Articles

Comment se démarquer lors d'entretiens comportementaux en ingénierie

Pour se démarquer lors d’un entretien comportemental en ingénierie, il est important de se préparer et de montrer ses compétences. Faites une bonne impression et démontrez vos capacités !

## Comment utiliser le format STAR pour répondre aux questions comportementales

Après avoir mené des entretiens avec des centaines d’ingénieurs et de gestionnaires d’ingénierie chez Meta, Twitter et d’autres entreprises, j’ai remarqué des modèles communs dans la façon dont les candidats abordaient les questions d’entretien comportemental. Alors que de nombreux candidats se sont bien débrouillés sur le plan technique, ils ont souvent eu du mal à articuler leur travail, leurs réalisations et leurs défis lors d’un entretien, ce qui a entraîné des refus.

Cet article aborde les conseils pour utiliser efficacement le format STAR largement connu pour répondre aux questions comportementales. Il aborde les pièges courants et fournit des exemples illustratifs pour aider les candidats à comprendre comment utiliser le format STAR pour communiquer clairement et se démarquer. C’est le cadre qui m’a aidé à passer avec succès des entretiens de direction technique chez Databricks, Twitter, Airbnb, Plaid, Notion, Uber et d’autres entreprises.

Le format STAR est une méthode très utile pour répondre aux questions comportementales lors des entretiens. Il permet aux candidats de structurer leurs réponses et de fournir des informations complètes et précises. La méthode STAR est basée sur quatre étapes : Situation, Tâche, Action et Résultat. Chaque étape est essentielle pour répondre à une question comportementale et fournir une réponse complète.

Lorsque vous répondez à une question comportementale en utilisant la méthode STAR, vous devez commencer par décrire la situation ou le contexte dans lequel vous avez travaillé. Vous devez ensuite expliquer la tâche à laquelle vous avez été confronté et comment vous l’avez abordée. Ensuite, vous devez expliquer les actions que vous avez prises pour résoudre le problème. Enfin, vous devez expliquer les résultats obtenus grâce à votre travail. Il est important de se rappeler que les résultats doivent être quantifiables et mesurables.

Par exemple, si un recruteur vous demande comment vous avez contribué à améliorer la base de données d’une entreprise, vous pouvez utiliser la méthode STAR pour répondre à cette question. Vous pouvez commencer par expliquer la situation : «J’ai été embauché par une entreprise pour améliorer sa base de données.» Vous pouvez ensuite expliquer la tâche : «Ma tâche consistait à analyser la base de données existante et à identifier les lacunes.» Ensuite, vous pouvez expliquer les actions que vous avez prises : «J’ai analysé la base de données et j’ai identifié plusieurs lacunes. J’ai ensuite mis en œuvre des modifications pour améliorer la qualité et la performance de la base de données.» Enfin, vous pouvez expliquer les résultats obtenus : «Grâce à mes modifications, la base de données a été améliorée de 10 % en termes de qualité et de performance.»

En conclusion, l’utilisation du format STAR est un excellent moyen pour les candidats de structurer leurs réponses aux questions comportementales lors des entretiens. Il permet aux candidats de communiquer clairement leurs réalisations et leurs

Source de l’article sur DZONE

:Architecture Cloud-Nomade : bien comprendre

ses avantages

Découvrez les avantages de l’architecture cloud-nomade et comment elle peut améliorer votre productivité !

## Une révolution silencieuse s’est produite dans l’industrie du logiciel, avec de nombreuses organisations qui se détournent du cloud computing et des microservices. Ces décisions sont principalement influencées par le contrôle des coûts et les performances.

  • The benefits of testing
  • How testing can help reduce costs
  • The importance of testing for performance
  • Testing is an essential part of any software development process. It helps to ensure that the software is of high quality and meets the requirements of the customer. Testing can also help to identify potential problems before they become major issues. This can save time and money in the long run.

    Une révolution silencieuse a eu lieu dans l’industrie du logiciel, avec de nombreuses organisations qui se détournent du cloud computing et des microservices. Ces décisions sont principalement influencées par le contrôle des coûts et les performances.

