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WALLDORF, Allemagne – 18 décembre 2020 – SAP SE (NYSE : SAP) a dévoilé la solution SAP® SuccessFactors® Time Tracking. Cette nouvelle solution cloud offre aux entreprises des outils simples et innovants pour enregistrer, approuver et contrôler le temps de travail de leurs collaborateurs. Dotée d’une interface utilisateur intuitive, la solution SAP SuccessFactors Time Tracking améliore l’expérience des collaborateurs et permet de s’assurer que les salariés sont payées avec précision, dans les délais et conformément aux réglementations locales.

Grâce à des fonctionnalités avancées de gestion du temps et des présences, SAP SuccessFactors Time Tracking offre une vue en temps réel de la saisie des temps du personnel, ce qui permet une plus grande transparence des rémunérations et un meilleur contrôle des horaires et des heures supplémentaires. Les dirigeants peuvent suivre et minimiser les coûts de main-d’œuvre grâce à des informations et des tableaux de bord intégrés, ce qui contribue à améliorer la productivité de l’ensemble du personnel. La solution s’intègre aux solutions SAP SuccessFactors Employee Central, SAP SuccessFactors Employee Central Payroll ainsi qu’aux solutions de paie SAP classiques. La solution s’intègre également avec les badgeuses du marché. Les entreprises peuvent ainsi partager des données pertinentes entre plusieurs systèmes afin de garantir l’exactitude des paiements. En outre, la solution SAP SuccessFactors Time Tracking est une solution internationale conçue pour prendre en charge les spécificités locales notamment les fuseaux horaires, les langues, les calendriers de vacances, les règlementaires de paie spécifiques à chaque pays.

« La solution SAP SuccessFactors Time Tracking offre aux employés la personnalisation et la simplicité qu’ils sont en droit d’attendre d’une expérience de site internet grand public », a déclaré Amy Wilson, vice-présidente senior, HXM Product & Design, SAP SuccessFactors. « En même temps, elle apporte l’innovation dont nos clients ont besoin pour gérer des effectifs diversifiés et mondiaux et leur offre une plus grande flexibilité dans leur démarche vers le cloud ». 

Les principaux avantages et caractéristiques prévus pour la solution SAP SuccessFactors sont les suivants :

  • Une plus grande flexibilité pour les employés : Pour aider les employés à gérer leur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, les salariés éligibles peuvent choisir soit d’être payés pour leurs heures supplémentaires, soit de les utiliser pour prendre des congés supplémentaires. La gestion des horaires flexibles permet aux employés de déterminer le rythme de travail qui leur conviennent le mieux dans le respect des règles imposées par l’employeur.
  • Gestion simplifiée des horaires de travail : Le suivi intelligent des horaires permet aux collaborateurs de pointer à l’entrée et à la sortie et de suivre leur temps de travail au cours de la journée. Il permet aux RH de définir des alertes automatiques pour rappeler aux employés et aux responsables de remplir les feuilles de présence et les pointages de sortie. Les alertes de temps fournissent des avertissements et des messages d’erreur qui permettent aux administrateurs d’examiner et de corriger les problèmes de gestion et de pointage, tels que les heures supplémentaires excessives. En outre, la fonction de suivi de la valorisation des temps fournit des informations détaillées sur chaque étape de valorisation pour un employé, en montrant comment les saisies de temps spécifiques sont calculées. Cela permet aux RH de répondre rapidement et facilement aux questions des collaborateurs concernant leur rémunération.
  • Amélioration de la transparence des processus de rémunération : Grâce à des flux d’approbation intelligents, les RH peuvent définir des règles pour automatiser l’approbation des feuilles de temps par lots. Grâce à l’approbation d’un seul enregistrement, les gestionnaires peuvent pré-approuver des demandes spécifiques, telles que le temps de déplacement associé au temps de travail effectif.
  • Une visibilité accrue sur l’ensemble des effectifs : Les responsables disposent d’une parfaite visibilité sur les coûts salariaux, y compris les feuilles de temps planifiées et enregistrées, sur les heures de travail et les coûts associés. Cela permet de connaître les coûts de main-d’œuvre, le suivi des congés et de la productivité, et ainsi de prendre de meilleures décisions.

« La nouvelle solution SAP SuccessFactors Time Tracking est un ajout important à la suite SAP SuccessFactors Human Experience Management« , a déclaré Steve Goldberg, vice-président et directeur de recherche de Ventana Research Inc. « L’automatisation et l’activation de ces processus peuvent être ardues, voire complexes, et les limites des solutions existantes sur le terrain n’ont pas aidé. Cette solution de gestion du temps basée sur le cloud offre un large éventail de fonctionnalités essentielles et innovantes, associées au type d’interface utilisateur moderne que les clients attendent des solutions SAP SuccessFactors ».

La disponibilité de la solution SAP SuccessFactors Time Tracking est prévue pour janvier 2021. Pour en savoir plus sur la solution, consultez le site sap.com/time-tracking.

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Source de l’article sur sap.com

Aujourd’hui les entreprises s’efforcent de plus en plus à offrir une expérience employé exceptionnelle. Et elles ont de bonnes raisons de le faire.

Les recherches révèlent que l’expérience employé a une incidence sur la façon dont les salariés perçoivent leur travail et les efforts qu’ils fournissent. Cette expérience a ensuite un impact sur la satisfaction client, la fidélisation, le rendement des actifs et les ventes (1).

Bien que de nombreux facteurs entrent en jeu, environ 30% de l’expérience employé est liée à l’utilisation de la technologie par leur organisation. Grâce à elle, les salariés peuvent gagner en productivité, flexibilité, améliorer leurs relations professionnelles, mieux gérer le travail à distance. A l’inverse, elle peut aussi les distraire, créer un sentiment d’isolement et limiter leur capacité à se « déconnecter ».

Pour en savoir plus, SAP SuccessFactors a mené des entretiens avec des employés dans le monde entier. Nous avons étudié l’influence de la technologie sur le bien-être, l’engagement, le sentiment d’appréciation et de valeur, la productivité, ainsi que l’expérience globale des processus RH

Bien que cette recherche soit toujours en cours, les résultats préliminaires révèlent trois insights sur la façon dont la technologie peut contribuer à une expérience employé exceptionnelle.

