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Machine learning-based applications have seen significant commercial success in several mainstream consumer applications in the recent past. Self-driving cars, stock-trading bots, robo-advisors, Amazon’s Alexa, and Apple’s Deep Fusion and Siri are some of the renowned examples of commercial success with artificial intelligence and machine learning. AI has also made our lives easier by improving the customer experience of the products we use. Google’s text generation software, Netflix’s recommendation engine, and Facebook and Twitter’s fake news detection are other prime examples. In fact, every single technology company uses AI in its mainstream applications either directly or indirectly. Non-technology companies are also using AI to improve customer experience, improve efficiency, and generate new revenue streams. Chatbots, robo-advisors, systems that predict system failures, and products that generate efficient supply chain routes are some of the prominent ways in which non-technology companies use AI. This is leads to a popular belief that AI and ML are primarily used by technology companies or they are being used by non-tech companies to build AI-based products.

This popular perception is not true. There are plenty of avenues in which AI/ ML is being used or can be used by non-tech and non-product-based groups to generate insights. In this article, I am going to share with you four ways in which you can augment advanced analytics into your analytics strategy to generate insights.

Source de l’article sur DZONE

De la conception à l’utilisation, le numérique permet de suivre l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Mais aussi de transformer la relation entre le fournisseur et ses clients, en proposant des innovations comme le Product as a Service.

Le jumeau numérique est une réplique numérique d’un objet, processus ou système. Alimenté en temps réel par des données venant de son jumeau physique, le jumeau numérique permet de disposer d’informations clés sur le dispositif ou service simulé. L’apport de techniques de Machine Learning ouvre même les portes du prédictif.

De la simulation classique au jumeau numérique

L’utilisation de la simulation numérique et de modèles 3D n’est pas nouvelle, mais cet usage était auparavant limité aux bureaux d’études.

« Le jumeau numérique existe dans l’ingénierie depuis une bonne vingtaine d’années », confirme Denis Goudstikker, en charge du Business Development du PLM et du SLM chez Siemens Digital Industries Software. « Dans l’industrie automobile, la simulation numérique a permis de raccourcir le temps de mise sur le marché d’un nouveau véhicule. Il y a trente ans, on jetait 100 véhicules contre un mur pour pouvoir assurer un certain niveau de sécurité. Il y a vingt ans, on n’en jetait plus que 5, après en avoir jeté 5000 dans un autre mur… virtuel. » Une avancée qui s’est traduite par un meilleur niveau de sécurité et une accélération du processus de conception des voitures.

Avec le jumeau numérique, les barrières sont éliminées entre l’ingénierie, la production et la maintenance. Et même au-delà, puisque cette continuité numérique peut se prolonger hors des murs de l’entreprise.

« Le constructeur nous fournit des définitions numériques de son produit », témoigne Eric Miralles, CIO de SNOP, équipementier automobile de premier plan. « À partir de cette définition, nous fabriquons les outils qui vont nous permettre d’emboutir les tôles suivant ce cahier des charges. Il faut pour cela que la chaîne allant de la conception à la production soit numérisée. La modélisation numérique de l’ensemble de la chaîne permet d’avoir une maîtrise globale des processus. »

Le jumeau numérique offre également des opportunités après la phase de fabrication.

« Si le jumeau numérique est né dans le milieu industriel, la capacité de connecter de façon massive des objets distribués aux clients, au travers de l’IoT, permet de développer de nouveaux services, mais aussi de redéfinir la relation entre client et fournisseur », analyse Luca Ammassari, Group Deputy Chief Information Officer in charge of Applications chez Engie.

Quels usages clés pour les jumeaux numériques ?

De la conception d’un produit à son utilisation, en passant par la production, le jumeau numérique permet de suivre l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Mais également de réduire le time to market de nouvelles offres, la simulation numérique permettant d’accélérer la conception, le test et l’industrialisation des produits.

« Le jumeau numérique permet de répondre à des enjeux économiques et de recherche d’efficacité dans la production, analyse Eric Miralles. Sa mise en place nécessite toutefois une transformation numérique, mais aussi une transformation des organisations et des hommes. Il faut savoir saisir cette nouvelle opportunité par étapes et accompagner les équipes dans ce changement. »

« Le jumeau numérique est également important pour identifier et comprendre le comportement du matériel, poursuit Denis Goudstikker. Et ainsi optimiser son design et sa maintenance. Analyser le comportement acoustique d’une turbine permet par exemple de détecter tout changement dans son fonctionnement. Des modèles prédictifs vont alors déterminer si et quand elle tombera en panne. »

Les usages dans le secteur de la maintenance commencent à devenir communs, « mais il y a une chose à laquelle on s’attendait moins : le packaging d’objets et de services, explique Luca Ammassari. Le constructeur d’une turbine va proposer avec son équipement des services prédictifs basés sur l’utilisation d’un jumeau numérique. Il va s’appuyer sur les informations issues de turbines installées dans le monde entier qui seront comparées en temps réel au comportement de votre turbine, pour vous donner des probabilités de défaillance ou de perte de performance. »

Oser le passage au jumeau numérique

Construire le jumeau numérique de l’ensemble d’une ligne de production n’est pas toujours possible. Certains équipements anciens, amortis sur des dizaines d’années, ne sont en effet pas équipés de capteurs et ne peuvent parfois pas l’être.

