’upskilling et reskilling de leurs salariés en vue des défis à venir. En raison de la pandémie, les entreprises doivent simplement évoluer à un rythme plus rapide. Et pour ce faire, elles doivent, de même que leurs employés, être plus « smart ».

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Le 7 Octobre 2020 SAP a annoncé la disponibilité générale de SAP S/4HANA 2020 :  la sixième version de SAP S/4 HANA vient d’apparaitre avec toujours plus d’innovations à la clé.

Avec la version 2020 de SAP S/4HANA on poursuit la logique d’innovation continue avec des nouveautés fonctionnelles disponibles sur l’ensemble des processus finance.

Ces nouveautés sont immédiatement opérationnelles et disponibles lors de la sortie de la nouvelle version On Premise car elles ont été préalablement implémentées et testées depuis des mois dans la version Cloud de SAP S/4HANA.

Le document What’s new in SAP S/4HANA 2020 récapitule de façon exhaustive toutes les nouveautés apportées par cette version dans les différents domaines de la solution. Cette nouvelle version comporte des centaines d’innovations uniquement dans le domaine de la Finance et il est impossible de toutes les présenter ici. A titre d’illustration, nous vous proposons de passer en revue quelques-unes des nouveautés les plus remarquables :

Par exemple, dans le domaine de la comptabilité générale et bancaire, la nouvelle version réduit l’utilisation des comptes généraux, notamment des comptes bancaires, en simplifiant les processus de gestion des relations bancaires. L’utilisation des mêmes ensembles de comptes de rapprochement bancaire et de comptes d’attente pour la connectivité de la banque société réduit considérablement le nombre de comptes généraux requis pour les processus de paiement. Cette méthode offre également l’avantage de faciliter la gestion du plan comptable.

Dans le domaine de la clôture financière, avec SAP S/4HANA for Group Reporting, les équipes de consolidation peuvent générer simultanément des résultats dans plusieurs devises du groupe dans un seul processus de clôture. Ceci améliore l’efficacité et l’automatisation lorsque vous travaillez avec différentes devises dans le  groupe ou plusieurs taux de conversions de devise, par exemple pour une conversion à taux de change constants pour le reporting comparatif.

 

 

Dans la gestion des Clients et le contrôle de Crédit, un ensemble d’états de reporting avancés a été développé sur SAP Analytics Cloud avec pour objectif de donner les moyens au crédit manager d’améliorer le pilotage du contrôle crédit.  Ces états de reporting, nativement intégrés dans SAP S/4HANA, sont alimentés en temps réel par les flux des ventes et ouvrent la possibilité d’effectuer du drill-down vers les transactions opérationnelles.

 

 

Dans ce même domaine, une autre innovation réside dans la création d’une application Fiori qui donne accès à un cockpit de pilotage permettant une vue à 360° de toutes les informations nécessaires au contrôle crédit d’un partenaire donné. On peut ainsi accéder depuis un même endroit aux information générales sur le profil de crédit, des informations par segment et leurs limites et taux d’utilisation, une balance âgée synthétique, les commandes en attente d’approbation et même des informations sur des assurances ou garanties collatérales éventuelles. La navigation est ainsi grandement facilitée, les informations clés regroupées et disponibles de façon rapide, souvent dans un format graphique : voici un bel exemple d’innovation mise en œuvre pour faciliter l’adoption de la solution et assurer la meilleure expérience possible à l’utilisateur.

La plateforme SAP Central Finance a été optimisée dans la version SAP S/4HANA 2020 avec la mise à disposition de solutions d’intégration développées avec Magnitude dans le cadre du partenariat Solution Extension :

  • SAP Central Finance Data Harmonization by Magnitude
  • SAP Central Finance Transaction Replication by Magnitude

 

 

Central Finance permet la réplication des transactions des opérations issues de différentes sources dans une instance unique SAP S/4HANA, ce qui génère d’importants avantages liés à la centralisation, par exemple dans le cadre du reporting,  la comptabilisation des allocations, les opérations inter-sociétés ou la mise en place et opération de centres de services.

Ces nouvelles solutions d’intégration permettent de faciliter et d’accélérer l’intégration des données tout en fiabilisant le processus et en réduisant le TCO de Central Finance.

Deux autres innovations remarquables dans Central Finance :

  • La fonctionnalité de ventilation à la pièce est désormais disponible dans Central Finance et ceci même lorsque les systèmes SAP source n’en disposent pas.
  • Concernant le contrôle budgétaire, le budget des ordres internes peut être géré désormais de manière centrale dans SAP Central Finance grâce au suivi de la consommation de celui-ci dans les systèmes sources.

En conclusion, la version 2020 de SAP S/4HANA comporte une grande quantité de nouveautés qui méritent d’être découvertes lors d’une prochaine formation chez SAP France.


Voici le lien vers le calendrier des formations de H1 2021 afin de choisir celle qui vous convient le plus. Vous pouvez aussi avoir un aperçu des formations susceptibles de vous intéresser à l’aide des différents parcours de formation détaillés dans les  Learning Journeys mis à votre disposition par SAP Training and Adoption France.


 

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Source de l’article sur sap.com

Les apports de l’industrie 4.0 permettent de rendre les entreprises plus agiles, et aptes à répondre aux enjeux d’hyperpersonnalisation des produits, ainsi qu’aux aléas, économiques, sanitaires ou climatiques.