Les employés ont besoin d’outils pour effectuer le travail qu’ils trouvent important et se décharger de ce qu’ils jugent inutile. Nous les avons interrogés sur les tâches, activités, ce qu’ils apprécient le plus et les motive à se lever chaque matin. Selon eux, le « travail utile » est un travail qui implique :

  • La mise en œuvre de quelque chose, par exemple un projet
  • La collaboration avec des collègues dans le but d’atteindre un objectif commun
  • La contribution à une solution et voir les résultats de ces efforts

Sans surprise, lorsqu’on leur demande des exemples illustrant comment la technologie les a aidé, les employés mentionnent des outils conçus pour les soutenir dans ces activités (pour la productivité, Microsoft 365, pour la collaboration, Microsoft Teams et Skype). Avec des résultats plus prononcés chez les employés régulièrement en déplacement ou télétravail.

Mais ils mentionnent aussi des outils qui leur permettent de gagner du temps sur les tâches opérationnelles et administratives. En voici quelques exemples :

  • Une application qui indique les places de parking disponibles lorsqu’on se rend au travail
  • Une application pour commander le déjeuner à l’avance et éviter de faire la queue
  • Les solutions SAP Concur : un employé interrogé a indiqué qu’il a réduit d’au moins 1/3 son temps passé à envoyer ses frais de voyage
  • Des outils qui définissent des modèles fondés sur des comportements antérieurs et qui présentent des propositions de manière proactive. Un employé mentionne une application de navigation GPS qui propose automatiquement un itinéraire en fonction des comportements précédents. Un autre affirme : « J’aime avoir accès au système pour effectuer une tâche, et que le système reconnaisse à l’avance la façon dont j’agis habituellement et prenne en charge certaines étapes à ma place afin que je puisse m’occuper de mon travail […]. Plus vite le système gère les informations, mieux c’est, car ce sont généralement des choses que je […] ne veux pas faire ».

Moins de systèmes séparés et disparates

Les employés soulignent que devoir passer par plusieurs systèmes pour accomplir une tâche ou trouver des informations est extrêmement frustrant et chronophage. Certaines recherches ont démontré que les employés passent jusqu’à 30 % de leur journée de travail à chercher des informations qui peuvent être stockées dans des systèmes et des bases de données disparates.

« J’aimerais faire certaines choses en exactement 20 secondes », confie un employé. « Je ne veux pas avoir à me demander si je dois accéder au portail RH, au portail informatique ou au facility portal. Peu importe qui résout mon problème, je veux juste qu’il soit résolu ».

De meilleures solutions en libre-service avec une assistance humaine

Pendant trop longtemps les solutions technologiques RH des entreprises (surtout celles en libre-service) ont été conçues en tenant compte des RH plutôt que des utilisateurs finaux : les employés. Par conséquent, les employés sont souvent obligés d’utiliser quotidiennement des solutions libre-service obsolètes, non intuitives et mal conçues.

Comme le décrit un employé : « J’essayais de réserver un vol et je recevais sans cesse un message d’erreur, mais le message ne précisait pas ce qui n’allait pas. Ce qui aurait dû me prendre cinq minutes a fini par me prendre plus de trois heures Et quand j’ai finalement réussi à joindre quelqu’un au téléphone, mon interlocuteur n’a pas pu m’en dire plus […]. C’était vraiment frustrant ».

Les conséquences d’une expérience frustrante liée à la technologie vont bien au-delà de la perte de temps. Elles peuvent avoir des effets négatifs sur le bien-être psychologique et physique des employés. Des recherches ont démontré que les expériences frustrantes liées à la technologie peuvent entraîner une perte d’efficacité et un sentiment de colère, impacter l’humeur et les interactions avec les autres, diminuer à la fois le niveau de satisfaction professionnelle et la qualité du travail, compromettre la productivité et même augmenter la pression sanguine ainsi que la tension musculaire (2).

Des recherches antérieures ont démontré que l’élément indispensable des solutions libre-service est la possibilité, si besoin, de parler à quelqu’un. Et cela sans effort important et sans avoir à répéter sans fin une tâche (3).

L’effet de la technologie sur les moments importants : pas toujours positif

Qu’il s’agisse de rejoindre une entreprise, fêter une promotion, s’occuper d’un proche malade ou d’accueillir un nouvel enfant dans sa famille, les moments qui définissent la carrière ainsi que la vie personnelle sont des occasions essentielles de montrer aux employés qu’ils sont reconnus et appréciés. Pourtant, l’expérience technologique associée à ces moments véhicule souvent le message inverse.

Par exemple, un employé interrogé confie : « J’étais très excité quand j’ai trouvé ce travail. Mais le fait d’avoir dû entrer manuellement les informations relatives à mon CV dans le système à plusieurs reprises ne m’a pas laissé une première impression positive de l’entreprise ».

Une récente enquête auprès des candidats et employés de la génération Z est éclairante. 54% d’entre eux déclarent qu’ils ne soumettraient pas une candidature si les méthodes de recrutement de l’entreprise sont dépassées. 26% s’accordent à dire qu’un manque de technologie tout au long du processus d’embauche les dissuaderait d’accepter un emploi.

Alors que les entreprises continuent d’investir dans l’expérience employé, elles doivent être attentives aux solutions technologiques fournies aux collaborateurs. Des solutions dépassées, difficiles à utiliser, qui n’ont pas été conçues en pensant aux employés, désavantageront grandement les organisations lorsqu’il s’agira d’attirer et de fidéliser les talents dans l’économie de l’expérience d’aujourd’hui.

En fin de compte c’est l’un de nos clients interrogés qui le souligne le mieux : « Lorsque nous lançons de nouveaux services de ressources humaines, nous ne voulons pas seulement avoir des utilisateurs. Nous voulons avoir des fans ».

Publié en anglais sur news.sap.com


Lauren Bidwell est chercheuse en gestion du capital humain pour SAP SuccessFactors chez SAP.

(1) The Financial Impact of a Positive Employee Experience ; A Beginner’s Guide to Employee Experience

(2) Ceaparu et al. (2004) ; Lazar et al. (2006) ; Norman (2004) ; Scheirer et al. (2002) ; Murrell & Sprinkle (1993)

(3) Howard & Worboys (2003)

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Source de l’article sur sap.com

Les apports de l’industrie 4.0 permettent de rendre les entreprises plus agiles, et aptes à répondre aux enjeux d’hyperpersonnalisation des produits, ainsi qu’aux aléas, économiques, sanitaires ou climatiques.

L’industrie doit faire face aujourd’hui à deux défis clés :

  • L’hyperpersonnalisation des offres induite par la montée de l’économie d’expérience, qui pousse les entreprises à aller de la mass production vers la mass customization.
  • La multiplication des changements brusques dans les habitudes de consommation, provoquée par des crises sanitaires, économiques et bientôt climatiques.