    Le test est une partie essentielle de tout processus de développement de logiciel. Il aide à garantir que le logiciel est de haute qualité et répond aux exigences du client. Le test peut également aider à identifier les problèmes potentiels avant qu’ils ne deviennent des problèmes majeurs. Cela peut économiser du temps et de l’argent à long terme.

    Dans cet article, nous examinons : les avantages du test, comment le test peut aider à réduire les coûts et l’importance du test pour les performances. Les tests peuvent aider à réduire les coûts en identifiant et en résolvant les problèmes avant qu’ils ne deviennent trop coûteux. Les tests peuvent également aider à améliorer les performances en identifiant et en corrigeant les problèmes avant qu’ils ne deviennent trop complexes. Les tests peuvent également être utilisés pour vérifier la qualité et la cohérence du code, ce qui peut aider à améliorer la qualité globale du logiciel.

    Source de l’article sur DZONE

    Retour vers le futur: Pages Web côté serveur avec Kotlin (Pt. 1)

    Dans cette série, nous allons apprendre à créer des pages web côté serveur avec Kotlin. Vous découvrirez comment créer des applications web modernes et performantes. Prêt à voyager dans le futur ? Allons-y !

    Le développement Web a subi de nombreux changements depuis que l’Internet est devenu populaire dans les années 1990 :

    L’architecture du développement web a connu une variété de changements depuis que l’internet est devenu populaire dans les années 1990 :

    Tout d’abord, il y a eu les pages HTML les plus basiques, complètement statiques, sans aucune dynamique. Plus tard, des technologies telles que l’interface commune de passerelle (Common Gateway Interface) ont permis de générer le code HTML d’une page de manière programmatique. Puis sont arrivés des moteurs de modèles tels que JavaServer Pages (maintenant Jakarta Server Pages), ASP.NET et Thymeleaf, qui ont permis aux développeurs de travailler avec des fichiers de modèles principalement « ressemblant à HTML » avec du code de programmation intermélangé.

    Ensuite, des frameworks de « script côté client » basés sur Javascript tels qu’Angular, React et Vue sont apparus, ce qui a transformé le développement web en deux disciplines distinctes : le développement « backend » qui contenait le code traditionnel du serveur web et de la logique métier, ainsi que le développement « front-end » (en utilisant les frameworks ci-dessus) qui se concentrait sur la visualisation d’un site web et recevait des données du backend.

    Cependant, cela ne signifie pas que les tendances de développement ne progressent que dans une seule direction et jamais en arrière. Par exemple, les bases de données NoSQL telles que MongoDB ont rapidement gagné en popularité en grande partie en raison de leur capacité à contenir des données non structurées par rapport aux bases de données SQL traditionnelles telles que PostgreSQL et MySQL, mais ces dernières ont également évolué et peuvent maintenant contenir des données non structurées via les types de données JSONB et JSON, respectivement. De même, de nouveaux frameworks Javascript tels que Next.js commencent à offrir des options pour le rendu côté serveur en plus de leurs capacités de rendu côté client traditionnelles. De nouveau, les moteurs de modèles côté serveur comme Thymeleaf ont également continué à évoluer, Thymeleaf lançant une nouvelle version du framework le mois dernier.

    Source de l’article sur DZONE

    La Peur de l'IA est Superstition.

    La peur de l’intelligence artificielle est souvent considérée comme une superstition. Pourtant, elle est bien réelle et mérite d’être prise en compte.

    ## J’ai juste vu le film Netflix appelé « Upgrade ». C’est un film super fascinant, captivant et bien écrit, mais comme tous les films créés autour de la même idée, il est basé sur des superstitions et des sornettes. Des balivernes. La même chose qui nous a empêchés d’évoluer en tant qu’espèce pendant 200 000 ans.

    This is why I believe that coding is the future. It is the only way to evolve and progress as a species. Coding is the only way to create a new world, a world that can be free from superstition and mumbo jumbo. It is the only way to create a world where every single person can have access to the same opportunities, regardless of their genetic makeup.

