Articles

Optimisation de clusters GKE: 14 tactiques pour un déploiement K8s plus fluide

Découvrez comment optimiser vos clusters GKE et améliorer la fluidité de votre déploiement K8s grâce à ces 14 tactiques simples !

Comment s’assurer que votre cluster Google Kubernetes Engine est prêt pour les tempêtes à venir ?

Premièrement, l’optimisation de la sécurité. En tant qu’ingénieur informatique enthousiaste, je sais que la sécurité est une priorité absolue. Vous devez donc veiller à ce que votre cluster GKE soit protégé contre les menaces extérieures. Pour ce faire, vous devez configurer la sécurité des nœuds, définir des règles de pare-feu et utiliser des certificats TLS pour vous assurer que votre cluster est sûr et sécurisé. Vous devez également mettre en œuvre des contrôles d’accès et des stratégies de sécurité pour vous assurer que vos données et vos applications sont protégées.

Deuxièmement, l’optimisation de la disponibilité. Pour assurer une disponibilité maximale de votre cluster GKE, vous devez configurer le nombre de nœuds et leurs tailles pour répondre aux exigences de votre application. Vous devez également configurer des réplicas pour vos services et définir des règles de mise à l’échelle pour vous assurer que votre application est toujours disponible. Enfin, vous devez mettre en place des outils de surveillance pour vous assurer que votre cluster est toujours opérationnel.

Enfin, l’optimisation des coûts. Pour optimiser les coûts liés à votre cluster GKE, vous devez configurer le nombre de nœuds et leurs tailles pour répondre aux exigences de votre application. Vous pouvez également utiliser des outils tels que le codage pour réduire les coûts en réutilisant le code existant et en automatisant certaines tâches. Vous pouvez également utiliser des outils tels que Kubernetes pour optimiser les performances et réduire les coûts en répartissant les charges de travail sur plusieurs nœuds.

Source de l’article sur DZONE

Réduire les incidents de sécurité: implémenter un scanner d'images Docker

Implémenter un scanner d’images Docker peut aider à réduire les incidents de sécurité et à assurer une meilleure protection des données.

Est-ce que vous utilisez Docker pour déployer vos applications ? Si c’est le cas, vous n’êtes pas seul. L’utilisation de Docker a connu une croissance fulgurante ces dernières années. Bien qu’il offre de nombreux avantages, il introduit également de nouveaux risques de sécurité qui doivent être pris en compte.

Mais, pourquoi est-il si important de réduire les incidents de sécurité ? C’est simple : le coût d’une violation de sécurité peut être dévastateur. De la perte de confiance des clients aux pertes financières, les conséquences d’un incident de sécurité peuvent être graves. C’est pourquoi il est essentiel de prendre des mesures pour les empêcher de se produire en premier lieu.

Pourquoi est-il si important de réduire les incidents de sécurité ?

Avec l’essor de la technologie, le monde des applications informatiques a connu une croissance considérable. L’utilisation de Docker est devenue très populaire ces dernières années, et de nombreuses entreprises l’utilisent pour déployer leurs applications. Bien que cette technologie offre de nombreux avantages, elle introduit également de nouveaux risques de sécurité qui doivent être pris en compte.

La réduction des incidents de sécurité est très importante car les conséquences d’une violation peuvent être catastrophiques. En effet, une violation de sécurité peut entraîner une perte de confiance des clients, des pertes financières et d’autres conséquences négatives. C’est pourquoi il est essentiel de prendre des mesures pour prévenir ces incidents.

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je recommande vivement l’utilisation de tests pour garantir la sécurité des applications Docker. Les tests peuvent être effectués à différents stades du développement logiciel, notamment lors de la conception, du codage et du déploiement. Les tests peuvent aider à détecter et à corriger les vulnérabilités potentielles avant qu’elles ne soient exploitées par des cybercriminels. Les tests peuvent également aider à vérifier que le code est conforme aux normes de sécurité et à identifier les failles de sécurité qui peuvent être corrigées avant le déploiement.

En outre, l’utilisation d’outils d’analyse de sécurité peut aider à détecter les vulnérabilités et à fournir des recommandations sur la façon de les corriger. Ces outils peuvent également aider à surveiller les activités des utilisateurs et à détecter les comportements suspects. Enfin, il est important de mettre en œuvre des stratégies de sécurité appropriées pour protéger les applications contre les attaques.

Pour résumer, il est essentiel de prendre des mesures pour réduire les incidents de sécurité liés à l’utilisation de Docker. L’utilisation de tests et d’outils d’analyse de sécurité peut aider à détecter et à corriger les vulnérabilités et à mettre en œuvre des stratégies de sécurité appropriées pour protéger les applications contre les attaques. En tant que scientifique informatique enthousiaste, je recommande vivement l’utilisation de tests pour garantir la sécurité des applications Docker.

