Articles

Avec l’aide de TeamWork, Albéa a adopté les solutions SAP Asset Manager et SAP Plant Maintenance, afin d’équiper ses techniciens de maintenance d’une solution moderne et mobile. Ce core model sera prochainement déployé sur l’ensemble des sites industriels du groupe.

 

Leader mondial des tubes et emballages pour les produits cosmétiques et parfums. Albéa adresse un large panel de clients, dont des marques prestigieuses comme L’Oréal et Clarins. L’industriel dispose de 43 sites répartis dans 15 pays, où travaillent plus de 12 500 employés. Albéa a réalisé un chiffre d’affaires 2021 de 1,2 milliard de dollars.

La plupart des usines d’Albéa ne disposent pas d’outil dédié pour suivre les activités de maintenance. « Notre objectif était de mettre en place un outil commun pour gérer la maintenance et accompagner les techniciens avec des processus digitalisés et automatisés, tout en favorisant leur mobilité au sein de leur lieu de travail », résume Émilie Ganot, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Un premier site pilote a été désigné pour accueillir cette solution, l’usine Albéa Argonne de Sainte-Menehould, le principal site industriel du groupe en France.

SAP Asset Manager : une offre mobile et ergonomique

Les usines d’Albéa, dont celle de Sainte-Menehould, travaillent la plupart sur un ERP SAP ECC. Certains utilisateurs étaient toutefois réticents à l’idée d’adopter SAP Plant Maintenance (SAP PM), jugé trop peu ergonomique et trop coûteux à maintenir. Plusieurs offres de GMAO ont été étudiées au fil des ans, mais elles restaient complexes à intégrer avec la gestion des stocks et le contrôle de gestion.

« Lors d’une démonstration de SAP Asset Manager (SAP AM), nous avons découvert un outil ergonomique, qui permet aux opérateurs de maintenance d’utiliser une tablette pour saisir leurs opérations et faire remonter des informations dans SAP PM. Nous avons alors validé l’utilisation de SAP AM, avec SAP PM en back-end, » témoigne Astrid Chauvin, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Premier avantage, la solution s’interface nativement avec SAP ECC et ses différents modules (stocks, achats et finance). L’interface repose sur la technologie Fiori, qui permet de proposer une expérience utilisateur optimisée, compatible avec les terminaux mobiles. Enfin, l’application offre la capacité de saisir des données hors connexion, ce qui peut être très utile en environnement industriel.

TeamWork a assuré, en collaboration avec Albéa, l’intégration de cette solution. « TeamWork est un partenaire de confiance avec lequel nous aimons travailler, poursuit Astrid Chauvin. La force de TeamWork est de savoir aborder les sujets tant sur leurs aspects fonctionnels que techniques, le tout avec une forte connaissance métier. De plus, c’est une structure à taille humaine, très accessible. »

Une solution bien acceptée

« Le site Albéa Argonne est une grosse usine, comprenant 20 lignes de fabrication et 550 salariés, dont 20 techniciens de maintenance travaillant en 24/7, détaille Émilie Ganot. Nous avons décidé dans un premier temps de déployer la solution sur deux lignes pilotes. Le core model que nous allons mettre au point sera ensuite déployé sur le reste de l’usine, puis sur les autres sites industriels du groupe. »

Dans l’absolu, le déploiement de SAP AM reste un projet assez simple. Albéa a dû toutefois déployer simultanément SAP AM et SAP PM. De plus, l’intégration mobile – native dans SAP S/4HANA – a nécessité la mise en place d’un add-on spécifique sous SAP ECC. Enfin, la solution SAP AM repose sur des services mobiles de la SAP Business Technology Platform, qu’il a donc fallu aussi mettre en place et configurer. Au final, 5 mois ont été nécessaires entre le kick off du projet et le go live de la solution.

« Notre plus grande surprise a été l’adhésion des utilisateurs, note Astrid Chauvin. Ils ne voulaient initialement pas utiliser la solution SAP PM. En leur proposant SAP AM, nous avons donc eu l’impression de jouer à quitte ou double. Mais, dès que les utilisateurs ont entamé le projet avec nous et vu comment l’outil se présentait sur des tablettes, l’enthousiasme a été immédiat. Ceci nous a confortés dans l’idée que nous avions fait le bon choix. »

Reste que la solution n’est pas sans défauts. Si son cœur ne connaît qu’une grosse mise à jour par an, cette mise à jour peut avoir des implications aussi bien sur SAP AM, SAP PM que la SAP BTP. Quant à l’application mobile, elle est mise à jour bien plus fréquemment. Les équipes ont donc dû apprendre à gérer une solution hybride, mêlant on premise, cloud et mobilité.

La satisfaction prévaut toutefois depuis le go live. Prochaine étape sur le court et moyen terme, le déploiement de ce core model sur les autres lignes de production du groupe. À plus long terme, Albéa espère tirer profit du couple SAP AM / SAP PM pour se lancer dans la maintenance prédictive de ses outils de production.

The post Albéa digitalise la maintenance de ses sites industriels avec SAP Asset Manager appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

Lire les actualités

 

D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

Lettre d’information SAP Insights: Obtenez des insights stratégiques en vous abonnant à notre lettre d’information.

S’abonner

 

Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

The post La logistique durable en mouvement Till Dengel, Richard Howells | 14 min de lecture appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements.

Licenciement : quatre syllabes qu’aucun collaborateur n’a envie d’entendre, et qu’aucun dirigeant d’entreprise n’a envie de prononcer. Malheureusement, les entreprises confrontées à un ralentissement de la croissance, à une forte inflation et à l’augmentation des coûts de la main-d’œuvre peuvent se trouver contraintes d’envisager une telle option.

