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Le mois dernier, 162 personnes d’horizons très différents ont embarqué à bord d’un navire pour rejoindre le Sommet contre la pollution plastique des océans (OPLS) dans le gyre de l’Atlantique Nord, un système circulaire de courants océaniques. Ces personnes ont pris part à une expédition de recherche expérimentale pour mieux comprendre l’étendue de la pollution plastique, et pour développer des partenariats et des solutions intersectorielles en vue de relever ce défi mondial au cours de la prochaine décennie.

Organisée par SoulBuffalo, cette expérience immersive a été conçue pour mettre les décideurs en situation, afin qu’ils puissent observer et ressentir par eux-mêmes le côté catastrophique de la pollution plastique. Selon l’Oceanic Society basée en Californie, entre 4 et 12 millions de tonnes métriques de plastique sont déversées chaque année dans l’océan, soit suffisamment pour couvrir tout le littoral de la planète ! Et ces chiffres devraient plus que doubler dans les dix prochaines années.

Cependant, la pollution plastique océanique est un problème que nous pouvons résoudre. Nous savons comment ramasser les ordures et nous savons comment les recycler. Selon Ted Siegler, un économiste spécialisé dans les ressources qui a travaillé pendant 25 ans sur la gestion des ordures dans les pays en développement, l’urgence est de construire les institutions et systèmes nécessaires pour y parvenir avant que l’océan ne se transforme irrémédiablement en une « soupe plastique » dénuée de toute forme de vie.

Pas un poisson en vue

Le groupe OPLS était constitué de producteurs, fabricants, marques, recycleurs et syndicats d’éboueurs. Étaient également au rendez-vous des experts financiers, des scientifiques, des revues comme le National Geographic, des chercheurs, des leaders éclairés et des innovateurs, depuis les cadres d’entreprises telles que Coca-Cola, Nestlé, Procter & Gamble et Dow Chemicals, jusqu’aux ONG telles que Greenpeace, WWF et Ocean Conservancy.

Chaque fois que le navire s’approchait d’algues sargasses, les participants interrompaient leurs réunions pour sauter dans des bateaux pneumatiques munis de leur équipement de plongée.

Ils ne virent aucun poisson de la journée. Et au début, ils ne virent pas beaucoup de plastique non plus. Le plastique est trompeur, car il n’est pas visible à la surface. Dans l’océan, il se décompose en petites particules qui sont capturées par les algues et ingérées par les espèces marines.

« Le vrai problème, c’est ce qui n’est pas visible », déclare Michael Groves, PDG de Topolytics, une entreprise d’analyse de données dédiée à la gestion des déchets, qui participait à l’expédition. Il explique que sur une distance d’un kilomètre, le navire a récupéré 76 débris microplastiques immédiatement sous la surface.

Multipliez ce chiffre par la quantité de microplastique présente dans la colonne d’eau qui descend jusqu’à une profondeur de 2,5 kilomètres et vous comprendrez l’immensité du problème.

Accepter la responsabilité

Comme l’explique Virginie Helias, directrice du développement durable chez Procter & Gamble, « le problème de la pollution plastique dans nos océans relève de la responsabilité de tous aujourd’hui, y compris des entreprises qui produisent et utilisent une grande partie du plastique dans le monde. »

John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace, le confirme.

« Les personnes présentes sur ce navire représentent des entreprises responsables d’une grande partie de l’empreinte plastique de la planète. Nous avons donc réuni ici les personnes réellement à même de résoudre le problème de la pollution plastique », a-t-il affirmé. « Plusieurs entreprises se concentrent sur des solutions en aval telles que le recyclage et l’éducation des consommateurs, mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un plus grand nombre d’individus, d’entreprises et de gouvernements qui assument la responsabilité de la fin de production. »

John Hocevar estime que nous ne pourrons pas venir à bout de la pollution plastique tant que nous continuerons à en tirer parti et déclare que la plupart des entreprises ne sont même pas conscientes de la quantité de plastique qu’elles produisent. Le point de départ pour toute entreprise est d’évaluer son empreinte plastique, puis de se fixer des objectifs pour la réduire.

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Plusieurs marques durables comme Procter & Gamble intensifient leurs initiatives en matière d’économie circulaire pour réduire, réutiliser et recycler les matières plastiques et autres ressources, et beaucoup d’autres prennent des mesures pour lancer des initiatives similaires.

Adidas, par exemple, fabrique des chaussures à partir du plastique repêché dans les océans. L’on doit cette idée à John Warner, un fondateur de la chimie verte, qui faisait partie de l’expédition.

Dow Chemicals, l’un des sponsors de l’expédition OPLS, a récemment annoncé qu’il participerait à une levée de fonds mondiale d’un milliard de dollars pour venir à bout des déchets plastiques dans l’environnement.

Jim Sullivan, qui pilote l’accélérateur d’innovation de SAP en matière de développement durable à l’échelle mondiale et qui a participé à l’organisation de l’expédition, souligne que pour résoudre une crise mondiale de cette ampleur, nous devons entamer un dialogue ouvert et parfois difficile avec les différentes parties prenantes. Nous devons également adopter une approche multisectorielle qui permette d’identifier les compromis avec d’autres défis mondiaux, tels que le changement climatique, afin d’éviter des conséquences graves. De plus, nous devons utiliser des métriques communes pour donner la priorité aux activités les plus significatives et suivre les progrès réalisés sur la voie des aspirations telles que le « zéro plastique » dans la nature en 2030.

Préserver plutôt que consommer

Il n’existe aucune solution ou entreprise capable de résoudre ce problème à elle seule. Les partenariats et les solutions évolutives tels que le Sommet contre la pollution plastique des océans constituent une pièce centrale du futur que nous devons inventer.

Dans un premier temps, il vaudrait la peine de revenir sur le « conflit d’intérêts initial entre les populations autochtones et les populations à l’ère industrielle, à savoir la gestion de la terre, de l’eau, du feu et de l’air ». Selon Patricia Anne Davis, gardienne de la sagesse navajo, ce conflit d’intérêts est toujours d’actualité.

Les populations autochtones ont protégé ces éléments depuis le début de l’humanité, alors que les populations à l’ère industrielle ont saccagé la planète en seulement un ou deux siècles. Ce conflit n’est plus durable et doit cesser, dans l’intérêt de tous les êtres humains de la planète.

« Nous devons passer de la consommation à la préservation », indique Damien Johnson, qui participait au sommet en tant que représentant du bureau d’innovation SAP en Amérique du Nord. Damien Johnson estime que la solution comporte deux volets : premièrement, stopper l’introduction de nouveaux déchets plastiques et deuxièmement, améliorer les processus de recyclage des déchets existants.

