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Utiliser FaceIO pour développer le module d'authentification d'utilisateur d'une application web basée sur l'IA.

Utiliser FaceIO pour développer le module d’authentification d’utilisateur d’une application web basée sur l’IA est une solution innovante et sécurisée. Découvrez comment cela fonctionne!

Comment développer le module de connexion d’utilisateur du projet d’application Web à l’aide de l’interface de service AI tiers

Dans le passé, le développement des systèmes d’informations web application a nécessité une fonction module d’authentification d’utilisateur indispensable. La fonction d’authentification d’utilisateur comprend l’enregistrement et l’authentification de connexion des utilisateurs. Dans les méthodes de développement passées, la manière courante de réaliser le module de fonction d’authentification d’utilisateur est d’utiliser l’e-mail et le SMS pour vérifier. Maintenant, de nombreux ordinateurs des utilisateurs sont équipés de caméras, qui peuvent pleinement utiliser la technologie d’intelligence artificielle de reconnaissance faciale pour réaliser l’authentification d’utilisateur. J’ai utilisé la bibliothèque JavaScript de FaceIO pour mettre en œuvre l’authentification d’utilisateur dans le projet web app.

Cet article présente principalement comment développer le module de connexion utilisateur du projet web application à travers l’interface de service AI tiers. Le code source du projet web application a été téléchargé sur GitHub et est basé sur le protocole MIT. Il n’y a pas de restrictions.

En tant qu’informaticien enthousiaste, j’ai trouvé que l’utilisation de la reconnaissance faciale pour l’authentification d’utilisateur était très pratique. En outre, j’ai également constaté que la base de données des services AI tiers était très riche et complète. Cela me permet de trouver facilement les informations dont j’ai besoin pour le développement du projet web application. De plus, ces services AI tiers fournissent également des API très pratiques pour intégrer leurs fonctions à mon projet. Grâce à ces API, je peux facilement intégrer la reconnaissance faciale à mon projet web application et réaliser l’authentification d’utilisateur.

Source de l’article sur DZONE

Faciliter la construction des budgets et améliorer l’alignement entre les métiers, voilà les deux principaux objectifs que Solinest visait avec sa nouvelle solution de planification. SAP Analytics Cloud a été retenu pour répondre à ces besoins.

Solinest est un spécialiste du négoce de produits de grande consommation : confiseries, snacks, boissons et produits frais. Des articles qui peuvent être trouvés en devant de caisse et dans les rayons de 50.000 points de vente français : hypermarchés, supermarchés et commerces de proximité. La société alsacienne est également présente en Belgique et au Luxembourg.

Solinest distribue les produits de ses 40 marques partenaires, mais participe aussi au développement de marques de distributeurs et propose ses propres offres, comme la marque [N.A!]. Entreprise familiale et indépendante, Solinest compte 500 collaborateurs, pour 300 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel.

Comme toutes les sociétés œuvrant dans le secteur de la distribution, Solinest réalise de gros volumes de transactions avec de faibles marges, nécessitant un apport constant de nouveaux marchés. La réactivité est un des autres enjeux auquel est confrontée la société. Réactivité se traduisant par un besoin d’alignement permanent entre marketing, commerce, logistique, finance et direction.

« Le système d’information de Solinest est compact, avec un ensemble de solutions SAP et des interfaces simples : un ERP SAP ECC, un data warehouse SAP BW, SAP BPO et SAP Analysis », explique Franck Prevost, DSI du groupe. Ce SI met l’accent sur des technologies matures, avec un reporting effectué sur Excel et manquant donc de flexibilité. « Nous avions besoin d’un outil transversal facilitant les échanges entre directions et permettant d’adresser le budget et les prévisions. »

SAP Analytics Cloud et Censio Karamba

« Nous souhaitions trouver une solution adaptée dans le catalogue SAP, poursuit Franck Prevost. Nous hésitions entre SAP Business Planning and Consolidation (SAP BPC) et SAP Analytics Cloud (SAC). Nous avons alors cherché une société capable de mettre en place des POC afin de vérifier laquelle de ces deux solutions répondrait le mieux à nos besoins. Censio Karamba a été choisi pour créer ces démonstrateurs. Après analyse, nous avons opté pour SAC, car c’est une solution cloud accessible et agile, capable de faire tout ce que l’on attendait (construction de budget, simulations, indicateurs et tableaux de bord), tout en étant au cœur de la roadmap de SAP. »

Ce projet structurant est stratégique pour Solinest. Une attention particulière a donc été portée sur la définition du modèle et des nouveaux processus, et une réflexion a été menée sur les besoins en matière de simulation. Trois lots ont été définis :

  • Budget : un lot devant être mis en place en septembre 2020, pour permettre la saisie des budgets 2021 dans SAC. Une phase critique du projet.
  • Répartition du réel : ce lot nécessitant de disposer d’une année de référence, il a été décidé de le mettre en place après le budget.
  • Contribution consolidée : l’objectif est ici de définir ce que les marques Solinest (comme [N.A!]) apportent en tant que marque et au distributeur. Rolling forecast et processus IBP font également partie de ce lot.

De mars à septembre 2020, les équipes de Solinest et de Censio Karamba ont mis en place la connexion entre SAP BW et SAC, modélisé l’intégralité du P&L, pris en compte les inducteurs de prix et coûts (environ 200) et créé les états de restitution par couples pays-canaux. En parallèle, il a fallu accompagner et former les utilisateurs en vue de la campagne de saisie de données relative au budget 2021. « Cette étape était très importante, car nous voulions être en mesure de faire interagir quatre métiers : marketing, commerciaux, supply chain et contrôleurs de gestion », explique Franck Prevost. Soit 400 personnes à former. Cette tâche fut d’autant plus complexe que le télétravail était la règle pendant une grande partie de cette période.

Premier succès, avec le rendu du lot 1 dans les temps, permettant une saisie du budget 2021 dans SAC. Crise sanitaire oblige, le lot 2 a été reculé de novembre 2020 à janvier 2021. Enfin, le lot 3 a été livré en juin 2021. Au total, le projet aura duré près de 18 mois.

Des métiers qui gagnent en autonomie

Le premier bénéfice, c’est l’autonomie apportée aux métiers. Ils deviennent indépendants du contrôleur de gestion sur la saisie et la restitution des données, et de l’IT sur les aspects techniques. Dans le même temps, le rôle du contrôle de gestion évolue : « d’opérateur de saisie, il devient celui qui orchestre les processus budgétaires », note Franck Prevost.

Autre avantage apporté par SAP Analytics Cloud : il permet à tous les collaborateurs d’accéder au même niveau d’information, de partout. « Il n’est plus nécessaire d’attendre que le contrôleur de gestion ait produit ses restitutions pour accéder aux informations. Dorénavant, tout le monde a accès à la donnée, au même moment. »

Prochainement, Solinest envisage de basculer de SAP BW vers SAP BW/4HANA. Mais aussi de mettre en place de nouveaux outils de simulation dédiés aux commerciaux et des tableaux de bord destinés au comité de direction de l’entreprise. L’aventure SAP Analytics Cloud ne fait donc que commencer pour Solinest.

