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Il ne fait aucun doute que la durabilité transforme l’économie mondiale. La diminution des ressources planétaires, le changement climatique, la division sociale et économique, l’évolution des préférences des consommateurs, l’activisme des employés, l’augmentation des réglementations et la baisse de la confiance institutionnelle conduisent tous à ce que les organisations soient de plus en plus mesurées en fonction de leur objectif ainsi que du profit. Et c’est bon pour les affaires.

 

Agir de manière socialement responsable renforce la réputation de la marque d’une organisation. Les demandeurs d’emploi et les consommateurs veulent aujourd’hui soutenir les organisations qui défendent quelque chose d’important et qui ont un impact positif sur la société dans son ensemble. Les investisseurs mettentdavantage l’accent sur les objectifs de développement durable en mettant davantage l’accent sur l’impact social. Les droits de l’homme et les réglementations environnementales se multiplient rapidement. Tout cela exige une approche plus durable de la part des PDG et des chefs d’entreprise.

 

Les gens, la planète et la prospérité

 

Lorsque vous entendez le mot durabilité, la première chose à laquelle vous pensez peut-être est le recyclage ou la durabilité environnementale, mais la durabilité va bien au-delà de l’élimination des bouteilles d’eau à usage unique et de la réduction de la consommation de combustibles fossiles. Une approche holistique de la durabilité intègre la durabilité sociale, environnementale et économique – ou les personnes, la planète et la prospérité.

 

Les organisations reconnaissent de plus en plus la nécessité de se concentrer autant sur la durabilité sociale, ou sur les personnes, qu’elles l’ont été sur la durabilité économique et environnementale – les trois ensemble soutiennent et stimulent la durabilité de l’entreprise. Les gens constituent la société, ont un impact sur l’environnement et alimentent l’économie. Les gens sont au cœur de toute stratégie visant à progresser vers les objectifs de développement durable. Dans le milieu de travail d’aujourd’hui, les RH ont à la fois la possibilité et la responsabilité de veiller à ce que les employées soient au centre du travail en créant un environnement dans lequel la main-d’œuvre et l’organisation peuvent s’épanouir.

 

People Sustainability Is Emerging as a New Strategic Business Imperative

 

Définir la durabilité sociale

La durabilité sociale se concentre sur le traitement de ces dernières – celles qui font partie de la main-d’œuvre d’une organisation, à travers leurs chaînes d’approvisionnement et dans les communautés dans lesquelles elles opèrent – de manière éthique et équitable.

 

Tout comme la durabilité environnementale et économique qui nécessitent une préservation et une utilisation prudentes des ressources naturelles et financières, la durabilité sociale nécessite de traiter les personnes et le potentiel humain comme des ressources précieuses qui doivent être soutenues et valorisées pour favoriser la résilience, l’agilité et la réalisation des objectifs de durabilité.

 

Les entreprises qui accordent la priorité à la durabilité sociale, en créant un impact social et en créant une culture plus diversifiée et inclusive, sont en mesure de stimuler l’engagement et la productivité des employés. Ils sont également mieux placés pour attirer et retenir les talents. Penny Stoker, leader mondial des talents chez EY, explique comment la durabilité sociale est au cœur de la construction d’un monde du travail meilleur.

 

Déballer les  six piliers de la durabilité sociale

 

L’équipe SAP SuccessFactors HR Research a identifié six domaines distincts, ou piliers, qui comprennent la durabilité sociale. Bien que les domaines soient distincts, il est également clair qu’il existe un chevauchement entre ces piliers. Au centre de tout cela, bien sûr, se trouve la culture – car elle dicte tant de comportements à la fois à l’intérieur et à l’extérieur d’une organisation. Découvrons un peu ces domaines dans le contexte des processus RH et des ressources humaines.

 

Santé et sécurité

Au minimum, vous devez vous assurer que la main-d’œuvre est à l’abri des risques physiques pour la santé et la sécurité et a accès aux nécessités de base. Votre processus d’intégration offre-t-il aux nouvelles recrues une formation et un équipement de sécurité appropriés dès le premier jour ? Avez-vous une visibilité sur l’ensemble de vos effectifs, y compris leurs emplacements ? Savoir qui et où se trouve votre personnel à tout moment vous permet de réagir rapidement en temps de crise et de fournir un soutien en cas de besoin.

 

Diversité, équité et inclusion

Ici, l’accent est mis sur le traitement juste et équitable de chaque individu, quel que soit son groupe d’identité sociale ou son système de croyances, et sur la garantie qu’il ressent un véritable sentiment d’appartenance. Êtes-vous en mesure d’attirer et d’engager des demandeurs d’emploi d’horizons divers ? Avez-vous un processus de sélection et d’entretien standardisé ? Offrez-vous une transparence salariale ? Mesurez-vous et suivez-vous les objectifs de diversité, d’équité et d’inclusion ?

 

Bien-être et équilibre

Au-delà de la santé et de la sécurité de base, ce domaine vise à garantir que le bien-être holistique des employés – psychologique, social, financier et professionnel – est prioritaire et soutenu avec les outils et les ressources nécessaires. Offrez-vous un ensemble complet d’avantages sociaux avec des options intéressantes ? Vos employés se sentent-ils à l’aise de se mettre entièrement au travail ? Avez-vous favorisé une culture de dialogue continu entre les managers et leurs subordonnés ?

 

Confiance et transparence

Ici, l’accent est mis sur le fait que les employés ont une voix, comprennent comment les décisions clés qui les affectent sont prises et font confiance à leur organisation pour agir de manière éthique. Écoutez-vous régulièrement vos employés et agissez-vous en fonction des commentaires qu’ils fournissent ? Avez-vous établi des politiques et des processus pour l’utilisation éthique des technologies intelligentes et la confidentialité et la protection des données ? Publiez-vous publiquement des indicateurs de diversité ?

 

Autonomisation et croissance

Ici, les employés reçoivent la clarté, le soutien et les outils nécessaires pour développer leurs compétences et sont habilités à influencer leur trajectoire de carrière. Offrez-vous des options d’apprentissage inclusif pour répondre aux besoins et aux préférences d’apprentissage d’une main-d’œuvre diversifiée ? Assurez-vous que les managers fournissent des commentaires équitables et exploitables à leurs équipes ? Offrez-vous un accès équitable aux opportunités de développement ?

 

Objectif organisationnel et RSE

Dans ce dernier pilier, l’organisation travaille activement à redonner et à avoir un impact positif sur le monde ; les employés sont encouragés à participer et se sentent dynamisés par la mission et les valeurs de l’organisation. Assurez-vous que les objectifs individuels sont alignés sur les objectifs de l’entreprise pour accroître le sens du but et le sens du travail ? Offrez-vous à votre personnel l’espace nécessaire pour poursuivre ses passions ?