Mais les licenciements posent un problème : généralement, ils sont une réaction plus qu’une précaution ou un choix stratégique. La première vague est souvent déclenchée par la crainte en cas de baisse prévue de la demande ou de ralentissements économiques. La seconde, la troisième, voire la quatrième, quant à elles, sont autant de mouvement de repli après des pertes financières. Mais le plus préoccupant dans une réduction de personnel, c’est le risque accru de voir baisser la productivité, la qualité des produits et des services, et de perdre des talents qualifiés dont vous aurez besoin pour saisir les occasions futures de rebondir.

Selon LeadershipIQ, 74 % des collaborateurs encore en poste après une vague de licenciements indiquent que leur productivité a décliné, et 69 % pensent que la qualité des produits et des services de leur entreprise s’est détériorée. Encore plus dommageable peut-être : 87 % des travailleurs restants sont moins enclins à recommander leur entreprise à de futurs candidats.

Anticiper la courbe des données

Après une réduction des effectifs, on peut s’attendre à des sentiments de culpabilité, d’anxiété ou de colère. Toutefois, les entreprises ne peuvent pas se permettre de les laisser impacter leur santé financière immédiate et leurs perspectives de croissance à long terme. Alors comment faire face à l’effet accordéon des licenciements et des embauches de masse ?

La technologie utilisée par une entreprise peut, sans le moindre doute, être un facteur de transformation ou de rupture. Ainsi, l’automatisation des tâches simples, des flux de processus, des simulations de scénarios et de la planification de gestion renforce l’efficacité opérationnelle. Les innovations intelligentes (telles que l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique, l’automatisation robotisée des processus, le traitement du langage naturel et l’analytique prédictive) transforment les données d’entreprise en insights riches. Exécutées dans le cloud, ces technologies permettent à vos collaborateurs de prendre des décisions stratégiques et précises, dans le feu de l’action – partout et à tout moment.

Selon IDC, toutes ces fonctionnalités numériques peuvent participer à améliorer les résultats de l’entreprise en augmentant de 75 % à 95 % le chiffre d’affaires, le resserrement des coûts, les bénéfices, la satisfaction client, l’efficacité opérationnelle, la productivité des collaborateurs et l’innovation. Cependant, elles sont inefficaces, voire contre-productives si elles s’appuient sur des données inexactes, incomplètes ou obsolètes.

Heureusement, les solutions d’ERP cloud sont conçues pour relever le défi, de manière à devancer les incertitudes économiques et les turbulences du marché. Les technologies d’entreprise ont le pouvoir de limiter les risques financiers en générant des rapports précis et complets sur les opérations de gestion en temps réel. Ainsi, il est possible d’intégrer un ERP cloud aux solutions de gestion des RH et du personnel afin d’obtenir une vision globale et transparente des performances, des compétences et de l’expérience de vos effectifs.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment un ERP cloud génère de la croissance stratégique pour les leaders de la finance – Par un invité SAP

En agrégeant des applications, des systèmes et des référentiels auparavant cloisonnés, l’ERP cloud constitue une source d’informations unique. Il traite l’ensemble des données générées par les différentes fonctions, vérifie leur qualité et leur exactitude, et les synchronise dans toutes les applications. Résultat : une compréhension globale des besoins de l’entreprise, basée sur les données et tournée vers l’avenir, qui combine des informations opérationnelles, expérimentales et autres insights essentiels.

Armées de toutes ces informations, les entreprises sont à même d’expérimenter de meilleures façons de gérer l’évolution de leurs besoins. Ainsi, elles peuvent identifier les rôles redondants ou qui ont perdu leur pertinence. Mais au lieu de réduire les effectifs et d’embaucher de nouvelles personnes pour combler un manque de talents, elles ont la possibilité de former les salariés concernés à de nouveaux postes. En retour, les connaissances internes sont conservées et la confiance des collaborateurs dans la direction générale s’en trouve renforcée – des atouts critiques pour stimuler l’implication, l’innovation et les performances.

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements. À partir des données concernant leurs collaborateurs et les performances de leur entreprise, ils sont en mesure de procéder à des modifications qui augmentent la valeur ajoutée de leurs activités, mais aussi de respecter les engagements pris envers leurs collaborateurs, leurs clients et leurs partenaires.

Mais le fait de disposer d’une vue d’ensemble des opérations de gestion (incluant les flux de trésorerie, les risques concurrentiels et les prévisions de la demande) est peut-être plus précieux encore. Grâce à cela, les décideurs mesurent mieux les impacts à long terme d’un licenciement, et peuvent imaginer des scénarios plus efficaces qui préserveront l’entreprise dans l’immédiat, tout en la préparant à progresser et à saisir les opportunités de reprise le plus rapidement possible.

Faire face à aujourd’hui et se préparer pour l’avenir

Un licenciement peut être inévitable. Mais au lieu d’y recourir automatiquement, planifier soigneusement sa main-d’œuvre est un meilleur moyen de faire face aux difficultés de l’économie mondiale et aux incertitudes du paysage concurrentiel.

Les solutions d’ERP cloud permettent aux dirigeants de redéfinir leurs priorités, afin de continuer à fournir des produits et services qui génèrent une croissance constante du chiffre d’affaires. Plus important encore : elles stimulent la confiance, poussant ainsi le personnel à tout mettre en œuvre pour aider l’entreprise à réussir dans une conjoncture délicate.

Pour découvrir comment un ERP cloud peut aider votre entreprise à faire face aux incertitudes, à relever les défis financiers et à améliorer ses résultats, consultez le rapport Aberdeen intitulé « Comment l’efficacité et l’innovation basées sur le cloud permettent de résoudre les défis financiers ».

 

– Par Wynona Benson, SAP

The post Comment un ERP cloud peut éviter à votre entreprise d’autres licenciements appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

En triant de vieux cartons dans mon garage, mon fils est tombé sur ma collection de films des années 1980 et 1990. Tandis que je le regardais exhumer les cassettes VHS, les DVD et quelques LaserDiscs de cette capsule temporelle de ma jeunesse, j’ai réalisé à quel point nous avons rapidement cessé de stocker nos films sur des étagères pour nous tourner vers le visionnage en streaming à la demande, sur un seul et même terminal qui tient dans une poche.

