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Après avoir mis SAP HANA au cœur du SI financier de SCOR, SAP annonce que son client a finalisé avec succès sa roadmap finance. Annoncée en 2015, cette dernière permet aux différents métiers de la finance de SCOR de répondre sereinement aux objectifs des années à venir. La raison d’être du projet : être au service des métiers pour soutenir l’excellence opérationnelle du domaine finance.

Quatrième réassureur mondial, SCOR offre à ses clients une gamme innovante et diversifiée de solutions et de services pour le contrôle et la gestion des risques via une assise financière solide. Fidèle à sa devise « l’Art et la Science du Risque », le Groupe met son expertise reconnue au sein du secteur et ses solutions financières de pointe au service du bien-être et de la résilience des populations.

Répondre à de nombreux enjeux business et numérique pour évoluer technologiquement

SCOR concrétise sa roadmap 2015-2020 avec la conversion vers S/4HANA opérée en Juillet 2020, point d’orgue d’une ambition métier supportée par SAP HANA visant à mettre en place une plateforme financière unique et intégrée pour l’ensemble des besoins de la Finance.

Ce plan sur 5 ans a permis la mise en place des axes suivants :

  • Le passage des portfolio Analytics (SAP BW) et EPM (SAP BFC) sur une instance SAP HANA unique
  • La migration du General Ledger (ECC) sur S/4HANA;
  • La création et le développement de la Reporting Factory, s’appuyant sur un catalogue analytique en temps réel et réconcilié « by design » par une consolidation très précise grâce à 3 outils SAP intégrés :
    • Analysis For Office (AO) pour l’analyse et la manipulation des données
    • SAP Analysis Cloud (SAC) pour le dashborading
    • Disclosure Management (DM) pour le reporting statique
  • La digitalisation et la robotisation des processus Finance au sein du Groupe

Un déploiement prenant en considération tous les paramètres, coûts, délais et qualité grâce à l’expertise consolidée métier, projets et systèmes du SAP Competency Center de SCOR dirigé par François Bossard, qui s’est vu être complétée par le déploiement sur une instance unique de la gestion de la trésorerie (SAP TRM), de la communication bancaire (SAP BCM), de la gestion budgétaire (SAP eBPC) et de la sécurisation du cycle de développement (Solution Manager).

SCOR est désormais doté d’un avantage concurrentiel indéniable pour les 3 prochaines années dans le domaine de la Finance en termes d’innovations technologiques. Sa plateforme est complètement intégrée et dotée d’interfaces répondant en temps réel voire en streaming, un niveau d’intégration que de nombreux acteurs commencent tout juste à entrevoir. Ces avancées sont dues à un concept fonctionnel clé : la réconciliation « by design » de l’ensemble des domaines de la finance au sein d’une plateforme unifiée.

« SCOR posait il y a 10 ans les bases d’une vision rationnalisée de son système d’information financier en migrant l’ensemble de ses comptabilités dans SAP. Ces cinq dernières années, il nous paraissait naturel de faire fructifier cet acquis via une roadmap de développement ambitieuse, associant enrichissements fonctionnels et innovations technologiques pour en tirer tous les bénéfices, optimisant nos processus financiers et nos capacités analytiques. Grâce à ces acquis et à une migration fluide vers S/4HANA réalisée en quelques mois, nous pouvons compter sur une plateforme financière performante qui est en mesure d’encaisser les impacts des prochaines échéances d’évolution règlementaire IFRS9 et IFSR17 », précise Marc Philippe, Directeur des Systèmes d’Information du Groupe SCOR.

Une implémentation réussie pour aller plus loin dans l’excellence opérationnelle

Déployée en juillet 2020, SAP S/4HANA, montre déjà de nombreux bénéfices : des économies sur de nombreux projets, des gains de temps pour mieux redéployer les ressources, la mise en place de process plus intégrés, plus automatisés, plus simples et plus informés pour permettre aux équipes de se concentrer sur leur valeur ajoutée et ainsi libérer du temps aux collaborateurs pour se concentrer sur l’opérationnel. Cette nouvelle étape répond à une logique stratégique sur le moyen long-terme. En effet, elle permet de se rapprocher tactiquement de la roadmap SAP, d’avoir toujours un œil sur l’innovation, d’aller encore plus loin dans l’excellence opérationnelle ou encore de se rapprocher davantage de la réalité comptable tout en abordant de manière plus sereine les challenges normatifs de l’industrie pour les 3 prochaines années.

A l’initiative et à la direction de cette roadmap, y compris la conversion vers S/4HANA venant la conclure, Marc Henry, Head of Finance Projects, Systems, Processes and Controls du Groupe SCOR, précise que « S/4HANA nous permet de construire et développer IFRS9 et IFRS17 sur la nouvelle plateforme sans avoir à faire de migration par la suite. La solution nous permet aussi de développer de nouvelles fonctionnalités clés comme l’ajout de devises, de ledger, de GAAPs et d’aller encore plus loin dans l’intégration du domaine de la finance ».

La solution SAP Analytics Cloud permet de déployer un ensemble de best practices, de capitaliser sur l’ensemble des efforts consentis sur HANA et de s’inscrire comme early-adopter de la roadmap de SAP pour assurer une co-innovation et un partage constant avec toutes les parties prenantes. La solution fournit également au top management des données en temps réel leur permettant d’avoir un avis fiable et factuel sur plusieurs process comme la santé financière de leur division dans le cadre d’un projet ou encore sur le pilotage de KPIs plus globaux. Enfin, SAC permet de rendre les utilisateurs de la solution plus indépendants afin d’être davantage sur l’accompagnement et la certification de la donnée plutôt que sur sa production par les équipes métier.

SAP Business Planning and Consolidation (eBPC) a offert à SCOR la possibilité d’adapter ses plans de planification, de budgétisation, de prévision pour améliorer l’ensemble du processus budgétaire du Groupe. La solution a également permis d’entrevoir des gains additionnels au regard de la roadmap SAP et de son intégration avec d’autres outils déjà existants comme SAP Analytics Cloud Planning. L’objectif : accélérer les cycles budgétaires et de clôture financière, et renforcer l’expérience utilisateur.

« Après le succès de la première implémentation avec SAP, nous souhaitions poursuivre la collaboration. Nous avons pu mettre en place une plate-forme mondiale intégrée, dotée d’une base de données unique disponible en temps réel. SCOR a pu capitaliser sur tout le travail effectué précédemment, avoir un seul point d’accès pour la donnée Finance et rendre certains modules plus flexibles. Nous sommes très fiers d’être une vitrine pour SAP qui nous offre de réels bénéfices opérationnels à court terme », ajoute Marc Henry.

A propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

 

Contacts presse :

Daniel MARGATO, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Pauline BARRIERE : 06.13.73.93.11 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP Press Room; press@sap.com

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Source de l’article sur sap.com

SAP Manufacturing Execution s’invite sur les lignes d’assemblage du géant Airbus. Une solution qui permet de faciliter le travail des opérateurs, tout en améliorant les performances des lignes de production.

Airbus est un acteur bien connu dans le monde de l’aviation civile, avec plus de 12.600 avions livrés à ses clients. C’est aussi un acteur majeur dans le monde des hélicoptères (plus de 12.000 appareils assemblés), de la défense et de l’espace.

Avant la crise sanitaire, les livraisons étaient en forte croissance (+37 % sur 5 ans) et le carnet de commandes promettait du travail aux usines d’Airbus pour les 8,5 années à venir. L’arrivée du Coronavirus et son impact massif sur les déplacements par avion ont provoqué une chute massive des activités de la société. Si l’entreprise travaille déjà sur les avions de demain, avec par exemple des modèles à l’impact carbone réduit de 25 %, elle doit aussi optimiser sa production.

« Dans ce contexte d’adaptation rapide au changement, l’introduction d’un système de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) va être un élément clé de notre transformation », explique Alexandre Sizaret, Head of Production System Efficiency & Manufacturing Digitalisation, Airbus. Le projet a été lancé fin 2016, mais l’arrivée de la crise lui a donné un nouvel élan.

SAP et Sopra Steria à la manœuvre

SAP Manufacturing Execution (SAP ME) est aligné avec les principes du système d’information d’Airbus, AOS (Airbus Operating System) : standardisation des processus, management visuel, suivi et amélioration continus. Il vient naturellement compléter l’ERP et le PLM au sein des usines. Enfin, son interface utilisateur simple est adaptée aux opérateurs travaillant sur des chaînes de production.

Airbus veut répondre à plusieurs challenges au travers de SAP ME : l’organisation de la production (organisation des effectifs, allocation des ressources…) ; le pilotage de l’activité (lignes de production, séquences à exécuter et avancement des séquences) ; l’interfaçage avec l’opérateur (au travers de tablettes, voire de smartphones) ; le support (détection des problèmes et alerte du manager, de la maintenance ou d’autres fonctions support).

Un core model pour toutes les usines Airbus

Pour son projet, Airbus a opté pour une approche core model associant une équipe pluridisciplinaire et multifonctionnelle. « Nous avons mis tout le monde autour de la table – opérateurs, management, intervenants métiers et techniques – afin de mettre au point une unique solution adaptée à toutes les usines, dans tous les pays », explique Alexandre Sizaret.

Après les phases de cadrage et de maquettage, la construction de la solution a été réalisée, avec une mise en place des différentes fonctionnalités de manière incrémentale. Une première version a été déployée sur des usines pilotes volontaires. L’organisation a souhaité ensuite prendre un peu de recul pour identifier les sources d’irritation. Dans le même temps, une analyse a été menée sur l’utilisation du MES et l’adhésion aux processus proposés. « Nous avons voulu vérifier que l’outil répondait bien aux besoins exprimés et qu’il était correctement utilisé. » Une importante phase de consolidation avant le déploiement à grande échelle de SAP ME.

La solution est aujourd’hui présente sur l’ensemble des sites européens du groupe : 10 usines et 2 lignes d’assemblage final. Soit un total de 279 stations de production. 7700 personnes ont été formées, dont 5500 sont des utilisateurs réguliers de SAP Manufacturing Execution. Plus de 2,4 millions d’opérations ont été effectuées sur SAP ME au cours de l’année 2020. Pour tenir cette charge, le système est réparti sur quatre sites, selon un même core model.

Au sein des sites de production, des écrans géants ont été déployés, secondés par des tablettes, smartphones et équipements IoT (scanners, lecteurs de badges…). SAP ME interagit directement avec l’ERP SAP, que ce soit pour la qualité, la conformité, la gestion des aléas, la maintenance ou encore la logistique. Il interagit aussi avec le PLM. Il est ainsi possible de visualiser pièces et maquettes en 3D et de disposer d’instructions de montage détaillées.

Plus d’efficacité au quotidien

SAP Manufacturing Execution est vu par Airbus comme un facilitateur du travail des opérateurs. Mais aussi comme un élément clé pour mesurer, soutenir et améliorer les performances des lignes de production. « Parmi les bénéfices les plus visibles, nous constatons une réduction des temps de production, des déplacements des opérateurs, de la documentation de production et plus généralement du recours aux documents papier, constate Alexandre Sizaret. Un autre bénéfice, moins facilement mesurable, est l’amélioration des performances des lignes de production, au travers d’un meilleur pilotage et d’une meilleure réactivité face aux aléas. »

Le MES est un élément clé pour épauler la production au quotidien, mais aussi un socle qui va aider  à la démocratisation de nouvelles technologies, comme les jumeaux numériques ou la maintenance prédictive. « Nous souhaitons aller vers l’opérateur 4.0 en le connectant à la bonne information, au bon moment, au travers de technologies comme la réalité virtuelle, la réalité augmentée ou l’interaction vocale avec les solutions numériques. Nous voulons également nous servir de la puissance de la data pour améliorer les processus, détecter les bonnes pratiques et prévenir les aléas. C’est un changement de paradigme qui nous permettra de basculer de la réaction à l’anticipation. »

 

 

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Source de l’article sur sap.com

 

“Cette initiative est née de notre profonde conviction que les entreprises, quelle que soit l’industrie, peuvent tirer parti du partage d’experiences.”