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Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

En triant de vieux cartons dans mon garage, mon fils est tombé sur ma collection de films des années 1980 et 1990. Tandis que je le regardais exhumer les cassettes VHS, les DVD et quelques LaserDiscs de cette capsule temporelle de ma jeunesse, j’ai réalisé à quel point nous avons rapidement cessé de stocker nos films sur des étagères pour nous tourner vers le visionnage en streaming à la demande, sur un seul et même terminal qui tient dans une poche.

Plus frappantes encore sont les leçons tirées de chaque évolution de la livraison à domicile. Certaines entreprises ont conservé des modèles économiques classiques, convaincues que toute nouveauté n’est qu’une passade. D’autres se sont adaptées à chaque fois qu’elles se sont senties réellement menacées par la concurrence.

Mais les entreprises qui ont réellement tiré leur épingle du jeu sont celles qui ont mis en place et pérennisé de vraies innovations transformationnelles, avec la volonté assumée de toucher de nouveaux marchés, d’attirer de nouveaux clients et de répondre aux demandes et aux attentes.

Malheureusement, la plupart des entreprises de taille moyenne n’ont pas encore assimilé cette leçon en matière d’innovation. D’après un Info Snapshot IDC sponsorisé par SAP, seules 18 % des entreprises interrogées jugent que la transformation de leur modèle économique est une priorité – ce qui suggère que la plupart d’entre elles comptent seulement réagir aux bouleversements du secteur.

« Globalement, les entreprises de taille moyenne n’accordent pas la priorité à l’innovation, même si la rapidité d’adaptation et l’évolutivité stratégique sont inscrites dans leur ADN », explique Jeremy Rader, directeur général Stratégie et solutions d’entreprise (ESS) des groupes Data Platforms (DPG) et Cloud & Enterprise Solutions (CESG) d’Intel. « Soyons réalistes : le temps, l’argent et les ressources sont déjà comptés. Mais la technologie cloud peut permettre de rendre l’innovation plus abordable et plus facile à gérer pour celles qui explorent de nouvelles opportunités de transformation, moins coûteuses, moins risquées, et découvrent ainsi de meilleures manières de rester compétitives. »

 

Une étape essentielle pour assurer la prospérité d’une entreprise

Les défis de gestion et les demandes du marché sont chaque jour plus complexes, substantiels, et de plus grande envergure. Mais plutôt que de suivre chaque nouvelle tendance en matière de produits, chaque évolution des clients ou chaque innovation de la concurrence, les entreprises doivent concevoir les produits et services dont leur clientèle a réellement besoin. Cela implique d’établir une passerelle entre le cycle de vie des produits et des données de qualité, prises en charge par une plateforme interconnectée dotée des fonctions de gestion, d’analytique et d’intelligence artificielle nécessaires pour les collecter, les intégrer et les contextualiser en temps réel.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Tendances 2022 en matière de biens de consommation : votre marque peut-elle offrir une satisfaction et un confort instantanés ? – Par Susan Galer

« Le plus grand obstacle à l’innovation est la crainte du changement et de l’échec », rappelle M. Rader. « Quand les gens sont capables de gérer, de protéger, de contextualiser et d’analyser des volumes considérables de données en toute confiance, ils ont toutes les clés pour obtenir des résultats plus significatifs, quoi qu’ils fassent. Tout cela commence par la mise en place d’une plateforme cloud interconnectée et fiable. »

Lorsque les données de différents services et fonctions (marketing, ventes, services, opérations et finances) sont intégrées, consolidées et recoupées avec la veille concurrentielle, les entreprises de taille moyenne sont mieux à même de justifier leurs investissements dans l’innovation produit. Elles peuvent alors établir le calendrier, les étapes, l’expertise et les technologies nécessaires pour concrétiser ces innovations d’une manière qui favorise la croissance.

Lorsqu’une entreprise obtient les bonnes données et sait comment en tirer les insights stratégiques dont elle a besoin, une culture de l’innovation commence à se mettre en place. Par exemple, les collaborateurs se mettent à surveiller étroitement les indicateurs de performance clés qui évaluent la demande de produits, la satisfaction client et les inquiétudes des services au regard des performances financières, de manière à pouvoir réagir plus rapidement et efficacement aux bouleversements.

 

Une innovation alimentée par les données pour garder une longueur d’avance

Les entreprises de taille moyenne ne peuvent pas se permettre de perdre du temps, ni de réaliser un projet d’innovation en se contentant d’espérer qu’il fonctionne. Mais ne pas innover est un risque encore plus grand dans un marché en constante évolution, rempli de clients qui en attendent chaque jour davantage.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment les entreprises de taille moyenne peuvent relancer leur activité, se développer et s’étendre grâce aux technologies avancées – Par un invité SAP

Et lorsque les entreprises accordent davantage d’attention à la qualité et à l’impact de ces données, l’innovation n’est plus reléguée au second plan, comme une activité dont chacun sait qu’elle est nécessaire sans pouvoir s’y consacrer. Il devient possible d’allouer les ressources adéquates à explorer les opportunités, expérimenter de nouvelles idées et renforcer son avantage concurrentiel.

Si vous souhaitez approfondir la question, regardez la rediffusion du webinaire sponsorisé par Intel sur la manière dont les entreprises de taille moyenne peuvent favoriser une culture de l’innovation, dans le cadre de notre série #ConnectGrowWin.

 

Par Richard Howells, vice-président Gestion des solutions pour la Supply Chain numérique, SAP

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Source de l’article sur sap.com

Plusieurs études ont démontré que les compétences numériques en France et en Europe ne sont pas assez développées, et que le secteur risque d’être confronté à un déficit important sur les toutes prochaines années. L’implémentation des solutions SAP fait appel à de l’expertise très recherchée depuis de nombreuses années, et encore plus aujourd’hui avec l’accélération de la transformation digitale des entreprises.

De nombreux projets d’implémentation et de déploiement ont toujours cours et les nouvelles installations nécessitent des ressources compétentes sur le déploiement dans le Cloud, le socle technologique SAP BTP (Business Technology Platform), les solutions applicatives et les analytiques de SAP. Nos clients ont le désir d’innover dans leur secteur à travers l’installation des solutions SAP et l’innovation, quelque soit le domaine, nécessite l’acquisition de nouvelles compétences. Le monde de demain appartient aux organisations apprenantes qui permettront à leurs employés de se former tout au long de leur carrière.

