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Les risques croissants liés aux cybermenaces, à la protection des données et aux nouvelles lois sur la confidentialité poussent les entreprises leaders à identifier et mettre en place des mesures efficaces de limitation des risques.

Alors que votre entreprise s’engage dans la transformation numérique et transfère toujours plus d’applications vers le cloud, vous avez besoin d’une sécurité plus intelligente, automatisée et intégrée. SAP vous aide à atteindre ces objectifs avec les solutions SAP pour la cybersécurité et la protection des données. Ces solutions uniques considèrent en parallèle les transactions métier et les risques liés à la sécurité, et contribuent à la sécurité des données, propice à une confiance numérique durable.

Nos solutions vous aideront à :

  • Détecter et traiter les activités suspectes dans les environnements logiciels SAP®.
  • Analyser le langage de programmation ABAP® et le code source non-ABAP pour identifier les risques.
  • Effectuer une surveillance des systèmes et applications à gros volumes, avec alertes et outils analytiques, mais aussi intégration à d’autres outils de gestion des événements et des informations de sécurité (SIEM).
  • Assurer le contrôle de vos données et une transparence optimale dans les environnements de type Hyperscale (clouds publics).
  • Gérer et faciliter la sécurisation des données personnelles, en toute conformité, avec notamment des capacités liées au masquage et à la journalisation.

Invitation spéciale :

Rejoignez-moi, ainsi que mes collègues Evelyne Salie, Anne Marie Colombo et Wasif Gilani, pour obtenir des informations de SAP, mais aussi de notre invité spécial, Kevin Heckel de Deloitte, le 23 mars 2021, pour notre présentation intitulée « Cybermenaces, confidentialité et sécurité », proposée dans le cadre du sommet virtuel SAP Finance and Risk.

Nous évoquerons ces sujets et la façon dont les technologies SAP peuvent aider les professionnels de la sécurité, de la protection des données et de la confidentialité à transformer votre approche en matière d’automatisation et de conformité.

Wasif Gilani nous parlera d’une nouvelle solution incontournable : SAP Data Custodian.

Nous évoquerons également deux autres solutions : SAP Enterprise Threat Detection et notre tableau de bord de cybersécurité SAP Analytics Cloud (Arndt Lingscheid et Gabriele Fiata).

En somme, nous vous proposons 45 minutes particulièrement riches et intenses, axées sur la cybersécurité et la protection des données, et la présentation de multiples fonctionnalités absolument incontournables.

Nous sommes impatients de vous retrouver à l’occasion de cet événement virtuel unique !  Rendez-vous à 11 h (UTC-4) ou bien à la demande, une fois l’événement terminé.

Et en attendant, voici quelques suggestions :

Consultez ce document de deux pages consacré à la manière dont Deloitte a utilisé SAP Enterprise Threat Detection pour optimiser la surveillance des menaces de sécurité pour nombre de ses applications.

Accédez à notre dizaine de sessions à la demande pour bénéficier de présentations de produits approfondies et pour découvrir les nombreux cas dans lesquels SAP utilise ses propres solutions pour gérer les risques, automatiser des centaines de contrôles et effectuer ses propres programmes d’audit interne à travers l’entreprise. Inscrivez-vous pour regarder la session de votre choix et approfondir les domaines de la GRC (gouvernance, gestion des risques et conformité), de la gouvernance des accès, de la confidentialité et de la cybersécurité.

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Source de l’article sur sap.com

Levallois – 8 mars 2021 – SAP annonce son intention de parvenir à la neutralité carbone de ses activités d’ici la fin 2023, soit deux ans plus tôt que prévu. Cette annonce coïncide avec la publication du rapport intégré 2020 de SAP. L’année dernière, l’entreprise a plus qu’atteint son objectif de réduction d’émissions de gaz à effet de serre (GES) avec la mise en place de nouvelles façons de travailler et de voyager des 100 000 collaborateurs SAP, engendrées par la pandémie de la COVID-19.

La forte diminution des vols d’affaires a contribué de manière significative à la réduction de l’empreinte carbone de SAP en 2020. Les employés travaillant principalement à domicile, les émissions de carbone causées par les trajets quotidiens et l’exploitation des immeubles de bureaux ont diminué. En conséquence, SAP a pu dépasser de 43% son objectif de réduction des émissions nettes de carbone sur l’année 2020, en générant 135 kilotonnes (kt) au lieu des 238 kt prévues. À titre de comparaison, les émissions de SAP en 2019 étaient de 300 kt. En accélérant la mise en place d’opérations neutres en carbone, SAP anticipe l’évolution actuelle et confirme son rôle de pionnier dans la protection du climat.

En s’efforçant de devenir neutre en carbone, SAP prend en compte toutes ses émissions directes et indirectes, ainsi que certaines émissions provenant de la chaîne d’approvisionnement, notamment celles liées aux vols d’affaires, aux voyages d’affaires en voiture de location et aux datacenters de sociétés partenaires. L’entreprise utilise l’approche consistant à éviter, réduire et compenser les émissions. Dans la mesure du possible, SAP cherche à éviter la création de GES par diverses pratiques commerciales, telles que l’utilisation des technologies de télécommunication plutôt que les déplacements. Si les émissions ne peuvent être évitées, SAP exploite des innovations, telles que l’éclairage à faible consommation d’énergie dans les bureaux, les systèmes de refroidissement efficaces dans les datacenters et les solutions de mobilité alternatives. Enfin, SAP compense les émissions inévitables en soutenant des projets climatiques et en travaillant avec des partenaires qui respectent la norme de qualité avancée par la Fondation Gold Standard ou des normes de qualité équivalentes. En outre, SAP mène continuellement de nouvelles initiatives d’entreprise, comme l’application d’un tarif interne carbone sur les vols d’affaires.

