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Background Context

In our first blog, we introduced the definition and evolution of hybrid multicloud, key challenges of the enterprises, and the value realized by implementing a hybrid multicloud strategy. This blog will cover how to create a holistic and business-value-driven multicloud strategy. In order to provide agility, security, reliability, and access to a large ecosystem of services, a robust transformation strategy and program are required. This strategy must align with business objectives such as revenue growth, cost reduction, risk reduction, enhancing the customer experience, and capitalization of market opportunities.

Having created many transformation strategies across many industries, we have observed critical success factors that are worth noting. For instance, successful IT organizations tightly align their cloud strategies to business objectives while developing a target architecture and operating model blueprint while quantifying the costs and benefits in a business case. Organizations that have failed to implement their cloud strategy, or failed to realize their committed benefits, typically do not complete these important elements of a holistic strategy. 

Source de l’article sur DZONE


Learn how to set up a GPU-enabled virtual server instance (VSI) on a Virtual Private Cloud (VPC) and deploy RAPIDS using IBM Schematics.

The GPU-enabled family of profiles provides on-demand, cost-effective access to NVIDIA GPUs. GPUs help to accelerate the processing time required for compute-intensive workloads, such as artificial intelligence (AI), machine learning, inferencing, and more. To use the GPUs, you need the appropriate toolchain – such as CUDA (an acronym for Compute Unified Device Architecture) – ready.

Let’s start with a simple question.

Source de l’article sur DZONE


Intro

I was lucky. I already had extensive knowledge of Docker before starting the certification for Kubernetes developer (CKAD), and I have an employer (Ordina) that gives me the space and time to invest in myself.

So I claimed a week of preparation and did the whole Kubernetes for Developers (LFD259) course. To follow this course, you have to prepare a practice environment, and you are given instructions on how to do that on AWS or Google Cloud (which can result in extra costs). It is also very possible to create a cluster on your local machine. To make my life easier (and cheaper) I opted for the last option and created a vagrant set up with instructions for it here.

Source de l’article sur DZONE

Thinking of building the next big mobile application? The time to market of a mobile application is critical in the current fast-paced industry. Deciding if it’s an Android or an iOS application is just one part of the problem. Most of today’s applications need a backend system to carry out their operations. Features like remote data storage/syncing, authentication, and user communication require a set of backend services to be available.

So, how can we develop these backend systems for mobile applications? There are two main patterns for doing this. The first is to do direct integration.

Source de l’article sur DZONE

Apache Kafka became the de facto standard for processing data in motion across enterprises and industries. Cybersecurity is a key success factor across all use cases. Kafka is not just used as a backbone and source of truth for data. It also monitors, correlates, and proactively acts on events from real-time and batch data sources to detect anomalies and respond to incidents. This blog series explores use cases and architectures for Kafka in the cybersecurity space, including situational awareness, threat intelligence, forensics, air-gapped and zero trust environments, and SIEM/SOAR modernization. This post is part six: SIEM/SOAR Modernization.

Blog Series: Apache Kafka for Cybersecurity

This blog series explores why security features such as RBAC, encryption, and audit logs are only the foundation of a secure event streaming infrastructure. Learn about use cases,  architectures, and reference deployments for Kafka in the cybersecurity space:

Source de l’article sur DZONE

A server consolidation project is a significant undertaking, and IT teams will need to answer several weighty questions while planning for one. Can servers be consolidated more efficiently? If so, what is the cost and timeline for doing so? How can we adjust parameters like CPU, memory and storage if our estimates turn out to be incorrect? How will we handle R&D and testing for the new systems? And, most importantly, if we answer any of these questions incorrectly, how much will that impact the timeline and budget for the project?

It’s possible to answer these questions by using the Cloud as a sandbox environment to test design assumptions and validate ways of re-organizing and consolidating servers. Ultimately the servers will remain hosted on-premise, the cloud is just used as a placeholder in the planning and design phase of the project. Here’s how I recommend approaching the project. 