« L’utilisation du plastique a été motivée par l’innovation et le souhait d’améliorer l’expérience client.  Nous devons à présent utiliser la technologie et l’innovation pour maintenir cette expérience, mais supprimer les matières plastiques à usage unique », conclut-il.

Créer de la valeur

L’un des problèmes qui se pose avec les déchets plastiques, c’est qu’ils ne possèdent pas encore de valeur marchande…

Dans de nombreux pays comme le Brésil et l’Inde, les ramasseurs de rue récupèrent du métal, des guenilles et du papier, puis les revendent en vue de leur recyclage. Mais la plupart des matières plastiques n’intéressent personne, car elles ne possèdent aucune valeur marchande.

« Le pire, c’est que les entreprises qui veulent utiliser du plastique recyclé ont du mal à en trouver sur le marché », déclare Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP.

C’est pour cette raison que Padmini Ranganathan et son équipe sont en train d’intégrer de nouvelles entreprises comme Plastics for Change sur Ariba Network, pour associer l’économie parallèle de ramassage de déchets à des systèmes plus officiels d’offre et de demande de matières secondaires.

« Nous devons intégrer les déchets plastiques dans la chaîne logistique, afin qu’ils ne soient pas récupérés dans le secteur illégal, car les éboueurs travaillent dur pour trier et convertir les déchets en valeur marchande », prévient Padmini Ranganathan.

La solution à long terme passe par un changement de fond, aussi bien dans le système de flux d’articles que dans les systèmes numériques.

« Outre les ERP et les processus de gestion, nous devons exploiter des systèmes numériques agiles et évolutifs au fur et à mesure que la chaîne logistique du plastique se transforme », déclare Padmini Ranganathan.

Technologie et travail d’équipe

Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, ces experts estiment que si les gouvernements, les ONG, les consommateurs et les entreprises s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. En effet, la plupart des matières plastiques sont rejetées dans l’océan par cinq fleuves en Asie, ce qui signifie qu’une simple réduction de 20 % des matières plastiques déversées dans les cours d’eau au cours des sept prochaines années permettrait de revenir aux niveaux de pollution plastique océanique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. En réunissant les entreprises, les gouvernements, les ONG et les groupes de protection des océans, il est possible de créer une solution globale pour un avenir durable.

Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

L’upskilling des effectifs est depuis longtemps une priorité pour les organisations. Aujourd’hui, alors que les dirigeants réagissent aux perturbations mondiales, avec pour beaucoup un personnel en télétravail, ils s’appuient plus que jamais sur les technologies et les systèmes de gestion de la formation (LMS).

La crise mondiale du COVID-19 et l’instabilité économique obligent de nombreuses entreprises à « faire plus avec moins » en matière de reskilling et d’upskilling. Heureusement, les technologies de formation sont suffisamment matures pour que les entreprises puissent choisir parmi une gamme de fonctionnalités adaptées à leurs besoins et à leur budget.

Lorsque Discovery, compagnie d’assurance multinationale est passée au travail à distance, les RH ont identifié qu’environ 500 de ses collaborateurs n’étaient pas productifs. Plutôt que de chercher des solutions de court terme pour améliorer la productivité, la compagnie s’est focalisée sur la préparation du personnel aux métiers de l’avenir, par le reskilling. La priorité de l’entreprise reste ses salariés – et cela inclut de les équiper pour demain.

En période de croissance comme de crise les dirigeants s’efforcent de trouver les meilleures solutions pour leurs collaborateurs. Par exemple, les hôpitaux, les instituts de recherche et les organismes de santé répondent aux besoins du personnel de première ligne en créant des technologies de formation et des ressources éducatives visant à prévenir et limiter l’exposition au COVID-19.

Bien que les dernières avancées changent la donne pour les LMS, tous les investissements technologiques ne conviennent pas nécessairement à toutes les entreprises. Voici les éléments que les entreprises peuvent considérer lorsqu’elles investissent dans une nouvelle solution.

1. Des fonctionnalités liées à vos objectifs

Lorsqu’on choisit parmi toutes les options proposées par les technologies de formation, la première chose à vérifier est que les fonctionnalités répondent aux besoins, aux objectifs et à la stratégie des effectifs de l’entreprise. Pour beaucoup d’organisations, des plates-formes flexibles et ouvertes peuvent être nécessaires pour prendre en charge les nombreux éléments critiques.

Par exemple, une entreprise énergétique pourrait limiter l’accès à une zone particulière d’une installation nucléaire aux employés ayant complété une formation obligatoire et certifiante. L’entreprise aurait alors besoin d’un système de gestion de la formation (LMS) capable d’intégrer la certification des employés à ses formations et opérations sensibles.

De même, une entreprise pharmaceutique pourrait avoir besoin de valider l’apprentissage pour se conformer aux réglementations nationales sur les médicaments. Une solution qui offre de l’innovation au niveau de l’écosystème, y compris des applications partenaires, peut fournir des fonctionnalités supplémentaires et flexibles tout au long du cycle de vie des collaborateurs (y compris lors du recrutement, de l’onboarding, du développement et de la gestion de la succession). Si certaines grandes entreprises peuvent avoir besoin de solutions ouvertes qui prennent en charge divers cas d’utilisation, d’autres peuvent vouloir une solution adaptée à un secteur spécifique, comme l’éducation ou la santé. Quoi qu’il en soit, les entreprises devrait prendre le temps de rechercher la technologie pouvant soutenir au mieux leurs objectifs.

2. Flexibilité

De nombreuses entreprises ayant des sites multiples ou un important personnel auront besoin d’un LMS orienté entreprise si elles s’engagent dans le reskilling de centaines voire de centaines de milliers d’employés.

Avec la généralisation du télétravail, les PME/ETI peuvent également avoir besoin d’un LMS qui puisse être étendu au domicile de leurs employés de manière sûre et efficace. Les technologies d’apprentissage mobiles accessibles en déplacement, y compris sur smartphones, pourraient améliorer l’adoption par les télétravailleurs et les employés qui manquent de temps de formation dédié, comme les commerciaux terrain.

Si les outils qui intègrent des formations en réalité virtuelle (VR) ou en réalité augmentée (AR) ne sont peut-être pas adaptés à toutes les situations, ils peuvent être utiles pour préparer les collaborateurs à des situations d’urgence ou à des scénarios uniques. Ces technologies émergentes sont un excellent exemple de la manière dont les outils de formation modernes peuvent aider les entreprises à relever de nouveaux défis et aider les collaborateurs à se perfectionner et se requalifier.

