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 Paris, le 21 septembre 2023 – SAP, leader mondial des logiciels professionnels d’entreprise, lance ce jour son nouveau programme d’accélération de startups autour de SAP.iO, son accélérateur interne. Un programme qui vise à soutenir l’engagement des consommateurs grâce à une meilleure expérience et une satisfaction client. 15 startups seront ainsi accompagnées.

 

De nouvelles tendances dans l’expérience client qui incitent à l’innovation.

Dans un environnement numérique en constante évolution, SAP poursuit sa quête vers plus d’innovation pour répondre aux besoins de ses clients. Aujourd’hui, les exigences des clients finaux ne cessent de croître, notamment en raison d’une volonté accrue de l’accès instantané à l’information. Cette tendance incite les entreprises à réexaminer régulièrement leur approche, en intégrant à leurs solutions, des avancées technologiques telle que l’intelligence artificielle.

 

Un programme complet d’incubation de startups  innovantes dans l’expérience client. 

C’est la raison pour laquelle SAP lance son programme SAP.iO, axé sur l’amélioration de l’expérience du consommateur en fournissant les solutions les mieux adaptées à cette tendance. Ce programme initié par SAP, piloté par l’incubateur SAP.iO, est essentiellement orienté B2C (Business-to-Consumer), l’objectif étant de fournir tous les outils et solutions nécessaires aux clients finaux pour améliorer significativement leur expérience, avec un accent particulier sur l’amélioration de leur expérience d’achat. Ce programme couvre l’intégralité de la chaîne d’approvisionnement, depuis la sélection du bon produit jusqu’à sa livraison, dans les délais impartis. Cette nouvelle initiative démontre l’engagement continu de SAP à demeurer à la pointe de l’innovation pour ses partenaires, et à créer une valeur ajoutée dans le domaine de la gestion de la relation client.

 

Le programme de SAP.iO accompagne 15 startups à partir du 21 septembre.

Le programme sera officiellement lancé le 21 septembre à la Tour SAP (Inscription ci-contre) en compagnie des 15 startups sélectionnées pour y participer. Ces startups ont été choisies en fonction de plusieurs critères, notamment leur taille et leur expérience relative, la viabilité technique de leurs solutions, leur unicité par rapport aux technologies existantes chez SAP, et leur valeur commerciale. Ces startups sont toutes spécialisées dans l’expérience d’achat et seront intégrées au programme SAP (voir listing ci-dessous).

 

 

« SAP.iO est fier d’accompagner 15 startups talentueuses qui incarnent notre vision d’un avenir où l’engagement des consommateurs est au cœur de chaque entreprise. Ce tout nouveau programme d’accélération illustre notre engagement à améliorer la satisfaction des clients finaux et donc de nos clients. » Odilia von Zitzewitz, Head of SAP.iO Foundry Paris

 

 

Les startups sélectionnées pour participer au programme

 

Anaphora

Anaphora conçoit et crée des plateformes permettant aux marques internationales d’améliorer et de contrôler leurs expériences de marque dans tous les points de contact numériques.

 

Booxi

Booxi est un logiciel de prise de rendez-vous qui améliore la satisfaction client, augmente les conversions et les ventes en facilitant la création de parcours clients fluides du site web au magasin.

 

ChatLabs

Avec ChatLabs les marques peuvent générer une expérience unique pour chaque client, en combinant le contenu, les produits et les appels à l’action dans des parcours hyper-personnalisés. Chaque parcours est entièrement automatisé et alimenté par l’IA.

 

Digitoo

Digitoo est une solution de comptabilité alimentée par l’IA conçue pour résoudre les problèmes du secteur (manque de personnel, les coûts élevés, la complexité du traitement des documents papie…)

 

Find & Order

Find & Order travaille depuis 3 ans avec les leaders de la logistique et de la distribution pour challenger leurs opérations et leurs systèmes d’information. 

 

Frontnow

Frontnow redéfinit le commerce électronique grâce à l’IA, en fournissant aux entreprises de puissants outils d’avant-vente pour maximiser les indicateurs clés de performance et offrir une expérience d’achat semblable à celle d’un magasin.

 

Logicbroker

Logicbroker est la première plateforme de commerce électronique de gestion de l’expérience de la chaîne d’approvisionnement (SCXM). Leur suite intégrée relie tous les participants de la chaîne d’approvisionnement d’une organisation, quel que soit le type de modèle commercial.

 

Measmerize

Measmerize propose une solution de recommandation de taille pour la mode, qui établit un équilibre entre le taux d’adoption et la précision.

 

Notify

Notify est le 1er SaaS d’orchestration CRM qui place l’intelligence artificielle au cœur du dialogue entre les marques et leurs clients. Leur IA nourrit un CRM innovant qui réduit la pression marketing, individualise et légitime la relation, et optimise l’empreinte carbone du CRM. Notify est la réponse aux enjeux du Capital Client et aux indicateurs de transformation du CRM.

 

Particular Audience

Les solutions de Particular Audience comprennent des offres groupées et automatisées sur la politique d’alignement des prix, les produits sponsorisés, la recherche vectorielle basée sur les transformateurs, la recherche visuelle, les recommandations, les informations sur les prix et la tarification dynamique.

 

Potions

Potions développe et distribue la première plateforme de personnalisation de parcours sans cookie, grâce à laquelle ils déploient des expériences uniques pour les visiteurs des sites web des clients.

 

Q°emotion

Q°emotion est une solution sémantique et émotionnelle qui analyse automatiquement les avis clients, ceci afin de détecter et d’éliminer tous les irritants du parcours client.

 

Uncrowd

Uncrowd est une plateforme d’analyse de l’expérience qui explique aux entreprises comment être le premier choix pour toute mission client. La combinaison unique d’observation de l’expérience client, de mesures quantitatives et de résultats comparatifs permet de construire des cartes de parcours client qui aident les entreprises à séduire de nouveaux prospects.

 

Unea

Unea est une plateforme tout-en-un qui révolutionne la gestion des dépenses médiatiques et commerciales des détaillants. Elle permet aux détaillants et aux marques de collaborer de manière transparente, en présentant des produits et en réservant des emplacements en temps réel.

 

YDISTRI

YDISTRI est une startup SaaS B2B spécialisée dans la gestion des stocks d’invendus du commerce de détail. En redistribuant intelligemment les stocks invendables, ils augmentent l’efficacité et la rentabilité, tout en renforçant la fidélité des clients, la durabilité et la résistance aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement.

