Articles

Avec la licence Enterprise Edition, vous accéderez sans restrictions à la base de données SAP HANA. Découvrez en quoi le passage à une licence full use peut être avantageux pour vos données et applications métiers.

Il y a 10 ans, SAP présentait un outil de gestion de bases de données de nouvelle génération, SAP HANA. Une offre présentant plusieurs caractéristiques clés :

  • In memory : les données sont lues et écrites en mémoire, pour des performances extrêmes
  • Orienté lignes : ce mode permet d’optimiser l’écriture (un enregistrement par ligne)
  • Orienté colonnes : ce mode facilite les requêtes (un type de données par colonne)

Cette double casquette ligne/colonne permet à SAP HANA d’adresser à la fois les traitements transactionnels et analytiques. Des technologies avancées gravitent autour de ce cœur : serveur d’applications, scripting, prédictif, Machine Learning, vues OLAP, graphes, gestion des données spatiales…

L’ensemble propose à la fois une connexion aux applications SAP (BICS) ou non (SQL et MDX). Il est également possible d’accéder à des sources de données tierces via Smart Data Streaming et Smart Data Access et aussi d’intégrer quasiment n’importe quel type de données, structurées ou non, jusqu’aux sources Hadoop, au travers de Smart Data Integration. Tout ceci est combiné avec des fonctions de partionning, de haute disponibilité, de répartition de charge, de parallélisation des requêtes, d’aide à la reprise d’activité, etc.

SAP HANA est aujourd’hui au cœur de nombreuses applications SAP. Il est également possible de l’utiliser en mode autonome. « Dans les deux cas, l’ensemble des fonctionnalités est disponible, car il n’existe qu’une seule version de SAP HANA », explique Olivier Demeusy, Director at Center of Excellence, EMEA North for SAP Business Technology Platform.

Runtime VS Enterprise

La principale différence entre SAP HANA Runtime Edition et SAP HANA Enterprise Edition réside dans le mode d’accès à la base de données et les restrictions s’y appliquant :

  • L’édition Runtime est conçue pour les applications SAP et ne peut être adressée qu’à travers ces applications
  • L’édition Enterprise est accessible sans restrictions depuis n’importe quel système ou application, SAP ou non.

La Runtime Edition n’autorise donc l’interaction avec la base de données qu’au travers des applications SAP, qui vont se charger de lancer les requêtes. L’Enterprise Edition est pour sa part accessible depuis les applications SAP, des applications tierces ou vos propres applicatifs métiers.

L’accès pourra se faire en direct au travers de requêtes SQL. Les fonctions d’intégration et de qualité de données pourront être librement exploitées, tout comme les moteurs avancés de SAP HANA. Enfin, de multiples ponts seront accessibles afin de lier du code métier à SAP HANA. Et ce jusqu’à l’hébergement de vos applications dans SAP HANA. SAP HANA XS Advanced permet en effet le développement d’applications natives SAP HANA, capables de fonctionner au plus près de la donnée.

Un changement de licence facilité

Passer de la Runtime Edition à l’Enterprise Edition est aisé, SAP HANA restant identique dans les deux cas. « Le passage d’une licence à l’autre ne se traduit par aucun changement technique », confirme Olivier Demeusy.

Le tarif comprend un coût d’acquisition et une maintenance annuelle. « Le tarif appliqué dépend directement du volume de données qui sera pris en charge par SAP HANA, avec un calcul effectué par blocs de 64 Go. » Que vous utilisiez une base de données de 500 Go ou de 20 To, vous aurez donc toujours la garantie de bénéficier d’une offre parfaitement ajustée.

The post Exploitez la puissance de SAP HANA dans vos applications, avec une licence full use appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com


SAP va consacrer 5% de ses dépenses annuelles auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025, l’équivalent de 60 millions de dollars par an.

SAP invite les entreprises de tout secteur à rejoindre le mouvement et à acheter davantage de biens et de services auprès de ce type d’organisations.

WALLDORF — SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé aujourd’hui le lancement de « 5 & 5 by ’25 », une initiative dont l’objectif est de réaliser 5 % de ses dépenses auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025. En fixant cet objectif, SAP souhaite montrer l’exemple et inciter les entreprises du monde entier à acheter davantage de biens et de services auprès de fournisseurs dont les actions et les valeurs ont du sens,  et ainsi de produire un impact collectif positif sur les sociétés dans lesquelles elles mènent leurs activités.

