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Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

La plus grande marque de bijoux au monde a choisi RISE with SAP comme étant l’une des solutions phares pour soutenir son ambitieux parcours digital et servir de point d’appui à sa croissance future.

Partout dans le monde, les grandes marques du Retail sont en concurrence pour répondre à la nouvelle attitude des clients, pour construire et étendre les relations avec les marques et pour satisfaire les nouvelles attentes en matière de personnalisation et de fluidité de l’expérience d’achat en ligne, comme en magasin.

Tout accessible partout et tout le temps

Pandora conçoit, fabrique et commercialise des bijoux contemporains à des prix abordables et déploie une stratégie de croissance ambitieuse, qui sera pleinement mise en œuvre d’ici 2026. La stratégie Phoenix s’articule autour de quatre axes : la marque, le design, la personnalisation et les marchés principaux – tous centrés sur l’objectif global de Pandora : devenir la marque la plus importante et la plus désirable sur le marché des bijoux à prix abordables. Les ambitions de croissance de Pandora sont à leur tour soutenues par une stratégie de digitalisation globale qui couvre l’ensemble des activités du Groupe. L’un des éléments clés est la mise en place d’un nouveau noyau digital simplifié avec SAP S/4HANA Cloud comme nouveau système ERP de l’entreprise.

Après une période de redressement au cours de laquelle nous avons dû renouer avec nos principaux clients et nous concentrer sur l’ADN de Pandora, ainsi que sur des produits tels que le bracelet et les charms Moments, nous avons désormais atteint le stade de mise à l’échelle“, a déclaré David Walmsley, Chief Digital & Technology Officer de Pandora, avant de poursuivre : “La transformation de notre ERP se concentrera principalement sur les finances, sur tout ce qui concerne les stocks et sur les processus commerciaux end-to-end venant refléter l’expérience client“.

Une véritable omnicanalité avec la même expérience client, partout dans le monde

Lorsque le dispositif sera intégralement déployé d’ici 2026, SAP permettra à Pandora d’offrir à ses clients une expérience omnicanale avec des transactions et des interactions transparentes, que ce soit en ligne ou en magasin. Les clients de Pandora pourront voir l’inventaire des produits disponibles en temps réel, évitant ainsi les situations où un produit donné semble être disponible en magasin, mais ne l’est plus, comme cela peut être parfois le cas si les trois systèmes actuels ne sont pas synchronisés. Ceci s’inscrit dans le cadre des récentes initiatives d’amélioration lancées par Pandora comme le click & collect, le shop online et le pick up in store, afin d’offrir une expérience d’achat omnicanale vraiment agréable.

Les bijoux Pandora sont vendus dans plus de 100 pays à travers 6 400 points de vente, dont plus de 2 400 concept stores.

Avec SAP S/4HANA for Retail, SAP Customer Activity Repository (CAR) et SAP Business Technology Platform (BTP) et d’autres améliorations numériques prévues dans le cadre de notre stratégie de numérisation, nous serons en mesure d’offrir la même expérience client dans le monde entier. Lorsque le système sera entièrement déployé, le détail de l’expédition et la disponibilité ne dépendront plus de l’endroit où se trouve le client, mais au contraire, il pourra trouver la même disponibilité de bijoux et des suggestions personnalisées sur les pièces à acheter, quel que soit l’endroit où il fait ses achats », a déclaré David Walmsley qui poursuit :

Certains parlent de ‘supprimer la douleur du shopping’, mais chez Pandora, nous voulons célébrer le shopping et en faire une expérience personnelle où, grâce à la technologie SAP et grâce à nos autres outils digitaux, nous comprenons, surprenons et ravissons nos clients. Notre activité consiste à vendre des souvenirs. Pour Pandora, c’est en associant magasin et technologie que la magie opère. En s’y prenant bien, nous ne nous contentons pas de faciliter la vie de nos clients, nous créons des ambassadeurs de la marque“.

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Source de l’article sur sap.com

Par Erik Marcadé, Head of SAP Labs Paris

Les entreprises et dirigeants du monde entier sont aujourd’hui confrontés à des défis de taille, que ce soit la volatilité des marchés, les incertitudes économiques ou encore les conflits géopolitiques… Ayant compris que l’intégration des technologies permettait de faire face à ces incertitudes, les entreprises redoublent d’efforts dans leurs transformations digitales pour survivre et prospérer. Cependant, la pénurie importante de talents et de compétences dans le secteur technologique renforce ce sentiment d’incertitudes.

Selon une récente étude d’IDC, 48 % des répondants sont confrontés à une pénurie de développeurs pour répondre à leurs demandes actuelles. C’est l’une des raisons pour lesquelles seulement 8 % des entreprises mondiales ont pu atteindre leurs objectifs de transformation digitale.

Dans l’enquête « Global Workforce Hopes and Fears Survey for 2022 » de PWC, on apprend que 29 % des personnes interrogées indiquent que leur pays ne dispose pas des ressources nécessaires à l’exercice de leur métier – les soins de santé, la technologie, les médias et les télécommunications arrivant en tête de liste. Pour combler le déficit de compétences, de nombreuses entreprises (40 %) investissent dans des programmes de perfectionnement et de formation, tandis que d’autres (33 %) augmentent les salaires pour retenir les meilleurs talents.