 

Il est ingénieur de formation, issu de Polytech’Nice-Sophia. Elle est diplômée en mathématiques appliquées et a validé une thèse en théorie de l’optimisation. Ils mènent leur carrière dans de grandes entreprises technologiques internationales. Et dirigent le Industrial Council of Artificial Intelligence Research (ICAIR). Olena Kushakovska (SAP) et Jean-Michel Sauvage (Amadeus) pilotent ensemble ICAIR depuis 2020. Ils ont une ambition claire pour l’organisation : accélérer le travail sur l’IA en mettant l’accent sur le développement durable. A l’occasion du 1er SAP Sustainability Summit, la directrice générale de SAP Labs France et le directeur R&D pour les solutions Revenue Management d’Amadeus se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour nous donner leur vision de l’IA durable.

  1. Quels sont les principaux avantages de l’IA dans votre secteur ?

Olena Kushakovska : Chez SAP, nous permettons à nos clients de devenir des entreprises intelligentes, d’utiliser les données pour bâtir des entreprises plus performantes, plus résilientes, plus rentables, plus agiles et plus durables. Nous mettons tout en œuvre pour que la réalité de l’entreprise intelligente soit pleinement intégrée avec les fonctionnalités d’Intelligence Artificielle.

Jean-Michel Sauvage : L’IA est une technologie majeure qui offre la meilleure utilisation possible des données et fournit un service plus performant, plus efficace, prévisible, personnalisé et à plus forte valeur ajoutée sur l’ensemble de la chaîne.

  1. Quand, pourquoi et comment vous êtes-vous engagé avec ICAIR ?

Olena : Amadeus et SAP sont membres fondateurs de ICAIR. La décision d’aller de l’avant a été prise entre Gilles Floyrac et moi il y a environ 2 ans. Gilles était le président d’Amadeus Nice à l’époque et la région Côte d’Azur venait de décrocher le label 3IA. Son idée était que les entreprises conduisent l’agenda industriel parallèlement au monde universitaire. Plus de 60 entreprises de la zone ont soutenu le projet 3IA. Nous avons contacté les entreprises que nous pensions intéressées (ex. IBM, ARM, NXP, Thales Alenia Space, Orange) et le “Club” est né. La réunion de mise en place entre les responsables de site pour sceller le club s’est tenue chez Amadeus puis la 1ère session de travail a eu lieu chez SAP en juin 2019.

Jean-Michel : Les techniques d’IA n’étant pas spécifiques à la résolution d’un problème, cette initiative est motivée par la forte conviction que les entreprises, même lorsqu’elles travaillent dans différents secteurs, peuvent bénéficier de l’apprentissage et du partage d’expériences sur les défis auxquels elles sont confrontées sur des problèmes techniques similaires.

« Nous nous efforçons d’utiliser l’IA de manière durable et d’atteindre les objectifs de durabilité de l’ONU au sein du secteur. » Olena KUSHAKOVSKA

  1. Qu’est-ce qui est spécial avec ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR se concentre sur la recherche appliquée, et à ce titre, est un moyen de lier la recherche fondamentale et les résultats académiques à leur application dans un environnement industriel.

Olena : ICAIR est à taille humaine, agile, diversifié, industriel, pratico-pratique, avec des cas d’utilisation réels. Des entreprises leaders dans le monde composent le conseil. Pour autant, il y a un faible niveau d’administration, une faible bureaucratie, mais beaucoup de bonne volonté et un grand écosystème. La bienveillance et le soutien sont sans faille, et l’implication continue !

  1. Pourquoi avoir choisi l’IA durable comme thème du programme ICAIR ? 

Jean-Michel : L’IA s’accompagne de défis, tant en termes de technologie, de puissance de calcul, que de biais d’apprentissage, ou de décisions humainement explicables. Nous pensons que l’IA peut être conçue et utilisée de manière durable et apporter de la valeur d’une manière qui respecte la planète et les communautés.

Olena : On questionne souvent l’IA en termes écologique ou éthique. Nous voulons envisager la durabilité dans un contexte beaucoup plus large, celui des objectifs de durabilité des Nations Unies. La durabilité s’entend comme la capacité de notre génération à atteindre ses objectifs, sans compromettre la capacité de la génération future à atteindre les leurs. Et ce, par rapport à toutes les ressources : naturelles, humaines, économiques. Nos efforts se concentrent sur l’IA durable pour atteindre les objectifs des Nations Unies au sein de l’industrie.

  1. Quel est le champ d’application d’ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR a été pensé de telle sorte que des chercheurs d’entreprises de Sophia Antipolis hébergeant des laboratoires de recherche travaillant dans différents contextes industriels, et sur différents sujets, puissent discuter et échanger leurs points de vue sur des questions communes liées à l’utilisation de l’IA dans leurs industries respectives.

Olena : Notre objectif est de travailler sur des projets communs et d’échanger sur les meilleures pratiques en matière d’apprentissage automatique et d’intelligence artificielle. Cela permettra de faire progresser les recherches en matière d’IA. Enfin, nous comptons utiliser notre puissance commune pour promouvoir la Côte d’Azur en tant que berceau de l’IA durable.

  1. Qu’est-ce qui vous motive personnellement ?

Olena : Ma volonté est de promouvoir notre grande collaboration, dans l’écosystème incroyablement riche sur le plan technologique et intellectuel de la Côte d’Azur, en montrant à nos maisons-mères que cet endroit est vraiment exceptionnel, et y développer une véritable communauté autour de l’IA. Je veux aussi que la France et l’Europe obtiennent la place qu’elles méritent dans le monde en ce qui concerne l’IA, en veillant à ce que l’IA soit utilisée à bon escient, que la Côte d’Azur soit identifiée comme l’endroit idéal pour l’IA durable, et enfin que les gens ne craignent plus l’IA.

Jean-Michel : Je suis un passionné d’aviation et d’informatique. Heureusement pour moi, les voyages et l’aviation en particulier sont des domaines pleins de défis combinatoires, très complexes à résoudre et à optimiser. Chez Amadeus, nous sommes déjà pleinement engagés dans le déploiement de l’IA. Nous sommes également engagés depuis de nombreuses années dans le développement de systèmes ouverts et interopérables, car nous pensons que c’est en combinant les meilleurs services « atomiques » que nous apporterons une plus grande valeur ajoutée à nos clients, à l’industrie du voyage et aux voyageurs. Mais nous savons aussi que, comme toute évolution de ce genre, elle a besoin de temps, d’expérience, de tests et d’apprentissage. L’IA s’accompagne de nombreuses questions et défis sans réponse. Avec ICAIR, nous faisons partie de l’apprentissage, de l’enseignement, et nous voulons y répondre de la bonne manière.

 

 

 

Les membres sont des entreprises internationales avec des sites sur la Côte d’Azur et menant des recherches en IA :

  • Accenture,
  • ACRI-ST,
  • AIRFRANCE KLM,
  • Amadeus,
  • ARM,
  • Hewlett Packard Enterprise,
  • IBM,
  • NXP Semiconductors,
  • Orange,
  • Renault Software Labs,
  • SAP Labs France,
  • STMicroelectronics,
  • Thales Alenia Space.

Le programme touche l’ensemble de l’écosystème du label 3IA de la Côte d’Azur :

  • Académiques : Institut 3IA, UCA (Université Côte d’Azur), Ecoles, Centres de Recherche
  • Secteurs d’activité : ICAIR, ClusterIA
  • Institutions : MIA, OTESIA, EuropIA
  • Associations : Telecom Valley, Pôle SCS

Des initiatives liées à l’IA lancées par ces acteurs soutiennent la dynamique territoriale de la Côte d’Azur. Elles se rapportent aux objectifs de développement durable des Nations unies et constituent le champ d’application du programme « IA durable ».

En savoir plus : ICAIR – Industrial Council of Artificial Intelligence Research

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Source de l’article sur sap.com

Un data warehouse (entrepôt de données) est un système de stockage numérique qui connecte et harmonise de grandes quantités de données provenant de nombreuses sources différentes. Il a pour but d’alimenter la Business Intelligence (BI), le reporting et l’analyse, ainsi que soutenir la conformité aux exigences réglementaires afin que les entreprises puissent exploiter leurs données et prendre des décisions intelligentes fondées sur les données. Les data warehouse stockent les données actuelles et historiques dans un seul et même endroit et constituent ainsi une source unique de vérité pour une organisation.

Les données sont envoyées vers un data warehouse à partir de systèmes opérationnels (tels qu’un système ERP ou CRM), de bases de données et de sources externes comme les systèmes partenaires, les appareils IoT, les applications météo ou les réseaux sociaux, généralement de manière régulière. L’émergence du cloud computing a changé la donne. Ces dernières années, le stockage des données a été déplacé de l’infrastructure sur site traditionnelle vers de multiples emplacements, y compris sur site, dans le Cloud privé et dans le Cloud public.

Les data warehouse modernes sont conçus pour gérer à la fois les données structurées et les données non structurées, comme les vidéos, les fichiers image et les données de capteurs. Certains utilisent les outils analytiques intégrés et la technologie de base de données in-memory (qui conserve l’ensemble de données dans la mémoire de l’ordinateur plutôt que dans l’espace disque) pour fournir un accès en temps réel à des données fiables et favoriser une prise de décision en toute confiance. Sans entreposage de données, il est très difficile de combiner des données provenant de sources hétérogènes, de s’assurer qu’elles sont au bon format pour les analyses et d’obtenir une vue des données sur le court terme et sur le long terme.

Schéma qui montre ce qu'est un data warehouse


Avantages de l’entreposage de données

Un data warehouse bien conçu constitue la base de tout programme de BI ou d’analyse réussi. Son principal objectif est d’alimenter les rapports, les tableaux de bord et les outils analytiques devenus indispensables aux entreprises d’aujourd’hui. Un entrepôt de données fournit les informations dont vous avez besoin pour prendre des décisions basées sur les données et vous aide à faire les bons choix, que ce soit pour le développement de nouveaux produits ou la gestion des niveaux de stock. Un data warehouse présente de nombreux avantages. En voici quelques-uns :

  • Un meilleur reporting analytique : grâce à l’entreposage de données, les décideurs ont accès à des données provenant de plusieurs sources et n’ont plus besoin de prendre des décisions basées sur des informations incomplètes.
  • Des requêtes plus rapides : les data warehouse sont spécialement conçus pour permettre l’extraction et l’analyse rapides des données. Avec un entrepôt de données, vous pouvez très rapidement demander de grandes quantités de données consolidées avec peu ou pas d’aide du service informatique.
  • Une amélioration de la qualité des données : avant de charger les données dans l’entrepôt de données le système met en place des nettoyages de données afin de garantir que les données sont converties dans un seul et même format dans le but de faciliter les analyses (et les décisions), qui reposent alors sur des données précises et de haute qualité.
  • Une visibilité sur les données historiques : en stockant de nombreuses données historiques, un data warehouse permet aux décideurs d’analyser les tendances et les défis passés, de faire des prévisions et d’améliorer l’organisation au quotidien.

Capture d'écran de la solution SAP Data Warehouse Cloud


Que peut stocker un data warehouse ?

Lorsque les data warehouse sont devenus populaires à la fin des années 1980, ils étaient conçus pour stocker des informations sur les personnes, les produits et les transactions. Ces données, appelées données structurées, étaient bien organisées et mises en forme pour en favoriser l’accès. Cependant, les entreprises ont rapidement voulu stocker, récupérer et analyser des données non structurées, comme des documents, des images, des vidéos, des e-mails, des publications sur les réseaux sociaux et des données brutes issues de capteurs.

Un entrepôt de données moderne peut contenir des données structurées et des données non structurées. En fusionnant ces types de données et en éliminant les silos qui les séparent, les entreprises peuvent obtenir une vue complète et globale sur les informations les plus précieuses.


Termes clés

Il est essentiel de bien comprendre un certain nombre de termes en lien avec les data warehouse. Les plus importants ont été définis ci-dessous. Découvrez d’autres termes et notre FAQ dans notre glossaire.

Data warehouse et base de données

Les bases de données et les data warehouse sont tous deux des systèmes de stockage de données, mais diffèrent de par leurs objectifs. Une base de données stocke généralement des données relatives à un domaine d’activité particulier. Un entrepôt de données stocke les données actuelles et historiques de l’ensemble de l’entreprise et alimente la BI et les outils analytiques. Les data warehouse utilisent un serveur de base de données pour extraire les données présentes dans les bases de données d’une organisation et disposent de fonctionnalités supplémentaires pour la modélisation des données, la gestion du cycle de vie des données, l’intégration des sources de données, etc.