 

A propos de SAP :

La stratégie de SAP est d’aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente » et durable. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 87 % du commerce mondial total est généré par nos clients. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analyse avancée aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration pour qu’ils puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications et de services end-to-end permet aux clients privés et publics de 26 secteurs d’activité dans le monde entier, de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Grâce à un réseau mondial de clients, de partenaires, d’employés et de leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

 

Contact presse :

Sylvie Lechevin : sylvie.lechevin@sap.com / sap@the-arcane.com

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Source de l’article sur sap.com

Tutoriels vidéo : messages Java consommateur/producteur entre serveur Kafka

Les tutoriels vidéo sur les messages Java consommateur/producteur entre serveur Kafka sont une excellente façon d’apprendre à maîtriser cette technologie. Découvrez comment configurer et utiliser cette technologie !

Comment envoyer et recevoir des messages entre un consommateur Java et un producteur et le serveur Apache Kafka dans cette série de tutoriels vidéo

Premier Paragraphe

L’architecture Apache Kafka est un système de messagerie distribué qui peut être utilisé pour construire des applications de streaming et de traitement des données. Il est largement utilisé dans les applications de streaming et de traitement des données pour la mise en œuvre de pipelines de traitement des données complexes. Dans cette série de tutoriels vidéo, nous allons explorer la procédure d’envoi et de réception de messages entre un consommateur et un producteur Java et le serveur Apache Kafka. Nous allons également examiner le code Java pour consommer des messages à partir du serveur Apache Kafka.

Deuxième Paragraphe

Le code Java pour consommer des messages à partir du serveur Apache Kafka est assez simple. Tout d’abord, vous devez créer un objet KafkaConsumer et spécifier le type de données que vous souhaitez consommer. Ensuite, vous devez définir le serveur Apache Kafka sur lequel vous souhaitez envoyer les messages. Enfin, vous pouvez appeler la méthode subscribe () pour s’abonner à un sujet et commencer à recevoir des messages. Vous pouvez également spécifier le type de données que vous souhaitez recevoir à l’aide de la méthode subscribe ().

Troisième Paragraphe

Une fois que vous avez abonné un sujet, vous pouvez appeler la méthode poll () pour récupérer les messages du serveur Apache Kafka. La méthode poll () prend en charge plusieurs paramètres, notamment le temps d’attente maximal, le nombre maximum de messages à récupérer et le type de données à récupérer. Une fois que vous avez récupéré les messages, vous pouvez les traiter en fonction des besoins de votre application. Une fois que vous avez traité les messages, vous pouvez les envoyer à un autre serveur Apache Kafka ou les stocker dans un magasin de données.

Source de l’article sur DZONE

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

En savoir plus

 

Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

Réduire l’empreinte carbone d’un produit nécessite une vision de bout en bout de son cycle de vie. Pour cela, il est nécessaire de casser la barrière IT existant entre la conception et la supply chain. SAP et Siemens proposent des intégrations avancées entre PLM et ERP. Avec Atos, ils s’allient pour aider les industriels à relever le défi climatique.

Les industriels sont confrontés à un triple défi : proposer des produits toujours plus complexes, dans des délais toujours plus serrés, tout en réduisant leur empreinte carbone. Le bilan de la COP26 de Glasgow est sans appel : constater la réalité du changement climatique ne suffit plus, il faut agir. Histoire de compliquer la situation, la raréfaction des matières premières s’ajoute aujourd’hui à l’urgence climatique.

Le sujet de l’empreinte carbone est crucial pour trois raisons principales :

  • Les clients sont toujours plus nombreux à demander comment sont fabriqués les produits qu’ils achètent et quelle est leur empreinte carbone. Une empreinte que l’entreprise doit être capable de mesurer.
  • La législation devient de plus en plus contraignante, poussant ainsi les entreprises à être plus vertueuses en matière d’environnement. Mais également à mettre en place des outils montrant la réalité de leurs actions dans ce domaine.
  • La RSE met en exergue le sens des responsabilités des entreprises. La green line (empreinte écologique) devient progressivement aussi importante que la top line (revenus) et la bottom line (marges).

Une problématique à traiter de bout en bout

« L’Union Européenne veut réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55% en 2030 et vise la neutralité carbone en 2050. 2030, d’un point de vue industriel, c’est presque aujourd’hui, constate Denis Goudstikker, Teamcenter Business development Executive chez Siemens Digital Industry Software. À ce jour, un tiers des entreprises se sont fixé un objectif zéro émission, mais seulement 9% de ces entreprises ont réellement lancé des actions en vue de les réduire. »

Pour qu’un produit ait un impact environnemental minimal, il faut l’optimiser de bout en bout, de la conception à la production en passant par son utilisation et son recyclage. « La plupart des entreprises se concentrent uniquement sur les émissions liées à leur activité, explique Olivier Everaert, Head of Green PLM chez Atos. Elles ne prennent pas en compte l’ensemble du cycle de vie du produit et de sa chaîne de valeur, ce qui mène à des résultats sous-optimaux. Il faut penser en termes de réseau, où tous tendent vers un but commun, du fournisseur de matière première à l’industriel… et jusqu’au consommateur. »

« La réduction des impacts environnementaux commence dès la conception du produit, enchaîne Bruno Hemery, Head of Siemens partnership, SAP France. Elle se poursuit avec les approvisionnements (matières premières, emballage, etc.). Puis lors de la fabrication : produire mieux permettra d’avoir moins de rebuts en bout de chaîne et de consommer moins d’énergie. La logistique peut aussi être optimisée, en regroupant par exemple les approvisionnements de plusieurs fournisseurs (parfois concurrents) devant livrer un même client. Il faut également être capable de mieux connaître l’usage des produits, ce qui permettra de les améliorer au fil des versions. Enfin, d’autres éléments sont à prendre en compte, comme le recyclage et l’économie circulaire. »

Les actions en faveur de l’environnement ne sont pas forcément des investissements coûteux. Réduire la quantité de déchets générée lors de la production se traduit ainsi par une diminution des besoins en matière première et donc un abaissement des coûts de revient.