La demande de développeurs de logiciels n’a jamais été aussi forte, et cette pénurie de main-d’œuvre qualifiée crée non seulement des lacunes, ralentit le processus d’innovation et de croissance de nombreuses entreprises, mais provoque également des taux d’épuisement professionnel exceptionnellement élevés chez les développeurs. Pour les retenir sur le marché du travail, les entreprises devraient adopter des méthodes “low-code/no-code”, c’est-à-dire des méthodes de développement de logiciels qui ne nécessitent que peu ou pas de compétences en programmation. Plutôt que des langages de programmation textuels, ces méthodes utilisent des outils de conception d’applications visuelles et d’autres techniques de modélisation graphique.

En allant un cran plus loin, la clé d’une transformation digitale plus efficace pour l’entreprise ainsi que pallier la pénurie de compétences, passera par le développement de l’expertise technologique de ceux qui la connaissent le mieux – les utilisateurs eux-mêmes. Mais qu’entendons-nous par « utilisateurs professionnels » ? Il s’agit des analystes financiers, des opérateurs de la chaîne d’approvisionnement, des responsables de la chaîne de production, des spécialistes des achats et du marketing. Grâce à la formation et à l’investissement dans des solutions low-code/no-code, les entreprises peuvent exploiter la puissance du logiciel en dehors du back-office et la mettre entre les mains de personnes qui l’utilisent tous les jours pour innover, exécuter des tâches, se connecter, etc. En outre, cette approche permet également de répondre à la pression que ressentent de nombreux professionnels de l’informatique, chargés des grandes révisions d’infrastructure et des transformations digitales.

Les organisations peuvent former des employés qui n’ont aucune expérience préalable de la programmation, en leur fournissant des connaissances sur le low-code/no-code. L’objectif de ces formations est la certification en tant que «citizen developer», qui permettra à ces employés de développer et d’exploiter des programmes low-code/no-code à l’aide d’une expertise applicative personnelle. Ils peuvent alors décharger les développeurs professionnels de simples tâches routinières de programmation afin qu’ils puissent davantage s’impliquer dans le développement stratégique d’applications.

Bien sûr, les personnes ayant un certain niveau d’expertise technique peuvent également tirer profit des logiciels low-code/no-code : les tâches trop complexes pour un « citizen developer » comme les fonctions de sécurité, ou encore l’utilisation d’outils pour concevoir un programme à budget limité sans perdre la capacité d’évoluer. L’expertise des développeurs confirmés est – dans ce cas – toujours nécessaire mais avec l’aide du low-code/no-code, ils peuvent développer ces fonctions de manière plus efficace.

Les entreprises technologiques doivent être capables, à l’avenir, de s’adresser à tous : du développeur cloud-native et du data scientist, à l’architecte d’entreprise et au développeur d’applications et d’intégration, en passant par le concepteur UX et même les utilisateurs non techniques ! Le besoin est évident : le marché total adressable du développement d’applications et de l’automatisation des processus low-code/no-code n’a cessé de croître, et devrait atteindre 159 milliards de dollars d’ici 2030, contre 27 milliards de dollars cette année.

Dans le but de soutenir nos clients, SAP vient de lancer une nouvelle suite low-code appelée SAP Build – un ensemble d’outils qui mettent notre technologie de pointe entre les mains de tout utilisateur professionnel – utilisateur qui pourra désormais créer seul les applications dont il aura besoin, sans compétences approfondies en matière de codage et sans l’intervention du service informatique.

SAP Build est notre contribution à la mise en œuvre de cas d’utilisations commerciales, tout en atténuant les effets de la pénurie mondiale de compétences informatiques, grâce à la possibilité de transformer n’importe qui en développeur, ainsi que chaque entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité, en entreprise technologique.

Avec l’aide du low-code/no-code, les utilisateurs professionnels peuvent travailler plus efficacement et plus rapidement, les équipes informatiques peuvent se concentrer sur des tâches plus décisives et les entreprises peuvent mieux réussir, indépendamment de ce leur réserve l’avenir.

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Source de l’article sur sap.com

Voyons concrètement comment certains clients Success Factors ont réussi à transformer leur culture de la formation et gestion des talents en s’appuyant sur SAP SuccessFactors Learning et SAP SuccessFactors Work Zone.

 

L’une des plus anciennes organisations au Monde, Royal Mail Group, peut retracer son histoire sur plus de 500 ans, depuis son origine en 1516. Ceci étant, comme tant d’autres entreprises, elle est confrontée à la nécessité d’une transformation de ses activités commerciales pour être reconnue comme la première entreprise de livraison au Royaume-Uni et en Europe et pour rester en tête de l’évolution des besoins du marché.

Royal Mail Group est une organisation mondiale, opérant dans 43 pays à travers le monde et employant plus de 140 000 personnes. Elle distribue chaque année plus de 1,8 milliard de colis et 14 milliards de lettres. Pour poursuivre la transformation de ses activités et de sa main-d’œuvre, Royal Mail avait besoin d’une plateforme offrant une expérience utilisateur personnalisée, fournissant les bons outils et les bonnes informations au bon format et au bon moment, afin de remplir ses fonctions quotidiennes. Avec SAP SuccessFactors Work Zone, SAP SuccessFactors Learning et BLEND de TalenTeam, Royal Mail a transformé son expérience d’apprentissage en proposant une plateforme numérique de développement personnel centrée sur l’utilisateur, baptisée ” The Royal Mail Academy “, qui a eu un impact intrinsèque sur la culture d’entreprise grâce à une approche ascendante de l’apprentissage et du développement.

