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SAP France poursuit son engagement en faveur d’une Tech au service de l’impact en accompagnant le programme, Les Ambitieuses Tech For Good, du réseau d’incubateurs La Ruche. Parce qu’en France, les femmes ne représentent que 9% des entrepreneurs dans le secteur des nouvelles technologies, La Ruche, avec l’aide de SAP, souhaite relever un défi de taille : réduire les inégalités femmes / hommes dans les nouvelles technologies.

Ce programme d’accélération à destination de startup à impact dirigées par des femmes, est soutenu par des mentors SAP qui les accompagnent et apportent leurs expertises pour les aider à se développer.

Au programme : parité, impact social et nouvelles technologies.

Via cette nouvelle collaboration aux côtés de La Ruche, SAP poursuit ses engagements en faveur de la parité Femmes/Hommes dans la Tech et compte sur ses collaborateurs volontaires pour accompagner pendant 9 mois une partie des 10 femmes entrepreneures retenues par La Ruche. L’objectif : les aider à développer leur startup sociale tant sur le plan opérationnel que stratégique grâce aux nouvelles technologies.

Les nombreux avantages du programme Les Ambitieuses Tech For Good :

  • Le programme se déroule à La Ruche, espace de travail collaboratif et spécialisé dans l’entrepreneuriat responsable.
  • Le programme d’accélération est sur mesure et assuré par La Ruche avec : 9 sessions de mentorat, 6 jours de workshop, des mises en relation avec des experts et une préparation intensive pour passer du business plan à la levée de fonds.
  • Un prix coup de pouce est décerné à la fin de l’accélération.

SAP France : un partenaire engagé et de longue date en faveur de l’entrepreneuriat tech au féminin.

Pour SAP, les technologies sont un facteur d’intégration et de développement au-delà de toute discrimination. Ainsi, le Groupe tire parti de son expertise et de ses talents comme effet de levier pour contribuer à résoudre des enjeux sociaux de premier plan et engage des partenariats diversifiés avec diverses structures associatives en impliquant ses collaborateurs. Sa participation au précédent programme Les Ambitieuses Tech For Good est une des nombreuses illustrations de l’engagement de SAP sur ces enjeux. Elle  a permis le développement de plusieurs beaux projets comme celui de Ewen Life en 2019 qui vise à soutenir la valorisation et la formation auprès de personnes atteintes de maladies rares dans la gestion de la maladie de manière émotionnelle et sociale. En 2020, le projet Aaliatech a mis en place un chatbot de traduction de langues des dialectes du milieu médical pour faciliter les échanges entre les médecins et les patients étrangers.

« Le mentorat mis en place par les équipes de SAP autour de nos entrepreneures Tech for Good, est un vrai outil d’accélération pour nos startups sociales ! L’écoute, la bienveillance et la pertinence des mentors mobilisés ont permis à Samah fondatrice de Aaliatech de bénéficier de retours concrets et motivants lui permettant de structurer efficacement sa stratégie commerciale. À La Ruche, nous sommes convaincus que la valeur d’un bon accompagnement réside dans la mobilisation des bonnes ressources au bon moment et les équipes de SAP ont su être ces ressources précieuses pour nos Ambitieuses Tech for Good lors de la précédente édition. » Gaspard Lefèvre, Responsable de programme incubation, La Ruche Paris

« Ce que l’accompagnement SAP4Good m’a apporté est une grande dose de soutien et d’encouragement dans la poursuite de mon projet. J’ai pu recevoir de précieux conseils d’experts avisés pour mieux appréhender les enjeux et défis liés à l’entreprenariat. C’est toujours un plaisir d’échanger avec les mentors : après nos sessions je repars avec un boost d’énergie et de bonne humeur ! » Samah Ghalloussi, CEO AALIA.tech

A qui s’adresse ce programme et comment postuler ?

Toute femme entrepreneure à impact, utilisant le numérique ou la Tech pour avoir un impact positif, ayant une première preuve de concept ou une solution aboutie et souhaitant accélérer le développement de sa startup peut postuler à la nouvelle édition Les Ambitieuses Tech for Good.

Les candidates peuvent déposer leurs dossiers de candidature ici jusqu’au 23 mars 2021 minuit. Les dossiers pré-sélectionnés pourront participer à des formations gratuites dédiées à booster la stratégie de développement, les 6 et 7 avril 2021, à Paris. Après des sessions de pitch en régions, les 10 startups sélectionnées commenceront leur programme d’accélération le 12 avril jusqu’au 31 décembre 2021.

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Source de l’article sur sap.com

We tend not to think about it, but the Internet has a physical dimension. It’s a complex network of wires, cables, servers, and technical odds and ends — if you really want to, you can track it down; doing so is particularly easy on small islands because there tends to be a single cable tethering the region to the wider world.

Those physical cables run all the way to your building, and although an ISP manages them, they are normally rented from public bodies as part of your national infrastructure.

Beyond the physical, international bodies govern protocols like ARP, IEEE, HTTP, NTP, FTP, and others, which control how data is transmitted through the network and keep everything playing nice.

Then, at the other end of the equation, there’s your device. It may be a phone, a tablet, a notebook, a desktop. It’s probably several of these. And because it’s your device, everything on it feels like yours. We tend to think of it as our method of accessing the Internet instead of being part of the Internet — in reality, it’s both.

