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Combler les lacunes en matière de compétences est une responsabilité permanente des ressources humaines. Et à mesure que les conditions sociétales, business et macroéconomiques changent, les RH doivent réimaginer la force de travail de demain. Car le sol se dérobe constamment sous leurs pieds. Aujourd’hui, avec la crise du COVID-19, la vitesse à laquelle les RH doivent déployer les initiatives d’upskilling et de reskilling va en s’accélérant.

Upskilling et reskilling, de quoi parle-t-on ?

  • Définition de l’Upskilling (en français, « perfectionnement professionnel ») : former les salariés dans le but d’améliorer leurs performances dans leurs fonctions actuelles.
  • Définition du Reskilling (en français « requalification ») : former les salariés en vue d’une nouvelle fonction, en particulier lorsque les objectifs de l’entreprise ont changé.

La formation, une priorité renforcée par le contexte COVID-19

Malheureusement, il n’existe aucun plan reproductible pour une formation réussie. Chaque entreprise a des besoins spécifiques qui évoluent avec le temps. Dès mars 2020, les e-commerçants se sont empressés de recruter et de former (upskilling), afin de répondre à la hausse de la demande. Les services publics étaient, quant à eux, déjà engagés dans le reskilling. Avec l’introduction de technologies intelligentes permettant d’automatiser certaines tâches répétitives, ils ont pu donner une responsabilité accrue ou plus stratégique à leurs employés. Mais bien que l’intensité et la nature des efforts de formation aient varié d’un secteur à l’autre, le constat est général : le COVID-19 a forcé la main à toutes les entreprises. Reskilling et upskilling ne sont plus des mots à la mode : les efforts doivent être entrepris, et rapidement.

De nombreuses études montrent que les entreprises mènent une vraie guerre des talents, recrutant agressivement des candidats aux compétences identiques ou similaires. Pour certains postes il pourrait pourtant être plus économique, rapide et efficace de former les collaborateurs. Afin qu’ils puissent occuper des fonctions supérieures ou entièrement nouvelles. Mais il ne s’agit pas de choisir entre recruter et former. Ce qu’il faut, c’est un recrutement efficace associé à une stratégie de formation. Car investir dans les collaborateurs apporte plusieurs avantages : une réduction du turn-over ainsi qu’une amélioration de la productivité et de l’innovation.

HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

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HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

Aujourd’hui l’urgence est plus forte que jamais. S’engager dans l’upskilling et le reskilling peut être la clé de la survie à la crise du COVID-19. Aussi bien pour les jeunes entreprises qui doivent réussir rapidement que pour les organisations installées qui recherchent de la stabilité et une croissance à long terme. La difficulté étant que, maintenant et dans un avenir prévisible, les RH devront trouver le juste équilibre entre embauches, formations et licenciements. Et ce à chaque heure de la journée.

Comprendre les besoins organisationnels et être capable d’y répondre rapidement sera la clé, non seulement de la carrière des professionnels RH mais aussi du succès des organisations qui les entourent.

Du télétravail à l’upskilling et reskilling

Arrêtez-vous un instant et pensez à quel point tout a changé en seulement quelques mois. À la fin de l’année 2019, si un DRH était entré dans le bureau du PDG et lui avait recommandé de commencer à planifier un futur avec des salariés majoritairement en télétravail, on l’aurait sans doute sèchement renvoyé à son bureau. Aujourd’hui le télétravail est devenu normal, si ce n’est la norme.

Mais le principal enseignement est que les organisations se sont révélées plus agiles et réactives que prévu. Et si chacun a été capable d’adopter le télétravail tout en restant efficace, pourquoi les entreprises n’arriveraient-elles pas à former les employés à de nouvelles compétences, rapidement, afin d’atteindre les objectifs fluctuants de l’organisation ? L’upskilling et le reskilling dans un environnement de travail à distance est un défi mais également une nécessité. Et gardons aussi à l’esprit que l’apprentissage « sur le tas », par la pratique, fera partie du chemin. En effet, trouver l’équilibre demande aujourd’hui une adaptation continue, voire même à la volée.

Pensez-y de cette manière : il a fallu des décennies avant que les téléphones portables ne puissent être glissés dans nos poches. Puis le smartphone est arrivé. Aujourd’hui, une application ou un jeu mobile peuvent devenir viraux à l’échelle mondiale, en quelques minutes.

La fonction RH connaît la même évolution rapide. Il y a quelques décennies le passage des documents papier aux fichiers informatiques s’opérait lentement. Aujourd’hui les RH ont délégué les tâches répétitives à des intelligences artificielles ou à des portails en ligne et élaborent des stratégies d’e-learning et de modélisation des effectifs. Si leur fonction est d’aligner les objectifs de formation sur les besoins de l’entreprise, alors les RH ont, comme tout le monde, besoin d’upskilling. Une stratégie de formation pertinente et agile, prête à être déployée à tout moment, est la carte que les professionnels RH ont en main avec leur siège à la table des décisions.

L’avenir du travail est là

Pour les RH, le défi n’est pas simplement d’identifier les lacunes en matière de compétences et de décider s’il faut embaucher ou former. Il s’agit de quantifier l’impact, revoir le plan d’action, puis de quantifier encore, etc. Dans un monde où chaque décision repose sur un calcul de ROI, même subjectif, il est essentiel pour les RH de relier les initiatives de formation aux objectifs immédiats et long terme de l’entreprise. Prenons deux exemples :

  • Delaware Consulting (1700 employés), en implémentant des solutions logicielles de formation robustes, a pu réaliser des économies grâce à un suivi plus précis de ses dépenses. Delaware a ainsi réduit de 5 % les coûts liés aux annulations de formations et de 12 % le temps consacré à l’administratif RH.
  • Newcrest Mining, en Australie, a utilisé des solutions logicielles similaires pour économiser 1,6 million de dollars US en frais de formation au cours des six premiers mois et a également dégagé 3,2 millions de dollars d’économies par gains de productivité la première année.