Plus frappantes encore sont les leçons tirées de chaque évolution de la livraison à domicile. Certaines entreprises ont conservé des modèles économiques classiques, convaincues que toute nouveauté n’est qu’une passade. D’autres se sont adaptées à chaque fois qu’elles se sont senties réellement menacées par la concurrence.

Mais les entreprises qui ont réellement tiré leur épingle du jeu sont celles qui ont mis en place et pérennisé de vraies innovations transformationnelles, avec la volonté assumée de toucher de nouveaux marchés, d’attirer de nouveaux clients et de répondre aux demandes et aux attentes.

Malheureusement, la plupart des entreprises de taille moyenne n’ont pas encore assimilé cette leçon en matière d’innovation. D’après un Info Snapshot IDC sponsorisé par SAP, seules 18 % des entreprises interrogées jugent que la transformation de leur modèle économique est une priorité – ce qui suggère que la plupart d’entre elles comptent seulement réagir aux bouleversements du secteur.

« Globalement, les entreprises de taille moyenne n’accordent pas la priorité à l’innovation, même si la rapidité d’adaptation et l’évolutivité stratégique sont inscrites dans leur ADN », explique Jeremy Rader, directeur général Stratégie et solutions d’entreprise (ESS) des groupes Data Platforms (DPG) et Cloud & Enterprise Solutions (CESG) d’Intel. « Soyons réalistes : le temps, l’argent et les ressources sont déjà comptés. Mais la technologie cloud peut permettre de rendre l’innovation plus abordable et plus facile à gérer pour celles qui explorent de nouvelles opportunités de transformation, moins coûteuses, moins risquées, et découvrent ainsi de meilleures manières de rester compétitives. »

 

Une étape essentielle pour assurer la prospérité d’une entreprise

Les défis de gestion et les demandes du marché sont chaque jour plus complexes, substantiels, et de plus grande envergure. Mais plutôt que de suivre chaque nouvelle tendance en matière de produits, chaque évolution des clients ou chaque innovation de la concurrence, les entreprises doivent concevoir les produits et services dont leur clientèle a réellement besoin. Cela implique d’établir une passerelle entre le cycle de vie des produits et des données de qualité, prises en charge par une plateforme interconnectée dotée des fonctions de gestion, d’analytique et d’intelligence artificielle nécessaires pour les collecter, les intégrer et les contextualiser en temps réel.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Tendances 2022 en matière de biens de consommation : votre marque peut-elle offrir une satisfaction et un confort instantanés ? – Par Susan Galer

« Le plus grand obstacle à l’innovation est la crainte du changement et de l’échec », rappelle M. Rader. « Quand les gens sont capables de gérer, de protéger, de contextualiser et d’analyser des volumes considérables de données en toute confiance, ils ont toutes les clés pour obtenir des résultats plus significatifs, quoi qu’ils fassent. Tout cela commence par la mise en place d’une plateforme cloud interconnectée et fiable. »

Lorsque les données de différents services et fonctions (marketing, ventes, services, opérations et finances) sont intégrées, consolidées et recoupées avec la veille concurrentielle, les entreprises de taille moyenne sont mieux à même de justifier leurs investissements dans l’innovation produit. Elles peuvent alors établir le calendrier, les étapes, l’expertise et les technologies nécessaires pour concrétiser ces innovations d’une manière qui favorise la croissance.

Lorsqu’une entreprise obtient les bonnes données et sait comment en tirer les insights stratégiques dont elle a besoin, une culture de l’innovation commence à se mettre en place. Par exemple, les collaborateurs se mettent à surveiller étroitement les indicateurs de performance clés qui évaluent la demande de produits, la satisfaction client et les inquiétudes des services au regard des performances financières, de manière à pouvoir réagir plus rapidement et efficacement aux bouleversements.

 

Une innovation alimentée par les données pour garder une longueur d’avance

Les entreprises de taille moyenne ne peuvent pas se permettre de perdre du temps, ni de réaliser un projet d’innovation en se contentant d’espérer qu’il fonctionne. Mais ne pas innover est un risque encore plus grand dans un marché en constante évolution, rempli de clients qui en attendent chaque jour davantage.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment les entreprises de taille moyenne peuvent relancer leur activité, se développer et s’étendre grâce aux technologies avancées – Par un invité SAP

Et lorsque les entreprises accordent davantage d’attention à la qualité et à l’impact de ces données, l’innovation n’est plus reléguée au second plan, comme une activité dont chacun sait qu’elle est nécessaire sans pouvoir s’y consacrer. Il devient possible d’allouer les ressources adéquates à explorer les opportunités, expérimenter de nouvelles idées et renforcer son avantage concurrentiel.

Si vous souhaitez approfondir la question, regardez la rediffusion du webinaire sponsorisé par Intel sur la manière dont les entreprises de taille moyenne peuvent favoriser une culture de l’innovation, dans le cadre de notre série #ConnectGrowWin.

 

Par Richard Howells, vice-président Gestion des solutions pour la Supply Chain numérique, SAP

The post L’innovation continue : le véritable levier de compétitivité des entreprises de taille moyenne appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

I never liked being on-call (slight understatement) or asking others to shoulder some of the load. Sometimes it feels like it’s a penalty for being more involved and knowledgeable about our code and infrastructure. And it definitely is a big distraction from core development and innovation.

But there really is no way to avoid it once you have a live product or website with paying customers. Somebody needs to be available just in case something goes wrong.

Source de l’article sur DZONE

NEW YORK/WALLDORF, Allemagne – 7 décembre 2022 – PwC et SAP ont annoncé une nouvelle stratégie de co-innovation visant à faire du développement durable une partie intégrante des opérations commerciales. Cette stratégie vise à créer des solutions fiables pour relever les principaux défis Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance d’entreprise (ESG). Elle couvre la mesure, le reporting et le pilotage du carbone ainsi que la décarbonisation de la chaîne d’approvisionnement, le risque climatique et l’analyse concurrentielle.

