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La plupart des pays industrialisés recyclent leurs déchets depuis déjà des décennies. Nous trions le verre, le plastique, le papier et le textile en les jetant dans les poubelles prévues à cet effet. Mais qu’advient-il ensuite de ces déchets ? En faisons-nous assez ? Et qu’en est-il des régions qui sont devenues des dépotoirs ou qui n’ont pas mis en place de systèmes de recyclage ?

Malgré nos efforts, près de 9 millions de tonnes de plastique sont déversés chaque année dans les océans en raison de notre modèle de consommation linéaire actuel Extraire, Fabriquer, Jeter.

L’entassement des déchets dans les décharges n’arrange rien. Pas moins de 1,3 milliard de tonnes de déchets sont mis en décharge chaque année et ce chiffre devrait grimper à 2,2 milliards de tonnes en 2025. Les dommages causés à l’homme, à la faune sauvage et à l’environnement sont considérables, mais nous pouvons prendre des mesures pour les atténuer.

Le cas des vêtements

Outre les déchets plastiques et électroniques, les textiles, notamment les textiles non biologiques, sont en grande partie responsables du problème. Selon l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA), les Américains jettent 13,1 millions de tonnes de textiles par an, dont 15 % seulement sont recyclés. Cela signifie que plus de 11 millions de tonnes de textiles sont déversés chaque année dans les décharges, libérant dans le sol des colorants et des produits chimiques qui contaminent les eaux souterraines et nuisent à l’environnement. Pire encore, à mesure que les textiles se décomposent, ils libèrent du méthane, un gaz à effet de serre nocif qui contribue de manière significative au réchauffement climatique.

L’industrie textile est la plus polluante après le logement, le transport et l’alimentation. L’apparition des achats en ligne a bouleversé nos habitudes. Aujourd’hui, les consommateurs commandent les articles en plusieurs tailles ou plusieurs couleurs, les essaient et retournent ce qui ne leur convient pas, ce qui crée de nouveaux défis pour les commerçants. De nombreux détaillants sont contraints de jeter plus de 25 % des articles retournés, soit des tonnes de marchandises neuves déversées chaque année dans les décharges.

Dans ce contexte, le secteur de la mode éphémère est soumis à de fortes pressions pour repenser sa stratégie de production et merchandising en vue de réduire les dommages écologiques.

Quatre gestes pour réduire les déchets

La protection de l’environnement relève de la responsabilité collective. Si les gouvernements, les consommateurs, les fabricants et les détaillants font leur part du travail, il est encore possible d’inverser la tendance. En tant que citoyens et consommateurs, nous avons un rôle important à jouer.

Nous pouvons tous refuser d’acheter des articles en plastique à usage unique, des produits vendus dans des emballages superflus ou des vêtements bon marché qui finissent dans des décharges après avoir été portés une ou deux fois.

Nous pouvons réduire les déchets en évitant d’en générer, par exemple en réduisant le volume des marchandises achetées en ligne, puis retournées au vendeur. Pour ce qui est de la réutilisation, cette pratique est en plein essor. Des friperies aux associations caritatives, il existe de nombreux moyens de remettre des textiles, meubles et appareils sur le marché plutôt que de les déverser dans les décharges.

Enfin, le recyclage doit être l’objectif ultime. Il permet non seulement de réduire la dépendance à l’égard des matières premières, mais il crée des emplois et diminue l’impact de notre société de consommation sur l’environnement.

Toutefois, il existe encore un énorme fossé entre ce que nous aspirons à faire en tant que consommateurs et notre comportement au quotidien.

Même si plusieurs études, telles que l’enquête sur les emballages plastiques de 2017 réalisée par l’institut britannique de sondage Populus, confirment la motivation des consommateurs à mieux gérer leur consommation et leurs déchets de matières plastiques, il reste encore beaucoup à faire. Par exemple, les étiquettes d’emballage sont souvent source de confusion et la communication des collectivités locales sur les options de recyclage disponibles n’est pas suffisamment claire.

