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L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes passe par une mobilisation de tous. L’index de l’égalité femmes-hommes mesure les écarts de salaire entre ces derniers pour lutter contre les irrégularités, cause nationale du quinquennat du Président de la République.

 

SAP Labs France a placé la mixité et la parité au cœur de sa stratégie d’entreprise depuis plusieurs années. Cette stratégie engagée permet aujourd’hui à SAP Labs France d’afficher un Index de 93/100.

 

Cet index propose une note globale de 100 points, sur la base de cinq critères :

  • L’écart de rémunération femmes-hommes sur 40 points
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles sur 20 points
  • L’écart de répartition des promotions sur 15 points
  • Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité sur 15 points
  • La mixité des dix plus hauts salaires de l’entreprise sur 10 points

 

L’index met en lumière l’avance de SAP Labs France sur 4 des 5 indicateurs, avec une amélioration sur l’aspect mixité des dix plus hauts salaires et un maintien des notes maximales sur les aspects d’augmentation salariale et de promotion, mais également sur les augmentations salariales pour les femmes au retour de congé maternité. Celles-ci sont systématiques chez SAP Labs France et ancrées dans ses pratiques.

 

Parce que mixité et égalité sont des valeurs fondamentales nécessaires au développement personnel et professionnel de ses équipes, SAP Labs France réaffirme son engagement à atteindre une équité à tous les niveaux et dans tous les métiers.

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Source de l’article sur sap.com

Les risques croissants liés aux cybermenaces, à la protection des données et aux nouvelles lois sur la confidentialité poussent les entreprises leaders à identifier et mettre en place des mesures efficaces de limitation des risques.

Alors que votre entreprise s’engage dans la transformation numérique et transfère toujours plus d’applications vers le cloud, vous avez besoin d’une sécurité plus intelligente, automatisée et intégrée. SAP vous aide à atteindre ces objectifs avec les solutions SAP pour la cybersécurité et la protection des données. Ces solutions uniques considèrent en parallèle les transactions métier et les risques liés à la sécurité, et contribuent à la sécurité des données, propice à une confiance numérique durable.

Nos solutions vous aideront à :

  • Détecter et traiter les activités suspectes dans les environnements logiciels SAP®.
  • Analyser le langage de programmation ABAP® et le code source non-ABAP pour identifier les risques.
  • Effectuer une surveillance des systèmes et applications à gros volumes, avec alertes et outils analytiques, mais aussi intégration à d’autres outils de gestion des événements et des informations de sécurité (SIEM).
  • Assurer le contrôle de vos données et une transparence optimale dans les environnements de type Hyperscale (clouds publics).
  • Gérer et faciliter la sécurisation des données personnelles, en toute conformité, avec notamment des capacités liées au masquage et à la journalisation.

Invitation spéciale :

Rejoignez-moi, ainsi que mes collègues Evelyne Salie, Anne Marie Colombo et Wasif Gilani, pour obtenir des informations de SAP, mais aussi de notre invité spécial, Kevin Heckel de Deloitte, le 23 mars 2021, pour notre présentation intitulée « Cybermenaces, confidentialité et sécurité », proposée dans le cadre du sommet virtuel SAP Finance and Risk.

Nous évoquerons ces sujets et la façon dont les technologies SAP peuvent aider les professionnels de la sécurité, de la protection des données et de la confidentialité à transformer votre approche en matière d’automatisation et de conformité.

Wasif Gilani nous parlera d’une nouvelle solution incontournable : SAP Data Custodian.

Nous évoquerons également deux autres solutions : SAP Enterprise Threat Detection et notre tableau de bord de cybersécurité SAP Analytics Cloud (Arndt Lingscheid et Gabriele Fiata).

En somme, nous vous proposons 45 minutes particulièrement riches et intenses, axées sur la cybersécurité et la protection des données, et la présentation de multiples fonctionnalités absolument incontournables.

Nous sommes impatients de vous retrouver à l’occasion de cet événement virtuel unique !  Rendez-vous à 11 h (UTC-4) ou bien à la demande, une fois l’événement terminé.

Et en attendant, voici quelques suggestions :

Consultez ce document de deux pages consacré à la manière dont Deloitte a utilisé SAP Enterprise Threat Detection pour optimiser la surveillance des menaces de sécurité pour nombre de ses applications.

Accédez à notre dizaine de sessions à la demande pour bénéficier de présentations de produits approfondies et pour découvrir les nombreux cas dans lesquels SAP utilise ses propres solutions pour gérer les risques, automatiser des centaines de contrôles et effectuer ses propres programmes d’audit interne à travers l’entreprise. Inscrivez-vous pour regarder la session de votre choix et approfondir les domaines de la GRC (gouvernance, gestion des risques et conformité), de la gouvernance des accès, de la confidentialité et de la cybersécurité.

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Source de l’article sur sap.com

En août 2018, Microsoft avait fait la une des journaux en exigeant de ses fournisseurs qu’ils mettent en œuvre des politiques de congé parental rémunéré. Toute société qui souhaitait vendre des biens et des services à Microsoft devait offrir à ses salariés un congé payé d’au moins 12 semaines.

Voici un exemple de grande entreprise qui cherche à influencer ses fournisseurs, et pas uniquement sur le niveau de prix : il s’agit de voir au-delà des coûts financiers pour également prendre en compte les coûts sociaux et environnementaux. Lors du Social Enterprise World Forum (événement pour encourager le développement des entreprises solidaires) les participants ont mentionné que si les grandes entreprises adoptaient des exigences plus durables en matière d’approvisionnement, cela pourrait avoir un impact positif sur les bénéfices, les populations et la planète.

Johnson & Johnson, l’un des plus grands laboratoires pharmaceutiques au monde, a assisté à l’événement. Julian Hooks est directeur des achats (B2B) chez Johnson & Johnson. Il a déclaré : « Nous cherchons à faire du monde un endroit plus sain, étape par étape, et ce en partie via notre stratégie d’approvisionnement. ». La stratégie de Johnson & Johnson est de privilégier les achats auprès de fournisseurs qui sont des entreprises détenues par des femmes ou une minorité.

