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Concevoir et réaliser des tests numériques pour applications mobiles

Je suis passionné par la conception et la réalisation de tests numériques pour les applications mobiles. Je vais partager mes connaissances et mes techniques pour vous aider à améliorer vos tests.

H2: L’écosystème des expériences numériques à venir est propulsé par le mobile

Avec l’environnement numérique de plus en plus complexe, les marques doivent s’adapter aux besoins de leurs clients à travers divers appareils, plateformes et canaux. Cependant, avec des ressources limitées, les marques ont tendance à choisir des emplacements établis pour servir leurs clients. Selon une enquête de Forrester, les dirigeants développent des expériences personnalisées pour les appareils les plus populaires des consommateurs, donnant la priorité aux canaux plus établis tels que les sites Web et les applications mobiles. Les marques optimisent également leurs sites Web pour une utilisation mobile, tandis que les applications mobiles offrent une occasion d’engagement plus fréquente avec les clients. Malgré la disponibilité de nombreux produits numériques, les entreprises mettent toujours l’accent sur les expériences numériques Web et mobiles. Pour offrir une expérience mobile supérieure et bien servir vos clients mobiles, il est nécessaire de procéder à des tests numériques pour les applications mobiles. Dans ce blog, nous expliquerons pourquoi les tests numériques sont essentiels pour les applications mobiles, comment ils diffèrent des applications Web et comment concevoir et effectuer des tests numériques pour les applications mobiles.

Le mobile est le moteur de l’avenir des écosystèmes d’expérience numérique

Les appareils mobiles sont devenus un élément familier de la vie quotidienne pour des millions de personnes. Dans le monde entier, des appareils dotés d’une connexion Web tels que les smartphones et les tablettes sont devenus des outils essentiels pour la communication, l’information et le divertissement. Selon Statista, en 2022, le nombre d’utilisateurs uniques d’Internet mobile était de cinq milliards, ce qui indique que plus de 60 % de la population mondiale d’Internet utilise un appareil mobile pour se connecter en ligne. La possession et l’utilisation d’Internet mobile sont prévues pour continuer à croître dans le futur car les technologies mobiles deviennent plus abordables et accessibles que jamais. Cette tendance à la hausse de l’adoption d’Internet mobile est évidente dans les marchés numériques en développement où les réseaux mobiles sont le principal moyen d’accès à Internet. Le trafic Internet mobile représente environ 60 % du trafic Web. En revanche, dans les marchés axés sur le mobile comme l’Asie et l’Afrique, les connexions mobiles représentent une part encore plus importante des pages Web consultées.

L’architecture mobile est essentielle pour fournir une expérience numérique optimale

L’architecture mobile est essentielle pour fournir une expérience numérique optimale. Les entreprises doivent comprendre comment leurs clients interagissent avec leurs produits et services à travers leurs appareils mobiles et comment ces interactions peuvent être améliorées. Les marques doivent s’assurer que leurs applications mobiles sont conçues pour fonctionner correctement sur différents appareils et systèmes d’exploitation. Une architecture mobile réussie implique une stratégie de conception cohérente et cohérente qui tient compte des différents facteurs tels que la taille de l’appareil, la résolution, la connectivité et la plate-forme cible. Les entreprises doivent également prendre en compte la vitesse et la fiabilité du réseau lorsqu’elles développent des applications mobiles afin de garantir une

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L’arrivée de SAP S/4HANA 1809 a donné à Groupe Atlantic l’opportunité de basculer vers une gestion du transport totalement intégrée. Une offre qui a été déployée avec succès sur les deux principaux sites de distribution français du groupe.

En conservant son esprit d’entreprise familiale, Groupe Atlantic connaît une croissance fulgurante qui lui vaut aujourd’hui d’être devenu un acteur international, leader européen des solutions de confort thermique.

Le catalogue de l’industriel comprend des solutions à destination des particuliers comme des professionnels, avec des produits dédiés au chauffage, à la production d’eau chaude sanitaire, au traitement de l’air ou encore à son rafraîchissement. Le tout étant distribué sous un grand nombre de marques reconnues, dont – en France – Atlantic, Sauter ou encore Thermor.

Groupe Atlantic est aujourd’hui présent sur 4 continents, avec 31 sites industriels et une très forte présence sur le sol français. Il fait travailler 11.600 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel de 2,7 milliards d’euros. Un CA qui a été doublé en seulement 6 ans !