Le défi, cependant, est le temps : quand et comment les employés peuvent-ils être formés ? C’est particulièrement délicat lorsque l’on sait qu’un employé dispose en moyenne de 14 minutes de temps libre par semaine pour se former. Trouver un moyen d’ajouter une formation à la journée de travail est plus compliqué que de décider s’il faut ou non former. De plus, toute initiative d’upskilling ou de reskilling doit plus largement s’inscrire dans une planification stratégique des effectifs.

Cela signifie que certains salariés seront sélectionnés pour développer de nouvelles compétences quand d’autres seront laissés de côté. Les employés sont intelligents et savent ce qui se passe autour d’eux. C’est pourquoi les initiatives de formation doivent être accompagnés d’un plan de communication solide. Afin que les rumeurs, notamment sur les réductions d’effectifs, ne s’ébruitent pas. Toute stratégie de reskilling ou d’upskilling doit également être associée à un plan de communication interne solide. Un domaine où les RH assument une responsabilité croissante. Dans le cadre d’un vaste effort à l’échelle de l’entreprise, il est essentiel de veiller à ce que chacun, qu’il participe ou non à l’effort de requalification, comprenne les objectifs de l’organisation et la manière dont son travail sera affecté.

Les pièges et obstacles de l’upskilling et du reskilling

Il est également important de garder en tête différents scénarios. Comme la possibilité pour les salariés requalifiés d’exporter leurs nouvelles compétences ailleurs, voire chez un concurrent. Le turn-over est toujours une préoccupation, même en temps normal. Mais si l’attrition peut affecter le ROI associé à un effort de reskilling ou d’upskilling, l’alternative consistant à ne pas former, et donc à ne pas répondre à l’évolution du contexte, serait bien pire.

C’est pourquoi il est essentiel de relier directement les efforts de formation aux résultats de l’entreprise. Par exemple : si l’objectif est de stimuler les ventes en formant de nouveaux commerciaux, il faut mesurer la hausse des ventes. Cherchez des partenaires dans l’entreprise qui peuvent s’appuyer sur des outils ou localisez des parties prenantes pour vous aider à mesurer l’impact de votre travail. Les craintes d’attrition ou de perte de temps équivalent, en fin de compte, à une paralysie par l’analyse. S’engager dans le reskilling et l’upskilling est une question de capacité de l’entreprise à faire face à la concurrence. C’est pourquoi les RH ne doivent pas être considérées comme une entité administrative mais comme une entité pouvant s’attaquer de front aux déficiences de l’entreprise.

Être compétitif dans le contexte business moderne exige à la fois de réimaginer la fonction RH et de créer une culture de l’apprentissage. L’un ne va pas sans l’autre. Les efforts de formation exigent également des RH qu’ils aient une stratégie claire sur les personnes qui recevront de nouvelles compétences et sur ce qu’elles sont censées apporter à l’avenir. Enfin, il faut tenir compte de la manière dont la technologie peut évoluer et avoir un impact sur l’efficacité de tout effort de formation. Un système de gestion de la formation (LMS) moderne peut vous aider à atteindre vos objectifs d’upskilling et de reskilling.

Alors que la pandémie de COVID-19 est un facteur de complication, il faut considérer la formation comme un facteur clé de stabilité et de croissance à long terme. Qui aide à pivoter face aux défis. Le COVID-19 a accéléré les tendances déjà en place et a mis en évidence ce que les entreprises savaient déjà : les organisations dont vous entendrez parler comme des « success stories » dans quelques années seront celles qui se seront activement engagées dans l’upskilling et reskilling de leurs salariés en vue des défis à venir. En raison de la pandémie, les entreprises doivent simplement évoluer à un rythme plus rapide. Et pour ce faire, elles doivent, de même que leurs employés, être plus « smart ».

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 14 janvier 2021 – SAP SE (NYSE : SAP) annonce avoir été récompensée par un Corporate Startup Stars Award comme l’une des 25 entreprises les plus actives pour encourager l’innovation ouverte avec les start-ups.

SAP a également reçu le prix Corporate Startup Accelerator pour ses efforts d’accélération et pour avoir identifié les meilleures pratiques mondiales en matière de collaboration entre entreprises et start-ups. L’annonce a été faite lors de la cérémonie de remise des prix numériques organisée par la société de conseil en innovation ouverte Mind the Bridge et la Chambre de commerce internationale.

L’engagement auprès des start-ups est un aspect important de l’approche holistique d’innovation ouverte de SAP pour rester agile et résilient sur le marché mondial actuel. Cela inclut des programmes dédiés au sein de la branche « early stage venture » de SAP, SAP.iO, pour repérer et accélérer les nouvelles idées et les nouveaux talents au sein et en dehors de l’entreprise.