Source de l’article sur DZONE

Tester la sécurité des objets connectés

Tester la sécurité des objets connectés est essentiel pour protéger nos données et notre vie privée. Découvrez comment vous assurer que vos appareils sont en sécurité.

## La sécurité de l’Internet des objets (IoT) est essentielle

L’Internet des objets (IoT) a révolutionné nos vies et apporté de nombreux avantages, mais il présente une grande surface d’attaque et n’est pas sûr tant qu’il n’est pas sécurisé. Les appareils IoT sont une cible facile pour les cybercriminels et les pirates informatiques s’ils ne sont pas correctement sécurisés. Vous pouvez avoir de graves problèmes avec des données financières et confidentielles qui sont invitées, volées ou cryptées.

Il est difficile de repérer et de discuter des risques pour les organisations, sans parler de la construction d’une méthodologie globale pour y faire face, sans connaissances pratiques de ce qu’est la sécurité IoT et sans la tester. La prise de conscience des menaces de sécurité et la façon d’y échapper est la première étape, car les solutions IoT nécessitent beaucoup plus de tests qu’auparavant. La sécurité intégrée est souvent absente lorsqu’il s’agit d’introduire de nouvelles fonctionnalités et produits sur le marché.

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je sais que le test est une partie essentielle du processus de développement de produits IoT. Les tests peuvent être effectués à chaque étape du cycle de développement, depuis le développement jusqu’à la mise en production. Les tests peuvent être effectués manuellement ou automatiquement, selon les besoins spécifiques et les contraintes budgétaires. Les tests peuvent inclure des tests fonctionnels, des tests de performance, des tests de sécurité et des tests de conformité. Les tests peuvent être effectués sur des appareils physiques ou virtuels, en fonction des exigences et des contraintes. Les tests peuvent également être effectués à l’aide d’outils spécialisés tels que des outils de test d’intrusion, des outils de test d’authentification et des outils de test de sécurité.

Les tests peuvent aider à identifier les vulnérabilités et à déterminer si les produits IoT sont conformes aux normes de sécurité et aux exigences réglementaires. Les tests peuvent également aider à améliorer l’efficacité et la fiabilité des produits IoT et à réduire les risques liés à la sécurité. Les tests peuvent également aider à améliorer la qualité du produit et à réduire le temps et les coûts de développement. Les tests peuvent également aider à améliorer l’expérience utilisateur et à assurer un meilleur niveau de sécurité pour les utilisateurs finaux.

En conclusion, le test est essentiel pour assurer la sécurité des produits IoT. Les tests peuvent être effectués à chaque étape du cycle de développement et peuvent aider à identifier les vulnérabilités, à améliorer l’efficacité et la fiabilité des produits IoT, à réduire les risques liés à la sécurité et à améliorer l’expérience utilisateur.

Source de l’article sur DZONE

Faciliter la construction des budgets et améliorer l’alignement entre les métiers, voilà les deux principaux objectifs que Solinest visait avec sa nouvelle solution de planification. SAP Analytics Cloud a été retenu pour répondre à ces besoins.

Solinest est un spécialiste du négoce de produits de grande consommation : confiseries, snacks, boissons et produits frais. Des articles qui peuvent être trouvés en devant de caisse et dans les rayons de 50.000 points de vente français : hypermarchés, supermarchés et commerces de proximité. La société alsacienne est également présente en Belgique et au Luxembourg.

Solinest distribue les produits de ses 40 marques partenaires, mais participe aussi au développement de marques de distributeurs et propose ses propres offres, comme la marque [N.A!]. Entreprise familiale et indépendante, Solinest compte 500 collaborateurs, pour 300 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel.

Comme toutes les sociétés œuvrant dans le secteur de la distribution, Solinest réalise de gros volumes de transactions avec de faibles marges, nécessitant un apport constant de nouveaux marchés. La réactivité est un des autres enjeux auquel est confrontée la société. Réactivité se traduisant par un besoin d’alignement permanent entre marketing, commerce, logistique, finance et direction.

« Le système d’information de Solinest est compact, avec un ensemble de solutions SAP et des interfaces simples : un ERP SAP ECC, un data warehouse SAP BW, SAP BPO et SAP Analysis », explique Franck Prevost, DSI du groupe. Ce SI met l’accent sur des technologies matures, avec un reporting effectué sur Excel et manquant donc de flexibilité. « Nous avions besoin d’un outil transversal facilitant les échanges entre directions et permettant d’adresser le budget et les prévisions. »

