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J’ai récemment eu une conversation avec le responsable produits d’un grand fabricant d’équipements industriels. Chaque machine comporte de  multiples variantes, est vendue à des centaines de clients, ce qui représente des milliers d’installations à travers le monde et peut être utilisée pendant des décennies. Mon interlocuteur m’expliquait qu’il avait reçu un appel d’un de ses clients  pour la mise à niveau d’une de ses machines pour en augmenter la productivité et optimiser. De ce fait, les équipes de ce responsable produits  vont être très occupées pour répondre à cette demande au cours des prochaines semaines, voire des prochains mois. Imaginez maintenant le nombre de ressources et le temps qui seraient nécessaires s’il avait à répondre à plusieurs demandes similaires en parallèle.

Voyons quelles sont les tâches les plus importantes qui sont requises pour élaborer un plan de réponse complet à destination de ce client :

  • évaluer le potentiel de revenus de la demande de mise à niveau ;
  • analyser la réplicabilité de la solution auprès d’autres clients ;
  • vérifier l’état de fonctionnement de l’équipement ;
  • évaluer le mode d’utilisation de la machine ;
  • valider la compatibilité de la dernière configuration proposée par l’ingénierie ;
  • comprendre les nouvelles exigences applicatives ;
  • effectuer une analyse des risques ;
  • analyser les perturbations de la chaîne d’approvisionnement ;
  • collaborer avec les fournisseurs et les partenaires pour élaborer le plan d’exécution ;
  • et probablement bien plus encore…

Il est également important de noter le nombre de systèmes, de processus et de partenaires requis pour construire et appliquer ce plan d’intervention.

Tout est question de stratégie globale

Nous voyons de nombreux clients de tous secteurs, en particulier dans la haute technologie, l’énergie, les équipements industriels, la santé, l’aérospatiale et le pétrole et le gaz, cherchant à tirer une part croissante de leurs revenus de services stratégiques. C’est un objectif commun aux fabricants d’équipements d’origine (OEM) recherchant des marges plus élevées, une proximité accrue avec leurs clients et des revenus récurrents.

Pour y parvenir, les entreprises doivent élaborer une stratégie globale, en intégrant les services d’ingénierie à la gestion des actifs, afin de rapprocher les OEM des opérateurs.

Dans cet article, je vous expose les éléments stratégiques liés à l’intégration du monde de l’ingénierie et de l’opérationnel, qui permettront aux OEM et aux opérateurs de maximiser la valeur de leur collaboration et de mettre en place une base permettant d’explorer de nouveaux business models, tel que le Product as a Service.

Éléments stratégiques d’une intégration des services d’ingénierie à la gestion des actifs

Ne serait-il pas intéressant de disposer d’un package de solutions prêt à l’emploi permettant de gérer tous les actifs installés, prenant en compte leur durée de vie et leur état ?

Comment y parvenir ?

Voyons quelques-uns des éléments stratégiques qui permettront de briser les silos fonctionnels, pour bénéficier d’une vue à 360 degrés du cycle de vie des produits et des actifs.

 

 

  • Tout d’abord, un OEM doit savoir déterminer la configuration d’un actif existant à partir des spécifications du produit issues de l’ingénierie. Il s’agit ici de la capacité à suivre et à gérer entièrement l’actif lors son installation, puis tout au long de son cycle de vie et jusqu’à sa mise hors service. L’un des aspects importants est de comparer dynamiquement l’actif en fonctionnement avec les configurations d’ingénierie les plus récentes, afin de prendre les bonnes décisions de maintenance ou de mise à niveau.
  • Le deuxième élément est la façon dont les partenaires collaborent et partagent des données. En créant un écosystème collaboratif de nouvelle génération basé sur le cloud, les équipementiers, les opérateurs, les fournisseurs et les partenaires de service vont disposer d’une plate-forme commune. Elle permettra de rassembler l’ensemble des partenaires, de partager du contenu, des données, et même d’étendre les processus métiers au-delà des murs de l’entreprise. L’objectif est de permettre aux OEM et aux opérateurs de déterminer quelles mesures doivent être prises et à quel moment.
  • Le troisième aspect est l’efficacité avec laquelle nous utilisons les données d’ingénierie en amont pour améliorer la gestion des actifs. Avec une ingénierie de service efficace, nous pouvons établir une nomenclature des services, des conceptions de services, identifier des systèmes critiques, définir des caractéristiques de performance, planifier des stratégies de service, créer des aides visuelles et bien plus encore. Les données de l’ingénierie de service peuvent être utilisées efficacement dans plusieurs flux de gestion des actifs, tels que la planification de la demande, les services sur le terrain, la gestion des garanties, les plans de maintenance et les stratégies d’actifs. En activant une continuité numérique de bout en bout, il est possible de connecter les données tout au long de la chaîne de valeur d’un service, de sa conception à son utilisation.
  • Enfin, l’un des éléments clés est de permettre aux entreprises de capturer et d’analyser les données transactionnelles et de performance des actifs opérationnels. Une fois restituées sous forme exploitable, ces informations permettront de générer des plans de service dynamiques, mais aussi d’identifier les modifications de conception à apporter, ainsi que les mises à niveau possibles afin de maximiser la valeur d’un actif. Cette boucle de rétroaction continue reposant sur l’ensemble de la base installée permettra aux OEM de proposer de meilleurs produits, plus durables.

Afin de répondre à cette évolution des besoins métiers sur le terrain de l’intégration des services d’ingénierie à la gestion des actifs, SAP et Siemens Digital Industries Software ont récemment annoncé  une extension de leur partenariat qui leur permettra de fournir de nouvelles solutions de gestion du cycle de vie intelligent des services et des actifs. Il est essentiel que tous ces éléments stratégiques soient liés aux processus métiers de la chaîne d’approvisionnement et qu’ils soient accessibles sur une plate-forme unique pour que les équipementiers et les opérateurs puissent en tirer une valeur commerciale.

 

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Source de l’article sur sap.com

Lindt & Sprüngli France a été l’un des premiers industriels hexagonaux à basculer vers SAP IBP pour moderniser sa supply chain. Un pari pour le chocolatier, qui a été accompagné dans sa démarche par TeamWork. Lindt France compte sur ce socle modernisé pour refondre ses processus de prévision et accélérer sur le terrain de l’analytique.

Célèbre chocolatier suisse fondé en 1845, Lindt est classé dans le top 10 mondial des fabricants de confiseries. L’industriel a enregistré un chiffre d’affaires 2020 de 4 milliards de francs suisses. Il compte environ 14 500 collaborateurs dans le monde. Par ailleurs, le chocolatier est très présent en France. En effet, Lindt dispose d’une usine à Oloron-Sainte-Marie et d’un réseau composé d’entrepôts et de 26 magasins.

Lindt France utilisait la solution SAP Advanced Planning and Optimization (SAP APO) pour assurer la planification de la demande. Cet outil arrivant en fin de vie, Lindt lui a cherché un successeur au travers d’un appel d’offres, avec un regard particulier porté sur SAP Integrated Business Planning for Supply Chain (SAP IBP).

« Dans le même temps, nous avons mené une réflexion autour du métier de prévisionniste et sur la mise en place d’un processus S&OP, chargé de faire le lien entre les équipes commerciales et celles travaillant sur notre site de production, explique Jean-Pascal Auge, Chef de projet fonctionnel IT chez Lindt & Sprüngli France. L’enjeu informatique était donc aussi doublé d’un enjeu métier. »

Le choix s’est rapidement porté sur SAP IBP et TeamWork, un spécialiste de la supply chain. Ce dernier est venu présenter la solution SAP IBP au travers de son préconfiguré, Step In for SAP IBP by TeamWork. Lindt a apprécié d’entrée de jeu l’intégration avec Microsoft Excel. Un outil bien connu des planificateurs : « L’interface Excel est un atout pour gagner en efficacité lors du déploiement de la solution », confirme Jean-Pascal Auge.

Un accompagnement permanent assuré par les équipes TeamWork

Lindt a été un des premiers acteurs à implémenter SAP IBP en France pour moderniser sa supply chain. Un risque d’autant plus grand que l’industriel disposait déjà d’une solution fonctionnelle, quoique manquant d’agilité. L’expertise de TeamWork a été cruciale afin de déterminer quelles parties d’IBP utiliser, complétées par son préconfiguré. TeamWork a su également enrichir SAP Cloud Platform Integration (CPI), afin de créer des interfaces stables, robustes et adaptées aux besoins de Lindt.

Le projet a démarré en octobre 2019 et s’est déroulé sur 8 mois. La mise en route fut réalisée avant l’été 2020. Le tout dans un contexte difficile lié à la crise sanitaire. TeamWork s’est appuyé sur les conclusions de l’audit fonctionnel pour bâtir une solution SAP IBP, en se concentrant sur le Demand Planning. Un travail facilité par la proximité des processus gérés par les deux solutions.