« Chez SAP, nous savons que nous pouvons mutuellement bénéficier de perspectives externes et internes pour stimuler l’innovation et générer un impact commercial pour nos clients », a déclaré Juergen Mueller, Chief Technology Officer et membre du conseil d’administration de SAP SE. « Depuis 2017, nous avons contribué à la croissance de plus de 270 start-ups prometteuses dans tous les secteurs d’activité et dans neuf pays du monde. Leur fournir l’accès et les ressources dont elles ont besoin pour s’appuyer sur les solutions SAP complète nos efforts internes d’innovation et notre portefeuille, ce qui permet à nos clients de tirer encore plus de valeur de leurs investissements SAP. »

Pour la cinquième année, les start-ups ont été invitées à désigner les entreprises les plus actives et les plus accueillantes dans leur collaboration avec les petites entreprises. Lancés en 2016 dans le cadre de l’initiative Startup Europe Partnership de la Commission européenne, les Corporate Startup Stars Awars ont été étendus pour inclure des entreprises et des start-ups du monde entier grâce au partenariat entre Mind the Bridge et la Chambre de commerce internationale.

« SAP a toujours prouvé qu’elle était l’une des entreprises les plus favorables aux start-ups dans le monde entier en s’engageant auprès d’elles selon plusieurs modes, allant de l’accélération et des partenariats aux investissements et aux acquisitions », a déclaré Alberto Onetti, président de Mind the Bridge. « Nous apprécions l’approche adoptée par SAP.iO et son évolution récente. La combinaison de l’innovation des start-ups et des employés et l’accent renouvelé sur les entreprises qui changent d’échelle font de SAP.iO une référence mondiale pour repenser et optimiser le modèle d’accélérateur d’entreprise ».

Découvrez l’ensemble des actions menées par SAP.iO en 2020 sur son rapport annuel

Pour en savoir plus sur la manière dont SAP aide les innovateurs, qu’ils soient employés ou non par SAP, à créer des produits, à trouver des clients et à changer de secteur, veuillez consulter le site SAP.iO

Visitez le SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter @SAPNews.

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Source de l’article sur sap.com

La maintenance palliative cède progressivement la place à de la maintenance préventive, voire prédictive, grâce aux apports des capteurs et de l’Intelligence Artificielle. De nombreux industriels ont validé cette approche. Reste à passer à l’action.

La maintenance peut représenter de 10 % à 15 % des coûts de production. Le prédictif est en mesure d’aider à optimiser ces coûts. Toutefois, si 76 % des clients SAP interrogés pensent qu’il est important de pouvoir prédire la défaillance d’équipements, seuls 21 % sont satisfaits de leur politique de maintenance actuelle.

Mettre en place une maintenance prédictive demande :

  • des données de fonctionnement remontant rapidement et en quantité suffisante ;
  • l’utilisation d’algorithmes permettant de prédire les défaillances ;
  • l’appel à l’expertise des métiers : un élément clé de toute politique de maintenance.

Le recours à un jumeau numérique

« Les capteurs amènent un flot de données qui va remonter dans un jumeau numérique, lequel fonctionne en parallèle de l’équipement physique. Ce jumeau permet de prédire les besoins de maintenance, » explique Rodolphe Roy, directeur général d’ATS.

Réplique parfaite d’un objet ou d’un processus, le jumeau numérique est alimenté par les données venant du jumeau physique, ce qui permet d’en reproduire fidèlement l’état et de s’en servir comme base pour de la simulation.

« Il y a une vingtaine d’années, la simulation permettait de déterminer pourquoi les choses ne marchaient pas. Aujourd’hui, elle permet de prédire le fonctionnement physique d’objets très complexes, » témoigne Eric Bantegnie, vice-président et general manager Systems & Platform chez Ansys.

Le jumeau numérique ne répond pas seulement aux enjeux de maintenance, mais aussi aux enjeux de performance. « Nous pouvons dorénavant simuler le fonctionnement d’un processus de fabrication. Cela permet de confronter le résultat de la simulation aux performances du processus réel, afin de vérifier si son exécution est optimale. »

Enfin, l’utilisation des données d’exploitation est utile lors de la conception de nouvelles offres, qui ne repartiront alors pas d’une feuille blanche.

L’humain au cœur de tout

L’humain est essentiel dans la transformation des processus de maintenance. Les échecs dans les projets de transformation numérique sont en effet souvent liés à des soucis d’adoption des solutions et processus mis en place.

« C’est primordial, confirme Rodolphe Roy. Il faut accompagner cette transformation et aider à rapprocher les mondes de l’IT et de l’OT. L’IT doit proposer des outils parfaitement adaptés aux besoins des utilisateurs finaux, afin que cette courroie entre OT/IT ne se grippe pas. Il faut générer de la confiance : l’apport technologique ne doit pas inquiéter, mais au contraire rassurer. Il est crucial de repenser l’expérience homme-machine lors du passage à l’Industrie 4.0. »

La transformation numérique n’est pas seulement un défi, mais aussi une opportunité pour rendre l’industrie plus attractive et attirer de nouveaux talents. « Elle augmente la valeur des métiers et permet d’en créer de nouveaux, par exemple autour de la mise en œuvre et de la manipulation des jumeaux numériques, illustre Eric Bantegnie. L’opérateur de maintenance, spécialiste de la compréhension physique des équipements, gagne ainsi une compétence numérique. »

Vers du Product as a Service ?

La maintenance prédictive permet d’imaginer de nouvelles façons de commercialiser une offre, par exemple avec le Product as a Service, où c’est l’usage du produit qui est facturé et non le produit lui-même. Mais avant d’en arriver là, un défi attend les entreprises : le passage à l’échelle.