Selon Julian Hooks, en 2017, la société a dépensé 1,45 milliard de dollars auprès d’entreprises détenues par des femmes ou des gens de couleur. Selon lui, « pour changer l’image de l’industrie pharmaceutique, il faut changer l’image de la chaîne logistique. C’est ainsi que l’on pourra faire progresser la société et exercer un impact. ». Comme Johnson & Johnson opère dans 165 sociétés et travaille avec 70 000 fournisseurs dans le monde entier, il renferme le potentiel de favoriser considérablement la diversité aux postes dirigeants à l’échelle mondiale.

La technologie facilite les achats solidaires. La technologie peut également promouvoir les biens et services que les entreprises solidaires proposent aux entreprises commerciales. C’est là qu’est intervenue SAP, fournisseur mondial de logiciels. Marcell Vollmer, directeur de la stratégie digitale de SAP Ariba, a expliqué dans son allocution au Social Enterprise World Forum (SEWF) comment Ariba Network (anciennement Ariba, fournisseur cloud pour l’approvisionnement en ligne acquis par SAP en 2012) connecte plus de 3,5 millions de sociétés dans le monde à des entreprises socialement responsables.

« Lorsque nous discutons avec des professionnels de l’approvisionnement, nous constatons qu’ils tentent de résoudre divers problèmes dans les chaînes logistiques, notamment l’esclavage, la pauvreté et la diversité. Cependant, ils manquent de visibilité et de données sur leurs fournisseurs, ce qui leur complique la tâche », explique M. Vollmer. SAP Ariba fournit cette visibilité et peut surveiller plus de 200 critères différents, tels que la performance environnementale, les pratiques professionnelles et commerciales équitables ou encore la diversité parmi les cadres dirigeants. Ces informations permettent aux sociétés d’évaluer les risques et de classer les fournisseurs potentiels, ce qui se traduit par des chaînes logistiques plus éthiques et durables.

Étant donné que SAP Ariba met en relation plus de 3,5 millions de sociétés pour un volume de transactions commerciales d’environ 2 100 milliards de dollars, elle offre aux entreprises solidaires une occasion formidable d’accéder à un marché plus vaste. Les sociétés peuvent ainsi adopter des stratégies commerciales plus durables, simplement en achetant auprès de fournisseurs socialement responsables.

SAP développe également un écosystème de partenaires qui aide les sociétés à trouver des entreprises à vocation sociale. Par exemple, grâce à son partenariat avec Made in a Free World, SAP Ariba a réduit le nombre de produits fabriqués par des travailleurs esclaves, en offrant une transparence sur les pratiques professionnelles des fournisseurs. SAP collabore également avec des organisations comme ConnXus dans le but de promouvoir la diversité des fournisseurs : elle aide les sociétés à trouver des petites entreprises, détenues par des femmes ou des minorités.

Cet article est également disponible sur Medium : Innovation Spotlight.

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Source de l’article sur sap.com

De nombreuses études (1) estiment que les organisations financières dédient plus de 50% de leur charge de travail à la collecte et l’analyse de données. C’est pourquoi l’automatisation est un outil à fort potentiel.

Avec la plateforme SAP S/4HANA, l’ERP nouvelle génération, SAP introduit un ensemble de techniques  permettant à la machine d’imiter une forme d’intelligence réelle, l’Intelligence Artificielle.

Les domaines d’application sont nombreux et peuvent être mis au service de la transformation de la fonction finance.

Le Machine Learning  pour optimiser la réconciliation bancaire

La réconciliation bancaire est un exemple de processus qui implique de nombreuses actions manuelles, notamment pour les flux d’encaissements :

  • des volumes importants de paiements à réconcilier manuellement malgré des règles prédéfinis,
  • des paiements sans références factures, des données de base incomplètes, des paiements avec écarts qui complexifient les actions de réconciliation,
  • des règles spécifiques à mettre en place en fonction des pays, des formats, des modes de paiements.

SAP introduit dans la suite SAP S/4HANA, une solution innovante basée sur du Machine Learning et permettant d’atteindre des taux d’automatisation proche de 97%.

La solution apprend des données et actions historiques, c’est-à-dire des répétitions (patterns) dans un ou plusieurs flux de données (extraits de comptes électroniques, avis de paiements, banques partenaires/sociétés,…) et en tire des prédictions de réconciliation en se basant sur des statistiques.

Les critères de réconciliation sont ainsi continuellement affinés et  les nouveaux cas, les exceptions, traités en autonomie. Les taux d’automatisation considérablement améliorés contribuent à réduire les coûts de déploiements et coûts opérationnels.

L’analyse prédictive pour améliorer la prise de décision

L’évolution constante des modèles économiques  impose aux directions financières de gagner en efficacité et en agilité. Elles doivent anticiper les impacts sur les revenus, la profitabilité, l’affectation des ressources afin d’orienter la stratégie de l’entreprise.

La plateforme SAP S/4HANA embarque des scénarios d’analyses prédictives permettant d’établir des prévisions de chiffre d’affaires très fiables via des algorithmes se basant sur des données actuelles et historiques, internes et externes à l’organisation tel que le pipeline des ventes, les tendances du marché, l’évolution du PIB d’un pays, etc.

Ces prédictions effectuées en temps réel alimentent le processus de planification budgétaire et sont déclinées à tous les niveaux de l’organisation où des ajustements peuvent être effectués.

A cela s’ajoutent des outils de simulation permettant de visualiser l’impact des choix stratégiques tel que les changements d’organisation, le développement de nouveaux produits, etc.

Lutter contre la fraude et la cybercriminalité

La crise sanitaire et économique inédite que nous vivons ouvre aux fraudeurs de nouvelles failles pour parvenir à leurs fins. De nombreuses attaques n’étant jamais identifiées, il est impossible de déterminer avec précision les pertes pour les entreprises. En 2020, d’après l’ACFE Report to the Nations (2), la fraude et la cybercriminalité ont causées des pertes estimées à plus de 3 Milliards € dans 125 pays  (~5% du chiffre d’affaires des entreprises concernées, avec une moyenne de 415 K€ par attaque en Europe).

Avec SAP S/4HANA, SAP propose des solutions pour contrôler des volumes importants de transactions, identifier en temps réel les menaces et transactions frauduleuses et ainsi limiter les risques de pertes financières.

L’Intelligence Artificielle émet des recommandations permettant d’affiner continuellement les règles de contrôle et l’identification de nouveaux schémas de fraude sur la base de données historiques internes comme externes. Les taux d’efficacité dans la détection des anomalies et des fraudes se trouvent considérablement améliorés.