Durant la première année d’exploitation, Lindt et les équipes de TeamWork se sont concentrés sur l’optimisation de la solution déployée. « La montée en régime s’est très bien passée et les métiers se sont approprié SAP IBP très rapidement, explique Jean-Pascal Auge. Dès la première utilisation, les résultats étaient déjà supérieurs à ceux de SAP APO en termes de temps de traitement du cycle mensuel et de fiabilité de la prévision. Les équipes de TeamWork ont su nous accompagner tout au long du projet et nous aider à franchir chaque étape. »

Améliorer le travail des prévisionnistes

La solution SAP IBP mise en place se veut plus flexible. Elle apporte plus d’agilité aux équipes métiers que SAP APO, tout en offrant de nouvelles fonctionnalités. Elle est également capable d’interagir avec les autres solutions de planification de Lindt & Sprüngli France. « Le résultat est concluant, résume Jean-Pascal Auge. TeamWork continue à nous accompagner sur le support de deuxième niveau, le premier étant assuré en interne. Il prend ainsi le relai de notre DSI sur les questions nécessitant une expertise avancée. »

La phase de stabilisation de la solution a permis aux équipes supply chain de souffler après ce long travail de 8 mois. Mais d’autres projets sont déjà sur la table. Des évolutions régulières de la solution sont ainsi programmées, afin d’accompagner la transformation de l’activité des prévisionnistes. Les nouvelles fonctionnalités apportées par SAP IBP permettent de faciliter le reporting opérationnel. Mais, Lindt France souhaite aller plus loin en termes de consolidation de données et de reporting.

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Source de l’article sur sap.com

La gestion financière de l’entreprise déborde de beaucoup le pré carré qu’on lui attribue habituellement. Sa fonction première est de tenir les cordons de la bourse. Mais elle joue aussi un rôle essentiel dans le développement stratégique de l’entreprise. Des ressources humaines à l’expérience client, en passant par la logistique ou le marketing, la fonction finance doit pouvoir collaborer étroitement avec tous les acteurs de l’organisation. D’où l’importance de déployer un outil de gestion financière tenant compte de l’entreprise dans toute sa complexité. Un domaine dans lequel l’ERP a su démontrer son talent, aussi bien en matière de gestion financière, de gestion de comptabilité que d’analyse prospective.

Qu’est-ce qu’un ERP ?

Un ERP (Enterprise Resource Planning) ou PGI (Progiciel de Gestion Intégrée) permet aux entreprises de centraliser tout leur système d’information au sein d’un seul outil de gestion.

Le modèle de l’ERP a beaucoup évolué au fil des décennies. Grâce aux progrès de la numérisation et du cloud computing, il offre désormais une solution globale qui facilite la gestion de toutes les fonctions de l’entreprise, à commencer par la gestion financière.

Le choix d’un ERP passe souvent par la définition précise des besoins et des objectifs des entreprises. Ces derniers varient non seulement en fonction du cœur de métier et de l’environnement concurrentiel, mais aussi de la structure même de l’entreprise. C’est pourquoi il est fréquent de sélectionner son ERP de gestion financière en fonction de la taille de son organisation : TPE, PME/PMI, ETI ou grande entreprise.

ERP ou logiciel de comptabilité ?

Durant de nombreuses années, la notion d’ERP a été associée au logiciel de comptabilité utilisé par les services comptables au sein de la plupart des entreprises. Encore aujourd’hui, l’apparition du terme ERP comptable démontre que les fonctionnalités de l’outil sont souvent résumées à la gestion de la comptabilité.

Il existe toutefois des ERP comptables qui représentent une évolution certaine dans le domaine du logiciel de comptabilité. Ils regroupent :

La gestion de la comptabilité générale ;

  • L’analyse des écritures comptables ;
  • Le Fichier des Ecritures Comptables, ou FEC, un document qu’il est obligatoire de transmettre à l’administration fiscale depuis 2014 ;
  • Le rapprochement des écritures bancaires ;
  • Les déclarations de TVA ;
  • La comptabilisation des décaissements et encaissements ;
  • La comptabilité des comptes clients et fournisseurs.

Toutes ces fonctionnalités sont incluses au sein d’un logiciel qui propose de nombreux autres outils : gestion des ressources humaines, logistique, suivi de la relation client, analyse des performances de vente, etc.

L’ERP finance, ou le FRP

Le terme FRP (ou Financial Resource Planning) est apparu dans les années 2000 pour désigner un nouveau type de logiciel de gestion financière. Il s’agit en premier lieu d’un produit orienté PME et grandes entreprises. Il leur permet de piloter leur gestion financière avec un outil de type ERP. Depuis, d’autres solutions logicielles ont été développées en reprenant le principe de l’ERP appliqué à la gestion financière de l’entreprise.

Aujourd’hui, les ERP proposent des fonctions utiles aux entreprises de toute taille, y compris dans la gestion de leurs finances. En effet, ils coordonnent gestion de comptabilité et gestion financière. De plus, ils apportent de nombreux autres bénéfices en termes de productivité, de rentabilité, de gestion des risques ou encore de stratégie marketing.

Quel ERP choisir pour votre gestion financière ?

L’utilité de l’ERP finance a été solidement démontrée pour les PME, les ETI et les entreprises de plus grande taille. Cependant, nombre d’entre elles hésitent encore sur le choix de leur progiciel de gestion intégrée. Deux cas de figure :

  • Il s’agit d’une PME/ETI en cours de création ou n’ayant jamais fonctionné avec un ERP pour leur gestion financière ;
  • Une  première intégration a déjà eu lieu avec un ERP Finance. Mais, l’entreprise souhaite évoluer vers une nouvelle solution plus adaptée à ses besoins actuels. Un changement d’ERP peut s’imposer lorsque le logiciel actuel ne couvre plus tous les besoins de l’entreprise, ou bien lorsqu’il a atteint ses limites fonctionnelles.

Dans les 2 cas, PME ou entreprises de taille intermédiaire sont confrontées à une gamme de plus en plus étendue de progiciels, aux fonctionnalités toujours plus séduisantes. La première étape consiste donc à définir précisément les attentes de chaque entreprise pour sa fonction finance. Or, les besoins de cette dernière sont beaucoup plus importants qu’il n’y paraît. L’étude menée conjointement par Oxford Economics et SAP le démontre.

Un ERP finance pour soutenir la coopération stratégique entre vos services

Le rôle du service financier ne se réduit pas aux fonctions comptables et budgétaires de l’entreprise. C’est un acteur stratégique de son développement. En collaborant avec les autres services de l’entreprise, il apporte une visibilité essentielle à leur stratégie, grâce au soutien financier qu’il apporte.

Sur un panel de 255 cadres financiers interrogés dans le cadre de l’étude menée par SAP et Oxford Economics :

  • 28 % déplorent le manque de coopération entre les différents services de l’entreprise ;
  • 25 % estiment que leur entreprise connaît des difficultés à élaborer une analyse de rentabilité ou une orientation stratégique.

Les outils financiers de l’ERP doivent donc être adaptés à ce besoin de la fonction finance de participer à une stratégie de développement globale. Leur objectif permet de briser l’organisation « en silo » qui dresse une barrière hermétique entre les différents services.

Un outil de gestion financière pour faire face aux risques

En cette période marquée par l’apparition de la Covid-19 et ses conséquences majeures sur l’économie mondiale, la fonction finance est plus que jamais un acteur incontournable de la gestion du risque.

Une gestion financière harmonisée permet par conséquent de mieux anticiper les évolutions de l’entreprise :

  • En fonction des changements de réglementation ;
  • Sous la pression d’événements extérieurs : crises sanitaires, économiques, financières, etc.

Expérience client et expérience collaborateur

L’étude SAP/Oxford Economics soulève également la question de l’amélioration de l’expérience client et de l’expérience collaborateur. Un domaine de première importance, fréquemment souligné par les entreprises les plus performantes du marché.

Le rôle du directeur financier consiste dans ce cadre à coordonner les efforts des différents services : département commercial, gestion de la relation client, communication, etc. L’ERP Finance fait une fois encore office de ciment entre ces fonctions.

L’amélioration de l’expérience collaborateur est tout aussi essentielle. C’est même une problématique majeure pour le chef d’entreprise : fidélisation des employés, transmission de la culture d’entreprise, coopération, montée en compétences… Autant de questions essentielles à la santé et au développement de l’organisation.

Là aussi, la gestion du financement des formations professionnelles internes, la fluidité des relations entre RH et employés, l’optimisation des outils de paie, etc. font partie intégrante des responsabilités de l’équipe financière.

SAP : 3 ERP pour optimiser la gestion financière des PME et des ETI

Concepteur expert de solutions de gestion financière pour les entreprises de toutes tailles, SAP a mis au point différents ERP spécialement calibrés selon les besoins de votre PME ou de votre ETI. 3 ERP finance à découvrir dès aujourd’hui : SAP S/4HANA, SAP Business One et SAP Business ByDesign.