Une participante à une enquête a donné un excellent exemple de la complexité à laquelle les consommateurs sont confrontés lorsqu’ils tentent d’adopter les bons gestes. « J’ai effectué des recherches sur les couches biodégradables, qui me semblent être une bonne idée », a-t-elle déclaré. « Mais apparemment, ces couches peuvent uniquement être recyclées dans un composteur. Si elles sont mises en décharge, elles produisent du méthane, ce qui est réellement nocif pour l’environnement. »

Le défi de SAP concernant les matières plastiques

S’agissant des matières plastiques et de la pollution qu’elles engendrent, une manière de résoudre le problème serait de les éliminer tout simplement de la chaîne logistique.

L’an passé, l’équipe SAP Leonardo a lancé un projet d’innovation collaborative dans le cadre du UK Plastics Pact de WRAP afin de trouver de nouvelles solutions face au problème de pollution plastique. L’initiative a débuté par une enquête ethnographique visant à déterminer comment les citoyens perçoivent le défi de la pollution plastique. Sur la base des résultats de l’enquête, cinq personas ont été développées pour représenter les attitudes et comportements qui prévalent aujourd’hui dans la société britannique, depuis les sympathisants jusqu’aux ardents défenseurs de l’écologie.

Plusieurs thèmes sont ressortis de cette étude : le devoir de réduire la consommation de matières plastiques, la confusion et les mythes sur le recyclage, la nécessité d’apprendre et de répondre de manière appropriée et, enfin, la nécessité de sensibiliser.

Dans le cadre de la deuxième phase du projet, un marathon de programmation et une session de conception créative organisés sur trois jours ont rassemblé des experts et des innovateurs de SAP et de grandes entreprises internationales comme Unilever, HSBC et Deliveroo. Les équipes ont été invitées à concevoir des prototypes de produits et services autour des cinq thèmes pour les différents personas. Les prototypes sont en cours de développement et de test dans une phase d’incubation. Les solutions visant à éliminer le plastique seront présentées à l’occasion de l’exposition collective Design Frontiers, qui se déroulera au London Design Festival en septembre prochain.

Autres bonnes nouvelles

Pour ce qui est de la gestion des déchets industriels et ménagers, le lot d’efforts déployés varie d’un pays à l’autre. La Suède importe à présent des déchets, car moins de 1 % de ceux générés dans le pays se retrouvent dans des décharges. Le reste est recyclé ou brûlé pour chauffer les maisons. Le processus est tellement efficace que la Suède s’est mise à manquer de déchets et a commencé à en importer auprès de pays voisins pour alimenter son programme national de valorisation énergétique.

L’Allemagne est un autre exemple : sur les 45,9 millions de tonnes de déchets ménagers produites en 2017, seules 0,5 million de tonnes ont été mises en décharge grâce aux directives de l’UE, à des réglementations nationales strictes en matière de gestion des déchets et à des installations de traitement des déchets de pointe. La ville de Heidelberg, par exemple, a ajouté des capteurs intelligents à ces bacs à ordures et les a connectés à la solution SAP Connected Goods. La ville dispose désormais d’une visibilité en temps réel sur l’état des déchets, ce qui réduit le nombre de camions à ordures sur la route, en éliminant le ramassage inutile et le remplissage excessif. Cela a également contribué à la réduction du bruit, du trafic et de la pollution.

On constate aussi des progrès dans le Global Fashion Agenda. À la fin du premier semestre de l’année dernière, l’Engagement 2020 en faveur du système de mode circulaire avait été signé par 94 entreprises représentant 12,5 % du marché mondial de la mode. Ces entreprises se sont engagées à collecter et revendre des vêtements et des chaussures, de même qu’à accroître la part de vêtements et chaussures fabriqués à partir de fibres recyclées. Elles ont également promis de rendre compte des progrès annuels et, plus important encore, de transformer leurs pratiques commerciales linéaires actuelles.

De plus en plus d’entreprises prennent conscience des avantages d’une approche circulaire et de plus en plus de consommateurs réclament des produits et services plus durables. Dès lors, il est encore possible d’inverser la tendance.

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Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

SAP.iO Foundry Paris lance un nouvel appel à candidatures pour son programme d’accélération de startups orientées agri-business. Cette 6ème promotion de l’accélérateur de startups de SAP retiendra 6 à 10 pépites tech et Agtech pour son programme de 10 semaines débutant en avril 2021. Les startups françaises mais aussi européennes peuvent candidater dès aujourd’hui jusqu’au 31 janvier 2021. Un autre appel à candidature est ouvert aux startups Greentech Françaises pour ses programmes de Berlin et Munich.