« Aujourd’hui, l plupart des industriels ont testé ces technologies, qui sont arrivées à maturité, explique Rodolphe Roy. Les grandes questions sont maintenant : comment passer à l’action ? Combien cela va-t-il me coûter ? Quel ROI attendre ? »

« Quelques centaines de milliers de jumeaux numériques seulement ont été déployés dans le monde, ajoute Eric Bantegnie. Mais nous sommes sur une trajectoire qui pourrait nous mener au milliard d’ici 3 à 5 ans. Il faudra toutefois savoir éviter une nouvelle guerre des standards, en assurant l’interopérabilité des solutions. »


En savoir plus sur les solutions SAP pour l’industrie 4.0


 

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Source de l’article sur sap.com

Aujourd’hui les entreprises s’efforcent de plus en plus à offrir une expérience employé exceptionnelle. Et elles ont de bonnes raisons de le faire.

Les recherches révèlent que l’expérience employé a une incidence sur la façon dont les salariés perçoivent leur travail et les efforts qu’ils fournissent. Cette expérience a ensuite un impact sur la satisfaction client, la fidélisation, le rendement des actifs et les ventes (1).

Bien que de nombreux facteurs entrent en jeu, environ 30% de l’expérience employé est liée à l’utilisation de la technologie par leur organisation. Grâce à elle, les salariés peuvent gagner en productivité, flexibilité, améliorer leurs relations professionnelles, mieux gérer le travail à distance. A l’inverse, elle peut aussi les distraire, créer un sentiment d’isolement et limiter leur capacité à se « déconnecter ».

Pour en savoir plus, SAP SuccessFactors a mené des entretiens avec des employés dans le monde entier. Nous avons étudié l’influence de la technologie sur le bien-être, l’engagement, le sentiment d’appréciation et de valeur, la productivité, ainsi que l’expérience globale des processus RH

Bien que cette recherche soit toujours en cours, les résultats préliminaires révèlent trois insights sur la façon dont la technologie peut contribuer à une expérience employé exceptionnelle.

Les employés ont besoin d’outils pour effectuer le travail qu’ils trouvent important et se décharger de ce qu’ils jugent inutile. Nous les avons interrogés sur les tâches, activités, ce qu’ils apprécient le plus et les motive à se lever chaque matin. Selon eux, le « travail utile » est un travail qui implique :

  • La mise en œuvre de quelque chose, par exemple un projet
  • La collaboration avec des collègues dans le but d’atteindre un objectif commun
  • La contribution à une solution et voir les résultats de ces efforts

Sans surprise, lorsqu’on leur demande des exemples illustrant comment la technologie les a aidé, les employés mentionnent des outils conçus pour les soutenir dans ces activités (pour la productivité, Microsoft 365, pour la collaboration, Microsoft Teams et Skype). Avec des résultats plus prononcés chez les employés régulièrement en déplacement ou télétravail.

Mais ils mentionnent aussi des outils qui leur permettent de gagner du temps sur les tâches opérationnelles et administratives. En voici quelques exemples :

  • Une application qui indique les places de parking disponibles lorsqu’on se rend au travail
  • Une application pour commander le déjeuner à l’avance et éviter de faire la queue
  • Les solutions SAP Concur : un employé interrogé a indiqué qu’il a réduit d’au moins 1/3 son temps passé à envoyer ses frais de voyage
  • Des outils qui définissent des modèles fondés sur des comportements antérieurs et qui présentent des propositions de manière proactive. Un employé mentionne une application de navigation GPS qui propose automatiquement un itinéraire en fonction des comportements précédents. Un autre affirme : « J’aime avoir accès au système pour effectuer une tâche, et que le système reconnaisse à l’avance la façon dont j’agis habituellement et prenne en charge certaines étapes à ma place afin que je puisse m’occuper de mon travail […]. Plus vite le système gère les informations, mieux c’est, car ce sont généralement des choses que je […] ne veux pas faire ».

Moins de systèmes séparés et disparates

Les employés soulignent que devoir passer par plusieurs systèmes pour accomplir une tâche ou trouver des informations est extrêmement frustrant et chronophage. Certaines recherches ont démontré que les employés passent jusqu’à 30 % de leur journée de travail à chercher des informations qui peuvent être stockées dans des systèmes et des bases de données disparates.

« J’aimerais faire certaines choses en exactement 20 secondes », confie un employé. « Je ne veux pas avoir à me demander si je dois accéder au portail RH, au portail informatique ou au facility portal. Peu importe qui résout mon problème, je veux juste qu’il soit résolu ».

De meilleures solutions en libre-service avec une assistance humaine

Pendant trop longtemps les solutions technologiques RH des entreprises (surtout celles en libre-service) ont été conçues en tenant compte des RH plutôt que des utilisateurs finaux : les employés. Par conséquent, les employés sont souvent obligés d’utiliser quotidiennement des solutions libre-service obsolètes, non intuitives et mal conçues.

Comme le décrit un employé : « J’essayais de réserver un vol et je recevais sans cesse un message d’erreur, mais le message ne précisait pas ce qui n’allait pas. Ce qui aurait dû me prendre cinq minutes a fini par me prendre plus de trois heures Et quand j’ai finalement réussi à joindre quelqu’un au téléphone, mon interlocuteur n’a pas pu m’en dire plus […]. C’était vraiment frustrant ».