Pour maintenir cette dynamique, l’industriel se doit de desservir ses clients avec toujours plus d’efficacité. Groupe Atlantic dispose de deux principaux centres logistiques en France : à l’ouest celui de La Roche-sur-Yon (le siège du groupe) et à l’est celui de Saint-Louis, Atlantic Logistique Est.

Aller vers toujours plus d’intégration

William Guillet est Business Process Owner Logistique chez Groupe Atlantic. Dès 2017, il a été chargé de travailler à l’intégration de SAP Transportation Management (SAP TM) dans le nouveau système d’information du groupe, centré sur l’ERP SAP S/4HANA. L’objectif était de disposer d’un outil solide permettant d’organiser la logistique aval du groupe : expéditions comme retours.

« SAP S/4HANA 1809 a introduit une version embarquée de SAP TM. Nous y avons vu l’opportunité de disposer d’une solution de gestion de la logistique mieux intégrée à l’ERP, mais aussi à notre outil de gestion des entrepôts SAP EWM. Il s’est avéré toutefois difficile de trouver des experts SAP TM capables de nous accompagner sur ce projet. Après une phase de prise de contact, il est apparu que NTT DATA Business Solutions saurait répondre à nos besoins. » William Guillet Business Process Owner Logistique

Groupe Atlantic décide tout d’abord de doter sa jeune filiale Atlantic Logistique Est (ALE) de cette version totalement intégrée. Un projet démarré en août 2020, avec comme objectif un déploiement en janvier 2022.

« Nous sommes repartis de zéro, mais tout en conservant les processus que nous avions éprouvés avec la version standalone de SAP TM, poursuit William Guillet : gestion du fret, calcul des coûts de transport, etc. Nous avons conservé les processus déjà en place, en améliorant certaines fonctionnalités et en en introduisant d’autres, comme Optimizer (planification et optimisation des transports). Nous avons également mis en place de nouvelles intégrations permettant à SAP TM et SAP EWM (gestion des entrepôts) de se parler directement, sans passer par l’ERP. »

Un second déploiement à La Roche-sur-Yon

Après ce premier succès, Groupe Atlantic programme le déploiement de SAP TM sur son site de distribution de La Roche-sur-Yon. Le plus important de France, avec plus de 1000 salariés. « Nous avons apprécié alors l’expertise de NTT DATA Business Solutions, qui a travaillé avec nous sur des améliorations conséquentes de la solution, permettant de mieux couvrir les besoins métiers exprimés par nos équipes. »

Le déploiement de la solution sur le site de La Roche-sur-Yon est effectif depuis avril 2022. Trop tôt donc pour en mesurer les bénéfices. « Le plus gros des difficultés rencontrées a été aujourd’hui solutionné et nos référents métiers sont unanimes sur un point : ils ne reviendraient pas en arrière, précise William Guillet. Comme notre activité logistique ne ralentit pas – elle va même connaître un pic avec l’arrivée de la période de chauffe – nous comptons sur SAP TM pour accompagner l’évolution de notre supply chain, ainsi que la croissance de Groupe Atlantic. »

Avec ce déploiement, la relation avec les équipes de NTT DATA Business Solutions arrive à son terme… pour le moment. SAP TM est en effet intégré dans le core model de l’environnement SAP S/4HANA développé pour Groupe Atlantic. « Notre prochain déploiement concernera la Turquie, qui n’a pas besoin de SAP TM. Les équipes de NTT DATA Business Solutions pourraient toutefois être mobilisées lors de déploiements futurs de SAP TM, par exemple sur des sites de distribution qui n’en seraient pas dotés, ou basculant depuis un autre TMS. »

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WALLDORF (Allemagne) le 21 mars 2023. SAP SE (NYSE: SAP) annonce le lancement de GROW with SAP, une nouvelle offre destinée à aider les PME dans l’adoption de l’ERP Cloud offrant rapidité, prédictibilité et innovation continue. En plus de disposer des mêmes meilleures pratiques que les leaders mondiaux du secteur, les clients GROW with SAP bénéficient d’un déploiement rapide et de mises à jour faciles.