Un programme Agribusiness à Paris pour impacter durablement l’industrie agroalimentaire

Cette nouvelle promotion regroupera 6 à 10 startups innovantes souhaitant avoir un impact positif et durable dans l’industrie agroalimentaire. Les jeunes pousses seront retenues pour leurs technologies et leurs approches novatrices en matière de transition écologique. Aux côtés de cadres et mentors SAP, les startups travailleront sur plusieurs pans de l’industrie agroalimentaire tels que :

  • L’agriculture numérique et l’agriculture au travers de l’utilisation des données;
  • La mise en place des processus d’agriculture de nouvelle génération;
  • Les chaînes d’approvisionnement responsables pour l’agroalimentaire.

Les startups sélectionnées devront également répondre à plusieurs enjeux, comprendre l’univers SAP pour construire une relation business de confiance et créer une intégration technique entre leur solution et celles de SAP. Tout au long du programme, les startups pourront profiter du programme SAP PartnerEdge et rencontrer des clients de SAP.

Après deux années de succès, SAP.iO Foundry Paris se développe et ouvre ses portes à des startups européennes, tout en gardant le même objectif : dénicher les meilleures startups pour répondre au mieux aux besoins et aux attentes de la société et de l’industrie.

En raison de la situation sanitaire le programme se déroulera en mode virtuel

Candidatures : https://sap.io/startupapplication/

Un programme Greentech à Berlin et Munich ouvert aux startups françaises

Les accélérateurs de SAP.iO à Berlin et Munich sont également à la recherche de startups françaises pour son programme “Sustainable Future” qui débutera dès mars prochain. Les startups retenues devront être actives dans les domaines suivants :

  • Suivi et courtage du carbone : mesure du carbone au sein et entre les entreprises au niveau du produit pour aider à la décarbonisation. Monétisation des investissements carbone.
  • Efficacité des ressources : optimiser l’utilisation des ressources rares telles que l’eau et les actifs existants.
  • Suivi et atténuation des risques climatiques : suivi des risques dans la chaîne d’approvisionnement et les communautés. Tirez parti des données en temps réel sur la météo et les risques géopolitiques pour prévoir les perturbations de la chaîne d’approvisionnement
  • Économie circulaire : recyclage et réutilisation de ressources clés telles que les plastiques et les métaux

Candidatures : https://sap.io/startupapplication/

Avoir un impact positif sur l’environnement

Ces deux nouvelles promotions renforcent l’engagement de SAP, premier éditeur de logiciels aux derniers indices de durabilité Dow Jones, en faveur du développement durable. En décembre dernier, un baromètre* SAP et Odoxa révélait que 9 Français sur 10 se disent concernés par l’avenir de, la planète.

*Retrouvez l’intégralité du baromètre ici.

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Source de l’article sur sap.com

Les entreprises créent des plateformes ouvertes qui permettent aux clients de participer à tous les aspects de l’expérience, à la fois de manière active et de manière passive.

Le succès des plateformes ouvertes

Les clients ne se contentent plus d’être de simples consommateurs de biens et services, ils font partie intégrante du business model. Lorsqu’ils contribuent à la conception, production, commercialisation et utilisation de produits et services, la participation des clients est active. Quand ils acceptent de laisser les entreprises utiliser leurs données pour formuler et fournir des produits et services qui leur sont destinés, elle est passive.

Quoi qu’il en soit, les entreprises ne peuvent survivre sans créer des plateformes de données qui encouragent à la fois la participation active et passive des clients au développement de produits, de services et à l’expérience globale. Contrairement aux référentiels de données classiques qui ne servent qu’aux entreprises, ces plateformes ouvertes offrent de la valeur aussi bien aux clients qu’à l’entreprise.

Par exemple, plutôt que de devoir atteindre attendre la prochaine version d’une application de suivi alimentaire ou de cuisine, les clients ont accès à des plateformes ouvertes où les utilisateurs peuvent ajouter de nouveaux aliments, de nouveaux produits et de nouvelles recettes que d’autres personnes peuvent rechercher et utiliser. Les entreprises agroalimentaires et culinaires boostent la fidélité des clients et parviennent à développer leur plateforme de manière exponentielle, ce qui nécessite que très peu d’investissements supplémentaires.