 

Que peuvent faire les organisations pour favoriser la durabilité sociale ?

 

Dans la plupart des organisations aujourd’hui, différentes parties de l’entreprise dirigent ces efforts avec une connaissance ou une collaboration minimale des stratégies des autres. Cependant, nous devons commencer quelque part. La première étape la plus logique est de comprendre où vous en êtes aujourd’hui. Avez-vous une stratégie unifiée – au moins sur certains de ces piliers ? Commencez les conversations et commencez à briser les silos organisationnels.

 

Donnez la priorité aux gens, et la planète et la prospérité suivront. C’est ce que signifie être une organisation résiliente, axée sur les résultats et axée sur les personnes. Une organisation non seulement équipé pour répondre aux besoins commerciaux d’aujourd’hui, mais qui s’adapte aux besoins commerciaux de demain.

 

Pour en savoir plus, regardez une rediffusion du discours d’ouverture de SuccessConnect, Libérez le pouvoir du potentiel humain et changez le travail pour de bon.

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Kim Lessley est  global director of Solution Marketing chez SAP SuccessFactors.

Mots-clés: Ressources Humaines,

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Source de l’article sur sap.com

SAP NEWSBYTE – 24 octobre 2022 – SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé la réalisation d’une nouvelle enquête qui révèle que les principaux décisionnaires s’attendent à ce que les problèmes et les perturbations sans précédent de la chaîne d’approvisionnement, auxquels les entreprises américaines sont confrontées depuis des années, ne soient pas encore terminés.

Plus de la moitié (52 %) des personnes interrogées pense que leur chaîne d’approvisionnement doit encore être améliorée et près de la moitié (49 %) s’attend à ce que les problèmes actuels de la chaîne d’approvisionnement durent jusqu’à la fin de 2022. Une personne sur trois affirme qu’ils dureront jusqu’à la fin de l’été 2023. Voici pourquoi :

L’agitation politique mondiale est le principal facteur à l’origine des problèmes actuels de la chaîne d’approvisionnement. Les chefs d’entreprise déclarent que les problèmes rencontrés actuellement sur leur chaîne d’approvisionnement sont principalement dus à l’instabilité politique mondiale (58 %), au manque de matières premières (44 %) et à la hausse des coûts du carburant et de l’énergie (40 %). Seuls 31 % ont cité l’inflation comme un facteur important.

Le coût reste un problème alors que les entreprises rattrapent les pertes de revenus dues à la pandémie. Les entreprises n’étaient pas préparées à ce changement radical du comportement d’achat des consommateurs pendant la pandémie et en ont subi les conséquences financières. Environ la moitié des chefs d’entreprise ont constaté un impact financier dû aux problèmes de chaîne d’approvisionnement depuis le début de la pandémie, notamment :

  • Une diminution des revenus (58%)
  • Obligation de prendre de nouvelles mesures de financement, comme des prêts commerciaux (54 %)
  • Impossibilité de payer les employés (50 %)
  • Des loyers impayés (42%)

Afin de couvrir les coûts supplémentaires liés aux problèmes de chaîne d’approvisionnement, les chefs d’entreprise sont plus nombreux à déclarer qu’ils ont dû recourir au gel des salaires et des recrutements (61%) et à la suppression de postes (50%). Seuls 41% ont choisi d’augmenter le prix de leurs produits/services.

L’impact des problèmes de chaîne d’approvisionnement sur la période des fêtes en 2022

La saison des achats pour les fêtes en 2021 a été tout sauf normale, les chaînes d’approvisionnement ayant été sur-sollicitées. Bien que de nombreuses entreprises aient commencé à se préparer, des questions subsistent quant à la manière dont cette année se déroulera.

Commençons par les consommateurs. Une étude réalisée par SAP auprès de 1 000 consommateurs américains a révélé que près de la moitié d’entre eux (45 %) déclare que le prix est le principal facteur qu’ils prennent en compte dans leur décision d’achat et que 73 % considère qu’il s’agit du troisième facteur le plus important. Avec l’inflation qui fait grimper les coûts et une récession potentielle qui inquiète les consommateurs, il n’est pas surprenant que 65 % prévoit de réduire le budget de dépenses pour les fêtes et que 54 % s’attend à ce que l’inflation ait un impact sur la façon dont ils achèteront leurs cadeaux de Noël, 39 % faisant davantage d’achats en ligne.

Les chefs d’entreprise anticipent la tendance des achats en ligne, 73 % d’entre eux prévoyant une augmentation du volume du commerce électronique cette saison par rapport à l’année dernière. Pour vendre leurs propres produits, les chefs d’entreprise prévoient de miser sur ces points de différenciation :

– La rapidité de la livraison (64%)

– Excellent service client (57%)

– Disponibilité des produits (52%)

– Références en matière de durabilité (47%)

– Réductions de prix (42%)

– Fabrication aux États-Unis (38%)

Les entreprises fortifient leurs chaînes d’approvisionnement pour l’avenir

Toutes les entreprises ont déclaré que leur chaîne d’approvisionnement devait être améliorée dans une certaine mesure, et elles procèdent à des changements importants pour se préparer aux perturbations futures et fortifier leurs chaînes d’approvisionnement. Les chefs d’entreprise prévoient :

– d’adopter de nouvelles technologies pour surmonter les difficultés (74 %)

– de mettre en œuvre de nouvelles mesures d’urgence (67 %)

– de donner la priorité aux solutions de chaîne d’approvisionnement basées aux États-Unis (60 %)

– de trouver de nouvelles solutions de chaîne d’approvisionnement qui soient respectueuses de l’environnement (58 %).

Près de deux entreprises sur trois (64 %) passent d’une chaîne d’approvisionnement “juste à temps” à une chaîne d’approvisionnement “juste au cas où”, en augmentant la quantité de stocks qu’elles entreposent. En fait, 63 % pensent que les États-Unis devraient adopter cette approche pour surmonter les crises potentielles de la chaîne d’approvisionnement.