On your device, the software you use to access the Internet is your browser. For 65% of people, that’s Chrome. Even if you’re reading this on Edge, it’s created with the Blink engine, an extension of Chromium, which is the basis for Chrome. In fact, almost every browser is built using a variation of Chromium, except those on Apple devices that require Apple’s own WebKit to be used instead.

Chromium is ostensibly open-source. WebKit is not, but both are geared towards their primary contributors’ business goals; neither Chromium nor WebKit will make a change that negatively impacts Alphabet or Apple.

Your browser is just a copy of a pre-compiled set of source files sat in a Git repo somewhere. You may have installed a few plugins in your browser. You may have bookmarked a few pages. You’ve probably moved it to your dock or your home screen. Those features are just nice add-ons for the GUI; what really matters is what decisions are made about how to render web technologies.

Imagine a world in which every single car used the same mid-range Ford engine. Add in a stereo, and paint it any color you like, you can even pick your own tires, but under the hood, it has to be that mid-range Ford engine. And the only justification is that it’s too much work to create an alternative.

The 2020s are going to be a time of enormous change. You can smell the panic in traditional banking sectors every time Cryptocurrency is mentioned. Real estate billionaires are desperately trying to get us back into offices we don’t want to return to. And yes, I’m sorry, but the climate crisis is looming, and it will force our hand. The values of a whole generation have been rapidly reassessed. Innovation and the potential for innovation are rife, except, ironically, on the Internet, where we’re still chugging away with the mid-range Ford engine under the hood.

The web has reached the point at which the browser engines we choose define real-world infrastructure. There’s a fork in the road: either browser engines are part of an infrastructure that should be rationalized into a single browser protocol, or alternative browser engines need to be nurtured, encouraged, and accessible by choice.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Nous entendons souvent des analystes conseiller aux entreprises de repenser, réorganiser ou même complètement transformer leurs business models.

Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Est-ce pertinent pour tous les types de produits, y compris les miens, qui ont toujours été vendus de la même manière aux clients ?

Les exemples de business models transformés et couronnés de succès sont nombreux et connus de tous :

  • Musique en streaming plutôt que sur CD physiques, d’ailleurs, vos enfants ont-ils même déjà entendu parler des CD et des vinyles ?
  • Vidéos en streaming (dans ma propre ville, il n’y a plus aucun magasin de location de films). Et les services de streaming remplacent même peu à peu la télévision traditionnelle. Le choix avant tout !
  • De plus en plus de voitures sont louées ou partagées, en particulier au sein de la jeune génération. La flexibilité compte, comme le fait de pouvoir louer une voiture plus grande le week-end, simplement au moment où on en a vraiment besoin.
  • Souvent, les logiciels ne sont plus vendus, mais proposés via des abonnements, même dans des environnements privés. Vous pouvez ainsi toujours profiter de la version la plus récente, offrant les dernières fonctionnalités, et de l’espace cloud associé pour stocker vos documents en toute sécurité et les partager avec vos amis. Y a-t-il jamais eu une autre façon de consommer les logiciels ?

Et certains de ces « nouveaux business models » ont non seulement remplacé les « business models traditionnels », mais aussi offert une place à de nouveaux acteurs sur le marché. Des startups inconnues ont silencieusement attaqué des marques bien connues, les contraignant à une position défensive.

Et l’histoire récente montre que ces modèles de consommation sont bien acceptés par les clients. Ce n’est plus seulement la qualité des produits qui compte, mais aussi le mode de consommation, le service et la fiabilité associés.

Envisager et tester des changements et des orientations complètement différentes en matière d’offres est vraiment une excellente idée. Il s’agit non seulement d’innover en matière de produits physiques et de fonctionnalités, mais aussi de façonner quelque chose de nouveau : un nouveau produit offrant une perspective étendue et une valeur accrue aux clients, avant que d’autres ne s’en chargent.

Mais il faudra pour cela surmonter un obstacle, lié au fait qu’un business model transformé à ce point changera non seulement la vie des clients, mais aussi votre entreprise, et ce par bien des aspects :

  • Façon d’interagir avec vos clients (directement et de manière bien plus rapprochée)
  • Nombre accru de clients et nécessité d’interagir directement avec eux
  • Processus de facturation (réguliers et non plus ponctuels)
  • Nouveaux modèles de tarification dans votre système (mensuels, basés sur l’utilisation, etc.) et automatisation de leur exécution et traitement
  • Gestion des abonnements et de la satisfaction client
  • Automatisation accrue des processus (facturation, relance, contrôle des factures, etc.)
  • Etc.

Il s’agit vraiment d’un changement complet de business model !

Bonne nouvelle : chez SAP, nous disposons non seulement de l’expertise nécessaire pour vous aider, mais aussi de solutions et de processus standardisés. Nombre de nos clients ont réussi à transformer leur entreprise et à se protéger vis-à-vis de nouveaux acteurs. Ils ont prouvé que c’était possible et sont parvenus à garder une longueur d’avance en matière d’innovation de business model.

Autre bonne nouvelle : les clients qui ont doté leur entreprise traditionnelle d’un business model moderne sont devenus plus forts et plus résilients face aux crises, quelles qu’elles soient. Ce n’est pas la seule raison qui doit vous pousser à penser autrement, et ce dès maintenant, mais il s’agit clairement d’un argument de poids.

Vous souhaitez obtenir les témoignages de nos clients et experts ?

Rejoignez-nous pour notre présentation BRIM (1), proposée dans le cadre du sommet virtuel SAP Finance and Risk, et découvrez les expériences et idées de nos clients et experts à travers leurs témoignages.