Au-delà des multiples scénarios disponibles en standard, SAP complète son offre SAP S/4HANA par une plateforme d’innovations dans le cloud (Business Technology Platform) qui permet de développer des applications et extensions autour du cœur SAP S/4HANA.

À travers la Business Technology Platform, les départements financiers ont accès aux technologies innovantes tel que le Machine Learning, l’analyse prédictive, les chatbots ou encore la Blockchain, à partir desquelles ils peuvent imaginer de nouveaux cas d’usages.


(1) A future that works: Automation, employment and productivity, Mckinsey&Company

(2) Report to the Nations, ACFE

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Source de l’article sur sap.com

La Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels (DNCCGCP) de la Ligue Nationale de Basket (LNB) s’appuie avec succès sur la solution SAP Analytics Cloud pour répondre à 4 grands principes : assurer la pérennité des clubs, favoriser le respect de l’équité sportive, contribuer à la régulation économique des comptes et évaluer la santé financière des clubs. Le besoin initial : mettre en place un outil fiable et performant pour consolider les données financières et analyser ces dernières facilement. Cette collaboration s’inscrit dans la continuité de la stratégie de digitalisation de la LNB.

La Ligue Nationale de Basketball organise et gère les championnats professionnels masculins par délégation de la Fédération Française de Basketball.

Centraliser sur le cloud les données financières des 18 clubs français

Les données financières de chaque club sont réparties sur des postes produits et des postes charges. Les postes produits, principales sources de recettes, sont liés aux matchs (billetterie, buvette et merchandising), aux subventions des collectivités territoriales, au sponsoring privé et aux droits TV. Les postes charges sont quant à eux liés aux salaires des joueurs et des entraîneurs. Pour créer un socle commun et centraliser toutes ces données, la LNB a fait le choix de SAP Analytics Cloud pour ses capacités de stockage et de transmission des données, son aspect collaboratif mais aussi pour ses états de restitution simplifiés. Toutes les données sont désormais stockées sur le cloud SAP pour plus de simplicité, d’accessibilité et de gain financier.

« La Ligue Nationale de Basket a engagé une stratégie tournée vers le numérique il y a plusieurs années. Elle a même créé cette année sa propre chaine OTT. En choisissant SAP Analytics Cloud, nous avons fait le choix d’avoir un socle commun qui permet de veiller à la santé financière des clubs, d’évaluer les zones de risques et d’identifier les irrégularités. Le Cloud était important car n’engendrait pas de coût pour les clubs et apportait beaucoup de simplicité d’usage », explique Paul Lafont, Référent de la Commission de Contrôle de Gestion et du Conseil Supérieur de Gestion Contrôleur de Gestion.

Réduire les temps de traitement et accélérer la prise de décision

En 2017, la LNB et SAP créent une architecture commune visant à imposer un plan comptable à tous les clubs pour faciliter le contrôle de leurs données, comparer leurs santés financières et mieux évaluer les zones de risques. Etendue ensuite aux clubs en septembre 2018, la solution SAP apporte de nombreux bénéfices métiers aux clubs et à la LNB comme :

  • Un stockage de données et la création d’un historique instantané et accessible à tous.
  • L’importation directe des balances comptables dans l’outil : gain de temps, limite du risque d’erreur, pas de ressaisie des données de l’échéance précédente…
  • Le développement de la capacité d’analyses des clubs à travers des états de restitution.
  • L’optimisation des flux liés à la collecte instantanée des infos financières.

Désormais, la LNB possède une vue instantanée des comptes des clubs. Les gains de temps sont également très importants. Pour les clubs, la soumission des données financières est désormais 8 fois plus rapide, passant de deux jours ouvrables à deux heures chaque cycle budgétaire. La LNB a également gagné 1,5 jours de saisie manuelle des données pour chaque cycle budgétaire grâce à l’importation automatisée des données.

«Les capacités de planification de SAP Analytics Cloud nous permettent de collecter, stocker et analyser plus efficacement les informations financières de toutes nos équipes. Cela nous fournit des informations financières fiables et approfondies qui nous aident à remplir notre mission et contribuent à assurer la viabilité économique des clubs. La solution nous a permis de prendre des décisions rapides pendant la pandémie COVID-19, avec des simulations montrant les impacts financiers de l’interruption de la saison », conclut Paul Lafont.

Consultez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

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Source de l’article sur sap.com

La plupart des pays industrialisés recyclent leurs déchets depuis déjà des décennies. Nous trions le verre, le plastique, le papier et le textile en les jetant dans les poubelles prévues à cet effet. Mais qu’advient-il ensuite de ces déchets ? En faisons-nous assez ? Et qu’en est-il des régions qui sont devenues des dépotoirs ou qui n’ont pas mis en place de systèmes de recyclage ?

Malgré nos efforts, près de 9 millions de tonnes de plastique sont déversés chaque année dans les océans en raison de notre modèle de consommation linéaire actuel Extraire, Fabriquer, Jeter.

L’entassement des déchets dans les décharges n’arrange rien. Pas moins de 1,3 milliard de tonnes de déchets sont mis en décharge chaque année et ce chiffre devrait grimper à 2,2 milliards de tonnes en 2025. Les dommages causés à l’homme, à la faune sauvage et à l’environnement sont considérables, mais nous pouvons prendre des mesures pour les atténuer.

Le cas des vêtements

Outre les déchets plastiques et électroniques, les textiles, notamment les textiles non biologiques, sont en grande partie responsables du problème. Selon l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA), les Américains jettent 13,1 millions de tonnes de textiles par an, dont 15 % seulement sont recyclés. Cela signifie que plus de 11 millions de tonnes de textiles sont déversés chaque année dans les décharges, libérant dans le sol des colorants et des produits chimiques qui contaminent les eaux souterraines et nuisent à l’environnement. Pire encore, à mesure que les textiles se décomposent, ils libèrent du méthane, un gaz à effet de serre nocif qui contribue de manière significative au réchauffement climatique.