La nouvelle stratégie ESG s’appuie sur la force de l’alliance existante entre PwC et SAP, qui a fourni avec succès des solutions de transformation d’entreprise à des clients dans plus de 80 pays.

La stratégie comprend des solutions co-innovées, créées avec l’expertise approfondie de PwC en matière d’ESG et de comptabilité, visant à permettre aux entreprises d’appliquer des mesures ESG à travers leurs opérations fiables, auditables et vérifiables. Ces solutions s’appuient sur la solution SAP® Cloud for Sustainable Enterprises, ainsi que sur la solution SAP Sustainability Control Tower et la solution SAP Product Footprint Management. Ensemble, PwC et SAP aident les entreprises à tirer parti des solutions dont elles ont besoin pour satisfaire aux exigences de conformité et stimuler la croissance, afin de répondre aux attentes toujours plus grandes des clients et des investisseurs. Ils aident également les clients à façonner l’avenir de leur stratégie net zéro et de leur reporting sur le développement durable.

La stratégie de PwC et SAP comprend des solutions englobant une stratégie ESG à l’échelle de l’entreprise, allant de l’optimisation des transactions et de la reconnaissance des crédits d’impôt à la gestion des risques liés aux tiers et à l’analyse concurrentielle. Les trois principaux défis à relever en matière d’ESG, de réduction des émissions et de rapports sur le développement durable seront également abordés :

  • Le reporting et la diffusion aidant à satisfaire aux exigences en matière d’établissement de rapports et de diffusion des données sur la mesure du carbone de niveau investisseur, ceci afin de répondre aux demandes des investisseurs, prêteurs, régulateurs et clients.
  • L’opérationnalisation de la durabilité pour soutenir la prise en compte des mesures ESG, en particulier les questions sur le carbone, directement dans les fonctions commerciales, telles que la vente, la capitalisation et la fiscalité.
  • La gestion des risques, le suivi et la conformité de la chaîne d’approvisionnement étendant le soutien aux mesures ESG pour couvrir l’impact des fournisseurs sur les performances organisationnelles.

Des solutions comme l’outil primé Climate Excellence de PwC Allemagne, basé sur SAP Business Technology Platform, ont déjà démontré la force de la collaboration entre les deux organisations pour mettre sur le marché des innovations ESG.

PwC et SAP s’attachent à aider les entreprises à répondre aux exigences de reporting et d’auditabilité imposées par l’European Financial Reporting Advisory Group (EFRAG) et l’International Sustainability Standards Board (ISSB). Ils aident également les entreprises à se conformer à une décision connexe proposée par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Les solutions fournies par PwC et SAP permettent de créer l’environnement en temps réel, et axé sur les données dont les clients ont besoin pour exploiter et promouvoir l’entreprise durable de demain.

Bob Moritz, Global Chairman de PwC, a déclaré : « L’ESG est devenu un impératif commercial et est au cœur de la stratégie mondiale de PwC, ‘The New Equation’, qui vise à aider les clients à instaurer la confiance avec leurs parties prenantes et à obtenir des résultats durables. De nouvelles exigences en matière de reporting et de divulgation ESG sont établies, et une plus grande transparence est essentielle pour instaurer la confiance. Cette conviction est au cœur de notre nouvelle stratégie de co-innovation avec SAP qui vient élargir notre collaboration pour mettre l’accent sur le développement de solutions ESG. PwC a travaillé intensément afin d’aider les entreprises à répondre à leurs exigences pour atteindre leurs objectifs ESG. L’association entre notre expertise et notre réputation de confiance et d’intégrité à la plateforme technologique de SAP, permettra d’apporter des capacités et des solutions plus larges pour répondre aux défis des entreprises dans le respect de leurs engagements ESG et de durabilité. »

Christian Klein, CEO et Membre du Conseil d’Administration de SAP SE, a déclaré : « La clé de la capacité de chaque organisation à atteindre ses objectifs de durabilité et à susciter des changements positifs, est la transparence. Notre collaboration permettra de combiner l’expertise sectorielle approfondie et la connaissance des clients de PwC avec notre portefeuille de technologies de pointe en matière de développement durable. La transparence ESG qui en résultera aidera les entreprises à réinventer leurs modèles économiques et à obtenir des résultats durables dont le monde a besoin de toute urgence.”

Pour en savoir plus sur la stratégie de co-innovation ESG de PwC et SAP, visitez notre site Web.

The post PwC et SAP lancent une nouvelle stratégie d’innovation pour aider les entreprises à atteindre leurs objectifs ESG et Net Zero. appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Many firms’ design and development decisions are increasingly oriented toward human-centered innovation. Instead of rushing goods to market, these firms are using a user-centered design approach.

Design and development teams build high-performing digital products or websites that uniquely meet customers’ demands by concentrating on the user experience. After all, a good web design is helpful in boosting the business reputation or user experience.

This post will define user-centered design, discuss its fundamental principles, and describe the user-centered design process.

What Is User-Centered Design?

To create an enjoyable solution to a problem, user-centered design is a collection of iterative design processes concentrating on the user’s needs at each step. In UCD, the expectations, objectives, and preferences of the user significantly impact design decisions.

Additionally, users are actively involved in the entire process from start to finish. User-centered design principles encourage designers to create products with users rather than just for them. This strategy typically includes user research, interviews, usability testing, and a massive amount of feedback gathering.

UCD Requires Four Fundamental Components:

  • Visibility: Can people see what your website is about and how to utilize it the moment they land on your page?
  • Availability: Is your website user-friendly? Can they swiftly locate information? They should be able to find call-to-action buttons, menus, filters, and search choices with ease.
  • Legibility: Is the text simple to read for users?
  • Language: Is the language simple to grasp for users? Do you avoid using industry jargon in your UX authoring, which might lead to confusion and hesitation?

What Is The Significance Of UCD?