L’industrie doit faire face aujourd’hui à deux défis clés :

  • L’hyperpersonnalisation des offres induite par la montée de l’économie d’expérience, qui pousse les entreprises à aller de la mass production vers la mass customization.
  • La multiplication des changements brusques dans les habitudes de consommation, provoquée par des crises sanitaires, économiques et bientôt climatiques.

L’industrie 4.0 entend répondre à cette double problématique en rendant la production plus agile. Basiquement, l’industrie 4.0, c’est la transformation numérique appliquée au monde de l’industrie, avec une digitalisation des processus de production. Digitalisation qui doit s’accompagner d’une collecte et circulation des données assurée en temps réel entre les sites de production et le SI de l’entreprise.

De la nécessité de disposer d’un socle solide

Des processus standards et une plate-forme robuste sont nécessaires. « Notre partenariat avec SAP remonte à 2007, lors du déploiement de l’ERP qui sert maintenant de socle à notre stratégie Industrie 4.0. Les notions de socle et de standardisation des processus sont très importantes, » témoigne Damien Régnier, Digital & Shopfloor Operation chez Faurecia.

Attention toutefois à ne pas faire de la standardisation des processus un facteur de réduction de la flexibilité. « Il y a un écart entre le monde de l’ERP et le « shop floor ». L’un a besoin de processus standardisés alors que l’autre demande un certain niveau de flexibilité. » C’est donc un équilibre entre agilité et efficacité qu’il faudra savoir trouver.

Tout n’est d’ailleurs pas forcément bon à digitaliser sur la chaîne de production. « Il faut partir du « pain point » pour trouver des sources de gain, du ROI. Cibler les bons processus avec les bonnes technologies, » analyse François-Xavier de Thieulloy, expert Industrie du Futur à la Direction de l’accompagnement chez Bpifrance.

Le MES, primordial sur les chaînes de production

« L’introduction d’un MES (Manufacturing Execution System, logiciel de pilotage de la production) a été une étape importante dans la digitalisation de nos processus de production », explique Alexandre Sizaret, responsable Production System Efficiency chez Airbus. « Notre MES, sur base SAP ME, est aujourd’hui déployé dans 280 stations de production à travers l’Europe et utilisé quotidiennement par 5000 collaborateurs. »

Un MES permet de faire remonter les données de production en temps réel, mais également de faire redescendre alertes, informations et décisions auprès des opérateurs. Alexandre Sizaret alerte toutefois sur les dangers d’une digitalisation à outrance des processus. « À vouloir trop enrichir le MES, nous avons fini par perdre des utilisateurs. Nous avons alors pris du recul pour retravailler l’expérience utilisateur, en partenariat avec les opérateurs et les chefs d’équipe. »

« La co-construction de la solution reste primordiale, confirme François-Xavier de Thieulloy. Il faut écouter les acteurs de terrain afin de pouvoir les embarquer dans le projet. »

Les règles d’une digitalisation réussie

Nous l’avons vu, pour disposer de données de qualité et en quantité suffisante, il faut tout d’abord disposer de fondamentaux solides, comme un ERP. Mais aussi un MES, pour descendre au plus près de la chaîne de production, ainsi que des technologies comme l’IoT qui vont faciliter la capture de données.

Il faut également savoir traiter ces données qui vont aider à la prise de décision (data to action) ou piloter directement des processus (data driven process). Des informations doivent également redescendre afin de faciliter le travail de l’opérateur. L’opérateur augmenté est un des atouts clés de l’Industrie 4.0.

Enfin, lorsque le volume de données devient suffisant, des techniques de Machine Learning et d’Intelligence Artificielle pourront être utilisées afin d’anticiper les aléas et d’améliorer la production ainsi que la maintenance des équipements.

Tout ceci nécessite toutefois un SI solide et complexe, qui n’est pas toujours à la portée des petites entreprises. « Les PME industrielles ont besoin de solutions très packagées, proposant un ROI rapide », confirme François-Xavier de Thieulloy.

D’autres défis à ne pas négliger

Alexandre Sizaret insiste par ailleurs sur la nécessité d’assurer une continuité digitale : « La data doit aller de l’ingénierie jusqu’à la production et vice versa. Savoir capter ce qui se passe sur le terrain permettra d’alimenter des jumeaux numériques avec précision. »

Damien Régnier milite pour sa part en faveur de solutions hybrides : « Il faut trouver le bon équilibre entre du tout cloud et du tout local, du tout standard et du tout spécifique, mais aussi du tout agile et du tout efficace. »

Enfin, François-Xavier de Thieulloy, alerte sur le besoin d’accélérer le rythme de transformation : « Nous aimerions passer rapidement de quelques dizaines d’entreprises qui franchissent le pas chaque année vers l’Industrie du Futur à quelques centaines. »


En savoir plus sur les solutions pour l’industrie 4.0, production


 

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Source de l’article sur sap.com

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF, Allemagne 14 octobre 2020 SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui le lancement mondial de SAP® Customer Data Platform, une plateforme de données client (CDP) de nouvelle génération qui vise à permettre aux entreprises de redéfinir l’expérience client à chaque interaction, du commerce au marketing, en passant par les ventes et les services. L’annonce a été faite lors de l’événement SAP Customer Experience LIVE, qui s’est tenu en ligne les 14 et 15 octobre.