Depuis 2017, SAP poursuit également un objectif climatique certifié par l’initiative Science Based Targets (SBTi) pour apporter sa propre contribution à la limitation du réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels. Si son objectif « zéro carbone » s’applique principalement à ses propres activités, l’objectif climatique de SAP englobe également la chaîne de valeur en amont et en aval. Depuis 2014, SAP utilise 100% d’énergie renouvelable pour alimenter tous ses data centers. Grâce à son cloud vert, SAP peut proposer à ses clients des solutions de cloud computing neutres en carbone.

SAP apporte son soutien aux objectifs de développement durable fixés en 2015 par les Etats membres des Nations unies, en se concentrant particulièrement sur l’objectif 13, Action pour le climat. Ici, la plus grande force de SAP réside dans sa capacité à aider ses plus de 400 000 clients dans le monde à mettre en œuvre des mesures de protection du climat grâce à des offres telles que le programme Climate 21. Avec ses clients et partenaires, SAP fournira plus d’informations sur les solutions dans ce contexte ainsi que sur l’économie circulaire, le pilotage holistique et le reporting lors du SAP Sustainability Summit qui se tiendra virtuellement les 28 et 29 avril 2021.

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 8 mars 2021​Le Village by CA Paris​, accélérateur de startups qui accompagne les grands groupes/ETI vers le futur de leurs industries, annonce la sélection de 6 startups pour la nouvelle promotion Femmes Entrepreneures lancée en partenariat avec ​Microsoft France via son programme ​Microsoft For Startups et ​SAP via son programme ​SAP.iO No Boundaries​. Elles ont passé avec succès le comité de sélection soutenues par quatre réseaux féminins : ​Femmes Business Angels​, ​Professional Women’s Network Paris​, ​#JamaisSansElles​ et ​Willa​.

6 startups lauréates

Le comité de sélection composé des partenaires du Village by CA Paris dont Stelllantis, Naval Group, Crédit Agricole Assurances, SAP, Microsoft… ont sélectionné les startups suivantes :

– Dolipharm

Dolipharm ​permet aux entreprises d’aller plus loin dans les domaines de la prévention des services de santé au travail. Elle développe une offre pour permettre aux salariés de

bénéficier du conseil du pharmacien, de la livraison de médicaments et des produits de parapharmacie, et des services associés, le tout sans quitter l’entreprise.

– Tarmac Technologies

Tarmac Technologies ​développe une plateforme permettant aux acteurs des opérations aériennes de collaborer et d’échanger leurs informations afin d’augmenter leurs performances opérationnelles et de repartir à l’heure et en toute sécurité.

– Refyld

Refyld​, développe des produits de soin, d’hygiène, d’entretien et d’alimentaire, sains et naturels, fabriqués en France, rechargeables à l’infini et vendus à prix coûtant grâce à une simple adhésion annuelle.

– Hkind

Hkind est une solution digitale qui facilite l’échange d’initiatives, de solutions et de bonnes pratiques entre celles et ceux qui font la santé d’aujourd’hui et de demain.

– Sweet Show

Sweet Show est une solution SAAS à destination des équipes Sales et Marketing BtoB, qui permet d’assurer le déploiement des offres tout en diminuant le temps perdu en tâches de Back Office et en garantissant une expérience client différenciante grâce à la data générée à chaque étape du cycle de vente.

– 3DIMO
3DIMO ​est une solution utilisant les nouvelles technologies connectées qui permet la

détection précoce des risques pour la santé chez les animaux d’élevage.

Un programme d’accompagnement global à la clé​
Les startups lauréates intégreront le Village by CA Paris pendant 2 ans (moyennant un loyer) et bénéficieront de programmes complémentaires délivrés par Microsoft et SAP.

Prochaine étape : ​La Pitch Party de présentation des startups lauréates se tiendra en septembre 2021.

« Nous sommes très heureux d’accueillir, au sein du Village By CA Paris, ces 6 startups créées ou co-crées par des femmes. Nous vous attendons en septembre prochain pour venir découvrir ces startups et ces femmes entrepreneures inspirantes. » déclare ​Fabrice Marsella, directeur du Village by CA Paris

« Félicitations aux 6 startups sélectionnées pour cette nouvelle édition de « Femmes Entrepreneures » ! A l’image de notre promotion Femmes de l’École IA Microsoft, nous sommes fiers de contribuer à des initiatives en faveur de la féminisation du secteur du numérique et d’accompagner leur croissance à l’international aux côtés de notre écosystème. » ​commente ​Agnès Van De Walle, Directrice de l’entité Partenaires et Startups de Microsoft France.