La bonne pratique consiste à avancer par étapes, sur des projets ciblés, au fort ROI. « Il faut mener ses projets selon une approche agile, par petits pas et construire ainsi progressivement de la compétence en interne, explique Luca Ammassari. Certains projets auront des résultats décevants, mais cela ne doit pas remettre en cause la démarche. »

Difficile de savoir de quoi demain sera fait en matière d’innovation, constate Luca Ammassari, « c’est pourquoi notre objectif est d’accompagner les entreprises en leur fournissant des fondations capables d’intégrer ces innovations. Notre but n’est pas de proposer des offres clé en mains, mais une plate-forme permettant de sortir de la supply chain classique pour créer un nouvel écosystème. »

Une logique de partenaires qui est essentielle pour Eric Miralles. « C’est cet assemblage de partenaires qui nous permettra de digitaliser l’ensemble de notre supply chain », confirme-t-il. Et de conclure : « La crise que nous traversons aujourd’hui est un accélérateur et il y a beaucoup d’opportunités, très positives, qui nous permettent d’accéder à ces innovations. »

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Source de l’article sur sap.com

LEVALLOIS-PERRET, France – 10 décembre 2020 – SAP France, 5ème filiale du Groupe SAP, leader du marché des logiciels d’applications d’entreprise, annonce le renforcement de sa stratégie « Green Line » avec la création d’une direction dédiée. Dirigée par Pascal Le Nahédic, celle-ci vise à aider les organisations à répondre à une de leurs priorités incontournables : améliorer leur impact environnemental et sociétal. SAP entend ainsi accélérer sur les sujets clés du développement durable.

En effet, les entreprises européennes sont face à une problématique complexe : alors qu’elle ont consacré 124 milliards d’euros l’an dernier à de nouvelles actions de réduction de leurs émissions de Co2, elles vont encore devoir doubler les investissements bas carbone pour avoir une chance d’atteindre l’objectif de zéro émission nette en 2050 fixé par Bruxelles.

Pascal Le Nahédic nommé Directeur des solutions à impact écologique et sociétal, SAP France

Pascal Le Nahédic prend les commandes des solutions à impact écologique et sociétal de SAP et sera en charge d’accompagner les clients de SAP dans le développement de nouvelles pratiques pour réduire leur empreinte sur l’environnement grâce aux technologies.

Après avoir passé 10 ans au sein du Groupe Exxon en Europe et en Asie, Pascal rejoint SAP France en 1999 en tant que Directeur de projet. En 2007, il occupe la fonction de Presales Industries. Depuis 2015, il assure le rôle de Presales Business Architect pour l’industrie ENR. Passionné par le sujet d’économie circulaire, il multiplie les initiatives d’intrapreneuriat en interne dont un projet innovant visant à aider les entreprises à réduire leurs déchets en termes de PLV (Publicité sur Lieu de Vente).

Sylvie Turcotte – Directrice Avant-Vente, SAP France

Sylvie Turcotte est à la tête de l’ensemble de l’organisation Avant-Vente pour SAP France.  Elle a pour mission de renforcer la croissance cloud de la filiale française par la mise en place de nouvelles approches avant-vente. Passionnée du milieu des technologies depuis 30 ans dont 20 ans au sein du groupe SAP. Sylvie a débuté sa carrière chez SAP Canada en 2000 comme consultante Finance, Funds management et Real Estate, avant de rejoindre l’équipe avant-vente Secteur Public pendant plusieurs années pour ensuite devenir directrice des ventes de Premium Engagement. Par la suite, elle a été nommée Customer Solution Director (CSD) puis Directrice de l’équipe Digital Core (Finance et Supply Chain) au niveau de SAP Canada, rôle qu’elle occupait depuis 3 ans.

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Source de l’article sur sap.com

Comment assurer des livraisons dans des délais toujours plus serrés, tout en maîtrisant son impact sur la société et la planète ? Une meilleure exploitation des données peut aider à allier les impératifs d’agilité, de résilience et de responsabilité environnementale et sociale.

Dans le secteur du transport, les impacts sociaux et environnementaux restent encore mal pris en compte. Et pourtant, les travaux du Grenelle II auraient dû favoriser l’émergence d’une industrie du transport plus vertueuse.