Plusieurs profils sont nécessaires pour mener à bien l’implémentation d’un système d’information ERP: chef de projet, architecte solution, consultant technique, développeur, consultant applicatif, business process owner, technicien support, utilisateur métier, formateur, etc. Les métiers de consultant applicatif, de business process owner ou de technicien support ne font pas forcément appel à une formation initiale dans le secteur du numérique telle que le développement, l’architecture ou l’administration de systèmes. Les consultants applicatifs sont en général recrutés et très appréciés pour leurs compétences dans un domaine métier de l’entreprise, tel que la Finance, les Ressources Humaines ou la Supply Chain par exemple et sont souvent issus des écoles de Management ou des formations universitaires en gestion. Certains de ces métiers s’exercent au sein des ESN (Entreprises du Secteur Numérique) et d’autres au sein des DSI des entreprises utilisatrices de SAP.
Devant le besoin massif de nouvelles compétences et afin de faciliter le recrutement et la formation des profils nécessaires à l’écosystème de partenaires et de clients, SAP Learning a mis en place plusieurs programmes de formation. La plupart de ces programmes mènent à une certification SAP , diplôme qui permet de faire valoir ses compétences auprès des employeurs et de rassurer les clients quant aux ressources intervenant dans les projets portés par les ESN. Être certifié SAP aujourd’hui, c’est disposer d’un atout majeur pour sa carrière et pour assurer une implémentation de qualité de nos solutions !

Dans cet article, nous faisons le point sur toutes les possibilités d’apprentissage des solutions SAP, qu’elles soient digitales ou encadrées avec un formateur, en vous partageant les avantages et caractéristiques des différentes options.

1- Plateforme digitale Learning.SAP.com

Afin de faciliter l’accès à la formation sur ses dernières technologies Cloud et BTP, SAP a mis à disposition une nouvelle plateforme digitale lancée lors du SAP TechEd en 2021 : Learning.SAP.com.

La plateforme s’enrichit régulièrement de nouvelles offres de formation et donne accès gratuitement à des e-Learnings très conviviaux et interactifs, développés avec le souci des meilleures pratiques pour les adultes apprenants. Le succès est indéniable avec plus de 470 000 visiteurs et 230 000 apprenants actifs à fin août 2022.

Les formations sont organisées par rôle et par niveau, et ciblent principalement les profils de développeurs sur la Business Technology Platform. Quelques formations sur les solutions applicatives Cloud et sur l’outil Signavio de modélisation des processus métier sont également disponibles.

Certains des parcours de niveau avancé proposés sur le portail mènent à une certification SAP, par exemple « Developping with SAP extension suite » , « Develop advanced extensions with SAP Cloud SDK » ou encore « Explore SAP Analytics Cloud ». Les formations de niveau débutant quant à elles mènent à un « Record of achievement ». Ces deux labels peuvent être partagés sur les réseaux sociaux afin de valoriser facilement ses compétences SAP.

Learning.SAP.com devient le portail d’accès unique à toute la formation sur les solutions SAP et réunit au même endroit tous les sites d’apprentissage tels que le SAP Learning Hub (plateforme par abonnement), le MOOC OPEN SAP, les sites des communautés ou le Training shop pour s’inscrire à une formation en salle.

Ce nouveau portail dispose également d’une zone étudiants , permettant aux jeunes de découvrir SAP et de leur présenter les carrières du secteur du numérique qui présentent de très belles opportunités. Les étudiants des écoles adhérentes au programme University Alliances peuvent accéder à de nombreux contenus de formation gratuits via ce nouvel espace étudiants. Ainsi, les étudiants peuvent acquérir des compétences SAP, voire même une certification , ce qui peut faciliter et accélérer leur première embauche.

Résumé des avantages du portail :  contenus de formation pour les profils techniques et développeurs, certifications SAP sur les dernières technologies BTP et Cloud, langue anglaise, auto-formation à son rythme, formation gratuite et tout le temps accessible, point d’accès unique à tous les sites d’apprentissage de SAP, zone étudiante.

2- Plateforme digitale SAP Learning Hub

Le SAP Learning Hub est une plateforme vendue par abonnement qui contient tout le contenu d’apprentissage sur les solutions SAP à destination de tous les métiers nécessaires aux projets. Différents formats sont disponibles sur cette plateforme : e-books, e-Learnings, tutoriaux, vidéos, contenus delta pour se former aux nouvelles versions et conserver sa certification à jour, etc. Les Learning Journeys présentent les parcours d’apprentissage permettant de mener aux certifications SAP.

Les apprenants sont accompagnés sur la plateforme par un encadrement pédagogique via les Learning Roomsoù ils peuvent poser des questions sur les contenus et échanger avec d’autres apprenants. De nombreuses Live sessions virtuelles permettent également de bénéficier d’interactions avec des formateurs et experts SAP pour faciliter l’apprentissage.

L’abonnement au SAP Learning Hub inclut l’accès à 60 heures d’un système de formation pré-paramétrépermettant ainsi de réaliser les exercices des manuels de formation et de mettre en pratique ses connaissances, ce qui est essentiel à l’ancrage des apprentissages. Deux tests de certification sont également inclus dans le coût de l’abonnement. Le SAP Learning Hub est aujourd’hui largement adopté par les partenaires pour leurs consultants et par les client pour leurs centres de compétences, et compte 800 000 apprenants abonnés .

Résumé des avantages du portail :  contenus de formation exhaustifs pour tous les profils métiers SAP, parcours de formation menant à toutes les certifications SAP, contenus disponibles en plusieurs langues, auto-formation à son rythme et tout le temps accessible, systèmes de formation pré-paramétrés, deux tests de certification inclus, formules de prix attractives adaptées et flexibles selon les besoins des utilisateurs.

3- Programme People To Work

Le programme People To Work a été créé en Allemagne il y a plus de 20 ans, a plusieurs avantages : recruter, former et certifier des consultants ou des utilisateurs métier, avec l’aide de financements gouvernementaux, ce qui permet de réduire les coûts de ces processus, voire de les annuler totalement pour les entreprises recruteuses. Les candidats sont en effet obligatoirement demandeurs d’emploi, inscrits à Pôle Emploi. L’ambition est de permettre à de jeunes diplômés de trouver un premier emploi à la fin de leur parcours d’études ou à des personnes ayant perdu leur emploi de se reconvertir vers un métier du secteur numérique.

Cette mission a été confiée à deux partenaire en France : FITEC et M2I Formation.

Ces deux partenaires se chargent de sourcer les participants au programme de formation auprès de Pôle Emploi, présentent les CV aux entreprises recruteuses, qui après acceptation du profil devront formuler une promesse d’embauche (financement Pôle emploi assujetti à cette condition).

La formation des consultants sur les domaines applicatifs SAP les plus demandés (SAP S/4HANA modules finance et logistique) dure 3 mois et peut mener à une certification. Elle peut inclure également des compétences complémentaires sur les métiers de la comptabilité ou de la logistique, de la gestion de projet, la réponse à un cahier des charges, la gestion de tickets de support aux utilisateurs ou la prise de parole en public par exemple.

