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SAP Business AI, Green Ledger et les dernières innovations SAP soulignent la capacité de l’entreprise à accompagner durablement les clients dans la résolution de leurs problèmes urgents.

16 mai 2023 – A Sapphire Orlando, SAP SE (NYSE : SAP) a dévoilé des innovations et de nouveaux partenariats pour faire face, avec confiance, à un avenir incertain. SAP aide les clients à transformer leurs business model vers le cloud, à placer la durabilité au centre de leurs opérations et à renforcer leur agilité dans des marchés en pleine transformation. Ces innovations comprennent une IA responsable intégrée aux logiciels d’entreprise, une comptabilité basée sur un suivi de l’impact carbone et des réseaux spécifiques à l’industrie pour renforcer la supply chain.

 

Une IA conçue pour les entreprises.

Alors que l’IA prend une nouvelle place dans le quotidien, SAP renforce son engagement pour l’intégrer au maximum dans son portefeuille de solutions, pour s’assurer que les clients puissent résoudre les problèmes critiques de l’entreprise. Cela comprend de nouveaux partenariats avec :

Une nouvelle collaboration avec Microsoft, incluant les nouveautés en matière d’IA générative prête à utiliser pour accompagner les grands défis commerciaux des clients.

Les entreprises pourront intégrer les solutions SAP SucessFactors avec Microsoft 365 Copilot et Copilot dans Viva Learning, ainsi que le service Azure OpenAI de Microsoft pour accéder à une IA analytique et génératrice de langage. Ces intégrations faciliteront l’expérience des collaborateurs. Pour en savoir plus, cliquez ici.

SAP continue d’étendre son portefeuille SAP Business AI en y intégrant l’intelligence artificielle, autour d’une technologie de pointe pour l’industrie et de nouveaux process pour accompagner les clients pour les problèmes les plus urgents. Parmi les autres nouveautés :

  • Augmentation de la visibilité, de la productivité et des résultats par l’IA qui anticipe et gère plus facilement les changements des entreprises
  • Intégration de l’IA pour SAP Business Network, SAP SucessFactors et SAP S/4HANA Cloud.
  • Renforcement de l’expérience client avec une nouvelle application utilisant l’IA pour donner aux vendeurs des informations globales, des recommandations et ainsi générer automatiquement du contenu.
  • SAP Predictive Replenishment et SAP Intelligent Product Recommendations, deux nouvelles solutions SAP visant à fournir des améliorations des process métiers spécifiques à chaque industrie.

 

Vers un « Green Ledger ».

Il y a cinquante ans, SAP révolutionnait la comptabilité financière avec l’ERP (Enterprise Resource Planning). Aujourd’hui, SAP réinvente le « R » d’ERP en élargissant la définition des ressources à l’impact carbone. Avec son nouveau « Green Ledger », SAP rend la compatibilité carbone aussi importante que la comptabilité financière. Les innovations annoncées incluent :

  • Mise à jour de SAP Sustainability Footprint Management, une solution unique de calcul et de gestion des émissions carbone de l’entreprise, de la supply chain et des produits.
  • SAP Sustainability Data Exchange, une nouvelle solution d’échanges sécurisés de données de développement durable avec leurs partenaires et fournisseurs afin qu’ils puissent plus rapidement décarboner leur supply chain.

Ces deux offres feront partie de RISE with SAP et GROW with SAP pour SAP S/4HANA Cloud, édition grand public.

  • Un partenariat avec Planon pour fournir des solutions durables de gestion de l’immobilier et des espaces de travail afin d’accroître la durabilité dans les portefeuilles commerciaux et d’entreprise.

 

Connecter les industries et les entreprises.

Les transformations de la supply chain ont considérablement modifié la façon dont les organisations commercent. SAP Business Network, plateforme de collaboration B2B contribue à renforcer la résilience de la supply chain mondiale, via des transactions, des process et des informations partagées. Les nouvelles innovations publiées comprennent :

  • Le lancement de SAP Business Network for Industry, combinant les avantages de la supply chain en réseau avec une expertise unique pour accompagner les clients issus de la grande distribution, la haute technologie, les sciences et la fabrication industrielle. A l’avenir, cette solution sera complétée par un guide des meilleurs pratiques, afin d’aider les clients.
  • Le choix pour les services achats sur SAP Business Network des fournisseurs en fonction du prix, de la disponibilité mais également des historiques en matière de respect des droits de l’homme et des certifications de durabilité.
  • Un nouvel ensemble de fonctionnalités proposant des informations sur les fournisseurs, les catalogues des marketplace, une connexion vers les prospects et des profils d’entreprise augmentés.
  • SAP Blockchain Business Connector – une nouvelle offre pour collaborer avec plusieurs entreprises, individus ou institutions sans dépendre d’un système centralisé de vérification des données.

 

Préparer l’avenir.

Les entreprises ont besoin de voir l’ensemble de leurs applications, processus et données pour innover, automatiser et ainsi augmenter la productivité. SAP lance aujourd’hui une multitude d’innovations, et notamment :

  • Un partenariat renforcé avec Google Cloud pour simplifier le paysage de données et permettre aux clients de créer un data cloud de bout en bout qui rassemble les données via Datasphere avec Google Cloud, afin que les entreprises puissent visualiser l’ensemble de leurs données en temps réel. Pour en savoir plus, cliquez ici.
  • De nouvelles fonctionnalités pour SAP Integration Suite pour gérer plus facilement les paysages de données et rassembler les process sur des systèmes SAP et non SAP dans le cloud.
  • Des nouveautés pour SAP Signavio, réunissant la puissance de la technologie SAP et de Signavio pour fournir aux clients des informations stratégiques en quelques heures, et non en quelques jours.