SAP et Siemens, artisans de la continuité numérique

Pouvoir prendre en charge l’ensemble du cycle de vie d’un produit nécessite de casser une barrière dans le système d’information de l’entreprise, celle séparant la conception, pré carré du PLM, et les fonctions finance, achat, production, vente, prises en charge par l’ERP. « Il faut décloisonner ces deux mondes, afin de mettre en place une continuité numérique, confirme Bruno Hemery. L’information pourra ainsi circuler dans les deux sens, la conception influant sur la supply chain et – partie innovante – la supply chain et l’usage du produit pouvant influer plus directement sur la conception. La continuité numérique permet également de s’assurer que l’information est identique des deux côtés. »

Le partenariat annoncé le 14 juillet 2020 entre SAP et Siemens vise à donner corps à ce concept de continuité numérique. Il s’est traduit par la livraison de nouvelles intégrations entre les offres de Siemens et de SAP. « Cette intégration fine entre nos deux plateformes donne une compréhension de l’ensemble du cycle de vie d’un produit permettant de s’assurer dès sa conception que l’on va dans la bonne direction, tout en restant compétitifs. La clé de la réussite est d’être capable d’amener des processus vertueux et compétitifs, » résume Denis Goudstikker.

Par ailleurs, la réduction de l’empreinte carbone passe souvent par de l’innovation. C’est le cas par exemple lorsqu’un constructeur automobile adopte des motorisations électriques ou à hydrogène. « La continuité numérique permet de créer des conditions favorables à l’adoption d’innovations, tout en maîtrisant le risque et en préservant la compétitivité de l’organisation, poursuit Denis Goudstikker. C’est un environnement qui permet de se préparer à n’importe quel scénario. »

Des ateliers pédagogiques animés par Atos

Atos sait diagnostiquer la chaîne de valeur des entreprises, afin de les aider à mettre en place une supply chain durable. Chaîne de valeur dont la visibilité et la transparence seront assurées par la mise en place d’une continuité numérique. La grande majorité des entreprises restent toutefois au début de cette transformation. Atos propose des ateliers pédagogiques gratuits leur permettant de mieux comprendre les applications pratiques de cette approche.

« Nous présentons une vingtaine de cas d’usages qui couvrent l’ensemble du cycle de vie d’un produit et nous montrons quelle est leur contribution sur l’empreinte carbone, détaille Olivier Everaert. Lors du premier atelier, les participants sont invités à nous faire remonter leur avis sur ces cas d’usage. Sont-ils applicables à leurs métiers ? Semblent-ils valables ? Peuvent-ils être améliorés ? Le second atelier permet de faire une plongée sur quelques cas d’usage sélectionnés, puis de discuter avec les participants de leur feuille de route de transformation. »

Ces ateliers d’idéation mettent l’accent sur le codéveloppement des cas d’usages et la cocréation des trajectoires de transformation des entreprises. Un premier brainstorming avant le passage à l’action…

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Source de l’article sur sap.com

Paris, le 30 novembre 2021 – Dans le cadre du salon Tech for Retail, ce 30 novembre et 1er décembre, Odoxa et SAP dévoilent un nouveau baromètre européen examinant l’impact de la crise sanitaire sur les façons de consommer. Cette enquête a été réalisée auprès de 3 500 français et européens entre les mois d’octobre et novembre.

Le baromètre s’intéresse à de nombreux enjeux de consommation, notamment les services favorisés, les produits phares, les enseignes majeures ou encore la seconde main et l’attention portée à la qualité du produit. Parmi ces nombreux enseignements, voici quelques chiffres clés :

  • L’enquête montre qu’il y a clairement un avant et un après : 62% des interrogés indiquent que la pandémie a radicalement transformé leur vision de la consommation. De plus, suite à cette crise, 55% d’entre eux affirment une transformation certaine de leur conception.

 

  • Ces évolutions se manifestent par de nouvelles habitudes, assimilées durant la crise, et aujourd’hui indissociables de leur quotidien. Ainsi 26% des Français déclarent indispensable la possibilité de réserver un créneau de rendez-vous via internet. Avec 21% de moyenne européenne, la France est le pays le plus demandeur sur ce sujet. En revanche, si 24% d’entre eux ne souhaitent pas délaisser la livraison à domicile, ce taux est bien en-dessous de celui du Royaume Uni qui, avec 53%, est le pays le plus attaché à ce service. Le service « click and collect », largement démocratisé durant la crise, est devenu crucial pour 24% des Français, alors que seuls 19% des Européens souhaitent conserver cette habitude.

 

  • La responsabilité environnementale des marques est un sujet décisif. 74% des Français positionnent la qualité des produits en tête de leurs critères de sélection. Sur l’échelle européenne on retrouve donc des marques comme Zara pour le textile, ou Mercadona pour les produits de grandes consommations alimentaires. Plus que jamais, la question de l’impact des marques et des produits sur la société se renforce.

 

« Cette crise a irrémédiablement changé la façon de consommer des européens : 55% des Français et 59% des Européens dans tous les autres grands pays voisins assurent qu’ils ne consomment/consommeront plus de la même manière après cette expérience. Jamais sans doute depuis l’après-guerre nos pays n’avaient connu un tel choc. Aux entreprises du Retail d’y faire face et de bien négocier ce virage et cette rupture schumpétérienne. » déclare Gaël Sliman, Président et Cofondateur d’Odoxa.

« Il est certain que ce baromètre va mettre en lumière des paradigmes de sociétés nouveaux. Certains évidents, d’autres sous-jacents mais tous révélateurs d’une transformation profonde de nos habitudes, de nos envies et de notre posture en tant que consommateur. Notre baromètre est clair, les Français, comme les Européens, ont changé de perspective, et ce, pour de bon. » indique Laura Duno, Fashion Value Advisor chez SAP France.

 

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Source de l’article sur sap.com

Autrefois réservés aux très grandes entreprises, les logiciels de gestion de production sont désormais accessibles et parfaitement adaptés aux PME/ETI. En effet, les solutions ERP & CRM intègrent un module de supply chain management, ou gestion de la chaîne logistique. Il permet à toute entreprise, quel que soit son domaine d’activité, sa taille ou sa localisation, de suivre efficacement le cycle de vie d’un produit, de sa conception jusqu’à l’achat par le consommateur, et même au-delà. Voyons dans le détail tous les avantages que vous avez à tirer d’une solution de gestion de production pour votre PME/ETI.

Rappel : qu’est-ce qu’une solution ERP & CRM ?

Une solution ERP est un portefeuille de logiciels modulables et personnalisables. Elle permet de centraliser en un seul lieu toute la gestion d’une entreprise. En effet, ERP, pour Enterprise Resource Planning, signifie en français « Progiciel de Gestion Intégré ». CRM, pour Customer Relationship Management, signifie « Gestion de la Relation Client ». Il peut être hébergé en interne sur les propres serveurs de l’entreprise. Mais également sur le cloud afin d’être accessible via Internet de partout dans le monde. Ou bien encore, en hybride selon le niveau de confidentialité recherché.

