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Par Erik Marcadé, Head of SAP Labs Paris

Les entreprises et dirigeants du monde entier sont aujourd’hui confrontés à des défis de taille, que ce soit la volatilité des marchés, les incertitudes économiques ou encore les conflits géopolitiques… Ayant compris que l’intégration des technologies permettait de faire face à ces incertitudes, les entreprises redoublent d’efforts dans leurs transformations digitales pour survivre et prospérer. Cependant, la pénurie importante de talents et de compétences dans le secteur technologique renforce ce sentiment d’incertitudes.

Selon une récente étude d’IDC, 48 % des répondants sont confrontés à une pénurie de développeurs pour répondre à leurs demandes actuelles. C’est l’une des raisons pour lesquelles seulement 8 % des entreprises mondiales ont pu atteindre leurs objectifs de transformation digitale.

Dans l’enquête « Global Workforce Hopes and Fears Survey for 2022 » de PWC, on apprend que 29 % des personnes interrogées indiquent que leur pays ne dispose pas des ressources nécessaires à l’exercice de leur métier – les soins de santé, la technologie, les médias et les télécommunications arrivant en tête de liste. Pour combler le déficit de compétences, de nombreuses entreprises (40 %) investissent dans des programmes de perfectionnement et de formation, tandis que d’autres (33 %) augmentent les salaires pour retenir les meilleurs talents.

La demande de développeurs de logiciels n’a jamais été aussi forte, et cette pénurie de main-d’œuvre qualifiée crée non seulement des lacunes, ralentit le processus d’innovation et de croissance de nombreuses entreprises, mais provoque également des taux d’épuisement professionnel exceptionnellement élevés chez les développeurs. Pour les retenir sur le marché du travail, les entreprises devraient adopter des méthodes “low-code/no-code”, c’est-à-dire des méthodes de développement de logiciels qui ne nécessitent que peu ou pas de compétences en programmation. Plutôt que des langages de programmation textuels, ces méthodes utilisent des outils de conception d’applications visuelles et d’autres techniques de modélisation graphique.

En allant un cran plus loin, la clé d’une transformation digitale plus efficace pour l’entreprise ainsi que pallier la pénurie de compétences, passera par le développement de l’expertise technologique de ceux qui la connaissent le mieux – les utilisateurs eux-mêmes. Mais qu’entendons-nous par « utilisateurs professionnels » ? Il s’agit des analystes financiers, des opérateurs de la chaîne d’approvisionnement, des responsables de la chaîne de production, des spécialistes des achats et du marketing. Grâce à la formation et à l’investissement dans des solutions low-code/no-code, les entreprises peuvent exploiter la puissance du logiciel en dehors du back-office et la mettre entre les mains de personnes qui l’utilisent tous les jours pour innover, exécuter des tâches, se connecter, etc. En outre, cette approche permet également de répondre à la pression que ressentent de nombreux professionnels de l’informatique, chargés des grandes révisions d’infrastructure et des transformations digitales.

Les organisations peuvent former des employés qui n’ont aucune expérience préalable de la programmation, en leur fournissant des connaissances sur le low-code/no-code. L’objectif de ces formations est la certification en tant que «citizen developer», qui permettra à ces employés de développer et d’exploiter des programmes low-code/no-code à l’aide d’une expertise applicative personnelle. Ils peuvent alors décharger les développeurs professionnels de simples tâches routinières de programmation afin qu’ils puissent davantage s’impliquer dans le développement stratégique d’applications.

Bien sûr, les personnes ayant un certain niveau d’expertise technique peuvent également tirer profit des logiciels low-code/no-code : les tâches trop complexes pour un « citizen developer » comme les fonctions de sécurité, ou encore l’utilisation d’outils pour concevoir un programme à budget limité sans perdre la capacité d’évoluer. L’expertise des développeurs confirmés est – dans ce cas – toujours nécessaire mais avec l’aide du low-code/no-code, ils peuvent développer ces fonctions de manière plus efficace.

Les entreprises technologiques doivent être capables, à l’avenir, de s’adresser à tous : du développeur cloud-native et du data scientist, à l’architecte d’entreprise et au développeur d’applications et d’intégration, en passant par le concepteur UX et même les utilisateurs non techniques ! Le besoin est évident : le marché total adressable du développement d’applications et de l’automatisation des processus low-code/no-code n’a cessé de croître, et devrait atteindre 159 milliards de dollars d’ici 2030, contre 27 milliards de dollars cette année.

Dans le but de soutenir nos clients, SAP vient de lancer une nouvelle suite low-code appelée SAP Build – un ensemble d’outils qui mettent notre technologie de pointe entre les mains de tout utilisateur professionnel – utilisateur qui pourra désormais créer seul les applications dont il aura besoin, sans compétences approfondies en matière de codage et sans l’intervention du service informatique.

SAP Build est notre contribution à la mise en œuvre de cas d’utilisations commerciales, tout en atténuant les effets de la pénurie mondiale de compétences informatiques, grâce à la possibilité de transformer n’importe qui en développeur, ainsi que chaque entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité, en entreprise technologique.

Avec l’aide du low-code/no-code, les utilisateurs professionnels peuvent travailler plus efficacement et plus rapidement, les équipes informatiques peuvent se concentrer sur des tâches plus décisives et les entreprises peuvent mieux réussir, indépendamment de ce leur réserve l’avenir.

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Bâtir une culture d’apprentissage en continu est essentiel à la viabilité à long terme d’une organisation et peut constituer un moyen de garantir que votre personnel est prêt pour l’avenir. Cependant, la transformation des valeurs, des croyances et des normes d’une organisation qui influencent le comportement et les résultats de l’apprentissage peut être un défi, car les croyances de longue date ou les façons de faire bien ancrées ne peuvent être changées du jour au lendemain.

Le paradoxe est que vos employés ont probablement soif d’apprendre. En fait, dans une récente enquête menée par SAP dans le cadre de notre recherche sur la création d’une culture d’apprentissage continu, 69 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles auraient besoin d’acquérir de nouvelles compétences techniques et professionnelles pour exercer leur emploi actuel à l’avenir. Si l’on ajoute à cela le fait que les organisations et les employés sont confrontés à des environnements de travail hybrides et en distanciel, cela signifie que le support de formation doit être accessible à tous et facile à trouver.

En outre, les organisations sont toujours à la recherche des meilleurs moyens d’engager et de personnaliser l’expérience des apprenants. S’il existe sur le marché de nombreuses plateformes d’expérience de formation qui peuvent y contribuer, elles n’ont peut-être pas la portée d’une solution comme SAP SuccessFactors Work Zone, qui peut aider à fournir un accès unifié non seulement au contenu de SAP SuccessFactors Learning, mais aussi à d’autres applications et processus.

« Push & Pull », quelle stratégie choisir ?