À mesure que l’expérience client devient un facteur de différenciation de plus en plus important pour les marques du monde entier, de nombreuses entreprises se tournent vers les CDP afin de créer des expériences uniques et personnalisées pour diverses utilisations marketing. Pourtant, cette approche marketing restrictive a trop souvent entravé le véritable potentiel d’une CDP performant. SAP Customer Data Platform est conçue pour aller au-delà du marketing en ajoutant un contexte riche aux expériences commerciales, de vente et de service, avec un marketing pertinent et opportun. Ce faisant, l’objectif de SAP Customer Data Platform consiste à proposer une personnalisation basée sur sa capacité à collecter et à gérer les données client. Cela permettra aux entreprises de connaître le client à chaque point de contact, de mener efficacement des conversations pertinentes et de fidéliser durablement le client.

Connecter, respecter, comprendre et personnaliser les données pour réussir

SAP Customer Data Platform a été spécialement conçue pour exploiter quatre opportunités clés visant à accroître la portée et l’efficacité de la marque :

  • Connecter chaque source de données de l’entreprise. Lorsque plusieurs sources de données stockent individuellement les données des clients, les silos de données se multiplient et la vue client est fragmentée. Avec SAP Customer Data Platform, les données client peuvent être ingérées et résolues par toutes les sources de l’entreprise, y compris les données CRM internes, les données de seconde partie, de tiers et hors ligne, les événements et flux d’activités, ainsi que les données transactionnelles, comportementales, d’expérience et de back-office. Quelle que soit la source, les données sont conservées, avec leur contexte, en plus des données opérationnelles, pour connecter des systèmes qui nécessitent un degré élevé de confiance dans la qualité des données. Cela se traduit par des profils client unifiés, vivants et dynamiques, mis à jour en temps réel et au moment opportun.
  • Respecter les données des clients en adoptant une stratégie globale en matière de confidentialité des données. Dans le paysage actuel de la confidentialité des données, les marques doivent comprendre comment, quand et où les données clients peuvent être utilisées. En comprenant l’objectif principal de la collecte des données, SAP Customer Data Platform peut aider à l’adoption d’une stratégie de confidentialité plus globale, en fusionnant les données entrantes dans un profil uniquement après obtention des autorisations requises. Cela permet d’introduire plus de transparence dans les pratiques de collecte de données et les raisons pour lesquelles les données sont traitées, ce qui contribue à réaffirmer l’engagement d’une marque à respecter la confidentialité des données de ses clients.
  • Comprendre les grands volumes de données. SAP Customer Data Platform offre une segmentation puissante et des indicateurs d’activité calculés en temps réel pour aider à comprendre réellement les préférences et le comportement des clients. Cela sert de base de données pour la croissance du public et l’incitation, qui est essentielle pour offrir des interactions pertinentes et personnalisées sur tous les canaux. En centralisant la gestion du public, les marques peuvent proposer des expériences cohérentes sur toutes leurs solutions marketing, de personnalisation, commerciales, de service et de vente, ce qui est essentiel dans une stratégie axée sur le client.
  • Hyper-personnaliser les engagements grâce à une vue complète du client. SAP Customer Data Platform permet d’unifier de grandes quantités de données opérationnelles de back-office avec des données de front-office et d’expérience. Les solutions d’engagement sont ainsi alimentées à l’échelle de l’entreprise grâce à des informations clients exploitables, basées sur les autorisations, en temps réel, ce qui permet d’obtenir des interactions pertinentes au bon moment et au bon endroit, sur le canal préféré du client et selon ses conditions.

« Aucun client n’est identique et aucun client n’est parfaitement prévisible », a déclaré Trond Anderson, responsable de la stratégie et de l’architecture informatique chez Elkjøp Nordic AS, l’un des plus grands détaillants spécialisés dans l’électronique grand public des pays nordiques. « Grâce à SAP Customer Data Platform, nous pouvons créer une vue contextuelle du client et l’associer à un profil unifié, afin de mieux anticiper ses besoins et désirs lorsqu’il les exprime. L’efficacité de notre engagement est améliorée par la gestion des données en temps réel et nous nous assurons de traiter les données de manière conforme et respectueuse. »

S’appuyer sur une base solide
SAP Customer Data Platform repose sur les solutions SAP Customer Data Cloud, elles-mêmes basées sur la technologie Gigya. Les solutions SAP Customer Identity and Access Management et SAP Enterprise Consent and Preference Management sont intégrées pour garantir un profil digital sécurisé et conforme. SAP Customer Data Platform sert de tissu conjonctif du profil en temps réel, ce qui permet d’établir une base de données sur le client et d’engager une conversation pertinente chaque fois que le client souhaite interagir avec la marque.

« Nous n’avons pas inventé la CDP, mais SAP Customer Data Platform ouvre la voie à un nouveau monde d’opportunités », a déclaré Bob Stutz, président de l’expérience client de SAP. « SAP Customer Data Platform est l’une des CDP les plus sophistiqués pour les entreprises. Elle peut véritablement offrir des expériences personnalisées qui permettent aux utilisateurs anonymes de se transformer en clients connus et fidèles, en utilisant les canaux préférés du client, en unifiant de grandes quantités de données de front-office, de back-office et d’expérience, comme seul SAP peut le faire. »

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Source de l’article sur sap.com

Levallois – 8 octobre 2020 – SAP SE (NYSE : SAP) annonce une nouvelle version de SAP® Logistics Business Network, qui apporte de nouvelles capacités dans la gestion du réseaux des partenaires logistiques en termes de visibilité, de collaboration et intègre de nouveaux partenaires à sa plateforme logistique.

