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Ahoy, matey! I’m back from a short vacation and ready to continue my pet project: geo-distributed messenger in Java! 

If you’re interested in how my dev journey began (and is going), check out the previous articles in this series:

Source de l’article sur DZONE

L’environnement de travail d’aujourd’hui est plus que jamais différent de ce que nous avons déjà rencontré auparavant. En raison des changements monumentaux que la pandémie a introduits, les entreprises luttent à la fois contre les défis liés à la rétention des talents et contre un déficit de compétences numériques qui ne cesse de croître. Il est devenu de plus en plus évident que l’éducation et la formation doivent évoluer avec ce contexte.

Au sein de l’organisation SAP Learning, nous nous efforçons constamment à repenser la manière dont la formation peut aider nos clients, partenaires et collaborateurs à suivre le rythme.

Voici trois façons de réinventer l’apprentissage afin que chacun dans notre écosystème ait les compétences dont il a besoin pour réussir.

Réduire les obstacles à l’accès à l’éducation

La technologie a considérablement amélioré l’accès à l’apprentissage pour les communautés sous-représentées, ainsi que pour les étudiants qui débutent leur carrière. Qu’il s’agisse d’une conférence vidéo, d’un e-learning ou d’un exercice simulé, les connaissances peuvent être accessibles à l’échelle mondiale presque sans frais. Il en va de même pour l’éducation dans le monde des logiciels d’entreprise, un espace qui offre des opportunités de carrière importantes.

Nous voulons désormais créer des opportunités qui rendent les formations attrayantes et accessibles à tous. C’est pourquoi nous avons facilité l’accès à nos programmes globaux pour atteindre les étudiants et les apprenants susceptibles de rencontrer des barrières aux opportunités. En éliminant le coût de la formation et en réduisant le besoin d’activités en présentiel, nous continuons à développer notre communauté d’apprenants qui qui peuvent réaliser leurs aspirations dans l’écosystème SAP..

Nous sommes ravis d’avoir atteint plus de 150 000 apprenants actifs sur le site SAP Learning depuis son lancement en novembre, avec une croissance d’environ 2 000 participants par jour. Cette stratégie rapporte aux étudiants. En complément, grâce à des programmes financés pour les demandeurs d’emploi tels que People to Work by SAP, nous pouvons voir des évolutions de carrière avec le placement de plus de 80 % des participants dans de nouveaux emplois après avoir terminé la formation..

À mesure que SAP Learning se développe, nous sommes impatients de continuer à nous améliorer et à nous adapter aux besoins de ces communautés.

Adopter une approche basée sur les compétences pour le développement de carrière

Alors que nous élargissons notre communauté aux apprenants de divers horizons et niveaux de formation, nous observons que certains cherchent à améliorer les compétences requises pour leurs rôles actuels, tandis que d’autres cherchent à franchir la prochaine ou la première étape de leur carrière. Dans les deux cas, une approche spécifique basée sur les compétences peut aider les apprenants à se concentrer sur des domaines de développement spécifiques, ce qui leur fait gagner du temps et leur permet d’avoir une expérience personnalisée. Selon un livre blanc d’IBM, les technologies d’e-learning peuvent augmenter l’engagement des collaborateurs de 20 %.

Associée à des certifications, la formation basée sur les compétences permet aux apprenants externes de faire valoir de nouveaux ensembles de compétences auprès de leurs employeurs actuels et potentiels, et d’améliorer leur employabilité. En interne SAP, nous adoptons une approche similaire, car la compréhension des compétences de notre personnel nous permet de réaliser des investissements stratégiques en soutenant nos employés à acquérir de nouvelles compétences, nous permettant ainsi de développer des talents uniques pour l’avenir.

Cette approche basée sur les compétences et la manière avec laquelle nous formons nos employés et notre écosystème a été reconnue par les prix Learning Elite 2022 des Directeurs formation :  SAP a été classé parmi les lauréats du Silver Award qui reconnaissent les meilleurs programmes de formation et développement à travers le monde.