Nous sommes impatients de vous retrouver le 16 mars.


(1) BRIM est l’acronyme de Billing Revenue Innovation Management, pour gestion novatrice de la facturation et des revenus

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Source de l’article sur sap.com

A domain name is an essential element of every project, product, and company. It’s central to a brand and has a disproportionately large impact on user experience. Not only that, but it also impacts SEO and ultimately revenue.

Domain names are also one of the most commonly retailed elements in web technology, with most designers hoarding a small empire’s worth of domain names “just in case” the right side-project comes along.

Because so much of the information and advice on domain names is provided by companies selling domain names and is therefore not impartial, we wanted to bust some of the myths you’ll encounter.

Myth 1: Anyone Can Own a Domain Name

In fact, almost no one can own a domain name. As demonstrated by the (probably) annual renewal notices you receive, you are merely renting a domain name.

You pay a registrar, who registers the domain with ICANN (The Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) — or an entity to whom ICANN has delegated the responsibility for a particular TLD.

Even when renting a domain, you do not have the right to use it; thousands of UK-based businesses have had .eu domains stripped from them as a result of being removed from the EU.

Myth 2: There’s a Perfect Domain For Every Project

Domains do not have inherent value; they acquire value over time.

25 years ago, if you were building a search engine, the ‘perfect’ domain might have been search.com, find.com, or perhaps look.com — the particularly cynical might have opted for webads.com. You almost certainly wouldn’t have registered google.com because it says nothing about search.

Any domain name can acquire value through longevity, SEO, and branding

google.com acquired its value through a simple, relentless branding strategy and a generous dollop of luck.

Any domain name can acquire value through longevity, SEO, and branding.

Myth 3: Your Domain Name Should Contain Keywords

If you’re at the point of registering a domain name, either your business is new, or your digital strategy is. In either case, you have hopefully carried out keyword research, but without a live site, your keyword research hasn’t been validated. In other words, you don’t know what your keywords are.

Even if you’re confident that you know exactly what your keywords should be at this time, your keywords may change. The pandemic has required most businesses to pivot to some degree. eatoutny.com isn’t much use if legal restrictions have forced you to switch to a delivery business — unless you’ve also registered eatinny.com.

Furthermore, in the area of ecommerce, customers tend to view keyword-heavy domain names as budget options because they are like generic-brand goods. It may be that your business will only ever be a budget option, but it’s not a wise business decision to restrict your options.

There is an SEO benefit to keywords in a domain, but it is minimal and will almost certainly vanish in the next few years — even for EMD (Exact Match Domains) — because it is too close to gaming the system.

Myth 4: You Don’t Need a .com

As frustrating as it may be to seek out a .com you’re happy with, nothing says “late to the party” like a .biz domain.

A .co extension is slightly better in some regions because the .co.** format is commonly used; .co.jp for example. However, .co tends to be typed as .com by users accustomed to the more common format.

nothing says “late to the party” like a .biz domain

It’s possible to opt for pun-based names using regionally specific TLDs like buy.it, or join.in. This kind of strategy will play havoc with your local search strategy because computers don’t understand puns; you’ll potentially do quite well in Italy or India, though.

If you’re registering a domain for a non-profit, then .org is perfectly acceptable. However, carefully consider whether a domain is worth the lost traffic if you can’t also register the .com (because people will type .com).

The one exception is industry-specific TLDs that communicate something about the domain’s contents to a target demographic. For example, .design is a great extension for designers, and .io is fine for an app if it targets developers (i.e., people who understand the joke). You should also register the .com if you can, and if you can’t, carefully consider whom you’re likely to be competing with for SERPs.

This is not to say that anything other than a .com is worthless, just worth less than the .com.

Myth 5: A Trademark Entitles You to Register a Domain

Trademark registration and domain registration are two entirely different processes, and one does not entitle you to the other. This has been legally challenged a few times and fails far more often than it succeeds.

Trademarks are rarely blanket registrations, which means the trademark owner needs to declare the industry in which it will operate; there was no enmity between Apple Inc. and Apple Corp Ltd. until the former moved into music publishing and no one could download the White Album onto their iPod.

There is, however, a limited value in registering a domain that has been trademarked elsewhere. Not least because you will be competing against their SEO, and if they’re big enough to trademark a name, they’ve probably grabbed the .com.

Myth 6: Premium Domains Are a Good Investment

Premium domains are domains that have been speculatively registered in the hope of attracting a huge resale fee. The process is commonly referred to as ‘domain squatting.’

Domain squatters bulk-register domains in the hope that one of them will be valuable to someone. As a result, they are forced to charge exorbitant fees to cover their losses; a premium domain will cost anything from 1000–100,000% of the actual registration cost.

Setting aside the cost — which would be better spent on marketing — premium domains often come with legacy issues, such as a troubled search engine history, that you do not want to inherit.

Myth 7: A Matching Handle Must be Available on Social Media

The business value of a social media account varies from company to company and from platform to platform. Even if it is valuable to you, numerous marketing strategies will accommodate a domain name: prepending with ‘use,’ or ‘get,’ or appending with ‘hq,’ for example.

More importantly, it’s unwise to allow a third-party to define your long-term brand identity; sure, Facebook is huge now, but then so was the T-Rex.