SAP S/4HANA

SAP S/4HANA est une solution ERP développée par SAP pour la base de données SAP HANA. Il est deployable sur cloud privé ou public, en interne ou sous une forme hybride. Ce progiciel intègre toutes les dernières évolutions numériques :

  • Cloud Computing : facilitez l’accès aux données de l’entreprise à tous ses acteurs, sur un support 100 % sécurisé. Libérez de l’espace données avec la base In-Memory en colonnes ;
  • UX optimisée : SAP S/4HANA mise sur une interface intuitive, accessible à tous les collaborateurs quelle que soit leur connaissance des nouvelles technologies ;
  • Gestion financière facilitée : Grâce à l’IA intégrée et les fonctions d’analyse améliorées, les analyses et insights sont plus rapides. Votre service financier détient un outil conçu pour l’amélioration des performances de l’entreprise ;
  • Réduction des coûts : optimisation de l’infrastructure informatique, rationalisation des flux, amélioration de la fonction logistique… L’usage d’un ERP Finance adapté fait partie des leviers budgétaires à actionner pour augmenter la rentabilité de l’entreprise.

SAP Business One

Cet ERP spécifiquement conçu pour les TPE et les PME prend le relais de votre logiciel de comptabilité pour vous permettre une gestion rationalisée de tous les processus métiers indispensables au fonctionnement de votre entreprise.

L’ERP est deployable sur Cloud ou in situ par le biais de la plateforme SAP HANA. Business One intègre la gestion de la comptabilité, la gestion des finances et toutes les fonctions stratégiques de l’entreprise au cœur d’un seul et même outil.

L’entreprise gagne en efficacité. Par conséquent, l’analyse de ses performances lui offre plus de visibilité, grâce à une interface accessible et adaptée aux besoins de vos collaborateurs. SAP Business One vous permet ainsi de passer à une nouvelle phase de votre développement. Son déploiement rapide et sa facilité d’exécution facilitent votre prise de décision dans tous les domaines.

SAP Business ByDesign

SAP Business ByDesign est une suite ERP complète pour accompagner la croissance des PME et des ETI :

  • Un outil de Cloud Computing clé en main, prêt à l’emploi ;
  • Des processus rationalisés de bout en bout grâce à une application intelligente ;
  • Une analyse en temps réel de toutes vos performances et indicateurs clés.

Cet ERP intègre gestion financière, logiciel de comptabilité, mais aussi outils d’analyse évolués pour exploiter tout le potentiel de votre entreprise et prendre les bonnes décisions quant à son développement. Il est particulièrement adapté aux organisations connaissant une forte croissance et désirant atteindre des objectifs plus ambitieux.

Conclusion : l’ERP Finance SAP au service de toutes les PME et ETI

Au-delà du simple outil de gestion comptabilité, l’ERP est un système d’information et d’analyse perfectionné, en évolution constante. SAP a tiré profit de sa longue expérience auprès des petites et moyennes entreprises pour concevoir les progiciels les plus pertinents. Ce sont désormais des partenaires incontournables de l’entreprise, accessibles à tous ses collaborateurs.

Vous hésitez encore sur le choix de votre ERP de gestion financière ? Les conseillers SAP sont à votre disposition pour vous présenter les produits les plus adaptés à votre cœur de métier.

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Source de l’article sur sap.com

La mise en oeuvre d’un nouveau système ERP offre une occasion majeure de transformer numériquement votre entreprise. Non seulement vous pouvez dépasser les fonctionnalités limitées ou la technologie obsolète de votre ancien système, mais vous pouvez également tirer parti des capacités du système ERP moderne pour vous aider à saisir de nouvelles opportunités commerciales.

Cependant, toutes les mises en place ne se déroulent pas sans heurts. Alors comment préparer votre entreprise à une mise en oeuvre réussie de l’ERP ? Comment éviter les coûts et les risques inutiles ? Ces meilleures pratiques de mise en œuvre d’un ERP peuvent vous aider à éviter les pièges les plus courants et à profiter plus rapidement des avantages de votre nouveau système ERP.

Par où commencer votre projet ERP ?

Lorsque les gens pensent à la mise en oeuvre d’un système, ils commencent souvent par envisager les fonctionnalités souhaitées. Mais les nouvelles fonctionnalités ou technologies ne sont pas le cœur du problème ; ce dont une entreprise a besoin pour se développer, ce sont des processus de gestion modernes. Ce n’est qu’avec des processus efficaces qui vous permettent d’être agile et réactif que vous pourrez stimuler votre compétitivité et mieux servir vos clients internationaux.

Souvent, les processus existants sont rigides et ne répondent pas aux besoins de l’entreprise. Même lorsque des processus éprouvés et rentables sont en place, ils doivent souvent être mis à jour pour répondre à l’évolution des besoins ou être enrichis de nouvelles fonctionnalités, comme l’accès mobile, les alertes et la veille économique. Il est donc important de toujours garder ces processus au cœur de votre plan de mise en œuvre.

Quel est le plus grand facteur de réussite ? Votre équipe de projet.

Toutes les études de cas sur la mise en oeuvre d’un ERP se rejoignent
: le facteur déterminant est l’équipe de mise en œuvre.

Un excellent logiciel n’est excellent que s’il est mis en œuvre par une équipe solide. Si les membres de l’équipe n’ont pas le temps, le soutien ou les compétences nécessaires pour effectuer le travail efficacement, ils ne réussiront pas – et le projet souffrira probablement de retards, de coûts supplémentaires et/ou d’un logiciel qui ne répond pas aux besoins de l’entreprise.

Les entreprises qui ont connu des revers ou des échecs en matière d’ERP ont souvent affecté des employés qui « avaient le temps » de travailler sur le projet. Mais pour réussir, vous devez recruter les personnes dont « vous ne pouvez pas vous passer ». Il s’agit des personnes bien occupées qui connaissent les processus opérationnels, travaillent bien avec les autres membres de l’organisation et ont le respect de la direction. Dédiez ces personnes au projet à plein temps (40 heures de disponibilité), ou autant d’heures que possible par semaine.

N’ajoutez à l’équipe de projet clé aucune personne qui ne peut pas consacrer au moins 25 % de son temps (minimum 10 heures) au projet chaque semaine. Les membres de l’équipe consacrant moins d’un quart de leur temps pourront rattraper les activités du projet mais n’y apporteront aucune valeur ajoutée.

Le soutien de la direction à votre équipe est essentiel. Dans toute mise en œuvre importante, des décisions doivent être prises concernant les priorités et les compromis en matière de ressources. Sans un soutien et un engagement fort, même les équipes qualifiées peuvent échouer.

La mise en oeuvre rapide d’un système ERP moderne est l’une des choses les plus importantes qu’une entreprise puisse réaliser. Cela vaut la peine d’y consacrer vos meilleurs éléments et de poser les bases du succès dès le départ.

Comment planifier la mise en œuvre de votre ERP

Planifiez la séquence de mise en place de façon réaliste. Tenez compte de la disponibilité de votre équipe de direction, des managers et des experts internes qui contribuent à l’effort.

Classez vos besoins par ordre de priorité afin de pouvoir vous concentrer sur les gains importants tout en constituant une base logicielle et technologique de base qui pourra évoluer en fonction des besoins de votre entreprise.

Votre plan détaillé et vos indicateurs clés de performance seront adaptés à vos besoins spécifiques. Toutefois, les activités clés suivantes sont des étapes communes à toutes les mises en place réussies :

Mise en oeuvre d'un ERP

1. Sélectionnez un partenaire intégrateur pour vous aider à la mise en œuvre

Votre équipe de projet n’est probablement pas très expérimentée dans la mise en œuvre d’un logiciel ERP ; elle aura besoin d’aide. Cherchez et sélectionnez un ou plusieurs consultants qualifiés pour la mise en oeuvre de l’ERP, ayant une connaissance approfondie et une expérience de l’application ERP que vous allez installer. Confirmez qu’ils comprennent comment la nouvelle solution logicielle soutient vos processus d’affaires actuels et à venir. Interrogez leurs références pour le vérifier.

Vos partenaires intégrateurs doivent disposer d’un personnel formé à votre secteur d’activité et disponible sur vos sites. Si vous avez des clients et des fournisseurs internationaux, vos partenaires doivent avoir les compétences nécessaires en matière de commerce international, de langues et de devises pour rationaliser votre mise en œuvre.

Enfin, examinez le logiciel de gestion de projet que l’entreprise utilise pour vous assurer qu’il est compatible avec votre système interne de planification, d’ordonnancement et de suivi.

2. Détaillez toutes les tâches du projet

Votre partenaire de mise en place vous aidera à dresser une liste détaillée de toutes les tâches à accomplir. Cette liste sera longue. La formation seule, par exemple, comprend de nombreuses tâches :

  • Formation de l’équipe de projet : Votre équipe doit se familiariser avec le logiciel afin de pouvoir décider comment adapter vos processus d’entreprise.
  • Formation de l’équipe informatique : L’équipe informatique doit être formée afin de comprendre comment installer et maintenir le système de manière optimale.
  • Formation des utilisateurs métiers : Toutes les personnes appelées à utiliser le logiciel doivent apprendre comment il fonctionne.
  • Formation continue : Les nouveaux utilisateurs auront besoin d’être formés au fur et à mesure qu’ils rejoignent votre entreprise, vous devrez donc mettre en place un plan à plus long terme.

La liste des tâches doit être divisée en phases. Il faut prévoir du temps pour le pilote en salle de conférence, la personnalisation de l’application, l’intégration à d’autres applications et sources de données, la mise en œuvre de l’infrastructure, le nettoyage des données, l’acceptation par les utilisateurs, etc.