De plus, une culture d’apprentissage forte doit intégrer une mentalité « d’attraction » (ou « pull »)  plutôt que de « poussée » (ou « push »). Une culture d’apprentissage « pull » est une culture dans laquelle les employés sont plus motivés d’apprendre en raison de leurs propres intérêts et désirs. Ils cherchent activement à apprendre sur des sujets ou des domaines qui les intéressent, que ce soit sur le plan professionnel ou personnel. Dans une culture « pull », l’apprenant prend en charge son apprentissage.

En revanche, une culture d’apprentissage « push » est une culture dans laquelle les employés sont tenus de participer à des activités d’apprentissage et de développement. . Cela inclut la participation à des cours de formation obligatoires sur la conformité ou la santé et la sécurité. Et si ce type de formation est nécessaire et souvent essentiel, il n’en reste pas moins que l’apprenant n’a pas le choix. Pour passer d’une culture d’apprentissage “push” à une culture d’apprentissage “pull” prédominante, il sera nécessaire de mettre en place un nouveau modèle, et pour cela, d’avoir le soutien de la direction, y compris pour donner l’exemple.

La technologie au service de l’apprentissage

Le rôle de la technologie ne peut certainement pas être négligé. Même dans le cadre d’un modèle “pull”, le fait de devoir consulter plusieurs systèmes pour trouver un contenu pertinent rend l’apprentissage pénible ; la technologie doit favoriser l’apprentissage, et non le rendre plus difficile. En outre, la façon dont nous travaillons et apprenons a changé – du lieu et du moment où nous travaillons jusqu’à la façon dont nous travaillons, apprenons et évoluons – et cette expérience est façonnée par un certain nombre d’éléments. Mais l’impact le plus important, sur l’expérience d’apprentissage, est celui des outils et processus digitaux qui nous permettent de réussir dans notre travail et de donner le meilleur de nous-mêmes.

Repenser l’expérience collaborateur

La dernière étude d’IDC montre qu’une expérience utilisateur insatisfaisante est la deuxième cause majeure de départ des employés. Mais que signifie une expérience satisfaisante lorsqu’il s’agit pour les employés de se sentir soutenus et aidés par la technologie ? Vous pouvez responsabiliser vos employés en mettant en place les bonnes ressources et informations digitales, en leur donnant les conseils dont ils ont besoin et en les aidant à y accéder facilement. Une expérience fragmentée pour les employés est encore la réalité dans la plupart des organisations, c’est pourquoi il est essentiel de supprimer les obstacles tels que le passage d’une application à une autre. Enfin, vous pouvez les responsabiliser en leur offrant un apprentissage dans le cadre de leur travail, afin qu’ils acquièrent les compétences qu’ils souhaitent et dont l’entreprise a besoin.

Dans le monde du travail d’aujourd’hui, en constante évolution, les employés s’attendent à de meilleures expériences, en particulier lorsqu’il s’agit de leur formation, leur développement personnel et l’évolution de leur carrière.

SAP SuccessFactors Opportunity Marketplace aide les employés à découvrir, en un seul endroit, les recommandations qui alimenteront leur développement continu et leur évolution de carrière : formation, projets, équipes dynamiques, mentors, programmes de mentorat et connexion entre pairs. Dans le même temps, les dirigeants peuvent bénéficier d’une visibilité accrue et d’une meilleure compréhension des forces et des capacités de leurs collaborateurs et de leurs équipes. Les gains potentiels pour les individus et les organisations sont immenses, comme une fidélité et un engagement accrus, ainsi qu’une adaptabilité permanente qui permettra aux personnes et aux entreprises de se développer et d’être prêtes au changement.

Venez découvrir comment les solutions SAP SuccessFactors et SAP SuccessFactors Work Zone peuvent contribuer à créer une forte culture d’apprentissage qui exploite la technologie plus efficacement.

  • Margit Bauer est directrice du marketing des solutions chez SAP SE.
  • Mark Tarallo est chercheur en marketing de solutions chez SAP.
  • Traduit par La Rédaction.

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Voyons concrètement comment certains clients Success Factors ont réussi à transformer leur culture de la formation et gestion des talents en s’appuyant sur SAP SuccessFactors Learning et SAP SuccessFactors Work Zone.

 

L’une des plus anciennes organisations au Monde, Royal Mail Group, peut retracer son histoire sur plus de 500 ans, depuis son origine en 1516. Ceci étant, comme tant d’autres entreprises, elle est confrontée à la nécessité d’une transformation de ses activités commerciales pour être reconnue comme la première entreprise de livraison au Royaume-Uni et en Europe et pour rester en tête de l’évolution des besoins du marché.

Royal Mail Group est une organisation mondiale, opérant dans 43 pays à travers le monde et employant plus de 140 000 personnes. Elle distribue chaque année plus de 1,8 milliard de colis et 14 milliards de lettres. Pour poursuivre la transformation de ses activités et de sa main-d’œuvre, Royal Mail avait besoin d’une plateforme offrant une expérience utilisateur personnalisée, fournissant les bons outils et les bonnes informations au bon format et au bon moment, afin de remplir ses fonctions quotidiennes. Avec SAP SuccessFactors Work Zone, SAP SuccessFactors Learning et BLEND de TalenTeam, Royal Mail a transformé son expérience d’apprentissage en proposant une plateforme numérique de développement personnel centrée sur l’utilisateur, baptisée ” The Royal Mail Academy “, qui a eu un impact intrinsèque sur la culture d’entreprise grâce à une approche ascendante de l’apprentissage et du développement.

Entièrement déployée en 12 semaines seulement, la plateforme permet de réunir tous les employés en un seul endroit pour tous leurs besoins RH, ainsi que les applications et services dont ils ont besoin. Aujourd’hui, les données permettent d’identifier plus facilement les experts locaux, 30 % du public cible a déjà utilisé la nouvelle plateforme après la mise en œuvre, l’agilité entre les gestionnaires de programmes et les employés de première ligne a augmenté, l’engagement des employés s’est considérablement amélioré et la diffusion des informations à grande échelle est plus rationalisée

Un autre client intéressant : Corning Incorporated, une entreprise technologique multinationale spécialisée dans les verres spéciaux, les céramiques ainsi que dans les matériaux et technologies connexes, opérant dans 60 pays et employant plus de 50 000 employés.

Ils utilisent SAP SuccessFactors Work Zone pour différents cas d’utilisation, mais concentrons-nous sur celui de la formation et du développement. Comme d’autres gros clients, Corning est composé de nombreuses divisions commerciales différentes qui ont toutes des besoins différents. L’objectif était de mettre en place différentes expériences universitaires d’apprentissage en tirant parti de l’investissement existant dans SAP SuccessFactors Learning et de créer un environnement qui permet aux personnes d’être guidées dans le développement de leur carrière. L’utilisation des espaces de travail améliore l’expérience globale, par exemple en complétant l’apprentissage formel par un apprentissage collaboratif.