SAP Logistics Business Network est une plateforme cloud de business network dédiée à la logistique, conçue pour permettre aux clients SAP de connecter leur système d’information à leur réseau de partenaires pour étendre le suivi livraison des commandes et assurer la traçabilité des produits.

« Comme preuve supplémentaire de l’engagement de SAP, annoncé lors de SAPPHIRE NOW®, de proposer une offre complète de business networks : SAP Business Network, nous continuons d’ajouter de nouvelles capacités et d’étendre nos partenariats sur SAP Logistics Business Network notre business network dédié à la logistique », a déclaré Paige Cox, vice-président senior de SAP et responsable du SAP Business Network. « Les APIs ouvertes et les partenariats élargis sont des preuves de notre stratégie visant à créer un véritable réseau des réseaux. »

Cette nouvelle version constitue la prochaine étape de notre stratégie visant à permettre une visibilité de bout en bout, une efficacité accrue de la logistique et une collaboration transparente grâce à un réseau d’entreprises unifié qui inclut :

  • La visibilité sur l’exécution des commandes client grâce au suivi et à la traçabilité de nouvelle génération intégrée à SAP Logistics Business Network. Notre business network permet un suivi des étapes de livraison en temps réel pour tous les modes de transport offrant ainsi une couverture mondiale.
  • Des capacités de collaboration transport étendues, notamment le suivi multimodal des ordres de fret qui accroît la visibilité sur les événements routiers et maritimes.
  • Des APIs standards pour connecter les partenaires et les plateformes de fret, permettant de nouvelles collaborations entre partenaires routiers et maritimes.

SAP Logistics Business Network étend la couverture de différents modes de transport grâce à des partenaires nouveaux et existants, tels que :

  • project44, offrant une connectivité B2B pour la contractualisation transport, et des fonctions de visibilité pour le suivi en temps réel des envois routiers et le suivi des transports maritimes.
  • ClearMetal, permettant le suivi des conteneurs et des expéditions en transit grâce au Machine Learning reposant sur le référencement croisé des informations afin de faciliter le suivi maritime.
  • Shippeo, spécialiste du marché européen, offrant aux chargeurs un accès à son réseau de transporteurs, à son expertise en matière de réglementation et aux données de télémétrie de millions de camions pour un suivi des expéditions routières en temps réel.

« Grâce à ces partenariats, les entreprises utilisatrices de SAP Logistics Business Network peuvent désormais accéder tout au long du transport terrestre et maritime à la localisation exacte, aux changements de statuts et à l’heure d’arrivée estimée (ETA) de leurs expéditions. La nouvelle connectivité avec les transporteurs maritimes et les ports, ainsi qu’avec les systèmes satellitaires, apporte une visibilité sur l’ensemble du fret maritime mondial, » explique Rémy Vernet, Directeur de l’activité Digital Supply Chain de SAP France. « Nous sommes également très heureux d’intégrer la startup Française Shippeo que nous avions accompagnée il y a deux ans via notre fonds d’investissement SAP.iO Fund. »

SAP Logistics Business Network fait partie intégrante de SAP Business Network. Ce réseau des réseaux met à profit les informations fournies par l’ERP en temps réel, permet de réaliser des analyses poussées et offre des synergies avec des solutions de business networks performants tels que Ariba® Network – qui relie plus de 5 millions d’entreprises dans le monde et où plus de 3 460 milliards de dollars US d’achat sont traités chaque année.

La fourniture d’une intelligence collective par le biais d’un réseau commercial ouvert et interopérable permet de mettre en place des chaînes d’approvisionnement durables et résilientes, de transformer les business modèles et d’offrir la souplesse nécessaire pour faire face aux crises mondiales.

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WALLDORF SAP SE (NYSE : SAP) et E.ON SE ont annoncé un nouveau partenariat visant à développer une plateforme basée sur la solution SAP S/4HANA Utilities. La plateforme permettra d’adapter à l’avenir du secteur les processus de facturation et les échanges d’informations avec les acteurs du marché de l’énergie.

SAP et le fournisseur d’énergie E.ON prévoient de développer une nouvelle plateforme de processus et de technologies conçue pour l’exploitation du réseau d’E.ON. Ensemble, les deux partenaires de premier plan souhaitent établir une nouvelle norme dans le secteur des réseaux électriques en Allemagne. E.ON a pour objectif d’utiliser les solutions cloud de SAP (SAP S/4HANA) pour améliorer l’efficacité et la cohérence des processus centraux relatifs à la facturation et à l’échange d’informations au sein du groupe. Ainsi, les fournisseurs d’énergie, les opérateurs de réseau et les exploitants de compteurs du groupe E.ON pourront partager des informations plus rapidement et facilement, et avec plus de précision. Les processus seront normalisés et les différents systèmes de facturation de l’énergie ainsi que les échange de données des centres régionaux d’E.ON seront migrés vers la nouvelle plateforme. La cohérence des données permettra à l’entreprise de déployer des solutions standard, de suivre les meilleures pratiques et de réduire les coûts liés au développement de logiciels personnalisés. Les clients du réseau d’E.ON y verront également des avantages. Des processus allégés et normalisés permettront à l’entreprise de répondre de manière encore plus rapide et efficace aux demandes des clients.