Myth 8: You Need a Domain Name

A domain name is an alias, nothing more. You don’t actually need a domain name — what you need is an IP address, which a domain name makes human-friendly.

Think of domain names as an accessibility issue; humans are less able to read IP addresses than computers, and domains bridge the gap. (See how helpful accessibility is?)

While a domain name is beneficial, question whether a sub-domain or even an IP address would do. Registering a domain is an exciting stage of a project that many people never get past, leaving themselves with a huge collection of domains that they pay an annual fee for, and never actually develop.

What Makes a Good Domain Name

Now we’ve dispelled some of the myths surrounding domain names, let’s look at the key characteristics shared by good domain names:

A Good Domain Name is Brandable

A brandable domain is non-generic. It’s the difference between a sticky-plaster and a band-aid. Unique is good, rare is acceptable, generic is a waste of money.

A Good Domain Name is Flexible

Keep it flexible. Don’t tie yourself to one market or one demographic. Your domain name needs to work now and fifty years in the future.

A Good Domain Name is Musical

Six to 12 characters and two to three syllables is the sweet spot. Names in that range have a musical rhythm our brains find it easier to retain and recall.

A Good Domain Name is Phonetic

There are 44 word sounds in the English language. Other languages have similar totals. If you use a domain name that is pronounced phonetically, it will be easy to communicate.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Today’s world regards time as of paramount importance. This said, the disruptive tech-enabled innovations are foremost meant to save both business owners’ and users’ time. The industry of software development is based upon the same postulates – the sooner the better, provided that timely product deliverables are coupled with efficiency and convenience.

The Continuous Integration (CI) and Continuous Delivery (CD) practices are among popular software engineering industry trends that help cut costs, time, and risks associated with delivering changes. Yet another trend to optimize the industry lies in applying DevOps methods, oriented to increase the efficiency of development and operation processes, and to speed up product delivery.

Source de l’article sur DZONE

Paris, le 8 mars 2021​Le Village by CA Paris​, accélérateur de startups qui accompagne les grands groupes/ETI vers le futur de leurs industries, annonce la sélection de 6 startups pour la nouvelle promotion Femmes Entrepreneures lancée en partenariat avec ​Microsoft France via son programme ​Microsoft For Startups et ​SAP via son programme ​SAP.iO No Boundaries​. Elles ont passé avec succès le comité de sélection soutenues par quatre réseaux féminins : ​Femmes Business Angels​, ​Professional Women’s Network Paris​, ​#JamaisSansElles​ et ​Willa​.

6 startups lauréates

Le comité de sélection composé des partenaires du Village by CA Paris dont Stelllantis, Naval Group, Crédit Agricole Assurances, SAP, Microsoft… ont sélectionné les startups suivantes :

– Dolipharm

Dolipharm ​permet aux entreprises d’aller plus loin dans les domaines de la prévention des services de santé au travail. Elle développe une offre pour permettre aux salariés de

bénéficier du conseil du pharmacien, de la livraison de médicaments et des produits de parapharmacie, et des services associés, le tout sans quitter l’entreprise.

– Tarmac Technologies

Tarmac Technologies ​développe une plateforme permettant aux acteurs des opérations aériennes de collaborer et d’échanger leurs informations afin d’augmenter leurs performances opérationnelles et de repartir à l’heure et en toute sécurité.

– Refyld

Refyld​, développe des produits de soin, d’hygiène, d’entretien et d’alimentaire, sains et naturels, fabriqués en France, rechargeables à l’infini et vendus à prix coûtant grâce à une simple adhésion annuelle.

– Hkind

Hkind est une solution digitale qui facilite l’échange d’initiatives, de solutions et de bonnes pratiques entre celles et ceux qui font la santé d’aujourd’hui et de demain.

– Sweet Show

Sweet Show est une solution SAAS à destination des équipes Sales et Marketing BtoB, qui permet d’assurer le déploiement des offres tout en diminuant le temps perdu en tâches de Back Office et en garantissant une expérience client différenciante grâce à la data générée à chaque étape du cycle de vente.

– 3DIMO
3DIMO ​est une solution utilisant les nouvelles technologies connectées qui permet la

détection précoce des risques pour la santé chez les animaux d’élevage.

Un programme d’accompagnement global à la clé​
Les startups lauréates intégreront le Village by CA Paris pendant 2 ans (moyennant un loyer) et bénéficieront de programmes complémentaires délivrés par Microsoft et SAP.

Prochaine étape : ​La Pitch Party de présentation des startups lauréates se tiendra en septembre 2021.

« Nous sommes très heureux d’accueillir, au sein du Village By CA Paris, ces 6 startups créées ou co-crées par des femmes. Nous vous attendons en septembre prochain pour venir découvrir ces startups et ces femmes entrepreneures inspirantes. » déclare ​Fabrice Marsella, directeur du Village by CA Paris

« Félicitations aux 6 startups sélectionnées pour cette nouvelle édition de « Femmes Entrepreneures » ! A l’image de notre promotion Femmes de l’École IA Microsoft, nous sommes fiers de contribuer à des initiatives en faveur de la féminisation du secteur du numérique et d’accompagner leur croissance à l’international aux côtés de notre écosystème. » ​commente ​Agnès Van De Walle, Directrice de l’entité Partenaires et Startups de Microsoft France.