Source de l’article sur DZONE

Le 14 septembre 2021, une équipe de chercheurs en vulnérabilités a découvert quatre vulnérabilités dans Microsoft Azure, la plateforme cloud de Microsoft [1]. Ces vulnérabilités sont situées au sein du service OMI, lequel est déployé dans l’écosystème Azure. Ces vulnérabilités ont été …
Source de l’article sur CERT-FR

J’ai récemment eu une conversation avec le responsable produits d’un grand fabricant d’équipements industriels. Chaque machine comporte de  multiples variantes, est vendue à des centaines de clients, ce qui représente des milliers d’installations à travers le monde et peut être utilisée pendant des décennies. Mon interlocuteur m’expliquait qu’il avait reçu un appel d’un de ses clients  pour la mise à niveau d’une de ses machines pour en augmenter la productivité et optimiser. De ce fait, les équipes de ce responsable produits  vont être très occupées pour répondre à cette demande au cours des prochaines semaines, voire des prochains mois. Imaginez maintenant le nombre de ressources et le temps qui seraient nécessaires s’il avait à répondre à plusieurs demandes similaires en parallèle.

Voyons quelles sont les tâches les plus importantes qui sont requises pour élaborer un plan de réponse complet à destination de ce client :

  • évaluer le potentiel de revenus de la demande de mise à niveau ;
  • analyser la réplicabilité de la solution auprès d’autres clients ;
  • vérifier l’état de fonctionnement de l’équipement ;
  • évaluer le mode d’utilisation de la machine ;
  • valider la compatibilité de la dernière configuration proposée par l’ingénierie ;
  • comprendre les nouvelles exigences applicatives ;
  • effectuer une analyse des risques ;
  • analyser les perturbations de la chaîne d’approvisionnement ;
  • collaborer avec les fournisseurs et les partenaires pour élaborer le plan d’exécution ;
  • et probablement bien plus encore…

Il est également important de noter le nombre de systèmes, de processus et de partenaires requis pour construire et appliquer ce plan d’intervention.

Tout est question de stratégie globale

Nous voyons de nombreux clients de tous secteurs, en particulier dans la haute technologie, l’énergie, les équipements industriels, la santé, l’aérospatiale et le pétrole et le gaz, cherchant à tirer une part croissante de leurs revenus de services stratégiques. C’est un objectif commun aux fabricants d’équipements d’origine (OEM) recherchant des marges plus élevées, une proximité accrue avec leurs clients et des revenus récurrents.

Pour y parvenir, les entreprises doivent élaborer une stratégie globale, en intégrant les services d’ingénierie à la gestion des actifs, afin de rapprocher les OEM des opérateurs.

Dans cet article, je vous expose les éléments stratégiques liés à l’intégration du monde de l’ingénierie et de l’opérationnel, qui permettront aux OEM et aux opérateurs de maximiser la valeur de leur collaboration et de mettre en place une base permettant d’explorer de nouveaux business models, tel que le Product as a Service.

Éléments stratégiques d’une intégration des services d’ingénierie à la gestion des actifs

Ne serait-il pas intéressant de disposer d’un package de solutions prêt à l’emploi permettant de gérer tous les actifs installés, prenant en compte leur durée de vie et leur état ?

Comment y parvenir ?

Voyons quelques-uns des éléments stratégiques qui permettront de briser les silos fonctionnels, pour bénéficier d’une vue à 360 degrés du cycle de vie des produits et des actifs.