Toutes ces données offrent aux entreprises agroalimentaires des informations inestimables sur la façon et l’endroit les plus adaptés pour développer leur activité. La plateforme devient le socle de l’entreprise et fournit une visibilité incroyablement riche sur le client, ce qui permet de définir une orientation
stratégique pour l’avenir.

D’autres entreprises, comme les fournisseurs de matériels agricoles ou fabricants de réacteurs d’avions, créent également des plateformes qui surveillent leur utilisation et encouragent la participation. Au fur et à mesure que ces plateformes deviennent plus intelligentes et que de nouvelles fonctionnalités sont ajoutées, la participation devient plus facile, créant ainsi un cercle vertueux. En échange de leur créativité et de leur expertise, les clients s’attendent à recevoir de meilleurs produits et services, bien sûr, mais apprécient aussi le statut, la reconnaissance, le sentiment d’appartenance et le sens issus de leur contribution à quelque chose qui leur tient à cœur.

Les clients s’attendent de plus en plus à contribuer à leur expérience des quatre façons suivantes :

En tant qu’utilisateurs

Les entreprises les plus performantes intègrent désormais les données client à l’expérience client, ce qui permet aux clients d’en tirer directement parti. Avant, par exemple, les montres connectées constituaient à elles seules l’expérience. Aujourd’hui, ce sont des dispositifs d’entrée qui alimentent les plateformes de données afin que les clients puissent profiter d’expériences beaucoup plus riches qu’ils ne pourraient le faire avec le dispositif seul (par exemple, records personnels, concours collectifs, rencontres et partage d’itinéraires).

En tant que créateurs

Les entreprises mettent des plateformes numériques à disposition du client pour libérer son imagination. Plutôt que de laisser les clients attendre la prochaine version de leur jeu vidéo, par exemple, les éditeurs créent des plateformes ouvertes sur lesquelles les joueurs peuvent créer de nouveaux niveaux et modules à destination de toute la communauté. D’autres permettent aux clients de suggérer de nouveaux concepts de produits.

En tant que producteurs

Les clients contribuent activement à la fabrication de produits. Par exemple, si les systèmes d’énergie renouvelable permettent aux clients qui produisent de l’électricité excédentaire de la vendre au réseau, les fournisseurs de repas en ligne livrent quant à eux aux clients des ingrédients et instructions pour qu’ils préparent eux-mêmes leurs repas à la maison (quoi de plus important qu’un repas fait maison et pris en famille ?).

En tant que soutiens

Les clients privilégient de plus en plus les entreprises qui leur permettent d’être actifs, de participer visiblement aux trois 3 R (réduction, réutilisation et recyclage) et à des programmes de recommerce (ou commerce inversé) (9). Les produits pouvant être facilement reconvertis, revendus, démontés et recyclés donnent satisfaction aux personnes préoccupées par le changement climatique, d’autant plus que les trois R sont en train de devenir un enjeu moral pour un nombre croissant de clients (voir « Les valeurs définissent la valeur »).

Quelles sont les étapes suivantes pour votre entreprise ?

Créez de la valeur à partir de la participation passive

Généralement, les clients acceptent de fournir leurs données en échange de valeur, surtout s’ils n’ont rien à faire. Par exemple, après avoir obtenu l’autorisation des clients d’accéder à leurs données bancaires et de carte de crédit, les sociétés financières utilisent des algorithmes de Machine Learning, des outils d’analyse et d’immenses référentiels de données pour créer des rapports d’investissement pertinents, sans que les clients n’aient à bouger le petit doigt.

De la livraison de produits finis à la mise à disposition de plateformes ouvertes

Appréhendez les clients comme de véritables partenaires, capables de participer à n’importe quelle étape de la chaîne de valeur. Donnez-leur les moyens d’agir avec une partie du produit, comme des jeux vidéo en ligne ouverts ou des services de repas qui permettent aux clients de préparer eux-mêmes leur repas. Engagez-vous dans un concept de copropriété à long terme en collaborant avec vos clients et d’autres entreprises, et en prenant soin de vos clients.