« Ce texte misait sur la bonne volonté des acteurs du secteur, mais sans mettre en place le minimum nécessaire de contrôles, d’obligations, voire de sanctions, regrette Philippe Mangeard, président et fondateur de l’agence de notation du transport TK’Blue. Résultat, moins de 15 % des opérateurs du secteur jouent aujourd’hui le jeu. »

Problème, les donneurs d’ordres que sont les entreprises oublient souvent le maillon transport dans leur calcul d’impact environnemental et sociétal. « Et pourtant, le transport peut représenter entre 10 % et 40 % de l’empreinte globale d’une entreprise », rappelle Philippe Mangeard.

Prendre en compte l’expérience client

Avec l’économie d’expérience, la logistique ne peut être mise de côté. En effet, même si une entreprise fait le maximum pour satisfaire son client, une livraison mal réalisée (retard, produit abîmé…) réduira tous ses efforts à néant. La problématique est d’autant plus difficile à résoudre que le client devient de plus en plus exigeant : il veut être livré rapidement, mais tout en disposant d’informations claires sur les méthodes de livraison, lui permettant ainsi – s’il le souhaite – d’opter pour un mode de transport responsable.

« Du côté des entreprises, des technologies permettent d’optimiser le chargement des camions, les trajets et les plans de transport, même si l’on peut regretter qu’elles ne soient pas encore très répandues, analyse Alexis Fournier, directeur AI Strategy chez Dataïku. Mais côté client, la technologie ne suffira pas : des initiatives globales sont nécessaires. »

Sous l’impulsion des clients, des acteurs de la grande distribution, certains industriels et des géants du web, comme Amazon, commencent à se pencher sur cette question. Un standard est en train de naître, lequel permettra de définir un cahier des charges précis dédié au transport.

Savoir exploiter les données

L’optimisation du transport passe plus que jamais par la data : les ordres de transport, bien évidemment, mais également des données de terrain, comme la position des camions, la télémétrie des véhicules, voire de l’IoT, pour suivre avec plus de précision encore les colis. Bien exploitées, ces données vont permettre de maximiser le remplissage des camions et d’optimiser les plans de transport.

À ceci s’ajoutent des données tierces : calendrier des vacances scolaires, données météo, conditions de circulation… « Ces informations viennent nourrir le jeu de données d’origine et permettent d’améliorer la qualité des prévisions », explique Alexis Fournier. Le Machine Learning peut alors aider à anticiper la variabilité de la demande ainsi que les difficultés de livraison. Et éviter ainsi que certains camions ne rentrent partiellement chargés, un phénomène redouté lors des opérations de livraison à domicile. »

Afin de maximiser le remplissage des camions, une logique de réseau doit également voir le jour, pour mettre en commun les capacités de transport, y compris entre compétiteurs. Mais pour concrétiser cette notion de mutualisation des moyens, il est impératif que la donnée circule.

Débloquer les données des opérateurs

Grâce à des solutions intelligentes, comme celles de SAP, Microsoft ou Dataïku, les entreprises sont prêtes pour une exploitation des données de transport. À condition toutefois que celles-ci remontent ! Les grands opérateurs du monde du transport tardent en effet à ouvrir leurs données.

Comment une entreprise peut évaluer ses émissions globales, si elle ne connaît pas le mode de transport utilisé ? Entre un camion et une camionnette, les nuisances peuvent en effet être multipliées par 40. De plus, 20 % à 30 % des camions tournent à vide et un pourcentage non négligeable de véhicules s’avère trop polluant face aux normes actuelles. Sans ces informations, le producteur, comme le consommateur, avancent à l’aveuglette.

Mais le marché s’est subitement renversé en 2020, avec une offre de transport devenue supérieure à la demande. L’occasion pour les donneurs d’ordres de choisir leurs transporteurs en fonction de leur capacité à faire remonter des données de terrain. « Libérez la data, plaide Philippe Mangeard. Les plates-formes de traitement des données sont en place et la conjoncture fait que les entreprises sont aujourd’hui en position d’exiger la remontée de ces informations de terrain. Lorsque ce sera le cas, tout le monde sera gagnant, prédit le président de TK’Blue. »


En savoir plus sur la gestion de la chaîne logistique


 

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Source de l’article sur sap.com

Les innovations technologiques permettent à l’industrie européenne de relever de nouveaux défis, dont la relocalisation de la production et la maîtrise de l’empreinte environnementale. Place à la quatrième révolution industrielle !

Les trois grandes révolutions industrielles sont toutes liées à des innovations majeures :

  • 1re révolution industrielle, le passage de l’artisanal au mécanisé, grâce à la vapeur.
  • 2e révolution industrielle, une production de masse standardisée, grâce à l’électricité.
  • 3e révolution industrielle, la flexibilité des automates programmables, grâce au numérique.