SAP Analytics Cloud et Censio Karamba

« Nous souhaitions trouver une solution adaptée dans le catalogue SAP, poursuit Franck Prevost. Nous hésitions entre SAP Business Planning and Consolidation (SAP BPC) et SAP Analytics Cloud (SAC). Nous avons alors cherché une société capable de mettre en place des POC afin de vérifier laquelle de ces deux solutions répondrait le mieux à nos besoins. Censio Karamba a été choisi pour créer ces démonstrateurs. Après analyse, nous avons opté pour SAC, car c’est une solution cloud accessible et agile, capable de faire tout ce que l’on attendait (construction de budget, simulations, indicateurs et tableaux de bord), tout en étant au cœur de la roadmap de SAP. »

Ce projet structurant est stratégique pour Solinest. Une attention particulière a donc été portée sur la définition du modèle et des nouveaux processus, et une réflexion a été menée sur les besoins en matière de simulation. Trois lots ont été définis :

  • Budget : un lot devant être mis en place en septembre 2020, pour permettre la saisie des budgets 2021 dans SAC. Une phase critique du projet.
  • Répartition du réel : ce lot nécessitant de disposer d’une année de référence, il a été décidé de le mettre en place après le budget.
  • Contribution consolidée : l’objectif est ici de définir ce que les marques Solinest (comme [N.A!]) apportent en tant que marque et au distributeur. Rolling forecast et processus IBP font également partie de ce lot.

De mars à septembre 2020, les équipes de Solinest et de Censio Karamba ont mis en place la connexion entre SAP BW et SAC, modélisé l’intégralité du P&L, pris en compte les inducteurs de prix et coûts (environ 200) et créé les états de restitution par couples pays-canaux. En parallèle, il a fallu accompagner et former les utilisateurs en vue de la campagne de saisie de données relative au budget 2021. « Cette étape était très importante, car nous voulions être en mesure de faire interagir quatre métiers : marketing, commerciaux, supply chain et contrôleurs de gestion », explique Franck Prevost. Soit 400 personnes à former. Cette tâche fut d’autant plus complexe que le télétravail était la règle pendant une grande partie de cette période.

Premier succès, avec le rendu du lot 1 dans les temps, permettant une saisie du budget 2021 dans SAC. Crise sanitaire oblige, le lot 2 a été reculé de novembre 2020 à janvier 2021. Enfin, le lot 3 a été livré en juin 2021. Au total, le projet aura duré près de 18 mois.

Des métiers qui gagnent en autonomie

Le premier bénéfice, c’est l’autonomie apportée aux métiers. Ils deviennent indépendants du contrôleur de gestion sur la saisie et la restitution des données, et de l’IT sur les aspects techniques. Dans le même temps, le rôle du contrôle de gestion évolue : « d’opérateur de saisie, il devient celui qui orchestre les processus budgétaires », note Franck Prevost.

Autre avantage apporté par SAP Analytics Cloud : il permet à tous les collaborateurs d’accéder au même niveau d’information, de partout. « Il n’est plus nécessaire d’attendre que le contrôleur de gestion ait produit ses restitutions pour accéder aux informations. Dorénavant, tout le monde a accès à la donnée, au même moment. »

Prochainement, Solinest envisage de basculer de SAP BW vers SAP BW/4HANA. Mais aussi de mettre en place de nouveaux outils de simulation dédiés aux commerciaux et des tableaux de bord destinés au comité de direction de l’entreprise. L’aventure SAP Analytics Cloud ne fait donc que commencer pour Solinest.

The post Solinest pilote ses budgets et prévisions avec SAP Analytics Cloud appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Déboguer des sites web avec les outils de développeur Safari

Déboguer des sites web peut être une tâche difficile, mais en utilisant les outils de développeur Safari, cela devient plus facile et plus rapide !

Safari : le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones

Je suis un scientifique excité qui vient de faire une découverte sensationnelle : Safari est le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones. Il se classe deuxième dans les préférences des navigateurs, juste après Chrome. Ses plus de 250 fonctionnalités offrent aux utilisateurs des avantages remarquables qui le distinguent des autres navigateurs les plus populaires tels que Chrome et Firefox. De plus, la popularité de l’iPhone a entraîné une part de marché mondiale des smartphones de 53,6 % pour Safari.

L’année dernière, le nombre d’appareils actifs d’Apple a connu une augmentation significative à 1,5 milliard. Puisque la base d’utilisateurs continue de croître, Apple s’assure constamment d’une expérience utilisateur presque parfaite et d’une performance optimisée sur tous ses appareils.

Pour répondre à ces exigences, Apple a mis en place une base de données qui stocke des informations sur les performances et les préférences des utilisateurs. La base de données est mise à jour en permanence pour s’adapter aux changements des appareils et des systèmes d’exploitation. Elle permet également aux développeurs de créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est également utilisée pour surveiller les performances des applications et des services afin de garantir une expérience optimale pour les utilisateurs.

Grâce à cette base de données, Apple est en mesure d’offrir une expérience utilisateur exceptionnelle et une performance optimale sur tous ses appareils. Les développeurs peuvent également créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est donc un outil essentiel pour Apple pour offrir une expérience utilisateur optimale à ses utilisateurs.