Atteindre les apprenants là où ils se trouvent

Personne n’apprend exactement de la même manière, mais la technologie peut servir de passerelle vers de meilleures expériences d’apprentissage pour tous. Grâce aux outils numériques, nous pouvons atteindre les apprenants où qu’ils soient et quand ils souhaitent apprendre. Nous pouvons penser au-delà du cadre de la classe traditionnelle et proposer des méthodes d’apprentissage alternatives plus accessibles et abordables, à destination d’un public plus large et plus global d’apprenants. Nous pouvons rendre les parcours d’apprentissage encore plus personnalisables et adaptables pour répondre réellement aux objectifs individuels.

Ces besoins varient: une récente enquête d’Anthology a révélé que plus de quatre étudiants sur cinq (82 %) souhaitent qu’au moins une partie de leurs cours se déroulent en distanciel, et deux sur cinq (41 %) préfèrent un apprentissage entièrement en ligne sans aucun élément en présentiel.

Nous savons que certains de nos clients auront toujours besoin d’une formation en présentiel hautement interactive. Mais nous savons aussi, que si nous voulons combler la pénurie de compétences SAP et développer notre écosystème de professionnels formés sur nos solutions, l’apprentissage numérique a un rôle essentiel à jouer.

Notre engagement à garantir des cours et des certifications largement accessibles a fait de SAP Learning un leader dans trois rapports IDC MarketScape, sur les Services de formation informatique 2021 en Europe et aux États-Unis et en APeJ (Asie-Pacifique avec exclusion du Japon) en 2022. Ces évaluations des fournisseurs couvrent une évaluation globale des capacités et des stratégies des acteurs du monde numérique de la formation, et reconnaissent SAP en tant que leader grâce à notre vaste portefeuille de produits et à nos offres de formation hybrides, entre autres facteurs.

Notre engagement en faveur de la formation continue

Bien que nous soyons ravis de voir l’impact de nos parcours de formation dans le domaine de la formation continue, et dans un esprit d’amélioration constante, nous pensons qu’il y a toujours de la place pour de la croissance et du développement. Nous accueillons avec joie les commentaires sur ce que nous pourrions améliorer ou ajouter à nos programmes tout au long de votre parcours d’apprentissage avec SAP.

Pour partager votre expérience de formation ou faire part de vos commentaires,
rendez-vous sur le site SAP Learning.

Max Wessel est Chief Learning Officer à SAP.

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Source de l’article sur sap.com

Milvus is an open-source vector database for AI applications. It provides a variety of installation methods, including building from source code and installing Milvus with Docker Compose/Helm/APT/YUM/Ansible. Users can choose one of the installation methods depending on their operating systems and preferences. However, there are many data scientists and AI engineers in the Milvus community who work with Python and yearn for a much simpler installation method than the currently available ones.

Therefore, we released embedded Milvus, a user-friendly Python version, along with Milvus 2.1 to empower more Python developers in our community. This article introduces what embedded Milvus is and provides instructions on how to install and use it.

Source de l’article sur DZONE

SuperTokens is an open-source project which enables you to add auth to your app quickly. It gives you a pre-built auth UI and backend APIs for an end-to-end integration experience.

Before we dive into the code, let’s discuss the overall architecture.

Source de l’article sur DZONE

Learning how to design an MVP webpage or website could be one of the best things you can do as a site creator in today’s digital world.

In a fast-paced landscape, where customer preferences and technology are constantly changing, most companies don’t have time to dedicate months or years to each web project. The longer you take to complete your website, the more likely your creation will be outdated by the time you hit “publish.” That’s why countless creators are beginning to take a different approach.

To avoid wasting time, money, and effort on something that doesn’t deliver a significant return on investment, designers are now building “Minimum Viable Products,” or “MVPs.”