Entièrement déployée en 12 semaines seulement, la plateforme permet de réunir tous les employés en un seul endroit pour tous leurs besoins RH, ainsi que les applications et services dont ils ont besoin. Aujourd’hui, les données permettent d’identifier plus facilement les experts locaux, 30 % du public cible a déjà utilisé la nouvelle plateforme après la mise en œuvre, l’agilité entre les gestionnaires de programmes et les employés de première ligne a augmenté, l’engagement des employés s’est considérablement amélioré et la diffusion des informations à grande échelle est plus rationalisée

Un autre client intéressant : Corning Incorporated, une entreprise technologique multinationale spécialisée dans les verres spéciaux, les céramiques ainsi que dans les matériaux et technologies connexes, opérant dans 60 pays et employant plus de 50 000 employés.

Ils utilisent SAP SuccessFactors Work Zone pour différents cas d’utilisation, mais concentrons-nous sur celui de la formation et du développement. Comme d’autres gros clients, Corning est composé de nombreuses divisions commerciales différentes qui ont toutes des besoins différents. L’objectif était de mettre en place différentes expériences universitaires d’apprentissage en tirant parti de l’investissement existant dans SAP SuccessFactors Learning et de créer un environnement qui permet aux personnes d’être guidées dans le développement de leur carrière. L’utilisation des espaces de travail améliore l’expérience globale, par exemple en complétant l’apprentissage formel par un apprentissage collaboratif.

Corning utilise les capacités de personnalisation pour aider les individus à trouver des informations pour des utilisations particulières et qui leurs sont utiles, au lieu d’être potentiellement submergés par trop d’informations. Il est utile de donner à l’utilisateur la possibilité de choisir le contenu qu’il souhaite et qui l’intéresse. Il peut s’agir de tout type d’information provenant des solutions SAP SuccessFactors, mais aussi de Microsoft Teams pour faciliter les groupes d’apprentissage virtuels.

Corning prévoit également d’accompagner ses collaborateurs délocalisés en distanciel grâce aux fonctionnalités de SAP SuccessFactors Work Zone, car elle ne dispose pas actuellement d’une plateforme pour communiquer avec elle de manière efficace. Avec cette solution, l’entreprise peut communiquer de manière plus plus engageante, directement depuis leur appareil mobile ou même leur ordinateur portable à la maison, et ce dans plusieurs langues. Corning étudie actuellement la solution SAP SuccessFactors Opportunity Marketplace, qui permettra à ses employés de piloter leur propre développement et leur croissance tout en s’alignant sur les valeurs et la stratégie de Corning en matière de talents. Cela peut être un facteur de différenciation important lorsqu’il s’agit d’attirer et de retenir les talents, tout en permettant à l’entreprise de soutenir la croissance de ses effectifs.

Découvrez comment les solutions SAP SuccessFactors et SAP SuccessFactors Work Zone aident les entreprises à améliorer leurs expériences d’apprentissage pour se préparer à l’avenir.

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Margit Bauer est directrice du marketing des solutions chez SAP SE.

Mark Tarallo est chercheur en marketing de solutions chez SAP.

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Source de l’article sur sap.com

Il ne fait aucun doute que la durabilité transforme l’économie mondiale. La diminution des ressources planétaires, le changement climatique, la division sociale et économique, l’évolution des préférences des consommateurs, l’activisme des employés, l’augmentation des réglementations et la baisse de la confiance institutionnelle conduisent tous à ce que les organisations soient de plus en plus mesurées en fonction de leur objectif ainsi que du profit. Et c’est bon pour les affaires.

 

Agir de manière socialement responsable renforce la réputation de la marque d’une organisation. Les demandeurs d’emploi et les consommateurs veulent aujourd’hui soutenir les organisations qui défendent quelque chose d’important et qui ont un impact positif sur la société dans son ensemble. Les investisseurs mettentdavantage l’accent sur les objectifs de développement durable en mettant davantage l’accent sur l’impact social. Les droits de l’homme et les réglementations environnementales se multiplient rapidement. Tout cela exige une approche plus durable de la part des PDG et des chefs d’entreprise.

 

Les gens, la planète et la prospérité

 

Lorsque vous entendez le mot durabilité, la première chose à laquelle vous pensez peut-être est le recyclage ou la durabilité environnementale, mais la durabilité va bien au-delà de l’élimination des bouteilles d’eau à usage unique et de la réduction de la consommation de combustibles fossiles. Une approche holistique de la durabilité intègre la durabilité sociale, environnementale et économique – ou les personnes, la planète et la prospérité.

 

Les organisations reconnaissent de plus en plus la nécessité de se concentrer autant sur la durabilité sociale, ou sur les personnes, qu’elles l’ont été sur la durabilité économique et environnementale – les trois ensemble soutiennent et stimulent la durabilité de l’entreprise. Les gens constituent la société, ont un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Les gens sont au cœur de toute stratégie visant à progresser vers les objectifs de développement durable. Dans le milieu de travail d’aujourd’hui, les RH ont à la fois la possibilité et la responsabilité de veiller à ce que les employées soient au centre du travail en créant un environnement dans lequel la main-d’œuvre et l’organisation peuvent s’épanouir.

 

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

 

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale se concentre sur le traitement de ces dernières – celles qui font partie de la main-d’œuvre d’une organisation, à travers leurs chaînes d’approvisionnement et dans les communautés dans lesquelles elles opèrent – de manière éthique et équitable.