3. Calculez les heures de travail

Estimez soigneusement le temps nécessaire à chacune des tâches. Pour ce faire, comprenez la tâche et le travail qu’elle implique, puis déterminez le nombre d’ « heures de travail » nécessaires. Il peut s’agir d’une fourchette d’heures, mais elle doit être précise. Additionnez les heures de travail pour chaque phase du projet et désignez la personne chargée de les réaliser.

C’est pourquoi il est important de faire appel à un partenaire intégrateur qui connaît bien la solution logicielle. Si vous effectuez cette étape correctement, vous serez en mesure de calculer avec précision votre calendrier, de déterminer si vous avez besoin d’aide en dehors de votre équipe actuelle et de limiter les dérapages.

4. Créez un calendrier réaliste

Maintenant que vous avez calculé les heures de travail disponibles et nécessaires, vous pouvez créer un calendrier réaliste. Dans de nombreux cas, le premier passage révèle un problème de capacité par rapport au calendrier de mise en œuvre qui avait été présenté à l’origine aux dirigeants.

Voici un exemple de calcul qui illustre les écarts potentiels :

  • Délai de mise en service prévu = 12 mois ou 1 an
  • Nombre total d’heures de travail disponibles sur une période de 12 mois = 540/semaine ou 28 080 heures/an
  • Nombre total d’heures de travail nécessaires à la mise en place = 42 000 heures au total
  • Heures requises divisées par les heures disponibles par an = 1,496 années

Le résultat ? La date de mise en service est manquée avant le début du projet. Voici quelques solutions possibles :

  • Réduire le scope – même si l’équipe a convenu que ces tâches sont essentielles.
  • Repousser la date à une date réaliste
  • Ajouter plus de ressources internes et externes (heures de travail disponibles)
  • Décomposer le projet en phases

C’est ici que l’équipe de direction devra prendre la décision. Ce n’est qu’un exemple des raisons pour lesquelles ils doivent être impliqués dans le processus de sélection et de mise en œuvre du logiciel.

5. Menez un projet pilote

Une fois le projet lancé et avant la mise en service, effectuez un test ou un pilote (dans une salle de conférence) avant le déploiement complet. Ce pilote interne vous permettra de vous assurer que vous avez mis en place les processus opérationnels appropriés pour les besoins actuels et futurs de l’entreprise. Lorsque vous concevez vos nouveaux processus, il est important de comprendre l’éventail des options disponibles dans votre système ERP – et de valider vos processus avec l’équipe de projet et les parties prenantes de la communauté des utilisateurs.

Au cours de cette phase de plusieurs semaines, votre partenaire de mise en place installera un logiciel pilote qui vous permettra de tester tous vos processus et de vous assurer qu’ils fonctionnent comme prévu, sans surprise. Souvent, vous pouvez appliquer les meilleures pratiques pour gagner du temps, en particulier si vous disposez des outils de configuration pour effectuer des ajustements rentables à mesure que vous affinez vos opérations.

6. Nettoyez vos données

Cela semble simple, mais le nettoyage des données est une activité chronophage. Il est préférable de commencer à évaluer l’exactitude de vos données dès que possible, car il faut beaucoup d’efforts pour réaliser cette étape correctement. Au cours du projet, des changements de processus métiers se produiront – soyez donc prêt pour des étapes supplémentaires de gestion des données pendant la mise en œuvre.

7. Tenez tout le monde informé

Chaque semaine, un membre du personnel doit contacter toutes les parties prenantes clés afin qu’elles soient informées des points positifs et moins positifs de l’avancement du projet de mise en œuvre. Le pire scénario est celui où les gens ne sont pas tenus au courant et sont pris par surprise.

La plupart des bons systèmes de gestion de projet comportent des représentations visuelles de l’avancement du projet.

Commencez par les processus les plus importants de votre entreprise

Toutes les entreprises n’ont pas les mêmes problèmes. Il est donc préférable de passer en revue vos processus opérationnels et de classer par ordre de priorité ceux qui doivent être abordés en premier. Voici une liste de domaines à haute valeur ajoutée à prendre en compte :  

  • La veille stratégique, y compris les alertes de gestion et les tableaux de bord : Votre équipe a besoin de mises à jour rapides sur les problèmes de l’entreprise, ainsi que de la possibilité d’approfondir facilement les détails pour résoudre rapidement les problèmes – au bureau, à la maison ou sur la route. Vous avez besoin d’une intelligence d’affaires intégrée et de données qui se trouvent dans une base de données unique.
  • Gestion de la relation client (CRM) : Aujourd’hui, les processus CRM touchent généralement toutes les parties d’une entreprise. Les ventes directes, les distributeurs, les showrooms, le commerce électronique, le service client et les commerciaux partagent tous des informations sur les clients avec la gestion des commandes, les opérations, les achats, l’ingénierie, les comptes clients et l’expédition.
  • Finance et comptabilité : Des transactions financières précises et en temps réel, des indicateurs clés de performance et des analyses sont essentiels à toute entreprise, et ils doivent couvrir tous les sites et départements. Outre la comptabilité, elles doivent être intégrées à l’évaluation des coûts, à la budgétisation, aux prévisions, aux projets, à la gestion des actifs, à la conformité et à la gestion de la trésorerie.
  • Gestion de la chaîne logistique (DSC) et fabrication : Les délais serrés, les faibles marges et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement constituent un défi pour toutes les entreprises. Leur gestion nécessite un travail d’équipe – collaboration avec les fournisseurs, les transporteurs, les sociétés d’import/export, les banques et d’autres partenaires – souvent sur des appareils mobiles répartis sur plusieurs sites.
  • Ressources humaines (RH) : La gestion d’une main-d’œuvre diversifiée est plus difficile aujourd’hui que jamais, et votre équipe a besoin d’un accès immédiat et sécurisé aux informations sur les employés pour la paie, les avantages sociaux, la budgétisation, la programmation et les besoins de conformité. De plus, le recrutement, le développement et la fidélisation des employés constituent une part importante de l’évaluation des plans d’affaires actuels et proposés.
  • Langues, devises et sites multinationaux : À mesure que vous développez votre entreprise, en particulier si vous vous implantez dans de nouvelles régions ou de nouveaux pays, vous devez être en mesure d’ouvrir et de développer de nouvelles opérations de manière cohérente et rapide. Cela nécessite des capacités logicielles étendues et avancées, ainsi que des services cohérents de la part de votre fournisseur de logiciels sur chaque site.
  • La mobilité : La capacité d’accéder à l’information et de travailler à distance est désormais vitale – comme l’a démontré la pandémie de COVID-19. Les entreprises qui disposent des outils nécessaires pour s’adapter rapidement peuvent prendre l’avantage en période de perturbation.

Conseils pour atténuer les risques liés à la mise en œuvre d’un ERP

Tous les projets comportent un élément de risque. Vous trouverez ci-dessous cinq conseils précieux pour améliorer vos chances de mener à bien votre projet dans les délais et les budgets impartis.

  1. Choisissez des partenaires expérimentés en matière de logiciels, de processus opérationnels et de mise en oeuvre qui possèdent un savoir-faire sectoriel et local. Interrogez toujours des références dans des entreprises comme la vôtre.
  2. Ne poussez pas une technologie dépassée au-delà de ses limites. Éliminez les anciens systèmes autonomes dépassés et, dans la mesure du possible, consolidez vos données dans une base de données unique (version unique de la vérité) avec une veille économique intégrée pour des performances multinationales.
  3. Dans l’économie numérique, les entreprises doivent souvent intégrer des systèmes entre les unités commerciales ainsi qu’avec les clients et les fournisseurs. Confirmez que vous disposez de capacités d’intégration dans le cloud et d’une expertise en matière de réseaux de fournisseurs.
  4. Évitez les dérives du projet. Il est fréquent de découvrir des besoins et des opportunités au cours de la mise en œuvre d’un ERP. Il est donc important de gérer les ordres de modification pour éviter les retards et les dépassements de coûts.
  5. Confirmez que vous disposez d’une expertise cohérente sur tous vos sites. Vous avez besoin d’une formation, d’une mise en place et d’une assistance, souvent fournies par la direction locale, les distributeurs de logiciels, les sociétés de conseil et votre partenaire logiciel.

Conseils pour éviter les coûts supplémentaires liés à la mise en œuvre d’un ERP

L’investissement dans un nouveau système ERP comprend l’engagement en temps de votre entreprise, le conseil en processus métier et en mise en œuvre, les logiciels et les services cloud, ainsi que l’équipement en ordinateurs, tablettes et téléphones – il est donc important de contrôler le projet et les coûts.