L’industrie textile est la plus polluante après le logement, le transport et l’alimentation. L’apparition des achats en ligne a bouleversé nos habitudes. Aujourd’hui, les consommateurs commandent les articles en plusieurs tailles ou plusieurs couleurs, les essaient et retournent ce qui ne leur convient pas, ce qui crée de nouveaux défis pour les commerçants. De nombreux détaillants sont contraints de jeter plus de 25 % des articles retournés, soit des tonnes de marchandises neuves déversées chaque année dans les décharges.

Dans ce contexte, le secteur de la mode éphémère est soumis à de fortes pressions pour repenser sa stratégie de production et merchandising en vue de réduire les dommages écologiques.

Quatre gestes pour réduire les déchets

La protection de l’environnement relève de la responsabilité collective. Si les gouvernements, les consommateurs, les fabricants et les détaillants font leur part du travail, il est encore possible d’inverser la tendance. En tant que citoyens et consommateurs, nous avons un rôle important à jouer.

Nous pouvons tous refuser d’acheter des articles en plastique à usage unique, des produits vendus dans des emballages superflus ou des vêtements bon marché qui finissent dans des décharges après avoir été portés une ou deux fois.

Nous pouvons réduire les déchets en évitant d’en générer, par exemple en réduisant le volume des marchandises achetées en ligne, puis retournées au vendeur. Pour ce qui est de la réutilisation, cette pratique est en plein essor. Des friperies aux associations caritatives, il existe de nombreux moyens de remettre des textiles, meubles et appareils sur le marché plutôt que de les déverser dans les décharges.

Enfin, le recyclage doit être l’objectif ultime. Il permet non seulement de réduire la dépendance à l’égard des matières premières, mais il crée des emplois et diminue l’impact de notre société de consommation sur l’environnement.

Toutefois, il existe encore un énorme fossé entre ce que nous aspirons à faire en tant que consommateurs et notre comportement au quotidien.

Même si plusieurs études, telles que l’enquête sur les emballages plastiques de 2017 réalisée par l’institut britannique de sondage Populus, confirment la motivation des consommateurs à mieux gérer leur consommation et leurs déchets de matières plastiques, il reste encore beaucoup à faire. Par exemple, les étiquettes d’emballage sont souvent source de confusion et la communication des collectivités locales sur les options de recyclage disponibles n’est pas suffisamment claire.

Une participante à une enquête a donné un excellent exemple de la complexité à laquelle les consommateurs sont confrontés lorsqu’ils tentent d’adopter les bons gestes. « J’ai effectué des recherches sur les couches biodégradables, qui me semblent être une bonne idée », a-t-elle déclaré. « Mais apparemment, ces couches peuvent uniquement être recyclées dans un composteur. Si elles sont mises en décharge, elles produisent du méthane, ce qui est réellement nocif pour l’environnement. »

Le défi de SAP concernant les matières plastiques

S’agissant des matières plastiques et de la pollution qu’elles engendrent, une manière de résoudre le problème serait de les éliminer tout simplement de la chaîne logistique.

L’an passé, l’équipe SAP Leonardo a lancé un projet d’innovation collaborative dans le cadre du UK Plastics Pact de WRAP afin de trouver de nouvelles solutions face au problème de pollution plastique. L’initiative a débuté par une enquête ethnographique visant à déterminer comment les citoyens perçoivent le défi de la pollution plastique. Sur la base des résultats de l’enquête, cinq personas ont été développées pour représenter les attitudes et comportements qui prévalent aujourd’hui dans la société britannique, depuis les sympathisants jusqu’aux ardents défenseurs de l’écologie.

Plusieurs thèmes sont ressortis de cette étude : le devoir de réduire la consommation de matières plastiques, la confusion et les mythes sur le recyclage, la nécessité d’apprendre et de répondre de manière appropriée et, enfin, la nécessité de sensibiliser.

Dans le cadre de la deuxième phase du projet, un marathon de programmation et une session de conception créative organisés sur trois jours ont rassemblé des experts et des innovateurs de SAP et de grandes entreprises internationales comme Unilever, HSBC et Deliveroo. Les équipes ont été invitées à concevoir des prototypes de produits et services autour des cinq thèmes pour les différents personas. Les prototypes sont en cours de développement et de test dans une phase d’incubation. Les solutions visant à éliminer le plastique seront présentées à l’occasion de l’exposition collective Design Frontiers, qui se déroulera au London Design Festival en septembre prochain.

Autres bonnes nouvelles

Pour ce qui est de la gestion des déchets industriels et ménagers, le lot d’efforts déployés varie d’un pays à l’autre. La Suède importe à présent des déchets, car moins de 1 % de ceux générés dans le pays se retrouvent dans des décharges. Le reste est recyclé ou brûlé pour chauffer les maisons. Le processus est tellement efficace que la Suède s’est mise à manquer de déchets et a commencé à en importer auprès de pays voisins pour alimenter son programme national de valorisation énergétique.

L’Allemagne est un autre exemple : sur les 45,9 millions de tonnes de déchets ménagers produites en 2017, seules 0,5 million de tonnes ont été mises en décharge grâce aux directives de l’UE, à des réglementations nationales strictes en matière de gestion des déchets et à des installations de traitement des déchets de pointe. La ville de Heidelberg, par exemple, a ajouté des capteurs intelligents à ces bacs à ordures et les a connectés à la solution SAP Connected Goods. La ville dispose désormais d’une visibilité en temps réel sur l’état des déchets, ce qui réduit le nombre de camions à ordures sur la route, en éliminant le ramassage inutile et le remplissage excessif. Cela a également contribué à la réduction du bruit, du trafic et de la pollution.

On constate aussi des progrès dans le Global Fashion Agenda. À la fin du premier semestre de l’année dernière, l’Engagement 2020 en faveur du système de mode circulaire avait été signé par 94 entreprises représentant 12,5 % du marché mondial de la mode. Ces entreprises se sont engagées à collecter et revendre des vêtements et des chaussures, de même qu’à accroître la part de vêtements et chaussures fabriqués à partir de fibres recyclées. Elles ont également promis de rendre compte des progrès annuels et, plus important encore, de transformer leurs pratiques commerciales linéaires actuelles.

De plus en plus d’entreprises prennent conscience des avantages d’une approche circulaire et de plus en plus de consommateurs réclament des produits et services plus durables. Dès lors, il est encore possible d’inverser la tendance.