Source de l’article sur DZONE

Il ne fait aucun doute que le concept de durabilité est en passe de transformer l’économie mondiale. L’épuisement des ressources de la planète, les bouleversements climatiques, la fracture sociale et économique, l’évolution des préférences de consommation, l’activisme salarial, la multiplication des réglementations et la crise de confiance dans les institutions sont autant de facteurs qui poussent les entreprises à se montrer toujours plus prudentes dans leurs objectifs et dans leurs bénéfices. Et tout cela est bon pour les affaires.

En assumant sa responsabilité sociétale, une entreprise renforce la réputation de sa marque. En effet, les demandeurs d’emploi et les consommateurs d’aujourd’hui cherchent à soutenir les organisations qui défendent des valeurs importantes et qui ont une incidence positive sur la société dans son ensemble. Quant aux investisseurs, ils s’intéressent de plus en plus aux objectifs de développement durable, et en particulier à leur impact social. Enfin, les réglementations concernant les droits humains et l’environnement se développent rapidement. De quoi pousser les PDG et les dirigeants d’entreprises à adopter une approche plus durable.

 

Les personnes, la planète et la prospérité

Quand vous entendez le mot « durabilité », vous avez peut-être le réflexe de penser au recyclage ou à l’environnement. Mais le concept ne se résume pas à éliminer les bouteilles d’eau à usage unique ou à réduire la consommation des combustibles fossiles. Le développement durable, c’est bien plus que cela. C’est une approche globale qui intègre des aspects sociaux, environnementaux et économiques – en somme, qui implique les personnes, la planète et la prospérité.

Les entreprises sont de plus en plus conscientes de la nécessité de se préoccuper autant de la durabilité sociale, ou durabilité en ressources humaines, que de ses volets économique et environnemental – car ce sont ces trois facteurs indissociables qui soutiennent et stimulent la durabilité de leurs activités. Les personnes sont les éléments constitutifs de la société ; elles exercent un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Elles sont naturellement au cœur de toute stratégie visant à atteindre des objectifs de développement durable. Dans le monde du travail actuel, les RH ont à la fois l’opportunité et la responsabilité de s’assurer que l’humain est au centre des différentes tâches, en créant un environnement propice aussi bien à l’épanouissement des collaborateurs qu’à la prospérité de l’entreprise dans son ensemble.

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale repose sur un traitement éthique et équitable des personnes au sein d’une entreprise, de sa Supply Chain et des populations parmi lesquelles elle opère.

La durabilité environnementale et économique implique de préserver et d’utiliser avec prudence les ressources naturelles et financières ; de la même manière, la durabilité sociale nécessite de considérer les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses, qui doivent être entretenues et valorisées afin de favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation d’objectifs pérennes.

Les entreprises qui font de la durabilité sociale une priorité en générant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive sont mieux à même de stimuler l’implication et la productivité de leurs collaborateurs. Elles sont également mieux placées pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, responsable des talents internationaux chez EY, nous explique en quoi la durabilité sociale est centrale dans la construction d’un monde du travail meilleur.

Identifier les six piliers de la durabilité sociale

L’équipe de recherche en RH SAP SuccessFactors a identifié six domaines qui forment les piliers de la durabilité sociale. Bien que ces piliers soient distincts les uns des autres, on peut bien entendu identifier des recoupements. Et au centre de tout, il y a évidemment la notion de culture, qui détermine tant de comportements à l’intérieur d’une entreprise aussi bien qu’en dehors. Intéressons-nous à ces piliers, sous l’angle des RH et des processus de gestion du personnel.

 

 

Santé et sécurité
A minima, vous devez garantir la sécurité physique de votre personnel, le protéger contre les risques et subvenir à ses besoins de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une bonne visibilité sur l’ensemble de vos collaborateurs, et notamment sur l’endroit où ils se trouvent ? Savoir qui sont vos salariés et où ils sont, à tout moment, vous permet de réagir rapidement en cas de crise et de proposer une assistance si nécessaire.

Diversité, équité et inclusion
En la matière, il s’agit de garantir à chaque individu un traitement juste et équitable, quels que soient son identité sociale et son système de croyances, de telle sorte qu’il en retire un sentiment authentique d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et de recruter des demandeurs d’emploi issus de milieux divers ? Disposez-vous d’un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Votre système de rémunération est-il transparent ? Avez-vous mis en place des métriques et un suivi des objectifs en matière de diversité, d’équité et d’inclusion ?

Bien-être et équilibre
Au-delà des impératifs de santé et de sécurité de base, il s’agit de prioriser le bien-être global (psychologique, social, financier et professionnel) de vos collaborateurs en mettant à leur disposition les outils et les ressources pertinents. Proposez-vous un ensemble complet d’avantages avec des options attrayantes ? Vos collaborateurs sont-ils suffisamment en confiance pour être pleinement eux-mêmes au travail ? Encouragez-vous une culture du dialogue permanent entre les responsables et leurs équipes ?