L’Industrie 4.0 s’appuie non pas sur une innovation de rupture, mais sur un package d’innovations : robotique avancée, Machine to Machine, IoT, réseaux 5G, impression 3D, jumeaux numériques, Blockchain pour la traçabilité, mais aussi Machine Learning et Intelligence Artificielle.

Au cœur de cette révolution se trouve la data. Plus précisément la capacité à collecter toutes les données de l’usine, puis à les faire remonter, généralement dans le cloud, avant de les traiter, en mode big data, puis enfin de transformer ces données en décisions, le data to action.

Lancé en 2011 par un ensemble d’acteurs, dont SAP, le concept d’Industrie 4.0 offre l’agilité et la résilience nécessaires pour répondre aux exigences de l’économie d’expérience et aux aléas, devenus hélas de plus en plus fréquents. Il permet également de basculer d’un modèle de production de masse, initié avec la seconde révolution industrielle, vers une stratégie de personnalisation de masse, répondant mieux aux besoins des consommateurs actuels.

Le moment est venu pour l’Industrie 4.0

Si certaines technologies de l’Industrie 4.0 existent parfois depuis des années, une conjonction de facteurs permet aujourd’hui de les combiner et de les démocratiser. « L’Industrie 4.0 entre en production, car son ROI est fort, explique Aymeric de Pontbriand, CEO de Scortex. Les nouvelles technologies deviennent en effet suffisamment abordables pour que l’équation économique prenne du sens aux yeux des industriels. Mais le vrai challenge reste celui des compétences nécessaires au déploiement en masse de ces nouvelles technologies. »

« Aujourd’hui, nous avons de la donnée et les technologies sont matures, poursuit Erwin Guizouarn, président d’Evolution Energie. Se pose la question du passage à l’échelle. Les industriels veulent pouvoir rapidement déployer ces technologies, en masse. Il y a un vrai challenge sur la fourniture de plates-formes personnalisables, robustes et sécurisées. Les données sont là. Les infrastructures et applicatifs sont en train d’arriver. »

Le moment est venu de relocaliser la production

L’hyperpersonnalisation des produits est une chance pour l’Europe, car elle se traduit par une relocalisation des usines. Difficile en effet de faire parvenir dans un temps raisonnable un produit personnalisé à un client, s’il doit traverser la moitié de la planète dans un conteneur.

Cette nouvelle industrie ne sera toutefois pas celle d’hier, ne fabriquera pas les mêmes produits et ne fera pas travailler les mêmes types de profils. Elle est plus technique, mais aussi plus affûtée et mieux optimisée. Elle se veut également plus vertueuse d’un point de vue écologique.

« La relocalisation de la production est une opportunité fantastique pour l’Europe, confirme Aymeric de Pontbriand. Cela se traduira par de l’emploi, souvent dans des régions désertées. Tout en repartant sur de nouvelles bases, avec une production moderne et soucieuse de son impact environnemental. » Erwin Guizouarn confirme cette tendance verte : « Les grands industriels français se sont engagés à devenir neutres en carbone d’ici 5 à 10 ans. Il y a un vrai mouvement en France pour aller vers des énergies propres et une production décarbonée. Industrie 4.0 et transition énergétique sont non seulement conciliables, mais souhaitables. »

Scortex et Evolution Energie montrent la voie

Les industriels veulent pouvoir disposer de solutions de type Industrie 4.0 clés en main, au ROI immédiat. Evolution Energie se concentre sur l’exploitation des données liées à l’énergie et son utilisation, avec comme objectif une maîtrise de ces coûts, qui peuvent représenter jusqu’à 80 % des dépenses de certains industriels. Scortex numérise pour sa part le contrôle qualité au travers de techniques d’Intelligence Artificielle. Le contrôle qualité manuel par inspection visuelle est en effet une tâche ingrate, qui peut représenter de 20 % à 30 % des dépenses d’un industriel.

Grâce à ce type de solutions ciblées, les industries peuvent basculer par étapes vers le 4.0. Mais certains enjeux restent plus globaux. « Le traitement massif de la donnée permet de passer par exemple à du vrai temps réel, ou de mettre en place une gestion globale de la production au niveau d’un groupe entier », illustre Erwin Guizouarn.

« Lors du passage à l’Industrie 4.0, il faut toutefois faire attention à ne pas laisser des sous-traitants sur le bord de la route, prévient Aymeric de Pontbriand. L’Industrie 4.0 va s’accompagner d’un véritable enjeu d’homogénéisation de la Supply Chain. »


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Source de l’article sur sap.com

Paris le 6 novembre 2020 SAP SE (NYSE: SAP) et Qualtrics ont annoncé le lancement de Qualtrics® XM for Suppliers, une nouvelle solution permettant aux organisations d’identifier les points d’amélioration des processus Achats, depuis le sourcing jusqu’au paiement (souce-to-pay) afin d’aider à sécuriser des ressources critiques, accroître les économies, atténuer les risques et améliorer l’agilité de l’entreprise.