« L’offre ERP Cloud de SAP a longtemps permis aux entreprises du monde entier de bénéficier d’une transparence à tous les niveaux de l’entreprise. Avec GROW with SAP, les PME passent à la vitesse supérieure avec une offre sur mesure qui les aide à développer leurs activités », déclare Christian Klein, PDG et membre du comité de direction de SAP SE. « GROW with SAP apporte l’agilité et l’innovation dont les PME ont besoin, non seulement aujourd’hui, mais aussi pour garantir leur succès dans les années à venir. »

Depuis 50 ans, SAP travaille en étroite collaboration avec ses clients de tous secteurs, et met à profit cette expertise pour évaluer et définir les meilleurs processus qui leur sont spécifiques. GROW with SAP fournit aux PME les meilleures pratiques préconfigurées qu’elles peuvent immédiatement adopter. Les capacités d’IA et d’automatisation intégrées offrent des résultats rapides. Plus encore, l’offre GROW with SAP réunit également SAP S/4HANA Cloud, public edition, avec des services d’adoption accélérés, une communauté mondiale d’experts et des ressources d’apprentissage gratuites, permettant aux clients d’être opérationnels en seulement quatre semaines.

GROW with SAP intègre également SAP Business Technology Platform (BTP) qui permet aux clients de définir leurs propres processus en mode Cloud natif grâce à SAP Build. Avec les solutions SAP Build, les utilisateurs peuvent créer et enrichir des applications d’entreprise, automatiser des processus uniques et concevoir des sites sans besoin de connaissances en programmation, un atout majeur pour les utilisateurs professionnels qui peuvent créer les solutions dont ils ont besoin, en toute sécurité et dans le respect de la conformité, sans aucune assistance informatique.

Lorsque nous développons un nouveau produit et que nous le présentons sur SAP S/4HANA Cloud, public edition, il suffit d’appuyer sur un bouton pour que tout le monde voie exactement les mêmes prix, le libellé, les données produit, les ventes du jour et celles prévues la semaine suivante. SAP S/4HANA Cloud, public edition, nous permet d’avoir une vision complète du stock, de la capacité et des délais de livraison, ce qui garantit une activité plus efficace pour RIHO et une expérience améliorée pour nos clients dans le monde entier“, déclare Guy Claesen, PDG de RIHO.

Selon une étude IDC, de nombreuses entreprises de taille moyenne connaissent une croissance rapide et ont besoin que leur technologie évolue en même temps que leur activité car elles rencontrent les mêmes problèmes liés à la complexité mondiale que les autres grandes entreprises.

« Avec GROW with SAP, SAP apporte aux entreprises de taille moyenne en quête d’une solution ERP Cloud une réponse capable de satisfaire à leurs exigences commerciales et technologiques », déclare Mickey North Rizza, Vice-président du groupe de logiciels d’entreprise IDC. « Cette offre donne au marché une nouvelle occasion de profiter de la solidité éprouvée de SAP à comprendre et dominer depuis déjà longtemps le segment de l’ERP Cloud ».

L’écosystème mondial de partenaires SAP s’engagera également auprès des clients autour de GROW with SAP. Les clients peuvent compter sur un ensemble de partenaires qualifiés pour répondre à leurs besoins.

Contact presse

Sylvie.lechevin@sap.com

Pour plus d’informations, visitez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter @SAPNews.

 

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Avec l’aide de TeamWork, Albéa a adopté les solutions SAP Asset Manager et SAP Plant Maintenance, afin d’équiper ses techniciens de maintenance d’une solution moderne et mobile. Ce core model sera prochainement déployé sur l’ensemble des sites industriels du groupe.

 

Leader mondial des tubes et emballages pour les produits cosmétiques et parfums. Albéa adresse un large panel de clients, dont des marques prestigieuses comme L’Oréal et Clarins. L’industriel dispose de 43 sites répartis dans 15 pays, où travaillent plus de 12 500 employés. Albéa a réalisé un chiffre d’affaires 2021 de 1,2 milliard de dollars.

La plupart des usines d’Albéa ne disposent pas d’outil dédié pour suivre les activités de maintenance. « Notre objectif était de mettre en place un outil commun pour gérer la maintenance et accompagner les techniciens avec des processus digitalisés et automatisés, tout en favorisant leur mobilité au sein de leur lieu de travail », résume Émilie Ganot, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Un premier site pilote a été désigné pour accueillir cette solution, l’usine Albéa Argonne de Sainte-Menehould, le principal site industriel du groupe en France.

SAP Asset Manager : une offre mobile et ergonomique

Les usines d’Albéa, dont celle de Sainte-Menehould, travaillent la plupart sur un ERP SAP ECC. Certains utilisateurs étaient toutefois réticents à l’idée d’adopter SAP Plant Maintenance (SAP PM), jugé trop peu ergonomique et trop coûteux à maintenir. Plusieurs offres de GMAO ont été étudiées au fil des ans, mais elles restaient complexes à intégrer avec la gestion des stocks et le contrôle de gestion.