Here’s what you need to know about creating your MVP webpage.

What is MVP Web Design?

Typically, the “MVP” development process is most common in the app or software creation world. It refers to when a developer builds the simplest version of a technology capable of achieving specific goals. For instance, if a company wanted to create an ecommerce app, they would design a simple tool capable of listing products, enabling payments, and tracking orders.

After launching the MVP product, the company or developer would check to ensure it had the right impact on the target market and generated positive results. Using feedback and analytics, the developer would then begin to add new features one at a time.

MVP design aims to ensure you’re developing the best, most valuable product for your audience while getting your solution to market as quickly as possible.

The same strategy in MVP app and software design can also apply to website creation. Rather than building a highly complicated website with multiple features straightaway, the designer would focus on creating a single page equipped with the essential elements.

For instance, instead of building an entire site for your online course, you may develop a single-page website where customers can learn about the system, sign up, and pay for their membership. The great thing about an MVP web page is it allows companies to start advertising their solution, product, or service quickly, with the minimum initial investment.

How to Create an MVP Web Page

Creating an MVP web page is similar to designing any Minimum Viable Product. Throughout the project, the focus will be on keeping the development process simple while collecting as much feedback as possible.

Here’s how you’d get started with an MVP web page.

Step 1: Planning

Planning is an important stage in any web design project. It’s particularly crucial in the MVP landscape, where you need to define the most critical features of your webpage or website to ensure it’s “viable” for your needs. The initial planning stage can sometimes be the lengthiest part of the process, depending on the amount of research you need to do.

For the most part, web designers and companies will begin by conducting market research. This means examining crucial concepts intended to drive your strategy, such as:

  • Your target audience: Who are you trying to target with this web page, and what will they need from your site? A user persona can be helpful if you don’t already have one.
  • Competitors: Who are your main competitors in this space, and what do their web pages offer? Which features do you need to replicate or avoid?
  • Goal setting: What is the main objective of this web page? What do you need it to do, and what might it need to accomplish in the future?

The key to MVP web page planning is ensuring you look holistically at your project without thinking too far ahead. The site you create should be capable of scaling and expanding in the future, but it shouldn’t have too many features from day one.

Step 2: Creating Your Feature List

Once you’ve done your research and formed the foundations of your plan, it’s time to list all the features your MVP web page needs to have. Unfortunately, this is where the process can get a little complicated. It’s easy to start adding capabilities and components that aren’t necessary to make your site more exciting or competitive.

As worrying as it can feel to release a very basic web page, remember your focus is on rapid growth and development. With this in mind, concentrate on narrowing your feature lists down into:

  • Initial must-have capabilities: First, decide what your web page can’t thrive without. If the primary goal of your page is to sell software subscriptions, then you’ll need to implement tools for collecting member information and payments.
  • Next stage functionality: Consider the features you might add once you’ve confirmed your webpage is effective. This will allow you to ensure you’re creating a platform that can expand to suit future needs.
  • Possible future requirements: You can also list features that might be helpful in the future but don’t necessarily need to be implemented immediately. For instance, if you’re selling an online course, you might create a separate page where people can sign up to learn about future lessons.

Step 3: Finding the Right Software

Next, you’ll need to decide how to build your web page. There are several options available to today’s designers. An open-source solution is usually the best route for designers who need to create something specific from scratch. However, if the factor that makes your solution “viable” is unique, you may need access to code to bring your idea to life.

Alternatively, if you’re building a basic webpage capable of something like collecting customer email addresses or facilitating transactions, you might be able to use an off-the-shelf tool. CMS services for web designers can reduce the work and expense involved in creating a minimum viable product.

For instance, you might use a tool like Wix or Squarespace to edit a pre-existing template and simply drag-and-drop the features you need into the right places. On the other hand, if you’re planning on adding more functionality to your site down the line, it’s worth checking if any builder you will use has the right level of flexibility. Many tools will allow you access to code, advanced features, and essential module-based building functions.