Walmart, par exemple, a formé plus d’un million d’employés en 2019 à la réalité virtuelle afin de proposer un apprentissage immersif. L’entreprise a également envoyé des casques VR dans les magasins pour entraîner les employés à la mise en place d’une machine qui récupère les commandes passées en ligne. Se libérant ainsi de la nécessité d’envoyer plusieurs personnes pour l’assembler, l’entretenir et dispenser une formation.

Qu’ils travaillent dans le retail, sur des plateformes pétrolières ou dans des exploitations agricoles, de nombreux employés pourraient atteindre de nouveaux niveaux de productivité et d’engagement grâce à des solutions personnalisables et flexibles.

3. Collaboration entre les employés – et les employeurs

Dans de nombreux cas, permettre aux collaborateurs de piloter leur apprentissage peut améliorer l’adoption des programmes, l’engagement et la culture de l’apprentissage. De nombreux employés réagiront positivement à l’upskilling itératif. Lequel leur apporte un sentiment d’appartenance et de fierté. Cet upskilling itératif peut par exemple prendre la forme de vidéos produites par les collaborateurs et partagées avec leurs collègues.

L’apprentissage social peut apporter des avantages à un personnel en télétravail. En atténuant l’isolement, l’anxiété et le manque de motivation auxquels les équipes peuvent être confrontées. Les social boards, chats et « missions » gamifiées sont quelques-unes des caractéristiques des LMS qui peuvent améliorer la collaboration tout en maintenant la distanciation physique. Les managers peuvent également utiliser ces fonctionnalités pour cibler les compétences qui correspondent aux nouvelles priorités et encourager les équipes à atteindre leurs objectifs.

4. La gestion du changement en support  

Intégrer un programme d’upskilling dans toute l’entreprise est une initiative majeure qui relève de la gestion du changement. L’alignement des valeurs, des personnes et de la culture d’entreprise pour atteindre un résultat souhaité ne viendra pas uniquement de l’adoption d’une nouvelle technologie. La gestion du changement occupe une place essentielle dans les discussions relatives à l’expérience de formation. Et ce pour au moins trois raisons.

  • Premièrement, s’assurer que la technologie est adaptée à l’organisation et au personnel permet d’augmenter son taux d’adoption et d’en tirer meilleur parti.
  • Deuxièmement, une gestion du changement réactive et basée sur les données permet de prolonger la durée de vie de la technologie.
  • Troisièmement, l’intégration d’une technologie de formation dans une organisation requiert une gouvernance. Elle nécessite notamment d’affecter la responsabilité sur les rôles et les données segmentées que vous pouvez collecter. De nombreux experts du reskilling vous diront que la gouvernance est toute aussi importante, si ce n’est plus, que la technologie de formation elle-même.

Les RH ne sont pas les seuls à investir dans ces solutions. La majorité des utilisateurs sont rattachés à la sécurité, conformité et formation à la vente. Alors que les budgets restent serrés et que des tensions peuvent surgir entre les services pour savoir qui doit avoir le contrôle des priorités en matière de reskilling et d’upskilling, les fonctionnalités des LMS devraient fournir un vrai retour sur investissement (ROI). Les bénéfices peuvent inclure le gain de temps lié à la recherche et au partage d’informations ; ou l’augmentation des revenus (ou réduction des coûts) résultant de la normalisation des technologies et du soutien à la formation. Par exemple, une étude indépendante sur SAP Jam, réalisée par Forrester Consulting, a révélé que le ROI moyen a augmenté de 18,5 % entre 2016 et 2018, les clients ayant trouvé davantage de façons d’utiliser la plateforme de collaboration.

Pour soutenir la gestion du changement qui accompagne l’introduction d’une nouvelle technologie, les entreprises doivent chercher des solutions qui offrent la possibilité de bêta-tester, d’itérer et d’adapter cette technologie aux besoins des collaborateurs. Les logiciels d’entreprise doivent offrir un support client aux dirigeants et aux employés pour une expérience d’apprentissage sans faille.

« De nombreux experts du reskilling vous diront que la gouvernance est toute aussi importante, si ce n’est plus, que la technologie de formation elle-même »

5. Méfiez-vous des mots à la mode et restez concentré sur vos collaborateurs

Les LMS d’aujourd’hui peuvent utiliser des technologies de pointe comme l’intelligence artificielle (IA) et le machine learning pour fournir tout ce qui est nécessaire, du coaching aux plans de développement des collaborateurs. Et ce à une échelle jamais atteinte auparavant. Mais alors que les dirigeants évaluent les options de LMS qui offrent ces nouvelles technologies et ces mots à la mode, il est important qu’ils restent d’abord engagés dans une stratégie des effectifs axée sur les objectifs de l’entreprise.

Si des fonctions comme la gamification et l’apprentissage social peuvent avoir un impact majeur pour certaines organisations, elles peuvent manquer de pertinence pour d’autres. Pour de nombreuses organisations, l’apprentissage classique en salle avec un formateur pourrait encore avoir toute sa place à l’avenir. L’écoute continue des collaborateurs fournira des informations utiles pour répondre à leurs besoins et concevoir une expérience d’apprentissage efficace.

De nombreux experts de l’upskilling conviendront que la formation et l’upskilling est un défi pour les employés et les employeurs. Alors que les entreprises investissent massivement dans les nouvelles technologies, l’objectif premier est d’investir efficacement dans le personnel.

La stratégie à long terme d’une entreprise en matière d’effectifs ne se limite pas au système de gestion de la formation (LMS) qu’elle a choisi. La gestion de l’expérience de formation inclut les nouvelles compétences et connaissances que les personnes vont acquérir ainsi qu’une méthode de travail efficace et agile. Un excellent programme d’upskilling aidera les collaborateurs à pivoter vers les nouveaux rôles qu’ils devront occuper demain et à soutenir l’innovation de rupture dans toute l’entreprise.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

One of the few bright spots in 2020 has been the creativity companies and individuals alike have exhibited in dealing with what, at times, seemed to be overwhelming problems.

The world of web design was no different. Designers and agencies had to adapt and implement new color schemes or design new shopping experiences, which made some of the previous design trends not fit for the current design problems.

We’ll take a look at these newest design trends and the rationale behind them. As we do so, we’ll also take a look at some of BeTheme’s 600+ pre-built sites that have already put them to good use.

1. Comforting Color Palettes Lighten the Load

In years past, bolder color schemes were one of the hallmarks of web design trends. Their purpose was to quickly engage a visitor and prompt him or her to respond emotionally.

Given all the drama and turmoil we were subjected to through most of 2020, we’ve come to welcome the use of toned-down colors in marketing instead of the bolder, brasher, and more “in-your-face” color schemes. 