 

 

  • Tout d’abord, un OEM doit savoir déterminer la configuration d’un actif existant à partir des spécifications du produit issues de l’ingénierie. Il s’agit ici de la capacité à suivre et à gérer entièrement l’actif lors son installation, puis tout au long de son cycle de vie et jusqu’à sa mise hors service. L’un des aspects importants est de comparer dynamiquement l’actif en fonctionnement avec les configurations d’ingénierie les plus récentes, afin de prendre les bonnes décisions de maintenance ou de mise à niveau.
  • Le deuxième élément est la façon dont les partenaires collaborent et partagent des données. En créant un écosystème collaboratif de nouvelle génération basé sur le cloud, les équipementiers, les opérateurs, les fournisseurs et les partenaires de service vont disposer d’une plate-forme commune. Elle permettra de rassembler l’ensemble des partenaires, de partager du contenu, des données, et même d’étendre les processus métiers au-delà des murs de l’entreprise. L’objectif est de permettre aux OEM et aux opérateurs de déterminer quelles mesures doivent être prises et à quel moment.
  • Le troisième aspect est l’efficacité avec laquelle nous utilisons les données d’ingénierie en amont pour améliorer la gestion des actifs. Avec une ingénierie de service efficace, nous pouvons établir une nomenclature des services, des conceptions de services, identifier des systèmes critiques, définir des caractéristiques de performance, planifier des stratégies de service, créer des aides visuelles et bien plus encore. Les données de l’ingénierie de service peuvent être utilisées efficacement dans plusieurs flux de gestion des actifs, tels que la planification de la demande, les services sur le terrain, la gestion des garanties, les plans de maintenance et les stratégies d’actifs. En activant une continuité numérique de bout en bout, il est possible de connecter les données tout au long de la chaîne de valeur d’un service, de sa conception à son utilisation.
  • Enfin, l’un des éléments clés est de permettre aux entreprises de capturer et d’analyser les données transactionnelles et de performance des actifs opérationnels. Une fois restituées sous forme exploitable, ces informations permettront de générer des plans de service dynamiques, mais aussi d’identifier les modifications de conception à apporter, ainsi que les mises à niveau possibles afin de maximiser la valeur d’un actif. Cette boucle de rétroaction continue reposant sur l’ensemble de la base installée permettra aux OEM de proposer de meilleurs produits, plus durables.

Afin de répondre à cette évolution des besoins métiers sur le terrain de l’intégration des services d’ingénierie à la gestion des actifs, SAP et Siemens Digital Industries Software ont récemment annoncé  une extension de leur partenariat qui leur permettra de fournir de nouvelles solutions de gestion du cycle de vie intelligent des services et des actifs. Il est essentiel que tous ces éléments stratégiques soient liés aux processus métiers de la chaîne d’approvisionnement et qu’ils soient accessibles sur une plate-forme unique pour que les équipementiers et les opérateurs puissent en tirer une valeur commerciale.

 

Découvrez la valeur stratégique qu’il y a à gérer le cycle de vie de produits intelligents et connectés avec des technologies numériques à travers l’ensemble de votre entreprise et de l’entreprise étendue.

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Source de l’article sur sap.com

Lindt & Sprüngli France a été l’un des premiers industriels hexagonaux à basculer vers SAP IBP pour moderniser sa supply chain. Un pari pour le chocolatier, qui a été accompagné dans sa démarche par TeamWork. Lindt France compte sur ce socle modernisé pour refondre ses processus de prévision et accélérer sur le terrain de l’analytique.

Célèbre chocolatier suisse fondé en 1845, Lindt est classé dans le top 10 mondial des fabricants de confiseries. L’industriel a enregistré un chiffre d’affaires 2020 de 4 milliards de francs suisses. Il compte environ 14 500 collaborateurs dans le monde. Par ailleurs, le chocolatier est très présent en France. En effet, Lindt dispose d’une usine à Oloron-Sainte-Marie et d’un réseau composé d’entrepôts et de 26 magasins.

Lindt France utilisait la solution SAP Advanced Planning and Optimization (SAP APO) pour assurer la planification de la demande. Cet outil arrivant en fin de vie, Lindt lui a cherché un successeur au travers d’un appel d’offres, avec un regard particulier porté sur SAP Integrated Business Planning for Supply Chain (SAP IBP).