Data warehouse et lac de données

Les data warehouse et les lacs de données sont utilisés pour stocker le Big Data, mais sont des systèmes de stockage très différents. Un data warehouse stocke des données qui ont été formatées dans un but spécifique, tandis qu’un lac de données stocke les données dans leur état brut, non traité, dont l’objectif n’a pas encore été défini. Les entrepôts de données et les lacs de données se complètent souvent. Par exemple, lorsque des données brutes stockées dans un lac s’avèrent utiles pour répondre à une question, elles peuvent être extraites, nettoyées, transformées et utilisées dans un data warehouse à des fins d’analyse. Le volume de données, les performances de la base de données et les coûts du stockage jouent un rôle important dans le choix de la solution de stockage adaptée.

Diagramme qui montre la différence entre un data warehouse et un lac de données

Data warehouse et datamart

Un datamart est une sous-section d’un data warehouse, partitionné spécifiquement pour un service ou un secteur d’activité, comme les ventes, le marketing ou la finance. Certains datamarts sont également créés à des fins opérationnelles autonomes. Alors qu’un data warehouse sert de magasin de données central pour l’ensemble de l’entreprise, un datamart utilise des données pertinentes à un groupe d’utilisateurs désigné. Ces utilisateurs peuvent alors accéder plus facilement aux données, accélérer leurs analyses et contrôler leurs propres données. Plusieurs datamarts sont souvent déployés dans un data warehouse.

Diagramme d'un data mart et de son fonctionnement


Quels sont les composants clés d’un data warehouse ?

Un data warehouse classique comporte quatre composants principaux : une base de données centrale, des outils ETL (extraction, transformation, chargement), des métadonnées et des outils d’accès. Tous ces composants sont conçus pour être rapides afin de vous assurer d’obtenir rapidement des résultats et vous permettre d’analyser les données à la volée.

Diagramme montrant les composants d'un data warehouse

  1. Base de données centrale : une base de données sert de fondement à votre data warehouse. Depuis le départ, on utilisait essentiellement des bases de données relationnelles standard exécutées sur site ou dans le Cloud. Mais en raison du Big Data, du besoin d’une véritable performance en temps réel et d’une réduction drastique des coûts de la RAM, les bases de données in-memory sont en train de monter en puissance.
  2. Intégration des données : les données sont extraites des systèmes source et modifiées pour aligner les informations afin qu’elles puissent être rapidement utilisées à des fins analytiques à l’aide de différentes approches d’intégration des données telles que l’ETL (extraction, transformation, chargement) et les services de réplication de données en temps réel, de traitement en masse, de transformation des données et de qualité et d’enrichissement des données.
  3. Métadonnées : les métadonnées sont des données relatives à vos données. Elles indiquent la source, l’utilisation, les valeurs et d’autres fonctionnalités des ensembles de données présents dans votre data warehouse. Il existe des métadonnées de gestion, qui ajoutent du contexte à vos données, et des métadonnées techniques, qui décrivent comment accéder aux données, définissent leur emplacement ainsi que leur structure.
  4. Outils d’accès du data warehouse : les outils d’accès permettent aux utilisateurs d’interagir avec les données de votre data warehouse. Exemples d’outils d’accès : outils de requête et de reporting, outils de développement d’applications, outils d’exploration de données et outils OLAP.

Architecture de data warehouse 

Auparavant, les data warehouse fonctionnaient par couches, lesquelles correspondaient au flux des données de gestion.

Diagramme de l'architecture d'un data warehouse

Couche de données

Les données sont extraites de vos sources, puis transformées et chargées dans le niveau inférieur à l’aide des outils ETL. Le niveau inférieur comprend votre serveur de base de données, les datamarts et les lacs de données. Les métadonnées sont créées à ce niveau et les outils d’intégration des données, tels que la virtualisation des données, sont utilisés pour combiner et agréger les données en toute transparence.

Couche sémantique

Au niveau intermédiaire, les serveurs OLAP (Online Analytical Processing) et OLTP (Online Transaction Processing) restructurent les données pour favoriser des requêtes et des analyses rapides et complexes.

Couche analytique

Le niveau supérieur est la couche du client frontend. Il contient les outils d’accès du data warehouse qui permettent aux utilisateurs d’interagir avec les données, de créer des tableaux de bord et des rapports, de suivre les KPI, d’explorer et d’analyser les données, de créer des applications, etc. Ce niveau inclut souvent un workbench  ou une zone de test pour l’exploration des données et le développement de nouveaux modèles de données.

Un data warehouse standard comprend les trois couches définies ci-dessus. Aujourd’hui, les entrepôts de données modernes combinent OLTP et OLAP dans un seul système.

Les data warehouse, conçus pour faciliter la prise de décision, ont été essentiellement créés et gérés par les équipes informatiques. Néanmoins, ces dernières années, ils ont évolué pour renforcer l’autonomie des utilisateurs fonctionnels, réduisant ainsi leur dépendance aux équipes informatiques pour accéder aux données et obtenir des informations exploitables. Parmi les fonctionnalités clés d’entreposage de données qui ont permis de renforcer l’autonomie des utilisateurs fonctionnels, on retrouve les suivantes :

  1. La couche sémantique ou de gestion fournit des expressions en langage naturel et permet à tout le monde de comprendre instantanément les données, de définir des relations entre les éléments dans le modèle de données et d’enrichir les zones de données avec de nouvelles informations.
  2. Les espaces de travail virtuels permettent aux équipes de regrouper les connexions et modèles de données dans un lieu sécurisé et géré, afin de mieux collaborer au sein d’un espace commun, avec un ensemble de données commun.
  3. Le Cloud a encore amélioré la prise de décision en permettant aux employés de disposer d’un large éventail d’outils et de fonctionnalités pour effectuer facilement des tâches d’analyse des données. Ils peuvent connecter de nouvelles applications et de nouvelles sources de données sans avoir besoin de faire appel aux équipes informatiques.

 

The Future of Analytics Has Arrived

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The Future of Analytics Has Arrived

Kate Wright, responsable de la Business Intelligence augmentée chez SAP, évoque la valeur d’un data warehouse Cloud moderne.


Les 7 principaux avantages d’un data warehouse Cloud  

Les data warehouse Cloud gagnent en popularité, à juste titre. Ces entrepôts modernes offrent plusieurs avantages par rapport aux versions sur site traditionnelles. Voici les sept principaux avantages d’un data warehouse Cloud :

  1. Déploiement rapide : grâce à l’entreposage de données Cloud, vous pouvez acquérir une puissance de calcul et un stockage de données presque illimités en quelques clics seulement, et créer votre propre data warehouse, datamarts et systèmes de test en quelques minutes.
  2. Faible coût total de possession (TCO) : les modèles de tarification du data warehouse en tant que service (DWaaS) sont établis de sorte que vous payez uniquement les ressources dont vous avez besoin, lorsque vous en avez besoin. Vous n’avez pas besoin de prévoir vos besoins à long terme ou de payer pour d’autres traitements tout au long de l’année. Vous pouvez également éviter les coûts initiaux tels que le matériel coûteux, les salles de serveurs et le personnel de maintenance. Séparer les coûts du stockage des coûts informatiques vous permet également de réduire les dépenses.
  3. Élasticité : un data warehouse Cloud vous permet d’ajuster vos capacités à la hausse ou à la baisse selon vos besoins. Le Cloud offre un environnement virtualisé et hautement distribué capable de gérer d’immenses volumes de données qui peuvent diminuer ou augmenter.
  4. Sécurité et restauration après sinistre : dans de nombreux cas, les data warehouse Cloud apportent une sécurité des données et un chiffrage plus forts que les entrepôts sur site. Les données sont également automatiquement dupliquées et sauvegardées, ce qui vous permet de minimiser le risque de perte de données.
  5. Technologies en temps réel : les data warehouse Cloud basés sur la technologie de base de données in-memory présentent des vitesses de traitement des données extrêmement rapides, offrant ainsi des données en temps réel et une connaissance instantanée de la situation.
  6. Nouvelles technologies : les data warehouse Cloud vous permettent d’intégrer facilement de nouvelles technologies telles que l’apprentissage automatique, qui peuvent fournir une expérience guidée aux utilisateurs fonctionnels et une aide décisionnelle sous la forme de suggestions de questions à poser, par exemple.
  7. Plus grande autonomie des utilisateurs fonctionnels : les data warehouse Cloud offrent aux employés, de manière globale et uniforme, une vue unique sur les données issues de nombreuses sources et un vaste ensemble d’outils et de fonctionnalités pour effectuer facilement des tâches d’analyse des données. Ils peuvent connecter de nouvelles applications et de nouvelles sources de données sans avoir besoin de faire appel aux équipes informatiques.
Capture d'écran de la solution SAP Data Warehouse Cloud
L’entreposage de données prend en charge l’analyse complète des dépenses de l’entreprise par service, fournisseur, région et statut, pour n’en citer que quelques-unes.

Meilleures pratiques concernant l’entreposage des données

Pour atteindre vos objectifs et économiser du temps et de l’argent, il est recommandé de suivre certaines étapes éprouvées lors de la création d’un data warehouse ou l’ajout de nouvelles applications à un entrepôt existant. Certaines sont axées sur votre activité tandis que d’autres s’inscrivent dans le cadre de votre programme informatique global. Vous pouvez commencer avec la liste de meilleures pratiques ci-dessous, mais vous en découvrirez d’autres au fil de vos collaborations avec vos partenaires technologiques et de services.

Meilleures pratiques métier

Meilleures pratiques informatiques

Définir les informations dont vous avez besoin. Une fois que vous aurez cerné vos besoins initiaux, vous serez en mesure de trouver les sources de données qui vous aideront à les combler. La plupart du temps, les groupes commerciaux, les clients et les fournisseurs auront des recommandations à vous faire. 

Surveiller la performance et la sécurité. Les informations de votre data warehouse sont certes précieuses, mais elles doivent quand même être facilement accessibles pour apporter de la valeur à l’entreprise. Surveillez attentivement l’utilisation du système pour vous assurer que les niveaux de performance sont élevés. 

Documenter l’emplacement, la structure et la qualité de vos données actuelles. Vous pouvez ensuite identifier les lacunes en matière de données et les règles de gestion pour transformer les données afin de répondre aux exigences de votre entrepôt.

Gérer les normes de qualité des données, les métadonnées, la structure et la gouvernance. De nouvelles sources de données précieuses sont régulièrement disponibles, mais nécessitent une gestion cohérente au sein d’un data warehouse. Suivez les procédures de nettoyage des données, de définition des métadonnées et de respect des normes de gouvernance.

Former une équipe. Cette équipe doit comprendre les dirigeants, les responsables et le personnel qui utiliseront et fourniront les informations. Par exemple, identifiez le reporting standard et les KPI dont ils ont besoin pour effectuer leurs tâches.

Fournir une architecture agile. Plus vos unités d’affaires et d’entreprise utiliseront les données, plus vos besoins en matière de datamarts et d’entrepôts augmenteront. Une plate-forme flexible s’avérera bien plus utile qu’un produit limité et restrictif. 

Hiérarchiser vos applications de data warehouse. Sélectionnez un ou deux projets pilotes présentant des exigences raisonnables et une bonne valeur commerciale.

Automatiser les processus tels que la maintenance. Outre la valeur ajoutée apportée à la Business Intelligence, l’apprentissage automatique peut automatiser les fonctions de gestion technique du data warehouse pour maintenir la vitesse et réduire les coûts d’exploitation.

Choisir un partenaire technologique compétent pour l’entrepôt de données. Ce dernier doit offrir les services d’implémentation et l’expérience dont vous avez besoin pour la réalisation de vos projets. Assurez-vous qu’il puisse répondre à vos besoins en déploiement, y compris les services Cloud et les options sur site. 

Utiliser le Cloud de manière stratégique. Les unités d’affaires et les services ont des besoins en déploiement différents. Utilisez des systèmes sur site si nécessaire et misez sur des data warehouse Cloud pour bénéficier d’une évolutivité, d’une réduction des coûts et d’un accès sur téléphone et tablette.  

Développer un bon plan de projet. Travaillez avec votre équipe sur un plan et un calendrier réalistes qui rendent possible les communications et le reporting de statut.


En résumé 

Les data warehouse modernes, et, de plus en plus, les data warehouse Cloud, constitueront un élément clé de toute initiative de transformation numérique pour les entreprises mères et leurs unités d’affaires. Les data warehouse exploitent les systèmes de gestion actuels, en particulier lorsque vous combinez des données issues de plusieurs systèmes internes avec de nouvelles informations importantes provenant d’organisations externes.