Qualtrics XM for Suppliers combine les données issues des solutions SAP® Ariba®, SAP Fieldglass® et SAP S/4HANA® avec les informations collectées en temps réel auprès des fournisseurs et analysées par l’intelligence artificielle de Qualtrics, une entreprise du groupe SAP.

Une majorité (66%) des directeurs des achats et des directeurs supply chain déclarent que leur fonction joue un rôle dans la réduction des risques fournisseurs, selon une étude conduite par Oxford Economics et SAP. Toutefois, seuls 51% d’entre eux indiquent pouvoir trouver rapidement des solutions alternatives pour leur approvisionnement, et 46% ont des difficultés  à obtenir de la visibilité sur la performance d’un fournisseur. Qualtrics XM For Suppliers aide les organisations à améliorer leur processus source-to-pay en se basant sur l’écoute et l’analyse des feedbacks des fournisseurs puis la mise en place d’actions appropriées aux moments clés.

« Quand les organisations donnent la priorité à l’écoute, à la compréhension et à l’action sur la base des retours des parties prenantes, l’impact business et le ROI suivent naturellement », explique Brian Stucki, vice-président exécutif de Qualtrics et directeur général de Customer XM. « Qualtrics XM for Suppliers met les feedbacks des fournisseurs au cœur de l’interaction acheteur-fournisseur et devient une part intégrante de la prise de décision et de la construction de la relation. Les équipes achats obtiennent ainsi une vision holistique du processus global du point de vue des fournisseurs afin de régler les écueils, recommander des améliorations et trouver des solutions innovantes. »

En tant que leader en matière d’expérience client et créateur du concept d’Experience Management (XM), Qualtrics ajoute son expertise à cette nouvelle innovation au travers des fonctionnalités clés de la plateforme Qualtrics XM, comme le moteur Qualtrics iQ, pour offrir :

  • Des analyses prédictives et de l’intelligence. Accès instantané aux feedbacks des fournisseurs et aux indicateurs prédictifs pour favoriser la prise de décisions en matière de dépenses dans l’ensemble de l’entreprise.
  • Des workflows automatisés, fluides et homogènes. Mise en place de plans d’actions automatisés et partagés avec les équipes concernées afin de réduire les écarts d’expérience tout au long du processus source-to-pay.
  • Des informations en temps réel pour agir rapidement. Collecte des informations fournisseurs sur l’ensemble des points d’interaction afin de permettre aux équipes achats d’identifier précisément les changements et décisions à mettre en œuvre.

« Cette année nous a appris que la résilience et l’agilité peuvent seulement être atteintes s’il est possible d’anticiper les disruptions avant qu’elles arrivent, d’améliorer les synergies primordiales avec les fournisseurs et de savoir quand activer les solutions alternatives », explique Jason Wolf, senior vice-president et directeur général de SAP Intelligent Spend and Business Network « C’est désormais encore plus simple d’y arriver avec Qualtrics XM for Suppliers pour les solutions SAP Ariba, SAP Fieldglass et SAP S/4HANA. »

Qualtrics XM for Suppliers permet aux équipes achats, finance et supply chain de :

  • Sécuriser les ressources critiques et apporter de la résilience aux entreprises en identifiant et en atténuant les zones de risques pour minimiser l’impact sur l’activité des perturbations éventuelles et répondre proactivement aux retours des fournisseurs les plus importants.
  • Accélérer les économies en utilisant les informations et les recommandations révélées par l’IA sur l’ensemble du processus source-to-pay afin d’identifier les écarts d’expérience au sein de la supply chain et influencer les termes des contrats qui ont l’impact le plus positif sur le ROI.
  • Innover rapidement en s’appuyant sur les feedbacks obtenus sur les différents points d’interaction afin de promouvoir la collaboration avec les fournisseurs et utiliser leur expertise pour identifier les possibilités d’améliorations.

SAP Press Room : Globale  / France. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews

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Source de l’article sur sap.com

La crise sanitaire a appris aux entreprises combien il est essentiel de savoir s’adapter rapidement. Que ce soit en termes de production, de sourcing ou encore de distribution. En adoptant un modèle plus durable, il est possible de garantir la continuité de l’activité, même en cas de changement inattendu et massif de la demande.

L’économie d’expérience s’est imposée comme la thématique clé de l’année 2019. Ce concept a toutefois été éclipsé en 2020 par un invité inattendu, la résilience. Les PRA et autres plans de préparation aux risques ont en effet été confrontés à une réalité de terrain : une crise sanitaire et économique, doublée de schémas de consommation et de distribution profondément perturbés.