La formation d’autres profils tels que les utilisateurs métier (comptables, gestionnaire de l’administration des ventes ou des achats) ou les techniciens de support est aussi assurée dans le cadre du programme People To work. La formation va essentiellement porter sur les processus métier déroulés dans les applications SAP et dure de 15 à 20 jours en présentiel ou de 3 mois en auto-formation accompagnée par un tuteur.

Les deux programmes consultants ou utilisateurs se déroulent en salle ou en classe virtuelle au choix, en langue française et les partenaires disposent du matériel de formation officiel de SAP traduit en français : accès à la plateforme de formation numérique SAP Learning Hub et systèmes de formation SAP pour la pratique des exercices.

Ce programme a été déployé en France à partir de janvier 2020 et a permis de former plus de 1200 personnes sur SAP, dont 460 consultants et 760 utilisateurs métier, et a remporté le Trophées Défi RSE en décembre 2021 pour sa dimension responsable et sociétale :  100% des consultants et 80% des utilisateurs ont retrouvé un emploi à l’issue de la formation.

Résumé des avantages du programme : recrutement, formation, certification, modules applicatifs SAP les plus populaires, langue française, formation des consultants et des utilisateurs métier, financement gouvernementaux et coût proche de zéro pour les entreprises.

4- Partner Talent Initiative

Le Partner Talent Initiative a été lancé en juin 2022. Géré par SAP au niveau européen, il a pour vocation de former de nouveaux consultants qui seront recrutés essentiellement par les partenaires de SAP. Le programme prend également en charge le recrutement des apprenants avec une cible plus large qui inclut des demandeurs d’emploi ou des personnes en activité souhaitant se reconvertir sur le métier de consultant SAP. L’apprenant est rémunéré pendant la durée de la formation. Le programme est payant pour les partenaires recruteurs, à un coût très avantageux compte tenu des prestations proposées.

Les formations portent sur les dernières technologies de SAP, incluant des modules de déploiement de la version Cloud de SAP : à titre d’exemple, les modules SAP S/4HANA Financial Accounting, SAP SuccessFactors et SAP BTP font partie du planning de cette fin d’année. Les formations s’étendent sur une durée de 5 à 8 semaines, selon les solutions SAP étudiées. La formation se déroule en langue anglaise, en classe virtuelle avec un animateur ainsi qu’en auto-formation sur la plateforme SAP Learning Hub.

Résumé des avantages du programme: Focus partenaires SAP, recrutement, formation, certification, solutions applicatives et nouvelles technologies SAP y compris Cloud et BTP, langue anglaise pour des déploiements internationaux, durée courte, coûts de formation attractifs.

5-  Académies Blended SAP – Programmes des centres de formation SAP

Les académies Blended SAP existent depuis de nombreuses années, sont délivrées par les centres de formation SAP pour former les consultants et permettent de mener à une certification. Elles peuvent se faire dans le cadre de la formation professionnelle des employés, et peuvent être financées par les OPCOs.

Les formations couvrent les sujets de paramétrage de SAP S/4HANA, mais aussi les sujets technologiques ou les analytiques, se déroulent en langue française, en salle de classe présentielle ou en classe virtuelle au choix, sur une durée de 3 semaines intensives. En prérequis, les participants devront étudier un ou deux modules SAP en auto-formation sur la plateforme SAP Learning Hub. Le dernier module de formation au paramétrage se fait également en auto-formation.

Résumé des avantages du programme : formation professionnelle des consultants, grande diversité de certifications SAP, langue française, programme rapide et intensif de 3 semaines en centre et de 3 semaines en auto-formation à son rythme, financements OPCO possibles.

En résumé, la formation SAP est flexible, moderne et accessible à tous, alors pourquoi encore hésiter à vous lancer et à rejoindre les nombreux professionnels déjà certifiés de notre écosystème à travers le monde ?

En résumé, voici dans un tableau toutes les options de formation présentées dans cet article :

Programme Public Contenus Durée Langue Modalité Recrutement Coût de la formation
Learning.SAP.com Développeurs et profils techniques SAP BTP et solutions Cloud A son rythme Anglais Auto-formation Non Gratuit
SAP Learning Hub Tous profils SAP Tous contenus SAP A son rythme Plusieurs langues Auto-formation encadrée Non Par abonnement, prix flexibles et attractifs
People To Work by SAP Consultants et utilisateurs métiers –

Demandeurs d’emploi

 

SAP S/4HANA FI MM SD 12 semaines Français Salle ou classe virtuelle avec formateur ou

Auto-formation encadrée

Oui Financement par Pôle Emploi
Partner Talent Initiative Consultants –

Reconversion professionnelle

SAP S/4HANA Applications

Cloud

BTP

SuccessFactors

5 à 8 semaines selon programme Anglais Classe virtuelle avec formateur + auto-formation encadrée Oui Financement partiel de SAP, Prix attractif pour les partenaires
Académies Blended Consultants – Salariés en formation professionnelle SAP S/4HANA Applications et plusieurs sujets technologiques 3 semaines avec un formateur et 3 semaines à son rythme Français Salle ou Classe virtuelle avec formateur + auto-formation encadrée Non Financement OPCO possible

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Source de l’article sur sap.com

SCM est un industriel indépendant né de la cession de la filiale oil and gas du groupe américain TE Connectivity. Suite à cette transaction, l’entreprise sarthoise avait un an pour basculer vers son propre ERP. Elle a opté pour une offre cloud SAP S/4HANA aux fonctionnalités resserrées sur l’essentiel, afin de tenir des délais de mise en place particulièrement courts. Avec l’aide des équipes de delaware, SCM a atteint ses objectifs en à peine 6 mois.

Une société presque centenaire, qui retrouve son indépendance

Systèmes et Connectique du Mans – SCM – conçoit, produit, teste, livre et installe des connecteurs électriques de puissance et optiques adaptés à des environnements extrêmes de corrosion, température et pression. La société travaille principalement pour des acteurs du secteur pétrolier et gazier (elle équipe notamment des plates-formes d’extraction en mer), mais également des clients des secteurs de la défense, du transport ferroviaire et de l’aéronautique. Elle s’appuie sur un site industriel moderne de 14.400 m². SCM emploie aujourd’hui environ 140 personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 20 millions d’euros.

L’histoire de SCM est intimement liée à celle de CKB (Carier Kheops Bac), entreprise reprise en 2012 par TE Connectivity. Lorsque le groupe américain annonce la délocalisation des activités de sa filiale, les salariés reprennent la main, avec le lancement de SCM en avril 2021. La filiale oil and gas de TE Connectivity utilisait l’ERP SAP ECC 6 du groupe. Suite à la cession d’actif, SCM disposait d’une année pour mettre en place son propre ERP.

Autre contrainte, la nécessité de basculer d’un système SAP conçu pour une multinationale et massivement customisé vers une solution plus simple, adaptée à une ETI française. Le tout dans un contexte de fin de vie programmée de SAP ECC.