 

Tout comme la durabilité environnementale et économique qui nécessitent une préservation et une utilisation prudentes des ressources naturelles et financières, la durabilité sociale nécessite de traiter les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses qui doivent être soutenues et valorisées pour favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation des objectifs de durabilité.

 

Les entreprises qui accordent la priorité à la durabilité sociale, en créant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive, sont en mesure de stimuler l’engagement et la productivité des employés. Ils sont également mieux placés pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, leader mondial des talents chez EY, explique comment la durabilité sociale est au cœur de la construction d’un monde du travail meilleur.

 

Déballer les  six piliers de la durabilité sociale

 

L’équipe SAP SuccessFactors HR Research a identifié six domaines distincts, ou piliers, qui comprennent la durabilité sociale. Bien que les domaines soient distincts, il est également clair qu’il existe un chevauchement entre ces piliers. Au centre de tout cela, bien sûr, se trouve la culture – car elle dicte tant de comportements à la fois à l’intérieur et à l’extérieur d’une organisation. Découvrons un peu ces domaines dans le contexte des processus RH et des ressources humaines.

 

Santé et sécurité

Au minimum, vous devez vous assurer que la main-d’œuvre est à l’abri des risques physiques pour la santé et la sécurité et a accès aux nécessités de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une visibilité sur l’ensemble de vos effectifs, y compris leurs emplacements ? Savoir qui et où se trouve votre personnel à tout moment vous permet de réagir rapidement en temps de crise et de fournir un soutien en cas de besoin.

 

Diversité, équité et inclusion

Ici, l’accent est mis sur le traitement juste et équitable de chaque individu, quel que soit son groupe d’identité sociale ou son système de croyances, et sur la garantie qu’il ressent un véritable sentiment d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et d’engager des demandeurs d’emploi d’horizons divers ? Avez-vous un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Offrez-vous une transparence salariale ? Mesurez-vous et suivez-vous les objectifs de diversité, d’équité et d’inclusion ?

 

Bien-être et équilibre

Au-delà de la santé et de la sécurité de base, ce domaine vise à garantir que le bien-être holistique des employés – psychologique, social, financier et professionnel – est prioritaire et soutenu avec les outils et les ressources nécessaires. Offrez-vous un ensemble complet d’avantages sociaux avec des options intéressantes ? Vos employés se sentent-ils à l’aise de se mettre entièrement au travail ? Avez-vous favorisé une culture de dialogue continu entre les managers et leurs subordonnés ?

 

Confiance et transparence

Ici, l’accent est mis sur le fait que les employés ont une voix, comprennent comment les décisions clés qui les affectent sont prises et font confiance à leur organisation pour agir de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos employés et agissez-vous en fonction des commentaires qu’ils fournissent ? Avez-vous établi des politiques et des processus pour l’utilisation éthique des technologies intelligentes et la confidentialité et la protection des données ? Publiez-vous publiquement des indicateurs de diversité ?

 

Autonomisation et croissance

Ici, les employés reçoivent la clarté, le soutien et les outils nécessaires pour développer leurs compétences et sont habilités à influencer leur trajectoire de carrière. Offrez-vous des options d’apprentissage inclusif pour répondre aux besoins et aux préférences d’apprentissage d’une main-d’œuvre diversifiée ? Assurez-vous que les managers fournissent des commentaires équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

 

Objectif organisationnel et RSE

Dans ce dernier pilier, l’organisation travaille activement à redonner et à avoir un impact positif sur le monde ; les employés sont encouragés à participer et se sentent dynamisés par la mission et les valeurs de l’organisation. Assurez-vous que les objectifs individuels sont alignés sur les objectifs de l’entreprise pour accroître le sens du but et le sens du travail ? Offrez-vous à votre personnel l’espace nécessaire pour poursuivre ses passions ?

 

Que peuvent faire les organisations pour favoriser la durabilité sociale ?

 

Dans la plupart des organisations aujourd’hui, différentes parties de l’entreprise dirigent ces efforts avec une connaissance ou une collaboration minimale des stratégies des autres. Cependant, nous devons commencer quelque part. La première étape la plus logique est de comprendre où vous en êtes aujourd’hui. Avez-vous une stratégie unifiée – au moins sur certains de ces piliers ? Commencez les conversations et commencez à briser les silos organisationnels.

 

Donnez la priorité aux gens, et la planète et la prospérité suivront. C’est ce que signifie être une organisation résiliente, axée sur les résultats et axée sur les personnes. Une organisation non seulement équipé pour répondre aux besoins commerciaux d’aujourd’hui, mais qui s’adapte aux besoins commerciaux de demain.

 

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture de SuccessConnect, Libérez le pouvoir du potentiel humain et changez le travail pour de bon.

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Kim Lessley est  global director of Solution Marketing chez SAP SuccessFactors.

Mots-clés: Ressources Humaines,

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Paris, le 19 septembre 2022 – SAP SE (NYSE : SAP) a lancé l’édition 2023 de son programme d’accélération de start-ups axé sur le futur du Retail and Consumer Products. Pour cette 8ème édition de SAP.iO Foundry Paris, 12 start-ups internationales ont été sélectionnées par un jury composé d’experts SAP, de partenaires, de clients et de fonds d’investissement. Ces start-ups ont été reconnues comme étant précurseur sur ce thème de “Future of Retail and Consumer Products ”, un thème plus que jamais d’actualité avec les bouleversements des usages et du parcours client observé durant la crise sanitaire, et qui résulte de l’accélération de la numérisation de toutes les entreprises.