Les conséquences d’une expérience frustrante liée à la technologie vont bien au-delà de la perte de temps. Elles peuvent avoir des effets négatifs sur le bien-être psychologique et physique des employés. Des recherches ont démontré que les expériences frustrantes liées à la technologie peuvent entraîner une perte d’efficacité et un sentiment de colère, impacter l’humeur et les interactions avec les autres, diminuer à la fois le niveau de satisfaction professionnelle et la qualité du travail, compromettre la productivité et même augmenter la pression sanguine ainsi que la tension musculaire (2).

Des recherches antérieures ont démontré que l’élément indispensable des solutions libre-service est la possibilité, si besoin, de parler à quelqu’un. Et cela sans effort important et sans avoir à répéter sans fin une tâche (3).

L’effet de la technologie sur les moments importants : pas toujours positif

Qu’il s’agisse de rejoindre une entreprise, fêter une promotion, s’occuper d’un proche malade ou d’accueillir un nouvel enfant dans sa famille, les moments qui définissent la carrière ainsi que la vie personnelle sont des occasions essentielles de montrer aux employés qu’ils sont reconnus et appréciés. Pourtant, l’expérience technologique associée à ces moments véhicule souvent le message inverse.

Par exemple, un employé interrogé confie : « J’étais très excité quand j’ai trouvé ce travail. Mais le fait d’avoir dû entrer manuellement les informations relatives à mon CV dans le système à plusieurs reprises ne m’a pas laissé une première impression positive de l’entreprise ».

Une récente enquête auprès des candidats et employés de la génération Z est éclairante. 54% d’entre eux déclarent qu’ils ne soumettraient pas une candidature si les méthodes de recrutement de l’entreprise sont dépassées. 26% s’accordent à dire qu’un manque de technologie tout au long du processus d’embauche les dissuaderait d’accepter un emploi.

Alors que les entreprises continuent d’investir dans l’expérience employé, elles doivent être attentives aux solutions technologiques fournies aux collaborateurs. Des solutions dépassées, difficiles à utiliser, qui n’ont pas été conçues en pensant aux employés, désavantageront grandement les organisations lorsqu’il s’agira d’attirer et de fidéliser les talents dans l’économie de l’expérience d’aujourd’hui.

En fin de compte c’est l’un de nos clients interrogés qui le souligne le mieux : « Lorsque nous lançons de nouveaux services de ressources humaines, nous ne voulons pas seulement avoir des utilisateurs. Nous voulons avoir des fans ».

Publié en anglais sur news.sap.com


Lauren Bidwell est chercheuse en gestion du capital humain pour SAP SuccessFactors chez SAP.

(1) The Financial Impact of a Positive Employee Experience ; A Beginner’s Guide to Employee Experience

(2) Ceaparu et al. (2004) ; Lazar et al. (2006) ; Norman (2004) ; Scheirer et al. (2002) ; Murrell & Sprinkle (1993)

(3) Howard & Worboys (2003)

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF – Pour la 14ème année consécutive, SAP SE (NYSE : SAP) a été désignée leader du secteur des logiciels au Dow Jones Sustainability Indices (DJSI). SAP a dépassé ses scores des années précédentes et a creusé l’écart par rapport à ses pairs du secteur, malgré les défis causés par la pandémie.

SAP a obtenu 74 points sur 100 (2019 : 69) au score global, soit cinq points de plus que l’entreprise classée en deuxième position. SAP a amélioré sa valeur de percentile dans 15 des 20 catégories par rapport à 2019, notamment en matière de « sécurité de l’information/cybersécurité et disponibilité des systèmes », d’« attraction et de rétention des talents » et de « rapports environnementaux ».

Cette évaluation souligne les efforts déployés par SAP pour mettre en place une stratégie de cloud fiable et conforme, en valorisant les employés comme son atout le plus important et en améliorant ses capacités de reporting interne. Cette année, 83 entreprises du secteur des logiciels ont participé, soit plus du double par rapport à l’année dernière. SAP a également amélioré sa notation dans les trois dimensions principales :

  • Gouvernance et économie : 65 (2019 : 61)
  • Environnement : 87 (2019 : 83)
  • Social : 81 (2019 : 73)

« Nous sommes fiers de notre classement au Dow Jones Sustainability Indices. Cela nous prouve une fois de plus que nous avons une responsabilité particulière en tant que leader de la durabilité dans l’industrie du logiciel », a déclaré Luka Mucic, directeur financier et membre du conseil d’administration de SAP SE. « Cela nous pousse à redoubler d’efforts auprès de nos clients pour leur fournir des solutions destinées à leur transformation durable, afin que nous puissions tous ensemble construire une économie plus inclusive et plus régénératrice ».

Créés en 1999 par la société de gestion d’investissements RobecoSAM, les DJSI sont les plus anciens indices de référence mondiaux en matière de durabilité. Ils sont cotés en bourse depuis leur création. Basé sur l’évaluation de la durabilité des entreprises (Corporate Sutainability Assessment, CSA) de SAM, le DJSI fournit une analyse des performances économiques, environnementales et sociales des entreprises. Ils comprennent des critères de durabilité généraux ainsi que spécifiques à chaque secteur pour chacune des 60 industries définies selon l’Industry Classification Benchmark (ICB).

En 2020, la solide performance environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) de SAP a également été reconnue par d’autres notations ESG. SAP est restée présente dans la série d’indices FTSE4 Good Index et dans les indices Euronext Vigeo Eiris (Europe 120 et Eurozone 120). SAP a de nouveau été reconnue comme un leader ESG par MSCI Inc. (anciennement Morgan Stanley Capital International), qui lui a attribué la meilleure note, soit « AAA ». Et pour la première fois, SAP a figuré dans le nouveau classement du Wall Street Journal des 100 entreprises les mieux gérées sur le plan du développement durable.