Défi 1 : éviter la rupture d’activité

Les moins chanceuses des entreprises sont celles pour lesquelles le confinement a enlevé toute possibilité d’activité. Au plus dur de la crise sanitaire, certaines ont dû ainsi purement et simplement fermer leurs portes. Mais d’autres ont su également rebondir, au travers de la distribution multicanale, de l’innovation métier, ou de la saisie de nouvelles opportunités de marché.

Les industriels qui ont su rediriger rapidement leur production vers de nouveaux produits (masques, respirateurs, gel hydroalcoolique, repas à emporter…) ont pu tirer leur épingle du jeu. Avec les crises économiques, sanitaires et climatiques qui s’annoncent, il faut s’attendre à une multiplication de ces défis de flexibilité, et s’y préparer.

Défi 2 : le télétravail

Dans l’absolu, beaucoup d’entreprises pourraient poursuivre leur activité avec une majorité de leurs salariés en télétravail. Mais peu étaient prête à travailler de la sorte, du fait d’un back-office inaccessible hors des murs de l’organisation et manquant de flexibilité opérationnelle. Des solutions cloud, comme Teams ou Zoom, ont pu compenser en partie ce manque. Mais ce n’est pas suffisant.

Il faut maintenant mettre en place des systèmes plus agiles et intelligents, capable de mieux analyser et prévoir, mais aussi de mieux s’adapter à une forte volatilité de la demande. Ceci doit d’accompagner d’infrastructures ouvertes vers l’extérieur et sécurisées, mettant en œuvre des technologies comme des équipements informatiques mobiles, des solutions informatiques en mode cloud, des systèmes de communication unifiée, de la blockchain, etc.

Défi 3 : se rapprocher du consommateur

Qui dit télétravailleur dit consommation à distance. Les entreprises se doivent donc d’aller vers le consommateur, en privilégiant le B2C, par exemple au travers de l’e-commerce. Mais aussi en transformant le B2B en B2B2C ou encore le Direct Selling en Social Selling.

Cela induit des changements profonds dans la structure logistique, avec une nécessité d’optimiser à la fois la production et la chaîne de distribution, afin de desservir un maximum de clients en un minimum de fret. Nous retrouvons ici une problématique que nous avions déjà rencontrée avec la montée de l’économie d’expérience. Celle-ci se traduit en effet par une hyper-personnalisation des produits, qui doivent être directement livrés au client, sans délai.

La solution est donc peut-être de combiner ces deux problématiques, afin de les transformer en opportunité : savoir combiner l’impératif de résilience imposé par la situation économique et sanitaire à la volonté d’expérience portée par les consommateurs et partenaires.

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Dans le cadre de son plan A2P 2020, Agromousquetaires a créé une société dédiée à la logistique. AgroM Transport s’appuie sur SAP TM 9.5 pour assurer la planification et l’exécution des opérations de transport. Une solution mise en place par itelligence.

Agromousquetaires est le pôle agroalimentaire du groupe Mousquetaires. Avec 4,03 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel, 11.000 collaborateurs, 19.700 partenaires agricoles, 62 usines en France et 10 filières, Agromousquetaires est un poids lourd du secteur. La société est en effet le leader français des marques de distributeur, mais aussi le 4e groupe agroalimentaire et le 1er armateur de pêche de l’Hexagone.

Dans le cadre de son plan Agro Performance Plus 2020 (A2P 2020), Agromousquetaires souhaite réduire ses coûts de production au travers de l’innovation. La société passe d’un réseau de PME à une logique de filière, plus efficace. L’un des volets de ce plan prévoit la mise en place d’un pôle logistique dédié.

Le choix de SAP TM et itelligence

En avril 2017, Agromousquetaires a décidé de transférer l’activité logistique de ses filières bœuf et porc vers une nouvelle société, AgroM Transport. Avec comme date butoir le premier janvier 2019.

L’utilisation de SAP Transportation Management (SAP TM) est rapidement apparue comme une évidence pour le groupe. Car le SI d’AgroM Transport mise sur d’autres solutions SAP pour la comptabilité, la finance, le contrôle de gestion et les achats non marchands. Le choix de SAP TM va donc dans le sens d’une cohérence du SI de la nouvelle entreprise.

L’intégrateur itelligence a été choisi pour sa taille rassurante (plus de 7900 consultants présents dans 27 pays) et sa connaissance étendue des solutions SAP (activité 100 % SAP et 30 ans d’expertise). Il a su également convaincre avec sa méthodologie pragmatique, consistant à proposer une solution fonctionnelle le plus tôt possible. Les utilisateurs ont ainsi pu faire remonter leurs recommandations rapidement, l’objectif étant de bâtir une offre de transport moderne : cartographie, diagrammes de Gantt, échanges informatisés avec les partenaires transporteurs, suivi des camions, etc.