SAP.iO Foundry Paris, véritable incubateur de SAP en France, a déjà aidé plus de 65 start-ups à développer leur business ou leur solution. En quatre ans, SAP a atteint l’objectif fixé avec le gouvernement français visant à soutenir l’économie des start-ups lors sur sommet #ChooseFrance.

Ce nouveau programme a pour objectif de proposer aux entreprises du Retail et Consumer Products un accompagnement de leur stratégie digitale, grâce aux solutions de ces 12 start-ups, au rythme de l’évolution technologique autour de deux enjeux clés :

  • Proposer à leurs clients une expérience d’achat améliorée et différenciante
  • Assurer la traçabilité et l’authenticité de leurs produits

Odilia von Zitzewitz, Interim Lead SAP.iO Foundry Paris déclare : “SAP.iO est un accélérateur de start-ups formidable et engagé. Pour cette édition, l’accent a été mis sur le Retail laissant place à des innovations de choix, et qui répondent aux enjeux prédominants des acteurs de ce secteur clé. Nous sommes très fiers d’accompagner cette nouvelle promotion de start-ups !”

Au cours des 5 prochains mois, les start-ups auront accès à un mentorat personnalisé de la part des dirigeants de SAP France, à une exposition à la technologie SAP® et aux interfaces de programmation d’applications (API), ainsi qu’à des opportunités de collaboration avec des clients SAP du monde entier.

Les start-ups suivantes participent au programme SAP.iO Foundry Paris :

Sorga Technology

La mission de Sorga Technologie est d’accompagner les marques retail dans leur innovation digitale en proposant une solution à faible consommation d’énergie assurant la transparence et la traçabilité de leurs produits

https://sorga.org/

Arianee

La mission d’Arianee est de fournir aux entreprises des solutions simples pour établir des relations directes avec les consommateurs, respectueuses des données des utilisateurs et indépendantes des grandes plateformes technologiques.

https://www.arianee.org

 

CollectID

CollectID permet de garantir l’authenticité d’un produit, l’amélioration de l’expérience phygitale, ou encore l’établissement d’un canal de communication direct entre les marques . Une solution qui garantit l’authenticité et l’unicité des produits tout en rapprochant les marques de leurs clients.

https://www.collectid.com/

DIAKSE

Diakse développe et commercialise une solution de création de showrooms virtuels dans le métavers avec un objectif : permettre aux marques de mieux communiquer sur leurs produits et ainsi les aider à augmenter leurs ventes.

www.diakse.com

 

Foodetective

Foodetective est une plateforme de gestion et une infrastructure (API) de l’industrie F&B. Les entreprises utilisent Foodetective pour automatiser leurs opérations, simplifier leur administration, augmenter leurs revenus en ligne et accélérer les nouvelles opportunités commerciales. business.foodetective.co

LIVEBUY GmbH

LIVEBUY est une solution d’achat en direct pour les détaillants leaders du marché,

qui fournit à la fois la technologie et les bons créateurs pour construire une plateforme de contenu réussie au sein des boutiques en ligne.

https://www.livebuy.io/

  

Priceloop

Priceloop a développé une IA permettant de faciliter et d’automatiser les processus de tarification, proposant les meilleurs prix en tenant compte de tous les paramètres essentiels.

https://priceloop.ai/

 

Replika Software

Le logiciel Replika est une solution de vente sociale clé en main. Replika permet aux marques d’activer un réseau de vendeurs sociaux avec une entreprise clé en main pour inspirer sur les médias sociaux, vendre en ligne et se connecter avec les clients.

www.replikasoftware.com

  

Shopreme GmbH

Shopreme GmbH Développe notamment une technologie appelée « Scan & Go » qui transpose les avantages des achats en ligne dans les vrais magasins (rapidité, facilité de paiement, recommandations personnalisées, listes de course partagées…).

https://www.shopreme.com/

 

SmartPixels

SmartPixels fournit un outil de configuation et de visualisation de produits en 3D, l’objectif est d’aider les marques de mode et de luxe à créer des expériences personnalisées et interactives en ligne et en magasin.

https://www.smartpixels.fr/

 

SMARTZER LTD

La plateforme de Smartzer est utilisée par les marques pour transformer leurs vidéos et leurs flux en direct en expériences interactives et exploitables, ce qui leur permet d’obtenir un retour sur investissement direct du contenu et de mesurer les données détaillées des interactions vidéo.

www.smartzer.com

 

YZR

YZR automatise et accélère tous les projets de données textuelles de ses clients grâce à une solution puissante basée sur le traitement automatique des langues.

https://www.yzr.ai/en/

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Que ce soit pour stocker vos données, collaborer avec vos employés, avec vos partenaires ou pour booster votre croissance, le cloud constitue une option plus sûre par rapport à un déploiement sur site.

La transformation digitale s’est largement accélérée ces dernières années, notamment avec le Covid, poussant les entreprises à adopter une dynamique plus souple et davantage en phase avec les nouveaux enjeux commerciaux et humains. Le cloud s’est donc révélé être un véritable facilitateur en termes d’agilité, d’ouverture à l’international, de croissance et depuis, le marché du cloud est en pleine expansion. Mais le passage au cloud-only peut effrayer, notamment à cause des questions de cybersécurité.

Cybersécurité, de quoi parlons-nous ?

Aucun système n’est infaillible, et avec toutes les actualités concernant les cyberattaques, la question de la cybersécurité est légitime. Selon une étude de l’assureur spécialisé Hiscox, de 2020 à 2021, la proportion des entreprises françaises ciblées par une cyber-attaque est passée de 38% à 43%.