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Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 11 février 2021 – Marque mondialement reconnue, BIC apporte de la simplicité et de la joie au quotidien avec ses produits emblématiques de papeterie, ses briquets et ses rasoirs. Cette mission s’étend à sa culture d’entreprise. Les membres de l’équipe BIC sont animés par une passion commune de concevoir des produits qui font partie de la vie de chacun et de chaque foyer, et de travailler dans une entreprise qui soutient la pensée créative et la liberté d’action pour aider à faire avancer ses objectifs commerciaux.

Pour perpétuer cette tradition, BIC a choisi la suite SAP SuccessFactors Human Experience Management (HXM) pour réimaginer sa stratégie de ressources humaines (RH) et offrir une meilleure expérience de travail à ses collaborateurs.

En mettant en œuvre les solutions HXM de SAP, BIC cherche à créer une solution globale et fiable qui permettra une prise de décision rapide et efficace, afin de permettre à ses employés d’exprimer tout leur potentiel et de pérenniser la croissance de l’entreprise. BIC a choisi la suite SAP SuccessFactors HXM en raison de la simplicité d’utilisation de toutes les solutions, de l’accès à un écosystème RH solide et de la capacité à fournir une suite RH intégrée et innovante comme source unique de vérité.

« Nos collaborateurs sont le cœur de notre entreprise. La suite SAP SuccessFactors HXM nous aidera à prendre des décisions plus efficaces, à favoriser une plus grande collaboration et à soutenir le développement continu de nos équipes », a déclaré Mallory Martino, directrice des ressources humaines de BIC. « Les RH ont un rôle de plus en plus stratégique à jouer pour assurer que nous disposions de l’agilité et de la flexibilité requises pour une activité en constante évolution. La capacité à tirer parti de la richesse de notre main-d’œuvre internationale permettra aux dirigeants de toute l’entreprise de prendre des décisions plus éclairées et de continuer à offrir une meilleure expérience à nos employés« .

La suite SAP SuccessFactors HXM aide les organisations à maîtriser le changement. Les organisations peuvent adapter leur mode de gestion des ressources humaines, en passant des transactions traditionnelles à des expériences simples, de bout en bout et engageantes pour les employés. De plus, en reliant les commentaires des employés aux données opérationnelles, elles peuvent savoir ce qui se passe et pourquoi, afin de créer une entreprise plus flexible et plus résiliente.

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Source de l’article sur sap.com

L’upskilling des effectifs est depuis longtemps une priorité pour les organisations. Aujourd’hui, alors que les dirigeants réagissent aux perturbations mondiales, avec pour beaucoup un personnel en télétravail, ils s’appuient plus que jamais sur les technologies et les systèmes de gestion de la formation (LMS).

La crise mondiale du COVID-19 et l’instabilité économique obligent de nombreuses entreprises à « faire plus avec moins » en matière de reskilling et d’upskilling. Heureusement, les technologies de formation sont suffisamment matures pour que les entreprises puissent choisir parmi une gamme de fonctionnalités adaptées à leurs besoins et à leur budget.

Lorsque Discovery, compagnie d’assurance multinationale est passée au travail à distance, les RH ont identifié qu’environ 500 de ses collaborateurs n’étaient pas productifs. Plutôt que de chercher des solutions de court terme pour améliorer la productivité, la compagnie s’est focalisée sur la préparation du personnel aux métiers de l’avenir, par le reskilling. La priorité de l’entreprise reste ses salariés – et cela inclut de les équiper pour demain.

En période de croissance comme de crise les dirigeants s’efforcent de trouver les meilleures solutions pour leurs collaborateurs. Par exemple, les hôpitaux, les instituts de recherche et les organismes de santé répondent aux besoins du personnel de première ligne en créant des technologies de formation et des ressources éducatives visant à prévenir et limiter l’exposition au COVID-19.

Bien que les dernières avancées changent la donne pour les LMS, tous les investissements technologiques ne conviennent pas nécessairement à toutes les entreprises. Voici les éléments que les entreprises peuvent considérer lorsqu’elles investissent dans une nouvelle solution.

1. Des fonctionnalités liées à vos objectifs

Lorsqu’on choisit parmi toutes les options proposées par les technologies de formation, la première chose à vérifier est que les fonctionnalités répondent aux besoins, aux objectifs et à la stratégie des effectifs de l’entreprise. Pour beaucoup d’organisations, des plates-formes flexibles et ouvertes peuvent être nécessaires pour prendre en charge les nombreux éléments critiques.

Par exemple, une entreprise énergétique pourrait limiter l’accès à une zone particulière d’une installation nucléaire aux employés ayant complété une formation obligatoire et certifiante. L’entreprise aurait alors besoin d’un système de gestion de la formation (LMS) capable d’intégrer la certification des employés à ses formations et opérations sensibles.

De même, une entreprise pharmaceutique pourrait avoir besoin de valider l’apprentissage pour se conformer aux réglementations nationales sur les médicaments. Une solution qui offre de l’innovation au niveau de l’écosystème, y compris des applications partenaires, peut fournir des fonctionnalités supplémentaires et flexibles tout au long du cycle de vie des collaborateurs (y compris lors du recrutement, de l’onboarding, du développement et de la gestion de la succession). Si certaines grandes entreprises peuvent avoir besoin de solutions ouvertes qui prennent en charge divers cas d’utilisation, d’autres peuvent vouloir une solution adaptée à un secteur spécifique, comme l’éducation ou la santé. Quoi qu’il en soit, les entreprises devrait prendre le temps de rechercher la technologie pouvant soutenir au mieux leurs objectifs.

2. Flexibilité

De nombreuses entreprises ayant des sites multiples ou un important personnel auront besoin d’un LMS orienté entreprise si elles s’engagent dans le reskilling de centaines voire de centaines de milliers d’employés.

Avec la généralisation du télétravail, les PME/ETI peuvent également avoir besoin d’un LMS qui puisse être étendu au domicile de leurs employés de manière sûre et efficace. Les technologies d’apprentissage mobiles accessibles en déplacement, y compris sur smartphones, pourraient améliorer l’adoption par les télétravailleurs et les employés qui manquent de temps de formation dédié, comme les commerciaux terrain.