    J’ai récemment vu le film Netflix intitulé « Upgrade ». C’est un film super fascinant, captivant et bien écrit, mais comme tous les films créés autour de la même idée, il est basé sur des superstitions et des balivernes. Des sornettes. La même chose qui nous a empêchés d’évoluer en tant qu’espèce depuis 200 000 ans.

    En tant qu’espèce, notre plus grand atout est également notre plus grande faiblesse. Il y a environ 70 000 ans, nous avons failli disparaître. Cependant, un homme a eu une mutation génétique et nous l’appelons aujourd’hui « Adam génétique ». 98% de chaque être humain vivant aujourd’hui provient de cet homme d’une manière ou d’une autre.

    C’est pourquoi je crois que le codage est l’avenir. C’est la seule façon d’évoluer et de progresser en tant qu’espèce. Le codage est le seul moyen de créer un nouveau monde, un monde qui peut être libéré des superstitions et des balivernes. C’est le seul moyen de créer un monde où chaque personne peut avoir accès aux mêmes opportunités, quelle que soit sa composition génétique.

    Source de l’article sur DZONE

    Tutoriel de test en boîte blanche: guide complet avec exemples et meilleures pratiques

    Apprenez à tester votre code avec cet incroyable tutoriel de test en boîte blanche! Découvrez les meilleures pratiques et des exemples pratiques pour vous aider à démarrer.

    ## Test de boîte blanche : une méthode de test logiciel

    La méthode de test logiciel du White box testing est une méthode de test logiciel dans laquelle la structure interne et l’implémentation du logiciel testé sont connues et utilisées comme base pour concevoir les cas de test. Il implique le test du logiciel au niveau du code et nécessite une bonne compréhension du code et de la conception du logiciel. Il est également connu sous le nom de glass box, transparent box, clear box ou structural testing.

    La plupart des testeurs ont déjà eu une certaine expérience avec ce type de test à un moment donné de leur carrière. Des techniques comme celles-ci se battent pour exister dans un monde de plus en plus axé sur l’agilité. L’adoption d’approches agiles ne signifie pas reporter des tâches pour mener le projet à bien.

    Les bases de données sont un outil très important dans le processus de test White Box. Les bases de données peuvent être utilisées pour stocker les informations sur les tests et leurs résultats, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur le code source et les fonctionnalités du logiciel, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests.

    Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur le code source et les fonctionnalités du logiciel, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les performances et la fiabilité du logiciel, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests.

    Les bases de données sont également utiles pour enregistrer et suivre les bugs et les problèmes rencontrés lors des tests. Les bases de données peuvent être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur les performances et la fiabilité du logiciel, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests.

    Enfin, les bases de données peuvent être utilisées pour stocker des informations sur les tests et leurs résultats, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests. Les bases de données peuvent également être utilisées pour stocker des informations sur le code source et les fonctionnalités du logiciel, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tests. De plus, les bases de données peuvent être utilisées pour stocker des informations sur les performances et la fiabilité du logiciel, ce qui permet aux testeurs d’accéder rapidement aux informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs

    Source de l’article sur DZONE

    SGD Pharma est une entreprise internationale, leader sur le marché des emballages pharmaceutiques en verre, à la pointe de la qualité et conforme aux Pharmacopées internationales.

    Conscient que le patient est l’utilisateur final de ses produits, SGD Pharma axe sa politique qualité groupe sur le respect strict des Bonnes Pratiques de Fabrication Pharmaceutiques. L’ensemble des sites sont dédiés à la pharmacie et certifiés ISO 15378. Chaque flacon est contrôlé et emballé en salle propre de la classe ISO 8.

    SGD Pharma met également tout en œuvre pour assurer la continuité de l’approvisionnement des flacons pour protéger ses clients et patients.

     

    Objectif : stabiliser la paie de SGD Pharma

    La paie de SGD Pharma étant historiquement très complexe, l’impératif était de la stabiliser et la fiabiliser.