Confiance et transparence
Dans ce domaine, il importe que les collaborateurs puissent s’exprimer, comprendre comment sont prises les principales décisions qui les concernent, et être certains que leur entreprise agit de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos collaborateurs et tenez-vous compte de leurs retours ? Avez-vous mis en place des règles et des processus garantissant l’utilisation éthique des technologies intelligentes ainsi que la confidentialité et la protection des données ? Vos métriques de diversité sont-elles publiées et accessibles à tous ?

Autonomie et développement personnel
Vos collaborateurs doivent bénéficier d’informations claires, du soutien et des outils nécessaires pour développer leurs compétences et agir sur leur parcours professionnel. Proposez-vous des options de formation inclusives pour répondre aux besoins et aux préférences d’un personnel diversifié ? Veillez-vous à ce que les responsables transmettent des retours équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

Objectif organisationnel et RSE
Dans ce dernier domaine, l’entreprise s’efforce activement de rendre ce qu’elle reçoit et d’exercer un impact positif sur le monde ; ses collaborateurs sont encouragés à s’impliquer et se sentent galvanisés par la mission et les valeurs du groupe. Veillez-vous à ce que les objectifs individuels soient alignés sur ceux de l’entreprise afin de donner du sens au travail accompli ? Donnez-vous à vos collaborateurs la possibilité de s’adonner à leurs passions ?

 

Que peuvent faire les entreprises pour favoriser la durabilité sociale ?

Aujourd’hui, dans la plupart des entreprises, différents acteurs mènent ce genre d’initiatives sans trop connaître les stratégies des autres ni mettre en place de collaborations. Cela dit, il faut bien commencer quelque part. La première étape, en toute logique, consiste à déterminer où vous en êtes. Disposez-vous d’une stratégie unifiée, au moins dans certains des domaines évoqués plus haut ? Entamez des discussions et lancez-vous dans l’élimination des silos organisationnels.

Accordez la priorité aux personnes. Les progrès pour la planète et la prospérité suivront. C’est cela, être une entreprise résiliente, orientée sur les résultats et sur les personnes. Une entreprise qui n’est pas seulement parée pour répondre aux besoins de gestion d’aujourd’hui, mais qui saura s’adapter à ceux de demain.

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture SuccessConnect « Libérez toute la puissance du potentiel humain et transformez définitivement le monde du travail ».

_____________________________________________________________________________

 

Kim Lessley est directrice mondiale du marketing des solutions chez SAP SuccessFactors.

 

 

The post Renforcer les résultats clés d’une entreprise grâce à la durabilité sociale appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

Lire les actualités

 

D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

Lettre d’information SAP Insights: Obtenez des insights stratégiques en vous abonnant à notre lettre d’information.

S’abonner

 

Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

The post La logistique durable en mouvement Till Dengel, Richard Howells | 14 min de lecture appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Dans un marché très concurrencé et post Covid, la gestion et la distribution de matériel médical est en pleine transformation. Les ambitions de Quipment, premier fournisseur d’équipements médicaux pour les laboratoires du monde entier, s’incarnent sur plusieurs aspects dont celui de faire évoluer ses processus métiers ainsi que ses outils.

Paris, le 15 décembre 2022. SAP, leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, accompagne Quipment, acteur mondial de la fourniture de matériel médical pour les essais cliniques, dans le choix de leur nouvel ERP.

Avec des processus et des normes internationales de plus en plus complexes et exigeantes, mais aussi face à des volumes industriels, Quipment pourra désormais s’appuyer sur RISE S/4HANA Public Cloud pour automatiser tous ses processus métiers, de la Finance à la comptabilité, en passant par la gestion des stocks, la maintenance et la configuration de ces matériels, et ce dans plusieurs pays.

L’adoption de la solution permettra une digitalisation du Système d’Information pour anticiper les changements de business model – Quipment souhaitant aller toujours plus loin dans l’économie circulaire. Elle permettra également d’assurer un accompagnement adapté à la croissance de Quipment. La startup pourra enfin bénéficier de la simplicité d’usage grâce aux processus standardisés du dispositif SAP.

Ce partenariat a été rendu possible par la capacité des équipes Grow by SAP – un programme d’accélération pour les entreprises à forte croissance – à répondre à l’ensemble des besoins de Quipment, de leur proposer un accompagnement sur-mesure pour assurer aux équipes une adoption optimale et leur permettre de répondre à la demande croissante du marché. La proposition de valeur de Grow by SAP permet d’accélérer l’activité de Quipment de la manière la plus durable et efficace qui soit grâce à une solution SaaS et à un ensemble de mesures couvrant notamment le Marketing, la Finance, le Growth hacking, etc.