Corning utilise les capacités de personnalisation pour aider les individus à trouver des informations pour des utilisations particulières et qui leurs sont utiles, au lieu d’être potentiellement submergés par trop d’informations. Il est utile de donner à l’utilisateur la possibilité de choisir le contenu qu’il souhaite et qui l’intéresse. Il peut s’agir de tout type d’information provenant des solutions SAP SuccessFactors, mais aussi de Microsoft Teams pour faciliter les groupes d’apprentissage virtuels.

Corning prévoit également d’accompagner ses collaborateurs délocalisés en distanciel grâce aux fonctionnalités de SAP SuccessFactors Work Zone, car elle ne dispose pas actuellement d’une plateforme pour communiquer avec elle de manière efficace. Avec cette solution, l’entreprise peut communiquer de manière plus plus engageante, directement depuis leur appareil mobile ou même leur ordinateur portable à la maison, et ce dans plusieurs langues. Corning étudie actuellement la solution SAP SuccessFactors Opportunity Marketplace, qui permettra à ses employés de piloter leur propre développement et leur croissance tout en s’alignant sur les valeurs et la stratégie de Corning en matière de talents. Cela peut être un facteur de différenciation important lorsqu’il s’agit d’attirer et de retenir les talents, tout en permettant à l’entreprise de soutenir la croissance de ses effectifs.

Découvrez comment les solutions SAP SuccessFactors et SAP SuccessFactors Work Zone aident les entreprises à améliorer leurs expériences d’apprentissage pour se préparer à l’avenir.

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Margit Bauer est directrice du marketing des solutions chez SAP SE.

Mark Tarallo est chercheur en marketing de solutions chez SAP.

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Alors que les voyages en avion reviennent à des niveaux pré-pandémiques, les constructeurs repensent les paramètres environnementaux, en examinant en profondeur le cycle de vie des millions de pièces qui composent les avions dans lesquels les gens voyagent chaque jour.

Jusqu’à présent, l’objectif de neutralité carbone s’est traduit par la recherche d’économies de carburant grâce à la conception de machines et de moteurs plus légers, et ce à juste titre – c’est en vol que les avions produisent le plus gros pourcentage de leur empreinte CO2. Même si ces efforts se poursuivent, les constructeurs élargissent cet horizon de durabilité à l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement et de production de l’aviation, de la conception et de la production des avions aux opérations commerciales et au-delà.

« Il ne s’agit pas seulement de savoir à quoi ressemblent la conception et la production d’avions durables, mais aussi comment concevoir des opérations plus durables pour les flottes existantes”, a déclaré Torsten Welte, vice-président mondial, responsable des industries A&D chez SAP. « Les constructeurs étudient comment ils peuvent échanger davantage de données en amont et en aval de la chaîne de valeur pour concevoir et fabriquer la prochaine génération d’avions tout en améliorant ce dont ils disposent pour une activité neutre en carbone. L’aviation durable connecte les données entre l’ingénierie, la chaîne d’approvisionnement, la fabrication, les ventes et la finance. »

Une aviation sans émissions requiert une stratégie holistique

Comme la plupart des industries, les fabricants d’avions tiennent compte du réusinage dans le coût des affaires. Cette approche ne sera pas… durable dans la prochaine ère, car des politiques de plus en plus strictes, telles que le Green Deal européen entrent en vigueur et la pression sur les coûts augmente. Selon les analystes d’IDC, d’ici 2024, 80 % des fabricants mondiaux intégreront la durabilité environnementale dans leurs processus et leur écosystème de gestion du cycle de vie des produits, ce qui améliorera les ventes de 3 %. Le défi pour les fabricants d’avions est de suivre les émissions de CO2 à travers les opérations commerciales à plusieurs niveaux.

“Les entreprises doivent comprendre l’empreinte carbone totale de chaque pièce utilisée dans l’avion, ainsi que chaque étape de fabrication qui y est associée, y compris l’approvisionnement et la production, les contrôles de qualité, les arrêts de production et les retouches, l’expédition et le recyclage”, a déclaré Welte. « Les leaders de l’industrie s’orientent vers une stratégie holistique de conception durable tout au long du cycle de vie de l’avion. Par exemple, les matériaux à l’intérieur des cabines sont souvent remplacés après quelques années, et la plupart finissent dans des décharges. Comment créer une économie plus circulaire pendant la durée de vie de l’avion ? »

Favoriser un état d’esprit durable

La durabilité exige des fabricants qu’ils adoptent un état d’esprit et des outils différents dans les activités quotidiennes telles que la conception et l’approvisionnement. Selon M. Welte, certains fabricants considèrent l’approvisionnement comme mûr pour le changement, déplaçant les considérations d’achat du prix le plus bas vers les fournisseurs qui offrent des produits répondant à des paramètres de durabilité indirects et à plus long terme.

“Une pièce plus respectueuse du CO2 peut avoir un coût initial plus élevé, mais offrir des options de recyclage qui réduisent les émissions de carbone”, a déclaré Welte. « De plus, à mesure que les constructeurs d’avions explorent des alternatives de carburants et de matériaux durables, les concepteurs devront collaborer beaucoup plus étroitement avec les fournisseurs, en partageant des données pour trouver des produits de la plus haute qualité qui réduiront les remaniements et les émissions de CO2 qui en résultent. Par exemple, des technologies telles que les solutions SAP Ariba et SAP Enterprise Product Development aident les concepteurs à collaborer efficacement avec les fournisseurs pour définir et atteindre des critères de référence communs en matière de développement durable ».

Innovations numériques pour la neutralité carbone

Le calcul de l’empreinte carbone des pièces d’un avion est incroyablement complexe. Il ne suffit pas de répartir uniformément les coûts énergétiques, tels que l’électricité et le chaleur, entre les différents produits. Un rapport détaillé calcule l’énergie utilisée par les différentes pièces de façon beaucoup plus précise, en se basant sur toutes les heures de fonctionnement de la machine.

“Chaque activité, directe ou indirecte, doit être comptabilisée en CO2”, a déclaré Welte. « Avec une plus grande visibilité sur l’ensemble de la chaîne de valeur de la fabrication, les entreprises peuvent immédiatement repérer les problèmes avec les fournisseurs en amont afin d’éviter les remaniements, et ce, en produisant de meilleurs produits. Lorsque vous pouvez communiquer plus rapidement avec votre réseau d’entreprise, en collectant et en analysant dynamiquement les données à partir d’une tour de contrôle centralisée, vous pouvez suivre les progrès de votre organisation par rapport aux références de l’entreprise et de l’industrie. »

Les fabricants n’ignorent pas que chaque ralentissement entraîne un coût important en terme de perte de temps, ce qui se traduit par un gaspillage d’énergie. D’ici 2023, les analystes d’IDC ont prédit que 30 % des fabricants partageront des applications avec des partenaires de l’écosystème industriel afin d’améliorer la visibilité et l’efficacité opérationnelle et de garantir la sûreté, la sécurité et la qualité. Poussés par une demande accrue de responsabilité environnementale dans les écosystèmes de fabrication, les chercheurs d’IDC prévoient que 40 % des fabricants du G2000 utiliseront les technologies de traçabilité pour réduire les risques et renforcer la transparence d’ici 2025. Au cours de la même période, les chercheurs de Gartner ont prédit que 40 % de l’ensemble des technologies IT dans le secteur de la fabrication seront responsables de la modélisation des données pour la durabilité et les objectifs de réduction nette des émissions de carbone.