    SDG Pharma ayant déjà fait le choix de SAP SuccessFactors et HR Path pour le SIRH, il était logique et naturel de conserver les mêmes partenaires pour l’ensemble des processus RH du recrutement jusqu’à la paie.

    La volonté première de SGD Pharma était de pérenniser sa paie pour assurer un niveau de service optimal et la pleine satisfaction des clients internes et des salariés.

    En parallèle, SGD Pharma avait pour volonté de simplifier et standardiser les fonctionnalités de son SIRH avec une forte dimension internationale.

    Les deux objectifs principaux étaient donc d’avoir une solution globale de gestion de la paie et des ressources humaines pour la France, et l’harmonisation des process comme la performance, la revue de salaire, la Time off à l’international par le biais du SIRH.

     

    Un plan d’action en deux parties

    HR Path a soutenu SGD Pharma dans ce projet à partir des outils déjà en place au sein de l’entreprise.

    Les actions se sont axées selon deux volets :

    1 – La stabilisation de la paie avec la définition du besoin, la mise en place d’un cahier des charges complet avec le support d’une équipe dédiée. Durant la phase de mise en place, des réunions hebdomadaires ont été organisées pour suivre le bon déroulement du projet et gérer les priorités. L’écoute et la flexibilité dont a fait preuve l’équipe a permis en quelques mois d’arriver à un excellent niveau de satisfaction.

    2 – Une seconde équipe a travaillé sur le développement du SIRH SAP SuccessFactors pour réaliser dans un premier temps un audit complet des pratiques et pour définir les axes d’améliorations. L’enjeu pour SGD Pharma consistait à optimiser l’outil et en faciliter la prise en main.

    En parallèle, il y a eu un travail sur la simplification du formulaire de performance pour une meilleure adhésion des utilisateurs.

    Une relation de confiance et de proximité s’est rapidement créée entre les équipes de SGD Pharma et celles d’HR Path.

     

    Des retours positifs et des salariés satisfaits

    Les bénéfices constatés par ce projet et remontés par les équipes sont une meilleure fiabilisation de la paie avec une grande satisfaction de tous les acteurs.

    Le déploiement du formulaire de performance 2023 a été un succès et les retours sont très positifs (adhésion des collaborateurs, processus plus lisibles, temporalité claire avec une simplification des étapes, implication des RH…)

     

    The post SGD Pharma harmonise ses processus RH et stabilise sa paie avec HR Path et SAP SuccessFactors appeared first on SAP France News.

    Source de l’article sur sap.com

    Avec l’aide de TeamWork, Albéa a adopté les solutions SAP Asset Manager et SAP Plant Maintenance, afin d’équiper ses techniciens de maintenance d’une solution moderne et mobile. Ce core model sera prochainement déployé sur l’ensemble des sites industriels du groupe.

     

    Leader mondial des tubes et emballages pour les produits cosmétiques et parfums. Albéa adresse un large panel de clients, dont des marques prestigieuses comme L’Oréal et Clarins. L’industriel dispose de 43 sites répartis dans 15 pays, où travaillent plus de 12 500 employés. Albéa a réalisé un chiffre d’affaires 2021 de 1,2 milliard de dollars.

    La plupart des usines d’Albéa ne disposent pas d’outil dédié pour suivre les activités de maintenance. « Notre objectif était de mettre en place un outil commun pour gérer la maintenance et accompagner les techniciens avec des processus digitalisés et automatisés, tout en favorisant leur mobilité au sein de leur lieu de travail », résume Émilie Ganot, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

    Un premier site pilote a été désigné pour accueillir cette solution, l’usine Albéa Argonne de Sainte-Menehould, le principal site industriel du groupe en France.

    SAP Asset Manager : une offre mobile et ergonomique

    Les usines d’Albéa, dont celle de Sainte-Menehould, travaillent la plupart sur un ERP SAP ECC. Certains utilisateurs étaient toutefois réticents à l’idée d’adopter SAP Plant Maintenance (SAP PM), jugé trop peu ergonomique et trop coûteux à maintenir. Plusieurs offres de GMAO ont été étudiées au fil des ans, mais elles restaient complexes à intégrer avec la gestion des stocks et le contrôle de gestion.