Tous les types d’organisations, et ce, quelle que soit leur taille, sont exposés à des incidents de cybersécurité. Ces derniers peuvent avoir des degrés de gravité divers mais également être de différentes natures. Les entreprises peuvent être victimes de vol de données, de fraude ou encore d’espionnage, des cyberattaques, mais elles peuvent également subir des incidents internes, comme des perturbations au sein de leur service cloud.

Le vol des données est sans doute l’un des sujets les plus brûlants de l’actualité. Pourtant, après enquête, l’examen révèle le plus souvent que les informations piratées n’étaient pas stockées dans le cloud mais conservées sur site.

Si des contrôles en interne sont effectués dans la plupart des entreprises, ils s’avèrent souvent insuffisants au vu des menaces existantes. La Global Digital Trust Insights 2022 révèle que seuls 40% des dirigeants comprennent parfaitement les risques liés à la cybercriminalité et à la protection de la vie privée de leurs tiers. L’étude démontre que les équipes dirigeantes actuelles peinent à déceler l’importance du sujet de la cybersécurité, une situation qui expose alors les entreprises à des risques accrus au regard de l’augmentation des cyberattaques.

Que ce soit pour stocker vos données, collaborer avec vos employés, avec vos partenaires ou pour booster votre croissance, le cloud constitue une option plus sûre par rapport à un déploiement sur site. Mais le degré de sécurité de votre système cloud dépend surtout de la manière dont il est déployé et de la personne chargée de sa gestion.

S’entourer d’experts, la meilleure des cybersécurités

La cybersécurité est bien plus qu’un simple sujet informatique et il semble aujourd’hui que le niveau de maturité des entreprises dans ce domaine soit encore trop faible.

Si la multiplication des cyberattaques et l’évolution des réglementations incitent les entreprises à prendre des mesures, les éléments développés ne protègent que partiellement des risques.

Il faut savoir que la cybersécurité s’acquiert en deux temps: aux prémices, au moment de la configuration puis tout au long de son utilisation, grâce à une surveillance continue.

Une configuration sécurisée est essentielle pour se protéger des cybercriminels, d’autant que lorsqu’elle est correctement déployée, il est bien plus facile de maintenir la conformité du système. Or, une seule erreur de configuration peut exposer les entreprises à une vulnérabilité et à des conséquences bien trop risquées pour être ignorées.

Il est donc essentiel de se faire accompagner par une société experte pour tirer profit des multiples avantages du cloud, et ce, en toute sécurité.

Lorsque nos clients choisissent de muter vers le cloud, c’est toute une équipe dédiée qui les amène sur les plateformes reconnues, sans qu’ils ne se risquent à faire des erreurs en configurant eux-mêmes leur système.

Et par la suite, être suivi par une société experte tout au long de son activité, c’est se garantir d’être entouré par un important écosystème qui s’assure de la sécurité d’infrastructure, du réseau, du système d’exploitation et de la base de données de manière transparente, et ce partout dans le monde.

L’objectif est clair, donner aux clients le plus haut niveau de fonctionnalité pour chaque fonction.

Grâce à une surveillance continue, la mise en place d’audits et l’élaboration de stratégies d’urgence, l’expertise du prestataire permet de mieux prédire, prévenir, détecter et réagir aux menaces. Ce choix, plus d’une centaine de nos clients l’ont déjà fait en France en 2021.

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Le passage au Cloud est devenu une évidence pour bon nombre d’entreprises, mais il serait erroné de l’appréhender sous le prisme d’une marche technologique forcée. Si cette transition s’opère, c’est avant tout parce que les entreprises perçoivent aujourd’hui un moyen de renforcer leurs positions et de réaliser leurs potentiels pour demain.

SAP France a récemment réorganisé ses équipes au service de son nouveau positionnement stratégique centré sur le Cloud. Une transformation qui n’a qu’un objectif : répondre aux besoins de ses clients. Au cœur de ces changements, Fiamma Ferrero, Directrice Cloud Success Services, explique ce virage stratégique décisif pour l’avenir de toutes les entreprises, quels que soient leur taille ou leur secteur d’activité.

Les entreprises constatent que cette nouvelle façon d’aborder leur business s’adapte à leurs propres enjeux. De la gestion comptable du stock, à la prévision de vente et à l’analyse de données, le Cloud garantit une transition technologique sans rupture d’activité, en utilisant des outils en phase avec les enjeux et besoins, ceci afin de continuer leur cœur de métier avec facilité.

Ce socle, bien que nécessaire, ne représente en réalité qu’une partie de l’intérêt du Cloud. Par sa connexion constante avec des solutions complémentaires et des modules parfaitement imbriquables, le Cloud délivre un nombre infini de possibilités en matière de transformation business. Exit la gestion du stock en temps réel pour ouvrir la porte à une technologie en constante performance qui prédit vos besoins futurs grâce au Machine Learning.

Cette modularité représente un enjeu majeur dans le développement du potentiel business de chaque acteur. L’intégration de technologies innovantes comme de l’intelligence artificielle, permet d’accompagner les entreprises dans leur voyage transitionnel vers le Cloud. C’est en soulignant l’intérêt pour le client que nous pouvons créer chez lui l’envie de passer au Cloud.