Si les outils qui intègrent des formations en réalité virtuelle (VR) ou en réalité augmentée (AR) ne sont peut-être pas adaptés à toutes les situations, ils peuvent être utiles pour préparer les collaborateurs à des situations d’urgence ou à des scénarios uniques. Ces technologies émergentes sont un excellent exemple de la manière dont les outils de formation modernes peuvent aider les entreprises à relever de nouveaux défis et aider les collaborateurs à se perfectionner et se requalifier.

Walmart, par exemple, a formé plus d’un million d’employés en 2019 à la réalité virtuelle afin de proposer un apprentissage immersif. L’entreprise a également envoyé des casques VR dans les magasins pour entraîner les employés à la mise en place d’une machine qui récupère les commandes passées en ligne. Se libérant ainsi de la nécessité d’envoyer plusieurs personnes pour l’assembler, l’entretenir et dispenser une formation.

Qu’ils travaillent dans le retail, sur des plateformes pétrolières ou dans des exploitations agricoles, de nombreux employés pourraient atteindre de nouveaux niveaux de productivité et d’engagement grâce à des solutions personnalisables et flexibles.

3. Collaboration entre les employés – et les employeurs

Dans de nombreux cas, permettre aux collaborateurs de piloter leur apprentissage peut améliorer l’adoption des programmes, l’engagement et la culture de l’apprentissage. De nombreux employés réagiront positivement à l’upskilling itératif. Lequel leur apporte un sentiment d’appartenance et de fierté. Cet upskilling itératif peut par exemple prendre la forme de vidéos produites par les collaborateurs et partagées avec leurs collègues.

L’apprentissage social peut apporter des avantages à un personnel en télétravail. En atténuant l’isolement, l’anxiété et le manque de motivation auxquels les équipes peuvent être confrontées. Les social boards, chats et « missions » gamifiées sont quelques-unes des caractéristiques des LMS qui peuvent améliorer la collaboration tout en maintenant la distanciation physique. Les managers peuvent également utiliser ces fonctionnalités pour cibler les compétences qui correspondent aux nouvelles priorités et encourager les équipes à atteindre leurs objectifs.

4. La gestion du changement en support  

Intégrer un programme d’upskilling dans toute l’entreprise est une initiative majeure qui relève de la gestion du changement. L’alignement des valeurs, des personnes et de la culture d’entreprise pour atteindre un résultat souhaité ne viendra pas uniquement de l’adoption d’une nouvelle technologie. La gestion du changement occupe une place essentielle dans les discussions relatives à l’expérience de formation. Et ce pour au moins trois raisons.

  • Premièrement, s’assurer que la technologie est adaptée à l’organisation et au personnel permet d’augmenter son taux d’adoption et d’en tirer meilleur parti.
  • Deuxièmement, une gestion du changement réactive et basée sur les données permet de prolonger la durée de vie de la technologie.
  • Troisièmement, l’intégration d’une technologie de formation dans une organisation requiert une gouvernance. Elle nécessite notamment d’affecter la responsabilité sur les rôles et les données segmentées que vous pouvez collecter. De nombreux experts du reskilling vous diront que la gouvernance est toute aussi importante, si ce n’est plus, que la technologie de formation elle-même.

Les RH ne sont pas les seuls à investir dans ces solutions. La majorité des utilisateurs sont rattachés à la sécurité, conformité et formation à la vente. Alors que les budgets restent serrés et que des tensions peuvent surgir entre les services pour savoir qui doit avoir le contrôle des priorités en matière de reskilling et d’upskilling, les fonctionnalités des LMS devraient fournir un vrai retour sur investissement (ROI). Les bénéfices peuvent inclure le gain de temps lié à la recherche et au partage d’informations ; ou l’augmentation des revenus (ou réduction des coûts) résultant de la normalisation des technologies et du soutien à la formation. Par exemple, une étude indépendante sur SAP Jam, réalisée par Forrester Consulting, a révélé que le ROI moyen a augmenté de 18,5 % entre 2016 et 2018, les clients ayant trouvé davantage de façons d’utiliser la plateforme de collaboration.

Pour soutenir la gestion du changement qui accompagne l’introduction d’une nouvelle technologie, les entreprises doivent chercher des solutions qui offrent la possibilité de bêta-tester, d’itérer et d’adapter cette technologie aux besoins des collaborateurs. Les logiciels d’entreprise doivent offrir un support client aux dirigeants et aux employés pour une expérience d’apprentissage sans faille.

« De nombreux experts du reskilling vous diront que la gouvernance est toute aussi importante, si ce n’est plus, que la technologie de formation elle-même »

5. Méfiez-vous des mots à la mode et restez concentré sur vos collaborateurs

Les LMS d’aujourd’hui peuvent utiliser des technologies de pointe comme l’intelligence artificielle (IA) et le machine learning pour fournir tout ce qui est nécessaire, du coaching aux plans de développement des collaborateurs. Et ce à une échelle jamais atteinte auparavant. Mais alors que les dirigeants évaluent les options de LMS qui offrent ces nouvelles technologies et ces mots à la mode, il est important qu’ils restent d’abord engagés dans une stratégie des effectifs axée sur les objectifs de l’entreprise.

Si des fonctions comme la gamification et l’apprentissage social peuvent avoir un impact majeur pour certaines organisations, elles peuvent manquer de pertinence pour d’autres. Pour de nombreuses organisations, l’apprentissage classique en salle avec un formateur pourrait encore avoir toute sa place à l’avenir. L’écoute continue des collaborateurs fournira des informations utiles pour répondre à leurs besoins et concevoir une expérience d’apprentissage efficace.

De nombreux experts de l’upskilling conviendront que la formation et l’upskilling est un défi pour les employés et les employeurs. Alors que les entreprises investissent massivement dans les nouvelles technologies, l’objectif premier est d’investir efficacement dans le personnel.

La stratégie à long terme d’une entreprise en matière d’effectifs ne se limite pas au système de gestion de la formation (LMS) qu’elle a choisi. La gestion de l’expérience de formation inclut les nouvelles compétences et connaissances que les personnes vont acquérir ainsi qu’une méthode de travail efficace et agile. Un excellent programme d’upskilling aidera les collaborateurs à pivoter vers les nouveaux rôles qu’ils devront occuper demain et à soutenir l’innovation de rupture dans toute l’entreprise.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Un personnel polyvalent est essentiel pour surmonter les défis, notamment ceux liés au COVID-19. Les entreprises reconnaissent désormais l’importance de l’upskilling et du reskilling. Mais elles ne savent pas toujours comment procéder à grande échelle. Ou comment exploiter efficacement des technologies comme les learning management systems (LMS). Si les collaborateurs peuvent accéder à une pléthore de formations, certifications et badges, de nombreux dirigeants peinent encore à discerner ce qui aura le plus d’impact.