Certains fabricants utilisent déjà des innovations telles que les doubles numériques, qui capturent de manière dynamique des informations susceptibles d’accélérer la production, l’approbation des produits et la certification de nouveaux moteurs et avions.

À juste titre ou non, l’aviation a mauvaise réputation par rapport à d’autres secteurs qui consomment autant ou plus d’énergie. Mais l’aviation sans émissions n’est pas un mirage. Les fabricants se sont fixé un nouvel horizon en matière de commerce durable, en rassemblant un écosystème pour créer un avenir neutre en carbone.

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Il ne fait aucun doute que la durabilité transforme l’économie mondiale. La diminution des ressources planétaires, le changement climatique, la division sociale et économique, l’évolution des préférences des consommateurs, l’activisme des employés, l’augmentation des réglementations et la baisse de la confiance institutionnelle conduisent tous à ce que les organisations soient de plus en plus mesurées en fonction de leur objectif ainsi que du profit. Et c’est bon pour les affaires.

 

Agir de manière socialement responsable renforce la réputation de la marque d’une organisation. Les demandeurs d’emploi et les consommateurs veulent aujourd’hui soutenir les organisations qui défendent quelque chose d’important et qui ont un impact positif sur la société dans son ensemble. Les investisseurs mettentdavantage l’accent sur les objectifs de développement durable en mettant davantage l’accent sur l’impact social. Les droits de l’homme et les réglementations environnementales se multiplient rapidement. Tout cela exige une approche plus durable de la part des PDG et des chefs d’entreprise.

 

Les gens, la planète et la prospérité

 

Lorsque vous entendez le mot durabilité, la première chose à laquelle vous pensez peut-être est le recyclage ou la durabilité environnementale, mais la durabilité va bien au-delà de l’élimination des bouteilles d’eau à usage unique et de la réduction de la consommation de combustibles fossiles. Une approche holistique de la durabilité intègre la durabilité sociale, environnementale et économique – ou les personnes, la planète et la prospérité.

 

Les organisations reconnaissent de plus en plus la nécessité de se concentrer autant sur la durabilité sociale, ou sur les personnes, qu’elles l’ont été sur la durabilité économique et environnementale – les trois ensemble soutiennent et stimulent la durabilité de l’entreprise. Les gens constituent la société, ont un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Les gens sont au cœur de toute stratégie visant à progresser vers les objectifs de développement durable. Dans le milieu de travail d’aujourd’hui, les RH ont à la fois la possibilité et la responsabilité de veiller à ce que les employées soient au centre du travail en créant un environnement dans lequel la main-d’œuvre et l’organisation peuvent s’épanouir.

 

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

 

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale se concentre sur le traitement de ces dernières – celles qui font partie de la main-d’œuvre d’une organisation, à travers leurs chaînes d’approvisionnement et dans les communautés dans lesquelles elles opèrent – de manière éthique et équitable.

 

Tout comme la durabilité environnementale et économique qui nécessitent une préservation et une utilisation prudentes des ressources naturelles et financières, la durabilité sociale nécessite de traiter les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses qui doivent être soutenues et valorisées pour favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation des objectifs de durabilité.

 

Les entreprises qui accordent la priorité à la durabilité sociale, en créant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive, sont en mesure de stimuler l’engagement et la productivité des employés. Ils sont également mieux placés pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, leader mondial des talents chez EY, explique comment la durabilité sociale est au cœur de la construction d’un monde du travail meilleur.

 

Déballer les  six piliers de la durabilité sociale

 

L’équipe SAP SuccessFactors HR Research a identifié six domaines distincts, ou piliers, qui comprennent la durabilité sociale. Bien que les domaines soient distincts, il est également clair qu’il existe un chevauchement entre ces piliers. Au centre de tout cela, bien sûr, se trouve la culture – car elle dicte tant de comportements à la fois à l’intérieur et à l’extérieur d’une organisation. Découvrons un peu ces domaines dans le contexte des processus RH et des ressources humaines.

 

Santé et sécurité

Au minimum, vous devez vous assurer que la main-d’œuvre est à l’abri des risques physiques pour la santé et la sécurité et a accès aux nécessités de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une visibilité sur l’ensemble de vos effectifs, y compris leurs emplacements ? Savoir qui et où se trouve votre personnel à tout moment vous permet de réagir rapidement en temps de crise et de fournir un soutien en cas de besoin.

 

Diversité, équité et inclusion

Ici, l’accent est mis sur le traitement juste et équitable de chaque individu, quel que soit son groupe d’identité sociale ou son système de croyances, et sur la garantie qu’il ressent un véritable sentiment d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et d’engager des demandeurs d’emploi d’horizons divers ? Avez-vous un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Offrez-vous une transparence salariale ? Mesurez-vous et suivez-vous les objectifs de diversité, d’équité et d’inclusion ?

 

Bien-être et équilibre

Au-delà de la santé et de la sécurité de base, ce domaine vise à garantir que le bien-être holistique des employés – psychologique, social, financier et professionnel – est prioritaire et soutenu avec les outils et les ressources nécessaires. Offrez-vous un ensemble complet d’avantages sociaux avec des options intéressantes ? Vos employés se sentent-ils à l’aise de se mettre entièrement au travail ? Avez-vous favorisé une culture de dialogue continu entre les managers et leurs subordonnés ?

 

Confiance et transparence

Ici, l’accent est mis sur le fait que les employés ont une voix, comprennent comment les décisions clés qui les affectent sont prises et font confiance à leur organisation pour agir de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos employés et agissez-vous en fonction des commentaires qu’ils fournissent ? Avez-vous établi des politiques et des processus pour l’utilisation éthique des technologies intelligentes et la confidentialité et la protection des données ? Publiez-vous publiquement des indicateurs de diversité ?