    « Lors d’une démonstration de SAP Asset Manager (SAP AM), nous avons découvert un outil ergonomique, qui permet aux opérateurs de maintenance d’utiliser une tablette pour saisir leurs opérations et faire remonter des informations dans SAP PM. Nous avons alors validé l’utilisation de SAP AM, avec SAP PM en back-end, » témoigne Astrid Chauvin, Business Relationship Manager, Supply Chain & Manufacturing, Albéa.

    Premier avantage, la solution s’interface nativement avec SAP ECC et ses différents modules (stocks, achats et finance). L’interface repose sur la technologie Fiori, qui permet de proposer une expérience utilisateur optimisée, compatible avec les terminaux mobiles. Enfin, l’application offre la capacité de saisir des données hors connexion, ce qui peut être très utile en environnement industriel.

    TeamWork a assuré, en collaboration avec Albéa, l’intégration de cette solution. « TeamWork est un partenaire de confiance avec lequel nous aimons travailler, poursuit Astrid Chauvin. La force de TeamWork est de savoir aborder les sujets tant sur leurs aspects fonctionnels que techniques, le tout avec une forte connaissance métier. De plus, c’est une structure à taille humaine, très accessible. »

    Une solution bien acceptée

    « Le site Albéa Argonne est une grosse usine, comprenant 20 lignes de fabrication et 550 salariés, dont 20 techniciens de maintenance travaillant en 24/7, détaille Émilie Ganot. Nous avons décidé dans un premier temps de déployer la solution sur deux lignes pilotes. Le core model que nous allons mettre au point sera ensuite déployé sur le reste de l’usine, puis sur les autres sites industriels du groupe. »

    Dans l’absolu, le déploiement de SAP AM reste un projet assez simple. Albéa a dû toutefois déployer simultanément SAP AM et SAP PM. De plus, l’intégration mobile – native dans SAP S/4HANA – a nécessité la mise en place d’un add-on spécifique sous SAP ECC. Enfin, la solution SAP AM repose sur des services mobiles de la SAP Business Technology Platform, qu’il a donc fallu aussi mettre en place et configurer. Au final, 5 mois ont été nécessaires entre le kick off du projet et le go live de la solution.

    « Notre plus grande surprise a été l’adhésion des utilisateurs, note Astrid Chauvin. Ils ne voulaient initialement pas utiliser la solution SAP PM. En leur proposant SAP AM, nous avons donc eu l’impression de jouer à quitte ou double. Mais, dès que les utilisateurs ont entamé le projet avec nous et vu comment l’outil se présentait sur des tablettes, l’enthousiasme a été immédiat. Ceci nous a confortés dans l’idée que nous avions fait le bon choix. »

    Reste que la solution n’est pas sans défauts. Si son cœur ne connaît qu’une grosse mise à jour par an, cette mise à jour peut avoir des implications aussi bien sur SAP AM, SAP PM que la SAP BTP. Quant à l’application mobile, elle est mise à jour bien plus fréquemment. Les équipes ont donc dû apprendre à gérer une solution hybride, mêlant on premise, cloud et mobilité.

    La satisfaction prévaut toutefois depuis le go live. Prochaine étape sur le court et moyen terme, le déploiement de ce core model sur les autres lignes de production du groupe. À plus long terme, Albéa espère tirer profit du couple SAP AM / SAP PM pour se lancer dans la maintenance prédictive de ses outils de production.

    The post Albéa digitalise la maintenance de ses sites industriels avec SAP Asset Manager appeared first on SAP France News.

    Source de l’article sur sap.com

    Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

    Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

    La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

    « Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

    Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

    Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

    Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

    Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

    Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


    Pas de temps à perdre: Découvrez pourquoi les entreprises doivent faire coïncider leurs ambitions et leurs actes en matière de durabilité.