Reconnaissant l’importance croissante des performances ESG non seulement pour son activité, mais aussi pour la réussite de ses clients, SAP fait du pilotage et du reporting holistique un domaine d’action essentiel. Grâce à son programme Climate 21 et à d’autres programmes axés, par exemple, sur l’économie circulaire, SAP propose des offres qui aident ses clients à améliorer leurs propres performances en matière de développement durable. Le rapport interne de SAP reflète sa conviction que les entreprises peuvent mesurer leur succès de manière plus globale grâce à de nouvelles pratiques comptables qui relient les impacts économiques, sociaux et environnementaux. SAP a également rejoint des initiatives internationales telles que celles de la Value Balancing Alliance e.V. et des initiatives locales telles que QuartaVista, un projet financé par le gouvernement allemand qui vise à standardiser les mesures générales de l’impact des entreprises.

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Source de l’article sur sap.com

Levallois-Perret, le 5 novembre 2020 – SAP France, 5ème filiale du Groupe SAP, leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nomme Stéphanie Perchet au poste de Directrice des Opérations. Membre du Comité de direction, Stéphanie Perchet a pour mission principale de renforcer l’organisation des opérations et d’optimiser les processus de l’entreprise pour répondre aux enjeux de SAP France liés au développement de son Business sur le Cloud, à l’adoption de sa solution phare S/4HANA par le marché français et à l’accompagnement des entreprises sur leurs priorités économiques et environnementales.

Pour se faire, l’expérience client, l’excellence opérationnelle et l’accélération de la dynamique sur les thématiques « Future of Work »,  « Business for Good » et « Data et Culture » sont au cœur de sa stratégie.

Stéphanie, 41 ans, est titulaire d’un Master en relations internationales de l’Université Panthéon Sorbonne. Elle a rejoint SAP en 2004 et a occupé différents rôles à un niveau régional EMEA et global avant d’être nommée directrice des opérations.  Elle a notamment déployé le programme de business indirect avec l’écosystème Partenaires, a contribué au développement de l’organisation Commercial Sales à Barcelone et a collaboré avec le bureau du président EMEA. Ces différentes expériences lui confèrent une parfaite connaissance de l’organisation et de ses processus internes ainsi que des problématiques clients, de véritables points forts dans son nouveau rôle.

« Le succès client est une priorité absolue. Au cours des derniers mois, nous avons fait évoluer notre organisation et revu le parcours client pour répondre à la demande d’un accompagnement encore plus personnalisé pour, ensemble, créer encore plus de valeur. Stéphanie Perchet joue un rôle clé dans le développement de cette expérience client et dans la mise en place de notre stratégie visant à accompagner nos clients dans l’élargissement de leur revenu, le suivi de leur profitabilité mais aussi autour de sujets liés à l’attractivité de leurs talents et à l’amélioration de leur impact social et environnemental » explique Frédéric Chauviré, Directeur Général de SAP France.

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Source de l’article sur sap.com

The digital world is a place of constant change. Just as you get used to a new design trend, another one appears, forcing you to rethink the way that you approach each client project. 

As a web designer, it’s up to you to make sure that you have your finger on the pulse on the latest transformations in the industry. However, it can be challenging to know for sure which trends you should be taking seriously, and which you can simply ignore. 

One option to refine and enhance your design journey is to pay attention to influencers. 

Influencers aren’t just there to guide customers into making purchasing decisions. These people are thought-leaders in their field. They spend all of their time tracking down ideas and concepts that really work. That way, they can maintain a successful reputation online.

Sourcing information and motivation from the following UX influencers could help you to create some truly amazing websites in 2020: 

1. Andrew Kucheriavy 

Andrew Kucheriavy is the phenomenal co-founder and CEO of a company named Intechnic. Andrew was one of the first people in the world to be given the “Master in User Experience” award. This means that he’s an excellent person to pay attention to if you want help understanding the ins and outs of user experience design

As one of the leading visionaries in UX, business strategy, and inbound marketing, Andrew has a lot of useful information to offer professionals and learners alike. Andrew is particularly active on Twitter, where he’s constantly sharing insights on design and marketing. You can also find input from Andrew on the Intechnic blog. 

2. Jeff Veen 

Another must-follow for designers who want to learn more about understanding their audience and their position in the marketplace, Jeff Veen is a leader in UX and product design. Veen got his start with the founding team for Wired, before he created the Adaptive Path company for UX consulting. Jeff Veen is also known for being responsible for various aspects of Google Analytics. 

Over the years, Jeff has expanded his knowledge in the design space, and mentored various companies, from WordPress to Medium. He also has a fantastic podcast that you can listen to for guidance when you’re on the go. 

3. Jared Spool 

Jared Spool has been tackling the most common issues of user experience since before the term “UX” was even a thing. Excelling in the design world since 1978, Jared has become one of the biggest and most recognizable names in the user experience environment. He’s the founder of the User Interface Engineering consulting firm. The company concentrates on helping companies to improve their site and product usability. 

Jared offers plenty of handy information to stock up on in his Twitter feed. Additionally, you can find plenty of helpful links to blogs and articles that he has published around the web on Twitter too. He’s followed by Hubgets, PICUS, and many other leading brands. Make sure that you check out his collection of industry-leading talks on UIE. 