La décision en faveur de l’adoption de cette nouvelle technologie découle de l’intégration d’Innogy SE, une entreprise du secteur de l’énergie, au sein du groupe E.ON. Le plan de développement du réseau d’E.ON est d’établir des processus de facturation et des systèmes informatiques standard dans toutes ses entités. Les premiers bénéfices du projet, c’est-à-dire l’optimisation des processus, sont attendus dès le milieu de 2022. La mise en œuvre de solutions cloud innovantes devrait permettre à long terme au groupe de réduire ses coûts de 40 %.

Dans le cadre de ses activités, et plus particulièrement de l’exploitation du réseau, E.ON doit se conformer aux réglementations établies par l’Agence fédérale Allemande des réseaux, la Bundesnetzagentur. Le partenariat avec SAP et les possibilités offertes par la nouvelle plateforme, modulable et stable, faciliteront le respect des nouvelles réglementations, telles que les formats d’échange de données standard. De plus, les processus métier exécutés sur la plateforme cloud SAP peuvent être facilement étendus. Grâce à son évolutivité, la plateforme offre également des possibilités d’innovation.

« Notre partenariat avec SAP nous permet de repenser les processus et les structures, surtout après l’acquisition d’Innogy », explique Thomas König, membre du conseil d’administration et responsable des réseaux énergétiques, E.ON SE. « Ce projet va établir une nouvelle norme sur le marché. Les capacités d’automatisation et de normalisation de la nouvelle plateforme vont considérablement améliorer l’efficacité de nos processus. »

« Ce partenariat rapproché avec E.ON n’est pas seulement un excellent exemple de la façon dont la technologie peut simplifier la prise de décision des entreprises, promouvoir de nouveaux modèles économiques et générer une valeur durable », déclare Christian Klein, CEO de SAP SE. « Cette décision est également le signe d’un engagement fort envers les solutions Industry Cloud de SAP et démontre qu’en matière de transformation numérique, nous sommes le partenaire de choix de nos clients. »

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La crise économique actuelle pousse les entreprises vers des logiciels et des services basés sur le cloud computing qui sont peu gourmands en ressources, rentables et faciles à déployer. SAP est dans une position unique pour offrir ces solutions.

Le groupe New Ventures and Technologies de l’entreprise, dirigé par Max Wessel, est une unité exploratoire mise en place pour produire rapidement des technologies de pointe, orientées vers l’avenir. En plus de diriger le groupe, M. Wessel est directeur de l’innovation pour SAP et directeur général de SAP Bay Area. Wessel nous parle ici de son approche pour encourager l’innovation.

Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

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Q : Qu’est-ce que l’innovation chez SAP ?

R : L’innovation est un grand mot, et nous en faisons beaucoup chez SAP. C’est dans chaque changement progressif que nous apportons à un produit, dans chaque itération de notre modèle commercial et de notre approche pour engager les clients. Et nous devrions être fiers de tout cela. Lorsque les clients nous demandent ce qu’ils pensent de l’innovation, c’est souvent à propos de l’adoption de technologies et de modèles commerciaux véritablement nouveaux. Ces dernières années, SAP a fait de grands progrès en ciblant les changeurs de jeu en plus de notre activité principale. Par exemple, l’équipe Voice AI de Newport Beach utilise le traitement du langage naturel pour analyser les données du centre d’appel SAP Concur afin de déterminer l’efficacité d’un engagement. Au lieu de passer des centaines d’heures à vérifier manuellement les journaux d’appels, l’intelligence artificielle (IA) prend le relais. C’est un excellent exemple de l’utilisation d’une nouvelle technologie pour résoudre un problème ancien. Comment SAP crée-t-il de l’innovation organique ?

Dans toute l’entreprise, nous introduisons de nouvelles fonctionnalités, de nouveaux produits et de nouveaux services sur ce qui semble être une base quotidienne. Cette innovation nous a permis de nous implanter solidement dans l’environnement de nos clients. Cependant, pour assurer une croissance transformatrice, nous avons également besoin d’une grande vision. Nous devons nous projeter dans dix ans, identifier les grands problèmes qui méritent d’être résolus, puis les attaquer de manière à apporter de la valeur à nos clients.

Parallèlement à cette vision, SAP doit donner à ses innovateurs les moyens d’explorer de nouvelles technologies, de travailler avec les clients sur des preuves de concept (POC) et de partager de grandes idées avec des collègues du monde entier. C’est cet échange qui nous permet d’identifier ensemble les grandes idées. L’année dernière, plus de 20 000 employés se sont engagés dans notre programme d’intrapreneurs, et lors de notre réunion de lancement du développement en janvier, nous avons officiellement lancé l’outil SAP Technology Radar, une plateforme centrale et interne d’échange de connaissances sur les nouvelles technologies. Nous voulons que chaque employé contribue au processus de développement de SAP. Et notre équipe New Ventures and Technologies soutient cette conversation.

Quelles sont les grandes tendances que vous observez ?

Il existe encore un énorme potentiel pour l’apprentissage machine au sein de l’entreprise. C’est pourquoi nous continuons à pousser les capacités d’IA dans la reconnaissance vocale et à étudier la génération de données synthétiques et les nouvelles méthodes de cryptage. Nous pensons qu’elles joueront un rôle dans l’introduction de capacités d’IA avancées dans l’entreprise.

Mais ce n’est pas seulement une question de technologies. Il s’agit aussi de simplifier le déploiement et la personnalisation des logiciels grâce à des logiciels « sans code » et à l’automatisation des processus d’entreprise. Ces progrès permettront à presque tout le monde de créer une application commerciale, sans avoir besoin d’être ingénieur.