L’industrie 4.0 entend répondre à cette double problématique en rendant la production plus agile. Basiquement, l’industrie 4.0, c’est la transformation numérique appliquée au monde de l’industrie, avec une digitalisation des processus de production. Digitalisation qui doit s’accompagner d’une collecte et circulation des données assurée en temps réel entre les sites de production et le SI de l’entreprise.

De la nécessité de disposer d’un socle solide

Des processus standards et une plate-forme robuste sont nécessaires. « Notre partenariat avec SAP remonte à 2007, lors du déploiement de l’ERP qui sert maintenant de socle à notre stratégie Industrie 4.0. Les notions de socle et de standardisation des processus sont très importantes, » témoigne Damien Régnier, Digital & Shopfloor Operation chez Faurecia.

Attention toutefois à ne pas faire de la standardisation des processus un facteur de réduction de la flexibilité. « Il y a un écart entre le monde de l’ERP et le « shop floor ». L’un a besoin de processus standardisés alors que l’autre demande un certain niveau de flexibilité. » C’est donc un équilibre entre agilité et efficacité qu’il faudra savoir trouver.

Tout n’est d’ailleurs pas forcément bon à digitaliser sur la chaîne de production. « Il faut partir du « pain point » pour trouver des sources de gain, du ROI. Cibler les bons processus avec les bonnes technologies, » analyse François-Xavier de Thieulloy, expert Industrie du Futur à la Direction de l’accompagnement chez Bpifrance.

Le MES, primordial sur les chaînes de production

« L’introduction d’un MES (Manufacturing Execution System, logiciel de pilotage de la production) a été une étape importante dans la digitalisation de nos processus de production », explique Alexandre Sizaret, responsable Production System Efficiency chez Airbus. « Notre MES, sur base SAP ME, est aujourd’hui déployé dans 280 stations de production à travers l’Europe et utilisé quotidiennement par 5000 collaborateurs. »

Un MES permet de faire remonter les données de production en temps réel, mais également de faire redescendre alertes, informations et décisions auprès des opérateurs. Alexandre Sizaret alerte toutefois sur les dangers d’une digitalisation à outrance des processus. « À vouloir trop enrichir le MES, nous avons fini par perdre des utilisateurs. Nous avons alors pris du recul pour retravailler l’expérience utilisateur, en partenariat avec les opérateurs et les chefs d’équipe. »

« La co-construction de la solution reste primordiale, confirme François-Xavier de Thieulloy. Il faut écouter les acteurs de terrain afin de pouvoir les embarquer dans le projet. »

Les règles d’une digitalisation réussie

Nous l’avons vu, pour disposer de données de qualité et en quantité suffisante, il faut tout d’abord disposer de fondamentaux solides, comme un ERP. Mais aussi un MES, pour descendre au plus près de la chaîne de production, ainsi que des technologies comme l’IoT qui vont faciliter la capture de données.

Il faut également savoir traiter ces données qui vont aider à la prise de décision (data to action) ou piloter directement des processus (data driven process). Des informations doivent également redescendre afin de faciliter le travail de l’opérateur. L’opérateur augmenté est un des atouts clés de l’Industrie 4.0.

Enfin, lorsque le volume de données devient suffisant, des techniques de Machine Learning et d’Intelligence Artificielle pourront être utilisées afin d’anticiper les aléas et d’améliorer la production ainsi que la maintenance des équipements.

Tout ceci nécessite toutefois un SI solide et complexe, qui n’est pas toujours à la portée des petites entreprises. « Les PME industrielles ont besoin de solutions très packagées, proposant un ROI rapide », confirme François-Xavier de Thieulloy.

D’autres défis à ne pas négliger

Alexandre Sizaret insiste par ailleurs sur la nécessité d’assurer une continuité digitale : « La data doit aller de l’ingénierie jusqu’à la production et vice versa. Savoir capter ce qui se passe sur le terrain permettra d’alimenter des jumeaux numériques avec précision. »

Damien Régnier milite pour sa part en faveur de solutions hybrides : « Il faut trouver le bon équilibre entre du tout cloud et du tout local, du tout standard et du tout spécifique, mais aussi du tout agile et du tout efficace. »

Enfin, François-Xavier de Thieulloy, alerte sur le besoin d’accélérer le rythme de transformation : « Nous aimerions passer rapidement de quelques dizaines d’entreprises qui franchissent le pas chaque année vers l’Industrie du Futur à quelques centaines. »


En savoir plus sur les solutions pour l’industrie 4.0, production


 

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Source de l’article sur sap.com

Une vulnérabilité a été découverte dans l’interface d’administration des produits Workspace One Access, Workspace One Access Connector, Identity Manager et Identity Manager Connector qui regroupent plusieurs fonctionnalités de sécurité centralisées : contrôleur d’accès à l’espace de travail, …
Source de l’article sur CERT-FR

Les solutions de données basées sur le cloud présentent clairement des avantages, notamment une meilleure flexibilité, une collaboration plus efficace, des coûts réduits et la possibilité de changer d’échelle. Mais ce n’est pas parce que vous voulez passer au cloud afin d’en tirer tous les avantages que vous devez faire une croix sur vos investissements sur site existants.

Une stratégie hybride permet de combiner « le meilleur des deux mondes ». Avec cette approche, vous pouvez évoluer vers le cloud tout en protégeant vos investissements sur site existants. C’est là qu’interviennent SAP Data Warehouse Cloud et SAP HANA Cloud. Ces deux solutions ouvertes se connecteront en toute transparence à votre environnement sur site actuel pour l’étendre au cloud.

Voyons les avantages que présente une stratégie hybride avec SAP Data Warehouse Cloud et SAP HANA Cloud.

Pourquoi choisir SAP HANA Cloud  ?

Gérez des volumes croissants de données tout en réduisant vos coûts de stockage

Le lac de données intégré de SAP HANA Cloud réduit les coûts de stockage et d’analyse des données. Aussi, faites des économies en y conservant vos données. Vous pourrez par la suite y accéder à distance quand vous le souhaitez. Peu importe le volume de vos données, le lac de données est conçu pour le prendre en charge.

Connectez-vous facilement à toutes les sources de données

SAP HANA Cloud est une solution de gestion multi-cloud qui simplifie l’accès aux données quelles qu’elles soient et quelle qu’en soit la source au moyen d’une passerelle unique. SAP HANA Cloud est directement utilisable avec ses agents de mise à disposition des données qui permettent de se connecter à plusieurs sources cloud et magasins d’objets. Quant à la fonctionnalité Smart Data Access (SDA), elle vous offre un accès aux données en temps réel pour tous vos systèmes sur site et cloud à l’aide de tables virtuelles, tout en vous permettant de maîtriser vos coûts.