Step 4: Implement Your Analytics

One of the essential parts of an MVP workflow is feedback. When you roll out your MVP, you’ll be looking for insights, guidance, and analytics to help you decide what your next steps are going to be. As a result, MVP workflows are based heavily on experimentation.

This means you’re going to need the right analytical tools in place to track crucial information. You can implement tools for collecting customer feedback directly. It’s also worth having a system in place for tracking metrics like:

  • Conversion rate;
  • Traffic numbers;
  • User behavior;
  • Most used/least used features;
  • Technical site performance;
  • Bounce rate;
  • Average time spent on the page.

While Google Analytics is one of the most popular tools for collecting insights in the MVP website design world, various other options are available. You can even find tools with in-built heatmaps to see how people navigate your site more effectively.

It’s also worth having A/B testing components in place. This will allow you to test the different “new” features you add to your web pages over time and examine how they influence your conversions and support your goals. For example, you can use A/B testing to explore the impact of everything from CTA button colors to webpage copy and offers.

Creating Your MVP Web Page

In the fast-paced web development and design world, the old-fashioned and slow approach to designing web pages is growing increasingly less common. Instead, an MVP strategy may be the best bet for companies looking to go to market faster, collect insights from their target audience, and accelerate growth.

Though getting used to this design strategy initially can be challenging, it can save you significant time, resources, and money in the long term.

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Le Mayennais Diricks souhaite booster son activité services. Mais il lui faut pour cela s’équiper d’un outil de gestion des interventions. Pourvu d’un ERP SAP, l’industriel a opté pour la solution SAP Field Service Management.

Dirickx est le premier fabricant français de clôtures, portails et contrôles d’accès, à destination des particuliers comme des professionnels. Tissé, soudé, rigide, barreaudé ou sur mesure, Dirickx peaufine son savoir-faire depuis 100 ans déjà. La société emploie plus de 300 salariés et réalise 50% de son chiffre d’affaires au travers de la grande distribution : BigMat, Castorama, Leroy Merlin, Point.P…

En 2017, la société est reprise par des investisseurs belges, avant de devenir la filiale d’un nouveau groupe, PICOT, toujours implanté à Congrier, en Mayenne. En plus de son activité industrielle, le groupe assure des tâches d’installation et de maintenance, au travers de Dirickx Espace Clôture et de Dirickx Services.

Dirickx Services est une entité en pleine croissance. Fin 2021, elle faisait déjà travailler une dizaine de techniciens, mais avec un processus de gestion des interventions encore très basique. « Les fiches d’intervention étaient transmises sous forme papier à nos bureaux, qui se chargeaient de facturer le client, ce qui pouvait faire prendre jusqu’à une dizaine de jours, témoigne Laurent Dargelosse, Manager de Dirickx Services. Pour développer cette activité, il était impératif que nous options pour un outil capable d’accélérer la remontée et le traitement des informations de terrain. »

Un projet couronné de succès

Comme toutes les autres sociétés du groupe, Dirickx Services réalisait déjà sa comptabilité sur un ERP SAP. Il était donc logique d’y intégrer la facturation client, puis d’y rattacher un outil de gestion des interventions. La solution SAP Field Service Management (SAP FSM) est apparue assez rapidement comme un bon candidat pour gérer les opérations de maintenance réalisées sur le terrain.

« SAP FSM répondait à tous nos besoins, confirme Benjamin Subile, Responsable informatique chez Dirickx : gestion du planning des techniciens, enregistrement des temps, remplissage et signature de la fiche d’intervention, remontée de photos et notes, automatisation de la facturation dans l’ERP. Le tout à l’aide de tablettes qui accompagnent les techniciens sur le terrain. »

Dirickx cherchait un intégrateur SAP FSM capable de travailler en français. Une relation tripartite s’est mise en place, avec d’un côté Codilog, se chargeant des licences et de l’interaction avec SAP, et de l’autre l’entreprise Canguru, pour son expertise sur la solution SAP FSM.