Les tableaux de bord, les indicateurs de performance clés, les alertes et le reporting répondent aux exigences des cadres dirigeants, de la direction et du personnel, ainsi qu’aux besoins des clients et des fournisseurs importants. Les data warehouse fournissent également des outils d’exploration et d’analyse de données rapides et complexes, et n’ont pas d’impact sur les performances des autres systèmes de gestion.


Pictogramme qui représente un entrepôt de données

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Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Il existe des centaines de systèmes ERP parmi lesquels choisir, avec un large panel de fonctionnalités, de points forts, de points faibles, d’applicabilité et de tarifs. Si cela peut sembler intimidant, un processus méthodique de comparaison des ERP peut guider votre équipe vers la bonne décision dans un délai raisonnable.

La méthodologie décrite ici, éprouvée, peut vous aider à trouver la solution qui répond le mieux aux besoins de votre entreprise. Elle peut sembler basique mais les entreprises qui se mettent en quête d’un fournisseur ERP sans suivre ces étapes logiques sont souvent confrontées à des retards, coûts supplémentaires et à une personnalisation inutile. Au contraire, les entreprises qui appliquent les meilleures pratiques gagnent généralement en fluidité dans le processus de sélection et dans les implémentations subséquentes. Elles peuvent ainsi profiter plus rapidement des avantages d’un système ERP moderne et être plus compétitives à l’ère du numérique.


Une méthodologie en 5 étapes pour évaluer les systèmes ERP

Une fois la décision prise de remplacer un ancien système ERP, la première étape consiste à monter une équipe pour piloter le processus de comparaison, de sélection et d’implémentation du logiciel ERP. L’équipe commence son travail par l’élaboration d’un plan initial, qui est plutôt à ce stade une stratégie générale.

Le processus de sélection d’un fournisseur ERP se déroule en cinq étapes :

  1. Définition des besoins en matière d’ERP
  2. Appel d’offres
  3. Evaluation de pré-sélection
  4. Comparaison des ERP et évaluation détaillée
  5. Décision finale et contrat

Diagramme illustrant les 5 principales étapes du processus d'évaluation d'un ERP


1.      Définition des besoins en matière d’ERP

Vous devrez transmettre des informations concernant votre entreprise et ses besoins à vos fournisseurs ERP potentiels afin qu’ils puissent configurer, packager et tarifer correctement la solution appropriée. Commencez par identifier les principales ressources en ligne, telles que les démonstrations de produits et les blogs, qui racontent l’histoire de votre entreprise.

Décrivez votre entreprise et ses processus de manière générale plutôt que de créer de longues listes de besoins et processus spécifiques. Informez les fournisseurs de la taille de votre entreprise, de son volume d’activité et de transactions, de la complexité des différents processus et de toute caractéristique ou facteur spécifique. Concentrez-vous sur les critères et processus qui donnent à votre entreprise son avantage concurrentiel. Ce sont ces éléments qui différencieront les systèmes et qui vous permettront d’examiner de près la façon dont chacun peut être configuré pour les prendre en charge.

Indiquez les éléments que vous aimez dans votre système actuel. En effet, vous voudrez que votre nouveau système les gère au moins aussi bien. De même, indiquez les choses que votre système actuel ne fait pas (ou mal). Signalez les applications, fonctions ou modifications personnalisées qui doivent être prises en charge par des fonctionnalités standard ou une personnalisation simple du nouveau système (et non une modification). En d’autres termes, concentrez-vous sur les éléments qui sont uniques à votre entreprise et partez du principe que les éléments de base se feront d’eux-mêmes (vous vérifierez cette hypothèse lors des démonstrations et des évaluations finales).

« Concentrez-vous sur les éléments qui sont uniques à votre entreprise et partez du principe que les éléments de base se feront d’eux-mêmes. »

Principaux points à retenir et conseils

Ne vous fiez pas aux listes de contrôle / vérification des ERP. Ces check-lists, une vieille pratique courante dans le secteur, ne permettent pas de départager les solutions et ne vous aident pas vraiment à faire un bon choix. La majorité des éléments figurant sur ces listes sont des fonctions et caractéristiques proposées par tous les systèmes, au moins dans une certaine mesure. Et les fournisseurs en compétition sont susceptibles de cocher « oui » dans l’interprétation la plus large de la fonctionnalité.

Choisissez les bonnes personnes pour votre équipe projet. La spécification des besoins est une tâche difficile. Elle nécessite des collaborateurs engagés, qui connaissent bien l’entreprise et qui ont du temps à consacrer au projet. Refreinez la tentation de constituer une équipe de personnes enthousiastes mais inexpérimentées.

Assurez-vous que votre appel d’offres contient les informations suivantes :

  • Présentation de votre entreprise et de ses processus
  • Ce que votre système actuel fait bien
  • Ce qu’il ne fait pas aussi bien que vous le souhaiteriez
  • Ce que vous voulez que le nouveau système fasse d’autre (classé par ordre d’importance)

2. Appel d’offres ERP

L’étape suivante consiste à envoyer un appel d’offres à un groupe sélectionné de fournisseurs. Leur nombre peut varier, mais n’oubliez pas que vous devrez procéder à un examen détaillé pour chaque réponse. L’expérience a montré que plus le nombre de fournisseurs est réduit, plus les informations fournies sont détaillées et meilleures sont les réponses. Il est donc préférable d’identifier une douzaine (ou moins) des meilleurs candidats pour votre short list.

« L’expérience a montré que plus le nombre de fournisseurs est réduit, plus les informations fournies sont détaillées et meilleures sont les réponses. »

En réponse, les fournisseurs d’ERP doivent proposer un système qui offre les fonctionnalités et les caractéristiques requises pour répondre aux besoins que vous avez identifiés. Les propositions contiendront également des informations sur leurs sociétés, leurs produits, leur expérience dans le domaine, les ressources qu’ils consacreront à l’implémentation, ainsi que d’autres informations destinées à gagner votre confiance.

Alors comment identifier la douzaine (ou moins) de candidats sur lesquels concentrer vos efforts de sélection ? Comment réduire la liste des centaines de fournisseurs d’ERP pour n’en retenir que quelques-uns ? Commencez par consulter les publications spécialisées qui présentent des « success stories ERP  » (gardez à l’esprit que ces publications ne vous parleront probablement pas des difficultés rencontrées ou des échecs, mettez donc ces informations en perspective). Utilisez vos contacts – par exemple associations et groupes d’entreprises – pour identifier d’autres professionnels qui ont pu avoir une expérience récente de la sélection et de l’implémentation d’un ERP.

Il existe également de nombreux annuaires en ligne, outils de sélection et services de sélection de systèmes qui peuvent vous aider à identifier les logiciels qui possèdent les fonctionnalités dont vous avez besoin et/ou les fournisseurs qui ont de l’expérience dans votre secteur.

Pour obtenir des conseils personnalisés, vous pouvez passer un contrat avec la branche conseil de votre cabinet comptable ou trouver une ressource conseil indépendante dans votre région et/ou dans votre secteur d’activité. Veillez à vérifier leurs antécédents et leurs affiliations pour vous assurer qu’ils sont réellement indépendants et pas associés à un ou plusieurs fournisseurs de systèmes ERP.

Vous pouvez choisir d’inclure certains fournisseurs de systèmes ERP qui présentent un intérêt pour d’autres raisons. Peut-être qu’un ou plusieurs de vos clients les plus importants utilisent un système ERP et vous ont encouragé à utiliser le même système. Ou peut-être que votre société fait partie d’une grande entreprise ou d’un groupe qui a opté pour une plateforme ERP donnée. Demandez une proposition au fournisseur recommandé puis évaluez toutes les propositions de manière équitable et impartiale avant de prendre votre décision.

Principaux points à retenir et conseils

Veillez à ce que toutes les parties prenantes définissent leurs besoins. Votre appel d’offres doit inclure les contributions de toutes les parties prenantes. Dans le cas contraire, vous risquez de choisir un système ERP qui ne sert que certaines fonctions de votre entreprise, obligeant les autres départements à investir dans des systèmes autonomes. Évaluez les systèmes qui fonctionnent pour l’ensemble de l’entreprise et utilisez le calendrier de déploiement pour livrer les modules prioritaires en premier.

Faites attention au classement des besoins. Souvent, l’appel d’offres est divisé en domaines fonctionnels avec des sections à remplir par chaque service. Chaque département – qu’il s’agisse des RH ou des opérations – fait généralement un excellent travail de classement des fonctionnalités pour son unité opérationnelle, mais ses priorités peuvent ne pas correspondre aux objectifs globaux de l’entreprise. C’est à votre équipe projet d’ajuster les priorités dans une perspective plus large. Quelles sont les fonctionnalités vitales, importantes ou simplement souhaitables ?

Vérifiez la disponibilité effective des fonctionnalités. Les sociétés de logiciels ont d’excellents départements marketing ; certaines vendent des produits qui n’ont pas été entièrement développés et testés. Faites des recherches sur les fonctionnalités « à venir dans une prochaine version » par rapport à celles qui sont utilisées dans les références actuelles. Il est tout à fait envisageable de prendre en compte les fonctionnalités en cours de développement – mais ne pariez pas tout votre projet sur des fonctionnalités à venir si elles sont essentielles.

Évaluez vos processus. Les processus intégrés dans les ERP packagés sont considérés comme étant conformes aux « meilleures pratiques ». Les consultants et les experts de l’implémentation d’ERP vous diront qu’il est presque toujours préférable de modifier la procédure pour l’adapter au logiciel (en tenant compte de la dimension « meilleure pratique ») que de modifier le logiciel pour l’adapter à la procédure existante. Toutefois, c’est à vous de prendre cette décision. Mais n’oubliez pas que les nouveaux processus peuvent être à l’origine des progrès et des avantages que vous tirez d’un nouveau système. N’oubliez pas non plus que tous les logiciels ERP modernes sont personnalisables. Vous disposez donc d’une grande souplesse pour modifier l’affichage, les procédures, les caractéristiques des données et leur traitement, et bien d’autres choses encore – sans modifier le code.

Tenez compte du retour sur investissement de votre ERP. La plupart des entreprises exigent une analyse du retour sur investissement (ROI) comme condition préalable à l’autorisation et au financement de tout projet majeur. Comme son nom l’indique, il s’agit de la somme des coûts liés à l’achat et au déploiement du nouveau système, plus la différence des coûts d’exploitation par rapport à ceux du système existant. Le ROI tient également compte des avantages qui s’ajoutent aux économies directes, notamment l’amélioration du rendement, du service à la clientèle et de la productivité au travail.


3.      Evaluation de pré-sélection

L’évaluation se déroule en deux phases. Au cours de la première phase, toutes les propositions sont évaluées pour voir dans quelle mesure elles correspondent à votre environnement et aux exigences décrites dans votre appel d’offres (cette phase ne comprend pas la comparaison des fournisseurs, qui relève de la deuxième phase d’évaluation).

L’objectif à ce stade est d’écarter les offres qui ne remplissent pas vos critères et de classer celles qui semblent convenir. Il en résulte une short list des meilleures propositions. Celles-ci, et seulement celles-ci, seront soumises à une évaluation détaillée jusqu’à la sélection finale.

Si vous devez examiner de nombreuses réponses, les détails auront tendance à se brouiller et il vous sera difficile de vous souvenir des réponses particulièrement solides (ou celles insuffisantes) et dans quels domaines. Une échelle de notation numérique peut vous aider à ne pas perdre le fil et à documenter votre processus de décision. Voici quelques conseils supplémentaires pour vous aider lors de cette étape de documentation :

  • Mettez en place un formulaire ou une feuille de calcul agencée de manière à ce que les évaluateurs puissent noter chaque proposition en fonction des principaux critères que vous avez spécifiés. Demandez à chaque examinateur d’attribuer une note à chaque critère d’évaluation (l’échelle peut être de un à dix, de un à cinq, de un à trois, ou tout autre niveau de granularité que vous jugez approprié). Vous pouvez avoir autant ou aussi peu d’examinateurs que vous le souhaitez.
  • Laissez de la place pour des notes et des questions, pour le suivi. Vous pouvez demander des éclaircissements à ce stade ou attendre l’évaluation détaillée des propositions présélectionnées. Attribuez un coefficient à chaque critère en fonction de l’importance de la fonction ou du processus pour votre entreprise.
  • Multipliez la note donnée par chaque évaluateur par le coefficient de chaque critère et calculez une note globale pour chaque fournisseur. Le plus souvent, plusieurs d’entre eux se classeront en haut de l’échelle, plusieurs autres un peu plus loin dans le classement, et quelques-uns ne seront pas retenus. Vous devriez maintenant avoir votre short list de finalistes – idéalement trois à cinq candidats – pour l’évaluation finale.
  • Il y a de bonnes chances que vous puissiez identifier les meilleurs candidats, mais si ce n’est pas aussi clair, revenez aux évaluations individuelles et discutez-en avec l’équipe.