Stockage In-Memory économique

Le lac de données de SAP HANA Cloud est une simple méthode pour réduire les coûts de stockage. Pour optimiser votre stockage In-Memory actuel sur site, vous pouvez transférer des charges de travail vers SAP HANA Cloud aux fins de traitement et virtualiser l’accès à vos données, tout en gardant vos données sur site.

Faites évoluer votre puissance de calcul ou votre stockage

Lorsque votre entreprise connaît une croissance rapide, vous devez faire changer l’échelle de votre stockage de données et de votre puissance de calcul en conséquence. Étendez rapidement votre productivité sur site sans avoir à investir dans du matériel supplémentaire. Avec SAP HANA Cloud, boostez vos capacités de stockage et améliorez votre puissance de calcul dès que vous en avez besoin. C’est aussi simple que ça !

Pourquoi Geberit a lancé une nouvelle stratégie hybride avec SAP HANA Cloud

À l’instar de nombreuses multinationales performantes, les données sont essentielles pour Geberit. Pour exploiter plus facilement ses données, le leader européen des produits sanitaires a placé SAP HANA Cloud au cœur de sa nouvelle stratégie hybride en matière de données. Grâce à cette solution, l’entreprise a pu rationaliser son environnement informatique et supprimer le besoin en middleware. Aujourd’hui, elle peut accéder à ses données en temps réel de manière centralisée pour prendre des décisions éclairées en temps voulu.

«SAP HANA Cloud sera le point central pour le reporting au sein notre environnement de données. C’est la version unique de vérité qui réunit toutes nos sources de données et qui nous fournit la visibilité dont nous avons besoin.»
– Marius Reck, directeur des applications de support informatique

Pourquoi choisir SAP Data Warehouse Cloud pour étendre votre environnement

Responsabilisez vos utilisateurs et donnez plus d’impact à votre travail

Responsabilisez vos utilisateurs afin qu’ils puissent connecter, modéliser et visualiser les données par eux-mêmes avec SAP Data Warehouse Cloud. Dotée d’une interface utilisateur intuitive et d’une couche métier, cette solution facilite la modélisation des données avec SQL ou un outil graphique par glisser-déposer. Les espaces, quant à eux, fournissent un environnement isolé dans lequel les utilisateurs peuvent modéliser et combiner des ensembles de données mondiaux avec des données locales, par exemple des fichiers CSV.

Grâce à la centralisation et à la virtualisation de SAP Data Warehouse Cloud, les utilisateurs peuvent accéder aux données dont ils ont besoin sans que l’équipe informatique ait à les répliquer et à les exporter. Vous avez besoin d’améliorer un modèle en vue de sa réutilisation dans l’entreprise ? Rien de plus simple. Votre équipe informatique peut y accéder à tout moment pour le mettre à jour, sans avoir à le reconstruire dans un environnement différent.

Répondez plus rapidement aux utilisateurs

Trouvez le bon équilibre entre gouvernance centrale sécurisée, demandes de changement à la volée et responsabilisation des utilisateurs grâce aux espaces de SAP Data Warehouse Cloud. Les espaces sont des environnements isolés dans lesquels les utilisateurs peuvent explorer les données. Dans la fonction de gestion des espaces, l’équipe informatique peut configurer et ajuster très facilement les connexions aux données, l’accès utilisateur et les quotas de calcul/stockage de chaque espace. Étant donné que chaque espace est isolé, les données restent gérées de manière centralisée et connectées en temps réel aux données sous-jacentes de l’entreprise. Dans leur espace, les utilisateurs ont la possibilité d’établir des connexions à de nouvelles sources de données, charger des fichiers locaux et modéliser des données avant de partager en temps réel les informations mises au jour avec d’autres utilisateurs sans affecter l’intégrité des données sous-jacentes.

Un point d’accès unique à toutes vos données

Sans entrepôt de données, il est difficile de garantir la qualité des données. Qui plus est, face à l’augmentation du volume et du nombre de sources de données, votre environnement se complexifie, ce qui peut nuire aux performances et aux analyses. Avec SAP Data Warehouse Cloud, l’équipe informatique peut consolider les données et tirer profit de services ETL/ELT, comme la mise en place de pipelines ou la transformation des données, pour créer une couche de données robuste et très performante.

L’équipe informatique ou les utilisateurs peuvent ensuite définir l’accès aux données en créant et en gérant des modèles de données complexes. En parallèle, la couche métier de SAP Data Warehouse Cloud mappe les concepts métier aux données sous-jacentes, afin qu’un plus grand nombre d’utilisateurs puissent comprendre et modéliser les données par eux-mêmes.

Atténuez la menace du Shadow IT

SAP Data Warehouse Cloud est une solution de bout en bout qui répond à tous les besoins de vos collaborateurs, depuis l’intégration jusqu’à la modélisation en passant par l’analyse, ce, afin de limiter le recours à des solutions ad hoc. Elle est également ouverte, ce qui permet d’y connecter les outils tiers dont vos collaborateurs se servent et de les gérer de manière centralisée. Peu importe la fonction ou le service de vos collaborateurs, SAP Data Warehouse Cloud vous permet de définir des autorisations claires et d’attribuer des rôles aux utilisateurs. Grâce aux espaces, l’équipe informatique dispose d’une visibilité à l’échelle de l’entreprise et peut gérer les différentes sources de données et connexions de manière centralisée.

Porsche étend SAP BW/4HANA vers le cloud avec SAP Data Warehouse Cloud

Porsche souhaitait entamer la transformation numérique d’un plus grand nombre de ses collaborateurs. Le groupe automobile avait déjà plusieurs systèmes en place, notamment des systèmes SAP (tels que SAP BW/4HANA et SAP ERP) et des systèmes tiers. Il ne souhaitait donc pas rajouter d’énièmes systèmes à cette organisation. Ce dont Porsche avait besoin, c’était d’une couche virtuelle unique pour connecter l’ensemble de ces systèmes et optimiser le flux des données. Le tout, dans un environnement géré pour éviter les éventuelles erreurs.

C’est ce qu’a permis l’extension de SAP BW/4HANA vers le cloud avec SAP Data Warehouse Cloud, entre autres choses.

«Nous avions besoin d’une solution qui réunirait l’ensemble de nos systèmes existants et qui ferait en sorte que chaque utilisateur final ait accès aux données dont il a besoin, et uniquement à ces données. SAP Data Warehouse Cloud était la solution idéale pour transformer notre architecture de données sans avoir à dépenser un montant colossal.»
– Markus Hartmann, directeur de la gestion des projets informatiques chez Porsche

Commencez petit et voyez grand

Chaque entreprise a une transition vers le cloud différente. Que l’objectif soit de responsabiliser les utilisateurs ou de créer une version unique de la réalité, SAP HANA Cloud et SAP Data Warehouse Cloud offrent la flexibilité dont vous avez besoin.