 

Les innovations lancées sur l’ensemble de la plateforme SAP Business Technology accélèrent considérablement l’optimisation des process métiers et facilitent l’automatisation de l’entreprise à grande échelle. SAP continuera d’aider les clients à tirer le meilleur parti de ses dernières innovations augmentant l’expérience et la productivité autour d’outils low-code améliorés et de nouveaux partenariats pour améliorer l’analyse de données critiques.

Christian Klein, PDG de SAP, déclare : « Dans un monde marqué par des transformations de marchés, de paysages réglementaires changeants et des pénuries de talents, les entreprises continuent de se tourner vers SAP pour les solutions dont ils ont besoin afin de résoudre leurs problèmes urgents. Les innovations annoncées à SAP Sapphire s’appuient sur notre riche héritage technologique disruptif et développé de manière responsable, conçu depuis des décennies d’expertise dans l’industrie par des process pour assurer la prospérité de nos clients, aujourd’hui comme demain ».

 

Guide des actualités SAP Sapphire 2023

Plus de détails sur nos actualités, lancements et mises à jour dans le Sapphire News Guide.

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Source de l’article sur sap.com

Concevoir une architecture hybride durable: le rôle crucial de l'empreinte carbone

La conception d’une architecture hybride durable est un défi majeur. Une attention particulière doit être portée à l’empreinte carbone pour garantir une solution durable.

L’augmentation de la demande en services de cloud computing et son impact sur l’environnement, mettant en évidence la nécessité de prioriser la durabilité et de réduire les émissions de carbone dans les environnements cloud hybrides, sont abordés dans cet article. Il souligne l’importance des exigences non fonctionnelles, en particulier l’empreinte carbone, dans la conception de l’architecture cloud hybride et la nécessité d’un rapport standardisé des émissions de carbone pour la transparence et le respect des obligations. L’article explore également diverses opportunités pour minimiser l’empreinte carbone, notamment l’optimisation de l’utilisation de l’énergie et des exigences matérielles, ainsi que la gestion de l’empreinte carbone par le suivi et le reporting des émissions, l’optimisation de l’utilisation du matériel et l’adoption de sources d’énergie renouvelables. Le rôle des fournisseurs de cloud dans l’aide aux entreprises à réduire leur empreinte carbone est discuté, ainsi que l’importance de la collaboration entre les dirigeants d’entreprise, les équipes informatiques et les fournisseurs de cloud pour intégrer la durabilité dans le processus de conception de la solution. De plus, l’article met en évidence l’impact significatif des exigences non fonctionnelles telles que le placement des charges de travail et le routage du réseau sur l’empreinte carbone d’une entreprise, soulignant la nécessité de prendre en compte les facteurs de durabilité pendant la conception et la mise en œuvre des environnements cloud hybrides pour réduire les émissions de carbone et se conformer aux exigences réglementaires.

## L’impact de la demande croissante en services de cloud computing sur l’environnement et la nécessité de prioriser la durabilité

L’utilisation croissante des services de cloud computing et son impact sur l’environnement soulignent la nécessité de prioriser la durabilité et de réduire les émissions de carbone dans les environnements hybrides cloud. Il est important de mettre l’accent sur les exigences non fonctionnelles, en particulier l’empreinte carbone, dans la conception de l’architecture hybride cloud et la nécessité d’un rapport standardisé des émissions de carbone pour la transparence et le respect des obligations.

Il existe plusieurs possibilités pour minimiser l’empreinte carbone, notamment l’optimisation de l’utilisation de l’énergie et des exigences matérielles, ainsi que la gestion de l’empreinte carbone par le suivi et le rapport des émissions, l’optimisation de l’utilisation du matériel et l’adoption de sources d’énergie renouvelables. Le rôle des fournisseurs de cloud dans l’aide aux entreprises à réduire leur empreinte carbone est discuté, ainsi que l’importance de la collaboration entre les dirigeants d’entreprise, les équipes informatiques et les fournisseurs de cloud pour intégrer la durabilité dans le processus de conception des solutions. De plus, l’article met en évidence l’impact significatif des exigences non fonctionnelles telles que le placement des charges de travail et le routage du réseau sur l’empreinte carbone d’une entreprise, soulignant la nécessité de prendre en compte les facteurs de durabilité lors de la conception et de la mise en œuvre des environnements hybrides cloud pour réduire les émissions de carbone et se conformer aux exigences réglementaires.

Les solutions hybrides cloud sont un moyen efficace pour les entreprises de réduire leur empreinte carbone et de répondre aux exigences réglementaires. Les fournisseurs de cloud doivent travailler en étroite collaboration avec les entreprises pour intégrer la durabilité dans le processus de conception des solutions. Les entreprises doivent également prendre en compte les exigences non fonctionnelles telles que le placement des charges de travail et le routage du réseau pour réduire leur empreinte carbone. Enfin, il est important d’adopter des sources d’énergie renouvelables et d’optimiser l’utilisation des ressources matérielles et énergétiques pour minimiser l’empreinte carbone et respecter les exigences réglementaires. La conception d’une architecture hybride cloud durable est essentielle pour assurer une empreinte carbone minimale et une conformité aux exigences réglementaires.