Voici quelques points clés à suivre :

  • Restez concentré sur le coût total de possession (TCO). Gérez vos coûts totaux – et les avantages au fil du temps pour minimiser les dépenses et maximiser le rendement. N’oubliez pas que la mise en œuvre d’un système ERP aura un impact important sur votre entreprise.
  • Respectez l’orientation de l’entreprise et n’imposez pas de changements de processus inutiles. Dans de nombreux cas, les entreprises sont contraintes de modifier leur mode de fonctionnement pour s’adapter à leur logiciel, ce qui augmente les coûts de mise en œuvre et d’exploitation.
  • Concentrez-vous sur les processus de routine qui apportent une valeur significative à l’entreprise.  La gestion des commandes des clients, la mise à jour des prix, l’ajout de nouveaux produits et services, la modification des détails de fabrication et l’intégration des nouveaux employés sont des exemples de ces processus de routine.
  • Évitez les personnalisations et tirez parti d’une interface utilisateur configurable, des tableaux de bord, des alertes, des flux de travail, de la veille économique et des fonctionnalités mobiles. Grâce à ces fonctionnalités, vous pouvez rationaliser le travail de tous vos services ainsi que procéder à des ajustements rapides et rentables si nécessaire.
  • Les piratages de systèmes et les violations de données coûtent cher. Lorsque vous utilisez Internet, utilisez une solution ERP en nuage sécurisée si nécessaire – confirmez que vos fournisseurs de logiciels et de services prennent en charge une gamme d’options de déploiement de logiciels sécurisés.

Quand votre mise en oeuvre ERP sera-t-elle terminée ?

Une fois votre mise en oeuvre initiale terminée, vous aurez toujours besoin de la flexibilité nécessaire pour ajouter des fonctionnalités supplémentaires à votre entreprise. De nombreux changements peuvent être à l’origine de ces opportunités, comme de nouveaux sites, de nouvelles gammes de produits et de services, et des acquisitions.

La transformation numérique offre également des possibilités supplémentaires de faire équipe avec les clients et les fournisseurs pour redéfinir la manière dont les affaires sont menées dans votre secteur. Souvent, ces projets incluent de nouvelles technologies, comme l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle (IA), ainsi que l’intégration avec des équipements et des véhicules utilisant l’Internet des objets (IoT) pour améliorer la vitesse et l’efficacité.

Prêt à passer à l’étape suivante ?

Dans tout projet ERP, il y aura des problèmes inattendus – alors attendez-vous à en rencontrer dans le vôtre. Mais, en suivant les meilleures pratiques pour une mise en oeuvre réussie de l’ERP, vous pouvez les identifier et les traiter dès qu’ils se présentent afin de gérer efficacement vos risques et vos coûts.

Essayez une solution ERP moderne cloud

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Source de l’article sur sap.com

SAP propose des outils et méthodes pour toutes les étapes de la migration vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA. Des solutions qui pourront être complétées par la méthodologie et les outils de SOA People, afin d’accélérer et de sécuriser encore plus ce processus.

L’approche Move to SAP S/4HANA, complétée par les méthodologies et outils de SOA People, offre de mieux préparer, mener et réussir son projet de migration vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA. Un outillage qui permet aux entreprises d’envisager sereinement leur projet de migration.

Premier temps : la préparation

« Le premier temps est celui de la réflexion, celui du quand, du comment… et du combien », résume Christian Charvin, Head of Program Move to SAP S/4HANA chez SAP. SAP fournit un ensemble d’outils qui permettent de mener la réflexion de bout en bout, en mesurant précisément quel effort devra être fourni et quels gains attendre.

SOA People ajoute à ceci un outil spécifiquement dédié à la construction du business case, Performer. « Performer va se brancher sur l’ERP du client, en extraire les données de façon anonyme et évaluer le niveau de performance de l’entreprise par rapport à son utilisation de l’ERP, explique Pierre-Edouard Hamon, Presales Director, SOA People. À cet effet, le client va être comparé à un panel d’entreprises représentatives. Ceci permet d’évaluer son niveau de maturité en vue de la migration vers SAP S/4HANA, puis de proposer des plans d’action adaptés, comprenant les améliorations recommandées. Ce plan d’action permet d’évaluer les coûts de mise en œuvre du projet, mais aussi les gains potentiels attendus, qu’ils soient uniques ou récurrents. »

Techniquement, les outils proposés par SAP sont capables de proposer une approche similaire : SAP Process Dicovery crée une image de l’utilisation de l’ERP. SAP Transformation Navigator définit le paysage applicatif et fonctionnel, suivant le périmètre et les améliorations choisis. Enfin, SAP Value LifeCycle Manager construit le business case. Performer présente toutefois plusieurs atouts : une couverture plus large en matière de domaines fonctionnels ; plus d’indicateurs mesurés (2600, contre 1380 chez SAP) : une meilleure automatisation du processus.

Second temps : la migration

Les conversion factories ont le vent en poupe. Les conversion factories assurent une migration technique, sans modification massive des processus. Elles permettent de basculer de SAP ECC vers SAP S/4HANA dans des délais courts, avec un minimum de changements fonctionnels. Une fois cette étape réalisée, les processus peuvent être revus avec les métiers, de façon progressive et suivant les priorités fixées par l’entreprise. Une approche à privilégier lorsque le saut technologique est important : passage de SAP ECC à SAP S/4HANA ou passage d’un environnement sur site à une solution en mode cloud, comme RISE with SAP.

« L’emploi d’une conversion factory permet d’industrialiser toutes les étapes de la migration, à périmètre constant, avec parfois la modification de quelques processus clés. Cette méthode permet de capitaliser sur les investissements réalisés précédemment, en reprenant les paramétrages de l’ERP et en convertissant les spécifiques existants. Quant à la conduite du changement, elle peut être ajustée, en ne déployant pas d’entrée de jeu l’intégralité des nouveautés de SAP S/4HANA », explique Christian Charvin.

« Nous sommes tellement fans de l’approche conversion factory que nous proposons un outil de conversion automatisée capable d’assurer automatiquement certaines tâches (finance, gestion des immobilisations, business partners…), ainsi que la conversion de 93% à 95% des spécifiques, ajoute Pierre-Edouard Hamon. La conversion des spécifiques est réalisée à l’aide d’un moteur d’intelligence artificielle autoapprenant très efficace. À un point tel que nous avons réussi à assurer la migration technique d’un industriel en seulement trois mois ! »

Troisième temps : les travaux post-migration

Une conversion réussie nécessite l’alignement des bonnes personnes, des bonnes méthodes et des bons outils. Toutefois, deux aspects sont à considérer après la conversion, et tout au long du cycle de vie de l’ERP : l’amélioration continue et les tests.

Une solution comme Signavio permet d’analyser les processus utilisés à un instant T et de les comparer aux bonnes pratiques du secteur. Un outil précieux qui réalignera les processus avec ces bonnes pratiques. « Nous recommandons à nos clients de réaliser régulièrement cette analyse, dans le cadre d’une stratégie d’amélioration continue de leurs processus », poursuit Pierre-Edouard Hamon. Mais également pour s’assurer que leurs processus restent dans un état optimal.

Lorsque l’ERP est déployé dans le cloud, il va évoluer au rythme des évolutions proposées par SAP. Mais même lorsqu’il est déployé sur site, il est recommandé d’assurer des montées de versions régulières pour profiter de l’innovation SAP. Que ce soit lors de la refonte de processus existants ou lors d’une montée de version, les tests – de bon fonctionnement ou de non-régression – sont essentiels. « Des outils comme Tricentis (distribué par SAP) permettent d’industrialiser ce que les clients font encore trop souvent à la main. Cette solution permet pourtant d’accélérer sensiblement la phase de test lors d’une conversion ou d’une montée de version », explique Christian Charvin. « Tricentis permet de réduire la phase de test et de libérer du temps pour se concentrer sur la formation des utilisateurs finaux. C’est un outil qui participe lui aussi à l’adoption de SAP S/4HANA », confirme Pierre-Edouard Hamon.

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Source de l’article sur sap.com

Les Sablières J. Leonhart ont refondu totalement leur Système d’Information en optant pour SAP S/4HANA Cloud Essentials, appuyé d’un spécifique déployé sur la SAP Business Transformation Platform (ex SAP Cloud Platform). Objectif : disposer d’un ERP standardisé et homogène, mais aussi fiable et évolutif.

Le Groupe Leonhart est un acteur historiquement spécialisé dans l’extraction et la valorisation de sable et de granulats. Il commercialise entre autres des agrégats, des pierres naturelles, du béton prêt à l’emploi et divers produits en béton pour la préfabrication lourde et légère. L’industriel alsacien dispose également de ses propres services de transport et de location d’engins de chantiers. Il a soufflé ses 100 bougies en 2020.

Le groupe réalise un chiffre d’affaires annuel de 120 millions d’euros, pour 600 salariés répartis sur une quinzaine de sites sur le territoire français. Il a connu une forte croissance sur les 20 dernières années. « Au fil de cette croissance, nous nous sommes retrouvés avec un SI très hétérogène, comprenant de nombreux outils spécifiques à chaque activité, plus ou moins bien connectés entre eux », explique Nicolas Battesti, Directeur Administratif et Financier.

La société a souhaité mettre en place un SI standardisé et structurant, couvrant l’ensemble de ses processus métiers et permettant un accès rapide aux données. « Nous avions besoin d’une plate-forme commune à toutes les sociétés du groupe, poursuit Nicolas Battesti. Notre responsable SI a défini un cahier des charges précis et détaillé de notre future solution, puis nous avons démarché les intégrateurs. »

Un ERP SAP, en mode SaaS

L’appel d’offres a été lancé fin 2020, avec comme objectif une étude exhaustive des solutions disponibles sur le marché et des modes de déploiement proposés. Le Groupe Leonhart a rapidement compris les avantages et inconvénients d’un déploiement sur site ou dans le cloud. C’est donc bien informé qu’il a opté pour du SaaS.