« Le passage au “juste au cas où” signifie que les entreprises vont entreposer davantage de stocks pour répondre à la demande des clients, mais cela signifie également une augmentation des coûts », selon Scott Russell, Membre du Conseil Exécutif de SAP, Customer Success. « La gestion de la chaîne d’approvisionnement est un exercice d’équilibre constant. Au cours des deux dernières décennies, l’approche “juste à temps” a troqué la résilience contre l’efficacité et la réduction des coûts, ce qui a fragilisé la chaîne logistique. La pandémie et l’effet boule de neige des perturbations connexes ont révélé cette fragilité, ce qui a amené les organisations à se recentrer sur la résilience. Pourtant, le coût reste un facteur, surtout dans le contexte économique actuel. La technologie peut aider les entreprises à trouver le bon équilibre en permettant une collaboration en temps réel entre les partenaires commerciaux. »

SAP aide les entreprises à répondre à la demande grâce à une meilleure visibilité sur des opérations réparties dans le monde entier, à une meilleure collaboration avec les partenaires commerciaux et à une meilleure connaissance des risques, tout en opérant de manière plus durable.

C’est là que les réseaux d’entreprise entrent en jeu. Pour plus d’informations sur la façon dont SAP peut aider à renforcer la résilience de la chaîne d’approvisionnement avec SAP Business Network, visitez le site sap.com/businessnetwork.

Les résultats sont basés sur une enquête menée fin août et début septembre 2022 auprès de 400 hauts responsables de la logistique et de la stratégie de la chaîne d’approvisionnement de petites, moyennes et grandes entreprises basées aux États-Unis.

 

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SCM est un industriel indépendant né de la cession de la filiale oil and gas du groupe américain TE Connectivity. Suite à cette transaction, l’entreprise sarthoise avait un an pour basculer vers son propre ERP. Elle a opté pour une offre cloud SAP S/4HANA aux fonctionnalités resserrées sur l’essentiel, afin de tenir des délais de mise en place particulièrement courts. Avec l’aide des équipes de delaware, SCM a atteint ses objectifs en à peine 6 mois.

Une société presque centenaire, qui retrouve son indépendance

Systèmes et Connectique du Mans – SCM – conçoit, produit, teste, livre et installe des connecteurs électriques de puissance et optiques adaptés à des environnements extrêmes de corrosion, température et pression. La société travaille principalement pour des acteurs du secteur pétrolier et gazier (elle équipe notamment des plates-formes d’extraction en mer), mais également des clients des secteurs de la défense, du transport ferroviaire et de l’aéronautique. Elle s’appuie sur un site industriel moderne de 14.400 m². SCM emploie aujourd’hui environ 140 personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 20 millions d’euros.

L’histoire de SCM est intimement liée à celle de CKB (Carier Kheops Bac), entreprise reprise en 2012 par TE Connectivity. Lorsque le groupe américain annonce la délocalisation des activités de sa filiale, les salariés reprennent la main, avec le lancement de SCM en avril 2021. La filiale oil and gas de TE Connectivity utilisait l’ERP SAP ECC 6 du groupe. Suite à la cession d’actif, SCM disposait d’une année pour mettre en place son propre ERP.

Autre contrainte, la nécessité de basculer d’un système SAP conçu pour une multinationale et massivement customisé vers une solution plus simple, adaptée à une ETI française. Le tout dans un contexte de fin de vie programmée de SAP ECC.

Un projet mené à bien dans des délais records

Sur les conseils de SAP et de l’intégrateur delaware, SCM opte pour une migration vers une solution SAP cloud de dernière génération, au travers de l’offre RISE with SAP S/4HANA. Le projet démarre le 22 septembre 2021. Afin de limiter la conduite du changement, l’entreprise choisit de rester dans un premier temps en SAP GUI, comme le permet l’offre RISE with SAP S/4HANA. Les impacts du changement d’ERP sont ainsi minimisés. Un important travail de nettoyage des données a également été mené, afin de se concentrer sur les seules informations nécessaires au fonctionnement de la nouvelle structure.

Le démarrage du nouveau système a été effectif le 26 mars 2022, après seulement 6 mois de travaux. SCM a pu commencer à utiliser immédiatement son ERP SAP S/4HANA : émission des premières factures, enregistrement des réceptions de produits et des mouvements de stock, saisie des validations de qualité, etc. Aucun incident majeur n’a été remonté depuis ce lancement express de la solution SAP S/4HANA en mode cloud.

Satisfait de l’accompagnement proposé par delaware tout au long du projet, SCM a décidé de lui confier la tierce maintenance applicative de son ERP pour les 15 prochains mois. Dans un premier temps, la société s’appuiera sur cette TMA pour stabiliser son système d’information SAP et lui apporter quelques premières améliorations.

« Nous sommes passés d’un groupe international disposant de 90 sites dans le monde à une entreprise industrielle sarthoise d’un peu plus de 100 personnes. Il nous fallait un ERP adapté à ce nouveau contexte : une solution plus simple, capable d’aller à l’essentiel. Au cours du projet, nous avons pris le temps de déterminer quelles fonctionnalités nous étaient vraiment utiles et lesquelles étaient de l’ordre du confort (des sujets que nous étudierons ultérieurement) ce qui nous a permis de mettre en place notre nouvel ERP dans des délais particulièrement courts, » témoigne Frédéric Kleindienst, président de SCM.

« SCM est l’exemple d’une entreprise qui souhaite bénéficier de la force d’un ERP tel que celui de SAP sans y ajouter les contraintes. La nouvelle version S/4HANA Cloud de SAP est adaptée aux PME/ETI car elle allie une couverture fonctionnelle standard riche et une simplicité de gestion et d’utilisation de par son prisme SAAS. La binôme SAP – delaware permet de faire bénéficier à SCM d’un système reconnu partout dans le monde tout en y ajoutant la flexibilité et la réactivité attendues par une PME/ETI. C’est le modèle SAP tel que nous le définissons pour les 15 prochaines années à venir » déclare Lahcen Binoumar, Head of General Business, SAP France.

« Ce projet était un énorme challenge. Nous avons réussi à basculer vers l’ERP SAP S/4HANA en seulement 6 mois, alors qu’il faut habituellement entre 10 et 12 mois. Nous avons pu compter sur les équipes de delaware, qui nous ont accompagnés tout au long de ce projet, mais aussi sur nos équipes internes et nos utilisateurs, particulièrement matures sur l’environnement SAP. Afin de tenir les délais, nous avons opté pour un ERP resserré, que nous améliorerons par la suite, en lui ajoutant des fonctionnalités qui nous permettront de travailler encore plus confortablement, » détaille Mickaël Medard, directeur de programme, et supply chain Management, SCM

« Nous avons su mettre en place une solution de pointe, dans des délais particulièrement courts. Nous entretenons des relations étroites avec nos clients, afin de mieux comprendre leurs besoins et de leur apporter un service de qualité. La symbiose a ici été parfaite entre nos équipes, celles de SAP et de SCM. En optant pour l’offre RISE with SAP S/4HANA, la bascule vers le cloud a par ailleurs été grandement simplifiée, SAP devenant le point de contact unique pour la contractualisation, la mise à disposition et le maintien en conditions opérationnelles des infrastructures cloud, » résume Fatsah Nasri, chef de projet et Aymeric Fosset, Partner, delaware France.