Quand on parle d’entrepreneuriat, on pense le plus souvent à des hommes. On manque de modèles féminins. Pourtant ils existent ! C’est tout l’objet de cette promotion : mettre à l’honneur les talents féminins qui dirigent de jeunes pousses prometteuses et les aider dans leur développement. Cette année, nous avons sélectionné des startups aux profils très variés. Leur point commun est bien sûr l’innovation mais pour beaucoup d’entre elles un impact positif.” ​explique ​Sébastien Gibier, Directeur SAP.iO Foundry Paris

 

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Source de l’article sur sap.com

Avant d’aborder le sujet de l’ERP Cloud, rappelons ce qu’est un ERP. Introduit dans les années 90, le progiciel de gestion intégré (ERP) est un logiciel qui automatise les processus, que ces derniers relèvent de la finance, distribution, production, etc. Initialement, les systèmes ERP étaient souvent implémentés chez les clients, dans leurs centres de données. Ils étaient alors axés sur l’automatisation et l’orchestration des activités et des ressources internes. Au fil du temps, ils ont évolué pour s’adapter aux nouveaux besoins.

Plus récemment, la technologie cloud computing est arrivée et les logiciels ont été davantage distribués sous forme de services, via internet. L’ERP, comme beaucoup d’autres applications, a migré dans le cloud. Logiciel en tant que service (SaaS), l’ERP Cloud est disponible par abonnement plutôt qu’à l’achat. Mais l’ERP Cloud ne se limite pas à un nouveau modèle de distribution et de tarification. S’il rencontre aujourd’hui un tel succès, c’est parce qu’il aide les entreprises à prospérer à l’ère du numérique.

Pourquoi l’ERP Cloud ?

Pendant plus de 25 ans, les systèmes ERP ont apporté de la valeur aux entreprises, en les aidant à augmenter leur productivité et à obtenir une visibilité accrue. Mais le monde (et la concurrence) a changé.

La façon dont les entreprises fonctionnent et créent de la valeur est différente aujourd’hui. Elles sont d’abord sous pression pour automatiser leurs opérations. Quand elles ont déjà une certaine maturité numérique, comme beaucoup de grandes entreprises, elles cherchent à optimiser et changer leurs processus. Ainsi que des opportunités pour continuer à croître et à s’étendre. Les entreprises travaillent également davantage en réseau. Elles s’appuient sur des partenaires pour la production, distribution, gestion des ventes, le service, le support… et même pour leurs activités principales.

Ce monde globalisé et connecté exige de nouvelles technologies et systèmes, capables de gérer les opérations internes et externes, ainsi que les réseaux d’entreprises dans le monde entier. Et l’ERP Cloud rend tout cela possible, permettant aux entreprises de tirer parti des changements et d’être plus agiles.

En parallèle, les clients, de plus en plus férus de numérique, sont plus exigeants. Ils veulent des livraisons plus rapides, des offres continuellement améliorées, une fiabilité accrue et des coûts réduits.

Les anciens ERP ne peuvent plus suivre le rythme. Pourquoi ? Parce qu’ils ne s’adaptent pas facilement au changement, reposent sur une technologie à la maintenance coûteuse. Et aussi parce qu’il est peu probable qu’ils aident les entreprises à se conformer aux nouvelles réglementations.

Résultat : la plupart des anciens systèmes ERP peinent à fournir la vitesse, la flexibilité et la business intelligence nécessaires à la transformation, croissance et compétitivité des entreprises.

Comment l’ERP SaaS a-t-il évolué ?

Au début des années 2000, les applications cloud étaient surtout des solutions autonomes. Des outils de gestion de la relation client (CRM), de marketing automation, de gestion des notes de frais et des déplacements, etc.

Au milieu des années 2000, les principaux éditeurs de logiciels ont lancé leurs solutions d’ERP Cloud. Beaucoup avaient des fonctionnalités limitées et n’avaient pas été fondamentalement conçues pour le « cloud ». Une grande partie de ces solutions ont été adoptées lentement. Parce qu’elles étaient trop rigides, ne pouvaient suivre la rapidité du changement ni apporter la profondeur de fonction requise. Elles ne pouvaient pas non plus s’intégrer ou se connecter à différents systèmes ou données, limitant de fait la portée du changement et la croissance des entreprises.

Les systèmes ERP d’aujourd’hui ont considérablement changé la donne. Tout comme la courbe d’acceptation et d’adoption de l’ERP Cloud. Pourtant, il reste important de distinguer les systèmes ERP conçus pour le cloud de ceux qui simplement opèrent sur le cloud.

Pourquoi l’ERP Cloud est-il aujourd’hui si important ?

Les entreprises à forte croissance se sont souvent imposées comme des spécialistes dans leurs secteurs, grâce à des relations étroites avec leurs clients et fournisseurs, davantage de processus automatisés, et un besoin constant d’optimiser l’efficacité de leurs ressources et de passer à l’étape suivante de leur croissance. Les nouveaux environnements ont également entraîné un besoin d’innovation plus rapide. Ce qui a souvent créé un créneau pour ces entreprises, qui deviennent des spécialistes travaillant dans un petit ensemble de marchés verticaux, tels que la production de métaux pour l’aérospatiale ou les services de distribution aux restaurants.

Pour croître plus rapidement, ces entreprises doivent se développer dans de nouveaux marchés, lancer de nouveaux produits et services, faire des acquisitions et réagir aux échecs de leurs concurrents. Répondre à ces changements et saisir les opportunités au moment opportun est crucial. Un ancien système ERP rigide et difficilement extensible limitera la croissance et les changements positifs.