« Ce qui nous a plu dans le SaaS, c’est la maîtrise des coûts, explique Nicolas Battesti. Mais également la facilité à monter en version. Auparavant, on travaillait avec des outils qui n’étaient plus adaptés, faute d’avoir su évoluer. Disposer de solutions qui progressent au fil du temps était donc important pour nous. Nous voulions miser sur une offre pérenne. »

Au vu du cahier des charges de l’industriel, Nagarro ES a proposé l’ERP SAP S/4HANA Cloud Essentials, qui couvre les besoins métiers exprimés, avec la possibilité de se connecter au reste du SI de l’entreprise via la SAP Business Transformation Platform (anciennement SAP Cloud Platform). La seule partie non couverte nativement par l’ERP est la pesée des camions entrant et sortant des sablières. Nagarro ES s’est appuyé sur son laboratoire d’innovation pour proposer un développement spécifique reposant sur la SAP Business Transformation Platform et des technologies novatrices, comme la reconnaissance visuelle et l’Internet des Objets. Le résultat est un pont bascule connecté à SAP, avec une technologie qui permet la reconnaissance des plaques d’immatriculation internationales, la pesée du camion, et la génération automatisée du reçu.

Repartir de zéro

Le Groupe Leonhart a été séduit par la richesse fonctionnelle de la solution, mais aussi par la méthodologie SAP Activate, l’approche Fit-to-Standard et la capacité de Nagaro ES à répondre à des besoins métiers spécifiques. « Ce partenaire nous semble solide, en termes de taille, de santé financière et d’expertise des équipes, témoigne Nicolas Battesti. Nous avons jusqu’à maintenant toujours eu à faire à des consultants disponibles et expérimentés, avec la sensation que nos besoins étaient bien compris. »

L’industriel a souhaité repartir d’une page blanche pour son nouvel ERP, avec un périmètre fonctionnel assez large, allant du contrôle de gestion à la finance en passant par la production, la relation client et la logistique. Mais aussi l’analytique : « la BI intégrée nous a beaucoup plu, car elle reste facile d’utilisation, quoique puissante. »

Les ateliers ont commencé début mars 2021. La volonté du Groupe Leonhart de coller au plus près des standards et la trajectoire du projet clairement définie en amont augurent de travaux qui devraient se dérouler dans d’excellentes conditions. La mise en production de l’ERP SAP S/4HANA Cloud Essentials est programmée pour janvier 2022.

 

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Source de l’article sur sap.com

Après avoir mis SAP HANA au cœur du SI financier de SCOR, SAP annonce que son client a finalisé avec succès sa roadmap finance. Annoncée en 2015, cette dernière permet aux différents métiers de la finance de SCOR de répondre sereinement aux objectifs des années à venir. La raison d’être du projet : être au service des métiers pour soutenir l’excellence opérationnelle du domaine finance.

Quatrième réassureur mondial, SCOR offre à ses clients une gamme innovante et diversifiée de solutions et de services pour le contrôle et la gestion des risques via une assise financière solide. Fidèle à sa devise « l’Art et la Science du Risque », le Groupe met son expertise reconnue au sein du secteur et ses solutions financières de pointe au service du bien-être et de la résilience des populations.

Répondre à de nombreux enjeux business et numérique pour évoluer technologiquement

SCOR concrétise sa roadmap 2015-2020 avec la conversion vers S/4HANA opérée en Juillet 2020, point d’orgue d’une ambition métier supportée par SAP HANA visant à mettre en place une plateforme financière unique et intégrée pour l’ensemble des besoins de la Finance.

Ce plan sur 5 ans a permis la mise en place des axes suivants :

  • Le passage des portfolio Analytics (SAP BW) et EPM (SAP BFC) sur une instance SAP HANA unique
  • La migration du General Ledger (ECC) sur S/4HANA;
  • La création et le développement de la Reporting Factory, s’appuyant sur un catalogue analytique en temps réel et réconcilié « by design » par une consolidation très précise grâce à 3 outils SAP intégrés :
    • Analysis For Office (AO) pour l’analyse et la manipulation des données
    • SAP Analysis Cloud (SAC) pour le dashborading
    • Disclosure Management (DM) pour le reporting statique
  • La digitalisation et la robotisation des processus Finance au sein du Groupe

Un déploiement prenant en considération tous les paramètres, coûts, délais et qualité grâce à l’expertise consolidée métier, projets et systèmes du SAP Competency Center de SCOR dirigé par François Bossard, qui s’est vu être complétée par le déploiement sur une instance unique de la gestion de la trésorerie (SAP TRM), de la communication bancaire (SAP BCM), de la gestion budgétaire (SAP eBPC) et de la sécurisation du cycle de développement (Solution Manager).

SCOR est désormais doté d’un avantage concurrentiel indéniable pour les 3 prochaines années dans le domaine de la Finance en termes d’innovations technologiques. Sa plateforme est complètement intégrée et dotée d’interfaces répondant en temps réel voire en streaming, un niveau d’intégration que de nombreux acteurs commencent tout juste à entrevoir. Ces avancées sont dues à un concept fonctionnel clé : la réconciliation « by design » de l’ensemble des domaines de la finance au sein d’une plateforme unifiée.

« SCOR posait il y a 10 ans les bases d’une vision rationnalisée de son système d’information financier en migrant l’ensemble de ses comptabilités dans SAP. Ces cinq dernières années, il nous paraissait naturel de faire fructifier cet acquis via une roadmap de développement ambitieuse, associant enrichissements fonctionnels et innovations technologiques pour en tirer tous les bénéfices, optimisant nos processus financiers et nos capacités analytiques. Grâce à ces acquis et à une migration fluide vers S/4HANA réalisée en quelques mois, nous pouvons compter sur une plateforme financière performante qui est en mesure d’encaisser les impacts des prochaines échéances d’évolution règlementaire IFRS9 et IFSR17 », précise Marc Philippe, Directeur des Systèmes d’Information du Groupe SCOR.

Une implémentation réussie pour aller plus loin dans l’excellence opérationnelle

Déployée en juillet 2020, SAP S/4HANA, montre déjà de nombreux bénéfices : des économies sur de nombreux projets, des gains de temps pour mieux redéployer les ressources, la mise en place de process plus intégrés, plus automatisés, plus simples et plus informés pour permettre aux équipes de se concentrer sur leur valeur ajoutée et ainsi libérer du temps aux collaborateurs pour se concentrer sur l’opérationnel. Cette nouvelle étape répond à une logique stratégique sur le moyen long-terme. En effet, elle permet de se rapprocher tactiquement de la roadmap SAP, d’avoir toujours un œil sur l’innovation, d’aller encore plus loin dans l’excellence opérationnelle ou encore de se rapprocher davantage de la réalité comptable tout en abordant de manière plus sereine les challenges normatifs de l’industrie pour les 3 prochaines années.

A l’initiative et à la direction de cette roadmap, y compris la conversion vers S/4HANA venant la conclure, Marc Henry, Head of Finance Projects, Systems, Processes and Controls du Groupe SCOR, précise que « S/4HANA nous permet de construire et développer IFRS9 et IFRS17 sur la nouvelle plateforme sans avoir à faire de migration par la suite. La solution nous permet aussi de développer de nouvelles fonctionnalités clés comme l’ajout de devises, de ledger, de GAAPs et d’aller encore plus loin dans l’intégration du domaine de la finance ».

La solution SAP Analytics Cloud permet de déployer un ensemble de best practices, de capitaliser sur l’ensemble des efforts consentis sur HANA et de s’inscrire comme early-adopter de la roadmap de SAP pour assurer une co-innovation et un partage constant avec toutes les parties prenantes. La solution fournit également au top management des données en temps réel leur permettant d’avoir un avis fiable et factuel sur plusieurs process comme la santé financière de leur division dans le cadre d’un projet ou encore sur le pilotage de KPIs plus globaux. Enfin, SAC permet de rendre les utilisateurs de la solution plus indépendants afin d’être davantage sur l’accompagnement et la certification de la donnée plutôt que sur sa production par les équipes métier.

SAP Business Planning and Consolidation (eBPC) a offert à SCOR la possibilité d’adapter ses plans de planification, de budgétisation, de prévision pour améliorer l’ensemble du processus budgétaire du Groupe. La solution a également permis d’entrevoir des gains additionnels au regard de la roadmap SAP et de son intégration avec d’autres outils déjà existants comme SAP Analytics Cloud Planning. L’objectif : accélérer les cycles budgétaires et de clôture financière, et renforcer l’expérience utilisateur.

« Après le succès de la première implémentation avec SAP, nous souhaitions poursuivre la collaboration. Nous avons pu mettre en place une plate-forme mondiale intégrée, dotée d’une base de données unique disponible en temps réel. SCOR a pu capitaliser sur tout le travail effectué précédemment, avoir un seul point d’accès pour la donnée Finance et rendre certains modules plus flexibles. Nous sommes très fiers d’être une vitrine pour SAP qui nous offre de réels bénéfices opérationnels à court terme », ajoute Marc Henry.

A propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

 

Contacts presse :

Daniel MARGATO, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline BARRIERE : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP Press Room; press@sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP & Siemens jettent les bases d’un partenariat ambitieux : ouvrir la voie à de nouvelles opportunités, supprimer les silos et accélérer la transformation.

SAP & Siemens jettent les bases d’un partenariat ambitieux

Depuis l’annonce du partenariat signé entre SAP et Siemens le 14 juillet 2020, nous avons été ravis de voir à quel point les utilisateurs, partenaires et analystes adhéraient à cette initiative audacieuse et à notre ambition commune d’ouvrir la voie à de nouvelles opportunités, de supprimer les silos et d’accélérer la transformation. Tenir la promesse d’un retour sur investissement plus rapide, de processus de développement durables et de nouvelles opportunités métiers nécessite un nouveau niveau d’intégration. Et c’est ce dans quoi SAP et Siemens ont investi massivement – jusqu’à maintenant dans les coulisses.

La continuité numérique requiert un meilleur niveau d’intégration

Nous savons que nos clients sont aujourd’hui mis au défi d’améliorer leur vitesse de mise sur le marché tout en créant des produits toujours plus complexes et de meilleure qualité. Bien que nos solutions offrent des capacités de pointe dans leurs domaines fonctionnels respectifs, le véritable bénéfice ne peut venir que d’une communication en boucle fermée native et transparente entre le développement produits et la gestion d’entreprise. C’est le cap que nous suivons conjointement :

Combiner l’expertise en intégration de SAP et Siemens

L’intégration entre les systèmes d’ingénierie et d’entreprise n’est pas un phénomène nouveau. Mais il reste complexe. Pourquoi ? Parce que se mettre d’accord sur un langage commun, des processus communs et les solutions et architectures techniques associées à travers tous les secteurs d’activité, les organisations et les réseaux est une tâche difficile. Sans compter les exigences propres à l’ingénierie, aux métiers, à l’informatique et à l’industrie.

Un partenariat stratégique tel celui que nous avons mis en place avec Siemens est une excellente occasion de résoudre certains de ces problèmes fondamentaux. Nous nous appuyons sur l’idée que nos systèmes d’ingénierie et d’entreprise seront égaux et adopteront le niveau d’interopérabilité et de visibilité nécessaire pour concrétiser l’idée de continuité numérique.

 

Un modèle de données unique : garant du succès

Un modèle de données aligné entre SAP et Siemens est à la base de l’intégration en tant que couche intermédiaire. Cet alignement est rendu possible grâce à un niveau d’abstraction des données qui seront échangées entre Siemens Teamcenter et l’ERP SAP S/4HANA.  Ce modèle de données doit être compréhensible des deux côtés et dotée d’une sémantique claire, adaptée à toutes les implémentations.

Ce modèle de données aligné continuera à évoluer afin de permettre le  développement de nouveaux scénarios d’intégration.

Aperçu de la feuille de route 2021-2022 : une innovation continue s’appuyant sur des fondations solides

Depuis l’annonce du partenariat, les équipes de développement de Siemens et SAP se sont réunies pour mettre en œuvre les principes évoqués ci-dessus. Elles ont commencé parse concentrer sur le développement d’un ’échange transparent des données produits, afin de permettre une intégration bidirectionnelle des processus. Puis ont mis l’accent sur une couverture de bout en bout de processus métiers spécifiques : en commençant par la fabrication sur stock (MTS), la configuration à la commande (CTO) et l’ingénierie à la commande (ETO).

Le résultat est une feuille de route définie conjointement, qui commence avec une première version programmée au quatrième trimestre 2021.

Etape 1 : intégration du PLM vers SAP

La première release s’appuiera sur notre modèle commun et les processus de bout en bout sous-jacents afin d’établir les fondations de  permettant une traçabilité,  une fédération des données et des liensinter systèmes. Elle se concentrera sur les processus et le transfert de données depuis le  Teamcenter vers SAP, tels que :

  • Création des fiches article dans SAP basés sur les sémantiques métiers
  • Transfert des données de classification pour permettre un flux d’informations cohérent vers SAP
  • Création des fiches info document dans SAP
  • Transfert de la nomenclature vers SAP
  • Capacité pour Teamcenter de déclencher des modifications en provenance de l’ingénierie

Etape 2 : élargir le scope et fermer la boucle entre le développement produit et SAP

Début 2022, la prochaine vague d’innovations se focalisera sur la « fermeture de la boucle » entre SAP et le développement produit. Nous nous concentrerons sur les fondations des processus métier avancés, y compris les scénarios de configuration à la commande (CTO), d’ingénierie à la commande (ETO), etc. Voici quelques fonctionnalités clés de cette version :

  • Création de fiches articles et de nomenclatures spécifiques
  • Capacité pour SAP de déclencher des changements d’ingénierie et de fabrication
  • Transfert de la définition de la configuration des produits à variantes
  • Fourniture de données pertinentes pour la fabrication tout au long du processus métier
  • Transfert des gammes SAP
  • Mise à disposition d’une solution cross système pour la gestion du portefeuille produits et projets (PPM)

Etape 3 : interopérabilité bidirectionnelle des systèmes et scénarios d’intégration avancés

Nous avons également prévu une seconde version en 2022, qui ne se concentrera pas seulement sur l’amélioration continue des processus avancés de configuration (CTO) et d’ingénierie (ETO), mais également sur une intégration bidirectionnelle favorisant transparence et interopérabilité. Les fonctionnalités proposées comprendront :

  • Gestion des nomenclatures spécifiques à la commande dans SAP
  • Échange de modèles produit pour la configuration de variantes et règles de contraintes d’ingénierie
  • Mise à disposition de scénarios Engineering to Order (ETO) sans couture
  • Échange d’informations sur les fournisseurs basés sur les informations fournisseurs
  • Activation de la traçabilité inter systèmes pour les workflows
  • Activation de l’analyse d’impact inter systèmes

Si vous souhaitez en savoir davantage sur notre feuille de route, rendez-vous dans les prochaines semaines sur le SAP Roadmap Explorer.

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Source de l’article sur sap.com

SAP Manufacturing Execution s’invite sur les lignes d’assemblage du géant Airbus. Une solution qui permet de faciliter le travail des opérateurs, tout en améliorant les performances des lignes de production.

Airbus est un acteur bien connu dans le monde de l’aviation civile, avec plus de 12.600 avions livrés à ses clients. C’est aussi un acteur majeur dans le monde des hélicoptères (plus de 12.000 appareils assemblés), de la défense et de l’espace.

Avant la crise sanitaire, les livraisons étaient en forte croissance (+37 % sur 5 ans) et le carnet de commandes promettait du travail aux usines d’Airbus pour les 8,5 années à venir. L’arrivée du Coronavirus et son impact massif sur les déplacements par avion ont provoqué une chute massive des activités de la société. Si l’entreprise travaille déjà sur les avions de demain, avec par exemple des modèles à l’impact carbone réduit de 25 %, elle doit aussi optimiser sa production.

« Dans ce contexte d’adaptation rapide au changement, l’introduction d’un système de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) va être un élément clé de notre transformation », explique Alexandre Sizaret, Head of Production System Efficiency & Manufacturing Digitalisation, Airbus. Le projet a été lancé fin 2016, mais l’arrivée de la crise lui a donné un nouvel élan.

SAP et Sopra Steria à la manœuvre

SAP Manufacturing Execution (SAP ME) est aligné avec les principes du système d’information d’Airbus, AOS (Airbus Operating System) : standardisation des processus, management visuel, suivi et amélioration continus. Il vient naturellement compléter l’ERP et le PLM au sein des usines. Enfin, son interface utilisateur simple est adaptée aux opérateurs travaillant sur des chaînes de production.

Airbus veut répondre à plusieurs challenges au travers de SAP ME : l’organisation de la production (organisation des effectifs, allocation des ressources…) ; le pilotage de l’activité (lignes de production, séquences à exécuter et avancement des séquences) ; l’interfaçage avec l’opérateur (au travers de tablettes, voire de smartphones) ; le support (détection des problèmes et alerte du manager, de la maintenance ou d’autres fonctions support).

Un core model pour toutes les usines Airbus

Pour son projet, Airbus a opté pour une approche core model associant une équipe pluridisciplinaire et multifonctionnelle. « Nous avons mis tout le monde autour de la table – opérateurs, management, intervenants métiers et techniques – afin de mettre au point une unique solution adaptée à toutes les usines, dans tous les pays », explique Alexandre Sizaret.

Après les phases de cadrage et de maquettage, la construction de la solution a été réalisée, avec une mise en place des différentes fonctionnalités de manière incrémentale. Une première version a été déployée sur des usines pilotes volontaires. L’organisation a souhaité ensuite prendre un peu de recul pour identifier les sources d’irritation. Dans le même temps, une analyse a été menée sur l’utilisation du MES et l’adhésion aux processus proposés. « Nous avons voulu vérifier que l’outil répondait bien aux besoins exprimés et qu’il était correctement utilisé. » Une importante phase de consolidation avant le déploiement à grande échelle de SAP ME.