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SAP NEWSBYTE – 2 septembre 2022SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui le lancement d’un nouveau système de reconnaissance des partenaires utilisant leurs compétences ainsi que les résultats des clients comme principales mesures de la performance. Competency Framework du programme SAP® PartnerEdge® met en valeur l’expérience et les compétences des partenaires afin d’améliorer la satisfaction des fournisseurs, des partenaires et des clients.

Les partenaires SAP jouent un rôle déterminant dans la réussite de la transformation numérique de nos clients”, a déclaré Karl Fahrbach, Chief Partner Officer, SAP SE. “C’est pourquoi nous voulons faciliter au maximum l’identification des partenaires les mieux adaptés aux besoins des clients. De plus, cela permettra à SAP de récompenser et de reconnaître les investissements des partenaires dans des pratiques de livraison de haute qualité, favorisant l’adoption et la réussite des clients.”

Ce cadre, qui constitue une évolution du programme SAP® PartnerEdge®, aidera les partenaires à différencier et à mettre en valeur leurs compétences et expérience – en fonction de leur connaissance des solutions, des consultants et de leur succès auprès des clients – afin de générer de la visibilité et mettre en valeur ce qu’ils font le mieux.

Plus précisément, le lancement du nouveau cadre de compétences permettra :

  • de reconnaître les partenaires pour la maturité de leurs pratiques et la priorité qu’ils accordent à la valeur des clients sur le long terme, en fonction de leur expertise et spécialisation dans les domaines de solutions et les zones géographiques.
  • d’aider les partenaires à rester en avance sur les besoins des clients grâce à un processus de désignation automatisé qui leur permet d’identifier les désignations atteintes à risque en fonction de leurs réalisations et de leurs performances quotidiennes, qui seront visibles dans le portail SAP for Me, que les partenaires utilisent pour gérer leurs relations avec les clients et SAP.
  • les nouveaux logos de marque des partenaires SAP sont intégrés à l’outil SAP Partner Finder qui affiche toutes les compétences des partenaires afin que les clients puissent les rechercher et les faire correspondre à leurs objectifs de transformation.

 

Le cadre de compétences de SAP® PartnerEdge® permet aux partenaires de mettre en avant leur expertise et aide les clients à identifier les partenaires ayant les compétences adéquates pour répondre à leurs besoins commerciaux“, a déclaré Paul Edwards, directeur, Software Channels & Ecosystems, IDC, un cabinet d’analystes industriels. “En lançant ce nouveau modèle, SAP donne la priorité aux partenaires et au travail qu’ils accomplissent pour favoriser la réussite des clients.”

Dans ce cadre, les partenaires seront classés selon deux aspects : la compétence et la spécialisation.

Pour commencer, il y aura sept compétences qui s’aligneront sur la solution ou les secteurs d’activité, comme la gestion du capital humain, qui auront trois niveaux progressifs : essentiel, avancé et expert. Au sein de chaque compétence, les partenaires peuvent avoir des spécialisations au niveau du produit ou du processus, comme la gestion des talents. La performance des partenaires dans chaque compétence sera mesurée et atteinte dans trois domaines, y compris les connaissances d’expert, la réussite du client et la compétence.

Ce changement assurera les bases de meilleurs résultats pour les partenaires et les clients qui seront assurés que le partenaire choisi possède à la fois les connaissances nécessaires et une expertise éprouvée pour fournir la solution spécifique dont ils ont besoin.

Découvrez ce que nos partenaires ont à dire ici.

 

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Plusieurs événements ont complètement bouleversé le statu quo ces dernières années. Inutile de les rappeler, vous l’avez sans doute remarqué par vous-même. Notamment au moment où, en tant que responsable financier, on vous a demandé d’apporter votre aide continue pour piloter la stratégie globale de votre entreprise (en plus, bien sûr, de votre travail quotidien qui consiste à gérer chaque centime dépensé par la société).

Les choses changent, c’est une évidence. Mais la véritable question est : avez-vous été en mesure de vous adapter ?

Notez que j’ai dit : « avez-vous été en mesure de vous adapter ? ». Car il est fort probable que votre capacité à suivre le rythme des évolutions du marché ne dépende pas d’un manque de volonté. Mais plutôt, comme de nombreuses autres entreprises, de solutions ERP ou financières, qui ne sont potentiellement pas assez agiles pour vous permettre de vous adapter à des bouleversements soudains.

 

Selon un récent rapport Aberdeen intitulé « Le pilier de l’agilité des fonctions Finance et Comptabilité », les entreprises se rendent compte que les solutions sur site ne sont tout simplement pas à la hauteur. Et si vous êtes condamné à travailler avec ces systèmes hérités, chaque jour est un constat de leur ancienneté et de leur manque de flexibilité :

 

  • La budgétisation et la prévision prennent trop de temps et de ressources.
  • Les processus de gestion ne sont pas adaptés à la volatilité des marchés.
  • L’évolution des demandes client dépasse la capacité de votre organisation à changer.

 

De quelles solutions disposez-vous ? Comment êtes-vous censé faire évoluer les systèmes, processus et politiques de votre entreprise de façon suffisamment rapide pour rester au fait des changements mondiaux qui vous imposent cette évolution ?

C’est le genre de question qui empêcherait de dormir les responsables financiers les plus aguerris. La réponse vous intéresse ? Consultez le rapport Aberdeen. Ou cette page sur l’ERP Cloud. Vous connaîtrez enfin la réponse.

La réponse : l’ERP Cloud

La première tranche de 20 % des entreprises les plus performantes est 39 % plus susceptible d’avoir adopté l’ERP Cloud pour accélérer et simplifier les processus comptables et financiers. Qu’en retire-t-elle ? Des données plus fiables et plus rapides, ce qui se traduit, bien sûr, par des décisions plus fiables et plus rapides.

Être en capacité de réfléchir et d’évoluer plus vite dans le cloud aide ces entreprises ultraperformantes à améliorer encore davantage leurs performances. En moyenne, elles sont :

  • 35 % plus susceptibles d’avoir une meilleure collaboration entre le service financier et les autres fonctions de l’entreprise ;
  • 40 % plus susceptibles de disposer d’un workflow standard pour la prise de décision ;
  • 52 % plus susceptibles d’être en capacité de faire le lien entre les performances et les processus de gestion.