Ce type de solution est particulièrement adapté aux petites et moyennes entreprises. Mais aussi aux entreprises de taille intermédiaire, qui possèdent de nombreux salariés et collaborateurs. Ceux-ci peuvent ainsi collaborer, même à distance, à partir d’informations et de données mises à jour en temps réel.

Parmi les modules les plus communément intégrés à une solution ERP & CRM, on trouve :

  • un système dédié à tout ce qui concerne l’aspect financier de l’entreprise (comptabilité, trésorerie, facturation, bilan…) ;
  • un logiciel pour la gestion de la relation client et l’expérience utilisateur (le CRM regroupant la base de données clients, le marketing, les espaces de commerce, les ventes et le service en amont, pendant et après une vente) ;
  • un module consacré au réseau et à la gestion des dépenses (relation avec les fournisseurs, gestion des sources d’approvisionnement, services et main-d’œuvre externes, ventes, déplacements…) ;
  • un logiciel permettant de gérer l’ensemble de la chaîne logistique (conception, planification, production, transport et vente) ;
  • un système RH ;
  • un outil d’analyse afin d’étudier chacune des données de l’entreprise et optimiser son développement.

Quelles sont les fonctionnalités d’un module de gestion de la chaîne logistique ?

Regardons plus particulièrement ce que peut apporter un logiciel de gestion de production à une PME/ETI.

Dans le monde d’aujourd’hui, tout est connecté et tout va très vite. Votre société doit être en capacité de s’adapter quasiment en temps réel à l’offre et la demande du marché. D’un côté, vous êtes tributaire de vos fournisseurs, de l’autre des exigences des consommateurs. Afin d’être réactif, quels que soient les aléas auxquels vous pouvez être confronté, munissez-vous d’un outil numérique. Il vous permettra d’avoir une vue d’ensemble de votre chaîne d’approvisionnement.

Qu’importe votre secteur d’activité, il existe une solution ERP adaptée (ERP agroalimentaire, ERP industrie mécanique, ERP banque et assurance, ERP mode et ERP bien de consommation, etc.). Fort d’un tel outil, vous maîtrisez la conception, la planification, la production, la maintenance et l’approvisionnement final de vos produits.

Pour votre gestion de production, le logiciel vous permet de suivre tout le cycle de vie de vos produits. Vos équipes vont ainsi pouvoir plus facilement :

  • Concevoir : vous avez imaginé un nouveau produit. Votre logiciel de supply chain management vous permet de le dessiner, de le décrire, d’en établir les plans. Mais également, d’échanger entre les différents acteurs, d’apporter des modifications, etc. avant de fournir le cahier des charges à l’équipe de production.
  • Planifier : sur le tableau de bord de votre logiciel, vous indiquez l’avancement de chaque étape de votre projet. Vous visualisez les différents délais de réalisation de chaque équipe. Vous avez une vue d’ensemble de ce qui avance normalement et ce qui peut bloquer. Ainsi, vous ajustez au fur et à mesure votre planning. Vous renforcez les équipes si besoin, redéployez les forces vives à un autre poste, etc.
  • Produire : tout est prêt pour démarrer la fabrication du produit. Sur votre logiciel, vous centralisez la liste de vos fournisseurs, les matières premières nécessaires. Ainsi que la main-d’œuvre interne et externe, la disponibilité des machines, etc.
  • Entretenir : vos outils de production doivent être entretenus, pour leur bon état de marche et la sécurité de vos employés. Grâce à votre logiciel, vous planifiez leur maintenance. Vous notez les pannes et donc l’indisponibilité de certaines machines. Vous prévoyez leur remplacement, etc.
  • Fournir : enfin, vos produits doivent parvenir à vos clients, les consommateurs. Avec votre logiciel logistique, vous gérez les stocks, le transport, la mise en rayon, la vente, le retour client, etc.

Comment améliorer l’efficacité de sa gestion de production avec un logiciel GPAO ?

En tant que PME/ETI, un logiciel de gestion de production assistée par ordinateur (GPAO) vous fait gagner un temps précieux. Il contribue ainsi à l’augmentation de votre chiffre d’affaires. En effet, pour rester compétitif, vous devez investir pour accélérer l’innovation. Mais aussi pour réduire vos délais de mise sur le marché et optimiser la production, tout en réduisant les coûts. La solution SAP Digital Supply Chain & Industry 4.0 vous offre la possibilité de rendre plus efficace la gestion de votre production.

Être résilient face à un imprévu

La crise liée au Covid-19 nous a appris qu’il était indispensable d’être en capacité de revoir son positionnement vis-à-vis du travail. Quasiment du jour au lendemain, des millions de salariés, et certainement les vôtres, ont dû s’adapter et se mettre au télétravail. Les études montrent que ce sont les entreprises qui utilisaient déjà des solutions ERP incluant une solution de gestion de production qui ont su le mieux réagir. Toutes les données étant présentes sur le cloud, les équipes de développement de projet ont pu continuer à innover depuis chez elles. De la même manière que si elles étaient dans les locaux de leur entreprise.

De même, la fermeture des frontières, les confinements dans les différents pays et, au-delà de cet événement particulier, un conflit, une catastrophe naturelle, etc. peuvent avoir un impact sur votre approvisionnement en matières premières ou pièces détachées. Connaître en temps réel l’état de vos stocks est un atout. Cela vous permet d’anticiper un éventuel changement de fournisseur, sans avoir à effectuer un long et fastidieux inventaire.

Vous comprenez donc qu’investir en amont dans du matériel connecté et des logiciels de solution globale vous permet de ne jamais être pris au dépourvu, quel que soit l’imprévu qui se présente à vous.  

Être agile et réactif

Même en temps normal, si cela est encore une réalité, et en dehors de toute catastrophe, il est important d’être réactif et de s’adapter avec agilité à la nouveauté. Grâce aux retours des informations et données fournies par votre CRM, vous êtes à l’écoute de vos clients. Vous pouvez, par conséquent, leur proposer des produits correspondant à leurs attentes, voire personnalisables.

Avec votre solution de supply chain management et son intelligence artificielle, il vous est possible de tester vos idées avant la diffusion du produit. Mais aussi d’analyser sa rentabilité et rationaliser les processus. Vous économisez ainsi grandement sur les coûts de production, les matières premières, la gestion des stocks, etc.  