User experience is important in product design, especially in digital products such as app design, web and interface design, and marketing. Customers want their lives to be simplified. A website, app, or product exists to fulfill a consumer. Hence its success is determined by their interaction with it.

The following are some of the advantages of a user-centered design strategy for a business:

  • Customers keep coming back for more
  • There would be an increase in sales
  • Creating polished, efficient, and widely available goods
  • Understanding challenges thoroughly to provide suitable solutions
  • Customers and teams working together
  • Avoiding typical blunders
  • Enhancing Competitiveness
  • Assisting them in comprehending their market

It offers consumers the following advantages:

  • Making their life easier
  • Fulfilling their desires
  • Companies making them feel heard and understood
  • Making them feel important in the creation of things they use
  • Providing answers to challenges they were unaware they had or could not imagine solutions to

Let’s dig in to learn more about the advantages of UCD.

Businesses can benefit from using the user-centered design approach in various ways. As you incorporate this into your web development, you can enjoy the following four main advantages.

1. Prevent Project Failure

Your company might find it simpler to incorporate improvements and ensure your product is in line with actual user needs if you have a continuous feedback process assessing how customers react to your product, like a website.

Customers feel like their needs are better represented in the finished product, which can increase engagement and strengthen the bond with the company.

2. Improve ROI

This method produces products that more accurately reflect user expectations. The procedure also lessens mistakes made by website users, for instance. When combined, these factors motivate users to convert from leads to paying clients, boosting return on investment.

3. Increase Development Efficiency

In user-centered design, the objectives of the various team members are aligned. This can help clarify the best course of action for all parties involved. A more targeted, goal-oriented development process may be encouraged by the regular evaluation process.

Additionally, businesses can engage stakeholders and explain how their efforts and methodologies will improve customer interactions by using an iterative life cycle during product development.

4. Up The Level Of Competition

Customers will more fully appreciate what you offer, improve their engagement with your product or website, and be more likely to purchase from you if your product is created with their needs and expectations in mind.

As a result, this may increase your ability to compete in your sector.

5. KPIs Are Included

Given your user needs and business objectives, how do you move from the first to the second? You can measure key performance indicators with this in mind once you know what user needs are essential for the overall goals.

For instance, productivity may be the focus of office software, shopper activity may be the focus of sales tools, and retention rates may be the focus of other apps. All of these are necessary steps toward achieving business values like profit and revenue.

Human-Centered Design Versus User-Centered Design

There is a significant difference between humans and users. Simply put, all users are humans; however, not all humans will use your product. Therefore, you must thoroughly understand your target market to produce a successful user-centered design.

Detailed research should be done on the problems and goals of your users. Then, talk to them and give them several chances to offer feedback. By doing this, you’ll create a user persona that is complete and that you can use to determine the priorities for your design.

It’s critical to understand that different user groups may have additional requirements, levels of technical expertise, and expectations for using products like the one you’ve made.

What crucial guidelines or principles should designers consider when adopting a user-centric design?

The Process Of User-Centered Design

Certain fundamental principles underpin user-centered design. While the development process is always iterative, no explicit methods for implementation are specified. The approach can be implemented in either a waterfall or an agile environment.

1. Contextualization

The first step is to analyze the environment in which users will use the product. What are the intended applications of the product for future users? Teams working on projects can get answers by watching and talking to potential users.

2. Outlining The Prerequisites

Specifying the requirements for the new product is the second step. In this step, user requirements are described while considering corporate needs.

3. Design

Once the requirements are established, the actual design process can begin. Designers typically start by producing a straightforward prototype, like one made of paper, then move on to digital wireframes and a finished prototype.

4. Analysis

The project team solicits feedback from potential users after creating a prototype. This is typically done for digital applications through in-depth user testing and qualitative research.

Do surveys and tests evaluate user satisfaction, effectiveness, and efficiency? With the new information, the project team goes back to step 2 or step 3 of the design process to improve the product. Once the user feedback is satisfied, these iterations continue while taking into account corporate frameworks (time and costs).

Top 10 User-Centered Design Principles

Principles of user-centered design attempt to guarantee that usability is the primary priority throughout the development process. These principles, if successfully followed, will ensure that user experience is fulfilled not just during the initial introduction of a product but also during its use.

Furthermore, each of the following principles may be tailored to match the specific requirements and interaction demands of any product.

1. Use Simple Language

Professional Web Designer strives to provide the most readable discourse for the user while creating a product. This involves clarifying vocabulary, eliminating jargon, and simply providing information pertinent to the work.

Presenting users with irrelevant information throughout their use of the product taints its usefulness. Furthermore, basic language helps the user finish the work without being overwhelmed or confused.

2. Feedback

Users expect a reaction to all of their actions. This might involve modifying the look of the screen after completing an activity. If the job is finished after some time, it should display a loading page to notify the user that the task is in process.

Keeping the user informed throughout the process reassures them and keeps them on track with their job.

3. Maintaining Consistency

Keeping the product consistent is essential in ensuring an ideal user experience. Consistency affects how customers approach a product, and the time it takes to learn how to use it.

From the start of the project until its completion, the consistent philosophy underpinning the UCD process should be maintained. If the interface design needs to be updated, it is critical to maintaining consistency across new features to stay beneficial to the user.

4. Give The Complete User Control

Consumers are already aware of their requirements. They should be able to use a product with minimal effort and depend on the product’s help to accomplish the rest.

By removing the effort from the job, the user can do it quickly while keeping control of their activities.

5. Describe The Situation

Before developing a product, the designer must first investigate the ideal user and their wants. The designers can gain a comprehensive sense of some of the issues these people experience by studying their lifestyles.

Many of these observations are conducted through interviews. These interviews provide the designer with information on the exact goals that users want to attain and how they want to achieve them.

6. Examine the Design

Designers undertake usability testing with actual users of their product at this stage in the UCD process. This stage provides designers with insight into how consumers will interact with the product and how to modify it to suit them better.

It is advised that this stage be completed as quickly as feasible. The sooner customers provide input, the faster designers can comprehend their product from the user’s perspective.