Source de l’article sur DZONE

Il ne fait aucun doute que le concept de durabilité est en passe de transformer l’économie mondiale. L’épuisement des ressources de la planète, les bouleversements climatiques, la fracture sociale et économique, l’évolution des préférences de consommation, l’activisme salarial, la multiplication des réglementations et la crise de confiance dans les institutions sont autant de facteurs qui poussent les entreprises à se montrer toujours plus prudentes dans leurs objectifs et dans leurs bénéfices. Et tout cela est bon pour les affaires.

En assumant sa responsabilité sociétale, une entreprise renforce la réputation de sa marque. En effet, les demandeurs d’emploi et les consommateurs d’aujourd’hui cherchent à soutenir les organisations qui défendent des valeurs importantes et qui ont une incidence positive sur la société dans son ensemble. Quant aux investisseurs, ils s’intéressent de plus en plus aux objectifs de développement durable, et en particulier à leur impact social. Enfin, les réglementations concernant les droits humains et l’environnement se développent rapidement. De quoi pousser les PDG et les dirigeants d’entreprises à adopter une approche plus durable.

 

Les personnes, la planète et la prospérité

Quand vous entendez le mot « durabilité », vous avez peut-être le réflexe de penser au recyclage ou à l’environnement. Mais le concept ne se résume pas à éliminer les bouteilles d’eau à usage unique ou à réduire la consommation des combustibles fossiles. Le développement durable, c’est bien plus que cela. C’est une approche globale qui intègre des aspects sociaux, environnementaux et économiques – en somme, qui implique les personnes, la planète et la prospérité.

Les entreprises sont de plus en plus conscientes de la nécessité de se préoccuper autant de la durabilité sociale, ou durabilité en ressources humaines, que de ses volets économique et environnemental – car ce sont ces trois facteurs indissociables qui soutiennent et stimulent la durabilité de leurs activités. Les personnes sont les éléments constitutifs de la société ; elles exercent un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Elles sont naturellement au cœur de toute stratégie visant à atteindre des objectifs de développement durable. Dans le monde du travail actuel, les RH ont à la fois l’opportunité et la responsabilité de s’assurer que l’humain est au centre des différentes tâches, en créant un environnement propice aussi bien à l’épanouissement des collaborateurs qu’à la prospérité de l’entreprise dans son ensemble.

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale repose sur un traitement éthique et équitable des personnes au sein d’une entreprise, de sa Supply Chain et des populations parmi lesquelles elle opère.

La durabilité environnementale et économique implique de préserver et d’utiliser avec prudence les ressources naturelles et financières ; de la même manière, la durabilité sociale nécessite de considérer les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses, qui doivent être entretenues et valorisées afin de favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation d’objectifs pérennes.

Les entreprises qui font de la durabilité sociale une priorité en générant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive sont mieux à même de stimuler l’implication et la productivité de leurs collaborateurs. Elles sont également mieux placées pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, responsable des talents internationaux chez EY, nous explique en quoi la durabilité sociale est centrale dans la construction d’un monde du travail meilleur.

Identifier les six piliers de la durabilité sociale

L’équipe de recherche en RH SAP SuccessFactors a identifié six domaines qui forment les piliers de la durabilité sociale. Bien que ces piliers soient distincts les uns des autres, on peut bien entendu identifier des recoupements. Et au centre de tout, il y a évidemment la notion de culture, qui détermine tant de comportements à l’intérieur d’une entreprise aussi bien qu’en dehors. Intéressons-nous à ces piliers, sous l’angle des RH et des processus de gestion du personnel.

 

 

Santé et sécurité
A minima, vous devez garantir la sécurité physique de votre personnel, le protéger contre les risques et subvenir à ses besoins de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une bonne visibilité sur l’ensemble de vos collaborateurs, et notamment sur l’endroit où ils se trouvent ? Savoir qui sont vos salariés et où ils sont, à tout moment, vous permet de réagir rapidement en cas de crise et de proposer une assistance si nécessaire.

Diversité, équité et inclusion
En la matière, il s’agit de garantir à chaque individu un traitement juste et équitable, quels que soient son identité sociale et son système de croyances, de telle sorte qu’il en retire un sentiment authentique d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et de recruter des demandeurs d’emploi issus de milieux divers ? Disposez-vous d’un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Votre système de rémunération est-il transparent ? Avez-vous mis en place des métriques et un suivi des objectifs en matière de diversité, d’équité et d’inclusion ?

Bien-être et équilibre
Au-delà des impératifs de santé et de sécurité de base, il s’agit de prioriser le bien-être global (psychologique, social, financier et professionnel) de vos collaborateurs en mettant à leur disposition les outils et les ressources pertinents. Proposez-vous un ensemble complet d’avantages avec des options attrayantes ? Vos collaborateurs sont-ils suffisamment en confiance pour être pleinement eux-mêmes au travail ? Encouragez-vous une culture du dialogue permanent entre les responsables et leurs équipes ?