SAP HANA Cloud et SAP Data Warehouse Cloud ne nécessitent aucun investissement préalable, et c’est SAP qui s’occupe de la gestion et de la maintenance. Vous souhaitez évaluer vos besoins ? Pas de problème. Lancez plusieurs projets pilotes et voyez ce qu’il vous faut. C’est là l’atout de ces deux solutions : grâce à leur approche flexible, vous pouvez commencer petit et évoluer au fil du temps. Par la suite, vous pouvez mettre en place une solution hybride à long terme pour tirer tous les avantages du cloud et des systèmes sur site, ou passer intégralement au cloud. À vous de voir !

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Source de l’article sur sap.com

La transparence numérique transforme les décisions des clients (autrefois considérées comme des choix personnels ou esthétiques) en choix moraux.

L’essor des décisions d’achat morales

Avant, les clients prenaient des décisions en fonction de critères comme la qualité et l’utilité. Aujourd’hui, ils se basent de plus en plus sur les valeurs et actions de l’entreprise.

Considérons cela comme l’essor des décisions d’achat morales.

Les réseaux sociaux et plateformes numériques permettent aux entreprises de savoir de manière rapide et transparente ce qui importe le plus aux clients. Les nouvelles tendances mode, par exemple, se propagent à travers le monde en seulement quelques heures, et non plusieurs jours ou semaines. Les réseaux sociaux aident aussi les clients à interagir facilement les uns avec les autres, où qu’ils soient dans le monde, du moment qu’ils partagent les mêmes croyances et idéologies.

Les plateformes technologiques ont donné naissance à une prise de conscience mondiale sur des problématiques internationales comme le changement climatique, la violence et les droits de l’Homme. Parallèlement, les réseaux sociaux et technologies numériques offrent une transparence toujours plus grande sur les opérations des entreprises, permettant ainsi aux clients de se renseigner plus facilement sur leurs valeurs. Les clients se tournent ensuite vers les marques et produits qui incarnent leurs valeurs.

Accroître la transparence numérique aide les clients à évaluer les valeurs des entreprises à travers trois grandes catégories :

Les valeurs esthétiques

Elles influencent le plaisir et le mécontentement que nous procurent différentes choses comme la musique, la mode et le design. Les plateformes sociales diffusent les choix esthétiques des gens plus loin et plus vite, ce qui accélère comme jamais les tendances en matière d’esthétique.

Les valeurs personnelles

Elles déterminent les sentiments relatifs à la santé, au mode de vie et aux relations. Les clients s’attendent à ce que les entreprises adaptent leurs produits à leurs valeurs personnelles, d’autant que la personnalisation est de plus en plus facile.

Les valeurs morales

Comme l’honnêteté, l’équité et la compassion. Elles définissent ce que les individus pensent être bon ou mauvais. L’alignement des marques sur les valeurs morales joue un rôle de plus en plus important dans les décisions des clients.

***

Les plateformes sociales sensibilisent davantage aux défis humains à travers le monde, tels que l’accès à la nourriture et à l’eau, le changement climatique et la violence. Cette prise de conscience donne plus de poids aux valeurs morales dans les décisions des clients. Par exemple, si l’on choisissait avant nos chaussures pour des raisons esthétiques, aujourd’hui, nous entendons davantage mettre fin au travail forcé et marquer une différence.

La transparence incite les entreprises à prendre position. Les clients réalisent que, grâce à leur pouvoir d’achat, ils peuvent inciter les entreprises (voir « Des marchés aux communautés ») à soutenir clairement les valeurs qui leur tiennent à cœur. Les deux tiers des consommateurs affirment qu’ils soutiendront les entreprises qui, selon eux, font une différence positive dans la société (1). Et un nombre croissant de consommateurs condamnent les entreprises dont ils ne partagent pas les valeurs –(2). Il ne fait aucun doute que, pour les entreprises, les enjeux sont énormes et ne cessent de croître.

Pour aligner votre entreprise sur les décisions d’achat morales :

Comprenez les valeurs morales du marché

Les entreprises doivent intégrer en profondeur les valeurs morales de leur marché cible dans la conception de leurs produits et fournir aux clients des moyens de partager ces valeurs en faisant des déclarations. Mettez en avant et exprimez vos valeurs à chaque étape de l’expérience, de l’emballage ou des matériaux indiquant l’origine du produit, jusqu’aux scorecards numériques reflétant l’engagement de l’entreprise à l’égard de causes majeures.

Appliquez les valeurs morales à toute l’entreprise

Les clients savent si les entreprises sont sincères. Tirez parti des technologies émergentes pour assurer la transparence sur les sources d’approvisionnement, les conditions de travail, l’impact environnemental et la gérance adaptée des communautés locales. Par exemple, la blockchain peut aider à garantir la conformité au sein des réseaux de fournisseurs.

Prenez position ensemble

Revendiquez des positions claires et publiques sur des questions qui préoccupent collaborateurs et clients. Élaborez des programmes qui encouragent les partenariats sur une mission commune, et utilisez des plateformes numériques pour accroître l’impact. Par exemple, les compteurs intelligents des services publics entendent aider les clients à économiser l’énergie. Les programmes de type « Buy one, give one » intègrent le partenariat directement dans la transaction.

Faites de vos clients de vrais héros

Communiquez le succès en mettant l’accent sur l’impact produit par les clients et sur le rôle de soutien de votre entreprise. Développez des plateformes qui permettent aux clients de voir directement leur impact. Par exemple, les capteurs IoT sont capables de surveiller l’utilisation d’un produit de sorte que les clients puissent partager leurs accomplissements sur les réseaux sociaux.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références :

(1) Raphael Bemporad, « Brand Purpose in Divided Times » (La mission d’une marque en ces temps incertains), BBMG, 5 octobre 2017, http://bbmg.com/brand-purpose-in-divided-times/.

(2) Britta Wyss Bisang, « Five Key Sustainability Trends for 2018 » (Cinq grandes tendances en matière de développement durable pour 2018), Ethical Corporation, 12 mars 2018, http://www.ethicalcorp.com /five-key-sustainability-trends-2018.

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Source de l’article sur sap.com

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

Les clients optent de plus en plus pour des expériences riches de sens et s’en remettent à l’IA pour toutes les autres tâches. C’est pourquoi les entreprises doivent oublier la routine et tendre vers le sublime.