Aussi, l’association de SAP et WYNSYS, l’un des partenaires les plus performants de SAP, permet à la startup de restructurer ses processus et de profiter pleinement des avantages de la solution dans le Cloud.

Pierre Malingrey, Président et cofondateur de Quipment précise :  « La robustesse de la solution Rise S/4HANA nous a convaincu pour venir répondre à nos objectifs d’automatisation. Cela va permettre à Quipment de réaliser les gains d’efficacité significatifs et nous permettre de maintenir notre avance sur ce marché en phase d’industrialisation. Au-delà de cette efficience, la solution RISE S/4HANA va doter Quipment de gains capacitaires très importants pour absorber les volumes croissants de notre marché.

Lahcen Binoumar, Head of Middle Market chez SAP France déclare : « Collaborer avec une startup comme Quipment est une opportunité exceptionnelle pour SAP de démontrer les capacités et la flexibilité de ses solutions. Le secteur de l’approvisionnement des produits médicaux et de laboratoire répond à une exigence intrinsèque à Quipment que SAP et WYNSYS ont à cœur de soutenir. Notre solution permettra ainsi à Quipment de conforter sa position de leader sur son marché et de continuer à se développer à l’international, tout en modernisant ses processus. »

 

A propos de Quipment

Quipment est une entreprise française qui fournit et déploie du matériel médical dans le monde entier pour permettre à l’industrie pharmaceutique de valider des nouvelles thérapies en développement. Le matériel, déployé dans plus de 40 000 hôpitaux et plus de 110 pays, permet de suivre l’évolution de la santé de cohortes de patients sous traitement, et ainsi de valider et quantifier les bénéfices thérapeutiques des nouveaux traitements en cours de développement. Quipment permet de déployer des études cliniques de manière plus rapide, plus fiable, plus flexible et moins coûteuse, permettant ainsi à la recherche d’apporter plus rapidement et à moindre coût des nouveaux traitements aux patients. Avec 150 salariés et des centres logistiques aux Etats Unis, en Europe et au Japon, Quipment est le leader mondial de ce marché. Quipment est particulièrement sensible aux enjeux de responsabilité d’entreprise et agit avec une conscience très forte de ses impacts dans ses choix et sa gouvernance.

Pour plus d’informations, visitez : https://www.quipment.fr/

The post SAP accompagne Quipment grâce à RISE S/4HANA Public Cloud appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

La plus grande marque de bijoux au monde a choisi RISE with SAP comme étant l’une des solutions phares pour soutenir son ambitieux parcours digital et servir de point d’appui à sa croissance future.

Partout dans le monde, les grandes marques du Retail sont en concurrence pour répondre à la nouvelle attitude des clients, pour construire et étendre les relations avec les marques et pour satisfaire les nouvelles attentes en matière de personnalisation et de fluidité de l’expérience d’achat en ligne, comme en magasin.

Tout accessible partout et tout le temps

Pandora conçoit, fabrique et commercialise des bijoux contemporains à des prix abordables et déploie une stratégie de croissance ambitieuse, qui sera pleinement mise en œuvre d’ici 2026. La stratégie Phoenix s’articule autour de quatre axes : la marque, le design, la personnalisation et les marchés principaux – tous centrés sur l’objectif global de Pandora : devenir la marque la plus importante et la plus désirable sur le marché des bijoux à prix abordables. Les ambitions de croissance de Pandora sont à leur tour soutenues par une stratégie de digitalisation globale qui couvre l’ensemble des activités du Groupe. L’un des éléments clés est la mise en place d’un nouveau noyau digital simplifié avec SAP S/4HANA Cloud comme nouveau système ERP de l’entreprise.

Après une période de redressement au cours de laquelle nous avons dû renouer avec nos principaux clients et nous concentrer sur l’ADN de Pandora, ainsi que sur des produits tels que le bracelet et les charms Moments, nous avons désormais atteint le stade de mise à l’échelle“, a déclaré David Walmsley, Chief Digital & Technology Officer de Pandora, avant de poursuivre : “La transformation de notre ERP se concentrera principalement sur les finances, sur tout ce qui concerne les stocks et sur les processus commerciaux end-to-end venant refléter l’expérience client“.

Une véritable omnicanalité avec la même expérience client, partout dans le monde

Lorsque le dispositif sera intégralement déployé d’ici 2026, SAP permettra à Pandora d’offrir à ses clients une expérience omnicanale avec des transactions et des interactions transparentes, que ce soit en ligne ou en magasin. Les clients de Pandora pourront voir l’inventaire des produits disponibles en temps réel, évitant ainsi les situations où un produit donné semble être disponible en magasin, mais ne l’est plus, comme cela peut être parfois le cas si les trois systèmes actuels ne sont pas synchronisés. Ceci s’inscrit dans le cadre des récentes initiatives d’amélioration lancées par Pandora comme le click & collect, le shop online et le pick up in store, afin d’offrir une expérience d’achat omnicanale vraiment agréable.