Selon la Banque mondiale, les dépenses consacrées aux achats à travers le monde en 2019 s’élevaient au minimum à 14 000 milliards de dollars. En redirigeant ne serait-ce qu’une petite partie de ces dépenses vers des entreprises sociales agréées et des fournisseurs issus de la diversité, les entreprises ont le pouvoir de s’attaquer à certains des problèmes sociaux et environnementaux les plus préoccupants à l’échelle mondiale.

D’après les premiers projets pilotes effectués sur certains marchés, SAP estime pouvoir consacrer chaque année jusqu’à 60 millions de dollars de ses dépenses mondiales adressables aux entreprises sociales et aux fournisseurs issus de la diversité d’ici 2025. Chez les sociétés de l’indice boursier DAX, ce chiffre est estimé à environ 2,5 milliards d’euros, tandis que pour les sociétés de la liste Fortune 500 aux États-Unis, les estimations s’élèvent à 25 milliards de dollars.

Membre du Conseil d’administration de SAP, à la tête de l’entité Customer Success et récemment nommée Global Buy Social Ambassador de Social Enterprise UK, Adaire Fox-Martin a annoncé l’initiative « 5 & 5 by ’25 » lors de l’événement Procurement Reimagined organisé par SAP à Singapour.

« Toutes les entreprises, dans tous les secteurs, ont besoin de réaliser des achats », a expliqué Mme Fox-Martin. « Nous avons tous besoin de savon dans nos sanitaires, de services d’aménagement pour nos bureaux, de produits alimentaires et de boissons dans nos cafétérias, de services de marketing et de fournitures de bureau. Ces produits et services, parmi tant d’autres, peuvent tous être acquis auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité. Cet argent, nous sommes de toute façon amenés à le dépenser. Pourquoi ne pas l’utiliser auprès de fournisseurs dont les actions ont également un impact sur le plan social ? »

Les entreprises sociales sont des entreprises qui, de par leur culture et leurs opérations, cherchent résolument à changer le monde. Elles sont similaires à d’autres entreprises viables sur le plan commercial, mais présentent trois différences essentielles : elles sont fondées et gouvernées sur la base d’une mission sociale ou environnementale clairement définie ; elles réinvestissent la majorité de leurs bénéfices dans cette mission ; et elles sont contrôlées selon le principe de majorité exclusivement dans l’intérêt de cette mission. Un fournisseur issu de la diversité est une entreprise détenue et exploitée à 51 % ou plus par une personne ou un groupe de personnes issue(s) d’une population traditionnellement sous-représentée ou défavorisée.

« Avec nos clients, nos partenaires, nos fournisseurs issus de la diversité et les entreprises sociales, nous nous sommes fixé pour objectif de développer les achats socialement responsables là où les infrastructures le permettent, et nous avons l’intention de mettre sur pied les infrastructures nécessaires et de renforcer les capacités partout ailleurs », a ajouté Mme Fox-Martin. « Nous invitons toutes nos parties prenantes à en apprendre davantage sur le sujet et à participer avec nous à cette initiative, mais aussi à tracer la voie et à donner l’élan pour concrétiser cette ambition et trouver une meilleure façon de se développer. »

Pour en savoir plus, consultez l’article (en anglais) « Achats socialement responsables :trouver une meilleure façon de se développer » par Adaire Fox-Martin.

À propos de l’initiative « 5 & 5 by ’25 »

L’initiative « 5 & 5 by ’25 » a été développée par SAP pour encourager les entreprises de tous les secteurs à consacrer une plus grande part de leurs dépenses adressables à des fournisseurs socialement engagés et issus de la diversité. En rejoignant cette initiative, les entreprises acceptent de formaliser leur exploration des achats socialement responsables, notamment en établissant des partenariats avec des intermédiaires de premier plan, en adoptant des politiques d’achats socialement responsables, en consommant des biens et des services auprès de fournisseurs dont les actions et les valeurs ont du sens, et en élargissant leur engagement auprès d’autres entreprises sociales et fournisseurs issus de la diversité. L’objectif est de réaliser, d’ici 2025, 5 % des dépenses annuelles d’achats adressables auprès d’entreprises sociales et de fournisseurs issus de la diversité et, ce faisant, d’avoir un impact significatif sur les inégalités sociales et les enjeux environnementaux. « 5 & 5 by ’25 » fait partie du programme One Billion Lives de SAP, qui s’attache à promouvoir une plus grande intégration de l’entrepreneuriat social dans l’économie mondiale. Pour plus d’informations, consultez la page 5 & 5 by ’25.