Des clients en quête de sens

Appelons ça la révolution de la quête de sens. De Facebook aux cours de yoga, en passant par les manuels de développement personnel, tout est mis à la disposition d’une classe moyenne mondiale en pleine explosion (+160 millions chaque année (1)) pour l’aider à donner plus de sens à son quotidien, un objectif auxquels aspirent instinctivement tous les hommes (2).

Bien que les entreprises soient tout de même tenues de répondre aux attentes traditionnelles des clients (des produits et services de qualité fournis avec un maximum d’efficacité et un service client optimal), elles doivent maintenant également se focaliser sur la vie à laquelle aspirent les clients. Si une partie de l’expérience client ne parvient pas à offrir un sentiment gratifiant sur le plan émotionnel, elle sera alors reléguée en arrière-plan (voir « L’IA comme intermédiaire »), où des algorithmes de type « configurez puis oubliez » prendront le relais (3).

Avec des technologies comme le Machine Learning, le cloud computing et l’IoT, tout ce qui est perçu comme routinier ou répétitif se transforme en une expérience client automatisée en arrière-plan. Mais, la bonne nouvelle, c’est que ces mêmes technologies constituent aussi un nouveau moyen pour les entreprises de donner plus de sens qu’aujourd’hui aux différentes composantes de l’expérience.

Les différents types d’expériences riches de sens

Bien qu’il existe autant de définitions du terme « expériences riches de sens » que de personnes, pour les entreprises, ces expériences entrent dans quatre grandes catégories :

Divertissement

Dans des centres commerciaux de Californie, de Floride, du Nevada et du Royaume-Uni, cette année, les clients ont enfilé des casques de réalité virtuelle (RV) et ont déambulé dans un espace conçu pour leur donner l’impression d’être dans un film Star Wars. L’expérience a reçu d’excellentes critiques (4). Les frontières entre les marques grand public, les détaillants et le divertissement continueront de s’estomper, comme en témoigne le succès de films et vidéos YouTube qui sont, pour ainsi dire, l’extension de publicités ou jeux vidéo (5).

Interaction

Dans les petites villes, les gens avaient pour habitude d’aller chez le boucher ou dans l’épicerie du coin non seulement pour acheter des produits de première nécessité, mais aussi pour faire le plein de rumeurs sur le quartier. Avec l’apparition des grandes surfaces, ces expériences sociales ont quasiment disparu. Mais grâce au gain d’efficacité généré par le Machine Learning et le commerce en ligne, les retailers peuvent contrecarrer cette tendance en offrant aux gens de nouvelles façons de communiquer avec les autres et avec leurs communautés. L’utilisation de technologies comme la RV, la réalité augmentée (RA) et l’IA pourrait permettre aux retailers haut de gamme de devenir les boîtes de nuit du 21e siècle, par exemple, ou encore à un stade de devenir un nouveau centre commercial.

Apprentissage

Les entreprises doivent s’inspirer de notre fascination pour le fonctionnement des choses pour créer ou développer des relations riches de sens avec leurs clients. En améliorant leur connaissance d’un produit, l’expérience des clients devient ainsi plus riche de sens. Par exemple, les fabricants de téléphones mobiles se livrent une guerre sans merci sur la qualité de leurs appareils photo. Ils ont donc tout intérêt à offrir des cours de photographie en magasin et à domicile par le biais de technologies comme la RV et la RA.

Aspiration

L’alignement des ventes sur une aspiration humaine fondamentale pourrait expliquer pourquoi le nombre de centres de bien-être et de remise en forme dans les centres commerciaux a doublé au cours des cinq dernières années (6). Cela explique aussi pourquoi les applications de suivi de santé et de fitness sont devenues si populaires. Les clients recherchent en effet des moyens de surveiller leurs progrès et de partager leurs objectifs avec une communauté plus vaste.

Que peut faire votre entreprise ?

Votre expérience est dépourvue de sens ? Créez-le !

Les entreprises qui n’offrent pas déjà de dimension riche de sens à l’expérience qu’ils proposent seront reléguées au second plan par les clients ou par des agents d’IA axés sur l’efficacité et agissant pour leur compte. Elles doivent mettre les bouchées doubles pour maximiser le moindre élément riche de sens dans leur expérience et ainsi se protéger de la concurrence. Elles peuvent utiliser les nouvelles tech­nologies pour repousser les limites de l’expérience ou aller complètement au ­delà de ces limites pour donner à leurs produits ou services une autre dimension, où des expériences riches de sens existent déjà.

Prenez soin de vos clients, ne les contrôlez pas

Dans un monde où les clients peuvent exprimer ce que bon leur semble à un assistant d’IA vocal, il est impossible de contrôler la totalité de leur expérience. Prendre soin des clients est donc la meilleure alternative. Vous les aidez ainsi à laisser de côté le superflu et démontrez votre capacité à rassembler le meilleur dans une sorte de forfait d’abonnement, même si une partie de ce travail doit être effectuée par des tiers (comme une marque de niche ayant une expertise bien précise dans un domaine donné).

Supprimez toute distraction

Une fois la proposition de sens essentielle identifiée, automatisez tout ce qui peut distraire le client des éléments les plus riches de sens de l’expérience.

Fournissez une plateforme créatrice de sens

Les entreprises peuvent créer des plateformes technologiques créatrices de sens à un coût relativement bas. Dans le domaine du fitness, par exemple, les entreprises fournissent des plateformes permettant aux développeurs de créer des applications qui aident les utilisateurs à se sentir connectés grâce à différents types de données : meilleurs scores personnels, itinéraires crowdsourcés et compétitions « Roi de la colline ».

Article publié en anglais sur insights.sap.com


Références :

(1) Homi Kharas, The Unprecedented Expansion of the Global Middle Class: An Update (L’expansion sans précédent de la classe moyenne mondiale : mise à jour) (Brookings, février 2017), https://www.brookings.edu/research/the-unprecedented-expansion-of-the-global-middle-class-2/.

(2) Neel Burton, « Our Hierarchy of Needs » (Notre hiérarchie des besoins) Psychology Today, 23 mai 2012 (mis à jour en septembre 2017), https://www.psychologytoday.com/us/blog/hide-and-seek/201205/our-hierarchy-needs.

(3) Volker Hildebrand, Lori Mitchell-Keller, Christopher Koch et Polly Traylor, « Customer Relationship Status: It’s Complicated » (Statut de la relation client : c’est compliqué), Digitalist Magazine, 18 novembre 2015, https://www.digitalistmag.com/executive-research/customer-relationship-status-its-complicated.

(4) « The VOID – Glendale Galleria », Yelp, consulté le 2 octobre 2018, https://www.yelp.com/biz/the-void-glendale-galleria-glendale-2.