Confiance et transparence
Dans ce domaine, il importe que les collaborateurs puissent s’exprimer, comprendre comment sont prises les principales décisions qui les concernent, et être certains que leur entreprise agit de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos collaborateurs et tenez-vous compte de leurs retours ? Avez-vous mis en place des règles et des processus garantissant l’utilisation éthique des technologies intelligentes ainsi que la confidentialité et la protection des données ? Vos métriques de diversité sont-elles publiées et accessibles à tous ?

Autonomie et développement personnel
Vos collaborateurs doivent bénéficier d’informations claires, du soutien et des outils nécessaires pour développer leurs compétences et agir sur leur parcours professionnel. Proposez-vous des options de formation inclusives pour répondre aux besoins et aux préférences d’un personnel diversifié ? Veillez-vous à ce que les responsables transmettent des retours équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

Objectif organisationnel et RSE
Dans ce dernier domaine, l’entreprise s’efforce activement de rendre ce qu’elle reçoit et d’exercer un impact positif sur le monde ; ses collaborateurs sont encouragés à s’impliquer et se sentent galvanisés par la mission et les valeurs du groupe. Veillez-vous à ce que les objectifs individuels soient alignés sur ceux de l’entreprise afin de donner du sens au travail accompli ? Donnez-vous à vos collaborateurs la possibilité de s’adonner à leurs passions ?

 

Que peuvent faire les entreprises pour favoriser la durabilité sociale ?

Aujourd’hui, dans la plupart des entreprises, différents acteurs mènent ce genre d’initiatives sans trop connaître les stratégies des autres ni mettre en place de collaborations. Cela dit, il faut bien commencer quelque part. La première étape, en toute logique, consiste à déterminer où vous en êtes. Disposez-vous d’une stratégie unifiée, au moins dans certains des domaines évoqués plus haut ? Entamez des discussions et lancez-vous dans l’élimination des silos organisationnels.

Accordez la priorité aux personnes. Les progrès pour la planète et la prospérité suivront. C’est cela, être une entreprise résiliente, orientée sur les résultats et sur les personnes. Une entreprise qui n’est pas seulement parée pour répondre aux besoins de gestion d’aujourd’hui, mais qui saura s’adapter à ceux de demain.

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture SuccessConnect « Libérez toute la puissance du potentiel humain et transformez définitivement le monde du travail ».

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Kim Lessley est directrice mondiale du marketing des solutions chez SAP SuccessFactors.

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

Lire les actualités

 

D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

Lire le témoignage

 

« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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NEW YORK/WALLDORF, Allemagne – 7 décembre 2022 – PwC et SAP ont annoncé une nouvelle stratégie de co-innovation visant à faire du développement durable une partie intégrante des opérations commerciales. Cette stratégie vise à créer des solutions fiables pour relever les principaux défis Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance d’entreprise (ESG). Elle couvre la mesure, le reporting et le pilotage du carbone ainsi que la décarbonisation de la chaîne d’approvisionnement, le risque climatique et l’analyse concurrentielle.

La nouvelle stratégie ESG s’appuie sur la force de l’alliance existante entre PwC et SAP, qui a fourni avec succès des solutions de transformation d’entreprise à des clients dans plus de 80 pays.

La stratégie comprend des solutions co-innovées, créées avec l’expertise approfondie de PwC en matière d’ESG et de comptabilité, visant à permettre aux entreprises d’appliquer des mesures ESG à travers leurs opérations fiables, auditables et vérifiables. Ces solutions s’appuient sur la solution SAP® Cloud for Sustainable Enterprises, ainsi que sur la solution SAP Sustainability Control Tower et la solution SAP Product Footprint Management. Ensemble, PwC et SAP aident les entreprises à tirer parti des solutions dont elles ont besoin pour satisfaire aux exigences de conformité et stimuler la croissance, afin de répondre aux attentes toujours plus grandes des clients et des investisseurs. Ils aident également les clients à façonner l’avenir de leur stratégie net zéro et de leur reporting sur le développement durable.

La stratégie de PwC et SAP comprend des solutions englobant une stratégie ESG à l’échelle de l’entreprise, allant de l’optimisation des transactions et de la reconnaissance des crédits d’impôt à la gestion des risques liés aux tiers et à l’analyse concurrentielle. Les trois principaux défis à relever en matière d’ESG, de réduction des émissions et de rapports sur le développement durable seront également abordés :

  • Le reporting et la diffusion aidant à satisfaire aux exigences en matière d’établissement de rapports et de diffusion des données sur la mesure du carbone de niveau investisseur, ceci afin de répondre aux demandes des investisseurs, prêteurs, régulateurs et clients.
  • L’opérationnalisation de la durabilité pour soutenir la prise en compte des mesures ESG, en particulier les questions sur le carbone, directement dans les fonctions commerciales, telles que la vente, la capitalisation et la fiscalité.
  • La gestion des risques, le suivi et la conformité de la chaîne d’approvisionnement étendant le soutien aux mesures ESG pour couvrir l’impact des fournisseurs sur les performances organisationnelles.

Des solutions comme l’outil primé Climate Excellence de PwC Allemagne, basé sur SAP Business Technology Platform, ont déjà démontré la force de la collaboration entre les deux organisations pour mettre sur le marché des innovations ESG.