4. Jen Romano Bergstrom

An experimental psychologist, User Experience Research coach, and UX specialist, Jen is one of the most impressive women in the web design world. She helped to create the unique experiences that customers can access on Instagram and Facebook. Additionally, she has a specialist knowledge of eye-tracking on the web. You can even check out Jen’s books on eye-tracking and usability testing

When she’s not writing books or researching user experience, Jen is blogging and tweeting about usability and researching new strategies in the web design space. It’s definitely worth keeping up with Jen on Twitter, particularly if you want to be the first to know about her upcoming seminars and learning sessions. 

5. Katie Dill 

Katie Dill is the former Director of Experience for Airbnb, so you know that she knows her way around some unique experiences. With an expertise in working with companies that harness new technologies and UX design, Katie Dill is at the forefront of the user experience landscape. Dill attends various UX conferences throughout the year, and publishes a range of fantastic videos on YouTube. 

You can find blogs and articles from Katie published on the web; however, you’ll be able to get the most input from her by following Katie on her Twitter account. 

6. Khoi Vinh 

Khoi Vinh is one of the most friendly and unique UX bloggers and influencers on the market today. He knows how to talk to people in a way that’s interesting and engaging – even about more complicated topics in UX design. Vinh is a principle designer at Adobe, and he has his own podcast called Wireframe. However, he still finds time to keep his followers engaged on Twitter. 

Over the years, Khoi has worked as a Design Director for Etsy and the New York Times. Vinh also wrote a book called “Ordering Disorder” which examines grid principles in web design. According to Fast Company, he’s one of the most influential designers in America. Additionally, Khoi has a brilliant blog where you can check out all of his latest insights into UX design. 

7. Cory Lebson

Cory Lebson is a veteran in the world of web design and user experience. With more than 2 decades of experience in the landscape, Cory has his own dedicated UX consulting firm named Lebsontech. Lebson and his company concentrate on offering UX training, mentoring, and user experience strategy support to customers. Cory also regularly speaks on topics regarding UX career development, user experience, information architecture and more. 

Cory is an excellent influencer to follow on Twitter, where you’ll find him sharing various UX tricks and tips. You can also check out Cory’s handbook on UX careers, or find him publishing content on the Lebsontech blog too. 

8. Lizzie Dyson

Another amazing woman in the industry of UX, Lizzie Dyson is changing the experience landscape as we know it. Although she’s a relatively new figure in the web design world, she’s recognized world-wide for her amazing insights into the world of web development. Lizzie also helped to create a new group specifically for women that want to get involved in web design. 

The Ladies that UX monthly meet-up welcomes a community of women into the digital landscape, helping them to learn and expand their skills. Lizzie regularly publishes content online as part of Ladies that UX. Additionally, she appears on the Talk UX feed – an annual design and tech conference held for women around the world. 

9. Chris Messina 

Chris Messina is a product designer and a technical master who understands what it takes to avoid disappointing your users. With more than a decade of experience in the UX design landscape, Messina has worked for a variety of big-name brands, including Google and Uber. He is best known as the inventor of the hashtag!

Chris is a highly skilled individual who understands the unique elements that engage customers and keep people coming back for more on a website. You can see Chris speaking at a selection of leading conferences around the world. Check out some of his talks on YouTube or track down his schedule of upcoming talks here. Chris also has a variety of fantastic articles on Medium to read too. 

10. Elizabeth Churchill

Last, but definitely not least, Elizabeth Churchill is a UX leader with an outstanding background in psychology, research science, psychology, artificial intelligence, cognitive science, human interaction with computers and more. She knows her way around everything from cognitive economics, to everyday web design. Churchill also acts as the director of UX for Google Material Design. 

A powerhouse of innovation and information, Churchill has more than 50 patents to her name. She’s also the vice president of the Association for Computing Machinery too. When she’s not sharing information on Twitter, Elizabeth also has a regular column that you can tune into on the ACM Interactions magazine. 

Who Are You Following in 2020?

Whether you’re looking for inspiration, guidance, or information, the right influencers can deliver some excellent insights into the world of web design. There are plenty of thought leaders out there in the realm of user experience that can transform the way that you approach your client projects. You might even discover a new favourite podcast to listen to, or an amazing series of videos that help you to harness new talents. 

Influencers are more than just tools for digital marketing; they’re an excellent source of guidance for growing UX designers too.

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

SAP annonce accompagner la prochaine promotion des DesCodeuses, association engagée au service des femmes et des territoires. Par ce partenariat SAP entend renforcer son action en faveur de l’augmentation du nombre de femmes dans le secteur de la Tech. SAP apporte son expertise et le volontariat de ses collaborateurs engagés sur l’égalité et la mixité.

Depuis sa création en 2017, l’association DesCodeuses a pour mission d’informer, sensibiliser et de développer le pouvoir d’agir des femmes des quartiers prioritaires en les outillant, en les formant et en les accompagnant vers les métiers du numérique.

Depuis 2019, l’association a créé sa propre formation de développeuse / conceptrice permettant à des femmes de développer des compétences techniques, métiers et la confiance en soi. Après le succès de la première promotion, les DesCodeuses continue son aventure cette année avec SAP comme parrain de sa promotion « Katherine Johnson », physicienne, mathématicienne et ingénieure spatiale.