Bellroy’s website puts toned-down colors to good use. This company’s product line of wallets, bags, and the like, are designed to keep people’s belongings organized, safe, and secure. A wild color scheme simply wouldn’t be fitting.

How, then, are brightly-colored products dealt with? Thanks to judicious uses of white space and background photos, this website still emphasizes a toned-down color palette.

The BeSpa pre-built website is another example of a color scheme that almost immediately puts the mind at ease.

Calm and soothing? Yes.

Boring? Definitely not.

Comfort and security are the emotional drivers in this example.

2. Seamlessly Intermingle and Balance Physical and Digital Imagery

People confined to their homes because of Covid-based restrictions spent many more hours looking at their screens in 2020. Online programming began to take on the appearance of a reality show that blurred the boundaries between the real and the digital.

Whereas web designers tended in the past to rely on either photos or illustrations in their designs, these same designers have started to integrate these blurring effects into their designs, with results that range from amusing and quirky to highly informative.

Check out this example from fashion designer Constance Burke

It’s not every day you see real models wearing hand-drawn fashion sketches. But it’s just one example of how the physical can be blended with the digital.

The BeSki pre-built site does the same blending of the two, but in a totally different way:

The sections’ designs switch from predominantly physical to largely digital and back again, an excellent approach that provides a maximum amount of useful information.

It’s also worth noting how snowbanks are effectively used to seamlessly transition from one section to the next.

3. Create Well-Organized and Helpful Shopping Experiences

More people spending more time at home has created a surge in online shopping. As a result, many online store owners are now feeling the effects of increased competition.

Consumers look for brands they believe they can trust. At the same time, they want their online shopping experiences to be as quick and painless as possible. They look for (and expect) quick and effective product search capabilities, helpful and effective product displays, one-page product descriptions, and the like.

Walgreen’s product page design is especially well-suited for 2021 ecommerce shoppers: 

Everything shoppers usually need to know is presented above-the-fold. They can easily proceed to the next step or scroll down for reviews or additional product specifications. 

BePestControl’s pre-built website uses a similar product design approach: 

In this example, the main selling points are up-front and are kept short and sweet. The shopper can either hit the ‘Add to Cart’ button or look below the button for additional information.

In both examples, a visitor doesn’t have to mull over what step to take next since one of the design objectives is to make the shopping experience as easy and as satisfying as possible.

4. Take Advantage of the Benefits of User-Controlled Video Content

Once upon a time, video content was “the thing” to incorporate in a website. Hero background videos proved to be particularly engaging, and “how-to” videos presented much more useful information than illustrations or blocks of text could.

On the other hand, Auto-play videos, those that started on their own, all too often had a tendency to irritate rather than inform, especially when their content didn’t address a visitor’s immediate concern.

Thanks to Zoom and similar video platforms that came into widespread use in 2020 and to website designs that include video “Play” buttons, users have become much more comfortable with the medium. As an example, Shoppers have been given total control over if or when they want to view a given video. 

This is the design approach Payoneer has taken: 

The white “Pay” button is impossible to miss, and while it is designed to encourage a visitor to watch a testimonial, doing so is completely optional.

The BeOptics pre-built website cleverly slips in a video play option as well: 

In this example, when visitors hover over the “See More” button, it lets them know that they have the option to watch the video if they want to learn more.

5. Trust Builders Should be Non-Negotiable Web Design Elements

There are various ways in which products are organized or showcased in brick and mortar businesses to instill trust. Helpful and friendly staff also contribute to instilling trust.

Some of these trust-builders are easily incorporated into eCommerce designs. Others, though more difficult to fit in, can usually be satisfactorily addressed.

Digital trust builders can include.

  • Logos (familiar, whimsical, innovative, engaging)
  • Portfolios and/or product pages
  • Customer reviews, product ratings, and client testimonials
  • Case studies and product or price comparisons
  • Safety and security seals, e.g., Better Business Bureau, PayPal checkout
  • Charts, graphs, counters, and other data visualization techniques
  • Proof of social, charitable, or community-related actions and contributions

Put, trust-building content will beat hard-sell techniques every time, especially if you would like your customer base to include referred and repeat customers.

Omaze, for example, gives people entries for prizes based on their donations while at the same time highlighting the good things it and its donors have brought about.

To help build trust, the site devotes space to highlighting publications that have featured Omaze and the work it has done and is doing.

Plus, it puts data visualization and non-profit testimonials into play to give visitors an added insight into what is going on behind the scenes: 

As you can see, it doesn’t have to be difficult to incorporate genuine trust-building content into your website designs.

BePortfolio is a great example of how you might go about doing this for a portfolio site, whether it’s your own or a site for a client:

The home page alone has plenty of space for including trust-building content:

  • A satisfied customer counter
  • Product usage case studies and testimonial
  • Portfolio highlights
  • Client and partnership logos

And it can only get better as a visitor moves through the site, but only if you’ve chosen to make that happen.

Have You Started to Take These New Web Design Trends to Heart?

We’re not suggesting that you throw the baby out with the bathwater, but some trends will need to be discarded to enable you to adjust to a new normal. Other 2020 design trends, like minimalism and headline topography, are likely to remain popular for years to come.

New trends that incorporate calming color palettes, image blending, more efficient eCommerce UX designs, user-controlled video, and trust-building elements should give your customers the feeling of comfort and security they will be seeking in 2021.

If you want to implement some or all of these new trends in your 2021 website designs, BeTheme’s 600+ pre-built sites make doing so an easy task.

 

[– This is a sponsored post on behalf of BeTheme –]

Source

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Un personnel polyvalent est essentiel pour surmonter les défis, notamment ceux liés au COVID-19. Les entreprises reconnaissent désormais l’importance de l’upskilling et du reskilling. Mais elles ne savent pas toujours comment procéder à grande échelle. Ou comment exploiter efficacement des technologies comme les learning management systems (LMS). Si les collaborateurs peuvent accéder à une pléthore de formations, certifications et badges, de nombreux dirigeants peinent encore à discerner ce qui aura le plus d’impact.

Beaucoup d’organisations ont démontré leur capacité à faire basculer leurs salariés en télétravail presque du jour au lendemain. Alors que les entreprises commencent à s’adapter à cette nouvelle réalité, on peut se demander comment progresser sur d’autres problématiques. Comme celle de l’apprentissage sur le lieu de travail. Avec des solutions et des technologies innovantes les dirigeants étudient la meilleure façon d’y parvenir, en évaluant comment communiquer de manière authentique, recueillir des insights et mettre en œuvre des formations plus efficaces.