Un projet mené à bien dans des délais records

Sur les conseils de SAP et de l’intégrateur delaware, SCM opte pour une migration vers une solution SAP cloud de dernière génération, au travers de l’offre RISE with SAP S/4HANA. Le projet démarre le 22 septembre 2021. Afin de limiter la conduite du changement, l’entreprise choisit de rester dans un premier temps en SAP GUI, comme le permet l’offre RISE with SAP S/4HANA. Les impacts du changement d’ERP sont ainsi minimisés. Un important travail de nettoyage des données a également été mené, afin de se concentrer sur les seules informations nécessaires au fonctionnement de la nouvelle structure.

Le démarrage du nouveau système a été effectif le 26 mars 2022, après seulement 6 mois de travaux. SCM a pu commencer à utiliser immédiatement son ERP SAP S/4HANA : émission des premières factures, enregistrement des réceptions de produits et des mouvements de stock, saisie des validations de qualité, etc. Aucun incident majeur n’a été remonté depuis ce lancement express de la solution SAP S/4HANA en mode cloud.

Satisfait de l’accompagnement proposé par delaware tout au long du projet, SCM a décidé de lui confier la tierce maintenance applicative de son ERP pour les 15 prochains mois. Dans un premier temps, la société s’appuiera sur cette TMA pour stabiliser son système d’information SAP et lui apporter quelques premières améliorations.

« Nous sommes passés d’un groupe international disposant de 90 sites dans le monde à une entreprise industrielle sarthoise d’un peu plus de 100 personnes. Il nous fallait un ERP adapté à ce nouveau contexte : une solution plus simple, capable d’aller à l’essentiel. Au cours du projet, nous avons pris le temps de déterminer quelles fonctionnalités nous étaient vraiment utiles et lesquelles étaient de l’ordre du confort (des sujets que nous étudierons ultérieurement) ce qui nous a permis de mettre en place notre nouvel ERP dans des délais particulièrement courts, » témoigne Frédéric Kleindienst, président de SCM.

« SCM est l’exemple d’une entreprise qui souhaite bénéficier de la force d’un ERP tel que celui de SAP sans y ajouter les contraintes. La nouvelle version S/4HANA Cloud de SAP est adaptée aux PME/ETI car elle allie une couverture fonctionnelle standard riche et une simplicité de gestion et d’utilisation de par son prisme SAAS. La binôme SAP – delaware permet de faire bénéficier à SCM d’un système reconnu partout dans le monde tout en y ajoutant la flexibilité et la réactivité attendues par une PME/ETI. C’est le modèle SAP tel que nous le définissons pour les 15 prochaines années à venir » déclare Lahcen Binoumar, Head of General Business, SAP France.

« Ce projet était un énorme challenge. Nous avons réussi à basculer vers l’ERP SAP S/4HANA en seulement 6 mois, alors qu’il faut habituellement entre 10 et 12 mois. Nous avons pu compter sur les équipes de delaware, qui nous ont accompagnés tout au long de ce projet, mais aussi sur nos équipes internes et nos utilisateurs, particulièrement matures sur l’environnement SAP. Afin de tenir les délais, nous avons opté pour un ERP resserré, que nous améliorerons par la suite, en lui ajoutant des fonctionnalités qui nous permettront de travailler encore plus confortablement, » détaille Mickaël Medard, directeur de programme, et supply chain Management, SCM

« Nous avons su mettre en place une solution de pointe, dans des délais particulièrement courts. Nous entretenons des relations étroites avec nos clients, afin de mieux comprendre leurs besoins et de leur apporter un service de qualité. La symbiose a ici été parfaite entre nos équipes, celles de SAP et de SCM. En optant pour l’offre RISE with SAP S/4HANA, la bascule vers le cloud a par ailleurs été grandement simplifiée, SAP devenant le point de contact unique pour la contractualisation, la mise à disposition et le maintien en conditions opérationnelles des infrastructures cloud, » résume Fatsah Nasri, chef de projet et Aymeric Fosset, Partner, delaware France.

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Dans un marché de la distribution en pleine transformation, le leader mondial des logiciels d’entreprises va ainsi permettre à l’acteur incontournable de la meunerie en France et à l’International de faire évoluer ses outils, pour répondre aux nouvelles évolutions commerciales.

Paris, le 15 septembre 2022 – SAP a été choisi pour participer à la transformation des outils CRM de Grands Moulins de Paris (groupe VIVESCIA). Initiée en novembre 2020, cette collaboration trouve son origine dans la nécessité pour Grands Moulins de Paris de simplifier et faciliter le pilotage de l’activité commerciale des équipes.

Créée en 1919, cette entreprise de meunerie a depuis toujours su se développer et innover pour satisfaire au mieux ses clients, s’ancrant également dans une démarche pour une alimentation responsable. Aujourd’hui, avec un marché de la boulangerie artisanale très concurrencé, Grands Moulins de Paris avait besoin de disposer d’une base de données centralisée en un seul et même outil, permettant d’avoir une meilleure connaissance à la fois de ses clients et prospects.

Depuis avril 2021, Grands Moulins de Paris bénéficie d’une plateforme SAP Sales Cloud qui met l’accent sur les services suivants :

  • un meilleur suivi de l’activité commerciale et de la flotte des commerciaux itinérants
  • une automatisation des processus de suivi client
  • une gestion facilitée et intelligente des données

Depuis la mise en place de ces outils intuitifs, le nombre de tickets informatiques a drastiquement réduit, et les retours des équipes utilisatrices au sein de Grands Moulins de Paris sont très positifs quant à la facilitation des tâches business.

Damien Loiseau, Directeur de Développement des Ventes chez Grands Moulins de Paris, déclare : « Nous comptons aujourd’hui 250 utilisateurs du nouveau CRM. En quelques clics, ils peuvent retrouver toutes les informations pour préparer une visite prospect ou accompagner leurs clients. Les fiches sont enrichies automatiquement d’informations légales et juridiques comme le nom du gérant, la solvabilité de l’entreprise, mais aussi des bons de livraison, commandes, factures, plan de livraison, etc. Nous disposons également de reportings clairs qui permettent désormais à chaque manager de suivre l’activité de son équipe en temps réel. L’outil facilite la recherche d’informations spécifiques au terrain, et toutes les activités nationales sont pilotées par des KPI. Ce nouveau CRM, c’est un gain de temps indéniable pour tous ! »

Samuel Gaudard, Account Executive Customer Expérience chez SAP, indique : « Nous sommes très heureux de la collaboration avec Grands Moulins de Paris. Ensemble, nous avons pu mettre en place les solutions les plus adaptées pour répondre rapidement et efficacement aux besoins uniques de leurs activités. »

Suite à un appel d’offre, SAP a su convaincre par la qualité de son service, son approche des coûts adaptée à la demande du client et la transparence des équipes en charge du projet. « Il nous fallait un outil fiable et simple à intégrer à notre SI existant », confirme Damien Loiseau.