    Lire les actualités

     

    D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

    Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

    Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

    La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

     

    Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

     

    Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

    Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

     

    D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

     

    « Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

     

    Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

    Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

     

    Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

    Un leadership porteur de sens: Découvrez comment les entreprises placent la durabilité au cœur de leur stratégie.

    Lire le témoignage

     

    « Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

    Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

    Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

    Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

    Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

    « Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

    Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

    « Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

    Lettre d’information SAP Insights: Obtenez des insights stratégiques en vous abonnant à notre lettre d’information.

    S’abonner

     

    Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

    Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

    « Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

    « Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

    La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

    Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

    Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

    À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

    L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

    À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

    M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

    Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

    En savoir plus

     

    Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

    Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

    « Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

    De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

    « Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

    La logistique durable s’appuie sur des données

    On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

    Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

    Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

    D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

    « Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

    Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

    Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

    Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

    Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

    À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

     

    Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

     

    The post La logistique durable en mouvement Till Dengel, Richard Howells | 14 min de lecture appeared first on SAP France News.

    Source de l’article sur sap.com

    Voyons concrètement comment certains clients Success Factors ont réussi à transformer leur culture de la formation et gestion des talents en s’appuyant sur SAP SuccessFactors Learning et SAP SuccessFactors Work Zone.

     

    L’une des plus anciennes organisations au Monde, Royal Mail Group, peut retracer son histoire sur plus de 500 ans, depuis son origine en 1516. Ceci étant, comme tant d’autres entreprises, elle est confrontée à la nécessité d’une transformation de ses activités commerciales pour être reconnue comme la première entreprise de livraison au Royaume-Uni et en Europe et pour rester en tête de l’évolution des besoins du marché.

    Royal Mail Group est une organisation mondiale, opérant dans 43 pays à travers le monde et employant plus de 140 000 personnes. Elle distribue chaque année plus de 1,8 milliard de colis et 14 milliards de lettres. Pour poursuivre la transformation de ses activités et de sa main-d’œuvre, Royal Mail avait besoin d’une plateforme offrant une expérience utilisateur personnalisée, fournissant les bons outils et les bonnes informations au bon format et au bon moment, afin de remplir ses fonctions quotidiennes. Avec SAP SuccessFactors Work Zone, SAP SuccessFactors Learning et BLEND de TalenTeam, Royal Mail a transformé son expérience d’apprentissage en proposant une plateforme numérique de développement personnel centrée sur l’utilisateur, baptisée ” The Royal Mail Academy “, qui a eu un impact intrinsèque sur la culture d’entreprise grâce à une approche ascendante de l’apprentissage et du développement.

    Entièrement déployée en 12 semaines seulement, la plateforme permet de réunir tous les employés en un seul endroit pour tous leurs besoins RH, ainsi que les applications et services dont ils ont besoin. Aujourd’hui, les données permettent d’identifier plus facilement les experts locaux, 30 % du public cible a déjà utilisé la nouvelle plateforme après la mise en œuvre, l’agilité entre les gestionnaires de programmes et les employés de première ligne a augmenté, l’engagement des employés s’est considérablement amélioré et la diffusion des informations à grande échelle est plus rationalisée

    Un autre client intéressant : Corning Incorporated, une entreprise technologique multinationale spécialisée dans les verres spéciaux, les céramiques ainsi que dans les matériaux et technologies connexes, opérant dans 60 pays et employant plus de 50 000 employés.

    Ils utilisent SAP SuccessFactors Work Zone pour différents cas d’utilisation, mais concentrons-nous sur celui de la formation et du développement. Comme d’autres gros clients, Corning est composé de nombreuses divisions commerciales différentes qui ont toutes des besoins différents. L’objectif était de mettre en place différentes expériences universitaires d’apprentissage en tirant parti de l’investissement existant dans SAP SuccessFactors Learning et de créer un environnement qui permet aux personnes d’être guidées dans le développement de leur carrière. L’utilisation des espaces de travail améliore l’expérience globale, par exemple en complétant l’apprentissage formel par un apprentissage collaboratif.