PwC et SAP s’attachent à aider les entreprises à répondre aux exigences de reporting et d’auditabilité imposées par l’European Financial Reporting Advisory Group (EFRAG) et l’International Sustainability Standards Board (ISSB). Ils aident également les entreprises à se conformer à une décision connexe proposée par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Les solutions fournies par PwC et SAP permettent de créer l’environnement en temps réel, et axé sur les données dont les clients ont besoin pour exploiter et promouvoir l’entreprise durable de demain.

Bob Moritz, Global Chairman de PwC, a déclaré : « L’ESG est devenu un impératif commercial et est au cœur de la stratégie mondiale de PwC, ‘The New Equation’, qui vise à aider les clients à instaurer la confiance avec leurs parties prenantes et à obtenir des résultats durables. De nouvelles exigences en matière de reporting et de divulgation ESG sont établies, et une plus grande transparence est essentielle pour instaurer la confiance. Cette conviction est au cœur de notre nouvelle stratégie de co-innovation avec SAP qui vient élargir notre collaboration pour mettre l’accent sur le développement de solutions ESG. PwC a travaillé intensément afin d’aider les entreprises à répondre à leurs exigences pour atteindre leurs objectifs ESG. L’association entre notre expertise et notre réputation de confiance et d’intégrité à la plateforme technologique de SAP, permettra d’apporter des capacités et des solutions plus larges pour répondre aux défis des entreprises dans le respect de leurs engagements ESG et de durabilité. »

Christian Klein, CEO et Membre du Conseil d’Administration de SAP SE, a déclaré : « La clé de la capacité de chaque organisation à atteindre ses objectifs de durabilité et à susciter des changements positifs, est la transparence. Notre collaboration permettra de combiner l’expertise sectorielle approfondie et la connaissance des clients de PwC avec notre portefeuille de technologies de pointe en matière de développement durable. La transparence ESG qui en résultera aidera les entreprises à réinventer leurs modèles économiques et à obtenir des résultats durables dont le monde a besoin de toute urgence.”

Pour en savoir plus sur la stratégie de co-innovation ESG de PwC et SAP, visitez notre site Web.

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La relation entre la compétitivité à long terme et le développement durable est confirmée pour 85% des entreprises, selon la nouvelle étude Sustainability de SAP

 

Paris, le 28 novembre 2022. SAP dévoile les résultats de la première édition de sa nouvelle étude dédiée au lien entre la responsabilité environnementale et son impact sur la conception du business.

Nous assistons à une accélération de l’intégration des enjeux durables dans les politiques de gestion ainsi qu’une appréciation grandissante de l’apport pour le développement des affaires : 34% des entreprises indiquent vouloir augmenter leurs investissements pour construire un plan de lutte contre ces problématiques à horizon 3 ans, un chiffre qui s’est vu multiplié par 5 en 1 an.

34% des entreprises veulent augmenter leurs investissements sur les sujets liés au développement durable.

93% des entreprises considèrent que les législations sont bénéfiques autant pour l’environnement que pour le business.

37% seulement ne collectent les données de leur impact environnemental que depuis 2 à 5 ans.

Loin d’être une contrainte imposée aux entreprises, le développement durable est une conception du développement qui s’inscrit dans une perspective long terme : pour plus de 85% des entreprises françaises, la relation entre la compétitivité à long terme et le développement durable est une relation positive, et 75% d’entre elles déclarent voir un lien positif entre la durabilité et la profitabilité.

Plus que jamais, les entreprises se sentent concernées par ces enjeux, néanmoins, pour la plupart, elles ne sont pas suffisamment outillées pour collecter les données nécessaires quant à leur impact environnemental : 37% seulement estiment pouvoir collecter les données, et ce uniquement depuis 2 à 5 ans.

Mise en cause ? La qualité des datas collectées qui est insatisfaisante pour plus de 63% des entreprises françaises, notamment à cause d’un manque de transparence dans les calculs ou les prévisions (39%), ou par une fréquence beaucoup trop faible de la collecte (35%).

Près de 94% des entreprises françaises témoignent du double bénéfice business/responsabilité qu’imposent les règlementations et les législations.

Ce constat est partagé par 93% des entreprises dans le monde, soulignant d’une part l’unanimité de la nécessité d’avoir une règlementation sur le développement durable, mais aussi et surtout les bénéfices.

Dans les mesures légales les plus efficaces qui poussent les entreprises à s’engager sur des actions d’amélioration de leurs impacts, les taxes arrivent en première position (53%), suivies par les provisions pour l’innovation et la taxe carbone avec respectivement 51% et 38% des réponses.

Retrouvez l’intégralité de l’étude ici

 

Méthodologie de l’étude : 

Le centre de recherche SAP Insights a recueilli des données auprès de 6 669 personnes interrogées dans 40 pays et 29 secteurs d’activité. Les répondants avaient la plus haute connaissance des objectifs et des processus de durabilité de leur organisation.

Les enquêtes ont été menées en ligne au mois d’avril 2022.

Certains chiffres proviennent de données normalisées entre les groupes de répondants entre 2021 et 2022.

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Source de l’article sur sap.com

Il ne fait aucun doute que la durabilité transforme l’économie mondiale. La diminution des ressources planétaires, le changement climatique, la division sociale et économique, l’évolution des préférences des consommateurs, l’activisme des employés, l’augmentation des réglementations et la baisse de la confiance institutionnelle conduisent tous à ce que les organisations soient de plus en plus mesurées en fonction de leur objectif ainsi que du profit. Et c’est bon pour les affaires.