Quand on parle d’entrepreneuriat, on pense le plus souvent à des hommes. On manque de modèles féminins. Pourtant ils existent ! C’est tout l’objet de cette promotion : mettre à l’honneur les talents féminins qui dirigent de jeunes pousses prometteuses et les aider dans leur développement. Cette année, nous avons sélectionné des startups aux profils très variés. Leur point commun est bien sûr l’innovation mais pour beaucoup d’entre elles un impact positif.” ​explique ​Sébastien Gibier, Directeur SAP.iO Foundry Paris

 

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Source de l’article sur sap.com

Looking for something new to get you excited about design work? This list is packed with all kinds of goodies to help you feel inspired and ready to work.

Here’s what new for designers this month.

Top Picks for March

Same Energy

Same Energy, in beta, is a visual search engine. You can search with a minimum number of words or an image. The website is designed to help you find art, photography, decoration ideas, and practically anything. It uses deep learning and algorithms to create images on the home page, and you can create feeds in the same manner. The coolest part of this tool is that it tries to match the visual and artistic style you ask for with image mood and objects.

SVG Repo

SVG Repo is a collection of more than 300,000 SVG vectors and icons that you can download and use in projects for free (even commercial use). The site has a powerful search tool to help you find the right image, and the platform is designed so that you can contribute.

Penpot

Penpot is an open-source design and prototyping platform for cross-domain teams. It is a web-based tool that isn’t dependent on any operating system and works with open web standards. It’s designed to be zippy and interactive so your team can work fast.

Directual

Directual is a no-code platform for building scalable apps using a visual interface. (Perfect for designers with less development experience.) It includes integrations with other popular tools and is free to use while figuring out how the app works and how you can make it fit your business goals.

HTML Boilerplates

HTML Boilerplates helps you start web projects by generating a custom HTML boilerplate that you can download. Just choose the elements you want to include and then copy and paste the code into your editor.

6 Productivity Boosters

Rows

Rows is a spreadsheet tool with built-in web integrations that’s made for team collaboration. It works with other tools you already use, such as Google Analytics, Twitter, LinkedIn, Mailchimp, and so many others. Without scripts, you can use it to automate workflows, analyze data, share dashboards, and build forms and tools that make work simpler.

Form.Taxi

Form.taxi is a premium web-based form tool. You can create web forms without code or programming and connect them to your website. The tool then stores information, filters for spam, and notifies you of form submissions.

Verbz

Verbz is a voice productivity app that allows you to create notes, assign tasks, make announcements, run standups, or chat. Talk or type, listen or read. It works as your own voice assistant for teams. It’s available in Beta from the App Store, and there’s a waitlist for Android users.

Flameshot

Flameshot is a tool for grabbing screenshots. It has a customizable appearance, is easy to use, and lets you draw and edit screenshots as you work.

Kitemaker

Kitemaker is a collaboration tool for development processes. It can help you keep track of everything from tools such as Slack, Discord, Figma, and Github in one place. It helps you structure projects and keep discussions about work moving forward in one place.

This Code Works

This Code Works is a place to save code snippets that work for when you need them again. You can group and organize snippets and share with others. You might think of it as the “Pinterest of code.”

3 Icons and User Interface Elements

Sensa Emoji

Sensa Emoji is a collection of common emoji icons that you can use in your materials. Every element is fully vector and free to use.

Google Fonts Icons

Google Fonts now supports icons, starting with Material Icons. Choose between outlined, filled, rounded, sharp, or two-tone options in the open-source library.

Toolbox Neumorphism Generator

Toolbox Neumorphism Generator is a design tool that helps developers to generate CSS in the soft UI /neomorphism style for the elements with real-time output.

3 Tutorials and Demos

An Interactive Guide to CSS Transitions

An Interactive Guide to CSS Transitions explains everything you need to know about this great animation tool for website designers. This tutorial digs in with code and examples to help you create more polished animations and is designed for anyone from beginners to experienced designers with some pro tips throughout.

About Us Pop-Out Effect

The About Us Pop-Out Effect adds a special element to any team or contact page with a nifty pop animation. Each person seems to lift out of the circle frame in this pen by Mikael Ainalem.

Interactive Particles Text Create with Three.js

Interactive Particles Text Create with Three.js is a web element you could play with all day. Text shifts into particles and follows mouse movement in a fluid motion in the pen by Ricardo Sanprieto.

10 Fresh Fonts and Text Tools

Bitmap Fonts

Bitmap Fonts is a collection of various bitmap typefaces all pulled and stored in a single location. This is the perfect solution if you are looking for a bitmap option.

Uniwidth Typefaces

Uniwidth Typefaces for Interface Design is another collection of fonts for a specific purpose – here universal widths for interface design. Uniwidth fonts are proportionally-spaced typefaces where every character occupies the same space across different cuts or weights. This is both a tutorial on the type style as well as font collection.

Bubble Lemon

Bubble Lemon is a typeface for projects with a childlike feel. With an outline and regular style, the thick bubble letters look like some of the sketches you may have done in grade school.

Core Font

Core Font is an open-source project with a funky and modern style. It has a full upper- and lower-case character set, numerals, and a few punctuation marks.

GHEA Aram

GHEA Aram is a superfamily with a Central European flair, according to the type designer. The premium typeface includes everything from light to black italic and even some Armenian ligatures.

Make Wonderful Moments Duo

Make Wonderful Moments Duo is a script and sans serif font pair with a lighthearted feel and highly readable character set. The regular (sans serif) only has uppercase characters.

Ribheud

Ribheud is a slab-style display font with a heavy look and strong presence. What makes it interesting is the left-outline/shadow on each character.