Parallèlement à une stratégie des effectifs, les entreprises peuvent suivre les étapes suivantes pour soutenir la formation et le développement de leurs collaborateurs.

collaborateur au bureau

1. Déterminer les déficits de compétences et anticiper les besoins à long terme

Après avoir déterminé leurs objectifs et évalué plusieurs scénarios, les entreprises élaborent une stratégie des effectifs adaptée. Pour la déployer, une étape clé est de combler l’écart entre les compétences que vos collaborateurs ont déjà et celles qu’ils doivent acquérir. De nombreuses entreprises, lorsqu’elles s’adaptent à l’incertitude économique, évaluent ces écarts tout en déterminant s’il faut réduire les effectifs. Aussi important soit-il de réfléchir aux besoins d’aujourd’hui, considérer les besoins en effectifs et compétences pour les 5 à 10 prochaines années est tout aussi central, si ce n’est plus. Si certaines compétences techniques deviennent rapidement caduques, d’autres, comme le leadership, représentent un investissement pour l’avenir. Il a également été démontré qu’un programme de formation solide aide à attirer et retenir les meilleurs talents.

La première étape dans l’élaboration d’une stratégie de gestion des talents est l’identification des emplois et des carrières qui nécessiteront l’upskilling des collaborateurs. Par exemple, de nombreux emplois seront reconfigurés avec des technologies telles que l’intelligence artificielle (IA). Les organisations devraient commencer par identifier les tâches essentielles à la croissance et à l’amélioration de l’expérience client. Ensuite, elles devraient identifier les ressources nécessaires pour les accomplir. Ressources qui incluent notamment les machines intelligentes et salariés requalifiés. Les nouvelles descriptions de poste devraient refléter le besoin de ces collaborateurs plus stratégiques et créatifs. Dans le cadre du recrutement, les technologies RH peuvent aujourd’hui aider les entreprises à prédire la réussite en évaluant la personnalité et les capacités cognitives des candidats.

De plus, pour évaluer en continu les compétences des collaborateurs, il faut envisager de développer une bibliothèque des compétences. Une base de données de ce que les salariés doivent savoir et des compétences qu’ils doivent posséder pour performer dans leurs fonctions. Dans un sens, il s’agit de descriptions de postes basées sur les compétences.

2. Interroger les collaborateurs

Les plates-formes technologiques RH peuvent recueillir des données en temps réel sur l’expérience des collaborateurs et les objectifs business, afin d’aider les entreprises à bien prioriser en matière d’upskilling. En interrogeant les collaborateurs, elles peuvent diagnostiquer les compétences actuelles d’une personne et recueillir des informations sur les compétences adjacentes.

Comprendre les besoins d’un collaborateur est essentiel, non seulement pour la stratégie d’upskilling, mais aussi pour améliorer l’expérience employé et la fidélisation. Pour de meilleurs résultats à long terme, les entreprises devraient aligner leurs efforts d’upskilling sur les plans de carrière des collaborateurs et leur développement. Un personnel heureux est souvent un personnel productif. Des recherches ont montré que les collaborateurs sont souvent « au mieux de leur carrière » lorsque leurs talents, leurs passions et les besoins de l’entreprise sont alignés.

3. Tenir compte des compétences, des connaissances et de l’expérience

Dans certains domaines, l’acquisition et le transfert des connaissances sont tout aussi importants que les compétences. Bien que les data scientists puissent être très demandés pour intégrer les technologies d’IA dans une entreprise, il n’est pas toujours suffisant qu’un collaborateur cherche à obtenir une certification en data science pour assurer la fonction. Les candidats devront avoir une connaissance approfondie des mathématiques ou de l’informatique pour comprendre le fonctionnement des algorithmes. Lorsque les entreprises n’ont pas la taille, la crédibilité ou l’expertise nécessaires dans certains domaines, elles peuvent s’associer à des institutions, organisations académiques ou professionnelles, pour une formation personnalisée.

Un cadre d’apprentissage largement référencé, le modèle « 70-20-10 », encourage les entreprises à promouvoir 70 % de l’apprentissage par l’expérience, 20 % par autrui (mentorat, coaching), et 10 % par la formation formelle. Mais le modèle peut être pondéré selon les domaines et compétences. Par exemple, les pilotes de ligne ont des exigences différentes selon la licence qu’ils souhaitent obtenir, notamment privée ou commerciale. Beaucoup estiment qu’une formation rigoureuse et formelle devrait peser plus de 10 % dans de nombreux domaines.

4. Repenser, remodeler et rééquiper les RH pour soutenir un processus d’apprentissage continu

L’une des clés d’une stratégie des effectifs réussie consiste à diffuser une culture de l’apprentissage. Les collaborateurs peuvent manquer de temps pour suivre une formation de deux heures. Heureusement la technologie, des applications aux systèmes de gestion de la formation (LMS), permet aux collaborateurs d’acquérir des compétences et de partager des connaissances entre eux par le biais d’un upskilling itératif. Ces capsules de formation peuvent prendre la forme de vidéos d’apprentissage de 10 minutes, au format « snacking », qu’ils peuvent visionner aussi bien hors ligne et sur smartphone qu’à la maison.

L’époque où les entreprises donnaient la priorité aux compétences de base et assignaient des sessions de formation à leurs collaborateurs est révolue. Aujourd’hui, les dirigeants peuvent tirer parti des technologies et des écosystèmes pour permettre aux collaborateurs de piloter leur propre apprentissage. Des outils personnalisables qui utilisent l’IA et le machine learning peuvent par exemple fournir une formation, un coaching et des feedbacks personnalisés.

5. Motiver les collaborateurs en les aidant à suivre leurs progrès

Il n’y a pas de modèle unique pour l’upskilling. Au lieu de proposer des plans de formation normatifs, les dirigeants devraient, pour une formation et un développement professionnel réussis, lire les signaux émis par leurs employés.

Grâce à des plans de développement des collaborateurs personnalisés et à l’apprentissage social, les collaborateurs peuvent rester engagés et concentrés grâce à la mise en réseau virtuelle et au mentorat, tandis que les managers les motivent pour atteindre les objectifs. Pour soutenir un personnel en distanciel, les messageries instantanées et les social boards peuvent être très utiles pour retrouver la dynamique collective. Parmi les autres techniques de motivation, on peut citer la gamification associée à des récompenses financières ou des cartes-cadeaux. Et les derniers learning management systems (LMS) permettent aux entreprises de délivrer, de suivre et de gérer le contenu, les certifications et les données des collaborateurs comme une source unique d’enregistrement de l’apprentissage.