De même, la coopération entre les services est essentielle. Mais les systèmes de reporting indépendants – souvent basés sur des fichiers Excel, extraits de données ou systèmes cloisonnés – compliquent l’échange d’informations. Ils entraînent aussi des retards et des erreurs dans les opérations. Or, le partage efficace d’informations est vital pour prendre rapidement de bonnes décisions.

Aussi, les dirigeants sont souvent très soucieux des coûts. Et la constitution de réserves au bilan pour développer l’entreprise exige un examen du fonds de roulement, des dépenses d’exploitation et des investissements. Pourtant, de nombreux systèmes comptables hérités peinent à gérer ces détails. Et peinent aussi à se connecter au système comptable élargi ou à l’ERP. Les anciens outils et systèmes ne répondent pas aux besoins actuels, ne contribuent pas à l’efficacité opérationnelle et ne sont pas structurés ou maintenus pour répondre aux nouvelles exigences.

Enfin, si les entreprises sont promptes à adopter des solutions technologiques qui améliorent leurs opérations, beaucoup ont investi dans des solutions déconnectées pour résoudre des problèmes spécifiques à un service ou à un secteur. Ils ont par exemple investi dans des systèmes de gestion de la production (MES), de gestion des services de terrain, ou des logiciels de centre d’appels. Cette approche peut conduire à des dépenses importantes. Mais aussi à une grande complexité, lorsque ces solutions se connectent difficilement au système ERP. L’ERP Cloud, avec ses nouvelles technologies et ses avantages, change tout cela et offre une intégration harmonieuse.


Les systèmes modernes d’ERP Cloud améliorent le flux de travail grâce à des processus rationalisés, ce qui aide les entreprises à fournir un meilleur service à la clientèle, à identifier les opportunités d’upselling et à améliorer le cycle « order to cash ».


Quels sont les 10 principaux avantages de l’ERP Cloud ?

Les entreprises qui sont passées à l’ERP Cloud l’ont fait pour les avantages suivants :

  1. Réduction des coûts: en tant que service par abonnement, il n’y a pas de frais initiaux pour l’achat et l’installation du matériel et des logiciels. De plus, vous réduisez les coûts informatiques et les frais de personnel. En effet, les mises à niveau et la maintenance sont prises en charge par le fournisseur. Selon le modèle de déploiement de l’ERP Cloud que vous choisissez – cloud privé ou public – les économies peuvent être significatives. Le cloud public, en particulier, permet d’importantes économies financières et de temps dans la gestion de la maintenance.
  2. Implémentation rapide et flexible : la mise en place d’un ERP Cloud est très rapide. Votre fournisseur SaaS s’occupe des installations de matériel et de logiciels et met à disposition un personnel spécialisé dans la gestion des centres de données. Tout comme les applications mobiles que nous connaissons tous, la même interface utilisateur intuitive et la même expérience sont disponibles dans les applications d’ERP Cloud. Cela vous permet de saisir les opportunités en gagnant rapidement en productivité. La maîtrise des applications est rapide, l’automatisation prévaut, et le lancement de nouveaux produits dans de nouveaux secteurs et environnements devient facile.
  3. Amélioration des opérations : les fournisseurs d’ERP en mode SaaS gèrent et fournissent des mises à jour continues du système. Ils améliorent les opérations, changent les processus obsolètes, introduisent des innovations, technologies et fonctionnalités qui soutiennent les meilleures pratiques. L’ERP Cloud améliore et accélère, non seulement les pratiques financières et comptables, mais les opérations dans toute l’entreprise. Et peut même s’étendre aux partenaires et aux réseaux.
  4. Simplicité et automatisation : les entreprises peuvent consolider d’anciennes applications autonomes, standardiser et intégrer toutes les applications existantes et nouvelles. Elles peuvent aussi éliminer l’utilisation de systèmes déconnectés et les solutions de contournement qui existent sur les feuilles de calcul Excel. Cette synchronisation aide à réduire la complexité.
  5. Nouvelles fonctionnalités : les fournisseurs de SaaS gèrent le logiciel qui est partagé par toutes les entreprises qui l’utilisent. Cela permet aux fournisseurs de développer rapidement de nouvelles fonctions, améliorations. Et de les fournir à toutes les entreprises par le biais de mises à jour continues, ainsi que plusieurs nouvelles versions plus importantes par an. Comme les mises à jour sont livrées à tout le monde en même temps, vous ne manquez jamais une opportunité comme par le passé. Lorsque vous attendiez que votre fournisseur mette à jour votre système ERP personnalisé.
  6. Visibilité accrue : obtenir des insights nécessite des données et des outils d’entreprise fiables pour extraire les informations pertinentes. Les ERP Cloud modernes ont été conçus pour déverrouiller le big data. Afin que vous puissiez accéder aux informations cachées dans des ensembles de données vastes et complexes. Les bons systèmes d’ERP Cloud sont construits sur des modèles de données plus récents qui permettent un traitement en mémoire à grande vitesse, avec une architecture de données simplifiée. Et si les anciens systèmes ERP fournissent des outils de reporting, les analyses approfondies et intégrées disponibles via le cloud améliorent la prise de décision et les bénéfices dans toute l’organisation. Voir les tendances, prévoir les changements et automatiser les processus améliorent l’utilisation des ressources et, finalement, le service à la clientèle.
  7. Prise en charge de l’ERP mobile : Les produits ERP en mode SaaS garantissent que l’accès aux informations pour les collaborateurs, les sous-traitants, les fournisseurs et les clients est disponible et sécurisé sur les appareils mobiles, partout et à tout moment. La mobilité ne peut pas être pensée après coup. Accéder à des interfaces modernes, conçues pour s’adapter aux écrans mobiles, est important pour les utilisateurs.
  8. Accès aux nouvelles technologies : Des technologies avancées et intelligentes sont intégrées dans les solutions ERP SaaS modernes pour améliorer la productivité. Ces technologies comprennent l’Intelligence Artificielle (IA), le Machine Learning, et l’Internet des Objets (IoT). Ce dernier permet notamment à des dispositifs (machines ou capteurs) d’envoyer des données à des applications via le cloud.
  9. Une sécurité renforcée : Avec les systèmes ERP Cloud, la sécurité et les sauvegardes de données sont assurées par des experts en sécurité à plein temps. Les fournisseurs de cloud computing disposent généralement de la meilleure sécurité de données qui existe. Les failles de sécurité dans les grandes et moyennes entreprises se produisent généralement avec des systèmes sur site. Cependant, une chaîne n’est pas plus solide que son maillon le plus faible. Pour éviter la vulnérabilité aux points d’intégration, les systèmes ERP Cloud doivent être complets, connectés et collaboratifs.
  10. Scalabilité : Comme la croissance peut être difficile à prévoir, la scalabilité est importante. Avec une solution SaaS, vous pouvez simplement ajouter une puissance de calcul ou une capacité de stockage de données supplémentaire. Ce qui vous évite d’engager des dépenses d’investissement importantes.