 

Autonomisation et croissance

Ici, les employés reçoivent la clarté, le soutien et les outils nécessaires pour développer leurs compétences et sont habilités à influencer leur trajectoire de carrière. Offrez-vous des options d’apprentissage inclusif pour répondre aux besoins et aux préférences d’apprentissage d’une main-d’œuvre diversifiée ? Assurez-vous que les managers fournissent des commentaires équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

 

Objectif organisationnel et RSE

Dans ce dernier pilier, l’organisation travaille activement à redonner et à avoir un impact positif sur le monde ; les employés sont encouragés à participer et se sentent dynamisés par la mission et les valeurs de l’organisation. Assurez-vous que les objectifs individuels sont alignés sur les objectifs de l’entreprise pour accroître le sens du but et le sens du travail ? Offrez-vous à votre personnel l’espace nécessaire pour poursuivre ses passions ?

 

Que peuvent faire les organisations pour favoriser la durabilité sociale ?

 

Dans la plupart des organisations aujourd’hui, différentes parties de l’entreprise dirigent ces efforts avec une connaissance ou une collaboration minimale des stratégies des autres. Cependant, nous devons commencer quelque part. La première étape la plus logique est de comprendre où vous en êtes aujourd’hui. Avez-vous une stratégie unifiée – au moins sur certains de ces piliers ? Commencez les conversations et commencez à briser les silos organisationnels.

 

Donnez la priorité aux gens, et la planète et la prospérité suivront. C’est ce que signifie être une organisation résiliente, axée sur les résultats et axée sur les personnes. Une organisation non seulement équipé pour répondre aux besoins commerciaux d’aujourd’hui, mais qui s’adapte aux besoins commerciaux de demain.

 

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture de SuccessConnect, Libérez le pouvoir du potentiel humain et changez le travail pour de bon.

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Kim Lessley est  global director of Solution Marketing chez SAP SuccessFactors.

Mots-clés: Ressources Humaines,

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Source de l’article sur sap.com

Aujourd’hui, et pour la première fois depuis des dizaines d’années, l’inflation est devenue une question centrale dans les entreprises. Les taux ayant atteint des records historiques dans la plupart des pays développés, les chefs d’entreprise s’appuient sur le dernier rapport économique mensuel et sur des perspectives assez floues pour prendre leurs décisions : réduction de la production, augmentation des prix, recherche de nouveaux fournisseurs.

Mais quelle que soit la situation des pays – forte hausse, baisse spectaculaire, ou apparente stabilité –, l’inflation entraîne des conséquences de toutes sortes qui varient selon le secteur d’activité, le pays et la conception de la supply chain. Il existe un risque de manque de liquidités nécessaires à la fluidité des opérations. Les actions bancaires centralisées sur les taux d’intérêt peuvent faciliter ou restreindre les activités de prêt et d’emprunt à court terme. Même les défis liés à la supply chain peuvent s’atténuer ou s’intensifier selon la fluctuation des coûts et l’évolution des coûts du stock disponible.

Il n’existe pas d’outil financier simple ou magique que les entreprises peuvent utiliser pour contourner le problème de l’inflation, mais les technologies intelligentes peuvent y contribuer. Les outils tels que l’intelligence artificielle (IA) et l’analytique prédictive aident les entreprises à anticiper et à voir leurs opérations dans leur globalité, à simuler et anticiper les imprévus, et à orienter leurs modèles économiques selon les besoins. Mais surtout, elles disposent de nombreuses options pour comprendre les circonstances économiques, prévoir l’impact, prendre des mesures à court terme, et établir des structures pour consolider leur position.

Voici trois domaines clés dans lesquels ces types de technologies peuvent aider les entreprises à comprendre l’impact des défis de l’inflation, à agir vite et à préparer l’avenir.

Des mouvements de trésorerie en toute intelligence et confiance

La valeur globale de l’argent et des actifs est vouée à diminuer ; plus tôt une entreprise aura des liquidités, plus tôt elle pourra réaliser plus de choses. Pour atténuer ce risque, les entreprises doivent prendre conscience de l’impact potentiel de divers scénarios : hausse des prix des marchandises, pénurie de matières premières, etc. Fortes de ces connaissances, elles doivent pouvoir faire des prévisions de trésorerie complètes et claires, et créer des stratégies flexibles pouvant être ajustées pour gérer efficacement les manques ou excès de trésorerie.

Grâce aux solutions de gestion du fonds de roulement de Taulia, qui font aujourd’hui partie de SAP, les directeurs financiers guident au mieux leur entreprise. Ils peuvent choisir d’ajuster les stratégies de comptabilité clients et fournisseurs, ou d’exploiter la ligne de crédit au plus faible coût disponible de leur établissement bancaire. De plus, des outils financiers, par exemple pour la gestion des escomptes dynamiques et le financement de la supply chain, peuvent débloquer des actifs circulants.

Les solutions de gestion des actifs circulants rendent avec précision les conditions d’inflation au moyen de prévisions basées sur l’IA et de vues mises à jour, toujours à la disposition des planificateurs d’entreprise. De la planification et de la simulation à la sélection des alternatives de financement et des processus de contrôle adéquats, ces fonctions travaillent de manière synchrone
pour offrir une coordination efficace des mouvements de trésorerie, à partir d’une source de confiance unique, parfaitement intégrée à toute l’entreprise.

Toute décision, finalement, concerne les mouvements de trésorerie, et la combinaison d’informations exhaustives et en temps réel, de possibilités générées automatiquement, et d’insights prédictifs, peut aider les entreprises à prendre en toute confiance les meilleures décisions. Et, alors que leur valeur évolue au fil du temps, il sera possible d’acheter et de gérer les marchandises et actifs au prix d’origine, moyennant des coûts de détention inférieurs au taux d’inflation.

Limiter l’exposition aux différences mondiales

Les pays ont rarement les mêmes taux d’inflation, mais l’augmentation des prix des marchandises entraîne inévitablement une hausse des coûts des matières premières. Et dans les pays où l’inflation est plus élevée ou instable, les devises peuvent se déprécier rapidement, provoquant des taux de change record.

Ces fluctuations économiques mondiales peuvent être particulièrement risquées pour les entreprises qui ont emprunté du capital pour profiter des faibles taux d’intérêt ces dernières années. L’inflation est déjà en train d’éroder leur stratégie de remboursement prévue pour les prêts en cours. Et en cas d’une plus forte instabilité dans une autre région, les pressions sur les coûts pourraient encore s’aggraver, les marges se resserrer et l’accès aux liquidités diminuer.

Grâce à l’application SAP Treasury and Risk Management, les responsables de la trésorerie et les directeurs financiers peuvent surveiller les positions de risque, l’évolution des prix des marchandises, et les taux de conversion des devises, même en temps de grande instabilité économique. Ils peuvent développer des stratégies de comptabilité de couverture conformes à l’aide d’une piste d’audit complète, tout en respectant les réglementations telles que le Règlement sur l’infrastructure du marché (EMIR) et la dernière version des Normes internationales d’information financière (IFRS 9).