Suivant la tendance croissante au partage et à la consommation d’information sur les médias sociaux, de nombreuses personnes s’attendent à avoir la maîtrise du moment et de la façon dont elles apprennent. Et encourager les collaborateurs à créer et à contribuer à leur propre contenu d’apprentissage en créant leurs propres « playlists d’apprentissage» leur permet de devenir, en matière de formation, leur propre patron. Et cela ouvre les portes du progrès individuel.

Grâce à une stratégie des effectifs qui s’aligne sur les objectifs stratégiques, les entreprises peuvent appliquer ces mesures pratiques pour identifier les opportunités de reskilling et les déficits à combler. Grâce à une amélioration de l’expérience et des résultats relatifs au reskilling, les entreprises peuvent soutenir un personnel à l’épreuve du temps. 

L’évolution des réalités dans le monde entier – de la modification des chaînes d’approvisionnement aux business models – a un impact sur toutes les entreprises. Celles qui peuvent réorienter leur personnel pourront relever les défis de l’avenir.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF, Allemagne – 27 janvier 2021 – SAP SE (NYSE: SAP) annonce « RISE with SAP », une offre phare visant à soutenir la transformation business des entreprises. RISE with SAP offre aux entreprises une toute nouvelle façon de repenser leurs processus métier pour soutenir leurs performances, et ce à toutes les étapes de leur transformation numérique. Avec son écosystème de partenaires solide, SAP offrira un retour sur investissement rapide et une grande flexibilité, le tout sans investissements initiaux élevés. Cette offre de Business Transformation-as-a-Service a été annoncée lors de l’événement « RISE with SAP: The Introduction » où SAP a également dévoilé son intention de faire une acquisition stratégique dans le domaine de l’intelligence des processus métier. Revivez le live avec Christian Klein et ses invités, dont Microsoft, Siemens et LiveKindly ici.

« Les tensions géopolitiques, les défis environnementaux et la pandémie en cours obligent les entreprises à faire face au changement plus rapidement que jamais », a déclaré Christian Klein, CEO de SAP. « Les entreprises capables d’adapter rapidement leurs processus métier prospéreront – et SAP peut les y aider. C’est la raison d’être de RISE with SAP : aider les entreprises à trouver en permanence de nouvelles façons de gérer leurs activités dans le cloud pour garder une longueur d’avance sur leur secteur. »

RISE with SAP est une offre unique pour chaque client, qui les accompagne vers l’Entreprise Intelligente. Proposée sous forme d’abonnement, l’offre comprend un accord de niveau de service, opérations et support.

L’approche holistique va aider les entreprises à véritablement transformer leur activité en allant au-delà d’une migration technique vers le cloud pour permettre une transformation continue. Avec son écosystème de partenaires solide, SAP va accompagner les entreprises dans leur transformation grâce à: 

  • La refonte des processus métier :
    • Business Process Intelligence repose sur le modèle de gestion et l’expertise de SAP en matière de processus acquise grâce à la collaboration avec ses 400 000 clients dans 25 secteurs. Les clients pourront continuellement analyser les performances de leurs processus de gestion, les comparer aux normes de l’industrie et les adapter facilement aux nouvelles exigences et demandes de l’entreprise. L’intelligence peut être intégrée aux processus métier grâce à une connexion directe au workflow SAP, à l’automatisation robotisée des processus (RPA) et à d’autres services d’intelligence artificielle (IA).
  • La gestion de la migration technique :
    • Les outils et services SAP prennent en charge l’ensemble du parcours technique avec un retour sur investissement rapide, auxquels s’ajoutent les offres de l’écosystème de SAP. Cela inclut des services automatisés pour faciliter le passage à des environnements de solutions modulaires et standard pour bénéficier plus rapidement de l’innovation dans le cloud, ainsi que le support d’architectes techniques pour faciliter la migration et une adoption plus forte.
    • L’infrastructure cloud choisie par le client se trouve dans un Data Center SAP ou celui d’un hyperscaler pour bénéficier des capacités de l’Infrastructure as-a-service sans limitation du système et des données.
  • La construction de nouveaux business models:
    • La Business Technology Platform fournit une couche sémantique ce qui permet de préserver le cœur du système propre ;
      • L’Enrichissement, l’extension et l’intégration des solutions SAP, partenaires ou tierces sont facilités en utilisant le même modèle de données et la même plateforme de services que les applications SAP.
      • Plus de 2 200 API permettent l’intégration des systèmes On-Premise, cloud et non SAP.
      • Pilotage et planification de l’organisation en temps réel , avec des données de qualité pour permettre le développement de scénarios Analytics, IA, et de planification, grâce à une couche de données sémantique
      • Des capacités low-code ou no code supplémentaires permettant d’étendre les solutions SAP, de l’intelligent RPA pour l’automatisation des processus, et un service de workflow pour modifier les processus à la volée.
  • SAP S/4HANA Cloud inclut de IA, de la RPA, des analyses avancées et des options de déploiement flexibles, selon la complexité du client.
  • Un accès unifié à l’un des plus grands réseaux d’entreprises au monde, comprenant les réseaux intelligents de fournisseurs et de logistique SAP, permettant aux entreprises de gérer l’entièreté de leur chaîne d’approvisionnement pour réagir plus rapidement aux évolutions du marché.

Pour plus d’informations sur RISE with SAP, lisez les blogs de Christian Klein, Juergen Mueller Thomas Saueressig, Uwe Griegoleit, et Jan Gilg.

Lisez ce que les partenaires SAP ont à dire ici.

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF, Allemagne, et REDMOND, Washington – 22 janvier 2020 – SAP SE (NYSE : SAP) et Microsoft Corp. ont annoncé leur intention d’intégrer Microsoft Teams à la suite de solutions intelligentes de SAP. Les sociétés ont également officialisé l’extension d’un partenariat stratégique existant afin d’accélérer l’adoption de SAP S/4HANA® sur Microsoft Azure. Ce partenariat s’appuie sur un engagement commun des entreprises à simplifier et à rationaliser la migration des clients vers le cloud.

« Les nouvelles méthodes de travail, de collaboration et d’interaction transforment complètement notre mode de fonctionnement », a déclaré Christian Klein, CEO de SAP et membre du conseil d’administration. « En intégrant Microsoft Teams dans notre portefeuille de solutions, nous porterons la collaboration à un niveau supérieur, en déterminant ensemble l’avenir du travail et en permettant une entreprise sans friction. Notre partenariat de confiance avec Microsoft est axé sur la progression continue du succès client. C’est pourquoi nous développons également l’interopérabilité avec Azure ».