Le projet a démarré en février 2021, avec une mise en production début décembre 2021. Le temps nécessaire pour permettre aux équipes de réaliser toutes les tâches requises : achever la bascule de Dirickx Services vers l’ERP SAP, activer le module de gestion des ventes, mettre en place SAP FSM, puis former les utilisateurs et les équiper en tablettes.

« L’un des points sensibles était la connexion de SAP FSM, qui est une solution cloud, à notre ERP SAP ECC, qui est déployé on premise, signale Benjamin Subile. Nous avons pour cela utilisé le connecteur standard proposé par SAP, qui permet aux deux solutions de communiquer de façon fluide. Cette intégration facilitée est un des avantages d’avoir opté pour une solution qui fait partie de l’écosystème SAP. »

Un outil rapidement adopté par les techniciens

Après une courte phase d’adaptation, les techniciens se sont approprié la solution. « S’ils ont pu être un peu sceptiques au départ, dès les premières utilisations, ils ont adopté l’outil, explique Laurent Dargelosse. Il leur permet de travailler plus efficacement et d’avoir une vision plus claire sur leur planning et leur stock. SAP FSM a apporté beaucoup d’améliorations pour les intervenants travaillant sur le terrain. »

Et il était temps, car l’entité Dirickx Services s’est fortement développée depuis début 2021, en passant de 13 à 18 techniciens, assurant chacun 2,5 à 3 interventions par jour. « Une telle charge n’aurait pas pu être gérée efficacement avec un processus papier », confirme le manager de Dirickx Services.

Cette croissance devrait se poursuivre, avec une vingtaine de techniciens d’ici la fin de l’année et un redécoupage du territoire français en trois régions, contre deux actuellement. Le groupe étant également très présent en Belgique, il envisage de développer l’activité Dirickx Services au Benelux, ce qui devrait – là encore – se traduire par de nouvelles embauches de techniciens de maintenance… lesquels seront équipés de tablettes connectées à SAP FSM.

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Source de l’article sur sap.com

Plusieurs événements ont complètement bouleversé le statu quo ces dernières années. Inutile de les rappeler, vous l’avez sans doute remarqué par vous-même. Notamment au moment où, en tant que responsable financier, on vous a demandé d’apporter votre aide continue pour piloter la stratégie globale de votre entreprise (en plus, bien sûr, de votre travail quotidien qui consiste à gérer chaque centime dépensé par la société).

Les choses changent, c’est une évidence. Mais la véritable question est : avez-vous été en mesure de vous adapter ?

Notez que j’ai dit : « avez-vous été en mesure de vous adapter ? ». Car il est fort probable que votre capacité à suivre le rythme des évolutions du marché ne dépende pas d’un manque de volonté. Mais plutôt, comme de nombreuses autres entreprises, de solutions ERP ou financières, qui ne sont potentiellement pas assez agiles pour vous permettre de vous adapter à des bouleversements soudains.

 

Selon un récent rapport Aberdeen intitulé « Le pilier de l’agilité des fonctions Finance et Comptabilité », les entreprises se rendent compte que les solutions sur site ne sont tout simplement pas à la hauteur. Et si vous êtes condamné à travailler avec ces systèmes hérités, chaque jour est un constat de leur ancienneté et de leur manque de flexibilité :

 

  • La budgétisation et la prévision prennent trop de temps et de ressources.
  • Les processus de gestion ne sont pas adaptés à la volatilité des marchés.
  • L’évolution des demandes client dépasse la capacité de votre organisation à changer.

 

De quelles solutions disposez-vous ? Comment êtes-vous censé faire évoluer les systèmes, processus et politiques de votre entreprise de façon suffisamment rapide pour rester au fait des changements mondiaux qui vous imposent cette évolution ?