 

Agir de manière socialement responsable renforce la réputation de la marque d’une organisation. Les demandeurs d’emploi et les consommateurs veulent aujourd’hui soutenir les organisations qui défendent quelque chose d’important et qui ont un impact positif sur la société dans son ensemble. Les investisseurs mettentdavantage l’accent sur les objectifs de développement durable en mettant davantage l’accent sur l’impact social. Les droits de l’homme et les réglementations environnementales se multiplient rapidement. Tout cela exige une approche plus durable de la part des PDG et des chefs d’entreprise.

 

Les gens, la planète et la prospérité

 

Lorsque vous entendez le mot durabilité, la première chose à laquelle vous pensez peut-être est le recyclage ou la durabilité environnementale, mais la durabilité va bien au-delà de l’élimination des bouteilles d’eau à usage unique et de la réduction de la consommation de combustibles fossiles. Une approche holistique de la durabilité intègre la durabilité sociale, environnementale et économique – ou les personnes, la planète et la prospérité.

 

Les organisations reconnaissent de plus en plus la nécessité de se concentrer autant sur la durabilité sociale, ou sur les personnes, qu’elles l’ont été sur la durabilité économique et environnementale – les trois ensemble soutiennent et stimulent la durabilité de l’entreprise. Les gens constituent la société, ont un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Les gens sont au cœur de toute stratégie visant à progresser vers les objectifs de développement durable. Dans le milieu de travail d’aujourd’hui, les RH ont à la fois la possibilité et la responsabilité de veiller à ce que les employées soient au centre du travail en créant un environnement dans lequel la main-d’œuvre et l’organisation peuvent s’épanouir.

 

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

 

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale se concentre sur le traitement de ces dernières – celles qui font partie de la main-d’œuvre d’une organisation, à travers leurs chaînes d’approvisionnement et dans les communautés dans lesquelles elles opèrent – de manière éthique et équitable.

 

Tout comme la durabilité environnementale et économique qui nécessitent une préservation et une utilisation prudentes des ressources naturelles et financières, la durabilité sociale nécessite de traiter les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses qui doivent être soutenues et valorisées pour favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation des objectifs de durabilité.

 

Les entreprises qui accordent la priorité à la durabilité sociale, en créant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive, sont en mesure de stimuler l’engagement et la productivité des employés. Ils sont également mieux placés pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, leader mondial des talents chez EY, explique comment la durabilité sociale est au cœur de la construction d’un monde du travail meilleur.

 

Déballer les  six piliers de la durabilité sociale

 

L’équipe SAP SuccessFactors HR Research a identifié six domaines distincts, ou piliers, qui comprennent la durabilité sociale. Bien que les domaines soient distincts, il est également clair qu’il existe un chevauchement entre ces piliers. Au centre de tout cela, bien sûr, se trouve la culture – car elle dicte tant de comportements à la fois à l’intérieur et à l’extérieur d’une organisation. Découvrons un peu ces domaines dans le contexte des processus RH et des ressources humaines.

 

Santé et sécurité

Au minimum, vous devez vous assurer que la main-d’œuvre est à l’abri des risques physiques pour la santé et la sécurité et a accès aux nécessités de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une visibilité sur l’ensemble de vos effectifs, y compris leurs emplacements ? Savoir qui et où se trouve votre personnel à tout moment vous permet de réagir rapidement en temps de crise et de fournir un soutien en cas de besoin.

 

Diversité, équité et inclusion

Ici, l’accent est mis sur le traitement juste et équitable de chaque individu, quel que soit son groupe d’identité sociale ou son système de croyances, et sur la garantie qu’il ressent un véritable sentiment d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et d’engager des demandeurs d’emploi d’horizons divers ? Avez-vous un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Offrez-vous une transparence salariale ? Mesurez-vous et suivez-vous les objectifs de diversité, d’équité et d’inclusion ?

 

Bien-être et équilibre

Au-delà de la santé et de la sécurité de base, ce domaine vise à garantir que le bien-être holistique des employés – psychologique, social, financier et professionnel – est prioritaire et soutenu avec les outils et les ressources nécessaires. Offrez-vous un ensemble complet d’avantages sociaux avec des options intéressantes ? Vos employés se sentent-ils à l’aise de se mettre entièrement au travail ? Avez-vous favorisé une culture de dialogue continu entre les managers et leurs subordonnés ?

 

Confiance et transparence

Ici, l’accent est mis sur le fait que les employés ont une voix, comprennent comment les décisions clés qui les affectent sont prises et font confiance à leur organisation pour agir de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos employés et agissez-vous en fonction des commentaires qu’ils fournissent ? Avez-vous établi des politiques et des processus pour l’utilisation éthique des technologies intelligentes et la confidentialité et la protection des données ? Publiez-vous publiquement des indicateurs de diversité ?

 

Autonomisation et croissance

Ici, les employés reçoivent la clarté, le soutien et les outils nécessaires pour développer leurs compétences et sont habilités à influencer leur trajectoire de carrière. Offrez-vous des options d’apprentissage inclusif pour répondre aux besoins et aux préférences d’apprentissage d’une main-d’œuvre diversifiée ? Assurez-vous que les managers fournissent des commentaires équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

 

Objectif organisationnel et RSE

Dans ce dernier pilier, l’organisation travaille activement à redonner et à avoir un impact positif sur le monde ; les employés sont encouragés à participer et se sentent dynamisés par la mission et les valeurs de l’organisation. Assurez-vous que les objectifs individuels sont alignés sur les objectifs de l’entreprise pour accroître le sens du but et le sens du travail ? Offrez-vous à votre personnel l’espace nécessaire pour poursuivre ses passions ?