Cet enjeu de CRM constitue la première étape d’un plan d’accompagnement complet entre SAP et Grands Moulins de Paris, qui se poursuivra avec l’intégration de la brique Service Client, puis de l’ensemble Marketing. Ainsi, à horizon 2023, l’expérience de Grands Moulins de Paris powered by SAP saura se montrer complète et cohérente pour aider à l’amélioration en temps réel de l’ensemble de ses services.

Visitez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter @SAPNews.

 

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Découvrez les saisons précédentes de la série de podcasts SAP intitulée « Parlons des données » dans nos précédents blogs sur la saison 5 et la saison 4.

Il est essentiel de créer un robuste socle de données et d’atteindre l’excellence en matière d’informations pour obtenir l’agilité d’entreprise nécessaire pour faire face aux changements et prendre rapidement les bonnes décisions stratégiques. Aider les équipes métier à mettre à profit leurs ressources de données et une remarquable réactivité pour optimiser la collecte et la communication de ces précieuses ressources est extrêmement utile pour renforcer l’efficacité au sein de l’entreprise et gérer de façon optimale les périodes de changements.

Nous avons donc réuni des experts en gestion et stratégie des données pour évoquer les sujets et tendances clés qui transforment la façon dont les entreprises exploitent les données pour libérer tout le potentiel de ces précieuses ressources.

Écoutez cette série de podcasts en anglais pour tout savoir sur les données !

Surveillez les nouveaux podcasts et rattrapez votre éventuel retard en la matière.

Écoute possible sur Spotify, SoundCloud, iTunes, PlayerFM ou YouTube.

Aperçu de la saison 6 : podcasts sur la stratégie de données, cas d’utilisation et solutions SAP associées

Ep. 58 — Partie 2 : Intégration de SAP Signavio Process Intelligence à SAP Data Intelligence

Cet épisode dit tout sur SAP Signavio Process Intelligence : le pourquoi, le quoi et le comment. Il aborde également l’intégration entre SAP Signavio Process Intelligence et SAP Data Intelligence.  Intervenants : Silvio Arcangeli, directeur principal SAP Signavio Process Intelligence, et Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions de gestion des données chez SAP.

Ep. 57 — Partie 1 : SAP et Signavio : le quoi et le comment

Cet épisode présente SAP Signavio. Il présente la solution ainsi que les éléments clés et la façon dont SAP et Signavio travaillent ensemble pour améliorer les processus.
Intervenants : Silvio Arcangeli, directeur principal SAP Signavio Process Intelligence, et Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions de gestion des données chez SAP.

Ep. 56 — Ce que le conseil d’administration doit savoir sur les données

Ce podcast porte sur les fondements nécessaires aux membres de conseils d’administration, en particulier ceux d’entreprises non natives des données, pour gérer les opportunités et risques majeurs, mener des examens plus approfondis, et assumer leur responsabilité de supervision axée sur les données. Écoutez Dr Thomas C. Redman, « le docteur Données », président de Data Quality Solutions, et Maria Villar, en charge de l’innovation en matière de gestion et de stratégie des données d’entreprise chez SAP, partager leurs précieux insights.

Ep. 55 — Les femmes dans le domaine des données

Rejoignez cette discussion interactive avec des femmes ayant toute une carrière en lien avec les données, dont Kristin McMahon, vice-présidente mondiale Solutions et marketing chez SAP, Corrie Brague, directrice principale Gestion des données chez SAP, Ina Felsheim, directrice marketing produits chez AWS, et Ginger Gatling, directrice principale Gestion des données chez SAP. Vous entendrez leur avis sur l’état actuel de la gestion des données, des conseils pour une carrière en lien avec les données et des insights sur l’importance de la promotion des données dans tous les secteurs.

Ep. 54 — SAP et OpenText : réduction des coûts, amélioration des performances et migration vers SAP S/4HANA avec solide retour sur investissement

Cet épisode concerne le traitement des documents, le partenariat avec OpenText et une récente étude axée sur le retour sur investissement évoquant la réduction des coûts, l’amélioration des performances et l’efficacité en matière de migration vers SAP S/4HANA.
Intervenantes : Sheila McCarthy, directrice mondiale du marketing et des solutions, et Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions SAP

Ep. 53 — Données et analytique SAP : cas d’utilisation client pour l’intégration des données

Ce podcast s’appuie sur l’épisode 51 évoquant les services de gestion des données disponibles dans SAP Business Technology Platform. Dans cet épisode, nous découvrons une entreprise disposant de données en silos, déconnectées et dépourvues de contexte commercial. Ce podcast explique comment SAP Business Technology Platform, et plus particulièrement les services de données et d’analytique, ont été utilisés pour ajouter un contexte commercial à la masse de données existantes afin de favoriser des décisions fiables.
Intervenants : Silvio Arcangeli, directeur principal Stratégie produits technologiques et plateformes chez SAP, Axel Schuller, responsable Solutions de gestion des données SAP, Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions de gestion des données chez SAP.

Ep. 52 — Rapprochement des données financières

Savez-vous que le rapprochement des données financières est incontournable dans tout projet de mise en œuvre SAP ? En quoi cela consiste-t-il et pourquoi est-ce nécessaire pour toutes les entreprises d’y prêter attention ? Rejoignez Syin Tan, Kevin Zheng, Lucas Morris et Sam Bannigan, représentants Pratiques relatives aux données chez Deloitte, qui évoquent les coûts, risques et exigences de conformité liés au rapprochement financier, et la façon dont ils ont mis à profit SAP Data Intelligence pour maîtriser ce facteur de réussite essentiel.
Intervenants : Kevin Zheng, spécialiste des données chez Deloitte Consulting, Syin Tan, spécialiste finance et données chez Deloitte Consulting, et Lucas Morris, spécialiste finance chez Deloitte Consulting.

Ep. 51 — Les meilleures façons d’exploiter les services de gestion des données avec SAP Business Technology Platform

Ce podcast explore les plus importants services de gestion des données disponibles sur SAP Business Technology Platform. Ces services incluent le catalogage des données et la gestion des métadonnées, l’intégration des données et le traitement des données. La façon dont ces services sont utilisés dans l’ensemble du portefeuille données et analytique de SAP Business Technology Platform sera également abordée. Rejoignez ce podcast pour découvrir les dernières innovations concernant les services de gestion des données et comment les mettre à profit.
Intervenants : Silvio Arcangeli, directeur principal Stratégie produits technologiques et plateformes chez SAP, Axel Schuller, responsable Solutions de gestion des données SAP, Ginger Gatling, directrice principale du marketing des solutions de gestion des données chez SAP.