Rose Knight

Rose Knight has an old-style feel that can take on multiple moods, depending on supporting design elements. All of the characters are uppercase with alternates. It could make a fun branding option.

The Glester

The Glester is a beautiful premium typeface in a calligraphic style. The most interesting element of this typeface is all of the extra decorations that allow you to change individual characters (380 glyph alternates).

Velatus

Velatus is a vintage-style typeface with plenty of swashes and flourishes that make it unique. It comes with 157 characters and 96 glyphs.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Avant d’aborder le sujet de l’ERP Cloud, rappelons ce qu’est un ERP. Introduit dans les années 90, le progiciel de gestion intégré (ERP) est un logiciel qui automatise les processus, que ces derniers relèvent de la finance, distribution, production, etc. Initialement, les systèmes ERP étaient souvent implémentés chez les clients, dans leurs centres de données. Ils étaient alors axés sur l’automatisation et l’orchestration des activités et des ressources internes. Au fil du temps, ils ont évolué pour s’adapter aux nouveaux besoins.

Plus récemment, la technologie cloud computing est arrivée et les logiciels ont été davantage distribués sous forme de services, via internet. L’ERP, comme beaucoup d’autres applications, a migré dans le cloud. Logiciel en tant que service (SaaS), l’ERP Cloud est disponible par abonnement plutôt qu’à l’achat. Mais l’ERP Cloud ne se limite pas à un nouveau modèle de distribution et de tarification. S’il rencontre aujourd’hui un tel succès, c’est parce qu’il aide les entreprises à prospérer à l’ère du numérique.

Pourquoi l’ERP Cloud ?

Pendant plus de 25 ans, les systèmes ERP ont apporté de la valeur aux entreprises, en les aidant à augmenter leur productivité et à obtenir une visibilité accrue. Mais le monde (et la concurrence) a changé.

La façon dont les entreprises fonctionnent et créent de la valeur est différente aujourd’hui. Elles sont d’abord sous pression pour automatiser leurs opérations. Quand elles ont déjà une certaine maturité numérique, comme beaucoup de grandes entreprises, elles cherchent à optimiser et changer leurs processus. Ainsi que des opportunités pour continuer à croître et à s’étendre. Les entreprises travaillent également davantage en réseau. Elles s’appuient sur des partenaires pour la production, distribution, gestion des ventes, le service, le support… et même pour leurs activités principales.

Ce monde globalisé et connecté exige de nouvelles technologies et systèmes, capables de gérer les opérations internes et externes, ainsi que les réseaux d’entreprises dans le monde entier. Et l’ERP Cloud rend tout cela possible, permettant aux entreprises de tirer parti des changements et d’être plus agiles.

En parallèle, les clients, de plus en plus férus de numérique, sont plus exigeants. Ils veulent des livraisons plus rapides, des offres continuellement améliorées, une fiabilité accrue et des coûts réduits.

Les anciens ERP ne peuvent plus suivre le rythme. Pourquoi ? Parce qu’ils ne s’adaptent pas facilement au changement, reposent sur une technologie à la maintenance coûteuse. Et aussi parce qu’il est peu probable qu’ils aident les entreprises à se conformer aux nouvelles réglementations.

Résultat : la plupart des anciens systèmes ERP peinent à fournir la vitesse, la flexibilité et la business intelligence nécessaires à la transformation, croissance et compétitivité des entreprises.

Comment l’ERP SaaS a-t-il évolué ?

Au début des années 2000, les applications cloud étaient surtout des solutions autonomes. Des outils de gestion de la relation client (CRM), de marketing automation, de gestion des notes de frais et des déplacements, etc.

Au milieu des années 2000, les principaux éditeurs de logiciels ont lancé leurs solutions d’ERP Cloud. Beaucoup avaient des fonctionnalités limitées et n’avaient pas été fondamentalement conçues pour le « cloud ». Une grande partie de ces solutions ont été adoptées lentement. Parce qu’elles étaient trop rigides, ne pouvaient suivre la rapidité du changement ni apporter la profondeur de fonction requise. Elles ne pouvaient pas non plus s’intégrer ou se connecter à différents systèmes ou données, limitant de fait la portée du changement et la croissance des entreprises.

Les systèmes ERP d’aujourd’hui ont considérablement changé la donne. Tout comme la courbe d’acceptation et d’adoption de l’ERP Cloud. Pourtant, il reste important de distinguer les systèmes ERP conçus pour le cloud de ceux qui simplement opèrent sur le cloud.

Pourquoi l’ERP Cloud est-il aujourd’hui si important ?

Les entreprises à forte croissance se sont souvent imposées comme des spécialistes dans leurs secteurs, grâce à des relations étroites avec leurs clients et fournisseurs, davantage de processus automatisés, et un besoin constant d’optimiser l’efficacité de leurs ressources et de passer à l’étape suivante de leur croissance. Les nouveaux environnements ont également entraîné un besoin d’innovation plus rapide. Ce qui a souvent créé un créneau pour ces entreprises, qui deviennent des spécialistes travaillant dans un petit ensemble de marchés verticaux, tels que la production de métaux pour l’aérospatiale ou les services de distribution aux restaurants.

Pour croître plus rapidement, ces entreprises doivent se développer dans de nouveaux marchés, lancer de nouveaux produits et services, faire des acquisitions et réagir aux échecs de leurs concurrents. Répondre à ces changements et saisir les opportunités au moment opportun est crucial. Un ancien système ERP rigide et difficilement extensible limitera la croissance et les changements positifs.