    Corning utilise les capacités de personnalisation pour aider les individus à trouver des informations pour des utilisations particulières et qui leurs sont utiles, au lieu d’être potentiellement submergés par trop d’informations. Il est utile de donner à l’utilisateur la possibilité de choisir le contenu qu’il souhaite et qui l’intéresse. Il peut s’agir de tout type d’information provenant des solutions SAP SuccessFactors, mais aussi de Microsoft Teams pour faciliter les groupes d’apprentissage virtuels.

    Corning prévoit également d’accompagner ses collaborateurs délocalisés en distanciel grâce aux fonctionnalités de SAP SuccessFactors Work Zone, car elle ne dispose pas actuellement d’une plateforme pour communiquer avec elle de manière efficace. Avec cette solution, l’entreprise peut communiquer de manière plus plus engageante, directement depuis leur appareil mobile ou même leur ordinateur portable à la maison, et ce dans plusieurs langues. Corning étudie actuellement la solution SAP SuccessFactors Opportunity Marketplace, qui permettra à ses employés de piloter leur propre développement et leur croissance tout en s’alignant sur les valeurs et la stratégie de Corning en matière de talents. Cela peut être un facteur de différenciation important lorsqu’il s’agit d’attirer et de retenir les talents, tout en permettant à l’entreprise de soutenir la croissance de ses effectifs.

    Découvrez comment les solutions SAP SuccessFactors et SAP SuccessFactors Work Zone aident les entreprises à améliorer leurs expériences d’apprentissage pour se préparer à l’avenir.

    ___________________________________________________________________________________________________________________________

     

    Margit Bauer est directrice du marketing des solutions chez SAP SE.

    Mark Tarallo est chercheur en marketing de solutions chez SAP.

    The post Comment certaines organisations ont réussi à changer leur expérience d’apprentissage et de gestion des talents appeared first on SAP France News.

    Source de l’article sur sap.com

    L’environnement de travail d’aujourd’hui est plus que jamais différent de ce que nous avons déjà rencontré auparavant. En raison des changements monumentaux que la pandémie a introduits, les entreprises luttent à la fois contre les défis liés à la rétention des talents et contre un déficit de compétences numériques qui ne cesse de croître. Il est devenu de plus en plus évident que l’éducation et la formation doivent évoluer avec ce contexte.

    Au sein de l’organisation SAP Learning, nous nous efforçons constamment à repenser la manière dont la formation peut aider nos clients, partenaires et collaborateurs à suivre le rythme.

    Voici trois façons de réinventer l’apprentissage afin que chacun dans notre écosystème ait les compétences dont il a besoin pour réussir.

    Réduire les obstacles à l’accès à l’éducation

    La technologie a considérablement amélioré l’accès à l’apprentissage pour les communautés sous-représentées, ainsi que pour les étudiants qui débutent leur carrière. Qu’il s’agisse d’une conférence vidéo, d’un e-learning ou d’un exercice simulé, les connaissances peuvent être accessibles à l’échelle mondiale presque sans frais. Il en va de même pour l’éducation dans le monde des logiciels d’entreprise, un espace qui offre des opportunités de carrière importantes.

    Nous voulons désormais créer des opportunités qui rendent les formations attrayantes et accessibles à tous. C’est pourquoi nous avons facilité l’accès à nos programmes globaux pour atteindre les étudiants et les apprenants susceptibles de rencontrer des barrières aux opportunités. En éliminant le coût de la formation et en réduisant le besoin d’activités en présentiel, nous continuons à développer notre communauté d’apprenants qui qui peuvent réaliser leurs aspirations dans l’écosystème SAP..

    Nous sommes ravis d’avoir atteint plus de 150 000 apprenants actifs sur le site SAP Learning depuis son lancement en novembre, avec une croissance d’environ 2 000 participants par jour. Cette stratégie rapporte aux étudiants. En complément, grâce à des programmes financés pour les demandeurs d’emploi tels que People to Work by SAP, nous pouvons voir des évolutions de carrière avec le placement de plus de 80 % des participants dans de nouveaux emplois après avoir terminé la formation..

    À mesure que SAP Learning se développe, nous sommes impatients de continuer à nous améliorer et à nous adapter aux besoins de ces communautés.