Principaux points à retenir et conseils

Traitez chaque fournisseur potentiel de la même manière. N’acceptez pas de démonstrations en direct, de réunions spéciales en présentiel ou de visites sur place, à moins que vous ne soyez prêt à offrir la même possibilité à tous les fournisseurs. Il est important de maintenir des règles du jeu équitables. Une technique courante consiste à organiser une « conférence des candidats » dans vos locaux pour faire visiter les lieux à tous les fournisseurs potentiels et répondre à leurs questions (devant tout le monde).

N’oubliez pas qu’une proposition est un document de vente. Les réponses contiendront les informations que vous avez demandées et bien plus. Partez du principe que toutes les affirmations sont véridiques ; vous pourrez vérifier la plupart, sinon toutes, au cours du processus d’évaluation. Mais sachez que les auteurs de la proposition répondront à vos questions de manière à présenter leurs produits sous le jour le plus favorable.

Recherchez les valeurs aberrantes. Accordez une attention particulière aux critères pour lesquels les notes varient considérablement. Si un évaluateur donne une note très élevée à une proposition pour un critère et qu’un autre évaluateur lui donne une note très basse, cela vaut la peine d’en discuter. Interrogez les deux évaluateurs de manière constructive pour savoir ce que chacun pensait. Il est probable que l’un ou l’autre ait remarqué quelque chose que les autres n’ont pas vu ou n’ont pas considéré comme important. À la suite de ces discussions, vous souhaiterez peut-être ajuster les notes pour un critère spécifique, ce qui pourrait modifier le classement général.


4. Comparaison des ERP et évaluation détaillée

Une fois que vous avez identifié trois à cinq finalistes, il est temps de vous mettre au travail pour vérifier leurs affirmations et valider leurs références.

Comment commencer votre évaluation

  • Prenez contact avec chacun des fournisseurs potentiels et annoncez-leur la bonne nouvelle : ils ont été retenus dans la short list ! (Il n’y a pas de mal à leur dire combien il y a d’autres finalistes et même à leur faire savoir avec quelles entreprises ils sont en concurrence, si vous êtes à l’aise pour le faire).
  • Dans certains cas, vous pouvez également leur demander d’affiner leurs propositions.
  • Discutez avec les utilisateurs actuels du système (ou rendez-leur visite), de préférence ceux de votre industrie (ou d’un marché comparable) et de la taille de votre entreprise.
  • Obtenez des références si les éditeurs ne les ont pas déjà fournies (les fournisseurs peuvent hésiter à fournir des références pour des raisons de concurrence. Mais vous devez insister. Rassurez-les sur le fait que vous signerez et respecterez les accords de non-divulgation).

Comment gérer les démonstrations

C’est également le moment d’inviter les candidats présélectionnés à effectuer des démonstrations détaillées de leurs systèmes – mais vous devez contrôler ces démonstrations.

  • Fournissez à chaque candidat un script ou une liste des fonctionnalités que vous souhaitez voir bien avant la démonstration prévue. Tous les fournisseurs potentiels devraient recevoir la même liste.
  • Permettez-leur de montrer les fonctions spéciales qu’ils souhaitent mettre en avant uniquement après vous avoir montré les fonctions et les processus décrits dans l’appel d’offres.
  • Assurez-vous que votre script ou votre liste inclut les exigences spécifiques identifiées à l’étape 1. Les systèmes ERP traitent les processus courants de la même manière ; ce sont les exceptions qui posent problème (par exemple, la possibilité d’entrer des commandes pour des articles qui ne sont pas en stock, de vendre des articles dans des packages, des kits ou des ensembles, ou encore la prise en charge d’un processus spécifique de rapprochement des factures).
  • Pendant la démonstration, vous voudrez voir comment le logiciel peut être configuré et adapté pour prendre en charge vos processus et procédures uniques. Cela dit, restez ouvert d’esprit dans la mesure où vous pourriez découvrir certaines meilleures pratiques dans ces fonctions standard qui amélioreraient les opérations et les résultats de votre entreprise.
  • Dans l’idéal, le démonstrateur sera en mesure de montrer le fonctionnement du système en utilisant vos propres données. Ce n’est pas toujours possible, mais lorsque c’est le cas, cela vous donnera une bien meilleure idée de la façon dont le système fonctionnerait dans votre environnement.

Principaux points à retenir et conseils

Ne vous laissez pas éblouir par les démonstrations. Les professionnels qui font la démonstration des logiciels sont généralement très expérimentés et ont une forte personnalité. Leur objectif est de vous convaincre et de vendre leur logiciel. Ne vous laissez pas distraire par la personne ou le discours de vente, aussi captivant soit-il. Concentrez-vous sur le fond.

Tirez le meilleur parti des visites de référence. Sélectionnez avec soin les visites que vous souhaitez faire. Passez un bref appel à votre interlocuteur pour vous assurer qu’il a bien déployé le logiciel et qu’il a obtenu les avantages promis. Convenez de ce qu’il vous montrera et des personnes que vous rencontrerez au cours de la visite. Une fois sur place, jugez soigneusement si leur succès est reproductible dans votre environnement. Posez également les questions difficiles : « Quelles ont été vos plus grandes surprises ? » et « Si c’était à refaire, que feriez-vous différemment ? ».

Continuez à poser des questions. Encouragez votre équipe à poser des questions, ne serait-ce que pour clarifier les réponses. Faites-le lors de l’examen de l’appel d’offres et pendant les démonstrations ; cela réduira considérablement les risques de mauvaises surprises. C’est le moment de découvrir les réponses qui ne vous plaisent pas – avant que les négociations ne commencent. N’oubliez pas non plus que vous obtenez vos réponses gratuitement à ce stade, alors apprenez-en le plus possible. Lorsque vous commencerez à implémenter le produit, il se peut que vous deviez attendre une assistance ou même payer des frais.


5. Décision finale et contrat

Une fois les évaluations détaillées terminées, vous constaterez probablement que deux ou trois fournisseurs répondent à vos critères. Sélectionnez celui qui, selon vous, répond le mieux à vos besoins actuels et futurs, mais n’écartez pas les autres. Faites-leur plutôt savoir qu’ils vous conviennent mais qu’ils ne sont pas votre premier choix ; cela laisse la porte ouverte au cas où vos négociations avec le meilleur candidat ne se déroulent pas comme prévu.

Vous pouvez maintenant commencer à négocier les détails du contrat avec le meilleur candidat. La plupart des entreprises savent comment cette étape est « censée fonctionner ». Mais comme pour toutes les autres étapes du processus d’évaluation et de sélection d’un ERP, vous risquez d’avoir des surprises.

Le pouvoir est de votre côté dans les négociations. Cependant, il est préférable de considérer le fournisseur comme un futur partenaire, et non comme un adversaire dans les négociations. Visez un accord équitable qui incite les deux parties à déployer le système de manière efficace et à en assurer le bon fonctionnement.

Chaque aspect de l’implémentation du système et du maintien de l’assistance doit être discuté et documenté – en détaillant le prix, la personne responsable et, dans certains cas, le temps nécessaire. Le contrat comporte de nombreux aspects, dont notamment (mais pas exclusivement) :

  • L’achat initial, la location ou la licence du matériel et des logiciels.
  • L’implémentation du matériel et des logiciels (en précisant ce qu’englobe le mot ‘ »implémentation »).
  • Coût et calendrier de la simulation d’implémentation (avant ou après le paiement du logiciel).
  • Coûts de formation initiale et continue
  • Maintenance continue du matériel et des logiciels (et à quel niveau).
  • Conversion des données et intégration à d’autres systèmes
  • Mise en réseau et sécurité
  • Personnalisations (initiales et avec les versions futures)

Principaux points à retenir et conseils

N’annoncez pas votre sélection finale avant les négociations. À la fin de la phase d’évaluation détaillée, l’équipe peut vouloir déclarer un « gagnant ». Cependant, informer le candidat principal qu’il est « l’élu » n’est pas dans l’intérêt de votre entreprise. Il n’est pas rare d’avoir des surprises au cours du processus de négociation et vous devrez peut-être revoir votre choix.

Planifiez à long terme. Lors du démarrage, veillez à examiner attentivement les coûts à long terme afin que vos estimations soient correctes et que vous ne faussiez pas les chiffres du retour sur investissement de l’ERP. Certains fournisseurs offrent davantage de services gratuits pendant une période plus longue et d’autres peuvent confier leur assistance à long terme à une entreprise qui facture à l’appel. Certains fournisseurs fixent un plafond pour l’augmentation des tarifs annuels de maintenance ou d’abonnement, mais beaucoup ne le font pas. D’autres vendent un abonnement SaaS (Software-as-a-Service) à bas prix, qu’ils augmentent considérablement après quelques années. Certains fournisseurs proposent une mise à jour annuelle, mais ne fournissent aucune assistance réelle lors du processus de mise à jour. Posez des questions et obtenez des réponses écrites pour être sûr de bien appréhender vos coûts à long terme.


L’importance de l’équipe projet

Le facteur le plus important pour le succès du processus d’évaluation du système ERP est l’équipe projet. Cette équipe doit être constituée très tôt et doit être le moteur de l’élaboration, de la diffusion et de l’évaluation de l’appel d’offres et de la sélection du nouveau système ERP.

D’après notre expérience, lorsque les équipes sont au milieu d’une investigation et d’une évaluation détaillées, elles prennent souvent des raccourcis. Mais si votre équipe projet suit ces cinq étapes et prête attention aux enseignements tirés, elle sera en mesure de trouver la solution optimale pour répondre aux exigences de votre entreprise, maintenant et pour l’avenir.


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Source de l’article sur sap.com

Les entreprises les plus performantes de demain seront celles qui gèrent leurs activités efficacement, optimisent leur rentabilité et renforcent leur résilience, tout en fournissant des services de manière durable. Toutefois, nous ne pouvons nier que nous faisons face actuellement à des changements plus perturbateurs que jamais, en particulier en cette période sans précédent que nous vivons.

Les chaînes logistiques ont dû s’adapter du jour au lendemain ; les entreprises ont dû se mettre à la vente en ligne en l’espace de quelques jours ; et le changement climatique est une réalité toujours plus présente. Partout dans le monde, les dirigeants d’entreprise n’ont d’autres choix que de transformer leurs activités.

Chez SAP, notre réussite sur le marché repose sur des solutions ERP (progiciels de gestion intégrés) qui aident nos clients à mener leurs activités à une échelle adaptée en toute conformité. Nous poursuivons dans cette voie avec notre suite d’applications de gestion nouvelle génération, dont le périmètre s’étend de la finance à la logistique. SAP S/4HANA exploite les fonctionnalités Cloud émergentes pour aider les clients à tenir face à l’évolution des modèles d’affaires influencée par le progrès technologique, la notion de durabilité ou l’évolution du comportement des clients.

Les entreprises les plus performantes sont les entreprises intelligentes. Et en tant que telles, elles utilisent les informations de façon innovante, efficace et durable, en les connectant aux tâches d’exécution et de gestion. Les entreprises intelligentes prennent leurs décisions en se fondant sur une source d’informations unique partagée, et proposent une expérience utilisateur qui correspond aux méthodes de travail des individus. SAP S/4HANA, qui exploite des processus financiers flexibles et élimine la réplication et la redondance des données, est avantageux pour les professionnels de la finance.

New Sega Textile (Nantong) Co Ltd avait besoin d’une solution ERP Cloud de pointe pouvant être déployée efficacement à l’échelle de ses activités internationales, afin de soutenir sa croissance. Client de SAP S/4HANA Cloud, New Sega fait état d’une baisse de 50 % de ses coûts côté budget et prévision grâce à la planification financière, ainsi qu’à un accroissement de 20 % du nombre d’écritures financières automatisées dans la comptabilité clients à l’aide de l’apprentissage automatique.