Si vous allez encore plus loin dans les détails, vous observerez que les entreprises basées sur le cloud sont plus agiles que leurs pairs, grâce à :

  • une prise de décision 111 % plus rapide ;
  • une durée de cycle réduite de 111 %.

Imaginez disposer d’informations financières instantanées et précises, que vous pourriez partager avec les décideurs de toute l’entreprise. Quelles différences verriez-vous dans votre quotidien si vous pouviez résoudre les problèmes immédiatement, au lieu d’attendre d’être en possession des données dont vous avez besoin ? En quoi votre capacité à piloter l’entreprise serait-elle différente si vous disposiez de ce type d’informations et d’agilité ? Comment pouvez-vous observer des conclusions telles que celles présentées dans le rapport Aberdeen et ignorer les changements que vous devez apporter pour rester compétitifs ?

Rassurez-vous : parmi tous les changements à venir, le passage à l’ERP Cloud fait partie de ceux auxquels vous pouvez vous accommoder. En réalité, c’est peut-être même la seule façon de survivre.

Lisez l’article d’Aberdeen ici.

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Source de l’article sur sap.com

Le cœur du système d’information d’Atos, comprenant 42 systèmes et 500 interfaces, a été basculé vers le cloud Microsoft Azure, au travers de l’offre RISE with SAP. Un projet mené en seulement 9 mois par les équipes d’Atos.

Atos est un des leaders mondiaux des entreprises de services du numérique, avec une présence dans 71 pays et un effectif de 105.000 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel de près de 11 milliards d’euros. Atos est un acteur engagé : partenaire des Jeux olympiques et paralympiques depuis 2001, le groupe met également en œuvre une stratégie net-zéro visant à la fois à atteindre la neutralité carbone en interne, mais aussi à proposer des services et produits décarbonés à ses clients.

Jusqu’alors, Atos hébergeait son système d’information dans ses propres datacenters, dont l’ERP Nessie. Une offre basée sur des solutions SAP, ayant basculé en 2020 vers l’ERP Intelligent SAP S/4HANA. Fin 2020, l’entreprise a décidé de migrer Nessie vers le cloud.

« Plusieurs raisons ont mené à ce choix, explique Frédéric Aubrière, DSI groupe d’Atos. Chaque changement opéré sur un SI on-premise se traduit par des dépenses d’investissement (CAPEX), qu’il faut valider auprès de la direction financière. Avec le cloud, la discussion peut se recentrer sur les seules dépenses d’exploitation (OPEX), ce qui participe à lever certains verrous. En déléguant la gestion des infrastructures à un hyperscaleur, nous libérons également des ressources IT internes, qui peuvent se concentrer sur leur cœur de métier. Enfin, la crise sanitaire a démontré que la flexibilité apportée par le cloud était un atout pour les entreprises. »

Un des arguments mis en avant par Atos est que le cloud est devenu suffisamment mature pour supporter des workloads critiques. « Pendant longtemps, le cloud a été réservé à des systèmes connexes, l’ERP restant hébergé sur site. Aujourd’hui, le cœur du SI n’est plus un terrain interdit au cloud. J’estime qu’il peut et doit basculer vers le cloud. » En migrant le cœur de son système d’information vers le cloud, Atos entend lancer un message fort en direction des entreprises qui hésiteraient encore à adopter ce modèle de déploiement. Le projet est donc particulièrement stratégique pour le groupe. « Ce que nous avons réalisé avec notre SI, nous pouvons le faire pour celui de nos clients », confirme Frédéric Aubrière.

Un projet mené à bien en seulement 9 mois

Atos a mis en œuvre tout son savoir-faire – et la force de frappe de ses nombreux experts – pour réaliser cette migration en un temps record. Le choix s’est porté sur l’offre RISE with SAP, avec un déploiement effectué sur les infrastructures Microsoft Azure de Francfort. Un choix stratégique là encore, les serveurs utilisés dans ce datacenter Microsoft étant des Bull Sequana S. Du matériel conçu par Bull, filiale d’Atos, et certifié SAP, avec des instances pouvant atteindre les 12 To en scale up (et plus d’une centaine de téraoctets en scale out).

Le projet a démarré fin 2020. Dès avril 2021, le système de test basculait en live, suivi par les instances de développement et de qualité. L’instance de production est entrée en fonction le 13 septembre 2021, soit environ 9 mois après le début du projet. Un tour de force de la part d’Atos. Si l’ERP a été migré sans modifications majeures, le périmètre du projet reste en effet particulièrement important. « Nous avons migré notre ERP vers le cloud, mais aussi l’ensemble des systèmes connexes gravitant autour de lui », explique Frédéric Aubrière. Au total, 42 systèmes ont été migrés et 500 interfaces. 5000 tests ont été effectués afin de couvrir un large spectre de cas d’utilisation.

« Hormis quelques ajustements dans les paramètres de connexion, la bascule a été transparente pour les utilisateurs. Le portail MyAtos est toujours accessible de la même façon et permet toujours d’accéder aux mêmes services. Notre SI est par ailleurs toujours aussi stable et performant. » Les performances des infrastructures correspondent jusqu’à maintenant au cahier des charges d’Atos, avec un SLA de 99,7% et un RPO très proche de zéro (30 minutes). « Nous allons exécuter un dry run du DRP dans les prochains mois, afin de mesurer le délai de reprise d’activité de notre SI », confie le DSI d’Atos.

SAP BTP et décarbonisation en ligne de mire

Avec son contrat unique, l’offre RISE with SAP est un facteur de simplification lors du passage au cloud. « Avoir un unique contrat, signé en direct avec SAP, nous permet de nous affranchir de la complexité de la tarification des hyperscaleurs, confirme Frédéric Aubrière. C’est une forme de contrat plus confortable pour les clients et apportant une meilleure prédictibilité sur les coûts. RISE with SAP nous permet également de conserver notre code et nos applications. Il permet de basculer vers le cloud de façon non violente, en respectant les processus et spécificités du groupe. »

Une fois le SI stabilisé et les processus calés entre SAP et Atos, l’entreprise compte travailler sur la prochaine génération de son ERP. Au menu, un nettoyage du code spécifique et son adaptation à la SAP Business Technology Platform (SAP BTP). En parallèle, une connexion avec certains services Microsoft Azure sera mise en place. Autre tâche confiée à la DSI d’Atos, la décarbonation du fonctionnement de sa nouvelle plate-forme cloud. L’élasticité propre aux infrastructures cloud devrait permettre au groupe d’ajuster les ressources au plus près des besoins. L’objectif d’Atos est d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2028.

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Source de l’article sur sap.com

Après avoir adopté l’ERP SAP S/4HANA, METEX NØØVISTAGO a souhaité améliorer son processus d’élaboration budgétaire. Une tâche confiée à SAP Analytics Cloud Planning, déployé par le Groupe KPC.