    Adopter une approche basée sur les compétences pour le développement de carrière

    Alors que nous élargissons notre communauté aux apprenants de divers horizons et niveaux de formation, nous observons que certains cherchent à améliorer les compétences requises pour leurs rôles actuels, tandis que d’autres cherchent à franchir la prochaine ou la première étape de leur carrière. Dans les deux cas, une approche spécifique basée sur les compétences peut aider les apprenants à se concentrer sur des domaines de développement spécifiques, ce qui leur fait gagner du temps et leur permet d’avoir une expérience personnalisée. Selon un livre blanc d’IBM, les technologies d’e-learning peuvent augmenter l’engagement des collaborateurs de 20 %.

    Associée à des certifications, la formation basée sur les compétences permet aux apprenants externes de faire valoir de nouveaux ensembles de compétences auprès de leurs employeurs actuels et potentiels, et d’améliorer leur employabilité. En interne SAP, nous adoptons une approche similaire, car la compréhension des compétences de notre personnel nous permet de réaliser des investissements stratégiques en soutenant nos employés à acquérir de nouvelles compétences, nous permettant ainsi de développer des talents uniques pour l’avenir.

    Cette approche basée sur les compétences et la manière avec laquelle nous formons nos employés et notre écosystème a été reconnue par les prix Learning Elite 2022 des Directeurs formation :  SAP a été classé parmi les lauréats du Silver Award qui reconnaissent les meilleurs programmes de formation et développement à travers le monde.

    Atteindre les apprenants là où ils se trouvent

    Personne n’apprend exactement de la même manière, mais la technologie peut servir de passerelle vers de meilleures expériences d’apprentissage pour tous. Grâce aux outils numériques, nous pouvons atteindre les apprenants où qu’ils soient et quand ils souhaitent apprendre. Nous pouvons penser au-delà du cadre de la classe traditionnelle et proposer des méthodes d’apprentissage alternatives plus accessibles et abordables, à destination d’un public plus large et plus global d’apprenants. Nous pouvons rendre les parcours d’apprentissage encore plus personnalisables et adaptables pour répondre réellement aux objectifs individuels.

    Ces besoins varient: une récente enquête d’Anthology a révélé que plus de quatre étudiants sur cinq (82 %) souhaitent qu’au moins une partie de leurs cours se déroulent en distanciel, et deux sur cinq (41 %) préfèrent un apprentissage entièrement en ligne sans aucun élément en présentiel.

    Nous savons que certains de nos clients auront toujours besoin d’une formation en présentiel hautement interactive. Mais nous savons aussi, que si nous voulons combler la pénurie de compétences SAP et développer notre écosystème de professionnels formés sur nos solutions, l’apprentissage numérique a un rôle essentiel à jouer.

    Notre engagement à garantir des cours et des certifications largement accessibles a fait de SAP Learning un leader dans trois rapports IDC MarketScape, sur les Services de formation informatique 2021 en Europe et aux États-Unis et en APeJ (Asie-Pacifique avec exclusion du Japon) en 2022. Ces évaluations des fournisseurs couvrent une évaluation globale des capacités et des stratégies des acteurs du monde numérique de la formation, et reconnaissent SAP en tant que leader grâce à notre vaste portefeuille de produits et à nos offres de formation hybrides, entre autres facteurs.

    Notre engagement en faveur de la formation continue

    Bien que nous soyons ravis de voir l’impact de nos parcours de formation dans le domaine de la formation continue, et dans un esprit d’amélioration constante, nous pensons qu’il y a toujours de la place pour de la croissance et du développement. Nous accueillons avec joie les commentaires sur ce que nous pourrions améliorer ou ajouter à nos programmes tout au long de votre parcours d’apprentissage avec SAP.

    Pour partager votre expérience de formation ou faire part de vos commentaires,
    rendez-vous sur le site SAP Learning.

    Max Wessel est Chief Learning Officer à SAP.

    The post SAP continue ses progrès dans la formation continue appeared first on SAP France News.

    Source de l’article sur sap.com