Les équipes de gestion de la trésorerie peuvent aussi obtenir plus d’insights pour faire face à la dette et gérer les investissements plus efficacement. La solution SAP Treasury and Risk Management offre des informations telles que la trésorerie disponible, des risques liés aux soldes et le retour sur investissement, et surveille les investissements par rapport aux éventuelles fluctuations du taux d’intérêt. En outre, les opérations d’emprunt et de prêt tout au long de la vie d’un prêt peuvent être saisies, analysées et déclarées au fur et à mesure.


Intervenez vite aujourd’hui pour préparer votre avenir

Lorsque les coûts d’ingénierie et de production de produits manufacturés augmentent, les entreprises doivent décider de réduire leurs marges ou de répercuter ces coûts supplémentaires sur le client. C’est un choix difficile, surtout lorsque les consommateurs trouvent déjà les prix très élevés.

En intégrant les solutions SAP Digital Supply Chain à SAP Business Network, les entreprises d’achats, d’approvisionnement et de logistique obtiennent les insights dont ils ont besoin pour générer plus de revenus de chaque dépense et optimiser la réduction des coûts. Ensemble, elles peuvent effectuer des simulations et analyses par simulation pour identifier et engager les partenaires commerciaux capables de gérer les situations émergentes, telles que la hausse de la production, et de réduire encore davantage les pertes financières et matérielles.

Bien sûr, pour gérer efficacement les risques inflationnistes, les entreprises doivent avoir accès aux données adéquates pour prendre des décisions et faire avancer leur supply chain. La combinaison de SAP Digital Supply Chain et de SAP Business Network permet aux entreprises de gérer les ressources de manière plus stratégique afin d’augmenter la productivité, de réduire les coûts d’exploitation et de permettre aux collaborateurs de se consacrer à des tâches plus stratégiques. De plus, les entreprises peuvent éviter les retards et interruptions de la supply chain pour prévenir les pertes de revenus, et éviter les coûts imprévus grâce à une visibilité sur la capacité des stocks et de la production, la maintenance des actifs et les processus logistiques.

Exploiter une position financière solide

Compte tenu des récentes inflations, il est très important pour survivre de comprendre et de gérer les risques financiers dans la supply chain. Et les entreprises capables de progresser et de prendre les bonnes décisions au bon moment sont celles qui disposent d’une visibilité claire sur leurs données et processus relatifs aux achats, à supply chain et à la logistique.

Pour de nombreuses entreprises dans le monde, les solutions SAP sont déjà l’un des moyens les plus efficaces de protéger leur solidité financière en période d’inflation. Elles continueront d’ailleurs à alléger leurs défis au fur et à mesure que leur portefeuille évolue afin de répondre aux besoins d’une économie en mutation et d’un environnement compétitif.

En savoir plus : https://www.sap.com/france/products/erp/s4hana.html

Article de Neil Krefsky, Eamon Ida, Haresh Chhaya, Max Hendrickx25 août 2022

Neil Krefsky est directeur du marketing produits pour la gestion des finances et des risques chez SAP.

Haresh Chhaya est responsable des solutions pour la gestion de la trésorerie et des fonds de roulement chez SAP.

Max Hendrickx est directeur principal du centre d’excellence pour la gestion du fonds de roulement chez SAP.

Eamon Ida est directeur du marketing pour les solutions dédiées aux réseaux d’entreprises chez SAP

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Source de l’article sur sap.com

Dans un marché de la distribution en pleine transformation, le leader mondial des logiciels d’entreprises va ainsi permettre à l’acteur incontournable de la meunerie en France et à l’International de faire évoluer ses outils, pour répondre aux nouvelles évolutions commerciales.

Paris, le 15 septembre 2022 – SAP a été choisi pour participer à la transformation des outils CRM de Grands Moulins de Paris (groupe VIVESCIA). Initiée en novembre 2020, cette collaboration trouve son origine dans la nécessité pour Grands Moulins de Paris de simplifier et faciliter le pilotage de l’activité commerciale des équipes.

Créée en 1919, cette entreprise de meunerie a depuis toujours su se développer et innover pour satisfaire au mieux ses clients, s’ancrant également dans une démarche pour une alimentation responsable. Aujourd’hui, avec un marché de la boulangerie artisanale très concurrencé, Grands Moulins de Paris avait besoin de disposer d’une base de données centralisée en un seul et même outil, permettant d’avoir une meilleure connaissance à la fois de ses clients et prospects.

Depuis avril 2021, Grands Moulins de Paris bénéficie d’une plateforme SAP Sales Cloud qui met l’accent sur les services suivants :

  • un meilleur suivi de l’activité commerciale et de la flotte des commerciaux itinérants
  • une automatisation des processus de suivi client
  • une gestion facilitée et intelligente des données

Depuis la mise en place de ces outils intuitifs, le nombre de tickets informatiques a drastiquement réduit, et les retours des équipes utilisatrices au sein de Grands Moulins de Paris sont très positifs quant à la facilitation des tâches business.

Damien Loiseau, Directeur de Développement des Ventes chez Grands Moulins de Paris, déclare : « Nous comptons aujourd’hui 250 utilisateurs du nouveau CRM. En quelques clics, ils peuvent retrouver toutes les informations pour préparer une visite prospect ou accompagner leurs clients. Les fiches sont enrichies automatiquement d’informations légales et juridiques comme le nom du gérant, la solvabilité de l’entreprise, mais aussi des bons de livraison, commandes, factures, plan de livraison, etc. Nous disposons également de reportings clairs qui permettent désormais à chaque manager de suivre l’activité de son équipe en temps réel. L’outil facilite la recherche d’informations spécifiques au terrain, et toutes les activités nationales sont pilotées par des KPI. Ce nouveau CRM, c’est un gain de temps indéniable pour tous ! »

Samuel Gaudard, Account Executive Customer Expérience chez SAP, indique : « Nous sommes très heureux de la collaboration avec Grands Moulins de Paris. Ensemble, nous avons pu mettre en place les solutions les plus adaptées pour répondre rapidement et efficacement aux besoins uniques de leurs activités. »

Suite à un appel d’offre, SAP a su convaincre par la qualité de son service, son approche des coûts adaptée à la demande du client et la transparence des équipes en charge du projet. « Il nous fallait un outil fiable et simple à intégrer à notre SI existant », confirme Damien Loiseau.

Cet enjeu de CRM constitue la première étape d’un plan d’accompagnement complet entre SAP et Grands Moulins de Paris, qui se poursuivra avec l’intégration de la brique Service Client, puis de l’ensemble Marketing. Ainsi, à horizon 2023, l’expérience de Grands Moulins de Paris powered by SAP saura se montrer complète et cohérente pour aider à l’amélioration en temps réel de l’ensemble de ses services.

Visitez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter @SAPNews.

 

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Source de l’article sur sap.com

L’environnement de travail d’aujourd’hui est plus que jamais différent de ce que nous avons déjà rencontré auparavant. En raison des changements monumentaux que la pandémie a introduits, les entreprises luttent à la fois contre les défis liés à la rétention des talents et contre un déficit de compétences numériques qui ne cesse de croître. Il est devenu de plus en plus évident que l’éducation et la formation doivent évoluer avec ce contexte.