METEX NØØVISTAGO est un acteur industriel à la pointe de la bio-industrie.L’entreprise produit des ingrédients fonctionnels (principalement des acides aminées à ce jour) par fermentation pour le marché de la nutrition animale et bientôt de la cosmétique : 1 usine, 100KT d’acide aminées par an, 200M€ de CA annuel, et 350 salariés.

En juin 2020, METEX NØØVISTAGO a déployé un nouveau système d’information en mode greenfield, comprenant l’ERP intelligent SAP S/4HANA, un data warehouse SAP BW/4HANA et l’outil d’analyse de données SAP Analytics Cloud. « Un changement de taille pour METEX NØØVISTAGO,qui avait travaillé pendant 35 ans sur IBM AS/400 », explique Paul Stoffaes, DSI de l’entreprise.

Reste un processus qui n’avait pas été refondu : la planification budgétaire. « Le processus de forecast était réalisé sur Excel, ce qui était long, laborieux et source de nombreuses erreurs. Le contrôle de gestion passait plus de temps à consolider les données qu’à les analyser. Quant au processus d’élaboration budgétaire, il était encore plus fastidieux ».

METEX NØØVISTAGO a donc décidé de mettre en place une solution capable de livrer des prévisions au mois, à l’année et sur plusieurs années, avec une agilité permettant l’intégration aisée de nouveaux produits ou de nouveaux processus. L’objectif est de libérer du temps au contrôle de gestion, afin qu’il puisse se focaliser sur son cœur de métier, l’analyse et le pilotage.

SAP Analytics Cloud Planning déployé sur l’élaboration budgétaire

La société a confié la modélisation de son processus à l’un des modules de SAP Analytics Cloud, le module de Planning. « L’utilisation de SAP Analytics Cloud Planning permet de faciliter l’intégration avec l’ERP SAP S/4HANA, constate Paul Stoffaes. Il y a également une certaine logique à l’utiliser, car nos collaborateurs connaissent déjà SAP Analytics Cloud dans le cadre de la Business Intelligence. »

Le déploiement de la brique Planning de SAP Analytics Cloud a été confié à KPC : « Ils ont bien compris nos enjeux et ont su proposer un déroulé de projet et une méthodologie adaptés, ainsi qu’un chiffrage lisible. Leur capacité à s’engager au forfait sur un planning serré a également été une des raisons du choix de KPC. » METEX NØØVISTAGO avait en effet fixé comme contrainte une réalisation du projet dans un délai restreint de 5 mois.

Le cœur fonctionnel de la solution mise en place est un P&L présenté par produit, accompagné de plusieurs modèles de simulation. Chaque équipe dispose de son propre accès à la solution, afin d’y faire remonter ses données et prévisions : commerciaux, production, achats, logistique… Les informations sont synchronisées chaque jour – dans les deux sens – entre les référentiels SAP S/4HANA, SAP BW/4HANA et SAP Analytics Cloud, au travers de SAP Data Hub.

Voici le détail du processus mis en place :

  • L’équipe de vente fait remonter ses informations : volumes, prix, commissions…
  • L’équipe en charge des achats définit les prix moyens pondérés.
  • L’équipe de production travaille en parallèle sur la définition des nomenclatures.
  • Le contrôle de gestion pilote l’ensemble du processus, en intervenant lorsque nécessaire.

Un projet réussi, qui renforce l’adoption de SAP Analytics Cloud

« De notre point de vue, le projet est une réussite, résume Paul Stoffaes. Il a été mené à bien dans les délais, avec un budget maîtrisé. KPC a su faire preuve d’une solide expertise fonctionnelle et technique. Nous avions séparé le projet sous forme de lots, permettant de dispatcher les livrables tout au long du développement, ce qui s’est avéré très confortable. »

Quels bénéfices a identifié METEX NØØVISTAGO?

  • Des gains de productivité, avec une réduction de la durée du processus et une plus grande autonomie des parties prenantes.
  • Des gains en fiabilité, les données étant extraites puis remontées directement depuis et vers l’ERP SAP S/4HANA.
  • Des gains de flexibilité : « Auparavant, évaluer chacune des hypothèses pouvait tourner rapidement au cauchemar. Aujourd’hui, nous sommes beaucoup plus sereins. »

Le tout avec comme résultat global une amélioration des prévisions. Mais aussi un bénéfice inattendu : un intérêt renouvelé des collaborateurs pour SAP Analytics Cloud. « L’utilisation de SAP Analytics Cloud Planning a poussé certains utilisateurs à se pencher sur SAP Analytics Cloud BI », confirme Paul Stoffaes. La DSI s’attendait à une adoption rapide de SAP Analytics Cloud Planning par les utilisateurs de SAP Analytics Cloud BI. La fertilisation a finalement aussi été constatée dans l’autre sens !

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Source de l’article sur sap.com

Réduire l’empreinte carbone d’un produit nécessite une vision de bout en bout de son cycle de vie. Pour cela, il est nécessaire de casser la barrière IT existant entre la conception et la supply chain. SAP et Siemens proposent des intégrations avancées entre PLM et ERP. Avec Atos, ils s’allient pour aider les industriels à relever le défi climatique.

Les industriels sont confrontés à un triple défi : proposer des produits toujours plus complexes, dans des délais toujours plus serrés, tout en réduisant leur empreinte carbone. Le bilan de la COP26 de Glasgow est sans appel : constater la réalité du changement climatique ne suffit plus, il faut agir. Histoire de compliquer la situation, la raréfaction des matières premières s’ajoute aujourd’hui à l’urgence climatique.

Le sujet de l’empreinte carbone est crucial pour trois raisons principales :

  • Les clients sont toujours plus nombreux à demander comment sont fabriqués les produits qu’ils achètent et quelle est leur empreinte carbone. Une empreinte que l’entreprise doit être capable de mesurer.
  • La législation devient de plus en plus contraignante, poussant ainsi les entreprises à être plus vertueuses en matière d’environnement. Mais également à mettre en place des outils montrant la réalité de leurs actions dans ce domaine.
  • La RSE met en exergue le sens des responsabilités des entreprises. La green line (empreinte écologique) devient progressivement aussi importante que la top line (revenus) et la bottom line (marges).