Beaucoup d’organisations ont démontré leur capacité à faire basculer leurs salariés en télétravail presque du jour au lendemain. Alors que les entreprises commencent à s’adapter à cette nouvelle réalité, on peut se demander comment progresser sur d’autres problématiques. Comme celle de l’apprentissage sur le lieu de travail. Avec des solutions et des technologies innovantes les dirigeants étudient la meilleure façon d’y parvenir, en évaluant comment communiquer de manière authentique, recueillir des insights et mettre en œuvre des formations plus efficaces.

Parallèlement à une stratégie des effectifs, les entreprises peuvent suivre les étapes suivantes pour soutenir la formation et le développement de leurs collaborateurs.

collaborateur au bureau

1. Déterminer les déficits de compétences et anticiper les besoins à long terme

Après avoir déterminé leurs objectifs et évalué plusieurs scénarios, les entreprises élaborent une stratégie des effectifs adaptée. Pour la déployer, une étape clé est de combler l’écart entre les compétences que vos collaborateurs ont déjà et celles qu’ils doivent acquérir. De nombreuses entreprises, lorsqu’elles s’adaptent à l’incertitude économique, évaluent ces écarts tout en déterminant s’il faut réduire les effectifs. Aussi important soit-il de réfléchir aux besoins d’aujourd’hui, considérer les besoins en effectifs et compétences pour les 5 à 10 prochaines années est tout aussi central, si ce n’est plus. Si certaines compétences techniques deviennent rapidement caduques, d’autres, comme le leadership, représentent un investissement pour l’avenir. Il a également été démontré qu’un programme de formation solide aide à attirer et retenir les meilleurs talents.

La première étape dans l’élaboration d’une stratégie de gestion des talents est l’identification des emplois et des carrières qui nécessiteront l’upskilling des collaborateurs. Par exemple, de nombreux emplois seront reconfigurés avec des technologies telles que l’intelligence artificielle (IA). Les organisations devraient commencer par identifier les tâches essentielles à la croissance et à l’amélioration de l’expérience client. Ensuite, elles devraient identifier les ressources nécessaires pour les accomplir. Ressources qui incluent notamment les machines intelligentes et salariés requalifiés. Les nouvelles descriptions de poste devraient refléter le besoin de ces collaborateurs plus stratégiques et créatifs. Dans le cadre du recrutement, les technologies RH peuvent aujourd’hui aider les entreprises à prédire la réussite en évaluant la personnalité et les capacités cognitives des candidats.

De plus, pour évaluer en continu les compétences des collaborateurs, il faut envisager de développer une bibliothèque des compétences. Une base de données de ce que les salariés doivent savoir et des compétences qu’ils doivent posséder pour performer dans leurs fonctions. Dans un sens, il s’agit de descriptions de postes basées sur les compétences.

2. Interroger les collaborateurs

Les plates-formes technologiques RH peuvent recueillir des données en temps réel sur l’expérience des collaborateurs et les objectifs business, afin d’aider les entreprises à bien prioriser en matière d’upskilling. En interrogeant les collaborateurs, elles peuvent diagnostiquer les compétences actuelles d’une personne et recueillir des informations sur les compétences adjacentes.

Comprendre les besoins d’un collaborateur est essentiel, non seulement pour la stratégie d’upskilling, mais aussi pour améliorer l’expérience employé et la fidélisation. Pour de meilleurs résultats à long terme, les entreprises devraient aligner leurs efforts d’upskilling sur les plans de carrière des collaborateurs et leur développement. Un personnel heureux est souvent un personnel productif. Des recherches ont montré que les collaborateurs sont souvent « au mieux de leur carrière » lorsque leurs talents, leurs passions et les besoins de l’entreprise sont alignés.

3. Tenir compte des compétences, des connaissances et de l’expérience

Dans certains domaines, l’acquisition et le transfert des connaissances sont tout aussi importants que les compétences. Bien que les data scientists puissent être très demandés pour intégrer les technologies d’IA dans une entreprise, il n’est pas toujours suffisant qu’un collaborateur cherche à obtenir une certification en data science pour assurer la fonction. Les candidats devront avoir une connaissance approfondie des mathématiques ou de l’informatique pour comprendre le fonctionnement des algorithmes. Lorsque les entreprises n’ont pas la taille, la crédibilité ou l’expertise nécessaires dans certains domaines, elles peuvent s’associer à des institutions, organisations académiques ou professionnelles, pour une formation personnalisée.

Un cadre d’apprentissage largement référencé, le modèle « 70-20-10 », encourage les entreprises à promouvoir 70 % de l’apprentissage par l’expérience, 20 % par autrui (mentorat, coaching), et 10 % par la formation formelle. Mais le modèle peut être pondéré selon les domaines et compétences. Par exemple, les pilotes de ligne ont des exigences différentes selon la licence qu’ils souhaitent obtenir, notamment privée ou commerciale. Beaucoup estiment qu’une formation rigoureuse et formelle devrait peser plus de 10 % dans de nombreux domaines.

4. Repenser, remodeler et rééquiper les RH pour soutenir un processus d’apprentissage continu

L’une des clés d’une stratégie des effectifs réussie consiste à diffuser une culture de l’apprentissage. Les collaborateurs peuvent manquer de temps pour suivre une formation de deux heures. Heureusement la technologie, des applications aux systèmes de gestion de la formation (LMS), permet aux collaborateurs d’acquérir des compétences et de partager des connaissances entre eux par le biais d’un upskilling itératif. Ces capsules de formation peuvent prendre la forme de vidéos d’apprentissage de 10 minutes, au format « snacking », qu’ils peuvent visionner aussi bien hors ligne et sur smartphone qu’à la maison.

L’époque où les entreprises donnaient la priorité aux compétences de base et assignaient des sessions de formation à leurs collaborateurs est révolue. Aujourd’hui, les dirigeants peuvent tirer parti des technologies et des écosystèmes pour permettre aux collaborateurs de piloter leur propre apprentissage. Des outils personnalisables qui utilisent l’IA et le machine learning peuvent par exemple fournir une formation, un coaching et des feedbacks personnalisés.