Être écoresponsable

Être innovant et hyperconnecté peut sembler aller à l’encontre des valeurs d’éco-responsabilité que vous souhaitez véhiculer. Il faut toutefois avoir une vision globale de votre système de production. Certes, le stockage de l’ensemble de vos données sur le  cloud et les serveurs qui l’hébergent entraîne une forte consommation d’énergie. Cependant, en contrepartie, vous économisez sur les déplacements. De plus, vous réduisez votre empreinte carbone. En effet, la majorité du travail de recherche, des réunions, des rendez-vous client, etc. peut se faire à distance. De même, avec une maîtrise parfaite de la gestion de vos stocks, vous évitez tout gaspillage inutile.

Au niveau de la fabrication et de la distribution de vos produits, votre logiciel GPAO vous permet une traçabilité de bout en bout de la chaîne de production. Il vous indique comment optimiser le conditionnement, les circuits de distribution, la récupération et le recyclage le cas échéant. Vous avez une vision très précise des produits dangereux et toxiques. Ceux dont l’étiquetage est automatisé, et comment les éliminer sans risque pour la nature ou, mieux, les recycler.

Concernant la maintenance de vos appareils de production, il est plus écoresponsable de les entretenir régulièrement. Vous éviterez ainsi la panne. Plutôt qu’être obligé d’arrêter la chaîne de production, de se débarrasser des machines défectueuses et non réparables, et d’en racheter de nouvelles. Votre logiciel GPAO répertorie chacun de vos moyens de production et vous alerte dès qu’une intervention est nécessaire.

Vous souhaitez simplifier la gestion de production de votre PME/ETI ? Vous souhaitez être en capacité de faire face aux imprévus et d’innover efficacement ? « Préparez demain dès maintenant » et contactez SAP, votre solution ERP & CRM globale.

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Source de l’article sur sap.com

Vous souhaitez vous concentrer sur votre cœur de métier ? Vous ne voulez plus perdre des heures en analyse de tableaux, de comptes-rendus et autres données concernant vos clients ? Optimisez votre temps et celui de vos salariés. Investissez dans un logiciel de gestion client, autrement appelé logiciel CRM pour Customer Relationship Management. Pour une PME/ETI, cette solution CRM de gestion de la relation client vous permet de synthétiser en un seul lieu, via Internet sur le cloud, toutes les données de vos clients et leur parcours dans votre entonnoir de vente.

Qu’est-ce qu’une solution CRM au sein d’une PME/ETI  ?

Le CRM, ou Customer Relationship Management, est une solution globale permettant de gérer la relation client au sein d’une entreprise, et ce, quel que soit son domaine d’activité. Elle est particulièrement adaptée aux petites et moyennes entreprises ainsi qu’aux entreprises de taille intermédiaire. La solution CRM regroupe trois notions :

  1. Une stratégie de gestion des clients choisie par la PME ou l’ETI, en fonction de ses valeurs et de sa vision du marketing.
  2. Un processus permettant de mettre en œuvre cette stratégie.
  3. Une solution technique : le logiciel CRM, hébergé sur le cloud où chacun enregistre ses données clients, qui sont ainsi mutualisées. Celles-ci sont alors accessibles aux différentes équipes de l’entreprise pour pouvoir être analysées et utilisées à des fins marketing.

Quelles sont les différentes fonctions d’un logiciel de gestion relation client ?

Un progiciel CRM est constitué de modules afin de l’adapter à chaque type d’entreprise en fonction de ses besoins et de son domaine d’activité. Vous bénéficiez ainsi d’un portefeuille de solutions sur mesure pour l’expérience client et votre stratégie CRM.

Voici les principales fonctionnalités d’un logiciel de gestion relation client.

Solutions pour les données clients

Côté entreprise, vous centralisez les informations concernant vos clients en un seul lieu, grâce à votre logiciel de gestion de base de données clients. Outre les coordonnées (adresse mail, adresse physique, numéro de téléphone, etc.), vous pouvez y répertorier leurs données socio-professionnelles (âge, sexe, composition familiale, niveau d’études, emploi, etc.). Vous avez également un aperçu personnalisé du parcours ayant conduit à la mise au panier et l’acte d’achat ainsi que le type de produits achetés ou consultés par chacun de vos clients et prospects.

Côté utilisateur, chaque client se voit proposer des produits susceptibles de l’intéresser, grâce à des suggestions ciblées en fonction des informations qu’il a lui-même fournies. D’ailleurs, pour qu’il accepte de vous transmettre ses données personnelles, il doit pouvoir le faire en toute confiance. Ainsi, vous devez le rassurer quant à la sécurité de ses données et au respect des informations confiées. Votre logiciel CRM doit donc répondre au RGPD et, en général, à la réglementation en vigueur en matière de confidentialité des données.

Solutions marketing

En étudiant le profil et le comportement de vos clients, vous pouvez mieux définir votre persona et affiner votre stratégie marketing. Il vous est également possible de la modifier afin d’élargir votre cible. En effet, un prospect à qui on propose exactement ce dont il a besoin est plus enclin à vous faire confiance et à faire appel à vos services ou produits.

Pour effectuer cette étude précise et poussée, quelques clics sur le tableau de bord de votre outil CRM marketing suffisent. Vous avez accès à de multiples statistiques en fonction du critère sélectionné (région, sexe, âge, catégorie socio-économique, nombre d’enfants, propriétaires d’animaux, etc.). Fort de ces informations, vous avez toutes les clés pour augmenter votre chiffre d’affaires par des campagnes marketing ciblées.

Solutions commerce et e-commerce

Afin d’optimiser l’expérience client, vous observez le comportement des personnes au moment de leur visite sur votre espace de vente, qu’il soit physique ou virtuel, puis après, à l’aide de sondages. Vous récoltez ces précieuses informations sur votre logiciel de gestion e-commerce. Leur analyse vous permet alors d’ajuster la configuration des points de ventes ou l’ergonomie de votre site et application.

Autant il peut être matériellement compliqué de modifier un lieu de vente physique, bien que la logistique en soit facilitée grâce à votre CRM, autant, toujours grâce à celui-ci, vous pouvez tester toutes les possibilités de boutique virtuelle en temps réel. Adaptez votre site marchand à chaque prospect afin de le convertir plus facilement en client, le fidéliser et ainsi maximiser vos profits.

Solutions de vente

En étudiant la satisfaction client avec vos solutions CRM, vous facilitez le travail de vos commerciaux et de vos équipes marketing. Suivez le tunnel de vente emprunté par vos prospects afin de supprimer des canaux d’appel inutiles et d’améliorer les plus efficaces dans votre entonnoir de vente.

Ainsi, vous optimisez votre budget publicitaire et de prospection. Votre système CRM vous indique en effet quelles actions marketing apportent des clients. Est-ce plutôt la distribution de flyers, une campagne emailing ou un contenu sponsorisé sur les réseaux sociaux ?  