C’est le genre de question qui empêcherait de dormir les responsables financiers les plus aguerris. La réponse vous intéresse ? Consultez le rapport Aberdeen. Ou cette page sur l’ERP Cloud. Vous connaîtrez enfin la réponse.

La réponse : l’ERP Cloud

La première tranche de 20 % des entreprises les plus performantes est 39 % plus susceptible d’avoir adopté l’ERP Cloud pour accélérer et simplifier les processus comptables et financiers. Qu’en retire-t-elle ? Des données plus fiables et plus rapides, ce qui se traduit, bien sûr, par des décisions plus fiables et plus rapides.

Être en capacité de réfléchir et d’évoluer plus vite dans le cloud aide ces entreprises ultraperformantes à améliorer encore davantage leurs performances. En moyenne, elles sont :

  • 35 % plus susceptibles d’avoir une meilleure collaboration entre le service financier et les autres fonctions de l’entreprise ;
  • 40 % plus susceptibles de disposer d’un workflow standard pour la prise de décision ;
  • 52 % plus susceptibles d’être en capacité de faire le lien entre les performances et les processus de gestion.

Si vous allez encore plus loin dans les détails, vous observerez que les entreprises basées sur le cloud sont plus agiles que leurs pairs, grâce à :

  • une prise de décision 111 % plus rapide ;
  • une durée de cycle réduite de 111 %.

Imaginez disposer d’informations financières instantanées et précises, que vous pourriez partager avec les décideurs de toute l’entreprise. Quelles différences verriez-vous dans votre quotidien si vous pouviez résoudre les problèmes immédiatement, au lieu d’attendre d’être en possession des données dont vous avez besoin ? En quoi votre capacité à piloter l’entreprise serait-elle différente si vous disposiez de ce type d’informations et d’agilité ? Comment pouvez-vous observer des conclusions telles que celles présentées dans le rapport Aberdeen et ignorer les changements que vous devez apporter pour rester compétitifs ?

Rassurez-vous : parmi tous les changements à venir, le passage à l’ERP Cloud fait partie de ceux auxquels vous pouvez vous accommoder. En réalité, c’est peut-être même la seule façon de survivre.

Lisez l’article d’Aberdeen ici.

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Source de l’article sur sap.com

Les responsables financiers et leurs équipes subissent une pression considérable, particulièrement en périodes d’incertitude et de tourmente : on attend d’eux qu’ils fournissent des informations financières et opérationnelles cruciales (essentielles pour prendre des décisions) en un claquement de doigts.

Il s’agit de l’une des principales conclusions d’un récent rapport Aberdeen sur les défis auxquels sont actuellement confrontés les responsables financiers.

Il est juste de dire que, en tant que responsable financier, les opérations financières quotidiennes occupent toutes vos journées. Pourtant, l’entreprise s’attend également à ce que vous analysiez les montagnes de données et de détails qui atterrissent dans votre boîte de réception, et que vous prévoyiez avec précision l’avenir de l’activité. En réalité, plus qu’une simple attente, il s’agit d’un véritable besoin. Elle a besoin que vous connaissiez les investissements à faire et à éviter, ainsi que les priorités prioritaires. Vous êtes la personne qui doit élaborer les plans permettant de guider les stratégies de croissance.

En outre, et c’est là que les choses se corsent, vous devez vous attaquer à ce rôle organisationnel et stratégique, ainsi qu’à toutes les analyses, modélisations et prévisions sophistiquées qui l’accompagnent, avec les mêmes anciens systèmes financiers que ceux que vous utilisez depuis des années.

Autrement dit, vous devez pérenniser votre entreprise en pleine croissance avec des outils quasi obsolètes. Cependant, bien que cela ne soit qu’une maigre consolation, vous n’êtes pas la seule personne dans ce cas.