Beaucoup de choses ont changé au cours de l’année passée, le travail est devenu plus virtuel, ce qui accroît le recours à Microsoft Teams pour les réunions, la communication et la collaboration. Pour faciliter ces changements commerciaux et sociétaux, SAP et Microsoft mettent en place de nouvelles intégrations entre Microsoft Teams et les solutions SAP, telles que SAP S/4HANA, les offres SAP® SuccessFactors® et SAP Customer Experience. Cela permettra d’innover, d’accroître la productivité et l’engagement des employés, d’offrir un apprentissage collaboratif et de soutenir la croissance mondiale. Ces intégrations sont prévues pour la mi-2021.

« Le dossier de la transformation numérique n’a jamais été aussi urgent », a déclaré Satya Nadella, CEO de Microsoft. « En associant la puissance d’Azure et de Teams aux solutions de SAP, nous aiderons davantage d’organisations à exploiter la puissance du cloud afin qu’elles puissent s’adapter et innover plus rapidement à l’avenir. »

Les entreprises étendent également leur partenariat de cloud computing annoncé en 2019, afin d’introduire de nouvelles offres d’automatisation et d’intégration du cloud pour SAP S/4HANA sur Microsoft Azure. Ensemble, Microsoft et SAP offrent de nouvelles possibilités pour gérer une entreprise critique sur Azure tout en aidant les clients à moderniser leurs applications d’entreprise. SAP et Microsoft proposeront à leurs clients :

  • Une Simplification du passage des éditions on premise de l’ERP SAP à SAP S/4HANA sur le cloud. En plus des plans de route spécifiques à l’industrie vers le cloud et les architectures de référence, SAP et Microsoft continueront à co-innover autour de SAP S/4HANA sur Azure.
  • Des engagements conjoints élargis avec les clients et les partenaires. En plus du travail d’intégration des produits, SAP, Microsoft et les partenaires intégrateurs de systèmes continueront à fournir aux clients des feuilles de route numériques pour l’entreprise. Cela inclut des architectures de référence immédiates et exploitables et des conseils techniques pour aider les clients dans leur migration vers le cloud.
  • Des investissements accrus dans les plates-formes et les infrastructures. Les entreprises poursuivront le développement des migrations automatisées, l’amélioration des opérations, le contrôle et la sécurité.

Les clients privilégient généralement Azure pour le passage de SAP S/4HANA on-premise vers le cloud.

« Dans le cadre de notre transformation globale, nous sommes passés à SAP S/4HANA », a déclaré John Hill, chief information officer et senior vice president of Business Planning de Carhartt. « L’utilisation de Microsoft Azure nous apporte la rapidité, la disponibilité, l’évolutivité et l’élasticité dont nous avons besoin pour une meilleure visibilité et une meilleure efficacité dans notre activité. La pandémie a frappé alors que nous étions au milieu de notre mise en œuvre de SAP. En utilisant Teams, nous avons donc pu continuer à travailler sur le projet, respecter le calendrier et tenir tout le monde informé. La combinaison de SAP et de Microsoft a été particulièrement utile dans une période difficile ».

« SAP S/4HANA nous a donné une visibilité en temps réel sur notre stock, ce qui est crucial pour nous en tant que société de vente au détail de produits pharmaceutiques et de soins de santé pendant la pandémie », a déclaré Francesco Tinto, Alliance’s senior vice president et global chief information officer. Walgreens Boots Alliance. « Nous avons choisi d’utiliser SAP S/4HANA sur Azure en raison de sa souplesse et de sa flexibilité, qui nous permettent de développer ou de réduire rapidement nos activités pour répondre aux besoins du marché. Nous avons désormais accès à nos données en un seul endroit, ce qui nous permet d’offrir la meilleure expérience possible à nos clients en ligne et dans nos magasins. Les équipes Microsoft associées aux solutions SAP nous ont aidés à surmonter les difficultés liées à la continuité des activités et ont permis à nos employés de collaborer très efficacement malgré le passage du travail de bureau au travail à distance ».

« Lorsqu’il s’agit pour nos clients de livrer des équipements de protection individuelle, nous ne pouvons pas être en retard, c’est pourquoi nous comptons sur SAP et Microsoft pour nous fournir le support numérique qui est essentiel au bon fonctionnement de notre chaîne d’approvisionnement », a déclaré Helge Brummer, vice president of Technical Infrastructure, Support & Operations de Coats. « L’association des équipes Microsoft et de nos solutions SAP a permis à nos employés de travailler de n’importe où tout en garantissant la livraison des commandes à nos clients dans les délais, en soutenant les personnes qui risquent leur vie en travaillant en première ligne ».

La reconnaissance par SAP d’Azure pour la migration vers le cloud ERP se traduit par des commentaires positifs des clients sur la collaboration entre les entreprises. SAP et Microsoft continueront à simplifier la migration et à renforcer la confiance des clients dans la gestion de leurs entreprises numériques dans le cloud. Par ailleurs, de nombreux clients expriment le souhait de maintenir des environnements multi-clouds. SAP poursuit sa politique de longue date de soutien au choix pour les clients qui demandent des alternatives basées sur les besoins de l’entreprise.

SAP et Microsoft ont récemment annoncé une mise à jour pour permettre aux clients de concevoir et d’exploiter des solutions intelligentes de chaîne d’approvisionnement numérique et d’industrie 4.0 dans le cloud et à la marge.

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It’s never been easier to set up an ecommerce store and start selling. There are a dizzying array of ecommerce solutions available in 2021, and most are feature-rich and competitively priced.

Ecommerce sites are notoriously difficult to migrate from platform to platform, so more often than not, you’ll be committed to your chosen solution for years. The key when choosing an ecommerce solution to maximize your return on investment, is to consider not just what your business needs today but what it will need tomorrow.

There are two basic approaches to ecommerce. The first is a dedicated platform that handles everything. The second is a plugin that adds ecommerce features to an existing CMS. Both approaches have benefits and drawbacks.

1. Shopify: Best for Almost Everyone

Shopify is a well-known, well-liked, and reliable dedicated ecommerce platform. As a system for getting a business off the ground and selling fast, it is peerless.

Shopify jealously guards developer access, with templates and plugins pre-vetted. Unlike some marketplaces, you can be confident that there are no hidden surprises in your shiny new store.

And because Shopify has passed the point of market saturation, it’s worthwhile for big players to provide their own plugins; credit services like Klarna and shipping companies like netParcel can be integrated with a few clicks.

The admin panel is a touch complex, as Shopify is designed to allow a single account to be linked to multiple stores. But once you’re set up and familiar with where to find everything, it’s a slick, streamlined business management system.