(5) « La Grande Aventure Lego », Warner Bros., consulté le
2 octobre 2018, https://www.warnerbros.com/lego-movie.
« Assassin’s Creed », 20th Century Fox Movies, consulté le
2 octobre 2018, https://www.foxmovies.com/movies/assassins-creed.

(6) Diana Olick, « Malls Hope to Get Back in Shape by Adding Gyms » (Les centres commerciaux espèrent retrouver la forme en installant des salles de gym), CNBC, 1er février 2018, https://www.cnbc.com/2018/02/01/malls-hope-to-get-back-in-shape-by-adding-gyms.html.

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Source de l’article sur sap.com

Le climat économique et social actuel a mis les entreprises de toutes tailles face à des défis inédits. Notre époque n’avait encore jamais connu de tels chamboulements, à la fois internes et externes. Les directeurs et services financiers, qui s’efforcent de bien gouverner leur entreprise, vivent sans doute les moments les plus difficiles de leur carrière.

À l’heure actuelle, le directeur financier et surtout l’équipe de planification et d’analyse financières doivent continuer d’avancer malgré de nombreuses incertitudes, notamment :

  • l’impact des perturbations des canaux de ventes sur le chiffre d’affaires
  • la gestion du flux de trésorerie et des liquidités
  • la gestion des dépenses et la maîtrise des coûts
  • les projections financières optimistes et les conseils basés sur des suppositions floues

Incertitudes et choix à faire

Pour le service de planification et d’analyse financières, ce ne sont pas des questions isolées, mais tout un ensemble de problèmes et de doutes qu’il faut gérer de manière globale. Faut-il puiser dans une ligne de crédit pour préserver la fluidité du fonds de roulement ? Le flux de trésorerie et les liquidités actuels permettront-ils de couvrir les dépenses à court terme ainsi que les initiatives de capital actuelles et à venir ? Peut-on bénéficier des programmes gouvernementaux d’aide salariale ? Que dire aux actionnaires sur les prévisions du solde de l’année ? Existe-t-il des moyens d’aider nos clients à réussir ?

Ces questions se posent aux services financiers, mais aussi à l’ensemble de l’entreprise, dont les différentes équipes se penchent sur les budgets et les tactiques envisageables.

  • Les programmes actuels tiennent-ils compte du marketing ?
  • La chaîne logistique est-elle confrontée à des disruptions ?
  • Quelles sont les conséquences pour la planification de la demande
  • Quelles sont les suggestions des RH concernant les niveaux d’effectifs actuels, et quels effets auront-elles sur les résultats ?

Il faut regrouper tous ces budgets et modèles individuels en une vue unique pour pouvoir comprendre les interdépendances.

Planification d’entreprise collaborative pour éliminer les silos

Un paradigme de planification moderne permettrait de résoudre facilement ces problèmes : la planification d’entreprise collaborative. Elle consiste entre autres à éliminer les silos, et ainsi à relier instantanément toutes sortes de plans. Les finances disposent donc d’un aperçu réel de la santé financière actuelle pour ne prodiguer que les conseils les plus avisés. Par exemple, elles peuvent évaluer l’impact d’un plan commercial sur les campagnes marketing, ou relier un processus S&OP (ventes et opérations) rapproché à un plan financier. Un analyste peut déterminer quel plan d’effectifs pourrait impacter la productivité des collaborateurs et la trésorerie.

Les finances doivent aussi pouvoir prendre des décisions rapides. Grâce à la planification d’entreprise collaborative, le service financier n’est pas tenu de suivre les plans établis. Aujourd’hui, on ne peut plus travailler dans un environnement où les plus mauvais services financiers repoussent les décisions parce qu’ils utilisent des feuilles de calcul et outils de planification obsolètes. Si au contraire ils disposent des technologies adéquates, ils pourront instantanément simuler l’impact de plusieurs scénarios. Les outils d’analyse modernes associés aux outils d’analyse prédictive et au Machine Learning leur permettront de suivre les recommandations pour obtenir les meilleurs résultats. Quant aux tableaux de bord et à la visualisation intégrée, ils offrent aux utilisateurs finaux un reporting en temps réel et une expérience esthétiquement agréable avec un risque d’erreur minimal, contrairement aux feuilles de calcul.

Une discussion instantanée pour une prise de décision rapide

Enfin, la plupart des organisations, y compris les services financiers, ont étendu leur capacité de travail à l’espace virtuel ; elles ne sont plus limitées par les murs de l’entreprise. La planification d’entreprise collaborative encourage la discussion instantanée pendant la planification et la prévision. Les problèmes géopolitiques ont eu des répercussions extraordinaires sur les prix des marchandises. Une situation qui, tout comme les problèmes liés à la pandémie, nécessite une collaboration et un consensus immédiats. Les décisions doivent être prises sans délai, sans le soutien des réunions, messages vocaux ou fils d’e-mails.

Avec la planification d’entreprise collaborative, les services financiers peuvent guider leur entreprise pour l’aider à obtenir les meilleurs résultats et à continuer d’avancer dans le bon sens malgré les difficultés du moment. La planification d’entreprise collaborative permet aux finances de comprendre tous les aspects de leur entreprise, de recommander et d’évaluer divers scénarios, de prendre les bonnes décisions, et de se positionner comme les véritables leaders de l’entreprise.

Pour en savoir plus, lisez ce rapport de Ventana Research intitulé « Planification d’entreprise collaborative : Améliorer la valeur opérationnelle de la planification et de la budgétisation à l’échelle de l’entreprise ».

À propos de Pras Chatterjee

Pras Chatterjee est directeur marketing produits principal pour la planification et l’analyse chez SAP, en particulier pour les solutions SAP Analytics Cloud et SAP Business Planning and Consolidation. Avant de rejoindre le service Marketing produits, Pras était directeur du cabinet SAP EPM et responsable des services SAP Business Analytics en Amérique du Nord. Il a également été architecte de solutions pour SAP, spécialisé dans la planification et les consolidations dans le monde entier. Comptable agréé, Pras a travaillé au service financier de diverses sociétés de logiciels, dont plusieurs entreprises du Fortune 500.

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Source de l’article sur sap.com

Alors que les collaborateurs commencent à abandonner progressivement cette longue période de travail à distance et à retourner sur leur lieu de travail, les entreprises se demandent à quel moment et de quelle manière il convient de le faire en toute sécurité. Il s’agit d’une tâche essentielle et d’un nouveau défi pour tous, tant pour les employés que pour les responsables des ressources humaines (RH).