Le problème se complique lorsque l’on tient compte des défis fondamentaux liés à la fiabilité de ces données et à leur accès (à votre travail, somme toute). De fait, lorsque Aberdeen a demandé à vos homologues d’identifier les deux principaux défis à la réalisation de leur travail, ils ont répondu :

N° 1 : Il y a simplement trop de processus manuels entre eux et les informations dont ils ont besoin.

N° 2 : Lorsqu’ils mettent la main sur les données dont ils ont besoin, ils ne sont pas certains de leur exactitude.

Pour autant, votre entreprise a besoin que vous lui communiquiez des informations fiables et en temps réel.

Mais où sont les bonnes nouvelles ? 

Ce même rapport Aberdeen présente également quelques éléments rassurants, notamment les points communs des entreprises les plus performantes et ce qu’elles ont fait pour atténuer le problème.

Ces entreprises (les 20 % les plus performantes) utilisent un ERP basé sur le cloud pour garantir la rapidité, la sécurité, l’automatisation et l’exactitude des données. Elles migrent vers le cloud pour éliminer les processus manuels qui ralentissent leurs décisions et freinent leur croissance.

Mais qu’est-ce que le cloud ? Eh bien…

  • Imaginez pouvoir extraire les données de n’importe lequel de vos systèmes et les importer dans votre système de budgétisation…
  • Imaginez pouvoir automatiser ces importations, et ainsi disposer des données dont vous avez besoin, à l’endroit et au moment où vous en avez besoin…
  • Imaginez compiler les données et générer des rapports dans plusieurs langues et devises sans le moindre effort…
  • Imaginez recevoir des mises à jour en temps réel de vos métriques financières…
  • Imaginez avoir la certitude que les informations sur lesquelles vous vous basez pour élaborer vos prévisions et prendre des décisions sont exactes et à jour…

Cela augmenterait drastiquement votre productivité et vos profits. Les entreprises dont on parle ont pu observer un bond de 19,6 % de leur productivité au cours des deux dernières années, contre une baisse de 0,8 % pour toutes les autres entreprises. Par ailleurs, elles ont réussi à booster leur rentabilité de près de 16 %, tandis que les autres enregistraient une baisse de 2,6 %.

Si vous disposiez des mêmes outils que ces entreprises, d’un système ERP basé sur le cloud qui vous permette d’obtenir des données financières précises et en temps réel mais aussi de prendre des décisions stratégiques et d’accroître votre chiffre d’affaires et votre résultat, ou encore d’outils numériques pour affiner vos processus en permanence et améliorer les rouages de la fonction Finance, ce serait là une excellente nouvelle.

Lire l’article d’Aberdeen ici.

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Source de l’article sur sap.com

Continuing from part 2, let’s start this article with a bit of context first (and if you don’t like reading text, you can skip this introduction, and go directly to the section below where I discuss pieces of code).

Context

  • When we start an application program, the operating system creates a process.
  • Each process has a unique id (we call it a PID) and a memory boundary.
  • A process allocates its required memory from the main memory, and it manipulates data within a boundary.
  • No other process can access the allocated memory that is already acquired by a process.
  • It works like a sandbox, and in that way, avoids processes stepping on one another’s feet.
  • Ideally, we can have many small processes to run multiple things simultaneously on our computers and let the operating system’s scheduler schedule them as it sees fit.
  • In fact, this is how it was done before the development of threads. However, when we want to do large pieces of work, breaking them into smaller pieces, we need to accumulate them once they are finished.
  • And not all tiny pieces can be independent, some of them must rely on each other, so we need to share information amongst them.
  • To do that, we use inter-process communication. The problem with this idea is that having too many processes on a computer and then communicating with each other isn’t cheap. And precisely that is where the notion of threads comes into the picture.

The idea of the thread is that a process can have many tiny processes within itself. These small processes can share the memory space that a process acquires. These little processes are called « threads. » So the bottom line is that threads are independent execution environments in the CPU and share the same memory space. That allows them faster memory access and better performance.

Source de l’article sur DZONE