The post SAP lance 5&5 by ’25 et incite les entreprises à dépenser mieux avec les fournisseurs sociaux et issus de la diversité appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

To understand why user onboarding is such an indispensable tool, we need to empathize with the people using our products; we all come from different backgrounds and cultures, we make different assumptions, and we see the world differently.

User onboarding helps mitigate these differences by making your product’s learning curve less steep.

However, companies often make unfortunate mistakes that hinder user experience and cause frustration. In today’s article, we’ll take a look at eight ways companies ruin their products’ onboarding process.

Let’s dive right in, shall we?

1. No User Onboarding at all

As a part of the team that created a product, you’ve probably spent hundreds of hours going over its features and the most minute detail. Naturally, you know the product like the back of your hand. The user does not.

Naturally, you know the product like the back of your hand. The user does not

We may believe that the app we’ve worked on is straightforward and that user onboarding is probably overkill — but that’s almost never the case. Guiding our users through a product will help with retention, conversion, and their overall satisfaction.

However, there are very rare cases when you can do without user onboarding, here are a few:

  • Your product is too straightforward to cause any confusion;
  • Your product has a formulaic structure, similar to that of other products’ in your category, i.e., social media or e-commerce;
  • Your product relies heavily on Google or iOS design guidelines with common design patterns;
  • Your product is too complex (enterprise or business-oriented) — in such cases, users need special training, rather than just an onboarding;

2. Assuming That Users “Get It”

 One of the vital UX mottos we should always be mindful of is that “we are not our users.” When onboarding them, we always need to assume that they’re at square one. We should communicate with them as if they have no prior knowledge of our product, its terminology, and the way it works.

Providing freshly-registered users with highly contextual information will most likely confuse them. As a result, this will render your attempts to create a helpful onboarding process useless.  

3. Onboarding Users on a Single Touchpoint

it’s tempting to brainstorm which features should make it into the onboarding, then design and code them; that’s a very bad idea

The main problem with the previous point is that it’s too contextual for new users. However, providing no context altogether can be problematic as well. This is commonly found in onboarding processes that focus on a single touchpoint while leaving out the rest of the product.

By choosing to inform users of our product’s features, we force them to detour from their “normal” course of action. This comes at the cost of the user’s frustration.

Since we’re asking people to pay this price, it’s best to provide them with information that will also help them navigate the entire product. As a result, this will decrease the number of times we’ll have to distract them from their ordinary flow.

4. Forcing Users Through Onboarding

We’ve previously mentioned that we mustn’t assume that users have any background knowledge about our products.

The opposite argument can be made — experienced users don’t need a basic onboarding process. It will most likely frustrate them, and it won’t provide them with any real value. Also, forcing users through this process will most likely take the onboarding frustration to a whole other level.

This is why it’s essential that we allow them to skip the parts they don’t find useful. This way, we’ll address the knowledge gaps of the people who really want it and need it.

5. Onboarding Based Purely on Assumptions

This is yet another point that’s implicit in “we are not our users”. Oftentimes, it’s tempting to brainstorm which features should make it into the onboarding, then design and code them; that’s a very bad idea.

Here’s what every designer should do instead:

  • Do user interviews: You should conduct these before having anything designed; user interviews will help you shortlist and prioritize features in terms of their significance, so that the onboarding is focused around the features that matter most.
  • Do usability testing: Once you have a good idea of what features your users consider most important, design onboarding that reflects that; having completed your design, make sure to conduct at least 5 usability testing sessions with users, so that you can make sure that your design works.

6. Just Letting Users Quit

While we shouldn’t force people to go through onboarding, it doesn’t mean we shouldn’t nudge them in the right direction.

find that sweet spot between being front of mind and annoying

People choose not to onboard for many reasons, but showing them around will benefit both parties. Therefore, it’s never wrong to remind them that they can always resume onboarding via email or push notifications (unless you’re too pushy). Make sure to find that sweet spot between being front of mind and annoying. 