Expliquez la contrepartie

Expliquez clairement au client la valeur qu’il reçoit en échange de ses contributions à la chaîne valeur. L’expression créative, les liens communautaires, la reconnaissance et les expériences personnalisées, en plus de la valeur du produit lui-même, sont des exemples de ce que les clients pourraient obtenir.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références

(9) Alissa Marchat, “Consumers Prefer Reverse Vending Machines for Bottle Recycling, Survey Finds,” The Shelby Report, April 27, 2018, http://www.theshelbyreport.com/2018/04/27/consumer-recycling- preference-survey/. Brandon Gaille, “27 Recommerce Industry Statistics and Trends,” Brandon Gaille, January 22, 2018, https://brandongaille.com/27-recommerce-industry-statistics-and-trends/.

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Source de l’article sur sap.com

Avec son réseau mondial, SAP co-innove dans des domaines cruciaux tels que l’éducation et l’accès à la technologie, afin d’aider le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie des gens. En des temps comme aujourd’hui, de nouvelles voies d’innovation sont nécessaires – et parfois, ce sont les plus petits d’entre nous qui nous surprennent le plus.

Le mois dernier, des élèves de sixième et de septième année (secondaire) au Danemark ont ​​eu la possibilité de participer à des cours pour apprendre le codage virtuel grâce à une collaboration entre l’Association danoise de l’industrie (ITC), certains de ses membres et Sofaskolen ou «l’école du canapé».

Ils proposent quotidiennement des tutoriels virtuels en direct gratuits pour les élèves du primaire, depuis la crise du COVID-19, sur YouTube et sur la chaîne de télévision nationale TV2. Sofaskolen a contacté l’Association danoise de l’industrie ITC pour créer une classe de code virtuelle.

SAP Danemark est un membre fondateur du concept de classe de code et soutient depuis 2016 le projet visant à combler le déficit de compétences numériques. C’est la première fois que la classe de code est proposée de manière virtuelle.
Avec NNIT, membre fondateur du concept classe de code, et Netcompany, un partisan du concept, ont défié la créativité des enfants sur trois thèmes :
  • Code for the Climate: SAP a demandé aux étudiants de développer une solution qui nous permet de mieux gérer le climat, par exemple via une application ou un jeu qui prend en charge le recyclage ou aide à éviter le gaspillage alimentaire. Pour préparer les enfants, ils avaient été initiés à la pensée de conception de base et au codage Scratch la veille.
  • Code for the Body: le NNIT voulait que les élèves trouvent une solution qui nous fasse bouger davantage, car trop de gens s’assoient sans vraiment bouger. Cette solution pourrait, par exemple, être une application ou un jeu qui apporte de l’exercice au travail ou du mouvement dans une journée d’école, de manière amusante.
  • Code for Love: Netcompany s’est concentré sur le fait que de nombreuses personnes sont trop seules, en particulier en ce moment pendant cette période de confinement. Ils ont demandé aux élèves de trouver des solutions qui mettent les gens en contact, par exemple, à travers une solution qui permet aux grands-parents et petits-enfants de mieux se connaître, ou qui permet aux voisins de découvrir qu’ils ont des intérêts communs.

Pendant trois jours, les étudiants ont travaillé en petits groupes virtuels sur l’une des questions ci-dessus. À la fin du cours, les idées ont été présentées aux entreprises qui leur ont fourni un retour d’information sur leurs solutions créatives, à l’instar de l’émission de télévision « Dragons Den ».

Louise Ferslev, PDG de MyMonii et connue de l’émission télévisée «Løvens Hule», la version danoise de «Dragons Den» (programme dans lequel les entrepreneurs présentent leurs idées commerciales à un panel d’investisseurs), a entraîné les enfants sur la manière de présenter leurs idées aux entreprises.

Bien que l’enseignement se soit déroulé dans un environnement virtuel sur sofaskolen.dk une initiative d’éducation en ligne gratuite de COVID-19 d’Alinea, il y a eu beaucoup d’interaction pendant la semaine et les organisateurs ont été impressionnés par la variété des idées et la qualité des présentations et des techniques vidéo proposées par les élèves.

Une nouvelle génération courageuse, avisée en matière de technologie et sensibilisée à l’environnement, est en route.

En savoir plus sur l’objectif et la promesse de SAP: https://www.sap.com/corporate/en/purpose.html

Posté initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com