La dernière tendance est l’application de nouveaux modèles commerciaux pour fournir des logiciels de manière fondamentalement différente. Par exemple, nous sommes désormais en mesure de mettre en relation des petites et moyennes entreprises (PME) avec des partenaires de prêt dans Ariba Network, en utilisant leurs factures comme point de référence pour le crédit. Cela nous a permis d’ouvrir le crédit à des entreprises qui en ont désespérément besoin pendant la crise économique actuelle, sans frais pour les entreprises ou pour nos clients SAP Ariba – tout cela parce que nous avons expérimenté ce nouveau modèle commercial au cours des deux dernières années.

Comment trouvez-vous ces points forts dans le portefeuille de SAP ?

SAP brille lorsque nous comprenons le problème du client, que nous avons une expertise approfondie du domaine dans un secteur d’activité donné et que nous infusons de nouvelles technologies pour résoudre le problème. Le produit de prêt aux PME que je viens de mentionner, Apparent Financing by SAP, est venu de l’équipe d’Ariba Network sur la base de conversations qu’ils ont eues avec leurs clients. Ils avaient une compréhension approfondie du problème du client, mais ils avaient besoin d’un partenaire technologique et l’ont trouvé dans notre organisation.

Une partie de notre rôle consiste à entamer une conversation avec l’ensemble de SAP sur l’avenir. Chaque année, nous menons diverses campagnes d’innovation chez SAP. Grâce à ces efforts, une grande partie des projets que nous lançons viennent directement des experts de notre entreprise. J’encourage mon équipe à adopter l’esprit d’un débutant en prenant du recul pour écouter toutes les idées des experts en produits et comprendre où se trouvent les nouvelles opportunités.

Comment éviter la cannibalisation de nos solutions classiques ?

Je préfère que nous cannibalisions nos solutions classiques plutôt que de laisser un concurrent le faire. C’est là que nous devons faire preuve de créativité et de conviction. Si nous sommes convaincus que le monde changera dans 10 ans, nous devrions alors nous engager dans une cannibalisation des flux existants. Le passage au « cloud » au cours de la dernière décennie est une chose dont SAP devrait être immensément fier. Mais le nuage est plus qu’un nouveau mécanisme de livraison, et il nous a obligé à réorganiser beaucoup de nos produits. Et nous l’avons fait avec audace, convaincus que le nuage serait le mécanisme de diffusion préféré de nombre de nos clients dans de nombreuses situations.

Comment pouvons-nous inciter nos employés à être plus innovants ?

Je m’oppose à la prémisse selon laquelle les employés ne sont pas assez innovants. Je reçois de nos collègues plus d’idées plus créatives et une compréhension plus approfondie d’un problème de l’industrie que vous ne pouvez l’imaginer. Au lieu d’inciter les gens à être plus innovants, nous devons les responsabiliser. L’une des initiatives dont je suis le plus fier chez SAP est notre programme d’intrapreneuriat. Lorsque j’ai repris l’organisation, moins de 3 000 personnes participaient chaque année à notre groupe d’exploration et d’accélération. Nous en avons maintenant plus de 20 000, et l’objectif cette année est d’en engager 25 000.

La raison pour laquelle nous menons le programme intrapreneuriat n’est pas que nous pensons qu’il va générer de meilleures idées – les idées sont déjà là. Il s’agit de donner aux gens un moyen de développer ces idées, de les tester et de les commercialiser. Et plus nous en ferons pour faciliter l’innovation, plus il sera facile pour les gens d’innover.

Que devons-nous faire pour permettre un meilleur rendement de l’innovation ?

Je pense que nous avons besoin de trois ingrédients : un capital patient, une structure créative et un mandat exécutif. S’attaquer aux grands problèmes prend du temps, et c’est pourquoi nous devons planifier en termes d’horizons temporels de dix ans. Nous devons mettre en place de petites équipes pour résoudre les problèmes que seul SAP peut résoudre et leur donner la patience et la structure qui leur permettent d’apporter de la valeur au marché. Si elles s’attaquent à des problèmes suffisamment importants, si on leur donne ce mandat, si on leur permet d’emprunter une voie non linéaire, elles feront des choses étonnantes.

En tant que directeur général de SAP Bay Area, quels avantages y a-t-il à faire partie des 20 sites mondiaux qui composent le réseau de laboratoires SAP ?

Au début de la pandémie COVID-19, nous avons pu joindre tous les directeurs de laboratoires par téléphone pour comprendre les meilleures pratiques réglementaires et les communications numériques dans différents environnements culturels. C’est un parfait exemple de la façon dont nous pouvons exploiter le meilleur d’une force de développement mondiale pour favoriser l’amélioration. Mais nous combinons également des idées et des forces lorsqu’il s’agit d’activer la base d’employés pour stimuler l’innovation, de créer des hackathons, de donner aux employés les moyens de trouver de nouvelles idées commerciales ou d’étendre notre portée dans l’écosystème afin d’identifier des partenaires locaux qui peuvent mettre nos produits et services sur le marché.

Quelle est votre recette personnelle pour pérenniser SAP ?

Tout ce que nous faisons du point de vue de l’innovation doit viser à rendre les logiciels d’entreprise plus personnels, plus flexibles et plus ouverts. Il est plus facile que jamais de connecter les systèmes entre eux, ce qui signifie que plus vos systèmes et votre écosystème sont ouverts, plus vous pouvez proposer une grande variété d’innovations. SAP compte 100 000 employés, mais 7,5 milliards de personnes sur la planète sont motivées pour nous aider à améliorer le fonctionnement du monde. Nous serions négligents si nous ne nous ouvrions pas aux idées extérieures sur la manière de faire évoluer les logiciels d’entreprise.