Solution de service

En amont d’une vente, votre logiciel de relation client génère très facilement devis et contrats. Cette automatisation personnalisable accélère le processus de vente. Or, un client rapidement servi est un client satisfait. Il sera alors susceptible de faire de nouveau appel à vos services et à vous recommander auprès de son entourage.

En aval, il peut cependant s’avérer qu’un client ne soit pas entièrement satisfait du produit ou de la prestation. Il contacte alors le service après-vente. Grâce au logiciel CRM, tout l’historique des conversations écrites et orales entre le client et le SAV est enregistré et est accessible à n’importe quel opérateur du service clientèle. Ainsi, le suivi client en est grandement facilité. C’est la fidélisation assurée.

Quels sont les avantages d’une solution CRM pour les PME/ETI

Avant l’ère des solutions CRM, gérer l’ensemble des relations clients relevait parfois d’un exercice d’équilibriste. À partir du moment où plusieurs personnes sont concernées par la gestion client dans une entreprise, informer chacun de la moindre modification ou évolution des dossiers devient vite chronophage en logistique ou réunions. L’installation d’une solution CRM dans une PME/ETI est donc un gain de temps et d’argent. Voyons tous ces avantages en détail.

Une installation technique centralisée sur un cloud

Souvenez-vous quand il était nécessaire d’installer un nouveau logiciel sur tous les ordinateurs de votre entreprise. Vous deviez faire appel à une entreprise de techniciens spécialisés qui : soit travaillaient de nuit, soit devaient immobiliser les services de votre société pendant plusieurs jours. Il en était de même à chaque opération de maintenance qui se faisait laborieusement poste par poste.

Dorénavant, vous achetez une solution CRM auprès d’un opérateur qui vous en donne l’accès en ligne. La seule manipulation à effectuer est de télécharger via Internet l’application sur chaque terminal (PC, tablette, smartphone…). Chacun de vos collaborateurs et salariés peut même le faire lui-même.

Toutes vos données sont alors sauvegardées sur un cloud sécurisé, et mises à jour en temps réel. Ainsi, tous vos employés ont accès aux dernières informations clients et peuvent ainsi agir en conséquence. Quant aux mises à jour de la solution CRM en elle-même, elles sont réalisées par votre fournisseur, en ligne et en général la nuit, et sont installées automatiquement à l’ouverture de l’application par vos équipes en charge de la relation client.

Un logiciel de relation client accessible par tous et partout

En tant que PME ou ETI, vos équipes et collaborateurs sont répartis partout sur le territoire. Certains se déplacent et restent longtemps éloignés de votre siège. D’autres ont choisi le télétravail depuis leur domicile. Grâce à votre solution CRM pour PME/ETI, la gestion de la relation client s’effectue aussi facilement, voire même mieux, que si tout le monde était sur place.

En effet, chaque commercial sur le terrain, chaque vendeur en magasin, chaque opérateur du SAV, chaque analyste… entre les nouvelles données clients depuis le terminal pro qu’il possède, à partir du moment où il a accès à Internet. Cette condition est en général possible de quasiment n’importe où, grâce à la 4G ou la 5G, une borne wifi ou une connexion filaire (par câble ou fibre optique).

Une logistique rapide et simplifiée

Fort de toutes ces informations, vous voyez tous les avantages en termes de simplification et de rapidité que vous pouvez tirer d’une telle solution CRM au sein de votre PME/ETI. Vous ajustez en temps réel vos campagnes marketing. Vous adaptez vos pipelines de vente à chaque client. Votre service après-vente devient réactif et efficace. Ainsi, vous captez les bons prospects et vous fidélisez vos clients.

À qui est destinée la solution CRM ?

En faisant le choix des solutions SAP Customer Experience, vous avez la certitude de bénéficier d’un outil parfaitement adapté à votre secteur d’activité. En effet, la solution CRM que ce prestataire propose est entièrement modulable et personnalisable. Services publics ou secteur privé, vente de produits ou prestations en B2B ou B2C, magasin physique ou e-commerce… exigez le portefeuille de solutions de gestion de relation client qui vous convient parfaitement.  

Solution CRM pour le secteur public

Vous travaillez dans le secteur de l’eau, de l’énergie ou des télécommunications ? Vous êtes prestataire de services pour les administrations publiques ? Vos clients sont contraints de faire appel à vous, non par choix, mais par nécessité. En général, leur budget est calculé au plus juste, et la plupart cherche même à faire des économies. Grâce à votre solution CRM sur mesure, vous répondez à leurs demandes, et ce, à moindre coût.

Solution CRM pour le B2C

Vous êtes dans le secteur de la mode, des biens de consommation, de l’assurance, de l’automobile, des voyages, etc. et vous vous adressez aux particuliers ? Vos clients aiment vos produits, les valeurs véhiculées par votre entreprise, votre univers. Ils achètent chez vous par choix et par envie. En magasin ou sur votre site e-commerce, offrez-leur la meilleure expérience client possible. Répondez exactement à leurs attentes et leurs désirs de consommateur. Pour cela, utilisez toutes les fonctionnalités de votre logiciel CRM.

Solution CRM pour le B2B

Hautes technologies, équipements industriels, bâtiment… vos clients sont avant tout des professionnels comme vous. Vous parlez d’égal à égal, avec le même langage. Ils sont exigeants avec vous, comme vous l’êtes avec eux. Devis, contrats, gestion de la marketplace, factures, tout cela doit être fluide, intuitif, rapide, connecté et surtout performant.  Votre solution CRM intègre tous ces critères afin de fournir à vos clients ce dont ils ont besoin. Ainsi, ils ont une vision rassurante sur l’avenir et continuent à vous faire confiance. 

PME/ETI, augmentez vos performances, l’image que vous renvoyez à vos clients et donc votre chiffre d’affaires en choisissant les solutions CRM entièrement personnalisables de SAP Customer Experience.

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Source de l’article sur sap.com

Lors de sa conférence globale SAPPHIRE NOW®, SAP SE (NYSE : SAP) a dévoilé SAP® Business Network, la première étape d’une stratégie ambitieuse visant à créer de nouvelles communautés professionnelles capables d’améliorer les résultats commerciaux, de mieux gérer l’évolution des conditions économiques et géopolitiques et de renforcer les contributions au développement durable.