BONUS : avec l’ERP Cloud, si les entreprises utilisatrices identifient des problèmes communs ou des besoins non satisfaits, elles peuvent pousser le fournisseur à apporter des changements. La volonté de la foule prévaut souvent. En conséquence, l’innovation est plus réactive et plus rapide.

L’ERP Cloud est-il sûr ?

Avec toutes les actualités concernant les violations de données et les virus, on peut se demander si l’ERP Cloud est sécurisé. De fait, aucun système n’est inviolable. Mais le degré de sécurité de votre système dépend de la manière dont il a été déployé et de qui le gère.

Voici quelques points clés à prendre en compte :

  • Vol de données : C’est probablement l’un des sujets les plus brûlants de l’actualité. De grandes entreprises ont vu leurs données volées et les informations privées de leurs clients compromises. Toutefois, l’examen des cas de violations de données montre que ces dernières étaient, le plus souvent, stockées dans les locaux de l’entreprise, et non dans le cloud.
  • Perte de données : Perdre des fichiers est une chose terrible. Mais cela peut arriver lors d’une catastrophe naturelle, d’un effacement de données par erreur ou d’une panne informatique. L’unique solution pour s’en prémunir est de faire des sauvegardes régulières. Avec l’ERP Cloud, les fournisseurs d’infrastructures effectuent des sauvegardes hors site régulières et de manière redondante. En cas de perte de données, il est facile de les restaurer pour que le système soit rapidement remis en marche.
  • Sécurité : il est de la plus haute importance d’avoir le bon niveau de sécurité. Les ETI disposent généralement d’un personnel informatique limité. Ce personnel s’occupe généralement de l’infrastructure, des mises à jour du système et des problèmes des utilisateurs. Les PME, quant à elles, disposent très rarement d’un personnel de sécurité informatique à plein temps. Avec un fournisseur d’ERP Cloud réputé, les PME/ETI ont automatiquement des experts en sécurité à plein temps. Disponibles 24 /24 et 7/7, ils s’assurent que toutes les mises à jour et procédures de sécurité sont réalisées.

Compte tenu de ce qui précède, l’ERP Cloud constitue une option plus sûre qu’un déploiement sur site.

Ne remettez pas à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui

L’ERP Cloud est une solution éprouvée et mature. Aujourd’hui utilisée par des milliers d’entreprises dans le monde, et probablement par bon nombre de vos concurrents.

Pour la majorité des ETI et grandes entreprises, la migration vers le « cloud » est une étape inévitable pour passer au niveau supérieur. Les avantages de processus accélérés, d’une visibilité accrue et d’un retour sur investissement plus rapide peuvent être vérifiés par des rapports d’analystes (de Gartner, Aberdeen, Forrester, etc.) et par des exemples de réussite de clients de votre secteur.

Publié en anglais sur SAP Insights

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Source de l’article sur sap.com

business optimisationIn my previous article from this series I shared the logical view of the business optimisation use case for retail stores.

The process was laid out how I’ve approached the use case and how portfolio solutions are the base for researching a generic architectural blueprint.

Source de l’article sur DZONE

SAP SE (NYSE : SAP) a annonce que le groupe Flint, l’un des plus grands fournisseurs d’encres, de presses d’impression numérique et d’autres produits destinés à l’industrie de l’impression et de l’emballage, a centralisé et digitalisé ses processus d’achats indirects et d’achats de services grâce aux solutions SAP Ariba. L’entreprise a ainsi gagné en efficacité, réduit ses coûts et amélioré le contrôle de ses dépenses.

Les solutions SAP Ariba ont remplacé les processus procure-to-pay jusque-là manuels de Flint Group, qui nécessitaient des commandes individuelles pour chaque fournisseur. Grâce à une plate-forme unique et unifiée dans le cloud, l’entreprise a standardisé son processus d’achat dans l’ensemble de son entreprise et a rendu les actes d’achats, la facturation et la comptabilité plus faciles et plus transparents pour les employés, les fournisseurs, les managers et le service comptabilité.