« Lors d’une démonstration de SAP Asset Manager (SAP AM), nous avons découvert un outil ergonomique, qui permet aux opérateurs de maintenance d’utiliser une tablette pour saisir leurs opérations et faire remonter des informations dans SAP PM. Nous avons alors validé l’utilisation de SAP AM, avec SAP PM en back-end, » témoigne Astrid Chauvin, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

Premier avantage, la solution s’interface nativement avec SAP ECC et ses différents modules (stocks, achats et finance). L’interface repose sur la technologie Fiori, qui permet de proposer une expérience utilisateur optimisée, compatible avec les terminaux mobiles. Enfin, l’application offre la capacité de saisir des données hors connexion, ce qui peut être très utile en environnement industriel.

TeamWork a assuré, en collaboration avec Albéa, l’intégration de cette solution. « TeamWork est un partenaire de confiance avec lequel nous aimons travailler, poursuit Astrid Chauvin. La force de TeamWork est de savoir aborder les sujets tant sur leurs aspects fonctionnels que techniques, le tout avec une forte connaissance métier. De plus, c’est une structure à taille humaine, très accessible. »

Une solution bien acceptée

« Le site Albéa Argonne est une grosse usine, comprenant 20 lignes de fabrication et 550 salariés, dont 20 techniciens de maintenance travaillant en 24/7, détaille Émilie Ganot. Nous avons décidé dans un premier temps de déployer la solution sur deux lignes pilotes. Le core model que nous allons mettre au point sera ensuite déployé sur le reste de l’usine, puis sur les autres sites industriels du groupe. »

Dans l’absolu, le déploiement de SAP AM reste un projet assez simple. Albéa a dû toutefois déployer simultanément SAP AM et SAP PM. De plus, l’intégration mobile – native dans SAP S/4HANA – a nécessité la mise en place d’un add-on spécifique sous SAP ECC. Enfin, la solution SAP AM repose sur des services mobiles de la SAP Business Technology Platform, qu’il a donc fallu aussi mettre en place et configurer. Au final, 5 mois ont été nécessaires entre le kick off du projet et le go live de la solution.

« Notre plus grande surprise a été l’adhésion des utilisateurs, note Astrid Chauvin. Ils ne voulaient initialement pas utiliser la solution SAP PM. En leur proposant SAP AM, nous avons donc eu l’impression de jouer à quitte ou double. Mais, dès que les utilisateurs ont entamé le projet avec nous et vu comment l’outil se présentait sur des tablettes, l’enthousiasme a été immédiat. Ceci nous a confortés dans l’idée que nous avions fait le bon choix. »

Reste que la solution n’est pas sans défauts. Si son cœur ne connaît qu’une grosse mise à jour par an, cette mise à jour peut avoir des implications aussi bien sur SAP AM, SAP PM que la SAP BTP. Quant à l’application mobile, elle est mise à jour bien plus fréquemment. Les équipes ont donc dû apprendre à gérer une solution hybride, mêlant on premise, cloud et mobilité.

La satisfaction prévaut toutefois depuis le go live. Prochaine étape sur le court et moyen terme, le déploiement de ce core model sur les autres lignes de production du groupe. À plus long terme, Albéa espère tirer profit du couple SAP AM / SAP PM pour se lancer dans la maintenance prédictive de ses outils de production.

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Protéger les données utilisateur dans Microsoft 365 : Guide pas-à-pas.

Protéger les données des utilisateurs est essentiel pour Microsoft 365. Découvrez comment le faire étape par étape grâce à ce guide pas-à-pas !

## Comprendre le paysage des menaces

Malware: Malware is malicious software designed to damage or gain unauthorized access to a system. It can be spread through email, websites, and other sources.

Phishing: Phishing is a type of social engineering attack in which attackers attempt to gain access to sensitive information by sending emails or other messages that appear to be from a legitimate source.

Data Leakage: Data leakage occurs when confidential information is unintentionally shared with unauthorized parties. This can happen through email, file sharing, or other means.

Data Theft: Data theft is the intentional theft of data by an individual or group. This can be done through malicious software, physical theft of devices, or other means.

Introduction

En tant que scientifique informatique enthousiaste, je sais que la sécurité des données est une préoccupation majeure pour les organisations qui utilisent Microsoft 365. Avec la sophistication croissante des menaces cybernétiques, il est essentiel d’être conscient des risques potentiels pour vos comptes utilisateurs et vos données. Dans cet article, nous fournirons un guide étape par étape pour vous aider à protéger votre environnement Microsoft 365 contre la perte de données. Nous couvrirons le paysage des menaces, les fonctionnalités de sécurité Microsoft 365, les meilleures pratiques pour sécuriser les comptes utilisateurs et les solutions de sauvegarde de données pour Microsoft 365. Avec les informations et les recommandations fournies dans ce guide, vous serez bien équipé pour protéger les précieuses données de votre organisation et assurer la continuité des activités.