Le groupe a également annoncé un certain nombre de nouvelles innovations destinées à aider les clients à transformer leurs processus d’entreprise, à améliorer leurs performances et à donner le meilleur d’eux-mêmes. Les points forts de ces innovations prévues sont les suivants :

Les solutions de Business Process Intelligence proposent désormais la solution SAP Process Insights

Dans le cadre du portefeuille de solutions de Business Process Intelligence (BPI), la solution SAP Process Insights permet aux entreprises d’analyser et d’améliorer leurs processus de gestion dans le monde réel. EY, Deloitte et Infosys Limited sont les premiers partenaires stratégiques à travailler avec le portefeuille BPI de SAP pour aider les entreprises à se transformer. Pour en savoir plus : « SAP annonce la nouvelle solution SAP Process Insights pour une compréhension rapide et facile de la performance des processus« .

Verify, une nouvelle fonctionnalité de SAP Concur®, utilise l’intelligence artificielle et le machine learning pour simplifier la vérification des notes de frais

Le service Verify, une nouvelle fonctionnalité des solutions SAP Concur®, utilise l’intelligence artificielle et le machine learning pour identifier automatiquement les problèmes et anomalies potentiels des notes de frais. Les modèles d’IA sont construits à partir de l’analyse de plus de 1 000 milliards de dollars de dépenses et de dizaines de millions de dépenses et de reçus. Verify peut approuver les notes de frais automatiquement, tout en signalant d’éventuelles anomalies pour que les auditeurs les examinent. Grâce à cette expérience alimentée par l’IA, les auditeurs ne perdent plus de temps à examiner des notes de frais conformes, mais restent en capacité de détecter des problèmes de conformité ou de fraude. Pour en savoir plus : « Verify applique l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique pour simplifier l’audit des dépenses« .

SAP Upscale Commerce, une solution no-code pour un engagement direct du consommateur

La solution SAP Upscale Commerce est une solution de commerce en ligne sans code qui permet aux détaillants de taille moyenne de créer une expérience d’achat omnicanale en quelques minutes. Grâce à l’IA intégrée, les détaillants peuvent proposer des offres personnalisées basées sur une vision à 360 degrés de leurs clients, à partir du ressenti client et des données d’achat. Grâce à une architecture API « headless », les détaillants peuvent fournir aux clients des informations en temps réel sur leurs achats et leur livraison, quel que soit le canal. SAP Upscale Commerce est intégré à SAP S/4HANA®, ce qui permet de s’assurer que les expériences en contact client fonctionnent avec les systèmes back-end de finance, de logistique et d’exécution pour offrir une expérience client fluide. Pour en savoir plus : « SAP Upscale Commerce offre aux marques du Midmarket une voie sans code et sans maintenance vers l’engagement direct du consommateur« .

Trois nouvelles fonctionnalités de la SAP Business Technology Platform, pour exploiter les données en toute transparence

La solution SAP Analytics Cloud offre désormais des fonctionnalités d’analyse et de planification de la main-d’œuvre opérationnelle et une intégration avec les solutions SAP SuccessFactors®. Ces fonctionnalités relient les données opérationnelles, financières et humaines pour donner aux entreprises une vision plus complète de leur personnel. Pour en savoir plus : « Enabling Human-Centric & Data-Driven Workforce Planning« .

La nouvelle marketplace de données pour la solution SAP Data Warehouse Cloud, quant à elle, permet aux clients et aux partenaires de se connecter à des fournisseurs de données de tous les secteurs et de toutes les branches d’activité afin d’obtenir des informations pour une meilleure prise de décision.

SAP étend également son offre low-code/no-code : Les services SAP Intelligent Robotic Process Automation peuvent désormais capturer et automatiser les interactions des utilisateurs et s’intégrer à SAP Process Insights pour identifier les opportunités d’automatisation à fort impact.

Vous pouvez en savoir plus sur les mises à jour de la plate-forme SAP Business Technology et obtenir d’autres informations dans le guide de l’innovation de SAPPHIRE NOW.

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Mateo Moreau : 06.31.80.86.93 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

 

 

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Source de l’article sur sap.com

SAP France accompagne, aux côtés de l’incubateur makesense, des startups à vocation sociale et environnementale depuis 2014. Les collaborateurs SAP sont toujours plus nombreux à s’engager dans la démarche et à soutenir ces startups qui souhaitent changer le monde. Cette année, l’équipe de mentors SAP compte Frédéric Chauviré, Directeur Général de SAP France, qui va apporter son soutien et ses connaissances à cette cinquième promotion.

Les collaborateurs SAP accompagnent chaque startup sur un volet technologique pour les aider à tirer le meilleur de leur phase de prototypage et à consolider leur business model. SAP France s’inscrit dans ce partenariat d’une part pour contribuer à changer le monde et d’autre part pour dérouler un programme de mécénat de compétences qui participe au bien-être de ses collaborateurs.

La particularité de cette année se trouve dans les différents niveaux de maturité des startups avec des projets jeunes qui ont besoin de soutien pour se positionner sur leurs marchés. Ainsi, les mentors SAP les accompagnent, les challengent et affinent leurs projets afin de les rendre pérennes.

Ce partenariat permet à SAP France d’avoir un impact externe auprès de l’écosystème startup en stimulant et en développant les équipes internes et d’avoir un impact interne en créant une expérience collaborateur unique. Ainsi, l’initiative fournit aux collaborateurs SAP des opportunités de développement et en même temps libère leurs potentiels.

Cette cinquième promotion, composée de 8 startups, sélectionnée par makesense et SAP, sont suivies par 4 à 5 collaborateurs SAP, pendant 4 mois, à raison d’un rendez-vous par mois.

  • Silo accompagne les industriels dans leur lutte contre le gaspillage via la création de circuits de valorisation de leurs surplus, invendus et invendables
  • JokaJobs propose une application qui rend la recherche d’emploi ludique et efficace pour des jeunes qui présentent des freins à la mobilité
  • Tirelires d’Avenir propose une aide financière pour les jeunes en rupture familiale et sans ressources financée par du don direct.
  • Metishima œuvre pour une approche inclusive d’intégration par l’emploi des personnes issues des migrations, à travers la valorisation des compétences et expériences acquises dans leur pays d’origine.
  • Freepry accompagne les acteurs de la mode dans l’implantation de corners seconde main, à l’aide de son logiciel.
  • Want To Help est une plateforme de mise en relation entre bénévoles et associations pour les jeunes et par les jeunes.
  • Oïkos est un projet de média-marketplace éco-responsable visant à éduquer et conseiller le consommateur et proposer de la mode et de la beauté clean.
  • New Age valorise le commerce de proximité zéro déchet en beauté et hygiène, l’entraide entre entrepreneures et des ateliers pour tous.