Innovations dans la reddition parallèle des comptes universelle

Les directeurs financiers des multinationales doivent présenter des données financières cohérentes en vertu des différentes normes comptables et devises en parallèle. Pour ce faire, ils doivent suivre les normes de reddition parallèle des comptes pour les règles générales comptables nationales et de groupe, qui ont une incidence sur l’évaluation des stocks, les en-cours de fabrication, les valeurs des immobilisations, etc.

Des milliers de clients SAP s’appuient déjà sur les fonctionnalités des systèmes SAP ERP pour gérer plusieurs systèmes comptables en parallèle afin de satisfaire avec précision, efficacité et rentabilité à toutes les exigences légales des personnes utilisant les états financiers. SAP HANA fournit désormais une nouvelle base technologique qui a levé les obstacles techniques et ouvert une foule de nouvelles opportunités pour les entreprises. Dans ce même ordre d’idée, SAP S/4HANA a été créée sur un tout nouveau type d’architecture, plaçant le journal universel au centre. Le journal universel constitue notre base bien établie pour les processus comptables. Il enregistre au même endroit toutes les données financières qui auparavant étaient réparties dans plusieurs tables. Ce faisant, il assure un traitement parallèle cohérent entre tous les livres auxiliaires et flux de valeurs.

Grâce aux dernières fonctionnalités incluses dans SAP S/4HANA, nous proposons une approche de solution qui fait passer la reddition parallèle des comptes au niveau supérieur : vers la reddition parallèle des comptes universelle.

Une innovation importante a été dévoilée dans SAP S/4HANA Cloud version 2011 : il s’agit de l’affectation flexible des normes comptables. Cela signifie que les nouveaux clients SAP S/4HANA Cloud bénéficieront également d’une nouvelle option de configuration permettant l’affectation flexible des règles générales comptables locales (par exemple, le code de commerce et les normes comptables (HGB) en vigueur en Allemagne) en tant que norme comptable principale pour le ledger du groupe. Cette innovation est particulièrement bénéfique pour nos clients exploitant des solutions Cloud, car elle leur offre cette flexibilité de haut niveau qui leur manquait auparavant. Une seule activité de configuration est requise pour mettre à jour l’affectation du ledger à la norme comptable dans toutes les applications financières, comme le grand livre, la gestion de trésorerie, la constatation des produits, etc.

La reddition parallèle des comptes universelle au cœur de l’entreprise intelligente : prochaines phases d’innovation

En outre, la valorisation parallèle est la prochaine innovation majeure qui verra le jour dans le domaine de la finance. Prévue pour SAP S/4HANA en cette année 2021, elle garantira la prise en charge cohérente et universelle des normes de reddition parallèle des comptes pour les processus de bout en bout, tels que la fabrication sur stock/commande et la fabrication d’immobilisations. La reddition parallèle des comptes est désormais active pour l’intégralité de ces processus et permet la représentation de différentes normes comptables dans tout le flux de valeurs. Ainsi, la solution sera en mesure d’évaluer en temps réel les processus de gestion en parallèle pour chaque norme comptable requise. Les clients bénéficieront également d’une transparence et d’une disponibilité accrues des données en temps réel, ainsi que d’une réduction des tâches d’implémentation et de configuration.

À l’avenir, nous continuerons d’améliorer la reddition parallèle des comptes en ajoutant d’autres cas d’utilisation s’inspirant des autres thèmes au programme de la feuille de route, afin d’inclure des vues consolidées et des versions d’exercice alternatives. Les vues consolidées serviront aux clients de base optimisée pour encore plus d’efficacité dans la prise de décision et l’orientation globale de l’entreprise, grâce à une transparence et une précision accrues des données. En outre, la prise en charge cohérente des versions d’exercice alternatives permettra de monter d’un cran le niveau de normalisation, tout en abaissant le degré requis de solutions de contournement et de tâches manuelles connexes. La comptabilité des immobilisations est, par exemple, l’une des composantes où le nombre de tâches manuelles sera considérablement réduit avec les versions d’exercice alternatives.

La finance à l’ère du numérique

Les professionnels de la finance endossent graduellement des rôles plus stratégiques au sein de leur entreprise et doivent de toute urgence dépasser les limites imposées par des infrastructures système complexes et redondantes. Ils ont besoin d’un cœur numérique unique qui réponde à toutes leurs exigences, tant pour les processus transactionnels qu’analytiques. Un système ERP doit faire office de source d’informations unique pour les données financières et opérationnelles d’une entreprise. Les réplications de données, rapprochements et redondances doivent être éliminés à travers la simplification des processus et des technologies, tandis que la continuité des activités se doit d’être garantie et les efforts manuels, limités, via des fonctions financières optimisées par les outils d’analyse.

Riches en innovations, SAP S/4HANA est notre solution de finance intelligente à l’ère du numérique, disponible en édition cloud, on-premise ou un mélange de ces deux options de déploiement. S’exécutant sur la plateforme in-memory SAP HANA, notre solution permet une reddition des comptes flexible et facile d’utilisation pour la gestion comptable, la clôture comptable et financière, la gestion de trésorerie et des flux, la comptabilité fournisseurs et clients, la gestion des risques et bien plus encore. Pour en savoir plus sur les avantages que SAP S/4HANA peut procurer à votre entreprise, rendez-vous sur SAP.com.

Jan Gilg est président de SAP S/4HANA
Cet article est initialement paru sur LinkedIn.

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Source de l’article sur sap.com

8 startups françaises et internationales, spécialisées dans l’innovation autour de l’agriculture et de l’agroalimentaire, rejoignent cette sixième édition. Leur but ? Aider ces deux secteurs à se transformer, via des nouvelles technologies, pour avoir un impact positif et durable.

SAP.iO Foundry Paris annonce aujourd’hui le lancement de son nouveau programme d’accélération autour de l’Agribusiness. Suite à son appel à candidature en janvier dernier, le jury de SAP.iO composé de collaborateurs SAP, de partenaires (Deloitte, Accenture), et de fonds d’investissements (CapAgro et Astanor Venture) et de nombreux clients a retenu 8 startups spécialisées en procurement, supply chain, en plateformes de suivi de production et en outils d’aide à la décision. Pendant 10 semaines, SAP.iO va accompagner ces jeunes pousses dans leur croissance autant sur l’aspect business que technologique.

SAP.iO Foundry Paris ouvre ses portes à des startups du monde entier

Cette sixième promotion dépasse les frontières habituelles de SAP.iO Foundry Paris avec 3 startups françaises, 2 américaines 1 israélienne, 1 allemande et 1 canadienne.

Partant du constat que la France est l’une des plus grandes puissances agricoles, SAP.iO Foundry Paris lance le 1er programme d’accélération startups de SAP entièrement dédié à cette industrie. Les 8 jeunes pousses ont été retenues pour leurs technologies et leurs approches innovantes en matière de transition écologique. Grâce à l’expertise de SAP sur le sujet, notamment en Europe et aux Etats-Unis, l’accélérateur de startups offre à ces jeunes pousses l’opportunité de se positionner sur l’ensemble du globe.

Ce nouveau programme d’accélération sera articulé autour de 3 problématiques :

  • Digital Farming & Data-Driven Agriculture : comment intégrer dans l’Agribusiness de la donnée, de l’intelligence artificielle, de l’analytique, de la plateforme d’aide à la décision ?
  • Next-gen Agricultural Origination Processes : comment combiner conformité et traçabilité dans l’ensemble du processus de production et de transformation ?
  • Sustainable AgriBusiness Supply Chains : comment faire de l’agriculture plus responsable et respectueuse de l’environnement tout au long de la chaine de valeur ?

8 startups à forte valeur ajoutée orientées AgTech sélectionnées

  • Agrora permet aux transformateurs et aux négociants de produits agricoles de gagner du temps sur les processus d’approvisionnement et de distribution en offrant un logiciel d’approvisionnement pour les produits agricoles.
  • Clarifruit est une startup israélienne spécialisée dans le contrôle qualité des produits frais et notamment des fruits, qui grâce à l’intelligence artificielle et à des caméras, permet d’identifier si les fruits sont de bonne qualité et propres à la consommation.
  • Connecting Food est la première plateforme collaborative française utilisant la technologie blockchain et des modules intelligents pour apporter de la transparence, une traçabilité de bout en bout et un audit numérique complet des produits alimentaires avant de les mettre dans les mains des consommateurs.
  • Grain Chain Inc, startup américaine, a développé une plateforme révolutionnaire qui uniformise les règles du jeu pour les producteurs, les acheteurs, les opérateurs de stockage, les prêteurs et tous les autres participants de la chaîne d’approvisionnement agricole mondiale. Sa solution combine la blockchain et la technologie axée sur l’IoT pour vérifier et exécuter automatiquement les contrats intelligents, créant ainsi des flux de travail entièrement automatisés et numérisés à chaque étape.
  • Heavy Connect est une plateforme mobile américaine spécialisée dans le respect de réglementations, répondant aux difficultés que peuvent rencontrer les agriculteurs, souvent confrontés à de nombreux contrôles sanitaires et réglementaires.
  • Milk Moovement est une startup canadienne déjà bien établie et qui se développe sur toute la chaîne d’approvisionnement du lait, de la récolte à la livraison. Milk Moovement agit comme un outil de communication entre toutes les entreprises impliquées dans la chaîne d’approvisionnement des produits laitiers.
  • Procsea France SASEn dotant l’industrie des produits de la mer des dernières technologies, en structurant et en standardisant les données, et en améliorant la traçabilité et la durabilité de la filière, ProcSea, startup française basée à Rennes, apporte de la valeur à chacun de ces acteurs et transforme également le commerce des produits de la mer dans son ensemble.
  • Sencrop est une plateforme française d’aide à la décision avec la particularité de pouvoir gérer et animer une communauté autour de sa plateforme pouvant connecter ensemble des capteurs IoT et différentes sources d’informations qui vont permettre d’aider l’agriculteur à prendre la bonne décision.

« L’industrie agroalimentaire est un secteur d’activité majeur pour la France. Au niveau européen, elle se situe au deuxième rang derrière l’Allemagne et on compte aujourd’hui beaucoup de grands groupes français d’envergure internationale. L’innovation est un facteur clé de la compétitivité du secteur, c’est également un moyen de réduire les inégalités et problématiques alimentaires mondiales. C’est dans ce contexte que nous avons décidé d’accompagner des startups dans le domaine Agtech. C’est avec beaucoup d’enthousiasme, que nous lançons notre 1er programme d’accélération startups de SAP entièrement dédié à l’agriculture et à l’agroalimentaire. D’envergure internationale, cette nouvelle promotion vise à apporter au secteur de l’agribusiness différents axes d’améliorations : plus d’efficacité, de transparence et de sécurité. C’est dans ce sens que nous avons sélectionné ces huit jeunes pousses françaises et étrangères dont la mission est de créer des solutions innovantes et complémentaires à celles de SAP pour apporter ensemble plus de valeur à nos clients », explique Sébastien Gibier, directeur de l’accélérateur SAP.iO Foundry Paris.

Avec ce programme et celui de ses autres accélérateurs dans le monde, SAP.iO confirme son ambition d’aller plus loin en 2021 et de vouloir devenir le One Stop Shop de SAP pour les startups à l’échelle mondiale grâce à ses différents programmes complémentaires.

Retrouvez tous les programmes startups proposés par SAP.iO sur leur site internet

Plus d’informations sur SAP.iO Foundry Paris, Agribusiness Industry Accelerator

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse

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Pauline Barriere : 06.13.73.93.11– presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

 

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Source de l’article sur sap.com

Etes-vous satisfait de votre système ERP ? Est-il temps de le mettre à niveau ? Vous avez peut-être écouté les témoignages de vos pairs quant à leur passage à des ERP modernes. Ou peut-être ressentez-vous le besoin de mettre en place de nouveaux processus pour rester compétitif et répondre aux attentes de vos clients, nouveaux processus que votre système actuel ne peut proposer. Quoi qu’il en soit, il est toujours bon d’évaluer en continu les performances du système, d’identifier les axes d’amélioration et d’anticiper les problèmes qui pourraient subvenir.

Le système ERP parfait existe-t-il ?

La réponse courte est « non ». Et même si le système parfait existait pour vos besoins spécifiques à un moment donné, ces besoins évoluent en permanence. Il faut donc garder le contrôle, évaluer dans quelle mesure votre ERP répond à vos besoins actuels et identifier les tendances qui pourraient entraîner des problèmes.