 

 

Publié initialement en anglais sur news.sap.com

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TOKYO – SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui que le fournisseur mondial de technologies de l’information et de communications NEC Corporation a choisi les solutions SAP Ariba pour l’aider à digitaliser ses opérations d’approvisionnement dans ses entités japonaises et à l’étranger. ABeam Consulting Ltd. apportera son soutien à la mise en œuvre du système.

Dans le cadre de sa stratégie de transformation digitale au niveau du groupe, NEC a lancé son projet de modernisation de la gestion de ses achats indirects. Pour réduire les dépenses, améliorer l’efficacité opérationnelle et renforcer la conformité, NEC a choisi les solutions SAP Ariba comme système Cloud de gestion des achats. NEC Management Partners Co. Ltd. sera le premier à déployer la solution, et les autres sociétés du groupe, tant au niveau national qu’international, suivront.

En plus de la suite complète de solutions SAP Ariba, du sourcing stratégique au paiement, NEC introduira également l’application SAP Signature Management by DocuSign, l’application SAP Process Mining by Celonis et la solution SAP Analytics Cloud pour permettre le travail à distance dans le contexte COVID-19 et pour réaliser des analyses plus efficaces et plus avancées.

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L’initiative « Evolution Partnership » vise à fournir de nouvelles solutions sectorielles intelligentes offrant des processus de bout en bout qui aident les entreprises à accélérer la modernisation des systèmes et des flux de travail.

ARMONK, N.Y., et WALLDORF — IBM (NYSE : IBM) et SAP SE (NYSE : SAP) annoncent la prochaine évolution de leur partenariat, avec des projets visant à développer plusieurs nouvelles offres créées pour permettre aux entreprises de piloter leur activité par les données et leur offrir un parcours plus prédictible.

Plus de 400 entreprises ont modernisé leurs systèmes et leurs processus d’entreprise grâce au partenariat de transformation digitale d’IBM et de SAP. Alors que la pandémie de COVID-19 continue d’avoir des répercussions importantes sur de nombreux secteurs à travers le monde, les organisations s’aperçoivent qu’elles ont besoin de l’agilité nécessaire pour s’adapter de manière fluide à l’évolution des conditions de marché et à la demande des clients.

« L’avenir à court et à long terme des organisations est défini par leur capacité à répondre de manière proactive aux conditions de marché actuelles, difficiles et sans précédent », a déclaré Adaire Fox-Martin, membre du Conseil d’administration de SAP SE. « Les entreprises acquièrent un avantage concurrentiel en débloquant les données en amont et en aval de leur chaîne de valeur, ce qui leur permet de découvrir de nouvelles opportunités de revenus et de créer des expériences exceptionnelles pour leurs clients et leurs collaborateurs, tout en raccourcissant les délais pour créer de la valeur. Le partenariat de SAP avec IBM réunit la puissance d’applications intelligentes et l’expertise technologique pour permettre aux entreprises de créer de la valeur plus rapidement et d’injecter les transformations nécessaires au soutien de leur activité aujourd’hui et demain. Ce partenariat sera utile à nos clients sur le marché et au niveau de leur bilan. »

La prochaine évolution du partenariat entre IBM et SAP vise à créer de la valeur plus rapidement via la transformation des entreprises, à accélérer l’innovation sectorielle grâce à des offres de données à valeur ajoutée spécifiques à chaque secteur, à dynamiser l’expérience client et collaborateur et à leur offrir une flexibilité et un choix ultimes pour exécuter leurs charges de travail dans des environnements de cloud hybride.

« Pour être compétitives dans un monde bouleversé en profondeur et en évolution rapide, les entreprises doivent être capables de remodeler leur organisation pour créer des processus métiers efficaces et automatisés, en appliquant des technologies avancées pour transformer les processus statiques et cloisonnés en flux de travail agiles et intelligents », a déclaré Mark Foster, senior vice president d’IBM Services. « Les nouvelles solutions dévoilées aujourd’hui marquent une nouvelle étape dans le partenariat entre IBM et SAP qui dure depuis 48 ans tandis que nous aidons nos clients à accélérer leur parcours pour devenir des entreprises cognitives. Notre collaboration avec SAP est conçue pour aider nos clients à accélérer la prise de décisions et à créer des expériences plus significatives pour leurs clients et leurs collaborateurs. »

Cette nouvelle collaboration entre IBM et SAP fournira des solutions conçues pour débloquer une nouvelle valeur pour les clients :

Réinventer les flux de travail avec des processus de bout en bout sectoriels intelligents

Annoncé la semaine dernière, l’Industry Cloud de SAP propose des solutions verticales innovantes pour favoriser une transformation rentable et une croissance durable. Pour répondre à la demande du marché en matière d’innovation sectorielle, IBM et SAP ont commencé à définir et à fournir conjointement des solutions basées sur le cloud avec des flux de travail sectoriels intelligents de bout en bout pour permettre aux clients de prendre des décisions commerciales basées sur les données. La première offre portera sur les processus métiers LTO (Lead-To-Order) et Plan-To-Manufacture pour le secteur des machines et composants industriels, afin d’aider les fabricants industriels à réinventer les processus de flux de travail afin d’accroître la productivité et la satisfaction des clients. IBM et SAP ont fait équipe avec les principales entreprises du secteur des machines et composants industriels pour concevoir et développer les capacités futures. En tant que partenaire de développement du service SAP Model Company, IBM travaille également avec SAP au développement d’un service SAP Model Company for Telecommunications qui aidera les fournisseurs de télécommunications à transformer leurs processus de contact avec la clientèle et de back-office, ainsi qu’à optimiser au maximum le rendement de leurs investissements dans la 5G.