« Dans le même temps, nous avons mené une réflexion autour du métier de prévisionniste et sur la mise en place d’un processus S&OP, chargé de faire le lien entre les équipes commerciales et celles travaillant sur notre site de production, explique Jean-Pascal Auge, Chef de projet fonctionnel IT chez Lindt & Sprüngli France. L’enjeu informatique était donc aussi doublé d’un enjeu métier. »

Le choix s’est rapidement porté sur SAP IBP et TeamWork, un spécialiste de la supply chain. Ce dernier est venu présenter la solution SAP IBP au travers de son préconfiguré, Step In for SAP IBP by TeamWork. Lindt a apprécié d’entrée de jeu l’intégration avec Microsoft Excel. Un outil bien connu des planificateurs : « L’interface Excel est un atout pour gagner en efficacité lors du déploiement de la solution », confirme Jean-Pascal Auge.

Un accompagnement permanent assuré par les équipes TeamWork

Lindt a été un des premiers acteurs à implémenter SAP IBP en France pour moderniser sa supply chain. Un risque d’autant plus grand que l’industriel disposait déjà d’une solution fonctionnelle, quoique manquant d’agilité. L’expertise de TeamWork a été cruciale afin de déterminer quelles parties d’IBP utiliser, complétées par son préconfiguré. TeamWork a su également enrichir SAP Cloud Platform Integration (CPI), afin de créer des interfaces stables, robustes et adaptées aux besoins de Lindt.

Le projet a démarré en octobre 2019 et s’est déroulé sur 8 mois. La mise en route fut réalisée avant l’été 2020. Le tout dans un contexte difficile lié à la crise sanitaire. TeamWork s’est appuyé sur les conclusions de l’audit fonctionnel pour bâtir une solution SAP IBP, en se concentrant sur le Demand Planning. Un travail facilité par la proximité des processus gérés par les deux solutions.

Durant la première année d’exploitation, Lindt et les équipes de TeamWork se sont concentrés sur l’optimisation de la solution déployée. « La montée en régime s’est très bien passée et les métiers se sont approprié SAP IBP très rapidement, explique Jean-Pascal Auge. Dès la première utilisation, les résultats étaient déjà supérieurs à ceux de SAP APO en termes de temps de traitement du cycle mensuel et de fiabilité de la prévision. Les équipes de TeamWork ont su nous accompagner tout au long du projet et nous aider à franchir chaque étape. »

Améliorer le travail des prévisionnistes

La solution SAP IBP mise en place se veut plus flexible. Elle apporte plus d’agilité aux équipes métiers que SAP APO, tout en offrant de nouvelles fonctionnalités. Elle est également capable d’interagir avec les autres solutions de planification de Lindt & Sprüngli France. « Le résultat est concluant, résume Jean-Pascal Auge. TeamWork continue à nous accompagner sur le support de deuxième niveau, le premier étant assuré en interne. Il prend ainsi le relai de notre DSI sur les questions nécessitant une expertise avancée. »

La phase de stabilisation de la solution a permis aux équipes supply chain de souffler après ce long travail de 8 mois. Mais d’autres projets sont déjà sur la table. Des évolutions régulières de la solution sont ainsi programmées, afin d’accompagner la transformation de l’activité des prévisionnistes. Les nouvelles fonctionnalités apportées par SAP IBP permettent de faciliter le reporting opérationnel. Mais, Lindt France souhaite aller plus loin en termes de consolidation de données et de reporting.

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Source de l’article sur sap.com


Infographic.

Add Sleuth, RabbitMQ, and Zipkin in Spring Cloud Project

This article assumes that you know how to set up a spring cloud or spring boot project; also, the RabbitMQ and ElasticSearch servers are ready.

Add the dependencies in maven pom.xml:

Source de l’article sur DZONE