Il est en vogue de qualifier les systèmes installés de « legacy ERP ». Ce qui suggère une ancienne technologie et des systèmes obsolètes. C’est injuste car de nombreux systèmes installés sont régulièrement entretenus, mis à niveau et pleinement capables d’évoluer, de s’adapter, aux nouveaux besoins.

Cela dit, les mises à niveau des ERP sont facultatives, bien que fortement encouragées par les fournisseurs. Il est important de se tenir au courant des corrections et des améliorations disponibles. En cas de problèmes ou tendances défavorables, assurez-vous que votre système dispose de toutes les mises à jour et de la dernière version. Regardez ensuite si votre fournisseur propose des modules complémentaires ou des améliorations qui pourraient remédier aux lacunes constatées. Déterminez ce qu’il faudrait pour mettre en œuvre ces correctifs, en termes d’argent et d’efforts, et utilisez ces informations pour évaluer le coût du maintien de votre solution actuelle.

Votre logiciel ERP vous laisse-t-il tomber ?

En résumé, gardez votre système ERP à jour. Surveillez aussi de près ses performances. Les besoins, les vôtres comme ceux de vos clients, vont évoluer. Vous devez donc vous assurer que votre système ERP peut y répondre.

L’auto-évaluation mentionnée ci-dessus peut vous aider à identifier les défaillances et les sujets de préoccupation, par exemple :

  • Votre système est incapable de répondre aux nouveaux besoins ou limite les nouvelles initiatives.
  • Il ne prend pas en charge les nouvelles technologies et normes, ou seulement avec difficulté, à coût élevé et avec des retards. Le fournisseur est lent à intégrer de nouveaux éléments et nouvelles fonctionnalités.
  • Les fonctions sont difficiles à maîtriser et à utiliser, et nuisent à l’efficacité au lieu de la favoriser.
  • Le temps de réponse est excessivement lent. Le stockage et la récupération de l’information sont inadéquats, lourds ou ne répondent tout simplement pas aux besoins actuels en constante expansion.
  • Le système est coûteux et difficile à maintenir et à gérer, et ne bénéficie pas d’un soutien adéquat de la part de votre fournisseur.
  • Si votre système est vraiment un ancien ERP dont l’assistance du fournisseur s’amenuise, ou dont l’assistance technique se réduit, les programmeurs et analystes compétents deviendront plus chers et plus difficiles à trouver à mesure que le système deviendra plus obsolète et moins fiable.

C’est le genre de problèmes qui peuvent évoluer lentement et passer inaperçus pendant longtemps. Puis, soudain, il devient évident que les lacunes du système causent de graves problèmes ​- et qu’il faut faire quelque chose.

Combien dépensez-vous pour votre ERP ?

De nombreuses entreprises sont surprises lorsqu’elles font l’analyse et découvrent ce qu’il en coûte réellement pour maintenir leur système ERP existant en place et opérationnel. Cela peut sembler curieux pour les ETI, qui surveillent généralement de très près leurs dépenses. Mais il n’est pas toujours facile de distinguer les coûts directs et indirects associés à l’ERP.

Outre les frais mensuels et annuels versés au(x) fournisseur(s) de logiciels et au(x) fournisseur(s) de matériel, il y a des dépenses courantes pour le service et l’assistance de vos différents fournisseurs de services (par exemple service matériel, conseil ou réseau). N’oubliez pas d’inclure les coûts de mise à jour si vous avez détecté (ou pensez) que des mises à jour ou des améliorations sont nécessaires pour résoudre des problèmes existants ou anticipés, comme indiqué ci-dessus.

Considérez également les coûts internes directs du département informatique, y compris les salaires et les avantages, les locaux, les commodités et les fournitures. Essayez de distinguer ceux qui soutiennent directement votre ERP. N’oubliez pas qu’au moins certains de ces coûts subsisteront après la mise à niveau et le déploiement d’un nouveau système, surtout si vous remplacez un système traditionnel sur site par un autre système sur site. La structure des coûts pour les logiciels SaaS (Software-as-a-Service) basés sur le cloud est différente, mais vous aurez toujours besoin d’un point de comparaison pour prendre une décision défendable. Que cette décision soit de garder votre système actuel, de commencer une mise à niveau ERP ou de poursuivre un remplacement.

Quel serait le coût d’un nouveau système ?

Le coût potentiel du passage à un nouveau système ERP vous inquiète ? C’est compréhensible. Un nouveau système ERP est probablement l’une des plus grosses dépenses en équipement non productif qu’une entreprise fera au cours d’une année donnée. Néanmoins, par rapport aux avantages offerts et au montant dépensé pour le maintien du système actuel, la plupart des entreprises estiment que le coût est tout à fait raisonnable et justifiable. N’oubliez pas de penser en termes de coûts du cycle de vie – le coût total sur une période donnée, par exemple cinq à sept ans.

Lorsque vous examinez le coût d’acquisition et de déploiement d’un système de remplacement, sachez que les coûts du matériel et des licences logicielles ne sont qu’une partie de l’équation. Vous devez également inclure les éléments suivants dans votre évaluation :

  • La mise en réseau et les périphériques tels que les scanners de codes-barres, les appareils mobiles et les logiciels clients, ainsi que l’assistance.
  • La conversion et la saisie des données dans le nouveau système, ainsi que les dispositions pour l’archivage et l’accès aux enregistrements historiques.
  • La préparation aux sinistres, y compris les systèmes de sauvegarde ou de basculement, les ressources de récupération des données, la connectivité redondante et les communications.
  • La formation de l’équipe de déploiement de l’ERP et de tous les futurs utilisateurs (ce point est d’une importance capitale, ne le négligez pas).
  • Le développement et la documentation de nouveaux flux de travail.
  • L’assistance à l’implémentation. Il est probable qu’un certain niveau d’assistance sera inclus dans l’offre du fournisseur principal du système. Mais vous voudrez peut-être faire appel à une assistance supplémentaire du ou des fournisseurs, à des consultants externes, à votre cabinet comptable ou à d’autres personnes pour certains ou tous les éléments énumérés ci-dessus.
  • La charge supplémentaire pour vos employés pendant le déploiement sous forme d’heures supplémentaires, d’embauche d’intérimaires pour les aider dans leurs tâches habituelles afin qu’ils aient le temps de travailler sur le déploiement, ou de primes et autres incitations pour maintenir la motivation des salariés.

Sachez que la structure des coûts des systèmes SaaS basés sur le cloud est très différente de l’approche traditionnelle d’achat et d’implémentation sur site. Avec le SaaS, il y a peu ou pas de frais initiaux pour le matériel, car il s’agit essentiellement d’un abonnement. Un contrat SaaS inclut généralement une grande partie des coûts de maintenance et d’assistance. De sorte que vos coûts informatiques internes courants seront considérablement réduits. La plupart des entreprises estiment que le coût total sur cinq à sept ans avec un contrat SaaS sera probablement inférieur au coût total de l’achat et de la gestion en interne.

Au moment de prendre la décision de conserver votre système actuel ou d’envisager un remplacement, pensez aux bénéfices que vous pouvez en tirer. Avec une nouvelle solution ERP, vous bénéficierez d’une interface utilisateur moderne, de capacités et de fonctions supplémentaires, et vous améliorerez votre avantage concurrentiel. Tandis que si vous conservez votre ancien système, vous limitez votre capacité à rester agile, productif et compétitif. Bien que vous ne cherchiez pas en premier lieu à réaliser des économies, les exemples de réussite avec des ERP modernes démontrent que les bénéfices du passage à un nouveau système sont souvent moins coûteux et compensent les frais de mise à niveau.

Comment justifier financièrement un nouveau système ERP ?

Lorsqu’elles prennent une décision de cette importance, la plupart des entreprises exigent une analyse coûts-avantages sous la forme d’un retour sur investissement (ROI) attendu. Le côté coûts est facile : additionnez les coûts prévus comme indiqué ci-dessus. Du côté des avantages, il peut y avoir des économies directes sur les coûts informatiques, mais pour énumérer les principaux avantages, l’entreprise doit prévoir comment le système changera l’environnement de travail et permettra d’améliorer les performances, la productivité et le service à la clientèle.

  • Amélioration des performances : De nombreux projets ERP se justifient par les améliorations attendues en termes d’efficacité (réduction de la main-d’œuvre directe) et de réduction des coûts (y compris, mais sans s’y limiter, la réduction des stocks). Sachez toutefois que le système ne crée pas ces avantages par sa simple implémentation. Le système organise, analyse et présente les données de manière à ce que les responsables puissent mieux utiliser les ressources humaines et prendre de meilleures décisions, et c’est cela qui apporte les plus grands bénéfices. Gardez cela à l’esprit lorsque vous établissez un budget pour la formation des utilisateurs et pour la mise en œuvre de procédures améliorées.
  • Un meilleur service à la clientèle : Ces avantages sont moins directs, mais encore plus importants. En améliorant le service à la clientèle, vous pouvez théoriquement augmenter les ventes et les bénéfices, accroître votre part de marché et peut-être même augmenter vos marges, car un bon service à la clientèle apporte une valeur ajoutée au client sans ajouter de coût au produit lui-même. Dans certains cas, les améliorations du service à la clientèle deviennent une condition de survie. Car lorsqu’un nouveau ou un gros client attend des fonctionnalités telles que la transmission électronique des commandes ou l’amélioration des rapports informatisés, votre système ERP doit être à la hauteur.
  • Changements de l’environnement de travail : les systèmes d’aujourd’hui sont conçus pour être faciles à utiliser (l’UX, l’expérience utilisateur, est le mot actuellement à la mode) pour un accès rapide et facile à l’information. Le travail et le flux de travail de chaque utilisateur étant uniques, les systèmes actuels sont hautement personnalisés pour offrir à chacun les écrans et les processus de travail les plus efficaces et confortables. Cette efficacité accrue permettra aux salariés d’en faire plus et de gérer un plus grand volume d’affaires sans avoir besoin d’embaucher. Notez qu’il est déconseillé de justifier le système par une réduction des effectifs. Cela ne se produira probablement pas et la perspective de suppressions d’emplois ne motivera pas les salariés à adopter le système et à contribuer à son succès.

La sélection d’un ERP n’est qu’un début

Tout en suivant les conseils pour évaluer les systèmes ERP, gardez à l’esprit que le remplacement des systèmes existants n’est pas un processus simple ou rapide, mais qu’il vaut la peine car il peut apporter des avantages considérables lorsque l’ERP est correctement sélectionné et déployé.

La question que la plupart des entreprises se posent à ce stade est la suivante : « Combien de temps faut-il pour choisir et remplacer un système existant ? » Il n’y a pas de réponse unique. Cela dépend de la taille et de la complexité de l’organisation, du fait que l’un ou l’autre ou les deux systèmes (ancien et nouveau) soient basés sur le cloud, de la dynamique de l’entreprise et de l’équipe de déploiement, du niveau d’engagement de la direction dans le projet, et du degré de coopération ou de résistance au sein de la communauté des utilisateurs… pour ne citer que quelques-unes des variables. Certains déploiements peuvent être réalisés en quelques mois, d’autres prennent un an ou plus. Un partenaire expérimenté peut vous aider à établir un calendrier réaliste lorsque vous définissez votre plan de projet.

Nous n’avons pas besoin de vous répéter que le remplacement de votre système ERP sera forcément perturbant. S’il n’est pas possible de totalement les éviter, les perturbations peuvent cependant être minimisées grâce à un déploiement bien planifié et géré.

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Source de l’article sur sap.com

Le changement climatique est un sujet brûlant. Pour y remédier, tous les pays du monde se doivent d’agir et de mener des actions coordonnées. Depuis plus de 10 ans, SAP s’emploie à agir contre le changement climatique. L’éditeur a fixé ses premiers objectifs de baisse des émissions de CO2 dès 2009. Bien qu’il ait une nouvelle fois été classé numéro 1 des éditeurs de logiciels dans les indices de durabilité du Dow Jones cette année, le plus dur reste à accomplir.

Dans le cadre du mouvement #FridaysForFuture, des milliers d’étudiants descendent dans la rue chaque vendredi pour manifester en faveur de la protection du climat. Le rapport annuel sur l’écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions qui vient d’être publié a tiré une autre sonnette d’alarme avant la conférence sur le climat de cette semaine. En comparant la tendance des émissions de gaz à effet de serre à leur niveau souhaitable, le rapport souligne que ces émissions doivent baisser de 7,6 % par an sur la prochaine décennie pour que l’humanité parvienne à contenir l’élévation des températures du globe à 1,5 °C. Un réchauffement supérieur à 1,5 degré entraînerait des phénomènes climatiques plus fréquents et plus intenses, à l’image des vagues de chaleur et des tempêtes observées ces dernières années, et ferait planer de graves menaces sur les populations, les pays, l’environnement, mais aussi les entreprises.