Similarly, these two mediums are a great way to deliver valuable information as well.

Here’s a great example of an onboarding email from InVision:

And here’s a clever notification from TripPlanner:

Source: clevertap.com

7. Asking For Too Much Information

We need to always be mindful of the fact that the product’s spokesperson should act as a guide during onboarding. Its goal at the very beginning is to build trust.

We can ask for small favors when we’ve built a solid and lasting relationship

Not only is asking for too much information from the get-go unproductive, but it will also undermine the trust that the user already gave us.

It’s best to abstain from asking freshly-registered users for their credit card information. Nearly 100% of businesses care about profits — and there’s no shame in it. However, today’s most successful companies make money by providing users with value. So it’s best to stimulate users to share their financial data in subtler ways while focusing on customer experience.

The same can be said about subjecting the people using your service to extensive questionnaires. At the first steps of our interaction, it’s all about giving and gaining trust. We can ask for small favors when we’ve built a solid and lasting relationship.

8. Onboarding for the Sake of Onboarding

While there are dozens of reasons why you should guide your users through your product, it needs to be done well. A pointless onboarding process that doesn’t provide users with value is more frustrating than the lack thereof.

Onboarding can be a bit frustrating at times. Pointless onboarding will just raise eyebrows. It will slow users down and disengage them, which is exactly the opposite of what we want.

Conclusion

The process of introducing your users to your product is one of the factors that will define its success.

A critical aspect of user onboarding that we need to always take into account is value. Is this detour from our user’s ordinary course of action valuable to them? Will this improve their experience with the product?

Onboarding demands careful and continuous tailoring. Once perfected, this process will help you win new users’ hearts and help you build brand loyalty.

 

Featured image via Unsplash.

Source


Source de l’article sur Webdesignerdepot


What is Terraform?

Terraform is a tool that is used for building, changing and versioning infrastructure safely and effectively. Using the configuration file you describe to Terraform what components are needed. Terraform then goes and generates an execution plan describing what the desired state should be. And then it goes and executes and builds it. Terraform manages all this through a state file. Now there are two flavors of Terraform:

  • An open-source version
  • An enterprise version

Terraform supports a wide variety of cloud and infrastructure platforms. This includes AWS, OpenStack, Azure, GCP, Kubernetes and much more.

Source de l’article sur DZONE

I must have seen dozens of implementations of this exact same web app during my 25 years as an Enterprise developer. And to be honest with you, I’m tired of implementing the exact same app, over and over again. "Don’t reinvent the wheel" comes to mind. Hence, I decided I wanted to create a "micro service web app", providing me with all translation features I could possibly need in the future. And more interestingly, I will create the entire app, in 1 second, by simply clicking a button. If you don’t believe me, feel free to watch the following YouTube video, where I demonstrate how I solve all my translations needs, for the rest of my life, in 1 second.

The SQL script I am starting out with can be found below.

Source de l’article sur DZONE

L’initiative « Evolution Partnership » vise à fournir de nouvelles solutions sectorielles intelligentes offrant des processus de bout en bout qui aident les entreprises à accélérer la modernisation des systèmes et des flux de travail.

ARMONK, N.Y., et WALLDORF — IBM (NYSE : IBM) et SAP SE (NYSE : SAP) annoncent la prochaine évolution de leur partenariat, avec des projets visant à développer plusieurs nouvelles offres créées pour permettre aux entreprises de piloter leur activité par les données et leur offrir un parcours plus prédictible.

Plus de 400 entreprises ont modernisé leurs systèmes et leurs processus d’entreprise grâce au partenariat de transformation digitale d’IBM et de SAP. Alors que la pandémie de COVID-19 continue d’avoir des répercussions importantes sur de nombreux secteurs à travers le monde, les organisations s’aperçoivent qu’elles ont besoin de l’agilité nécessaire pour s’adapter de manière fluide à l’évolution des conditions de marché et à la demande des clients.