Les bijoux Pandora sont vendus dans plus de 100 pays à travers 6 400 points de vente, dont plus de 2 400 concept stores.

Avec SAP S/4HANA for Retail, SAP Customer Activity Repository (CAR) et SAP Business Technology Platform (BTP) et d’autres améliorations numériques prévues dans le cadre de notre stratégie de numérisation, nous serons en mesure d’offrir la même expérience client dans le monde entier. Lorsque le système sera entièrement déployé, le détail de l’expédition et la disponibilité ne dépendront plus de l’endroit où se trouve le client, mais au contraire, il pourra trouver la même disponibilité de bijoux et des suggestions personnalisées sur les pièces à acheter, quel que soit l’endroit où il fait ses achats », a déclaré David Walmsley qui poursuit :

Certains parlent de ‘supprimer la douleur du shopping’, mais chez Pandora, nous voulons célébrer le shopping et en faire une expérience personnelle où, grâce à la technologie SAP et grâce à nos autres outils digitaux, nous comprenons, surprenons et ravissons nos clients. Notre activité consiste à vendre des souvenirs. Pour Pandora, c’est en associant magasin et technologie que la magie opère. En s’y prenant bien, nous ne nous contentons pas de faciliter la vie de nos clients, nous créons des ambassadeurs de la marque“.

The post Pandora se lance dans la transformation de son ERP pour faire face à la nouvelle dimension du Retail appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Comment garder ses talents ? Voilà l’une des grandes questions des départements RH aujourd’hui. À l’heure de la « Grande Démission », nombreux sont les ouvrages et les articles qui traitent les sujets de fidélisation et de rétention des collaborateurs. Ce défi majeur oblige les entreprises à être proactives, à déceler les risques et raisons de potentiels départs et à anticiper les actions pour garder leurs collaborateurs dans leurs équipes.

Depuis plusieurs années, le SIRH s’impose dans les entreprises, mais lorsque plusieurs outils s’accumulent, il est parfois difficile de les faire communiquer de manière performante, fluide, et cela peut freiner la rapidité de la prise de décision et d’actions pour garder les collaborateurs.

Dans cet article, nous verrons pourquoi le SIRH centralisé, en l’occurrence SAP SuccessFactors, est un outil puissant dans plusieurs domaines pour appuyer la stratégie de rétention des talents dans l’entreprise.

Plusieurs facteurs sont clés afin d’établir une stratégie de rétention des collaborateurs : le sentiment d’appartenance à l’entreprise, le besoin de défis, l’atteinte des objectifs fixés (qu’ils soient personnels ou collectifs), le développement des compétences, l’évolution au sein de l’entreprise, la qualité de vie au travail, etc. Pour chacun de ces axes, SAP SuccessFactors propose une réponse technologique adaptée à vos contextes et à vos process.

 En effet, les solutions SAP SuccessFactors comportent plusieurs modules dits « Talent », dédiés à la gestion de la vie et l’évolution des employés, de leur embauche jusqu’à leur départ. Nous y retrouvons, entre autres, la gestion de la performance, la prévision des actions de développement et de la succession et la prise en charge de la formation. Bien qu’ils se basent sur la donnée du Core HR, les modules « Talent » sont interconnectés entre eux, ce qui enrichit l’utilisation de chacun grâce à un flux d’informations pertinentes et transversales.

Dès l’annonce de l’arrivée d’un collaborateur, il est primordial d’anticiper son onboarding pour garantir une expérience d’accueil optimal. Nous le savons, bien qu’un salarié n’ait pas encore commencé son premier jour, celui-ci fait partie des effectifs et doit être intégré dans le système (via le module Recruiting ou via une entrée manuelle). Son onboarding peut alors commencer.

Le module Onboarding 2.0 permet de générer, en fonction du lieu de travail, du poste et du département du nouveau collaborateur, une liste d’actions à mener par le HRBP, le manager ou même les futurs collègues pour préparer au mieux l’arrivée. Les actions à mener peuvent être : organiser les premières réunions en avance, préparer la définition des objectifs, commander le matériel informatique, les badges d’accès, les identifiants aux différentes plateformes etc. Si ces actions sont menées à bien et en temps voulu, l’arrivée du collaborateur se fera de manière fluide et celui-ci aura le sentiment qu’il/elle était attendu(e) et sera rapidement disposé(e) à commencer son travail. Cet enjeu est doublement bénéfique pour l’entreprise : un sentiment d’appartenance à l’entreprise est créé pour le salarié et des données (de qualité) sont déjà renseignées dans le SIRH.