Un planning serré

Le projet a démarré en septembre 2017, le pilote devant impérativement être achevé un an plus tard, pour une mise en production le premier janvier 2019. Dans la pratique, le prototype de la solution SAP TM 9.5 a été mis en fonction en mai 2018, avec une phase de stabilisation se terminant en septembre 2018, puis un déploiement progressif jusqu’à la fin de l’année. SAP TM se charge de la planification et de l’exécution des opérations de transport, la gestion des données de base (fournisseurs, clients, articles…) et de la facturation étant prise en charge par S/4HANA Finance.

Le premier janvier 2019, la société AgroM Transport a été lancée avec 331 collaborateurs transférés, 331 cartes grises, 135 transporteurs partenaires, 17 sites gérés et 12 entrepôts frigorifiques. 130.000 ordres de fret sont prévus sur l’année, pour un chiffre d’affaires estimé à 72 millions d’euros. Une grosse volumétrie que SAP TM a su prendre en charge.

Une deuxième phase déjà démarrée

Les enjeux sont atteints à 100 % sur de nombreux critères :

  • mise en place d’un plan de transport efficace ;
  • optimisation du réseau de transport ;
  • exploitation centralisée ;
  • cartographie, GIS et diagrammes de Gantt ;
  • communication avec les partenaires par voie électronique ;
  • intégration avec l’ERP SAP…

Le tout pour un budget maitrisé.

À ce jour, Agromousquetaires n’a migré que deux de ses filières vers la nouvelle société. Une seconde phase programmée sur deux ans est toutefois annoncée. À terme, le choix de SAP TM permettra également de faire remonter des informations vers les outils de Business Intelligence (BI) d’Agromousquetaires.

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Source de l’article sur sap.com

Sur un marché devenu très volatile, la planification de la supply chain devient de plus en plus difficile. Des technologies prédictives s’appuyant sur des données internes et externes, ainsi que des jumeaux numériques permettront d’affiner les prévisions.

La supply chain doit s’adapter pour faire face aux défis d’agilité et de résilience du marché. « La supply chain est un domaine en pleine évolution, avec des sujets comme la data, la robotique, l’IoT ou l’intelligence artificielle », confirme Manuel Davy, Fondateur et CEO de VEKIA.

Quels sont les enjeux de la supply chain ?

  1. Satisfaire les clients.
  2. Réduire les stocks.
  3. Maîtriser les coûts opérationnels.

Mais sur un marché devenu très volatile, où les clients exigent de plus en plus une livraison à J+1, les choses peuvent rapidement se compliquer. « La supply chain c’est extrêmement simple : il suffit d’avoir le bon stock au bon endroit au bon moment : fois des centaines de milliers de point de gestion ou de points de stockage, fois des millions de références, et avec beaucoup d’incertitudes. »

L’une des clés du succès réside dans la prise en compte de ces incertitudes. Mais également dans la capacité à accompagner le client dans ses changements de mode de consommation. Pendant le confinement, ce sont les entreprises capables d’adresser les clients par des canaux numériques, comme l’e-commerce, qui ont tiré leur épingle du jeu. L’omnicanalité s’est imposée alors comme un facteur de résilience.

La prédiction est au cœur de la supply chain

« La planification est partout dans la supply chain, poursuit Manuel Davy. Les technologies les plus avancées sont en mesure de prévoir finement la demande des consommateurs, ce qui permet en remontant dans la supply chain d’anticiper toutes les opérations. »

L’amélioration des prévisions peut suivre deux voies : voir plus loin, grâce à une puissance de calcul accrue ; être plus fin, au travers de l’analyse de plus de données. Le fait de prendre en compte les données d’expérience (comme le ressenti des consommateurs vis-à-vis des produits ou de la marque) permettra par exemple de mieux satisfaire les clients.

Être capable d’agréger des données endogènes et exogènes (météo, réseaux sociaux…) est donc un facteur clé pour améliorer les processus de prédiction et de planification. Par ailleurs, il est primordial de savoir faire circuler les données internes et de les enrichir. Par exemple en disposant d’une vision en temps réel du stock, assurée par de l’IoT.

Autre voie d’amélioration, la mise en place d’un jumeau numérique de la supply chain, permettant de tester des scénarios de type what-if, afin de gagner en agilité ou en résilience. Ou tout simplement pour évaluer l’impact du lancement d’un nouveau produit.

Savoir passer du plan à l’action

Il est essentiel que le prédictif influe directement sur les opérations de l’entreprise (data to action), tout en n’écartant pas l’humain du processus de décision. « La planification reste un sujet humain. Il ne faut pas écarter l’humain, qui est le pilote et aura le dernier mot, car lui seul sait appréhender des situations très incertaines, comme celles que nous avons rencontrées récemment, explique Manuel Davy. Mais nous pouvons donner à l’humain des moyens d’être plus efficace : des algorithmes, des données, de la puissance de calcul. »

La transformation de la supply chain est un sujet riche et passionnant. Mais aussi global, comme le souligne le CEO de VEKIA : « quand on commence à transformer une supply chain, cela entraîne l’ensemble de l’entreprise vers l’industrie 4.0. ». L’occasion peut-être d’évaluer de nouvelles stratégies de supply chain management, comme le DDMRP (Demand Driven MRP), qui s’appuie non plus sur des prévisions, mais sur la demande réelle.