5. Motiver les collaborateurs en les aidant à suivre leurs progrès

Il n’y a pas de modèle unique pour l’upskilling. Au lieu de proposer des plans de formation normatifs, les dirigeants devraient, pour une formation et un développement professionnel réussis, lire les signaux émis par leurs employés.

Grâce à des plans de développement des collaborateurs personnalisés et à l’apprentissage social, les collaborateurs peuvent rester engagés et concentrés grâce à la mise en réseau virtuelle et au mentorat, tandis que les managers les motivent pour atteindre les objectifs. Pour soutenir un personnel en distanciel, les messageries instantanées et les social boards peuvent être très utiles pour retrouver la dynamique collective. Parmi les autres techniques de motivation, on peut citer la gamification associée à des récompenses financières ou des cartes-cadeaux. Et les derniers learning management systems (LMS) permettent aux entreprises de délivrer, de suivre et de gérer le contenu, les certifications et les données des collaborateurs comme une source unique d’enregistrement de l’apprentissage.

Suivant la tendance croissante au partage et à la consommation d’information sur les médias sociaux, de nombreuses personnes s’attendent à avoir la maîtrise du moment et de la façon dont elles apprennent. Et encourager les collaborateurs à créer et à contribuer à leur propre contenu d’apprentissage en créant leurs propres « playlists d’apprentissage» leur permet de devenir, en matière de formation, leur propre patron. Et cela ouvre les portes du progrès individuel.

Grâce à une stratégie des effectifs qui s’aligne sur les objectifs stratégiques, les entreprises peuvent appliquer ces mesures pratiques pour identifier les opportunités de reskilling et les déficits à combler. Grâce à une amélioration de l’expérience et des résultats relatifs au reskilling, les entreprises peuvent soutenir un personnel à l’épreuve du temps. 

L’évolution des réalités dans le monde entier – de la modification des chaînes d’approvisionnement aux business models – a un impact sur toutes les entreprises. Celles qui peuvent réorienter leur personnel pourront relever les défis de l’avenir.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP France a été reconnu comme 2nd meilleur employeur de France pour 2021 par le Top Employers Institute. Le leader du logiciel d’entreprise d’origine Européenne progresse cette année de 4 places et se voit certifié pour la 9ème année consécutive au niveau national.

SAP est ravi d’être à nouveau certifié comme employeur de choix, en particulier dans un environnement difficile qui a bouleversé les normes personnelles et professionnelles. En 2021, l’entreprise reste plus que jamais engagées envers ses collaborateurs : continuer à développer des politiques de travail flexibles; aider les employés à maintenir leur bien-être physique et mental; investir dans l’apprentissage et le développement; évoluer vers un lieu de travail encore plus inclusif; et continuer à attirer les meilleurs talents et les plus diversifiés.

« L’expérience collaborateur figure au cœur des priorités de l’entreprise. Notre conviction fondamentale est que les équipes les plus diversifiées fournissent les résultats les plus innovants. Chaque jour, nous nous efforçons de rendre notre lieu de travail plus inclusif et de favoriser un environnement où les collaborateurs  peuvent se développer tout ayant un impact positif sur le monde qui nous entoure », déclare Caroline Garnier, Directrice des Ressources Humaines de SAP France.

Les organisations certifiées Top Employers s’engagent à fournir le meilleur environnement de travail possible à leurs collaborateurs à travers des pratiques RH innovantes qui privilégient l’humain.

SAP également reconnu comme l’un des meilleurs employeurs mondiaux en 2021

SAP a également a été reconnu comme Global Top Employer et se classe parmi les 16 premières entreprises au monde pour ses politiques et pratiques exceptionnelles en matière de ressources humaines. C’est la quatrième année consécutive que l’entreprise reçoit ce prix.

De plus, l’Amérique du Nord et l’Europe ont obtenu le statut de Top Employer régional. Avec des bureaux dans 130 pays, SAP est une entreprise mondiale et se réjouit que ses pratiques en matière de ressources humaines aient été reconnues dans les pays suivants : Belgique, Brésil, Canada, Chine, République tchèque, France, Allemagne, Grèce, Inde, Israël, Italie , Mexique, Pologne, Portugal, Russie, Afrique du Sud, Espagne, Turquie, Royaume-Uni et États-Unis.

Selon Sabine Bendiek , directrice des ressources humaines et membre de la direction de SAP SE, «La transformation numérique commence avec les gens. Je suis fier que l’équipe RH de SAP se soit adaptée aux vents contraires de 2020 avec agilité, résilience et empathie. En augmentant nos effectifs dans les périodes difficiles, en garantissant les niveaux d’engagement les plus élevés et en accordant la priorité à la santé de nos employés, l’équipe des ressources humaines s’est avérée être un véritable catalyseur de la réussite de l’entreprise. »

Être reconnu comme l’un des meilleurs employeurs mondiaux 2021 témoigne de la culture et des opportunités uniques qui font de SAP un lieu de travail formidable.

Le programme Top Employers Institute certifie les entreprises en fonction de leur participation et de leurs résultats à l’enquête « HR Best Practices Survey ». Cette enquête couvre 6 grands domaines RH, répartis en 20 thématiques telles que la stratégie de gestion des talents, l’environnement de travail, le Talent Acquisition, la formation et le développement des compétences, le bien-être au travail, ou encore la diversité et l’inclusion.

Pour en savoir plus sur la reconnaissance que SAP a obtenue en tant que lieu de travail de premier plan, en matière de diversité et d’inclusion, pour l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et plus encore, visitez la section Prix des employeurs de sap.com.

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À propos du Top Employers Institute

Le Top Employers Institute est l’autorité internationale qui certifie l’excellence des pratiques RH. Nous contribuons à accélérer l’impact de ces pratiques pour améliorer le monde du travail. Le programme de certification du Top Employers Institute permet aux organisations participantes d’être validées, certifiées et reconnues comme des employeurs de référence. Créé il y a 30 ans, le Top Employers Institute a certifié plus de 1 600 organisations dans 120 pays/régions. Ces Top Employers certifiés ont un impact positif sur les vies de plus de 7 millions de collaborateurs à travers le monde.

Top Employers Institute. For a better world of work.

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