L’accompagnement proposé ravi les entrepreneurs mentorés. En effet, 1 entrepreneur mentoré sur 2 estime que l’apport de SAP était déterminant dans son prototypage ou dans l’identification des besoins de compétences pour sa startup. 30% d’entre eux estiment avoir progressé en communication ou marketing grâce à l’accompagnement des collaborateurs SAP et 25% estiment que le mentoring leur a permis d’obtenir un partenariat commercial ou stratégique.

La collaboration SAP et makesense s’est déjà illustrée de manière positive et notamment avec la startup Colette. Cette dernière aide les étudiants et jeunes actifs à se loger en cohabitant avec des hôtes qui ont une chambre à louer, favorisant ainsi la cohabitation entre générations. Ce sont 500 hôtes et plus de 1 000 jeunes qui sont déjà membres de Colette et notamment SAP qui propose cette offre, depuis un an, à ses jeunes collaborateurs mais aussi à ceux qui partent en retraite.

« Que nos entrepreneurs soient en phase de prototypage de leur solution ou plus avancés avec des enjeux de commercialisation, les mentors SAP s’adaptent pour leur être le plus utile possible. Ils partagent leurs compétences et mobilisent leur réseau, c’est vraiment incroyable d’avoir des collaborateurs qui se donnent autant pour les projets qu’ils accompagnement ! » explique Karell Hertzog, startup program manager makesense.

« Nous sommes très fiers de ce programme d’accompagnement. Notre rôle d’acteur engagé doit générer  un impact plus large sur la société. Je suis très enthousiaste  de démarrer le mentoring des entrepreneurs sociaux sélectionnés par makesense. Les projets ont tous un intérêt social, environnemental et solidaire qui contribue réellement à changer le monde. Je remercie également tous les collaborateurs SAP, toujours plus nombreux, à s’engager dans des causes qui ont du sens », explique Frédéric Chauviré, Directeur Général SAP France.

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Source de l’article sur sap.com

Comment assurer des livraisons dans des délais toujours plus serrés, tout en maîtrisant son impact sur la société et la planète ? Une meilleure exploitation des données peut aider à allier les impératifs d’agilité, de résilience et de responsabilité environnementale et sociale.

Dans le secteur du transport, les impacts sociaux et environnementaux restent encore mal pris en compte. Et pourtant, les travaux du Grenelle II auraient dû favoriser l’émergence d’une industrie du transport plus vertueuse.

« Ce texte misait sur la bonne volonté des acteurs du secteur, mais sans mettre en place le minimum nécessaire de contrôles, d’obligations, voire de sanctions, regrette Philippe Mangeard, président et fondateur de l’agence de notation du transport TK’Blue. Résultat, moins de 15 % des opérateurs du secteur jouent aujourd’hui le jeu. »

Problème, les donneurs d’ordres que sont les entreprises oublient souvent le maillon transport dans leur calcul d’impact environnemental et sociétal. « Et pourtant, le transport peut représenter entre 10 % et 40 % de l’empreinte globale d’une entreprise », rappelle Philippe Mangeard.

Prendre en compte l’expérience client

Avec l’économie d’expérience, la logistique ne peut être mise de côté. En effet, même si une entreprise fait le maximum pour satisfaire son client, une livraison mal réalisée (retard, produit abîmé…) réduira tous ses efforts à néant. La problématique est d’autant plus difficile à résoudre que le client devient de plus en plus exigeant : il veut être livré rapidement, mais tout en disposant d’informations claires sur les méthodes de livraison, lui permettant ainsi – s’il le souhaite – d’opter pour un mode de transport responsable.

« Du côté des entreprises, des technologies permettent d’optimiser le chargement des camions, les trajets et les plans de transport, même si l’on peut regretter qu’elles ne soient pas encore très répandues, analyse Alexis Fournier, directeur AI Strategy chez Dataïku. Mais côté client, la technologie ne suffira pas : des initiatives globales sont nécessaires. »

Sous l’impulsion des clients, des acteurs de la grande distribution, certains industriels et des géants du web, comme Amazon, commencent à se pencher sur cette question. Un standard est en train de naître, lequel permettra de définir un cahier des charges précis dédié au transport.

Savoir exploiter les données

L’optimisation du transport passe plus que jamais par la data : les ordres de transport, bien évidemment, mais également des données de terrain, comme la position des camions, la télémétrie des véhicules, voire de l’IoT, pour suivre avec plus de précision encore les colis. Bien exploitées, ces données vont permettre de maximiser le remplissage des camions et d’optimiser les plans de transport.

À ceci s’ajoutent des données tierces : calendrier des vacances scolaires, données météo, conditions de circulation… « Ces informations viennent nourrir le jeu de données d’origine et permettent d’améliorer la qualité des prévisions », explique Alexis Fournier. Le Machine Learning peut alors aider à anticiper la variabilité de la demande ainsi que les difficultés de livraison. Et éviter ainsi que certains camions ne rentrent partiellement chargés, un phénomène redouté lors des opérations de livraison à domicile. »

Afin de maximiser le remplissage des camions, une logique de réseau doit également voir le jour, pour mettre en commun les capacités de transport, y compris entre compétiteurs. Mais pour concrétiser cette notion de mutualisation des moyens, il est impératif que la donnée circule.

Débloquer les données des opérateurs

Grâce à des solutions intelligentes, comme celles de SAP, Microsoft ou Dataïku, les entreprises sont prêtes pour une exploitation des données de transport. À condition toutefois que celles-ci remontent ! Les grands opérateurs du monde du transport tardent en effet à ouvrir leurs données.

Comment une entreprise peut évaluer ses émissions globales, si elle ne connaît pas le mode de transport utilisé ? Entre un camion et une camionnette, les nuisances peuvent en effet être multipliées par 40. De plus, 20 % à 30 % des camions tournent à vide et un pourcentage non négligeable de véhicules s’avère trop polluant face aux normes actuelles. Sans ces informations, le producteur, comme le consommateur, avancent à l’aveuglette.

Mais le marché s’est subitement renversé en 2020, avec une offre de transport devenue supérieure à la demande. L’occasion pour les donneurs d’ordres de choisir leurs transporteurs en fonction de leur capacité à faire remonter des données de terrain. « Libérez la data, plaide Philippe Mangeard. Les plates-formes de traitement des données sont en place et la conjoncture fait que les entreprises sont aujourd’hui en position d’exiger la remontée de ces informations de terrain. Lorsque ce sera le cas, tout le monde sera gagnant, prédit le président de TK’Blue. »


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