« Nous avons considérablement amélioré l’expérience d’achat de nos employés et l’efficacité des processus grâce à notre migration vers le cloud et à la mise en œuvre des solutions SAP Ariba », a déclaré Arno de Groot, vice-président, Procurement Packaging, Flint Group. « De plus, grâce à un système d’achat unifié complet, nous avons une meilleure visibilité sur les dépenses, ce qui nous permet de prendre des décisions d’achat plus éclairées et a un effet positif sur nos résultats ».

Le groupe Flint opère dans plus de 130 centres répartis sur six continents et travaille avec un réseau vaste et diversifié de fournisseurs pour satisfaire ses clients. Avant la mise en œuvre des solutions SAP Ariba, la gestion des achats indirects du groupe était complexe et chronophage. Le manque de transparence des dépenses et l’incohérence des données se traduisaient par une vision incomplète des coûts et une incapacité à prendre des décisions d’achat bien informées. Maintenant que les solutions SAP Ariba sont en place et intégrées à l’application SAP ERP de l’entreprise, le groupe Flint a pu :

  • Offrir à ses employés une expérience utilisateur intuitive leur permettant de prendre des décisions d’achat guidées tout en réduisant les dépenses superflues.
  • Améliorer la conformité, l’exactitude comptable et ses processus de comptabilité fournisseurs en joignant un bon de commande (purchase order) à presque toutes les factures
  • Mettre en place un programme de fournisseurs privilégiés, en réduisant le nombre de fournisseurs et en contribuant à maximiser les incitations et les rabais tout en améliorant l’expérience des fournisseurs
  • Gagner en visibilité sur le stock existant, ce qui permet d’éviter les doubles acquisitions et les achats inutiles

Pour en savoir plus sur la transformation digitale du groupe Flint, cliquez ici.

 

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Source de l’article sur sap.com

Paris le 2 mars 2021 – SAP France confirme une nouvelle fois son engagement en faveur de la diversité femmes-hommes dans le secteur des nouvelles technologies en signant la charte « Femmes & IA » du Cercle InterElles. Co-construite avec SAP, celle-ci vise à lutter efficacement contre les risques de biais cognitifs discriminants lors de la conception ou lors de l’utilisation de solutions ou de dispositifs à base d’intelligence artificielle. Cette signature s’inscrit plus largement dans la vision de SAP pour un secteur des nouvelles technologies plus paritaire et non-sexiste.

« L’intelligence artificielle est le miroir de nos représentations sociales et culturelles. C’est un outil puissant d’interprétation du réel avec le risque d’en amplifier les dérives. Fort de la connaissance des biais et opportunités de cette technologie, il s’agit d’ouvrir aujourd’hui une ère nouvelle bénéficiant des apports du numérique de façon responsable. », l’équipe « Femmes & IA » du Cercle InterElles

Cette charte sera présentée le jeudi 4 mars 2021 lors du 20e Colloque du Cercle InterElles, en présence d’Élisabeth Moreno, Ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances.

Investie dans le Cercle InterElles depuis juillet 2019 via son réseau SAP Business Women’s Network, SAP décide ainsi de s’engager davantage sur la question de l’intelligence artificielle en signant la charte « Femmes & IA » pour une intelligence artificielle responsable et non-sexiste. Celle-ci repose sur sept principes fondamentaux : le comité IA et la gouvernance, la conformité dès la conception, le choix et le traitement des données, la responsabilité et l’éthique algorithmique, l’évaluation et les points de contrôle, la diversité des équipes IA, la sensibilisation et la responsabilisation.

Prenant ce sujet très au sérieux, c’est au plus haut niveau que SAP s’engage, avec l’appui de de son comité exécutif. Premier signataire de la charte, SAP est rejoint par d’autres entreprises qui seront dévoilées le 4 mars 2021 lors 20eColloque du Cercle InterElles.

« SAP est un acteur clé de l’IA dans le monde mais aussi en France. Sur notre R&D de 1200 personnes dans l’hexagone 150 ingénieurs sont dédiés à cette technologie dans notre centre à Paris. Nos technologies d’IA inclues dans nos solutions RH permettent à nos clients de lutter contre les biais. SAP est également engagé depuis de longues années sur les sujets de la mixité. Nous pilotons ainsi un groupe de travail sur cette thématique à Tech For Good depuis plusieurs années. Il était donc tout naturel d’aller plus loin avec cette charte  », explique Gérald Karsenti, Président de SAP France

« SAP prend ainsi à cœur d’assumer son rôle de leader mondial du logiciel d’entreprise qui lui donne une responsabilité sur des sujets aussi importants que celui-ci : les dernières évolutions de nos logiciels vont vers l’Entreprise Intelligente, ce qui, bien entendu, comprend l’utilisation de l’intelligence artificielle. La problématique la plus importante est la confiance des utilisateurs dans ces technologies avancées, nous travaillons donc par exemple à l’intégration des techniques d’explications dans nos offres analytiques, qui permettent d’expliquer les résultats, y compris donc les biais. De plus nous avons une démarche proactive avec un comité d’éthique IA depuis 3 ans », explique Erik Marcadé, Directeur du SAP Labs Paris.