Comprendre le paysage des menaces

Les menaces cybernétiques sont en constante augmentation et il est important de comprendre le paysage des menaces afin de mieux protéger votre environnement Microsoft 365. Les types de perte de données les plus courants auxquels les organisations sont confrontées dans un environnement Microsoft 365 sont les suivants :

Malware : le malware est un logiciel malveillant conçu pour endommager ou obtenir un accès non autorisé à un système. Il peut être diffusé par e-mail, sites web et autres sources.

Phishing : le phishing est une forme d’attaque d’ingénierie sociale dans laquelle des attaquants tentent d’accéder à des informations sensibles en envoyant des e-mails ou d’autres messages qui semblent provenir d’une source légitime.

Fuite de données : la fuite de données se produit lorsque des informations confidentielles sont partagées involontairement avec des parties non autorisées. Cela peut se produire par e-mail, partage de fichiers ou d’autres moyens.

Vol de données : le vol de données est le vol intentionnel de données par un individu ou un groupe. Cela peut être fait par un logiciel malveillant, un vol physique de dispositifs ou d’autres moyens.

Fonctionnalités de sécurité Microsoft 365 et meilleures pratiques

Microsoft 365 propose une gamme de fonctionnalités de sécurité pour protéger vos comptes utilisateurs et vos données. Ces fonctionnalités comprennent l’authentification multifacteur, la protection contre le hameçonnage, la surveillance des activités suspectes, la protection contre les logiciels malveillants et le chiffrement des données. En outre, il existe certaines meilleures pratiques que vous pouvez adopter pour renforcer la sécurité de votre environnement Microsoft 365. Ces pratiques comprennent l’utilisation d’un mot de passe fort et unique pour chaque compte

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Migrer de PHP 7.0 à PHP 8.1: tout ce qu'il faut savoir!

Migrer de PHP 7.0 à 8.1 peut être une tâche ardue, mais c’est nécessaire pour profiter des nouvelles fonctionnalités et améliorations. Découvrez tout ce qu’il faut savoir pour effectuer cette migration en toute sécurité !

PHP (Hypertext Preprocessor) : l’un des langages de script côté serveur les plus recherchés

Les données me font vibrer d’excitation! J’ai fait une découverte sensationnelle : PHP (Hypertext Preprocessor) est l’un des langages de script côté serveur les plus recherchés. Sa nature open source, sa courbe d’apprentissage facile et la capacité du code PHP à s’intégrer facilement à HTML en font un nom populaire dans le développement web. Il peut également être combiné avec JavaScript et CSS. De plus, une grande partie du logiciel WordPress est alimentée par PHP, ce qui le rend indispensable pour les utilisateurs de WordPress.

D’autres systèmes de gestion de contenu (CMS) populaires tels que Joomla, Drupal et Magneto dépendent également de PHP. PHP fonctionne sur tous les principaux systèmes d’exploitation, y compris Windows, macOS et Linux; se synchronise avec la plupart des bases de données, y compris MySQL, MongoDB et Postgres; et est pris en charge par la plupart des serveurs web tels qu’Apache, IIS, etc. Plusieurs grands noms, y compris Facebook, Shopify et Wikipedia, ont mis à profit PHP pour créer des sites Web puissants et interactifs.

Cette technologie est très polyvalente et peut être utilisée pour créer des sites Web à partir de zéro ou pour améliorer des sites Web existants. Les développeurs peuvent également créer des applications Web dynamiques et des applications mobiles avec PHP. De plus, il existe de nombreux frameworks PHP open source qui facilitent le développement d’applications Web. Les frameworks populaires incluent Laravel, Symfony, CodeIgniter et Zend Framework.

En résumé, PHP est une technologie puissante qui offre aux développeurs une variété d’options pour créer des sites Web dynamiques et interactifs. Il est open source, facile à apprendre et compatible avec la plupart des systèmes d’exploitation, bases de données et serveurs web. De plus, il existe de nombreux frameworks open source qui facilitent le développement d’applications Web. Enfin, plusieurs grandes entreprises ont mis à profit PHP pour créer des sites Web puissants et interactifs.