7. Create Designs That Are Specific To The Needs Of The User

The design team must examine the distinctive features of their intended demographic as well as frequent real-world activities while beginning the design process. Furthermore, the product should be appropriate for the environment in which it will be utilized the most.

Making a product that needs a lot of work from the user reduces its usability and usefulness, ultimately defeating the objective of UCD.

8. The Design Process Is Iterative

Because user-centered design is based on putting the user first, the product team should constantly be working to improve the user experience. By introducing changes gradually, you will gain a better understanding of your target audience.

9. Adequate Navigational Tools

An essential component of the user experience is the capability to navigate between pages of your website and return to the previous one. Make sure users know where they are on your website and how to leave any pages they don’t want to see.

Customers can better understand how to navigate your page by giving them features like a navigation map, for instance. Make it simple for customers to change their order without leaving the current page if they buy clothing and discover they need a different size once they reach the checkout page.

10. Unflawed System

Customers should find it easy to navigate between your website’s pages and accomplish their goals. If they make a mistake, be there to help them fix it so they can achieve their goal.

The form may ask for specific, essential fields, such as the square footage, and may also include a gentle reminder or an alert that appears if the user accidentally leaves a required field blank.

Customers may feel more comfortable responding to your prompts and participating in a conversation if you ask questions one at a time and offer automated responses for each response.

Wrapping Up

User-centered design is more than just making a good product. It goes further than that. You demonstrate your motivations and intentions by putting your users in the spotlight. You’re demonstrating that it’s not all about meeting deadlines or turning a profit. Instead, you’re telling your users that you understand what they want and prioritize their needs.

It should come as no surprise that the most effective teams are user-centric. Knowing your customer is essential for success in any industry, including design. Create products that put the user first, and you will create products that people will love.

You can build a more robust, user-friendly website that is better equipped to respond to user needs and expectations by incorporating the User Centered Design process into your product design. However, it’s crucial to collaborate with a specialist who can apply these techniques and produce the result you’ve envisioned.

 

Featured image by pch.vector on Freepik

Source

The post 10 Key Principles of User-Centered Design first appeared on Webdesigner Depot.

Source de l’article sur Webdesignerdepot

Par Erik Marcadé, Head of SAP Labs Paris

Les entreprises et dirigeants du monde entier sont aujourd’hui confrontés à des défis de taille, que ce soit la volatilité des marchés, les incertitudes économiques ou encore les conflits géopolitiques… Ayant compris que l’intégration des technologies permettait de faire face à ces incertitudes, les entreprises redoublent d’efforts dans leurs transformations digitales pour survivre et prospérer. Cependant, la pénurie importante de talents et de compétences dans le secteur technologique renforce ce sentiment d’incertitudes.

Selon une récente étude d’IDC, 48 % des répondants sont confrontés à une pénurie de développeurs pour répondre à leurs demandes actuelles. C’est l’une des raisons pour lesquelles seulement 8 % des entreprises mondiales ont pu atteindre leurs objectifs de transformation digitale.

Dans l’enquête « Global Workforce Hopes and Fears Survey for 2022 » de PWC, on apprend que 29 % des personnes interrogées indiquent que leur pays ne dispose pas des ressources nécessaires à l’exercice de leur métier – les soins de santé, la technologie, les médias et les télécommunications arrivant en tête de liste. Pour combler le déficit de compétences, de nombreuses entreprises (40 %) investissent dans des programmes de perfectionnement et de formation, tandis que d’autres (33 %) augmentent les salaires pour retenir les meilleurs talents.

La demande de développeurs de logiciels n’a jamais été aussi forte, et cette pénurie de main-d’œuvre qualifiée crée non seulement des lacunes, ralentit le processus d’innovation et de croissance de nombreuses entreprises, mais provoque également des taux d’épuisement professionnel exceptionnellement élevés chez les développeurs. Pour les retenir sur le marché du travail, les entreprises devraient adopter des méthodes “low-code/no-code”, c’est-à-dire des méthodes de développement de logiciels qui ne nécessitent que peu ou pas de compétences en programmation. Plutôt que des langages de programmation textuels, ces méthodes utilisent des outils de conception d’applications visuelles et d’autres techniques de modélisation graphique.

En allant un cran plus loin, la clé d’une transformation digitale plus efficace pour l’entreprise ainsi que pallier la pénurie de compétences, passera par le développement de l’expertise technologique de ceux qui la connaissent le mieux – les utilisateurs eux-mêmes. Mais qu’entendons-nous par « utilisateurs professionnels » ? Il s’agit des analystes financiers, des opérateurs de la chaîne d’approvisionnement, des responsables de la chaîne de production, des spécialistes des achats et du marketing. Grâce à la formation et à l’investissement dans des solutions low-code/no-code, les entreprises peuvent exploiter la puissance du logiciel en dehors du back-office et la mettre entre les mains de personnes qui l’utilisent tous les jours pour innover, exécuter des tâches, se connecter, etc. En outre, cette approche permet également de répondre à la pression que ressentent de nombreux professionnels de l’informatique, chargés des grandes révisions d’infrastructure et des transformations digitales.

Les organisations peuvent former des employés qui n’ont aucune expérience préalable de la programmation, en leur fournissant des connaissances sur le low-code/no-code. L’objectif de ces formations est la certification en tant que «citizen developer», qui permettra à ces employés de développer et d’exploiter des programmes low-code/no-code à l’aide d’une expertise applicative personnelle. Ils peuvent alors décharger les développeurs professionnels de simples tâches routinières de programmation afin qu’ils puissent davantage s’impliquer dans le développement stratégique d’applications.

Bien sûr, les personnes ayant un certain niveau d’expertise technique peuvent également tirer profit des logiciels low-code/no-code : les tâches trop complexes pour un « citizen developer » comme les fonctions de sécurité, ou encore l’utilisation d’outils pour concevoir un programme à budget limité sans perdre la capacité d’évoluer. L’expertise des développeurs confirmés est – dans ce cas – toujours nécessaire mais avec l’aide du low-code/no-code, ils peuvent développer ces fonctions de manière plus efficace.