Une fois le collaborateur prêt à travailler, il faut être en mesure de définir, en co-construction avec les parties prenantes, des objectifs de performance et des challenges sur une période définie. Le module Performance and Goals vous permet, très simplement, d’ajouter des objectifs et de gérer le plan d’objectifs. Mais nous le savons, la simple définition de mission est bien insuffisante pour avoir des collaborateurs performants, fournisseurs d’un travail de qualité. Tout au long de l’année, collaborateur comme manager ont besoin de faire le point afin de s’assurer que l’atteinte des objectifs est en bonne voie. Ces moments d’échanges, de feedbacks, de prise de recul et d’ajustements sont nécessaires pour garder le cap.

Avec le module Performance & Goals, collaborateurs, managers et toutes parties prenantes auront la possibilité d’utiliser la fonctionnalité Continuous Performance Management.  Ils pourront ainsi suivre l’évolution de l’accomplissement des objectifs en les affinant grâce à des activités, des succès et la possibilité d’enregistrer des réunions et leurs notes directement dans l’outil. Vous avez également l’opportunité, en tant que collaborateur, de demander du feedback pour vous-même à n’importe qui présent dans la base de données SAP SuccessFactors de votre entreprise. En tant que manager, vous pouvez demander du feedback personnalisé pour vos membres d’équipes. Toutes ces informations, récupérées au fil de l’année, seront répliquées dans le formulaire d’entretien de performance annuel afin de donner de la visibilité et des informations relatives à la performance du collaborateur les plus précises possibles pour toutes les parties prenantes.

La revue des talents est également l’opportunité de faire un point sur chaque collaborateur dans l’entreprise et d’être en mesure de proposer les meilleures solutions en termes de besoin de développement, de formation, de succession et d’anticiper de potentiels départ et d’en identifier les raisons.

Le module Succession and Development propose plusieurs outils. Le premier, appelé Talent Review ou Calibration permet la création de sessions englobant des matrices d’évolution, de performance et de potentiel. Cela donnera lieu à une visualisation rapide de votre population nécessitant des besoins de développement particuliers.

Le deuxième outil vient compléter le premier en vous donnant la capacité d’identifier les niveaux de risques et impacts de départs potentiels des salariés. Il sera ainsi plus simple d’identifier rapidement les postes critiques impactés, de définir des plans de rétentions adaptés mais aussi de préparer la succession si ces plans n’étaient pas concluants.

Enfin, le troisième outil vous donne la possibilité de créer des viviers de talents, de proposer des programmes de formations ou d’évolution spécifiques et d’identifier les profils nécessitant une attention particulière sur le plan du développement des compétences, des aspirations professionnelles ou des souhaits de mobilité géographique.

À la suite de l’entretien de fin d’année et de la revue des talents, managers et collaborateurs seront en mesure de définir des objectifs de développement soit pour renforcer des compétences afin de mieux performer dans le poste actuel, soit pour en développer de nouvelles afin de prétendre à un nouveau poste. Cela peut se traduire par des formations présentes dans le catalogue du LMS.  Un lien direct entre le module de gestion des objectifs et le LMS facilitera l’affectation des contenus de formations et fluidifiera l’expérience utilisateur du SIRH.

Enfin, il est possible de créer des rapports personnalisés à destination de la population RH et de l’exécutif intégrant des KPI permettant d’assurer :

  • le suivi des campagnes RH,
  • le niveau d’adoption des modules
  • la bonne qualité des données.

Ces indicateurs seront primordiaux dans le suivi des collaborateurs ainsi que dans la détection et la rétention de vos talents.

Une chose importante qu’il faut garder à l’esprit : toutes ces actions d’identification, d’anticipation, de prise de décision et d’actions ne sont possibles que si toutes les parties prenantes sont responsabilisées et impliquées dans les différents processus liés au SIRH.

La digitalisation de la fonction RH démontre qu’aujourd’hui, et encore plus qu’auparavant, l’aspect humain est la pierre angulaire de tous les efforts de la stratégie RH et SIRH. La problématique de rétention des talents est majeure, même critique pour la performance de l’entreprise. SAP SuccessFactors propose des outils interconnectés afin d’évaluer les performances, d’ajuster les plans de développement du collaborateur, d’anticiper de potentiels départs, leurs raisons et les successions. Toutes ces actions stratégiques pour le développement du collaborateur et la pérennité de l’entreprise ne sont possibles, via le SIRH, que si les données sont renseignées dans celui-ci, de qualité et à jour.

IRH by Act-On Group est spécialisé dans le déploiement et la personnalisation des solutions SAPSuccessFactors, toujours adaptés à votre stratégie RH. N’hésitez pas à nous contacter pour un premier échange à l’adresse contact.irh@actongroup.com.

The post Comment SAP SuccessFactors contribue à la stratégie de rétention des talents appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com