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Déboguer des sites web avec les outils de développeur Safari

Déboguer des sites web peut être une tâche difficile, mais en utilisant les outils de développeur Safari, cela devient plus facile et plus rapide !

Safari : le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones

Je suis un scientifique excité qui vient de faire une découverte sensationnelle : Safari est le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones. Il se classe deuxième dans les préférences des navigateurs, juste après Chrome. Ses plus de 250 fonctionnalités offrent aux utilisateurs des avantages remarquables qui le distinguent des autres navigateurs les plus populaires tels que Chrome et Firefox. De plus, la popularité de l’iPhone a entraîné une part de marché mondiale des smartphones de 53,6 % pour Safari.

L’année dernière, le nombre d’appareils actifs d’Apple a connu une augmentation significative à 1,5 milliard. Puisque la base d’utilisateurs continue de croître, Apple s’assure constamment d’une expérience utilisateur presque parfaite et d’une performance optimisée sur tous ses appareils.

Pour répondre à ces exigences, Apple a mis en place une base de données qui stocke des informations sur les performances et les préférences des utilisateurs. La base de données est mise à jour en permanence pour s’adapter aux changements des appareils et des systèmes d’exploitation. Elle permet également aux développeurs de créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est également utilisée pour surveiller les performances des applications et des services afin de garantir une expérience optimale pour les utilisateurs.

Grâce à cette base de données, Apple est en mesure d’offrir une expérience utilisateur exceptionnelle et une performance optimale sur tous ses appareils. Les développeurs peuvent également créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est donc un outil essentiel pour Apple pour offrir une expérience utilisateur optimale à ses utilisateurs.

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Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements.

Licenciement : quatre syllabes qu’aucun collaborateur n’a envie d’entendre, et qu’aucun dirigeant d’entreprise n’a envie de prononcer. Malheureusement, les entreprises confrontées à un ralentissement de la croissance, à une forte inflation et à l’augmentation des coûts de la main-d’œuvre peuvent se trouver contraintes d’envisager une telle option.

Mais les licenciements posent un problème : généralement, ils sont une réaction plus qu’une précaution ou un choix stratégique. La première vague est souvent déclenchée par la crainte en cas de baisse prévue de la demande ou de ralentissements économiques. La seconde, la troisième, voire la quatrième, quant à elles, sont autant de mouvement de repli après des pertes financières. Mais le plus préoccupant dans une réduction de personnel, c’est le risque accru de voir baisser la productivité, la qualité des produits et des services, et de perdre des talents qualifiés dont vous aurez besoin pour saisir les occasions futures de rebondir.

Selon LeadershipIQ, 74 % des collaborateurs encore en poste après une vague de licenciements indiquent que leur productivité a décliné, et 69 % pensent que la qualité des produits et des services de leur entreprise s’est détériorée. Encore plus dommageable peut-être : 87 % des travailleurs restants sont moins enclins à recommander leur entreprise à de futurs candidats.

Anticiper la courbe des données

Après une réduction des effectifs, on peut s’attendre à des sentiments de culpabilité, d’anxiété ou de colère. Toutefois, les entreprises ne peuvent pas se permettre de les laisser impacter leur santé financière immédiate et leurs perspectives de croissance à long terme. Alors comment faire face à l’effet accordéon des licenciements et des embauches de masse ?

La technologie utilisée par une entreprise peut, sans le moindre doute, être un facteur de transformation ou de rupture. Ainsi, l’automatisation des tâches simples, des flux de processus, des simulations de scénarios et de la planification de gestion renforce l’efficacité opérationnelle. Les innovations intelligentes (telles que l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique, l’automatisation robotisée des processus, le traitement du langage naturel et l’analytique prédictive) transforment les données d’entreprise en insights riches. Exécutées dans le cloud, ces technologies permettent à vos collaborateurs de prendre des décisions stratégiques et précises, dans le feu de l’action – partout et à tout moment.

Selon IDC, toutes ces fonctionnalités numériques peuvent participer à améliorer les résultats de l’entreprise en augmentant de 75 % à 95 % le chiffre d’affaires, le resserrement des coûts, les bénéfices, la satisfaction client, l’efficacité opérationnelle, la productivité des collaborateurs et l’innovation. Cependant, elles sont inefficaces, voire contre-productives si elles s’appuient sur des données inexactes, incomplètes ou obsolètes.