De même, la coopération entre les services est essentielle. Mais les systèmes de reporting indépendants – souvent basés sur des fichiers Excel, extraits de données ou systèmes cloisonnés – compliquent l’échange d’informations. Ils entraînent aussi des retards et des erreurs dans les opérations. Or, le partage efficace d’informations est vital pour prendre rapidement de bonnes décisions.

Aussi, les dirigeants sont souvent très soucieux des coûts. Et la constitution de réserves au bilan pour développer l’entreprise exige un examen du fonds de roulement, des dépenses d’exploitation et des investissements. Pourtant, de nombreux systèmes comptables hérités peinent à gérer ces détails. Et peinent aussi à se connecter au système comptable élargi ou à l’ERP. Les anciens outils et systèmes ne répondent pas aux besoins actuels, ne contribuent pas à l’efficacité opérationnelle et ne sont pas structurés ou maintenus pour répondre aux nouvelles exigences.

Enfin, si les entreprises sont promptes à adopter des solutions technologiques qui améliorent leurs opérations, beaucoup ont investi dans des solutions déconnectées pour résoudre des problèmes spécifiques à un service ou à un secteur. Ils ont par exemple investi dans des systèmes de gestion de la production (MES), de gestion des services de terrain, ou des logiciels de centre d’appels. Cette approche peut conduire à des dépenses importantes. Mais aussi à une grande complexité, lorsque ces solutions se connectent difficilement au système ERP. L’ERP Cloud, avec ses nouvelles technologies et ses avantages, change tout cela et offre une intégration harmonieuse.


Les systèmes modernes d’ERP Cloud améliorent le flux de travail grâce à des processus rationalisés, ce qui aide les entreprises à fournir un meilleur service à la clientèle, à identifier les opportunités d’upselling et à améliorer le cycle « order to cash ».


Quels sont les 10 principaux avantages de l’ERP Cloud ?

Les entreprises qui sont passées à l’ERP Cloud l’ont fait pour les avantages suivants :

  1. Réduction des coûts: en tant que service par abonnement, il n’y a pas de frais initiaux pour l’achat et l’installation du matériel et des logiciels. De plus, vous réduisez les coûts informatiques et les frais de personnel. En effet, les mises à niveau et la maintenance sont prises en charge par le fournisseur. Selon le modèle de déploiement de l’ERP Cloud que vous choisissez – cloud privé ou public – les économies peuvent être significatives. Le cloud public, en particulier, permet d’importantes économies financières et de temps dans la gestion de la maintenance.
  2. Implémentation rapide et flexible : la mise en place d’un ERP Cloud est très rapide. Votre fournisseur SaaS s’occupe des installations de matériel et de logiciels et met à disposition un personnel spécialisé dans la gestion des centres de données. Tout comme les applications mobiles que nous connaissons tous, la même interface utilisateur intuitive et la même expérience sont disponibles dans les applications d’ERP Cloud. Cela vous permet de saisir les opportunités en gagnant rapidement en productivité. La maîtrise des applications est rapide, l’automatisation prévaut, et le lancement de nouveaux produits dans de nouveaux secteurs et environnements devient facile.
  3. Amélioration des opérations : les fournisseurs d’ERP en mode SaaS gèrent et fournissent des mises à jour continues du système. Ils améliorent les opérations, changent les processus obsolètes, introduisent des innovations, technologies et fonctionnalités qui soutiennent les meilleures pratiques. L’ERP Cloud améliore et accélère, non seulement les pratiques financières et comptables, mais les opérations dans toute l’entreprise. Et peut même s’étendre aux partenaires et aux réseaux.
  4. Simplicité et automatisation : les entreprises peuvent consolider d’anciennes applications autonomes, standardiser et intégrer toutes les applications existantes et nouvelles. Elles peuvent aussi éliminer l’utilisation de systèmes déconnectés et les solutions de contournement qui existent sur les feuilles de calcul Excel. Cette synchronisation aide à réduire la complexité.
  5. Nouvelles fonctionnalités : les fournisseurs de SaaS gèrent le logiciel qui est partagé par toutes les entreprises qui l’utilisent. Cela permet aux fournisseurs de développer rapidement de nouvelles fonctions, améliorations. Et de les fournir à toutes les entreprises par le biais de mises à jour continues, ainsi que plusieurs nouvelles versions plus importantes par an. Comme les mises à jour sont livrées à tout le monde en même temps, vous ne manquez jamais une opportunité comme par le passé. Lorsque vous attendiez que votre fournisseur mette à jour votre système ERP personnalisé.
  6. Visibilité accrue : obtenir des insights nécessite des données et des outils d’entreprise fiables pour extraire les informations pertinentes. Les ERP Cloud modernes ont été conçus pour déverrouiller le big data. Afin que vous puissiez accéder aux informations cachées dans des ensembles de données vastes et complexes. Les bons systèmes d’ERP Cloud sont construits sur des modèles de données plus récents qui permettent un traitement en mémoire à grande vitesse, avec une architecture de données simplifiée. Et si les anciens systèmes ERP fournissent des outils de reporting, les analyses approfondies et intégrées disponibles via le cloud améliorent la prise de décision et les bénéfices dans toute l’organisation. Voir les tendances, prévoir les changements et automatiser les processus améliorent l’utilisation des ressources et, finalement, le service à la clientèle.
  7. Prise en charge de l’ERP mobile : Les produits ERP en mode SaaS garantissent que l’accès aux informations pour les collaborateurs, les sous-traitants, les fournisseurs et les clients est disponible et sécurisé sur les appareils mobiles, partout et à tout moment. La mobilité ne peut pas être pensée après coup. Accéder à des interfaces modernes, conçues pour s’adapter aux écrans mobiles, est important pour les utilisateurs.
  8. Accès aux nouvelles technologies : Des technologies avancées et intelligentes sont intégrées dans les solutions ERP SaaS modernes pour améliorer la productivité. Ces technologies comprennent l’Intelligence Artificielle (IA), le Machine Learning, et l’Internet des Objets (IoT). Ce dernier permet notamment à des dispositifs (machines ou capteurs) d’envoyer des données à des applications via le cloud.
  9. Une sécurité renforcée : Avec les systèmes ERP Cloud, la sécurité et les sauvegardes de données sont assurées par des experts en sécurité à plein temps. Les fournisseurs de cloud computing disposent généralement de la meilleure sécurité de données qui existe. Les failles de sécurité dans les grandes et moyennes entreprises se produisent généralement avec des systèmes sur site. Cependant, une chaîne n’est pas plus solide que son maillon le plus faible. Pour éviter la vulnérabilité aux points d’intégration, les systèmes ERP Cloud doivent être complets, connectés et collaboratifs.
  10. Scalabilité : Comme la croissance peut être difficile à prévoir, la scalabilité est importante. Avec une solution SaaS, vous pouvez simplement ajouter une puissance de calcul ou une capacité de stockage de données supplémentaire. Ce qui vous évite d’engager des dépenses d’investissement importantes.