En outre, ces entreprises voient un intérêt pour leurs clients et consommateurs, de la même manière que nous, qui accompagnons nos clients de A à Z dans leur transition. En 2021, le National Business Research Institute a constaté que les entreprises en mesure d’offrir un excellent service à la clientèle et de se positionner comme partenaires de confiance, pouvaient viser une augmentation de 20 % ou plus de leur chiffre d’affaires.

Par leur agilité, et grâce à la formation et l’accompagnement de professionnels, les entreprises peuvent exploiter les innovations technologiques, faciliter l’engagement des consommateurs, et être en mesure de générer de grandes quantités de données pour les aider à repérer des problèmes, identifier de nouvelles lignes de produits et des opportunités de marché.

La fidélisation du client passe d’abord par une empathie business, une compréhension de ses envies. La captation comme la rétention du client passe notamment par une cohérence technologique de grande échelle. Nous accompagnons nos clients dans la création et la mise en place de solutions qui sont bénéfiques à l’intégralité de leurs business unit, où qu’ils soient dans le monde. Cette omnicanalité et cette cohérence globale, d’outils comme d’interface, permettent d’assurer un voyage client stable, sans accroche ni obstacle, pour inciter à rester sur la plateforme visitée. Selon une étude de Bain & Company, une augmentation de 5 % du taux de fidélisation des clients accroît les bénéfices de 25 à 95 %.

En phase avec leurs besoins, répondant aux attentes de leurs clients, les entreprises transitent aujourd’hui vers le Cloud non par nécessité mais par ambition. Notre rôle est de leur permettre d’accéder à cette nouvelle étape de leur évolution en garantissant une transition souple, fluide et fructueuse.

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Ce nouveau programme formera la prochaine génération de consultants SAP

 

Paris, le 15 juin 2022 – SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé le lancement de son initiative Partner Talent. Son objectif est d’identifier et former des talents, nouveaux et existants, au sein de l’écosystème de partenaires SAP, afin de répondre à la demande croissante de professionnels certifiés et qualifiés pour accompagner les entreprises dans leur évolution.

 

Le programme propose un cursus rigoureux à temps plein, conçu pour certifier les professionnels de l’informatique dans des domaines cruciaux et très demandés, notamment RISE avec SAP S/4HANA Cloud et une introduction à SAP S/4HANA Financial Accounting. Les participants obtiendront ensuite trois certifications SAP, avant de réintégrer l’écosystème des partenaires en tant que diplômés prêts à travailler.

 

Deux premières promotions ont déjà démarré le programme. Les jeunes diplômés entameront un programme de formation intensive de trois mois destiné à leur faire acquérir les compétences professionnelles et personnelles nécessaires pour devenir consultant SAP.

 

Avec un taux de croissance annuel moyen de 16 % pour le marché des services Cloud de SAP EMEA North, les partenaires SAP sont très sollicités et certains d’entre eux sont confrontés à un manque de compétences numériques. Le nouveau programme de SAP est ouvert à la fois aux jeunes diplômés et aux personnes travaillant dans des secteurs complémentaires. Il contribuera à combler les lacunes existantes en matière de talents en fournissant aux diplômés les compétences et les qualifications nécessaires pour trouver un emploi dans la communauté des partenaires.

 

Les participants bénéficieront d’un soutien continu et d’un retour d’information permanent de la part des délégués, des instructeurs et de l’équipe partenaire élargie tout au long de la période de formation. Les candidats bénéficieront également d’un événement de bienvenue et de lancement à leur arrivée, avec la possibilité d’assister à une cérémonie de remise des diplômes à la fin de la formation.

 

SAP offrira également une aide du fonds de développement commercial (BDF) aux partenaires qui recrutent, forment et certifient de nouveaux consultants dans le cadre de leur initiative de capacité des partenaires Drive2Deliver.

 

L’initiative sur les capacités des partenaires combine :

– Un contenu de formations pour développer les compétences en matière de produits pour l’ensemble du portefeuille SAP, y compris les principales solutions SAP comme SAP S/4HANA et SAP S/4HANA Financial Accounting.

– Accès au contenu d’habilitation pour les membres de l’écosystème des partenaires SAP.

– Pratique directe sur des systèmes de formations logiciels SAP

– Environnements d’apprentissage dirigés par des experts et entre pairs.

– Possibilité d’obtenir des badges numériques de certification globale SAP et de se tenir au courant des avancées technologiques.

 

Valérie CHAZALON, Chief Partner Officer SAP France, commente : ” En lançant la Partner Talent Initiative, les diplômés du programme vont acquérir des compétences inestimables, qui aideront les clients et les partenaires à devenir des entreprises « intelligentes » et à fournir des services de haute qualité. Grâce à un programme d’études rigoureux, associé à un retour d’information et un soutien continus, notre programme dotera la prochaine génération de consultants de l’état d’esprit, des compétences et de l’ambition nécessaires pour réussir dans l’écosystème partenaires et au-delà.

 

Paul Cooper, Président du UK & Ireland SAP User Group (UKISUG), commente : “Nous nous félicitons de la création de la Partner Talent Initiative, car elle contribuera à combler un éventuel déficit de compétences à l’avenir. La dernière étude que nous avons menée auprès de nos membres a montré que de nombreuses organisations craignent que le manque de compétences disponibles ait un impact sur la vitesse à laquelle elles passent à SAP S/4HANA. Un écosystème de partenaires florissant, doté d’un plus grand nombre de talents certifiés, sera essentiel pour soutenir les parcours SAP S/4HANA des clients et développer la main-d’œuvre de la prochaine génération.”