Heureusement, les solutions d’ERP cloud sont conçues pour relever le défi, de manière à devancer les incertitudes économiques et les turbulences du marché. Les technologies d’entreprise ont le pouvoir de limiter les risques financiers en générant des rapports précis et complets sur les opérations de gestion en temps réel. Ainsi, il est possible d’intégrer un ERP cloud aux solutions de gestion des RH et du personnel afin d’obtenir une vision globale et transparente des performances, des compétences et de l’expérience de vos effectifs.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment un ERP cloud génère de la croissance stratégique pour les leaders de la finance – Par un invité SAP

En agrégeant des applications, des systèmes et des référentiels auparavant cloisonnés, l’ERP cloud constitue une source d’informations unique. Il traite l’ensemble des données générées par les différentes fonctions, vérifie leur qualité et leur exactitude, et les synchronise dans toutes les applications. Résultat : une compréhension globale des besoins de l’entreprise, basée sur les données et tournée vers l’avenir, qui combine des informations opérationnelles, expérimentales et autres insights essentiels.

Armées de toutes ces informations, les entreprises sont à même d’expérimenter de meilleures façons de gérer l’évolution de leurs besoins. Ainsi, elles peuvent identifier les rôles redondants ou qui ont perdu leur pertinence. Mais au lieu de réduire les effectifs et d’embaucher de nouvelles personnes pour combler un manque de talents, elles ont la possibilité de former les salariés concernés à de nouveaux postes. En retour, les connaissances internes sont conservées et la confiance des collaborateurs dans la direction générale s’en trouve renforcée – des atouts critiques pour stimuler l’implication, l’innovation et les performances.

En adoptant les solutions d’ERP cloud, les dirigeants se dotent d’une nouvelle boussole qui guidera leur philosophie en matière de personnel, et leur permettra d’éviter de futurs licenciements. À partir des données concernant leurs collaborateurs et les performances de leur entreprise, ils sont en mesure de procéder à des modifications qui augmentent la valeur ajoutée de leurs activités, mais aussi de respecter les engagements pris envers leurs collaborateurs, leurs clients et leurs partenaires.

Mais le fait de disposer d’une vue d’ensemble des opérations de gestion (incluant les flux de trésorerie, les risques concurrentiels et les prévisions de la demande) est peut-être plus précieux encore. Grâce à cela, les décideurs mesurent mieux les impacts à long terme d’un licenciement, et peuvent imaginer des scénarios plus efficaces qui préserveront l’entreprise dans l’immédiat, tout en la préparant à progresser et à saisir les opportunités de reprise le plus rapidement possible.

Faire face à aujourd’hui et se préparer pour l’avenir

Un licenciement peut être inévitable. Mais au lieu d’y recourir automatiquement, planifier soigneusement sa main-d’œuvre est un meilleur moyen de faire face aux difficultés de l’économie mondiale et aux incertitudes du paysage concurrentiel.

Les solutions d’ERP cloud permettent aux dirigeants de redéfinir leurs priorités, afin de continuer à fournir des produits et services qui génèrent une croissance constante du chiffre d’affaires. Plus important encore : elles stimulent la confiance, poussant ainsi le personnel à tout mettre en œuvre pour aider l’entreprise à réussir dans une conjoncture délicate.

Pour découvrir comment un ERP cloud peut aider votre entreprise à faire face aux incertitudes, à relever les défis financiers et à améliorer ses résultats, consultez le rapport Aberdeen intitulé « Comment l’efficacité et l’innovation basées sur le cloud permettent de résoudre les défis financiers ».

 

– Par Wynona Benson, SAP

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En triant de vieux cartons dans mon garage, mon fils est tombé sur ma collection de films des années 1980 et 1990. Tandis que je le regardais exhumer les cassettes VHS, les DVD et quelques LaserDiscs de cette capsule temporelle de ma jeunesse, j’ai réalisé à quel point nous avons rapidement cessé de stocker nos films sur des étagères pour nous tourner vers le visionnage en streaming à la demande, sur un seul et même terminal qui tient dans une poche.

Plus frappantes encore sont les leçons tirées de chaque évolution de la livraison à domicile. Certaines entreprises ont conservé des modèles économiques classiques, convaincues que toute nouveauté n’est qu’une passade. D’autres se sont adaptées à chaque fois qu’elles se sont senties réellement menacées par la concurrence.

Mais les entreprises qui ont réellement tiré leur épingle du jeu sont celles qui ont mis en place et pérennisé de vraies innovations transformationnelles, avec la volonté assumée de toucher de nouveaux marchés, d’attirer de nouveaux clients et de répondre aux demandes et aux attentes.