Au sein de l’organisation SAP Learning, nous nous efforçons constamment à repenser la manière dont la formation peut aider nos clients, partenaires et collaborateurs à suivre le rythme.

Voici trois façons de réinventer l’apprentissage afin que chacun dans notre écosystème ait les compétences dont il a besoin pour réussir.

Réduire les obstacles à l’accès à l’éducation

La technologie a considérablement amélioré l’accès à l’apprentissage pour les communautés sous-représentées, ainsi que pour les étudiants qui débutent leur carrière. Qu’il s’agisse d’une conférence vidéo, d’un e-learning ou d’un exercice simulé, les connaissances peuvent être accessibles à l’échelle mondiale presque sans frais. Il en va de même pour l’éducation dans le monde des logiciels d’entreprise, un espace qui offre des opportunités de carrière importantes.

Nous voulons désormais créer des opportunités qui rendent les formations attrayantes et accessibles à tous. C’est pourquoi nous avons facilité l’accès à nos programmes globaux pour atteindre les étudiants et les apprenants susceptibles de rencontrer des barrières aux opportunités. En éliminant le coût de la formation et en réduisant le besoin d’activités en présentiel, nous continuons à développer notre communauté d’apprenants qui qui peuvent réaliser leurs aspirations dans l’écosystème SAP..

Nous sommes ravis d’avoir atteint plus de 150 000 apprenants actifs sur le site SAP Learning depuis son lancement en novembre, avec une croissance d’environ 2 000 participants par jour. Cette stratégie rapporte aux étudiants. En complément, grâce à des programmes financés pour les demandeurs d’emploi tels que People to Work by SAP, nous pouvons voir des évolutions de carrière avec le placement de plus de 80 % des participants dans de nouveaux emplois après avoir terminé la formation..

À mesure que SAP Learning se développe, nous sommes impatients de continuer à nous améliorer et à nous adapter aux besoins de ces communautés.

Adopter une approche basée sur les compétences pour le développement de carrière

Alors que nous élargissons notre communauté aux apprenants de divers horizons et niveaux de formation, nous observons que certains cherchent à améliorer les compétences requises pour leurs rôles actuels, tandis que d’autres cherchent à franchir la prochaine ou la première étape de leur carrière. Dans les deux cas, une approche spécifique basée sur les compétences peut aider les apprenants à se concentrer sur des domaines de développement spécifiques, ce qui leur fait gagner du temps et leur permet d’avoir une expérience personnalisée. Selon un livre blanc d’IBM, les technologies d’e-learning peuvent augmenter l’engagement des collaborateurs de 20 %.

Associée à des certifications, la formation basée sur les compétences permet aux apprenants externes de faire valoir de nouveaux ensembles de compétences auprès de leurs employeurs actuels et potentiels, et d’améliorer leur employabilité. En interne SAP, nous adoptons une approche similaire, car la compréhension des compétences de notre personnel nous permet de réaliser des investissements stratégiques en soutenant nos employés à acquérir de nouvelles compétences, nous permettant ainsi de développer des talents uniques pour l’avenir.

Cette approche basée sur les compétences et la manière avec laquelle nous formons nos employés et notre écosystème a été reconnue par les prix Learning Elite 2022 des Directeurs formation :  SAP a été classé parmi les lauréats du Silver Award qui reconnaissent les meilleurs programmes de formation et développement à travers le monde.

Atteindre les apprenants là où ils se trouvent

Personne n’apprend exactement de la même manière, mais la technologie peut servir de passerelle vers de meilleures expériences d’apprentissage pour tous. Grâce aux outils numériques, nous pouvons atteindre les apprenants où qu’ils soient et quand ils souhaitent apprendre. Nous pouvons penser au-delà du cadre de la classe traditionnelle et proposer des méthodes d’apprentissage alternatives plus accessibles et abordables, à destination d’un public plus large et plus global d’apprenants. Nous pouvons rendre les parcours d’apprentissage encore plus personnalisables et adaptables pour répondre réellement aux objectifs individuels.

Ces besoins varient: une récente enquête d’Anthology a révélé que plus de quatre étudiants sur cinq (82 %) souhaitent qu’au moins une partie de leurs cours se déroulent en distanciel, et deux sur cinq (41 %) préfèrent un apprentissage entièrement en ligne sans aucun élément en présentiel.

Nous savons que certains de nos clients auront toujours besoin d’une formation en présentiel hautement interactive. Mais nous savons aussi, que si nous voulons combler la pénurie de compétences SAP et développer notre écosystème de professionnels formés sur nos solutions, l’apprentissage numérique a un rôle essentiel à jouer.

Notre engagement à garantir des cours et des certifications largement accessibles a fait de SAP Learning un leader dans trois rapports IDC MarketScape, sur les Services de formation informatique 2021 en Europe et aux États-Unis et en APeJ (Asie-Pacifique avec exclusion du Japon) en 2022. Ces évaluations des fournisseurs couvrent une évaluation globale des capacités et des stratégies des acteurs du monde numérique de la formation, et reconnaissent SAP en tant que leader grâce à notre vaste portefeuille de produits et à nos offres de formation hybrides, entre autres facteurs.

Notre engagement en faveur de la formation continue

Bien que nous soyons ravis de voir l’impact de nos parcours de formation dans le domaine de la formation continue, et dans un esprit d’amélioration constante, nous pensons qu’il y a toujours de la place pour de la croissance et du développement. Nous accueillons avec joie les commentaires sur ce que nous pourrions améliorer ou ajouter à nos programmes tout au long de votre parcours d’apprentissage avec SAP.

Pour partager votre expérience de formation ou faire part de vos commentaires,
rendez-vous sur le site SAP Learning.

Max Wessel est Chief Learning Officer à SAP.

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Source de l’article sur sap.com

Les responsables financiers et leurs équipes subissent une pression considérable, particulièrement en périodes d’incertitude et de tourmente : on attend d’eux qu’ils fournissent des informations financières et opérationnelles cruciales (essentielles pour prendre des décisions) en un claquement de doigts.

Il s’agit de l’une des principales conclusions d’un récent rapport Aberdeen sur les défis auxquels sont actuellement confrontés les responsables financiers.

Il est juste de dire que, en tant que responsable financier, les opérations financières quotidiennes occupent toutes vos journées. Pourtant, l’entreprise s’attend également à ce que vous analysiez les montagnes de données et de détails qui atterrissent dans votre boîte de réception, et que vous prévoyiez avec précision l’avenir de l’activité. En réalité, plus qu’une simple attente, il s’agit d’un véritable besoin. Elle a besoin que vous connaissiez les investissements à faire et à éviter, ainsi que les priorités prioritaires. Vous êtes la personne qui doit élaborer les plans permettant de guider les stratégies de croissance.