Les entreprises technologiques doivent être capables, à l’avenir, de s’adresser à tous : du développeur cloud-native et du data scientist, à l’architecte d’entreprise et au développeur d’applications et d’intégration, en passant par le concepteur UX et même les utilisateurs non techniques ! Le besoin est évident : le marché total adressable du développement d’applications et de l’automatisation des processus low-code/no-code n’a cessé de croître, et devrait atteindre 159 milliards de dollars d’ici 2030, contre 27 milliards de dollars cette année.

Dans le but de soutenir nos clients, SAP vient de lancer une nouvelle suite low-code appelée SAP Build – un ensemble d’outils qui mettent notre technologie de pointe entre les mains de tout utilisateur professionnel – utilisateur qui pourra désormais créer seul les applications dont il aura besoin, sans compétences approfondies en matière de codage et sans l’intervention du service informatique.

SAP Build est notre contribution à la mise en œuvre de cas d’utilisations commerciales, tout en atténuant les effets de la pénurie mondiale de compétences informatiques, grâce à la possibilité de transformer n’importe qui en développeur, ainsi que chaque entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité, en entreprise technologique.

Avec l’aide du low-code/no-code, les utilisateurs professionnels peuvent travailler plus efficacement et plus rapidement, les équipes informatiques peuvent se concentrer sur des tâches plus décisives et les entreprises peuvent mieux réussir, indépendamment de ce leur réserve l’avenir.

The post Les outils Low-Code : l’avenir de la transformation digitale des entreprises appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

LAS VEGAS, NV – 15 novembre 2022 – SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé, à l’occasion de la conférence SAP TechEd, le lancement d’une nouvelle offre visant à catalyser la prochaine vague de transformation des entreprises en mettant à profit l’expertise de ceux qui la connaissent le mieux : les utilisateurs professionnels.

 

SAP lance SAP Build qui met l’innovation entre les mains des utilisateurs

S’appuyant sur la profondeur et l’étendue unique de SAP Business Technology Platform (SAP BTP), SAP Build est une solution low-code qui met l’innovation et la puissance technologique de SAP entre les mains des utilisateurs professionnels, leur donnant un accès direct et sécurisé aux processus end-to-end, aux données et au contexte dont ils ont besoin pour prendre des décisions plus éclairées et stimuler rapidement l’innovation. Cette offre permet aux utilisateurs, avec un minimum d’expertise technique, de créer et d’enrichir des applications d’entreprise, d’automatiser des processus et de concevoir des sites d’entreprise par simple drag and drop[1].

« SAP Build réunit les applications de gestion les plus puissantes du monde sur une plateforme conçue pour révéler rapidement l’expertise business des utilisateurs », a déclaré Juergen Mueller, Chief Technology Officer et membre du Conseil Exécutif de SAP. « Dans un contexte économique instable, SAP Build et l’ensemble des innovations que nous lançons aujourd’hui – de notre nouveau partenariat avec Coursera Inc. aux améliorations apportées à notre portefeuille d’entreprises pour maximiser la productivité et réduire le délai de rentabilité – permettent aux clients de préparer l’avenir de leur entreprise et de tirer le maximum de valeur de leurs investissements technologiques. »

Avec SAP Build, les utilisateurs ont à portée de main toute la puissance de SAP BTP ainsi que les données des applications de gestion de SAP. Les utilisateurs peuvent facilement intégrer des systèmes, surveiller, analyser et automatiser intelligemment les processus, mais aussi créer des applications pour le dernier jalon d’innovation, le tout sans déplacer leurs données dans un système externe. Grâce aux solutions SAP Signavio déjà intégrées, les utilisateurs de SAP Build bénéficient également d’une visibilité approfondie sur l’ensemble de leurs processus, leur permettant de savoir où se concentrer et ainsi avoir le plus d’impact possible lorsqu’ils innovent et automatisent. Plus de 275 000 références de processus provenant de 4 000 clients, ainsi que 1 300 workflows et automatisations spécifiques à des cas d’utilisation, permettent aux utilisateurs d’exploiter instantanément l’ensemble de l’expertise métier intégrée à la technologie SAP. SAP Build fonctionne également avec les systèmes non-SAP. Enfin le nouveau programme SAP Builders aide les utilisateurs à se lancer rapidement et à entrer en contact avec leurs pairs par le biais de sessions de formations et de forums de partage des meilleures pratiques.

« La demande de solutions numériques actuelles étant supérieure à la capacité des Développeurs à les fournir, IDC prévoit que les professionnels s’impliqueront de plus en plus dans des initiatives visant à créer des solutions digitales pour résoudre les problèmes urgents des entreprises », a déclaré Arnal Dayaratna, Research Vice President, Software Development, IDC. « A l’échelle mondiale, IDC prévoit l’implication de plus de 100 millions de professionnels dans la production de solutions digitales au cours des dix prochaines années. Les solutions de développement low-code de SAP Build permettent aux utilisateurs de tirer parti de leur expertise dans leur domaine pour créer rapidement des solutions à grande échelle et y apporter des modifications. »

L’impact de SAP Build se fait déjà sentir : « Grâce à SAP Build, nous avons facilement construit une meilleure expérience pour nos clients, tout en réduisant considérablement nos coûts de développement de 90%“, a déclaré Spencer Cook, XM Advocates Lead chez Qualtrics, société leader dans la « gestion d’expérience ». « J’ai pu rapidement construire l’application pour améliorer notre programme de référence client, ce qui va permettre de propulser le taux de satisfaction clients.