Une problématique à traiter de bout en bout

« L’Union Européenne veut réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55% en 2030 et vise la neutralité carbone en 2050. 2030, d’un point de vue industriel, c’est presque aujourd’hui, constate Denis Goudstikker, Teamcenter Business development Executive chez Siemens Digital Industry Software. À ce jour, un tiers des entreprises se sont fixé un objectif zéro émission, mais seulement 9% de ces entreprises ont réellement lancé des actions en vue de les réduire. »

Pour qu’un produit ait un impact environnemental minimal, il faut l’optimiser de bout en bout, de la conception à la production en passant par son utilisation et son recyclage. « La plupart des entreprises se concentrent uniquement sur les émissions liées à leur activité, explique Olivier Everaert, Head of Green PLM chez Atos. Elles ne prennent pas en compte l’ensemble du cycle de vie du produit et de sa chaîne de valeur, ce qui mène à des résultats sous-optimaux. Il faut penser en termes de réseau, où tous tendent vers un but commun, du fournisseur de matière première à l’industriel… et jusqu’au consommateur. »

« La réduction des impacts environnementaux commence dès la conception du produit, enchaîne Bruno Hemery, Head of Siemens partnership, SAP France. Elle se poursuit avec les approvisionnements (matières premières, emballage, etc.). Puis lors de la fabrication : produire mieux permettra d’avoir moins de rebuts en bout de chaîne et de consommer moins d’énergie. La logistique peut aussi être optimisée, en regroupant par exemple les approvisionnements de plusieurs fournisseurs (parfois concurrents) devant livrer un même client. Il faut également être capable de mieux connaître l’usage des produits, ce qui permettra de les améliorer au fil des versions. Enfin, d’autres éléments sont à prendre en compte, comme le recyclage et l’économie circulaire. »

Les actions en faveur de l’environnement ne sont pas forcément des investissements coûteux. Réduire la quantité de déchets générée lors de la production se traduit ainsi par une diminution des besoins en matière première et donc un abaissement des coûts de revient.

SAP et Siemens, artisans de la continuité numérique

Pouvoir prendre en charge l’ensemble du cycle de vie d’un produit nécessite de casser une barrière dans le système d’information de l’entreprise, celle séparant la conception, pré carré du PLM, et les fonctions finance, achat, production, vente, prises en charge par l’ERP. « Il faut décloisonner ces deux mondes, afin de mettre en place une continuité numérique, confirme Bruno Hemery. L’information pourra ainsi circuler dans les deux sens, la conception influant sur la supply chain et – partie innovante – la supply chain et l’usage du produit pouvant influer plus directement sur la conception. La continuité numérique permet également de s’assurer que l’information est identique des deux côtés. »

Le partenariat annoncé le 14 juillet 2020 entre SAP et Siemens vise à donner corps à ce concept de continuité numérique. Il s’est traduit par la livraison de nouvelles intégrations entre les offres de Siemens et de SAP. « Cette intégration fine entre nos deux plateformes donne une compréhension de l’ensemble du cycle de vie d’un produit permettant de s’assurer dès sa conception que l’on va dans la bonne direction, tout en restant compétitifs. La clé de la réussite est d’être capable d’amener des processus vertueux et compétitifs, » résume Denis Goudstikker.

Par ailleurs, la réduction de l’empreinte carbone passe souvent par de l’innovation. C’est le cas par exemple lorsqu’un constructeur automobile adopte des motorisations électriques ou à hydrogène. « La continuité numérique permet de créer des conditions favorables à l’adoption d’innovations, tout en maîtrisant le risque et en préservant la compétitivité de l’organisation, poursuit Denis Goudstikker. C’est un environnement qui permet de se préparer à n’importe quel scénario. »

Des ateliers pédagogiques animés par Atos

Atos sait diagnostiquer la chaîne de valeur des entreprises, afin de les aider à mettre en place une supply chain durable. Chaîne de valeur dont la visibilité et la transparence seront assurées par la mise en place d’une continuité numérique. La grande majorité des entreprises restent toutefois au début de cette transformation. Atos propose des ateliers pédagogiques gratuits leur permettant de mieux comprendre les applications pratiques de cette approche.

« Nous présentons une vingtaine de cas d’usages qui couvrent l’ensemble du cycle de vie d’un produit et nous montrons quelle est leur contribution sur l’empreinte carbone, détaille Olivier Everaert. Lors du premier atelier, les participants sont invités à nous faire remonter leur avis sur ces cas d’usage. Sont-ils applicables à leurs métiers ? Semblent-ils valables ? Peuvent-ils être améliorés ? Le second atelier permet de faire une plongée sur quelques cas d’usage sélectionnés, puis de discuter avec les participants de leur feuille de route de transformation. »

Ces ateliers d’idéation mettent l’accent sur le codéveloppement des cas d’usages et la cocréation des trajectoires de transformation des entreprises. Un premier brainstorming avant le passage à l’action…

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Source de l’article sur sap.com


Regard croisé : pourquoi SAP S/4HANA est un ERP intelligent ?

Qu’est-ce qu’une Entreprise Intelligente et qu’est-ce qu’un ERP Intelligent ?

Pierre-Édouard Hamon, SOA People, et Christian Charvin, SAP, partagent leur vision de l’évolution du SI des entreprises.

Aujourd’hui, la plupart des entreprises ont à leur disposition un certain volume de données qu’elles n’exploitent pas. Cela représente pourtant une richesse qui permettrait aux organisations de mieux comprendre leur activité et leur marché. Être une Entreprise Intelligente, c’est savoir exploiter ces données afin d’optimiser son organisation, automatiser ses processus et se mettre en ordre de marche afin de relever de nouveaux défis.

Pierre-Édouard Hamon 

 

C’est la raison d’être de l’ERP Intelligent SAP S/4HANA. Cette nouvelle génération d’ERP simplifie l’accès à la donnée et en assure l’exploitation en temps réel. SAP S/4HANA propose des avancées clés pour aider les équipes au quotidien : le reporting opérationnel intégré et la gestion par exceptions permettent aux utilisateurs de se concentrer sur les points nécessitant une attention particulière ; la gestion avancée des workflows, associée à des fonctions collaboratives, fluidifie les échanges entre utilisateurs.

Christian Charvin

 

Une porte ouverte vers les nouvelles technologies

 

Le fait que l’ERP propose des tableaux de bord où l’information utile est directement remontée aux utilisateurs rend l’ERP SAP S/4HANA particulièrement facile à utiliser. Ceci permet de se concentrer sur les tâches les plus urgentes et aide à la prise de décision. Son interface de nouvelle génération est très proche de celles utilisées dans les applications desktops et mobiles du quotidien. Un atout pour accélérer la prise en main de l’ERP.