Ep. 50 — SAP et Sodales : comment innover, créer et monétiser vos solutions SAP BTP Sodales Solutions crée des solutions pour la gestion EHS (Environnement, Hygiène et Sécurité) des entreprises et elle s’appuie pour cela sur SAP Business Technology Platform (SAP BTP). Grâce à son innovation continue et à sa mise à profit de SAP BTP, Sodales exploite chaque opportunité d’amélioration. Écoutez ce que ce « modèle en matière de SAP BTP » a à dire et découvrez son approche en matière d’innovation, mais aussi des réflexions concernant SAP Store, les critères d’embauche, etc.

Ep. 49 — Le problème oublié : comment gérer la croissance du volume de données tout en réduisant les coûts et les risques La croissance du volume des données s’accélère. Les coûts et les risques liés à la gestion de toutes ces données ne se limitent pas au stockage. Rejoignez Deepak Sood, PDG d’Auritas, et Robert Pickering, directeur principal Gestion des solutions Business Technology Platform chez SAP, qui expliquent comment et pourquoi gérer le cycle de vie des données tout en trouvant le juste équilibre en matière de coûts des ressources, propriété, risques et conformité légale.

Ep. 48 — Découverte de la valeur ajoutée de SAP BTP pour les partenaires, avec SAP, IDC et le partenaire SAP Rizing Dans cet épisode de podcast, vous entendrez des dirigeants de SAP, IDC et Rizing, partenaire SAP, évoquer la valeur ajoutée obtenue par les partenaires avec SAP Business Technology Platform (SAP BTP). Paul Edwards (directeur, canaux logiciels et écosystèmes chez IDC) mène une discussion particulièrement instructive avec Martin Stenzig(directeur de la technologie chez Rizing) et Tom Le (vice-président mondial Conseil en solutions partenaires, SAP), en abordant les conclusions du guide de la réussite partenaires IDC qui explore les accélérateurs opérationnels et technologiques offerts aux partenaires via SAP BTP. Les dirigeants abordent des sujets tels que la façon dont Rizing innove avec SAP BTP, le périmètre et l’impact de la plateforme sur la valeur du cycle de vie client, ainsi que les programmes SAP proposés pour assurer la réussite des partenaires avec SAP BTP. Pour en savoir plus, accédez au podcast dès maintenant.

Ep. 47 — Prévision du prix des produits de base avec SAP Data Intelligence Ratan Yedla et Sumanth Krishnan de VASPP Technologies évoquent le fonctionnement de la prévision des prix des produits de base avec SAP Data Intelligence. Ils abordent le recours à des modèles d’IA (intelligence artificielle) et de ML (Machine Learning) pour prévoir les futurs prix en fonction de modèles passés, d’événements externes et de données IoT, et expliquent combien mieux prévoir les prix, avec moins d’erreurs, permet de meilleures décisions d’achat et des économies pour les entreprises. VASPP Technologies a réalisé ce travail lors du sprint de contenus SAP Data Intelligence.

Ep. 46 — Création de l’automatisation intelligente de DataXstream avec SAP Data Intelligence Xilin Cheng et Kathleen Taggart de DataXstream évoquent la création de l’automatisation intelligente et les avantages du recours à SAP Data Intelligence pour les opérations de Machine Learning (MLOps). L’équipe aborde les difficultés rencontrées par le grossiste pour traiter un gros volume de devis et de commandes avec précision et efficacité. Traditionnellement, il fallait que des représentants du service client, comprenant SAP GUI et ayant des années d’expérience dans le secteur, passent des heures à saisir des données. Avec l’automatisation intelligente, la reconnaissance optique de caractères permet de lire du texte dans les modèles de Machine Learning créés par Xilin. Il évoque les techniques de traitement du langage naturel (TLN) utilisées, mais aussi les avantages du développement de pipelines de Machine Learning dans SAP Data Intelligence. Kathleen et Xilin évoquent pour finir l’avenir de l’automatisation intelligente et le potentiel qu’offre le Machine Learning pour remporter plus de contrats et améliorer l’expérience d’achat des clients.

Pour en savoir plus, consultez les ressources et informations supplémentaires disponibles ici :

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Source de l’article sur sap.com

Le Mayennais Diricks souhaite booster son activité services. Mais il lui faut pour cela s’équiper d’un outil de gestion des interventions. Pourvu d’un ERP SAP, l’industriel a opté pour la solution SAP Field Service Management.

Dirickx est le premier fabricant français de clôtures, portails et contrôles d’accès, à destination des particuliers comme des professionnels. Tissé, soudé, rigide, barreaudé ou sur mesure, Dirickx peaufine son savoir-faire depuis 100 ans déjà. La société emploie plus de 300 salariés et réalise 50% de son chiffre d’affaires au travers de la grande distribution : BigMat, Castorama, Leroy Merlin, Point.P…

En 2017, la société est reprise par des investisseurs belges, avant de devenir la filiale d’un nouveau groupe, PICOT, toujours implanté à Congrier, en Mayenne. En plus de son activité industrielle, le groupe assure des tâches d’installation et de maintenance, au travers de Dirickx Espace Clôture et de Dirickx Services.

Dirickx Services est une entité en pleine croissance. Fin 2021, elle faisait déjà travailler une dizaine de techniciens, mais avec un processus de gestion des interventions encore très basique. « Les fiches d’intervention étaient transmises sous forme papier à nos bureaux, qui se chargeaient de facturer le client, ce qui pouvait faire prendre jusqu’à une dizaine de jours, témoigne Laurent Dargelosse, Manager de Dirickx Services. Pour développer cette activité, il était impératif que nous options pour un outil capable d’accélérer la remontée et le traitement des informations de terrain. »

Un projet couronné de succès

Comme toutes les autres sociétés du groupe, Dirickx Services réalisait déjà sa comptabilité sur un ERP SAP. Il était donc logique d’y intégrer la facturation client, puis d’y rattacher un outil de gestion des interventions. La solution SAP Field Service Management (SAP FSM) est apparue assez rapidement comme un bon candidat pour gérer les opérations de maintenance réalisées sur le terrain.

« SAP FSM répondait à tous nos besoins, confirme Benjamin Subile, Responsable informatique chez Dirickx : gestion du planning des techniciens, enregistrement des temps, remplissage et signature de la fiche d’intervention, remontée de photos et notes, automatisation de la facturation dans l’ERP. Le tout à l’aide de tablettes qui accompagnent les techniciens sur le terrain. »

Dirickx cherchait un intégrateur SAP FSM capable de travailler en français. Une relation tripartite s’est mise en place, avec d’un côté Codilog, se chargeant des licences et de l’interaction avec SAP, et de l’autre l’entreprise Canguru, pour son expertise sur la solution SAP FSM.

Le projet a démarré en février 2021, avec une mise en production début décembre 2021. Le temps nécessaire pour permettre aux équipes de réaliser toutes les tâches requises : achever la bascule de Dirickx Services vers l’ERP SAP, activer le module de gestion des ventes, mettre en place SAP FSM, puis former les utilisateurs et les équiper en tablettes.