Malheureusement, la plupart des entreprises de taille moyenne n’ont pas encore assimilé cette leçon en matière d’innovation. D’après un Info Snapshot IDC sponsorisé par SAP, seules 18 % des entreprises interrogées jugent que la transformation de leur modèle économique est une priorité – ce qui suggère que la plupart d’entre elles comptent seulement réagir aux bouleversements du secteur.

« Globalement, les entreprises de taille moyenne n’accordent pas la priorité à l’innovation, même si la rapidité d’adaptation et l’évolutivité stratégique sont inscrites dans leur ADN », explique Jeremy Rader, directeur général Stratégie et solutions d’entreprise (ESS) des groupes Data Platforms (DPG) et Cloud & Enterprise Solutions (CESG) d’Intel. « Soyons réalistes : le temps, l’argent et les ressources sont déjà comptés. Mais la technologie cloud peut permettre de rendre l’innovation plus abordable et plus facile à gérer pour celles qui explorent de nouvelles opportunités de transformation, moins coûteuses, moins risquées, et découvrent ainsi de meilleures manières de rester compétitives. »

 

Une étape essentielle pour assurer la prospérité d’une entreprise

Les défis de gestion et les demandes du marché sont chaque jour plus complexes, substantiels, et de plus grande envergure. Mais plutôt que de suivre chaque nouvelle tendance en matière de produits, chaque évolution des clients ou chaque innovation de la concurrence, les entreprises doivent concevoir les produits et services dont leur clientèle a réellement besoin. Cela implique d’établir une passerelle entre le cycle de vie des produits et des données de qualité, prises en charge par une plateforme interconnectée dotée des fonctions de gestion, d’analytique et d’intelligence artificielle nécessaires pour les collecter, les intégrer et les contextualiser en temps réel.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Tendances 2022 en matière de biens de consommation : votre marque peut-elle offrir une satisfaction et un confort instantanés ? – Par Susan Galer

« Le plus grand obstacle à l’innovation est la crainte du changement et de l’échec », rappelle M. Rader. « Quand les gens sont capables de gérer, de protéger, de contextualiser et d’analyser des volumes considérables de données en toute confiance, ils ont toutes les clés pour obtenir des résultats plus significatifs, quoi qu’ils fassent. Tout cela commence par la mise en place d’une plateforme cloud interconnectée et fiable. »

Lorsque les données de différents services et fonctions (marketing, ventes, services, opérations et finances) sont intégrées, consolidées et recoupées avec la veille concurrentielle, les entreprises de taille moyenne sont mieux à même de justifier leurs investissements dans l’innovation produit. Elles peuvent alors établir le calendrier, les étapes, l’expertise et les technologies nécessaires pour concrétiser ces innovations d’une manière qui favorise la croissance.

Lorsqu’une entreprise obtient les bonnes données et sait comment en tirer les insights stratégiques dont elle a besoin, une culture de l’innovation commence à se mettre en place. Par exemple, les collaborateurs se mettent à surveiller étroitement les indicateurs de performance clés qui évaluent la demande de produits, la satisfaction client et les inquiétudes des services au regard des performances financières, de manière à pouvoir réagir plus rapidement et efficacement aux bouleversements.

 

Une innovation alimentée par les données pour garder une longueur d’avance

Les entreprises de taille moyenne ne peuvent pas se permettre de perdre du temps, ni de réaliser un projet d’innovation en se contentant d’espérer qu’il fonctionne. Mais ne pas innover est un risque encore plus grand dans un marché en constante évolution, rempli de clients qui en attendent chaque jour davantage.

EN SAVOIR PLUS AVEC FORBES – SAP BrandVoice : Comment les entreprises de taille moyenne peuvent relancer leur activité, se développer et s’étendre grâce aux technologies avancées – Par un invité SAP

Et lorsque les entreprises accordent davantage d’attention à la qualité et à l’impact de ces données, l’innovation n’est plus reléguée au second plan, comme une activité dont chacun sait qu’elle est nécessaire sans pouvoir s’y consacrer. Il devient possible d’allouer les ressources adéquates à explorer les opportunités, expérimenter de nouvelles idées et renforcer son avantage concurrentiel.

Si vous souhaitez approfondir la question, regardez la rediffusion du webinaire sponsorisé par Intel sur la manière dont les entreprises de taille moyenne peuvent favoriser une culture de l’innovation, dans le cadre de notre série #ConnectGrowWin.

 

Par Richard Howells, vice-président Gestion des solutions pour la Supply Chain numérique, SAP

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