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Source de l’article sur sap.com

La Branche Service-Courrier-Colis (BSCC) du Groupe La Poste s’appuie avec succès sur les solutions SAP BW /4HANA et SAP BI Suite pour répondre aux nouveaux enjeux du marché et réduire son Time To Market. Avec la volonté d’être davantage au service des métiers pour améliorer le service client, cette collaboration s’inscrit dans la transformation numérique de l’activité historique du Groupe La Poste. Cette dernière s’installe et se développe sur de nouveaux secteurs avec la volonté de simplifier la vie de tous et de chacun.

Les technologies SAP pour augmenter la qualité de service IT et client

Le projet, lancé en 2017 avec SAP BW/4HANA, est né de la nécessité de la BSCC de désiloter son organisation en place où chaque business unit était responsable du développement et du choix de ses outils BI. Le projet s’est alors bâti sur 3 grands enjeux :

  • Rationaliser, consolider et gérer l’obsolescence afin de converger vers une solution unique ;
  • Répondre aux enjeux métiers via un reporting opérationnel en temps réel et accélérer le Time To Market dans les projets ;
  • Avoir une vision 360 du cycle de vie de chaque produit passant par les chaînes logistiques de l’entreprise.

Depuis la mise en place des solutions SAP en 2017, la BSCC a uniformisé sa BI avec des outils clés en main pour les collaborateurs opérationnels (20 000 personnes). Tout est désormais centralisé et disponible quasiment instantanément pour être davantage au service des métiers et améliorer le service client.

Les 3 000 directeurs d’établissements sont depuis capables de mieux piloter leur activité, d’être plus réactifs mais aussi plus proactifs grâce à la fiabilité du SI. Enfin, cette nouvelle organisation apporte également une réelle amélioration de l’expérience client final permettant à la BSCC de faire des gains financiers significatifs.

Des coûts de run divisés par 6 et des gains financiers importants sur la partie TMS

La mise en place de SAP BW 4/HANA a permis le déploiement de cartographies mixant data source et volume d’informations, grâce à une plateforme permettant d’absorber de grosses volumétries de données. L’ensemble de ce projet a été mené en mode agile, la méthodologie S@fe ayant été déployée à l’échelle de la BSCC, pour permettre une meilleure flexibilité d’intégration et une meilleure coordination de travail entre les équipes.

Plusieurs projets ont pu voir le jour tel que le projet Osram, permettant de mesurer, analyser, piloter le raccordement qui est au cœur de la supply chain. La dernière version déployée permet d’ores et déjà de simuler la transformation de son réseau industriel qui est un enjeu majeur de la Poste pour améliorer la performance client. Ce projet offre une vision bout en bout de la collecte au dernier geste de distribution, ce qui est totalement disruptif et novateur par rapport au pilotage fait jusqu’à présent.

Enfin, la BSCC a pu améliorer son taux de satisfaction client, en mettant les indicateurs utiles à disposition des collaborateurs suite au déploiement de rampe de flashage permettant de suivre les contenants. L’analyse des fausses directions, une vision factuelle (et non plus déclarée) de l’exécution de ce qui a été planifié dans le contrat de service entre établissement et une meilleure connaissance des flux logistique contribuent à l’optimisation des niveaux de tri.

Eric Brun, Responsable du Socle Connaissance 360, explique : “Depuis la mise en place généralisée des outils SAP, notre coût de run a été divisé par six pour la partie back-end, tout en améliorant le time to market. La solution est fiable, simple et claire, permettant aux équipes de réagir rapidement en cas de problème. Sur le volet transports, l’ensemble du Transport Management System a été repensé pour offrir un outil intuitif permettant de connaître la moindre anomalie ou retard et optimiser le taux de remplissage de chaque camion. Le reporting Atlas Handling permet quant à lui une gestion plus performante et prédictive de notre conteneurisation.  Les gains financiers sont extrêmement importants pour le métier et coté IT le TCO de notre back end divisé par 6 »

De nombreux projets communs à venir

« Nous sortons gagnants de la collaboration avec SAP qui nous apporte un vrai support sur nos enjeux court, moyen et long terme. Les équipes SAP nous nous ont réellement permis d’accélérer notre transformation. Nous travaillons sur une roadmap long terme à 3 ans qui inclut le déploiement d’HANA Enterprise en novembre prochain pour gérer les forts volumes dès janvier 2021 et l’accélération avec SAP Analytics Cloud pour faire du reporting massif et développer de nouveaux cas d’usages autour de la mobilité  », conclut Eric Brun.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

 

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