 

Que peuvent faire les organisations pour favoriser la durabilité sociale ?

 

Dans la plupart des organisations aujourd’hui, différentes parties de l’entreprise dirigent ces efforts avec une connaissance ou une collaboration minimale des stratégies des autres. Cependant, nous devons commencer quelque part. La première étape la plus logique est de comprendre où vous en êtes aujourd’hui. Avez-vous une stratégie unifiée – au moins sur certains de ces piliers ? Commencez les conversations et commencez à briser les silos organisationnels.

 

Donnez la priorité aux gens, et la planète et la prospérité suivront. C’est ce que signifie être une organisation résiliente, axée sur les résultats et axée sur les personnes. Une organisation non seulement équipé pour répondre aux besoins commerciaux d’aujourd’hui, mais qui s’adapte aux besoins commerciaux de demain.

 

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture de SuccessConnect, Libérez le pouvoir du potentiel humain et changez le travail pour de bon.

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Kim Lessley est  global director of Solution Marketing chez SAP SuccessFactors.

Mots-clés: Ressources Humaines,

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SAP lance une nouvelle solution pour accélérer l’économie circulaire

WALLDORF, Allemagne – le 9 novembre 2021SAP SE (NYSE : SAP) annonce aujourd’hui la disponibilité de SAP Responsible Design and Production, une solution permettant de concevoir des produits de manière durable et de passer à une économie circulaire. Il s’agit de la dernière offre d’un portefeuille croissant de logiciels spécifiques au développement durable qui aide les entreprises à accroître leurs capacités de mesure et de gestion des données.

À l’heure où des réglementations relatives au développement durable, telles que des taxes sur le plastique, sont mises en place, la solution SAP Responsible Design and Production permet aux marques d’accélérer leur transition vers des pratiques commerciales d’économie circulaire. Cette nouvelle solution aide les entreprises à avoir une meilleure visibilité sur les flux de matériaux à travers leurs processus, notamment en assurant le suivi et la conformité aux réglementations qui évoluent rapidement, en particulier celles qui concernent les emballages de produits et les plastiques. Alors que les entreprises développent de plus en plus de produits durables, la gestion des matériaux et des données réglementaires devient aujourd’hui l’un des défis les plus complexes de l’industrie de la consommation.

« L’économie circulaire repose sur trois principes, portés par la conception – éliminer les déchets et la pollution, faire circuler les produits et les matériaux, et régénérer la nature. Les solutions numériques jouent un rôle important dans la transition vers une économie circulaire« , a déclaré Andrew Morlet, PDG de la Fondation Ellen MacArthur. « Elles permettent aux entreprises d’intégrer des pratiques circulaires dans l’ensemble de leurs activités, de la conception de produits visant à réduire les déchets dès le départ au suivi du cycle de vie des matériaux qu’elles utilisent. »

Avec la nouvelle solution de SAP, les entreprises peuvent intégrer les principes de circularité dans leurs processus de gestion de base, ce qui permet d’éliminer les déchets et de dégager une nouvelle valeur en concevant des produits durables dès leur conception. À titre d’exemple, le responsable d’une marque de shampooing dispose d’une visibilité sur le cycle de vie complet du produit, y compris sur ses obligations en matière de responsabilité élargie des producteurs (REP) et sur les taxes sur les plastiques des différents marchés. Cette visibilité aide le responsable de la marque à apporter des modifications à la conception pour réduire les déchets et à prendre des décisions sur la manière de réduire les coûts du système de déchets en aval.

« Chaque année, nous utilisons presque deux fois plus de ressources que la planète ne peut en régénérer. Les entreprises peuvent jouer un rôle crucial en conservant plus longtemps la valeur de nos systèmes grâce à une conception de produits intelligente et responsable qui réutilise les ressources au lieu de les éliminer« , a déclaré Scott Russell, membre du Conseil d’Administration et Responsable de la Réussite Client chez SAP. « La conception de produits qui éliminent les déchets et utilisent des matériaux responsables présente une complexité inhérente, mais la solution SAP Responsible Design and Production s’attaque à cette complexité et offre une solution de référence à nos clients, ce qui les aide à fournir des produits circulaires et à mettre en place une économie régénérative. »

SAP Responsible Design & Production, une solution du Cloud co-développée avec Accenture sur SAP Business Technology Platform, fournit des informations sur mesure qui permettent aux entreprises de suivre le rythme des réglementations REP et des taxes sur le plastique, d’intégrer les principes de circularité dans les processus de gestion de base et d’optimiser la conception pour une activité durable.

Pour en savoir plus sur le thème « Aider les entreprises à prospérer dans une économie circulaire », cliquez ici.

Depuis plus de dix ans, SAP montre l’exemple en tant qu’entreprise durable. En plus d’avoir été nommé leader de l’industrie du logiciel dans le Dow Jones Sustainability Indices (DJSI) pendant 14 années consécutives, l’adhésion de SAP à la Value Balancing Alliance et le SAP Integrated Report illustrent son engagement à intégrer les performances économiques, environnementales et sociales pour guider les décisions commerciales.