Distinguée pour la deuxième année consécutive par le Bloomberg Gender-Equality Index, SAP met en place de nombreuses initiatives, telles que les programmes Les Décodeuses et Femmes Entrepreneures, pour promouvoir la parité dans un secteur encore largement dominé par les hommes.

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Source de l’article sur sap.com

In my previous article from this series I introduced a use case around business optimisation for retail stores. 
The process was laid out how I’ve approached the use case and how portfolio solutions are the base for researching a generic architectural blueprint.
The only thing left to cover was the order in which you’ll be led through the blueprint details.

This article starts the real journey at the very top, with a generic architecture from which we’ll discuss the common architectural elements one by one.

Blueprints review

As mentioned before, the architectural details covered here are base on real solutions using open source technologies. The example scenario presented here is a generic common blueprint that was uncovered researching those solutions. It’s my intent to provide a blueprint that provides guidance and not deep technical details.

Source de l’article sur DZONE


How Does Cloud PLM Differ from On-premise Solutions?

While on-premise Agile PLM allows for product development, processes, and development of product records and more; these are essential features of any PLM. Moving to the Cloud brings you a step ahead in the product conception, with the following advantages:

  • The cloud allows for the identification of individual tasks related to each status of the workflow and the overall change.
  • The cloud has powerful security that enables roles and privileges control to directly. Agile PLM on the other hand has no team security.
  • Cloud provides Page Composer that allows complete customization of the page layout while Agile does not.
  • Sub-classes are of unlimited levels in the cloud, and only of three levels in Agile: base class, class, and subclass.

To make the transition to the cloud easier, GoSaaS has a clear and well-defined process that captures input from within the company to ensure every requirement is fulfilled.

Source de l’article sur DZONE

Le mois dernier, 162 personnes d’horizons très différents ont embarqué à bord d’un navire pour rejoindre le Sommet contre la pollution plastique des océans (OPLS) dans le gyre de l’Atlantique Nord, un système circulaire de courants océaniques. Ces personnes ont pris part à une expédition de recherche expérimentale pour mieux comprendre l’étendue de la pollution plastique, et pour développer des partenariats et des solutions intersectorielles en vue de relever ce défi mondial au cours de la prochaine décennie.

Organisée par SoulBuffalo, cette expérience immersive a été conçue pour mettre les décideurs en situation, afin qu’ils puissent observer et ressentir par eux-mêmes le côté catastrophique de la pollution plastique. Selon l’Oceanic Society basée en Californie, entre 4 et 12 millions de tonnes métriques de plastique sont déversées chaque année dans l’océan, soit suffisamment pour couvrir tout le littoral de la planète ! Et ces chiffres devraient plus que doubler dans les dix prochaines années.

Cependant, la pollution plastique océanique est un problème que nous pouvons résoudre. Nous savons comment ramasser les ordures et nous savons comment les recycler. Selon Ted Siegler, un économiste spécialisé dans les ressources qui a travaillé pendant 25 ans sur la gestion des ordures dans les pays en développement, l’urgence est de construire les institutions et systèmes nécessaires pour y parvenir avant que l’océan ne se transforme irrémédiablement en une « soupe plastique » dénuée de toute forme de vie.

Pas un poisson en vue

Le groupe OPLS était constitué de producteurs, fabricants, marques, recycleurs et syndicats d’éboueurs. Étaient également au rendez-vous des experts financiers, des scientifiques, des revues comme le National Geographic, des chercheurs, des leaders éclairés et des innovateurs, depuis les cadres d’entreprises telles que Coca-Cola, Nestlé, Procter & Gamble et Dow Chemicals, jusqu’aux ONG telles que Greenpeace, WWF et Ocean Conservancy.

Chaque fois que le navire s’approchait d’algues sargasses, les participants interrompaient leurs réunions pour sauter dans des bateaux pneumatiques munis de leur équipement de plongée.

Ils ne virent aucun poisson de la journée. Et au début, ils ne virent pas beaucoup de plastique non plus. Le plastique est trompeur, car il n’est pas visible à la surface. Dans l’océan, il se décompose en petites particules qui sont capturées par les algues et ingérées par les espèces marines.

« Le vrai problème, c’est ce qui n’est pas visible », déclare Michael Groves, PDG de Topolytics, une entreprise d’analyse de données dédiée à la gestion des déchets, qui participait à l’expédition. Il explique que sur une distance d’un kilomètre, le navire a récupéré 76 débris microplastiques immédiatement sous la surface.

Multipliez ce chiffre par la quantité de microplastique présente dans la colonne d’eau qui descend jusqu’à une profondeur de 2,5 kilomètres et vous comprendrez l’immensité du problème.

Accepter la responsabilité

Comme l’explique Virginie Helias, directrice du développement durable chez Procter & Gamble, « le problème de la pollution plastique dans nos océans relève de la responsabilité de tous aujourd’hui, y compris des entreprises qui produisent et utilisent une grande partie du plastique dans le monde. »

John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace, le confirme.