En outre, et c’est là que les choses se corsent, vous devez vous attaquer à ce rôle organisationnel et stratégique, ainsi qu’à toutes les analyses, modélisations et prévisions sophistiquées qui l’accompagnent, avec les mêmes anciens systèmes financiers que ceux que vous utilisez depuis des années.

Autrement dit, vous devez pérenniser votre entreprise en pleine croissance avec des outils quasi obsolètes. Cependant, bien que cela ne soit qu’une maigre consolation, vous n’êtes pas la seule personne dans ce cas.

Le problème se complique lorsque l’on tient compte des défis fondamentaux liés à la fiabilité de ces données et à leur accès (à votre travail, somme toute). De fait, lorsque Aberdeen a demandé à vos homologues d’identifier les deux principaux défis à la réalisation de leur travail, ils ont répondu :

N° 1 : Il y a simplement trop de processus manuels entre eux et les informations dont ils ont besoin.

N° 2 : Lorsqu’ils mettent la main sur les données dont ils ont besoin, ils ne sont pas certains de leur exactitude.

Pour autant, votre entreprise a besoin que vous lui communiquiez des informations fiables et en temps réel.

Mais où sont les bonnes nouvelles ? 

Ce même rapport Aberdeen présente également quelques éléments rassurants, notamment les points communs des entreprises les plus performantes et ce qu’elles ont fait pour atténuer le problème.

Ces entreprises (les 20 % les plus performantes) utilisent un ERP basé sur le cloud pour garantir la rapidité, la sécurité, l’automatisation et l’exactitude des données. Elles migrent vers le cloud pour éliminer les processus manuels qui ralentissent leurs décisions et freinent leur croissance.

Mais qu’est-ce que le cloud ? Eh bien…

  • Imaginez pouvoir extraire les données de n’importe lequel de vos systèmes et les importer dans votre système de budgétisation…
  • Imaginez pouvoir automatiser ces importations, et ainsi disposer des données dont vous avez besoin, à l’endroit et au moment où vous en avez besoin…
  • Imaginez compiler les données et générer des rapports dans plusieurs langues et devises sans le moindre effort…
  • Imaginez recevoir des mises à jour en temps réel de vos métriques financières…
  • Imaginez avoir la certitude que les informations sur lesquelles vous vous basez pour élaborer vos prévisions et prendre des décisions sont exactes et à jour…

Cela augmenterait drastiquement votre productivité et vos profits. Les entreprises dont on parle ont pu observer un bond de 19,6 % de leur productivité au cours des deux dernières années, contre une baisse de 0,8 % pour toutes les autres entreprises. Par ailleurs, elles ont réussi à booster leur rentabilité de près de 16 %, tandis que les autres enregistraient une baisse de 2,6 %.

Si vous disposiez des mêmes outils que ces entreprises, d’un système ERP basé sur le cloud qui vous permette d’obtenir des données financières précises et en temps réel mais aussi de prendre des décisions stratégiques et d’accroître votre chiffre d’affaires et votre résultat, ou encore d’outils numériques pour affiner vos processus en permanence et améliorer les rouages de la fonction Finance, ce serait là une excellente nouvelle.

Lire l’article d’Aberdeen ici.

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Le passage au Cloud est devenu une évidence pour bon nombre d’entreprises, mais il serait erroné de l’appréhender sous le prisme d’une marche technologique forcée. Si cette transition s’opère, c’est avant tout parce que les entreprises perçoivent aujourd’hui un moyen de renforcer leurs positions et de réaliser leurs potentiels pour demain.

SAP France a récemment réorganisé ses équipes au service de son nouveau positionnement stratégique centré sur le Cloud. Une transformation qui n’a qu’un objectif : répondre aux besoins de ses clients. Au cœur de ces changements, Fiamma Ferrero, Directrice Cloud Success Services, explique ce virage stratégique décisif pour l’avenir de toutes les entreprises, quels que soient leur taille ou leur secteur d’activité.

Les entreprises constatent que cette nouvelle façon d’aborder leur business s’adapte à leurs propres enjeux. De la gestion comptable du stock, à la prévision de vente et à l’analyse de données, le Cloud garantit une transition technologique sans rupture d’activité, en utilisant des outils en phase avec les enjeux et besoins, ceci afin de continuer leur cœur de métier avec facilité.

Ce socle, bien que nécessaire, ne représente en réalité qu’une partie de l’intérêt du Cloud. Par sa connexion constante avec des solutions complémentaires et des modules parfaitement imbriquables, le Cloud délivre un nombre infini de possibilités en matière de transformation business. Exit la gestion du stock en temps réel pour ouvrir la porte à une technologie en constante performance qui prédit vos besoins futurs grâce au Machine Learning.

Cette modularité représente un enjeu majeur dans le développement du potentiel business de chaque acteur. L’intégration de technologies innovantes comme de l’intelligence artificielle, permet d’accompagner les entreprises dans leur voyage transitionnel vers le Cloud. C’est en soulignant l’intérêt pour le client que nous pouvons créer chez lui l’envie de passer au Cloud.

En outre, ces entreprises voient un intérêt pour leurs clients et consommateurs, de la même manière que nous, qui accompagnons nos clients de A à Z dans leur transition. En 2021, le National Business Research Institute a constaté que les entreprises en mesure d’offrir un excellent service à la clientèle et de se positionner comme partenaires de confiance, pouvaient viser une augmentation de 20 % ou plus de leur chiffre d’affaires.

Par leur agilité, et grâce à la formation et l’accompagnement de professionnels, les entreprises peuvent exploiter les innovations technologiques, faciliter l’engagement des consommateurs, et être en mesure de générer de grandes quantités de données pour les aider à repérer des problèmes, identifier de nouvelles lignes de produits et des opportunités de marché.

La fidélisation du client passe d’abord par une empathie business, une compréhension de ses envies. La captation comme la rétention du client passe notamment par une cohérence technologique de grande échelle. Nous accompagnons nos clients dans la création et la mise en place de solutions qui sont bénéfiques à l’intégralité de leurs business unit, où qu’ils soient dans le monde. Cette omnicanalité et cette cohérence globale, d’outils comme d’interface, permettent d’assurer un voyage client stable, sans accroche ni obstacle, pour inciter à rester sur la plateforme visitée. Selon une étude de Bain & Company, une augmentation de 5 % du taux de fidélisation des clients accroît les bénéfices de 25 à 95 %.

En phase avec leurs besoins, répondant aux attentes de leurs clients, les entreprises transitent aujourd’hui vers le Cloud non par nécessité mais par ambition. Notre rôle est de leur permettre d’accéder à cette nouvelle étape de leur évolution en garantissant une transition souple, fluide et fructueuse.

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Source de l’article sur sap.com