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

 

 

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New Zealand Rugby (NZR) a annoncé la signature d’un partenariat majeur pluriannuel avec SAP afin d’accélérer la transformation numérique de l’Union de Rugby. SAP, tout premier grand partenaire technologique de NZR, devient à la fois un Partenaire Officiel Mondial Premium, un Partenaire Technologique Officiel, et le Partenaire Officiel des Logiciels Cloud des « équipes en noir »*, notamment les All Blacks et les Black Ferns.

Leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, SAP possède l’expertise, les solutions et l’envergure nécessaire pour créer une infrastructure technologique plus efficace, connectée et innovante pour NZR. Les deux organisations collaboreront pour identifier et mettre en œuvre des solutions Cloud novatrices, et connecter les données dans des domaines clés, afin de fournir un avantage concurrentiel sur et en dehors du terrain aux équipes, et plus largement à tout l’écosystème de NZR.

Ce partenariat permettra à NZR d’exploiter les solutions SAP et d’innover dans quatre domaines clés : créer un système de gestion intégré pour diriger et améliorer ses opérations, parfaire l’expérience des supporters, réaliser des objectifs de développement durable pour l’organisation et explorer la manière dont l’utilisation des données et des solutions peut favoriser la performance des équipes.

  • Opérations organisationnelles : l’utilisation d’un hub digital de solutions SAP pour créer des systèmes interconnectés permettant à NZR de tirer le meilleur parti de la puissance de ses systèmes et des données hors terrain, afin de mieux soutenir leurs équipes en place.
  • Performance de l’équipe : en implémentant SAP SuccessFactors et en se dotant d’une source unique de données RH, NZR compte améliorer l’expérience de ses membres et leur permettre ainsi d’atteindre leur plein potentiel.
  • Expérience des fans : créer de nouvelles façons de se connecter et de dialoguer avec la base de supporters locaux et mondiaux de NZR, tout en exploitant les nouvelles technologies et plateformes, afin qu’ils se rapprochent de leurs équipes et joueurs préférés.
  • Impact environnemental : exploiter les solutions et les capacités numériques permettant à NZR de gérer de manière holistique ses performances en matière de durabilité, tout en soutenant la stratégie plus large de NZR en matière de responsabilité sociale et d’environnementale (RSE).

Angela Nash, Chief Information & Technology Officer de NZR, a déclaré : “La NZR entreprend une transformation numérique de grande ampleur qui nécessite le soutien et l’expertise d’une organisation technologique internationale, pour nous aider à réaliser notre objectif : devenir l’Union de Rugby la plus avancée sur le plan technologique dans le monde. SAP est à l’avant-garde de la transformation numérique au niveau mondial et dispose des outils nécessaires pour nous aider à mettre en place une équipe d’experts qui, non seulement partage notre vision, mais dont les compétences et les capacités sont de renommée internationale. Nous sommes ravis qu’ils soient notre premier partenaire technologique et qu’ils travaillent avec NZR sur toutes les plates-formes clés afin d’examiner, d’améliorer et de nous permettre de fournir des systèmes technologiques qui garantissent que nous sommes les meilleurs sur le terrain et en dehors.”

Scott Russell, Executive Board Member & Customer Success, commente :

New Zealand Rugby s’est fixé un objectif ambitieux : devenir le collectif de Rugby le plus avancé technologiquement au monde. En tant que tout premier partenaire technologique de l’organisation, SAP peut aider NZR à atteindre cet objectif en favorisant la transformation numérique dans tous ses domaines d’activités et en introduisant des technologies révolutionnaires qui aideront les équipes de NZR à donner le meilleur d’elles-mêmes – et à gagner. ”

SAP et NZR mettront également l’accent sur le développement de programmes et d’initiatives supplémentaires visant à promouvoir et à célébrer la diversité et l’inclusion.

Grâce à ce partenariat, SAP bénéficiera de divers droits et avantages, notamment le marquage et la signalisation dans les stades et sur le terrain pour les matchs gérés par NZR, le marquage sur toutes les plateformes numériques, les interventions des joueurs et des rencontres exclusives avec les équipes et les joueurs.

*Les « équipes en noir » de la NZR – les All Blacks, les Black Ferns, les All Blacks Sevens, les Black Ferns Sevens, les Māori All Blacks, les All Blacks XV et les All Blacks moins de 20.

 

À PROPOS DE NEW-ZEALAND RUGBY
Fondé en 1892, New Zealand Rugby s’efforce d’inspirer et d’unifier les Néo-Zélandais à travers le rugby. Notre objectif est de diriger, soutenir, développer et promouvoir le jeu national de la Nouvelle-Zélande, en mettant le rugby au cœur de chaque communauté. Le système de haute performance de NZR s’efforce de promouvoir les compétitions que nos fans aiment, d’encourager les talents qui peuvent représenter nos équipes en noir et d’être leader mondial sur et en dehors du terrain.

À PROPOS DE SAP
La stratégie de SAP est d’aider chaque entreprise à fonctionner comme une entreprise intelligente et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à fonctionner au mieux : Les clients de SAP génèrent 87 % du commerce mondial total. Nos technologies d’apprentissage automatique, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée permettent de transformer les activités des clients en entreprises intelligentes. SAP aide à donner aux personnes et aux organisations une connaissance approfondie de l’entreprise et favorise la collaboration qui leur permet de garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie pour les entreprises afin qu’elles puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux entreprises et aux organismes publics de 25 secteurs d’activité dans le monde entier de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie des gens. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

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