De nouvelles technologies permettent d’aller encore plus loin. Le RPA permet ainsi d’améliorer l’automatisation des processus, en mettant en place des robots capables de prendre en charge les tâches répétitives, libérant ainsi du temps aux équipes métiers. Le Machine Learning et l’Intelligence Artificielle s’appuient sur l’historique de données de l’entreprise pour prédire son futur. Ces technologies de forecasting automatique sont directement intégrées dans l’ERP.

Lorsque les entreprises vont mettre en œuvre ces technologies intelligentes, elles pourront s’appuyer sur des préconfigurés adaptés à leur secteur d’activité. Cela leur évitera de partir d’une feuille blanche et de se lancer dans l’inconnu. Y compris en cas de déploiement de l’ERP en mode cloud.

Pierre-Édouard Hamon

 

Cap vers le cloud !

 

Le cloud devient le mode de déploiement majoritaire des utilisateurs d’ERP SAP. Depuis le début de l’année 2021, 80% des clients SAP optent pour un déploiement de leur ERP SAP S/4HANA en mode cloud. Le cloud permet d’avoir une meilleure prédictibilité sur les coûts, de déléguer la gestion des infrastructures à des spécialistes et de disposer d’une flexibilité sans égale permettant d’adopter de nouvelles technologies et fonctionnalités au fil des besoins. Sans compter que le cloud est accessible de partout et permet donc une utilisation facilitée de l’ERP sur des sites distants, en mobilité ou en télétravail.

Christian Charvin

 

L’offre RISE with SAP permet de profiter de tous les avantages du cloud sans avoir à gérer la complexité de la relation avec les hyperscalers. Le contrat est directement pris en charge par SAP, qui se charge de garantir la disponibilité, la sécurité et la flexibilité de la solution, avec une prédictibilité totale sur les coûts. RISE with SAP permet de bénéficier de tous les avantages du cloud, avec une mise en œuvre rapide au travers des préconfigurés, et ce sans faire une croix sur les spécifiques. Et des mises à jour régulières de l’ERP donnent accès à de nouvelles fonctionnalités.

La SAP Business Technology Platform permet de déployer le code spécifique, mais aussi d’accéder à des technologies avancées, comme des systèmes de reconnaissance d’images, des outils d’analyse de l’expérience client ou même des agents conversationnels, qui vont à la fois assister les utilisateurs et faciliter la collaboration au sein de l’entreprise. La SAP BTP permet d’ouvrir l’ERP à un nombre illimité de technologies innovantes, proposées par SAP, ses partenaires ou tout autre fournisseur de services.

Pierre-Édouard Hamon

 

L’occasion de se réinventer

 

Ce mouvement massif vers le cloud s’accompagne d’un changement de paradigme chez nombre de nos clients. Ils adoptent une approche Fit to Standard consistant à utiliser un ERP aussi proche que possible de la version originale, afin de faciliter les montées de version. Les spécifiques, auparavant déployés dans le cœur de l’ERP, sont déportés sur la SAP BTP, qui sert également d’interface pour adopter des technologies innovantes : Chatbots, Blockchain, Internet des Objets, etc.

Christian Charvin

 

Pierre-Édouard Hamon  Christian Charvin

 

Pour en savoir plus :

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Source de l’article sur sap.com

Imaginez:

… Vous êtes tranquillement installé à bord d’un Paris-Lyon et une classe de neige débarque dans votre wagon…

… Vous avez pris le dernier train pour prolonger au maximum votre weekend et rien dans le frigo à la maison quand vous rentrez à 23h

Ces expériences, nous les avons tous vécues et cela ne nous encourage pas toujours à voyager davantage en train. A l’occasion de l’année européenne du Ferroviaire et alors que la transition écologique devient plus que jamais une nécessité, SAP France a mené une étude auprès des 15-25 ans avec le média JAM pour mieux comprendre leurs attentes et besoins en termes d’expérience et de services.

En effet, cette Génération Z façonne les comportements de demain et apparaît particulièrement sensible aux enjeux d’une mobilité raisonnée pour lutter contre les effets du changement climatique.

Quelles sont les attentes des 12-25 ans pour les voyages en train ?

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Quelles sont les attentes des 12-25 ans pour les voyages en train ?

FOCUS #1: 79% des jeunes interrogés seraient prêts à rallonger leur temps de trajet pour réduire leurs émissions de CO2.

Cette tendance rejoint l’étude SAP EMEA South menée auprès de consommateurs espagnols et italiens. Plus intéressant encore 23% seraient prêts à le faire mais sous l’exigence d’avoir le confort nécessaire pour passer du temps utile.

Et dans cette lignée, ils sont prêts de 2 jeunes sur 3 à trouver le principe d’éco-fidélité ”carrément” intéressant et 96% à y voir de l’intérêt. Cumuler des points échangeables contre réduction et cartes cadeaux « éthiques » pour chaque trajet effectué en train, scooter ou voiture électrique, vélo en libre service, à pied, … semble répondre à une attente de gamification mais aussi de mesure tangible de son impact environnemental.

FOCUS #2: 66% des 15-25 ans interrogés déclarent mettre à profit le temps utile pendant leur voyage en train

Parce qu’adopter le train ce n’est pas seulement réduire son empreinte carbone mais c’est aussi avoir du temps « utile » – lire, regarder une série, travailler – nous avons exploré l’impact de cette dimension pour les 15-25 ans.

Le reste déclare ne pas le faire vraiment mais seulement 7% d’entre eux ne le font pas du tout.

Ce qui peut laisser entendre qu’avec davantage de connectivité et de services, les jeunes profitant du #tempsutile seraient plus nombreux. A l’heure du slow travel, c’est un différentiateur fort du train par rapport aux autres modes de transport. C’est un nouveau champ des possibles à explorer sous l’angle des services connectés et en temps réel.

FOCUS #3: 60% des jeunes interrogés seraient prêts à payer pour avoir accès à des services de voyage connecté comme l’upgrade en 1ère ou davantage de services #TempsUtile

L’option la plus populaire est la possibilité de payer un prix fixe auquel on agrège des options selon les trajets : une opportunité pour générer de nouveaux revenus tout en améliorant le confort et l’expérience des passagers !

Retrouvez prochainement l’analyse de nos experts SAP pour décrypter les nouveaux leviers à actionner pour répondre à ces attentes des 15-25 ans et plus largement du marché passager en France !

Contactez-moi directement sur LinkedIn pour échanger et avoir accès aux vidéos en avant-première

Méthodologie de l’étude

Etude menée auprès de 1000 jeunes représentatifs de la population des 15-25 ans en France selon les quotas de l’INSEE (juillet à septembre 2021) avec le média JAM

Voilà à quoi elle ressemblait :

Étude SAP et Jam sur Messenger

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Étude SAP et Jam sur Messenger

 

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