Tout d’abord, la santé ainsi que le bien-être des collaborateurs et de leurs familles sont en jeu. Deuxièmement, il existe des risques commerciaux que les employeurs peuvent ne pas prendre en compte, allant du respect de la vie privée au non-respect du règlement général sur la protection des données (RGPD).

Aux États-Unis, par exemple, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont récemment formulé des recommandations détaillées pour améliorer la sécurité dans les immeubles de bureaux, notamment en contrôlant les températures et les symptômes. Par ailleurs, l’Equal Employment Opportunity Commission (EEOC) des États-Unis continue de réviser ses lignes directrices aux employeurs afin d’équilibrer le respect du Americans with Disabilities Act (ADA) et des CDC.

Cette situation peut être éprouvante pour n’importe quelle organisation. Nombreuses sont celles qui choisissent d’adopter une longue période de travail à distance avec des horaires flexibles. Les entreprises qui sont implantées dans plusieurs régions se trouvent dans des phases et des environnements très différents. De l’Asie à l’Europe, certaines régions se montrent plus agressives en matière de déconfinement.

La première recommandation que j’adresse aux clients qui envisagent de faire revenir leurs employés au travail en toute sécurité est de commencer par un plan qui intégrera les processus RH. Pour aider les clients de tous les secteurs et de tous les pays à gérer cette transition, SAP a publié les principales mises à jour de la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits Management ainsi que l’application partenaire Guardian by AlertEnterprise.

Une technologie SAP tournée vers l’avenir pour un lieu de travail sûr et sain

Au lancement, la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits avait un cas d’utilisation particulier, comme en témoigne son nom. Cependant, en travaillant avec ses clients pour étendre ses capacités, SAP a découvert de nombreux cas d’utilisation autour du suivi des certificats, des licences, des justificatifs et de bien d’autres choses encore qui sont particulièrement pertinentes aujourd’hui. Grâce à cette solution, les utilisateurs peuvent désormais contrôler le processus visant à faire revenir les employés au bureau tout en automatisant l’application de politiques complexes et évolutives en matière de santé et de sécurité liées au COVID-19 pour mieux protéger les personnes.

En quoi ces outils sont-ils utiles ?

Pour assurer un retour au travail sûr et sain, voici une approche en trois étapes qui vous permettra de démarrer.

Préparation

Grâce à la solution SAP SuccessFactors Visa and Permits, soutenez le déconfinement tout en minimisant les risques, et gérez les procédures de santé et de sécurité qui encadrent le retour au travail des collaborateurs.

  • Prévoyez pour vos collaborateurs un moyen sûr d’envoyer les documents, comme une preuve de certificat numérique de santé ou des justificatifs, avant leur retour au travail.
  • Suivez les coûts du dépistage. Les fonctionnalités de libre-service permettent aux utilisateurs de remplir et de soumettre des documents afin de réduire le travail manuel.
  • Gérez les renseignements médicaux sensibles des collaborateurs. Par exemple, les lignes directrices de l’EEOC précisent que l’ADA demande que les renseignements médicaux concernant un employé soient stockés séparément du dossier personnel de l’individu afin de limiter l’accès aux informations confidentielles. Autrement dit, au lieu de stocker les nouveaux renseignements médicaux dans SAP SuccessFactors Employee Central, ces informations peuvent être gérées dans SAP SuccessFactors Visa and Permits, ce qui contribue à la fois à sécuriser les données et à protéger les collaborateurs.
  • Réduisez le risque d’encourir de lourdes sanctions financières, comme le non-respect du RGPD en matière de « traitement de catégories particulières de données à caractère personnel ». Respectez les réglementations légales supplémentaires et les règles en matière de confidentialité des données, comme la Health Insurance Portability And Accountability Act ou HIPAA.
  • Configurez les processus de notification, d’approbation, de renouvellement et plus. Les tableaux de bord fournissent un aperçu de la conformité, et les actions en temps réel permettent aux entreprises de gérer en toute confiance leur personnel dans un environnement en constante évolution.
  • En ce qui concerne l’intégration, les entreprises ont la possibilité de simplifier le processus d’embauche afin de traiter les formalités administratives le plus tôt possible pour que les nouveaux collaborateurs puissent commencer à travailler.

Prévention

Faites revenir le personnel non essentiel au bureau en toute sécurité grâce à la solution AlertEnterprise Health & Safety Access Governance.

  • Contrôlez le nombre de personnes dans les locaux, gérez l’accès aux sites qui sont temporairement saturés et autorisez de nouveaux modes de travail par roulement
  • Prévoyez un système d’autodéclaration et d’autoattestation avec un rétablissement contrôlé de l’accès au lieu de travail déterminé par la politique. Par exemple, les employés et les visiteurs peuvent s’autoévaluer et vérifier s’ils ont de la fièvre, si quelqu’un dans leur foyer a été déclaré positif au COVID-19, etc.
  • Gérez les contrôles d’entrée au site grâce au libre-service pour les contrôles préalables, comme les contrôles de température, avec l’application de politiques et la gestion de l’accès.
  • Mettez en place des systèmes de badges et de sécurité pour gérer l’accès à l’espace de travail et contribuer à l’application des politiques de l’entreprise, comme avec le retrait automatique de l’accès.

Détection

Minimisez les risques permanents grâce à la solution AlertEnterprise Health & Safety Intelligence Tracker et protégez votre lieu de travail.

  • Utilisez les analyses pour suivre les personnes qui ont été exposées au COVID-19 ou qui pourraient l’être. Cette technologie permet de suivre une infection suspecte ou confirmée et de détecter les personnes ainsi que les zones susceptibles d’avoir été exposées au virus.
  • Déterminez les zones exposées pour les mettre en quarantaine ou les assainir. Les zones à haut risque peuvent alors être désinfectées, et les personnes à haut risque peuvent se voir retirer leur accès de sécurité.
  • Prenez des décisions à partir de données concrètes, comme les niveaux d’exposition, les cartes thermiques de localisation, et d’autres analyses de santé et de sécurité.

En ce qui concerne le déconfinement, les clients comprennent qu’il ne s’agit pas de revenir au travail comme si de rien n’était. Ils savent que le déconfinement ne se résume pas à choisir une date pour ouvrir les portes et à distribuer du gel hydroalcoolique. En cette période d’incertitude, ils veulent apprendre à préserver la santé, la sécurité et la sûreté de leurs collaborateurs et clientèle.

Si chacun doit jouer son rôle en assumant une responsabilité personnelle, les employeurs peuvent ouvrir la voie à un retour au travail sûr et sain.

 

Imran Sajid est le directeur international de la gestion du capital humain pour SAP SuccessFactors.

Publié pour la première fois en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com