« L’avenir à court et à long terme des organisations est défini par leur capacité à répondre de manière proactive aux conditions de marché actuelles, difficiles et sans précédent », a déclaré Adaire Fox-Martin, membre du Conseil d’administration de SAP SE. « Les entreprises acquièrent un avantage concurrentiel en débloquant les données en amont et en aval de leur chaîne de valeur, ce qui leur permet de découvrir de nouvelles opportunités de revenus et de créer des expériences exceptionnelles pour leurs clients et leurs collaborateurs, tout en raccourcissant les délais pour créer de la valeur. Le partenariat de SAP avec IBM réunit la puissance d’applications intelligentes et l’expertise technologique pour permettre aux entreprises de créer de la valeur plus rapidement et d’injecter les transformations nécessaires au soutien de leur activité aujourd’hui et demain. Ce partenariat sera utile à nos clients sur le marché et au niveau de leur bilan. »

La prochaine évolution du partenariat entre IBM et SAP vise à créer de la valeur plus rapidement via la transformation des entreprises, à accélérer l’innovation sectorielle grâce à des offres de données à valeur ajoutée spécifiques à chaque secteur, à dynamiser l’expérience client et collaborateur et à leur offrir une flexibilité et un choix ultimes pour exécuter leurs charges de travail dans des environnements de cloud hybride.

« Pour être compétitives dans un monde bouleversé en profondeur et en évolution rapide, les entreprises doivent être capables de remodeler leur organisation pour créer des processus métiers efficaces et automatisés, en appliquant des technologies avancées pour transformer les processus statiques et cloisonnés en flux de travail agiles et intelligents », a déclaré Mark Foster, senior vice president d’IBM Services. « Les nouvelles solutions dévoilées aujourd’hui marquent une nouvelle étape dans le partenariat entre IBM et SAP qui dure depuis 48 ans tandis que nous aidons nos clients à accélérer leur parcours pour devenir des entreprises cognitives. Notre collaboration avec SAP est conçue pour aider nos clients à accélérer la prise de décisions et à créer des expériences plus significatives pour leurs clients et leurs collaborateurs. »

Cette nouvelle collaboration entre IBM et SAP fournira des solutions conçues pour débloquer une nouvelle valeur pour les clients :

Réinventer les flux de travail avec des processus de bout en bout sectoriels intelligents

Annoncé la semaine dernière, l’Industry Cloud de SAP propose des solutions verticales innovantes pour favoriser une transformation rentable et une croissance durable. Pour répondre à la demande du marché en matière d’innovation sectorielle, IBM et SAP ont commencé à définir et à fournir conjointement des solutions basées sur le cloud avec des flux de travail sectoriels intelligents de bout en bout pour permettre aux clients de prendre des décisions commerciales basées sur les données. La première offre portera sur les processus métiers LTO (Lead-To-Order) et Plan-To-Manufacture pour le secteur des machines et composants industriels, afin d’aider les fabricants industriels à réinventer les processus de flux de travail afin d’accroître la productivité et la satisfaction des clients. IBM et SAP ont fait équipe avec les principales entreprises du secteur des machines et composants industriels pour concevoir et développer les capacités futures. En tant que partenaire de développement du service SAP Model Company, IBM travaille également avec SAP au développement d’un service SAP Model Company for Telecommunications qui aidera les fournisseurs de télécommunications à transformer leurs processus de contact avec la clientèle et de back-office, ainsi qu’à optimiser au maximum le rendement de leurs investissements dans la 5G.

Flexibilité grâce aux solutions de cloud hybride

Selon une enquête récente de l’ASUG (Americas’ SAP Users’ Group), une majorité des personnes interrogées ont déclaré qu’elles utilisent ou prévoient d’utiliser SAP S/4HANA dans un modèle de cloud hybride. Les entreprises continuent à faire évoluer rapidement leurs modèles économiques et à reconfigurer leurs processus afin de mieux accompagner leurs clients et répondre aux nouvelles demandes du marché. Beaucoup se tournent vers une stratégie de cloud hybride pour une approche « Intelligent Enterprise ». Afin de donner aux clients la flexibilité nécessaire pour exécuter les charges de travail dans l’environnement cloud le plus optimal, IBM, Red Hat et SAP collaboreront pour apporter les services gérés de SAP sur site en validant les déploiements privés de SAP Cloud Platform et les services de support connexes sur Red Hat OpenShift. Cette solution, actuellement proposée à certains clients pionniers, devrait permettre aux clients de créer des extensions side-by-side avec la sécurité souhaitée, une exigence essentielle pour les clients des secteurs réglementés.