 

SAP s’engage à former 2 millions de Développeurs en partenariat avec Coursera

À l’heure où chaque entreprise devient une entreprise technologique, SAP est également conscient de l’importance croissante des compétences et des connaissances que seuls les Développeurs sont en mesure d’apporter. A cet effet, SAP s’engage à former deux millions de Développeurs dans le monde d’ici 2025, en triplant ses offres de formations gratuites sur le site SAP Learning, en s’associant à la plateforme d’apprentissage Coursera Inc. de renommée mondiale, ceci afin d’aider les candidats à lancer leur carrière au sein de l’écosystème SAP, et en donnant des moyens d’action aux publics défavorisés dans le domaine de la technologie.

« Je suis heureux d’annoncer que SAP lance aujourd’hui un certificat professionnel de premier niveau sur Coursera. Un certificat destiné aux apprenants de tous niveaux, sans qu’aucun diplôme universitaire ou une expérience du secteur ne soit requis », a déclaré Jeff Maggioncalda, PDG de Coursera Inc. « Ce certificat préparera les candidats à des fonctions premières, et ce, dans certains des domaines les plus demandés. Nous sommes honorés de nous associer à SAP afin d’accroître l’accès aux compétences professionnelles et de développer les opportunités économiques pour tous. »

Ces deux annonces majeures, tant sur le plan business que celui de la formation, s’inscrivent dans le cadre d’une multitude d’innovations annoncées à SAP TechEd, pour aider les clients et partenaires de SAP à poursuivre les changements dont ils ont besoin pour rester performants. Qu’il s’agisse d’un tout nouvel accès Web natif pour les applications de gestion, améliorant la productivité dans le Cloud et prêt à l’emploi, ou d’innovations SAP dans le domaine des applications intelligentes, la Digital Supply Chain ou le développement durable, SAP TechEd 2022 vise à libérer le pouvoir des entreprises.

Pour en savoir plus, consultez notre guide des actualités ici.

Visitez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter à l’adresse @SAPNews.

[1] Glisser – Déposer

The post SAP lance SAP Build pour révéler l’expertise métier et s’engage à former 2 millions de Développeurs en partenariat avec Coursera d’ici 2025 appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Londres, Royaume-Uni – SAP SE (NYSE : SAP) annonce aujourd’hui que Twinings Ovaltine, l’une des marques de thé les plus emblématiques au monde, a choisi SAP pour mener à bien son programme de transformation. L’entreprise cherche à mieux s’engager auprès de ses clients, tout en garantissant la fiabilité de la chaîne d’approvisionnement et l’efficacité opérationnelle.

Au cœur de la solution se trouve RISE with SAP sur Microsoft Azure, soutenu par SAP Business Technology Platform et les solutions SAP Ariba. Ces solutions permettent de numériser les opérations d’approvisionnement et d’aider Twinings Ovaltine à moderniser ses capacités de base, de la finance à la fabrication en passant par la logistique, soit tous les éléments nécessaires pour gérer une entreprise mondiale en temps réel, de manière intelligente et agile.

Afin d’éviter une implémentation informatique de longue haleine, Twinings Ovaltine s’est tournée vers RISE with SAP pour un déploiement rapide qui a permis d’obtenir une valeur ajoutée. Cela permet également à Twinings Ovaltine de respecter les normes internes qu’elle s’est fixées et de s’assurer que tous les éléments de son programme de transformation ne sont pas une simple ré-implémentation de l’ERP, mais bien une innovation qui change la donne. Le programme RISE with SAP tient cette promesse, en utilisant la standardisation et l’automatisation pour garantir la satisfaction des attentes des consommateurs actuels, toujours plus exigeants.

“Lorsque nous avons entamé notre parcours de transformation et réfléchi à ce que nous voulions faire, il n’a jamais été question de technologie. Il s’agissait de savoir comment nous rapprocher de nos clients, comprendre leurs attentes et les satisfaire”.

Sandeep Seeripat, Global Chief Information Officer chez Twinings Ovaltine.

“Nous avons besoin de partenaires qui correspondent à nos objectifs commerciaux, et il est clair que c’est ce que fait SAP. Si d’autres candidats peuvent offrir la technologie, SAP s’est vraiment distingué par sa compréhension de nos objectifs commerciaux et de la manière dont il peut simultanément offrir à nos clients une expérience qui va au-delà de leurs attentes, tout en bâtissant une plateforme pour notre programme de croissance.”

Avec un processus d’affinage du thé datant de plus de 300 ans, pour Twinings Ovaltine, le thé est plus qu’une simple boisson. Il fait partie intégrante de la vie quotidienne des consommateurs et a satisfait des générations d’amateurs de thé, grâce à ses plus de 330 variétés et à ses installations de production qui produisent entre 45 et 75 millions de sachets de thé par semaine.

Avec l’aide de RISE with SAP, Twinings Ovaltine peut automatiser et simplifier ses processus de gestion dans le Cloud, améliorer l’expérience utilisateur (sur un large public), fournir des données et des insights en temps réel, ainsi qu’une visibilité en temps quasi réel des ventes, des stocks et des processus. L’entreprise pourra ainsi mieux répondre aux besoins et aux comportements de ses consommateurs et du marché en général.

Comme l’explique Michiel Verhoeven, directeur général de SAP pour le Royaume-Uni et l’Irlande : ” Le déploiement vers RISE with SAP est une simplification de l’engagement que nous avons déjà avec Twinings Ovaltine, en plus d’établir une qualité de service répondant aux besoins de l’entreprise tout en fournissant un processus de mise à jour qui réduit la complexité à l’échelle de l’organisation. Nous sommes ravis de poursuivre notre partenariat avec Twinings Ovaltine, une entreprise dont l’histoire est riche en innovation, et qui est désormais idéalement placée pour répondre aux besoins de sa clientèle grandissante, tout en poursuivant de construire son héritage en tant que l’une des marques de boissons les plus connues au monde.”

Image de produits Ovaltine et Twinnings (client SAP sur la solution RISE with SAP)

The post Une tasse de thé ? Twinings Ovaltine et SAP s’associent pour développer le parfait mélange d’expérience client, de personnalisation tout en réduisant la complexité informatique appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com