« L’un des points sensibles était la connexion de SAP FSM, qui est une solution cloud, à notre ERP SAP ECC, qui est déployé on premise, signale Benjamin Subile. Nous avons pour cela utilisé le connecteur standard proposé par SAP, qui permet aux deux solutions de communiquer de façon fluide. Cette intégration facilitée est un des avantages d’avoir opté pour une solution qui fait partie de l’écosystème SAP. »

Un outil rapidement adopté par les techniciens

Après une courte phase d’adaptation, les techniciens se sont approprié la solution. « S’ils ont pu être un peu sceptiques au départ, dès les premières utilisations, ils ont adopté l’outil, explique Laurent Dargelosse. Il leur permet de travailler plus efficacement et d’avoir une vision plus claire sur leur planning et leur stock. SAP FSM a apporté beaucoup d’améliorations pour les intervenants travaillant sur le terrain. »

Et il était temps, car l’entité Dirickx Services s’est fortement développée depuis début 2021, en passant de 13 à 18 techniciens, assurant chacun 2,5 à 3 interventions par jour. « Une telle charge n’aurait pas pu être gérée efficacement avec un processus papier », confirme le manager de Dirickx Services.

Cette croissance devrait se poursuivre, avec une vingtaine de techniciens d’ici la fin de l’année et un redécoupage du territoire français en trois régions, contre deux actuellement. Le groupe étant également très présent en Belgique, il envisage de développer l’activité Dirickx Services au Benelux, ce qui devrait – là encore – se traduire par de nouvelles embauches de techniciens de maintenance… lesquels seront équipés de tablettes connectées à SAP FSM.

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Source de l’article sur sap.com

Dans le cadre de sa transformation, le Groupe ISB investit dans un nouveau système d’information. La modernisation de son SI va s’effectuer par l’adoption de l’ERP SAP S/4HANA en mode cloud, avec l’offre RISE with SAP. Ce projet sera mené en partenariat avec NTT Data Business Solutions France (NDBS France).

Groupe ISB est un spécialiste du bois qui souffle cette année sa soixantième bougie. Acteur incontournable français des produits et solutions bois pour l’habitat et la construction, il est également spécialiste du rabotage de bois résineux en Europe.

L’entreprise s’appuie essentiellement sur deux marques fortes : Silverwood (bois rabotés : bardages, lambris, terrasses, etc.) et Sinbpla (trading de panneaux et bois résineux). Le groupe compte environ 430 collaborateurs, répartis sur différents sites : usines, hubs portuaires, plateformes logistiques et agences commerciales.

2015 : l’année de l’émancipation

Groupe ISB est né du rachat de la division Importation et Solutions Bois (ISB) de Wolseley par ses cadres en 2015. Suite au rapprochement en 2019 avec SCA Wood France, Benjamin Bodet a pris la direction générale du groupe et engagé la transformation d’ISB sur ses deux principaux métiers, qui sont l’importation et la transformation du bois. « Nous avons retravaillé tout d’abord notre modèle économique, puis notre organisation commerciale. Dans le cadre de notre plan stratégique Impact 2026, validé début 2022, nous avons notamment travaillé sur la création de valeur tout le long de la value chain, des pays producteurs à nos clients distributeurs et industriels. »

Groupe ISB a comme ambition de mettre sa politique RSE au cœur de ses activités, en proposant notamment des produits bas carbone, durables et toujours plus respectueux de l’environnement.

Le plan Impact 2026 comprend un volet visant à investir dans les solutions SAP avec comme projet clé l’adoption de l’ERP SAP S/4HANA. Un choix né d’une intense phase de réflexion : « Nous avons passé 18 mois à challenger les différents éditeurs du marché. La balance a finalement penché en faveur de SAP. C’est un environnement que nous connaissons bien, proposé par un acteur qui nous ressemble ; innovant et leader sur son marché. »

Un ERP nouvelle génération… en mode cloud

NTT Data Business Solutions France a été choisi pour accompagner le Groupe ISB dans la mise en place de l’ERP SAP S/4HANA, la méthodologie de travail proposée et l’expertise logistique NTT correspondant aux besoins du Groupe ISB, le logisticien du bois. Une solution que la société a souhaité construire depuis une feuille blanche et déployer en mode cloud, avec RISE with SAP. « Nous voulions disposer d’un outil global, capable d’intégrer au maximum nos processus, mais sans reproduire les défauts de l’ancien système, trop sur mesure, trop permissif et manquant parfois de rigueur, par exemple sur la gestion des données. »

« Opter pour SAP est un véritable challenge qu’on se sent prêt à relever, poursuit Benjamin Bodet. Cela va nous obliger à nous structurer. C’est aussi pour cela que nous avons choisi SAP. » La difficulté principale de ce projet reste d’adapter l’ERP aux spécificités d’un métier qui demeure particulier, le bois. « Notre approche consiste à coller au maximum aux standards de la solution, mais sans écarter toutefois la mise en place de processus spécifiques. Nous allons nous appuyer sur l’expertise en intégration de NDBS FRANCE pour cela. Mais il nous faudra rester raisonnables dans nos envies d’adaptation de l’outil. »

Le projet a été lancé en début d’année 2022 et devrait s’achever avec le go live de la solution SAP S/4HANA, programmé pour le 1er août 2023. 18 mois donc pour mettre en place un ERP au périmètre large (finance, contrôle de gestion, achat, vente, production et logistique) et couvrant toutes les entités du groupe.

Déjà des projets autour de l’ERP SAP S/4HANA

L’adoption d’une solution cloud devrait permettre de faciliter l’accès à l’ERP en France comme à l’étranger. « Nous avons des partenaires un peu partout dans le monde, explique Benjamin Bodet. L’un de nos projets serait par ailleurs d’intégrer SAP le plus en amont possible chez nos partenaires logistiques chargés d’exporter du bois en direction de nos hubs portuaires français. » L’objectif est de connaître au plus tôt et avec le plus de précision possible le contenu de chaque chargement, afin de mieux gérer les stocks et de mieux orienter les flux.

Autre sujet, le transport : « Nous affrétons 20.000 camions chaque année. Investir dans un module avancé de gestion des transports nous permettra de disposer d’une tour de contrôle de l’ensemble de nos flux, routiers comme maritimes, ce qui nous permettra de distribuer nos produits avec la road to market la plus directe possible. »

Dernier défi enfin, l’empreinte carbone, qui est au cœur du plan stratégique Impact 2026 de Groupe ISB. « Pour optimiser notre empreinte carbone, que ce soit lors de la production ou du transport, il nous faut des outils. SAP Product Footprint Management est une solution que nous souhaitons implémenter, car en nous donnant la capacité de mesurer l’impact carbone de nos produits elle pourrait nous apporter un net avantage compétitif et aligner avec les valeurs de notre entreprise que nous portons. »

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Source de l’article sur sap.com