Favoriser l’action pour le climat via les solutions SAP

Pour lutter contre les dommages causés par le changement climatique, SAP s’appuie sur la numérisation. Ce faisant, l’éditeur aide ses clients à réduire leurs émissions de CO2 et à contribuer à l’objectif de développement durable numéro 13 des Nations unies, à savoir Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques.

« Le principal levier de SAP se traduit par son portefeuille de produits, qui permet aux clients d’agir de manière positive sur le plan économique, environnemental et social », explique Daniel Schmid, directeur du développement durable de SAP. « Avec plus de 437 000 clients à son actif, notre entreprise dispose d’un énorme potentiel pour changer les choses. »

Une partie de ce potentiel a déjà été réalisée en collaboration avec les clients.

Lors dialogue consacré aux aspects stratégiques du développement durable qui s’est tenu au siège de SAP en septembre, Hanno Schoklitsch, fondateur et PDG de Kaiserwetter, a parlé de la façon dont son entreprise recourt à l’Internet des Objets (IdO) et l’intelligence artificielle (IA) pour accélérer la transition vers les énergies vertes. Il a présenté le dernier bilan d’ARISTOTELES, plateforme IdO optimisée par SAP Cloud Platform, qui s’appuie sur des analyses de données intelligentes et des simulations de données prédictives pour améliorer les investissements et le financement en faveur de l’efficacité énergétique.

Il est essentiel d’amplifier cet impact. En conséquence, les équipes SAP s’activent à faire évoluer les solutions SAP qui aident à transformer la mobilité urbaine et qui soutiennent les réseaux de chaîne logistique pour qu’ils gagnent en transparence, dans l’objectif de passer à une économie circulaire « zéro déchet » et de lutter contre la pollution plastique.

Donner l’exemple : efforts consentis en interne

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Tout en cherchant à élaborer des produits et services qui aident les clients à déployer des modèles économiques durables, SAP s’engage à réduire ses propres émissions de gaz à effet de serre. Des mesures ont déjà été mises en place pour atteindre cet objectif.

SAP s’est fixé l’objectif de réduire de 85 % ses émissions de CO2 tout au long de la chaîne de création de valeur d’ici 2050, un objectif qui s’inscrit dans l’initiative « Science Based Targets ». Dans ce cadre-là, l’éditeur a récemment renforcé son engagement en adoptant les objectifs de réduction des émissions de 1,5 ºC dans l’optique d’une future neutralité carbone. Pour atteindre la neutralité carbone dans ses propres activités d’ici 2025, SAP s’appuie sur une stratégie en trois volets : éviterréduirecompenser.

  • Éviter : dans la mesure du possible, SAP s’emploie à éviter les émissions de gaz à effet de serre. Il s’agit d’une priorité absolue, qui passe par exemple par le recours aux télécommunications virtuelles en lieu et place des vols d’affaires.
  • Réduire : au cas où les émissions de gaz à effet de serre ne pourraient pas être évitées, SAP cherche à renforcer l’efficacité et réduire tous les types d’émissions, par exemple avec l’efficacité énergétique des bâtiments, les opérations des centres de données, le covoiturage, l’autopartage et la mobilité connectée.
  • Compenser : SAP a élargi ses modèles de compensation des déplacements professionnels. Dans le cas des vols d’affaires, un prix interne du carbone a été établi pour compenser les émissions de CO2, et SAP a émis des cartes de carburant neutres en carbone pour toutes les voitures de fonction.

En 2009, SAP s’est fixé l’objectif de ramener les émissions de gaz à effet de serre aux niveaux de 2000 d’ici 2020. Ce résultat a été atteint dès la fin 2017 alors que les effectifs de SAP ont été multipliés par quatre au cours de cette période. L’année dernière, SAP a fait tomber ses émissions à 310 kilotonnes, dépassant ainsi son objectif annuel de réduire le nombre de ses émissions de CO2 à moins de 333 kilotonnes. Les chiffres exacts sont disponibles dans le rapport intégré annuel. En outre, un tableau de bord interne de durabilité permet aux employés de découvrir la répartition de ces rejets par pays, par site et par secteur d’activité.

Tous les centres de données et établissements SAP fonctionnent aux énergies vertes depuis 2014. En outre, SAP introduit progressivement un système de management environnemental conforme à la norme ISO 14001 sur les sites SAP du monde entier.  En 2019, 55 sites SAP avaient déjà obtenu la certification ISO 14001.  Un système de management de l’énergie certifié ISO 50001 est intégré aux systèmes de gestion existants de certains sites, tels que le siège de SAP à Walldorf et St. Leon-Rot, pour améliorer en continu la performance énergétique de l’entreprise.

La mobilité joue également un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique. C’est la raison pour laquelle le profil des employés qui font la navette entre domicile et lieu de travail est pris en compte dans le calcul des émissions de CO2 de SAP. Avec son large éventail de voitures électriques, à ses systèmes de transport public spéciaux ainsi qu’à son vif soutien du vélo et du covoiturage, SAP propose différents moyens de se déplacer et de voyager de manière durable. Les résultats de l’enquête 2018 sur les trajets domicile-travail ont révélé une tendance positive : en 2018, les émissions quotidiennes de CO2 en lien avec ces trajets ont diminué de 4,7 % par rapport à l’année précédente. L’utilisation de la voiture a baissé de 5 %, celle des transports publics est restée stable et le recours au vélo a augmenté de 15 %. Le travail à domicile a progressé de 11 % d’une année sur l’autre.

Si les émissions de CO2 ne peuvent être évitées ou réduites, auquel cas SAP investit dans des projets de compensation d’émissions et reçoit en retour des crédits carbone des projets sponsorisés. L’accent est mis sur des projets ambitieux, tels que le Fonds Livelihoods qui conjugue reboisement et amélioration des moyens de subsistance des communautés rurales et satisfait aux critères du label GOLD standard du WWF (World Wide Fund for Nature). À ce jour, 2,3 millions d’arbres ont été plantés, dont 1 million entre 2018 et 2019, par exemple, dans le cadre du projet « Réserve de forêt de Kikonda » en Ouganda.

Agir au niveau individuel

Chacun de nous, nous pouvons de bien des façons changer les choses, tant dans notre vie personnelle que professionnelle. Les employés de SAP sont désireux d’apporter une contribution positive. Selon l’enquête annuelle menée auprès du personnel, 93 % des employés conviennent qu’il est important pour SAP de poursuivre sa stratégie de développement durable. Plus de 200 personnes s’engagent comme défenseurs du développement durable au sein d’un réseau mondial pour encourager le changement et inspirer leurs collègues.

Le programme SAP Next-Gen, mis en place en collaboration avec les laboratoires d’innovation technologique de l’ONU, soutient une série de hackathons en faveur de l’action climat, Reboot the Earth, dont la finale aura lieu lors du sommet pour le climat à New York prévu en septembre prochain. De nombreux employés de SAP sur différents sites se sont portés volontaires pour jouer le rôle de juges dans les concours locaux.

Les lignes directrices de la programmation durable compilées par l’équipe Performance and Scalability de SAP ont également valeur d’exemple. Selon Detlef Thom, expert produit SAP en développement : « Pour les développeurs de logiciels et les architectes, appuyer le développement durable et contribuer à l’informatique écoresponsable implique de concevoir des programmes logiciels qui utilisent efficacement les ressources informatiques tout en économisant de l’énergie. Cela devient encore plus impératif si l’on tient compte du grand nombre de transactions commerciales que gère un système SAP à l’échelle mondiale. »

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Source de l’article sur sap.com

SAP a choisi Zeplug, leader français des installations de bornes de recharge à domicile et en entreprise, pour lancer Flex Charging, un nouveau programme visant à offrir plus de flexibilité à ses collaborateurs en France en complétant le service de recharge de véhicules électriques existant. Les bornes de recharge seront installées à leur domicile qu’ils soient en maison individuelle ou en copropriété.

Développer une nouvelle expérience collaborateur

Avec Flex Charging, SAP innove et propose une nouvelle solution de recharge à ses collaborateurs pour qu’ils puissent se recharger directement chez eux sans avoir besoin de se recharger sur site où en mobilité. Une solution qui permet de dépasser les limites d’infrastructure de certains sites ne pouvant plus accueillir de bornes supplémentaires et de répondre aux besoins de recharge des collaborateurs ayant fait le choix du 100% électrique. Ce programme permettra désormais aux collaborateurs de se recharger plus facilement et de gagner en autonomie.

Renforcer son engagement pour le climat et tenir l’objectif de neutralité carbone des opérations en 2023 fixé par le Groupe SAP.

Première société durable du secteur du logiciel selon DJSI, SAP a mis en place une stratégie de développement durable ambitieuse qui vise notamment la neutralité carbone de ses opérations d’ici 2023. Avec Flex Charging, SAP entend également faciliter la transition vers la mobilité électrique de ses collaborateurs en France et ainsi les inciter au 100 % électrique. En effet, SAP possède actuellement 280 véhicules électriques sur une flotte totale de 900 véhicules en France.

Ces solutions de recharge à domicile viennent en complément des bornes de recharge déjà déployées sur 3 de leurs sites (Caen, Levallois, Mougins) depuis plusieurs années. A l’horizon 2021, une centaine de collaborateurs disposeront d’une solution de recharge chez eux. Une vingtaine d’installations à domicile viennent déjà d’être déployées. Ce programme pilote au sein du Groupe devrait être étendu à d’autres pays et ouvre de belles perspectives de nouvelles collaborations.

Des bornes supervisées avec SAP E-mobility

La solution déployée intègre le logiciel de supervision et de pilotage énergétique SAP E-mobility développé par SAP Labs France. Celle-ci permet une gestion des panneaux photo voltaïques et stockage d’énergie de bâtiments en plus du smart charging.

Toutes les données de consommation associées aux bornes de recharge peuvent être visualisées par les utilisateurs et les gestionnaires de flotte dans SAP E-mobility, permettant le suivi de la consommation électrique. La solution est également interfacée avec le logiciel de gestion de notes de frais SAP Concur pour rembourser directement les collaborateurs de leurs consommations d’électricité liées à la recharge. Actuellement déployé par Zeplug sur des bornes Schneider Electric, SAP E-mobility est déjà interopérable avec une vingtaine de fabricants de bornes, permettant une totale indépendance technologique à ses clients.

«  Ce programme marque une nouvelle étape dans la stratégie de développement durable de SAP en France. Nous souhaitons ouvrir les champs des possibles, montrer l’exemple sur le marché pour accélérer l’adoption des véhicules électriques par les collaborateurs et ainsi tenir nos engagements pour l’environnement », explique Frédéric Chauviré, Directeur Général de SAP France.

« Zeplug apporte une solution clé en mains pour la recharge au domicile. Connecté à notre solution SAP E-Mobility, les collaborateurs bénéficient d’un système fiable et intégré directement chez eux », Hanno Klausmeier, Président SAP Labs France

« Nous sommes très heureux d’accompagner SAP dans leur transition vers la mobilité électrique. Nous sommes convaincus que la mise à disposition de bornes de recharge au domicile des collaborateurs est un véritable accélérateur de l’électrification des flottes », Frédéric Renaudeau, fondateur de Zeplug.

À propos de Zeplug

Créée en 2014, Zeplug propose un service de recharge pour véhicule électrique clé-en-main aux particuliers habitant en copropriété et aux entreprises. À la manière d’un opérateur fibre, ZEPLUG investit tout ou partie de l’infrastructure à ses frais, et propose un service de recharge complet, incluant la mise à disposition et la maintenance de l’infrastructure (En copropriété : sur les places privatives ; En entreprise : sur le lieu de travail et au domicile des collaborateurs) ainsi que l’électricité nécessaire à la recharge du véhicule. Zeplug est également partenaire de grands constructeurs automobiles tels que BMW, MINI, Volkswagen, Audi, Seat, Skoda, Porsche, Honda, Volvo et Jaguar Land Rover.

A propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

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Erwan Boucherot – +33 (0)7 66 65 57 38

zeplug@rumeurpublique.fr

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Source de l’article sur sap.com