BONUS : avec l’ERP Cloud, si les entreprises utilisatrices identifient des problèmes communs ou des besoins non satisfaits, elles peuvent pousser le fournisseur à apporter des changements. La volonté de la foule prévaut souvent. En conséquence, l’innovation est plus réactive et plus rapide.

L’ERP Cloud est-il sûr ?

Avec toutes les actualités concernant les violations de données et les virus, on peut se demander si l’ERP Cloud est sécurisé. De fait, aucun système n’est inviolable. Mais le degré de sécurité de votre système dépend de la manière dont il a été déployé et de qui le gère.

Voici quelques points clés à prendre en compte :

  • Vol de données : C’est probablement l’un des sujets les plus brûlants de l’actualité. De grandes entreprises ont vu leurs données volées et les informations privées de leurs clients compromises. Toutefois, l’examen des cas de violations de données montre que ces dernières étaient, le plus souvent, stockées dans les locaux de l’entreprise, et non dans le cloud.
  • Perte de données : Perdre des fichiers est une chose terrible. Mais cela peut arriver lors d’une catastrophe naturelle, d’un effacement de données par erreur ou d’une panne informatique. L’unique solution pour s’en prémunir est de faire des sauvegardes régulières. Avec l’ERP Cloud, les fournisseurs d’infrastructures effectuent des sauvegardes hors site régulières et de manière redondante. En cas de perte de données, il est facile de les restaurer pour que le système soit rapidement remis en marche.
  • Sécurité : il est de la plus haute importance d’avoir le bon niveau de sécurité. Les ETI disposent généralement d’un personnel informatique limité. Ce personnel s’occupe généralement de l’infrastructure, des mises à jour du système et des problèmes des utilisateurs. Les PME, quant à elles, disposent très rarement d’un personnel de sécurité informatique à plein temps. Avec un fournisseur d’ERP Cloud réputé, les PME/ETI ont automatiquement des experts en sécurité à plein temps. Disponibles 24 /24 et 7/7, ils s’assurent que toutes les mises à jour et procédures de sécurité sont réalisées.

Compte tenu de ce qui précède, l’ERP Cloud constitue une option plus sûre qu’un déploiement sur site.

Ne remettez pas à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui

L’ERP Cloud est une solution éprouvée et mature. Aujourd’hui utilisée par des milliers d’entreprises dans le monde, et probablement par bon nombre de vos concurrents.

Pour la majorité des ETI et grandes entreprises, la migration vers le « cloud » est une étape inévitable pour passer au niveau supérieur. Les avantages de processus accélérés, d’une visibilité accrue et d’un retour sur investissement plus rapide peuvent être vérifiés par des rapports d’analystes (de Gartner, Aberdeen, Forrester, etc.) et par des exemples de réussite de clients de votre secteur.

Publié en anglais sur SAP Insights

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Source de l’article sur sap.com

business optimisationIn my previous article from this series I shared the logical view of the business optimisation use case for retail stores.

The process was laid out how I’ve approached the use case and how portfolio solutions are the base for researching a generic architectural blueprint.

Source de l’article sur DZONE

In my previous article from this series I introduced a use case around business optimisation for retail stores. 
The process was laid out how I’ve approached the use case and how portfolio solutions are the base for researching a generic architectural blueprint.
The only thing left to cover was the order in which you’ll be led through the blueprint details.

This article starts the real journey at the very top, with a generic architecture from which we’ll discuss the common architectural elements one by one.

Blueprints review

As mentioned before, the architectural details covered here are base on real solutions using open source technologies. The example scenario presented here is a generic common blueprint that was uncovered researching those solutions. It’s my intent to provide a blueprint that provides guidance and not deep technical details.

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