Réimaginer les expériences des clients et des collaborateurs

Avec Internet, les smartphones et les réseaux sociaux, il n’a jamais été aussi facile pour les clients et les collaborateurs de partager leurs observations sur la qualité de leurs expériences avec les entreprises, les produits, les responsables ou les services partagés. L’étude Global C-Suite d’IBM a révélé que 82 % des chefs d’entreprise croient fermement que les données contribuent à créer un avantage stratégique, en consolidant la confiance des clients et en augmentant les profits. Pour aider les entreprises à accroître la valeur à partir des données, IBM et SAP prévoient de fournir des technologies et des services en s’appuyant sur le portefeuille de SAP Customer Experience et les solutions de gestion de l’expérience de SAP (Qualtrics) pour permettre aux clients de fournir une expérience omnicanal de nouvelle génération et de mesurer et améliorer l’efficacité des expériences des parties prenantes. Cette collaboration est conçue pour contribuer à la fidélisation des clients, à l’engagement des clients et des collaborateurs et à la qualité des marques et des produits dans de nombreux secteurs. IBM prévoit d’intégrer l’utilisation des solutions de gestion de l’expérience de SAP dans la réalisation des projets, dans le cadre de la gestion du changement organisationnel d’IBM, afin d’offrir aux clients une expérience de projet différenciée et optimisée.

Automatisation des processus pour accélérer la transformation

IBM et SAP travaillent ensemble à la mise en place de l’IBM Accelerated Move Center, une usine de migration de nouvelle génération conçue pour automatiser et accélérer encore plus la démarche « Intelligent Enterprise » et donner aux clients plus de prévisibilité sur leur transition vers SAP S/4HANA. Cette nouvelle offre sera une approche d’intégration toute prête qui utilise des modèles sectoriels de base préconfigurés et exploite des outils d’automatisation et de configuration créés en collaboration avec IBM Research.

Ces nouvelles offres seront basées sur l’Intelligent Suite de SAP et les solutions Industry Cloud de SAP. Elles permettront aux clients de bénéficier des technologies de SAP et d’IBM telles que l’IA, l’apprentissage automatique, l’automatisation et l’analytique. Ces offres s’appuieront sur la nouvelle plateforme d’évolution d’IBM, qui offre une vue unique sur les solutions IBM et une préconfiguration de ses Industry Impact Solutions, et qui interagit avec la plateforme technologique d’entreprise de SAP. Celai permet aux entreprises de créer des aperçus avancés, d’intégrer des capacités et de créer, étendre et améliorer les applications SAP. Cette combinaison vise à aider les clients à bénéficier plus efficacement de « l’intelligent Suite » de SAP, à migrer vers le cloud, à transformer les données en valeur commerciale et à utiliser les technologies émergentes pour soutenir les flux de travail intelligents.

Conditions et détails des accords définitifs à finaliser.

À propos de IBM

Pour plus d’informations sur IBM Services, rendez-vous sur https://www.ibm.com/services.
Pour plus d’informations sur les services SAP d’IBM, rendez-vous sur https://www.ibm.com/services/sap.

Les déclarations concernant l’orientation et les intentions futures d’IBM peuvent être modifiées ou retirées sans préavis, et ne représentent que des buts et des objectifs.

À propos de SAP

SAP est le leader du marché des applications d’entreprise : 77% des transactions financières mondiales passent par un système SAP. L’entreprise accompagne les organisations de toute taille et de tout secteur à mieux opérer. Nos technologies de machine learning, d’Internet des objets (IoT), d’analytique avancée et de gestion de l’expérience aident nos clients à transformer leur activité en « entreprise intelligente ». SAP dote les professionnels d’une vision approfondie sur leur activité et favorise la collaboration pour garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Pour les entreprises, nous simplifions la technologie afin qu’elles puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications de bout en bout et nos services permettent à plus de 440 000 clients d’opérer de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’information, visitez le site www.sap.com

Contacts presse :

Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Sylvain Drillon : 06 44 71 35 68 – presse-sap@publicisconsultants.com

SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

Veuillez tenir compte de notre politique de confidentialité. Si vous avez reçu cette alerte de presse dans votre courriel et que vous souhaitez vous désabonner de notre liste d’envoi, veuillez communiquer avec presse-sap@publicisconsultants.com et écrire Désabonnement dans la ligne Objet.