Flexibilité grâce aux solutions de cloud hybride

Selon une enquête récente de l’ASUG (Americas’ SAP Users’ Group), une majorité des personnes interrogées ont déclaré qu’elles utilisent ou prévoient d’utiliser SAP S/4HANA dans un modèle de cloud hybride. Les entreprises continuent à faire évoluer rapidement leurs modèles économiques et à reconfigurer leurs processus afin de mieux accompagner leurs clients et répondre aux nouvelles demandes du marché. Beaucoup se tournent vers une stratégie de cloud hybride pour une approche « Intelligent Enterprise ». Afin de donner aux clients la flexibilité nécessaire pour exécuter les charges de travail dans l’environnement cloud le plus optimal, IBM, Red Hat et SAP collaboreront pour apporter les services gérés de SAP sur site en validant les déploiements privés de SAP Cloud Platform et les services de support connexes sur Red Hat OpenShift. Cette solution, actuellement proposée à certains clients pionniers, devrait permettre aux clients de créer des extensions side-by-side avec la sécurité souhaitée, une exigence essentielle pour les clients des secteurs réglementés.

Réimaginer les expériences des clients et des collaborateurs

Avec Internet, les smartphones et les réseaux sociaux, il n’a jamais été aussi facile pour les clients et les collaborateurs de partager leurs observations sur la qualité de leurs expériences avec les entreprises, les produits, les responsables ou les services partagés. L’étude Global C-Suite d’IBM a révélé que 82 % des chefs d’entreprise croient fermement que les données contribuent à créer un avantage stratégique, en consolidant la confiance des clients et en augmentant les profits. Pour aider les entreprises à accroître la valeur à partir des données, IBM et SAP prévoient de fournir des technologies et des services en s’appuyant sur le portefeuille de SAP Customer Experience et les solutions de gestion de l’expérience de SAP (Qualtrics) pour permettre aux clients de fournir une expérience omnicanal de nouvelle génération et de mesurer et améliorer l’efficacité des expériences des parties prenantes. Cette collaboration est conçue pour contribuer à la fidélisation des clients, à l’engagement des clients et des collaborateurs et à la qualité des marques et des produits dans de nombreux secteurs. IBM prévoit d’intégrer l’utilisation des solutions de gestion de l’expérience de SAP dans la réalisation des projets, dans le cadre de la gestion du changement organisationnel d’IBM, afin d’offrir aux clients une expérience de projet différenciée et optimisée.

Automatisation des processus pour accélérer la transformation

IBM et SAP travaillent ensemble à la mise en place de l’IBM Accelerated Move Center, une usine de migration de nouvelle génération conçue pour automatiser et accélérer encore plus la démarche « Intelligent Enterprise » et donner aux clients plus de prévisibilité sur leur transition vers SAP S/4HANA. Cette nouvelle offre sera une approche d’intégration toute prête qui utilise des modèles sectoriels de base préconfigurés et exploite des outils d’automatisation et de configuration créés en collaboration avec IBM Research.

Ces nouvelles offres seront basées sur l’Intelligent Suite de SAP et les solutions Industry Cloud de SAP. Elles permettront aux clients de bénéficier des technologies de SAP et d’IBM telles que l’IA, l’apprentissage automatique, l’automatisation et l’analytique. Ces offres s’appuieront sur la nouvelle plateforme d’évolution d’IBM, qui offre une vue unique sur les solutions IBM et une préconfiguration de ses Industry Impact Solutions, et qui interagit avec la plateforme technologique d’entreprise de SAP. Celai permet aux entreprises de créer des aperçus avancés, d’intégrer des capacités et de créer, étendre et améliorer les applications SAP. Cette combinaison vise à aider les clients à bénéficier plus efficacement de « l’intelligent Suite » de SAP, à migrer vers le cloud, à transformer les données en valeur commerciale et à utiliser les technologies émergentes pour soutenir les flux de travail intelligents.

Conditions et détails des accords définitifs à finaliser.

À propos de IBM

Pour plus d’informations sur IBM Services, rendez-vous sur https://www.ibm.com/services.
Pour plus d’informations sur les services SAP d’IBM, rendez-vous sur https://www.ibm.com/services/sap.

Les déclarations concernant l’orientation et les intentions futures d’IBM peuvent être modifiées ou retirées sans préavis, et ne représentent que des buts et des objectifs.

À propos de SAP

SAP est le leader du marché des applications d’entreprise : 77% des transactions financières mondiales passent par un système SAP. L’entreprise accompagne les organisations de toute taille et de tout secteur à mieux opérer. Nos technologies de machine learning, d’Internet des objets (IoT), d’analytique avancée et de gestion de l’expérience aident nos clients à transformer leur activité en « entreprise intelligente ». SAP dote les professionnels d’une vision approfondie sur leur activité et favorise la collaboration pour garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Pour les entreprises, nous simplifions la technologie afin qu’elles puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications de bout en bout et nos services permettent à plus de 440 000 clients d’opérer de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’information, visitez le site www.sap.com

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