Pour en savoir plus, consultez SAP Sustainability Solutions et suivez SAP sur Twitter à l’adresse @SAPNews.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

Contacts presse :

Mathilde Thireau : mathilde.thireau@publicisconsultants.com

Robin Legros : robin.legros@publicisconsultants.com

SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

Veuillez tenir compte de notre politique de confidentialité. Si vous avez reçu cette alerte de presse dans votre courriel et que vous souhaitez vous désabonner de notre liste d’envoi, veuillez communiquer avec presse-sap@publicisconsultants.com et écrire Désabonnement dans la ligne Objet.

 

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WALLDORF, Allemagne – 16 septembre 2021 – SAP SE (NYSE : SAP) annonce la disponibilité de SAP® Product Footprint Management, une solution qui permet aux entreprises de calculer l’empreinte carbone de leurs produits ainsi que l’ensemble de la chaîne de valeur. Cette solution prend en compte l’ensemble du cycle de vie, ce qui aide les entreprises à révéler l’empreinte environnementale de leurs produits aux organismes de réglementation et leur permet de les rendre plus durables.

SAP Product Footprint Management fait partie d’un nouveau portefeuille d’applications de gestion axées sur le développement durable, offrant transparence et capacité de mesure tout au long de la supply chain, ce qui permet ainsi aux entreprises de réduire leurs émissions de carbone et d’adopter des activités plus durables.

« Les clients le souhaitent, le monde en a besoin. Il n’y a pas de temps à perdre pour que les entreprises agissent de manière plus responsable et plus durable. Les objectifs de développement durable sont de plus en plus importants pour la réussite des entreprises, au même titre que les objectifs financiers« , a déclaré Thomas Saueressig, membre du conseil d’administration de SAP SE et Responsable de l’Ingénierie des produits SAP. « Lorsque les entreprises intègrent les données relatives aux émissions dans les processus de gestion sous-jacents, les dirigeants peuvent provoquer un véritable changement. En prenant des décisions conscientes tout au long de la chaîne de valeur, ils sont en mesure d’échelonner la transition vers des voies à faibles émissions. SP est particulièrement bien placé pour favoriser ce changement à travers des réseaux d’entreprises collaboratifs, intelligents et durables. »

En intégrant les datas de toutes les solutions qui régissent les processus de production aux données de base des applications de gestion telles que SAP S/4HANA®, SAP Product Footprint Management peut calculer l’impact environnemental de divers scénarios de production. Par exemple, un fabricant de cookies peut choisir sa source d’approvisionnement en chocolat en fonction du coût de la matière première et de son empreinte carbone.

L’approche data-driven de SAP permet aux entreprises d’intégrer les enjeux de développement durable de manière exhaustive pour obtenir des informations exploitables sur l’ensemble de la chaîne de valeur et ainsi les aider à passer à des processus de gestion à faible émission de carbone. En adoptant une approche différenciée, SAP permet aux entreprises d’identifier de manière proactive l’impact carbone au début du cycle de vie du produit et non plus de manière réactive après la fabrication du produit. En outre, SAP Product Footprint Management permet aux entreprises de réduire les émissions de carbone tout au long de leur chaîne de valeur, mais aussi d’échanger des données avec leurs clients, fournisseurs et partenaires commerciaux, ce qui favorise la transparence des émissions de portée 1, 2 et 3 d’une entreprise.

Alors que les réglementations gouvernementales proposées dans le but de lutter contre les effets néfastes du changement climatique pourraient coûter jusqu’à 120 milliards de dollars aux entreprises, SAP Product Footprint Management, solution cloud-native et basée sur SAP Business Technology Platform, est conçue pour mesurer et signaler l’impact des émissions de gaz à effet de serre. Une solution dans l’ère du temps pour les entreprises, dont une récente enquête d’IDC*  a pu démontrer que l’établissement de liens entre les indications financières et environnementales dans les rapports financiers, ainsi que la réduction des émissions de carbone, sont des sujets prioritaires pour les décideurs informatiques.*

 

L’engagement de SAP pour le développement durable

Depuis plus de dix ans, SAP montre l’exemple en matière de pratiques commerciales durables. En plus d’avoir été nommé leader de l’industrie du logiciel dans le Dow Jones Sustainability Indices (DJSI) pendant 14 années consécutives, l’adhésion de SAP à la Value Balancing Alliance et le SAP Integrated Report illustrent notre engagement à intégrer les performances économiques, environnementales et sociales pour guider les décisions commerciales.

« SAP se concentre depuis longtemps sur ses propres opérations de développement durable. Le lancement de la solution SAP Product Footprint Management, associé au projet Pathfinder du WBCSD, représente une occasion unique de réunir des entreprises pour qu’elles mènent conjointement la décarbonisation à travers les chaînes de valeur et les industries « , a déclaré Marta Muñoz, Directrice de Recherche Senior et Responsable de la Pratique Technologie et Développement durable, IDC EME.

Pour en savoir plus, visitez le SAP News Center et suivez SAP sur Twitter à @SAPNews.

 

*IDC, The Increasing Importance of ESG Principles for Enterprises, Doc # EUR147475621, février 2021.

 

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