 

The post IBM et SAP annoncent de nouvelles offres pour aider les entreprises dans leur approche Intelligent Enterprise appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

What do you expect? Blockchain pics aren’t the easiest thing to come by, especially involving Java.

In a bid to increase the popularity of blockchain with Java developers, Aion Network has just released a new virtual machine specifically for blockchain built on top of the JVM

"One of the major obstacles faced by a business when they begin designing and prototyping blockchain solutions," the non-profit explained in a press release, "is the cost and time needed to train their teams in unfamiliar frameworks, languages, and tools. The Aion Virtual Machine (AVM) removes these obstacles and provides developers with a familiar and reliable development experience."

Source de l’article sur DZONE

Java is a general-purpose language that follows the object-oriented programming style with a Write-Once-Run-Anywhere approach to development. It was designed for an interface with Internet-enabled devices, and over the course of the last two decades, this particular design choice has ensured Java’s relevance in the developer community.

Even now, in 2019, Java is ubiquitous and often used to develop virtually everywhere and on every platform; from smartphones and Android devices to websites, video games, cars, and even IoT devices.

Source de l’article sur DZONE

Throughout our ten years of working with equipment manufacturers to connect, collect, and integrate operational data with enterprise systems, we’ve seen many trends impacting industrial IoT project success. The world has finally moved beyond most of the technological limitations for building innovative solutions. All the necessary tools exist to create connected product systems that perform as expected. They work. Now there’s a new trend, and it’s not a good one. We’re seeing business teams at equipment manufacturers telling engineering managers and IT leaders to evaluate and choose an IoT platform for the company. Run an online demo. Read API documentation. Build a proof of concept. Compare prices. Most of these projects never see the commercial light of day. They get stuck. Why? They get stuck because this approach to digital transformation is completely backward.

Evaluating the IoT Platform Problem

We’ve said technology isn’t the problem. Here’s the reality. The right technology for your system is available today. When used correctly by experienced teams, it will produce your desired outcomes. This is a well-charted territory. You can have remote monitoring with predictive maintenance and integrate machine data with your business workflows. These are solved challenges.

Source de l’article sur DZONE


Rugby Approach

In their research paper titled ‘The New New Product Development Game’, Hirotaka and Ikujiro (both professors at the Harvard Business School) observed that the sequential approach to developing products is not best suited to the fast-paced competitive world. Instead, they recommended a rugby approach for enterprises to attain speed and flexibility to meet the ever-changing market requirements. The rugby approach refers to the Agile way (scrum) of working with practices like small batch sizes, incremental development, self-organizing teams, enhanced collaboration, cross-functional teams, and continuous learning. To put things in perspective, this research paper was launched way back in 1986! If the traditional approach was being questioned back then, it definitely needs to be relooked at now. Enterprises need to adopt agile practices to stay relevant in a market which has become extremely dynamic due to the proliferation of digital technologies. Agile practices enable enterprises to deliver solutions faster with better quality by considerably shortening the feedback loop.

Scaling Blues

Though most enterprises have realized the significance of Agile, most organizations, especially the large ones have been struggling to scale Agile at the enterprise level. This is substantiated by a recent survey through which it was found that the enterprises who had claimed to be Agile have admitted that they had adopted Agile practices only in certain pockets. Interestingly, smaller and nimbler companies have adopted the agile way of working and achieved considerable success in the market. These companies released products at a remarkable speed with high quality and reacted faster to the market needs. Take Tesla’s case (by no means a small company now!!), which launched electric cars with the auto-pilot option when the Toyotas and Bugattis of the world only had prototypes of electric cars. By the time they launched their own electric vehicles, Tesla had captured a huge pie of the market!! To the defense of these large enterprises, scaling Agile is easier said than done. These behemoths have many portfolios, with large applications requiring multiple teams, complex systems, diverse operating environments, and multiple vendors, making their Agile transformation journey a herculean task.

Source de l’article sur DZone (Agile)