« Avec ce partenariat, l’association profitera de l’expérience et de l’expertise d’un des leaders mondiaux de la tech pour accompagner et mentorer nos étudiantes. SAP et les DesCodeuses ont cet ADN commun avec une culture de la mixité et du développement des femmes dans le monde de l’IT. Les parcours exemplaires de femmes chez SAP seront inspirants pour nos candidates de la promotion Katherine », explique Souad Boutegrabet, CEO et fondatrice des DesCodeuses

Membre du comité de sélection des futurs candidates, SAP accompagnera également l’association au travers de :

  • Mécénat de compétences : les collaborateurs de SAP partageront leurs connaissances du milieu de la tech et accompagneront les femmes de la promotion. Au programme : des ateliers de Design Thinking, des cafés virtuels, des session tech et des simulations d’entretiens d’emploi.
  • « Women role model » : les talents féminins de SAP témoigneront sur leur parcours, métier et challenges. Une occasion unique d’appréhender le monde de l’entreprise et celui de la tech sous le prisme féminin et découvrir les multiples enjeux technologiques des organisations : ressources humaines, ventes, IA…
  • Hackathon : Pour stimuler les étudiantes à élaborer un projet tech ambitieux, SAP et les DesCodeuses organiseront pour la première fois un hackathon.

Ces sessions et activités font écho avec les différentes actions et objectifs que s’est déjà fixés SAP sur son engagement pour la mixité au sein de son entreprise.

« Être le parrain d’une promotion des DesCodeuses, entièrement composée de femmes est un message fort et encourageant dans notre combat pour la mixité au sein de SAP. Je suis ravi que les collaborateurs SAP soient si engagés, volontaires et motivés pour accompagner ces talents au féminin qui, peut-être, se retrouveront un jour dans le bureau d’à côté. L’ensemble de nos actions menées avec les DesCodeuses permettront de mettre en lumière l’expertise et le savoir-faire nécessaires pour travailler dans une entreprise du monde du numérique » explique Erik Marcadé, directeur R&D de SAP France

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Source de l’article sur sap.com


Dans des moments comme celui-ci, la raison d’être n’est pas seulement un mot, c’est une responsabilité. Chez SAP, nous tirons parti de nos ressources et de notre réseau pour des solutions pragmatiques et innovantes, sur la base de valeurs et d’un objectif communs, mais nous vivons également notre raison d’être à travers nos propres actions pour aider le monde à mieux fonctionner et améliorer la vie des gens.

Les employés SAP face à la crise du Covid19 se sont engagés en créant des sites Web communautaires et des boutiques en ligne pour des œuvres caritatives et en partageant des histoires de motivation en réponse à la crise actuelle. Mais ils ne sont pas les seuls. Des équipes dans toute l’entreprise ont pour objectif d’aider le monde à s’améliorer.

SAP Next-Gen est une communauté pour les jeunes du monde entier qui sont passionnés par l’innovation et la technologie et qui veulent façonner l’entreprise intelligente en tant que futurs décideurs. Une partie fondamentale est constituée par les alliances universitaires SAP qui initient les étudiants et les professeurs aux logiciels SAP en leur proposant des activités de réseautage et d’éducation pour développer les talents de demain.

« Partager signifie se soucier des autres » – les employés de SAP aux Pays-Bas ont pris ce dicton à cœur et ont vu l’opportunité de partager tout leur savoir-faire avec la prochaine génération. Même avant la pandémie, des collègues de différentes équipes (ventes, préventes, marketing, conseil et expérience client) ont collaboré activement avec les universités. Aujourd’hui, toujours motivés pour aider les gens à se développer au mieux de leurs capacités, ils poursuivent les collaborations en ligne.

Sous la forme de conférences (désormais numériques), les étudiants d’universités telles que l’Avans Hogeschool et la Hogeschool Rotterdam peuvent obtenir des informations de qualité sur des sujets allant de l’analyse des données à la gestion des ventes et des comptes, en passant par la gestion de Supply Chain, les processus commerciaux et la réalité augmentée, ce qui contribue également à réduire le manque actuel d’accès à l’expérience pratique.

En outre, grâce à des ateliers tels qu’un jeu de simulation ERP sur un système SAP S/4HANA, les étudiants peuvent avoir un aperçu de ce à quoi pourraient ressembler les processus commerciaux et constater à quel point SAP S/4HANA est simple et efficace. En outre, l’équipe partage volontiers ses connaissances sur les technologies intelligentes afin d’établir une compréhension plus approfondie de l’entreprise intelligente au sein de la prochaine génération de jeunes travailleurs.

Au départ, les conférences et les ateliers ont été organisés à la demande de conférenciers qui connaissaient des employés de SAP et qui ont pu ainsi enrichir leurs méthodes d’enseignement. « Notre objectif annuel est de partager nos connaissances avec 10 000 étudiants aux Pays-Bas », explique Jaap Verdonk, partenaire d’alliance associé et responsable du programme Next-Gen NL. À ce stade, de nombreuses universités ont déjà adopté les systèmes SAP comme élément fixe de leurs programmes d’études.

Pourtant, le nombre de participants n’est pas le seul à avoir augmenté. De plus en plus de collègues SAP souhaitent partager leurs connaissances. C’est pourquoi l’équipe de Jaap est en train de constituer un groupe de participants pour tous ceux qui souhaitent s’impliquer, permettant à chacun de se soutenir mutuellement et d’agir de manière ciblée en partageant simplement son histoire.

Plus d’informations sur la façon dont nous pouvons relever les défis en période de perturbation : https://www.sap.com/france/about/global-health-safety.html

En savoir plus sur l’objectif et la promesse de SAP: https://www.sap.com/corporate/en/purpose.html

Tags: éducation , talents futurs , innovation , apprentissage , objectif

Article posté pour la première fois en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com