« Les personnes présentes sur ce navire représentent des entreprises responsables d’une grande partie de l’empreinte plastique de la planète. Nous avons donc réuni ici les personnes réellement à même de résoudre le problème de la pollution plastique », a-t-il affirmé. « Plusieurs entreprises se concentrent sur des solutions en aval telles que le recyclage et l’éducation des consommateurs, mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un plus grand nombre d’individus, d’entreprises et de gouvernements qui assument la responsabilité de la fin de production. »

John Hocevar estime que nous ne pourrons pas venir à bout de la pollution plastique tant que nous continuerons à en tirer parti et déclare que la plupart des entreprises ne sont même pas conscientes de la quantité de plastique qu’elles produisent. Le point de départ pour toute entreprise est d’évaluer son empreinte plastique, puis de se fixer des objectifs pour la réduire.

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Plusieurs marques durables comme Procter & Gamble intensifient leurs initiatives en matière d’économie circulaire pour réduire, réutiliser et recycler les matières plastiques et autres ressources, et beaucoup d’autres prennent des mesures pour lancer des initiatives similaires.

Adidas, par exemple, fabrique des chaussures à partir du plastique repêché dans les océans. L’on doit cette idée à John Warner, un fondateur de la chimie verte, qui faisait partie de l’expédition.

Dow Chemicals, l’un des sponsors de l’expédition OPLS, a récemment annoncé qu’il participerait à une levée de fonds mondiale d’un milliard de dollars pour venir à bout des déchets plastiques dans l’environnement.

Jim Sullivan, qui pilote l’accélérateur d’innovation de SAP en matière de développement durable à l’échelle mondiale et qui a participé à l’organisation de l’expédition, souligne que pour résoudre une crise mondiale de cette ampleur, nous devons entamer un dialogue ouvert et parfois difficile avec les différentes parties prenantes. Nous devons également adopter une approche multisectorielle qui permette d’identifier les compromis avec d’autres défis mondiaux, tels que le changement climatique, afin d’éviter des conséquences graves. De plus, nous devons utiliser des métriques communes pour donner la priorité aux activités les plus significatives et suivre les progrès réalisés sur la voie des aspirations telles que le « zéro plastique » dans la nature en 2030.

Préserver plutôt que consommer

Il n’existe aucune solution ou entreprise capable de résoudre ce problème à elle seule. Les partenariats et les solutions évolutives tels que le Sommet contre la pollution plastique des océans constituent une pièce centrale du futur que nous devons inventer.

Dans un premier temps, il vaudrait la peine de revenir sur le « conflit d’intérêts initial entre les populations autochtones et les populations à l’ère industrielle, à savoir la gestion de la terre, de l’eau, du feu et de l’air ». Selon Patricia Anne Davis, gardienne de la sagesse navajo, ce conflit d’intérêts est toujours d’actualité.

Les populations autochtones ont protégé ces éléments depuis le début de l’humanité, alors que les populations à l’ère industrielle ont saccagé la planète en seulement un ou deux siècles. Ce conflit n’est plus durable et doit cesser, dans l’intérêt de tous les êtres humains de la planète.

« Nous devons passer de la consommation à la préservation », indique Damien Johnson, qui participait au sommet en tant que représentant du bureau d’innovation SAP en Amérique du Nord. Damien Johnson estime que la solution comporte deux volets : premièrement, stopper l’introduction de nouveaux déchets plastiques et deuxièmement, améliorer les processus de recyclage des déchets existants.

« L’utilisation du plastique a été motivée par l’innovation et le souhait d’améliorer l’expérience client.  Nous devons à présent utiliser la technologie et l’innovation pour maintenir cette expérience, mais supprimer les matières plastiques à usage unique », conclut-il.

Créer de la valeur

L’un des problèmes qui se pose avec les déchets plastiques, c’est qu’ils ne possèdent pas encore de valeur marchande…

Dans de nombreux pays comme le Brésil et l’Inde, les ramasseurs de rue récupèrent du métal, des guenilles et du papier, puis les revendent en vue de leur recyclage. Mais la plupart des matières plastiques n’intéressent personne, car elles ne possèdent aucune valeur marchande.

« Le pire, c’est que les entreprises qui veulent utiliser du plastique recyclé ont du mal à en trouver sur le marché », déclare Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP.

C’est pour cette raison que Padmini Ranganathan et son équipe sont en train d’intégrer de nouvelles entreprises comme Plastics for Change sur Ariba Network, pour associer l’économie parallèle de ramassage de déchets à des systèmes plus officiels d’offre et de demande de matières secondaires.

« Nous devons intégrer les déchets plastiques dans la chaîne logistique, afin qu’ils ne soient pas récupérés dans le secteur illégal, car les éboueurs travaillent dur pour trier et convertir les déchets en valeur marchande », prévient Padmini Ranganathan.

La solution à long terme passe par un changement de fond, aussi bien dans le système de flux d’articles que dans les systèmes numériques.

« Outre les ERP et les processus de gestion, nous devons exploiter des systèmes numériques agiles et évolutifs au fur et à mesure que la chaîne logistique du plastique se transforme », déclare Padmini Ranganathan.

Technologie et travail d’équipe

Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, ces experts estiment que si les gouvernements, les ONG, les consommateurs et les entreprises s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. En effet, la plupart des matières plastiques sont rejetées dans l’océan par cinq fleuves en Asie, ce qui signifie qu’une simple réduction de 20 % des matières plastiques déversées dans les cours d’eau au cours des sept prochaines années permettrait de revenir aux niveaux de pollution plastique océanique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. En réunissant les entreprises, les gouvernements, les ONG et les groupes de protection des océans, il est possible de créer une solution globale pour un avenir durable.

Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com