Whenever a client says, “we want to start selling online.” My first thought is, “Shopify.” And for 90% of clients, it’s the right choice.

And that’s where this roundup should end…except there’s still that 10% because Shopify isn’t perfect.

For a start, an all-in-one platform doesn’t suit everyone. If you already have a website you’re happy with, you’ll either need to migrate or lease a dedicated domain for your store.

Shopify’s platform is very secure, which inspires confidence in buyers, but the price of that security is a lack of flexibility in the design.

Then there’s the infamous variant limit. Shopify allows 100 variants on a product. Almost every client runs into that wall at some point. Let’s say you’re selling a T-shirt: male and female cuts are two variants; now add long or short sleeves, that’s four variants; now add seven sizes from XXS to XXL, that’s 28 variants; if you have more than three color options, you’ve passed the 100 variant limit. There are plugins that will allow you to side-step this issue, but they’re a messy hack that hampers UX for both customer and business.

Shopify should certainly be on every new store owner’s shortlist, but there are other options.

2. WooCommerce: Best for WordPress Users

If you’re one of the millions of businesses with a pre-existing site built on WordPress, then adapting it with a plugin is the fastest way to get up and running with ecommerce.

WooCommerce is regularly recommended as “Best for WordPress Users,” which is a back-handed compliment that belies the fact that WooCommerce reportedly powers 30% of all ecommerce stores. If running with the crowd appeals to you — and if you’re using WordPress, it presumably does — then you’re in the right place.

WordPress has a gargantuan plugin range. As such, there are other plugins that will allow you to sell through a WordPress site. The principle benefit of WooCommerce is that as the largest provider, most other plugins and themes are thoroughly tested with it for compatibility issues; most professional WordPress add-ons will tell you if they’re compatible with WooCommerce. If your business is benefitting from leveraging WordPress’ unrivaled ecosystem, it can continue to do so with WooCommerce.

The downside to WooCommerce is that you’re working in the same dashboard as the CMS that runs your content. That can quickly become unmanageable.

WooCommerce also struggles as inventories grow — every product added will slow things a little — it’s ideally suited to small stores selling a few items for supplementary income.

3. BigCommerce: Best for Growth

BigCommerce is an ecommerce platform similar to Shopify, but whereas Shopify is geared towards newer stores, BigCommerce caters to established businesses with larger turnovers.

The same pros and cons of a dedicated ecommerce solution that applied to Shopify also apply to BigCommerce. One of the considerable downsides is that you have less control over your front-end code. This means that you’re swapping short-term convenience for long-term performance. Templates, themes, and plugins — regardless of the platform they’re tied to — typically take 18 months to catch up with best practices, leaving you trailing behind competitors.

BigCommerce addresses this shortcoming with something Shopify does not: a headless option. A headless ecommerce platform is effectively a dedicated API for your own store.

Enabling a headless approach means that BigCommerce can be integrated anywhere, on any technology stack you prefer. And yes, that includes WordPress. What’s more, being headless means you can easily migrate your frontend without rebuilding your backend.

BigCommerce also provides BigCommerce Essentials, which is aimed at entry-level stores. It’s a good way to get your feet wet, but it’s not BigCommerce’s real strength.

If you have the anticipated turnover to justify BigCommerce, it’s a flexible and robust choice that you won’t have to reconsider for years.

4. Magento: Best for Burning Budgets

If you have a development team at your disposal and a healthy budget to throw at your new store, then Magento could be the option for you.

You can do almost anything with a Magento store; it excels at custom solutions.

Magento’s main offering is its enterprise-level solution. You’ll have to approach a sales rep for a quote — yep, if you have to ask the price, you probably can’t afford it. Magento has the track-record and the client list to appeal to boards of directors for whom a 15-strong development team is a footnote in their budget.

That’s not to say that a Magento store has to be expensive; Magento even offers a free open source option. But if you’re not heavily investing in a custom solution, you’re not leveraging the platform’s key strengths.

5. Craft Commerce: Best for Custom Solutions

If you’re in the market for a custom solution, and you don’t have the budget for something like Magento, then Craft Commerce is ideally positioned.

Like WooCommerce for WordPress, Craft Commerce is a plugin for Craft CMS that transforms it into an ecommerce store.

Unlike WordPress, Craft CMS doesn’t have a theme feature. Every Craft Commerce store is custom built using a simple templating language called Twig. The main benefit of the approach is that bespoke solutions are fast and relatively cheap to produce, with none of the code bloat of platforms or WordPress.

Because your site is custom coded, you have complete control over your frontend, allowing you to iterate UX and SEO.

You will need a Craft developer to set up Craft Commerce because the learning curve is steeper than a CMS like WordPress. However, once you’re setup, Craft sites are among the simplest to own and manage.

6. Stripe: Best for Outliers

Ecommerce solutions market themselves on different strengths, but the nature of design patterns means they almost all follow a similar customer journey: search for an item, add the item to a cart, review the cart, checkout. Like any business, they want to maximize their market share, which means delivering a solution that caters to the most common business models.

Occasionally a project happens along that doesn’t fit that business model. Perhaps you’re selling a product that’s uniquely priced for each customer. Perhaps you’re selling by auction. Perhaps you don’t want to bill the customer until a certain point in the future.

Whatever your reason, the greatest customization level — breaking out of the standard ecommerce journey — can be managed with direct integration with Stripe.

Stripe is a powerful payment processor that handles the actual financial transaction for numerous ecommerce solutions. Developers love Stripe; its API is excellent, it’s documentation is a joy, it’s a powerful system rendered usable by relentless iteration.

However, this approach is not for the faint-hearted. This is a completely custom build. Nothing is provided except for the financial transaction itself. Every aspect of your site will need to be built from scratch, which means hefty development costs before seeing any return on investment.

The Best eCommerce Solution in 2021

The best ecommerce solution is defined by three factors: the size of your store, the anticipated growth, and the degree of custom design and features you want or need.

Shopify is the choice of most successful small stores because you can be selling inside a day. For businesses with an existing presence and a smaller turnover, those on WordPress will be happy with WooCommerce. For larger stores planning long-term growth, BigCommerce’s headless option is ideal. Craft Commerce is a solid performer that marries low costs with flexibility for businesses that need a custom approach.

 

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

In this sample, we will implement the server-side of a client-server style messaging app. To do so, you could use your preferred programming language, but for speed, we’ll use Linx, a low-code developer tool for backend APIs, integrations, and automation.

For a quick review of Linx and how it works, see this video.

Scope

We will implement some web methods, which will be useful for creating a messaging client. However, the following items fall outside the scope of this sample:

Source de l’article sur DZONE