La solution est aujourd’hui présente sur l’ensemble des sites européens du groupe : 10 usines et 2 lignes d’assemblage final. Soit un total de 279 stations de production. 7700 personnes ont été formées, dont 5500 sont des utilisateurs réguliers de SAP Manufacturing Execution. Plus de 2,4 millions d’opérations ont été effectuées sur SAP ME au cours de l’année 2020. Pour tenir cette charge, le système est réparti sur quatre sites, selon un même core model.

Au sein des sites de production, des écrans géants ont été déployés, secondés par des tablettes, smartphones et équipements IoT (scanners, lecteurs de badges…). SAP ME interagit directement avec l’ERP SAP, que ce soit pour la qualité, la conformité, la gestion des aléas, la maintenance ou encore la logistique. Il interagit aussi avec le PLM. Il est ainsi possible de visualiser pièces et maquettes en 3D et de disposer d’instructions de montage détaillées.

Plus d’efficacité au quotidien

SAP Manufacturing Execution est vu par Airbus comme un facilitateur du travail des opérateurs. Mais aussi comme un élément clé pour mesurer, soutenir et améliorer les performances des lignes de production. « Parmi les bénéfices les plus visibles, nous constatons une réduction des temps de production, des déplacements des opérateurs, de la documentation de production et plus généralement du recours aux documents papier, constate Alexandre Sizaret. Un autre bénéfice, moins facilement mesurable, est l’amélioration des performances des lignes de production, au travers d’un meilleur pilotage et d’une meilleure réactivité face aux aléas. »

Le MES est un élément clé pour épauler la production au quotidien, mais aussi un socle qui va aider  à la démocratisation de nouvelles technologies, comme les jumeaux numériques ou la maintenance prédictive. « Nous souhaitons aller vers l’opérateur 4.0 en le connectant à la bonne information, au bon moment, au travers de technologies comme la réalité virtuelle, la réalité augmentée ou l’interaction vocale avec les solutions numériques. Nous voulons également nous servir de la puissance de la data pour améliorer les processus, détecter les bonnes pratiques et prévenir les aléas. C’est un changement de paradigme qui nous permettra de basculer de la réaction à l’anticipation. »

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Rail Logistics Europe et VISEO ont mis en œuvre la méthodologie SAP Activate et l’approche Fit-to-Standard afin de créer un core model qui a servi de socle pour déployer SAP S/4HANA Public Cloud sur plus de 50 filiales. Le tout en seulement deux ans et demi.

Au sein du Groupe SNCF, Rail Logistics Europe élabore des solutions de transport de marchandises multimodales et sur-mesure, à travers toute l’Europe.

Rail Logistics Europe, c’est l’expertise de 60 filiales en Europe : commissionnaires de transport, transporteurs ferroviaires, opérateurs de transport combiné et d’autoroutes ferroviaires. Au total, 3 500 personnes pour un chiffre d’affaires de plus de 952 millions d’euros en 2019, dont plus de la moitié est réalisée à l’étranger.

Une volonté d’avoir son propre SI

Afin d’accélérer l’intégration de ces différentes entités au sein du groupe, Rail Logistics Europe a d’abord opté pour différents SI financiers mis à disposition par Geodis. Des outils efficaces, mais vieillissants et imparfaitement alignés avec ses besoins. Certaines filiales de Rail Logistics Europe disposaient par ailleurs de leurs propres SI financiers. À cette hétérogénéité des SI, il fallait également compter avec une hétérogénéité des règles de gestion.

Rail Logistics Europe souhaitait pouvoir disposer de son propre SI. Une solution fiable, performante et harmonisée, qui s’appuierait sur un référentiel commun de règles de gestion. « Pour créer de la valeur et apporter les gains de productivité attendus, Il nous est apparu nécessaire d’apporter une dose d’uniformisation et de rationalisation dans notre paysage applicatif… et d’aller vite », explique Nicolas Bismuth, Responsable MOA Finance chez Rail Logistics Europe. L’entreprise souhaitait en effet déployer le nouvel ERP sur l’ensemble de ses filiales, sur les domaines Finance, Achats et Ventes, dans un délai de seulement deux années et demie.

Après une phase de cadrage, consistant à recueillir les besoins de chaque filiale, Rail Logistics Europe a lancé le projet Opera et interrogé les principaux éditeurs d’ERP en mode SaaS. C’est le binôme SAP / VISEO qui a été retenu, avec la solution SAP S/4HANA Public Cloud. Cette dernière répondant en effet aux critères de périmètre fonctionnel et d’ergonomie exprimés, tout en libérant Rail Logistics Europe de la gestion d’une infrastructure via son approche SaaS. Mais plus que cela, c’est la méthodologie SAP Activate qui a été l’une des raisons clés de ce choix. « Au travers de la méthodologie SAP Activate, nous avions la promesse d’atteindre notre objectif de déploiement rapide de la solution sur le périmètre géographique et fonctionnel fixé », explique Nicolas Bismuth.

Pour sa mise en place sur leurs différents sites, Rail Logistics Europe s’est tourné vers VISEO, et ce pour plusieurs raisons :

  • Sa connaissance de la solution SAP S/4HANA Public Cloud et de la méthodologie SAP Activate
  • L’engagement de ses équipes pour atteindre les objectifs ambitieux de déploiement
  • Ses équipes orientées Cloud incitant à adopter les meilleures pratiques de la solution
  • Sa relation avec l’éditeur SAP, indispensable pour ce type de projet

Coller au plus près des standards

Pour assurer la réussite du projet Opera, Rail Logistics Europe et VISEO ont dû appliquer plusieurs principes clés :

  • Travailler en équipe : avec 50 filiales très indépendantes et autonomes, il est essentiel de réunir consultants, décideurs et utilisateurs clés au sein d’une même équipe. Le tout en faisant preuve de flexibilité, afin de s’adapter aux différentes spécificités de ces filiales.
  • Travailler en collaboration avec SAP : avec le cloud, il faut savoir interagir avec l’éditeur, qui met à la disposition les environnements de développement et de production. Mais aussi un CSM (Customer Success Manager), chargé de suivre le bon déroulement du projet.
  • Respecter la méthodologie Activate : pour réussir le projet, il est indispensable de respecter la méthode fournie, qui permet d’apporter des garanties en termes de rapidité de déploiement, de qualité des délivrables et de revue des différents jalons par le CSM.
  • Coller aux standards : en mode cloud, il est important de s’appuyer sur les bonnes pratiques et d’adhérer aux standards. Pour chaque processus, Rail Logistics Europe s’est appuyé sur le scope item SAP S/4HANA Public Cloud le plus adapté.

Un core model déployé tambour battant

L’enjeu principal de Rail Logistics Europe et de VISEO a été de définir le core model du projet Opera. Entre juin et septembre 2018, une trentaine d’ateliers ont été menés, afin de définir des règles de gestion communes sur le périmètre fonctionnel comptabilité, contrôle de gestion, achats et facturation client.

En seulement six mois, avec l’aide de la méthodologie SAP Activate et de l’approche Fit-to-Standard, ce core model est devenu réalité et a été déployé sur le site pilote de Captrain France. « Cela a été vraiment un acte fondateur du projet, explique Nicolas Bismuth. Nous avons démontré notre capacité à construire un core model et à le déployer au sein d’une filiale sur l’ensemble du périmètre fonctionnel cible en seulement 6 mois. »

Une fois le core model validé, le déploiement de SAP S/4HANA Public Cloud a été lancé site par site. Aujourd’hui, 58 entités légales sont déployées sur Opera et de nouveaux déploiements au sein des filiales Captrain Polska et Fret SNCF sont prévus en 2021. A fin 2021, environ 580 collaborateurs utiliseront l’outil Opera.

« La promesse initiale, qui était d’être capable de déployer rapidement, s’est révélée juste. Le planning que nous suivons aujourd’hui est celui qui avait été validé avec le binôme SAP / VISEO au moment du cahier des charges, » confirme Nicolas Bismuth.

Le début d’une longue aventure

Le programme est encore récent, mais le ressenti global des utilisateurs est d’ores et déjà plutôt positif. Reste que Rail Logistics Europe a dû apprendre à s’adapter au monde du cloud. Ne plus recourir systématiquement à des développements spécifiques pour coller aux standards nécessite de revoir chaque processus, mais également d’assurer l’accompagnement au changement des équipes métiers.

Les montées de version trimestrielles de SAP S/4HANA Public Cloud requièrent également des adaptations. Il lui faut en effet évaluer les nouvelles fonctionnalités apportées par chaque nouvelle version et effectuer des tests avant déploiement, afin de repérer d’éventuelles régressions.

Ces mises à jour trimestrielles se traduisent toutefois par toujours plus de valeur apportée aux utilisateurs. Rail Logistics Europe s’est ainsi déjà penché sur les tableaux de bord et le reporting, au travers de l’utilisation de SAP Analytics Cloud Embedded. L’entreprise envisage maintenant d’augmenter le périmètre fonctionnel de son ERP, notamment en évaluant l’utilisation des innovations mises à disposition. Elle s’est même lancée dans l’adoption d’autres solutions SAP en mode Cloud comme Success Factors

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