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Ce réseau profitera de nouvelles solutions imaginées pour SAP pour des performances commerciales plus durables

 

WALLDORF, Allemagne 2 juin, 2021 Lors de sa conférence globale SAPPHIRE NOW®, SAP SE (NYSE : SAP) a annoncé une stratégie audacieuse visant à créer de nouvelles communautés d’entreprises capables d’améliorer les résultats commerciaux, de mieux gérer l’évolution des conditions économiques et géopolitiques et de renforcer les contributions au développement durable. SAP a dévoilé la première étape de la création du plus grand réseau d’entreprise au monde avec SAP® Business Network, qui regroupera Ariba® Network, SAP Logistics Business Network et SAP Asset Intelligence Network. Plus de 5,5 millions d’organisations bénéficieront de l’appartenance à cette communauté connectée.

Pour compléter cette annonce centrale, SAP annonce également de nouvelles innovations conçues pour aider les entreprises à moderniser et à numériser leurs processus de gestion pour devenir des entreprises intelligentes. Ainsi, les clients peuvent bénéficier d’un nouveau portefeuille d’applications de gestion spécifiques au développement durable qui offrent une transparence et une capacité unique de mesure  tout au long de la chaîne d’approvisionnement.

« Au cours de cette année sans précédent, l’importance des communautés dont nous faisons partie n’a jamais été aussi claire« , a déclaré Christian Klein, PDG et membre du conseil exécutif de SAP SE. « Notre nouvelle ambition est de construire la plus grande communauté d’affaires au monde, permettant aux clients de nouer facilement des liens avec des entreprises à travers les chaînes d’approvisionnement et créant des économies en réseau dans tous les secteurs. »

Alors que nous avons tous constaté la puissance des réseaux dans nos vies personnelles, cet écosystème en réseau pour les entreprises qui font des affaires ensemble est un projet sans précédent. Les membres du nouveau SAP Business Network pourront accéder à un portail unique et unifié pour obtenir une vue d’ensemble sur l’écosystème de leur chaîne d’approvisionnement, la logistique et la traçabilité, ainsi que la gestion et la maintenance des équipements. Pour en savoir plus : »SAP présente SAP Business Network« .

Pendant la pandémie, les entreprises les plus résilientes sont celles qui ont fait appel à la technologie pour transformer leurs processus opérationnels. Celles qui se sont contentées de tirer parti de l’infrastructure du cloud et qui n’ont pas réellement numérisé leurs processus de gestion fondamentaux n’ont pas eu la même chance. Pour permettre à chaque entreprise de devenir une entreprise intelligente, SAP a annoncé les packs de transformation RISE with SAP, adaptés pour des secteurs spécifiques. S’appuyant sur l’introduction réussie de l’offre RISE with SAP en janvier, les packages RISE with SAP pour des secteurs spécifiques offrent une transformation de l’entreprise sous forme de service avec cinq solutions de cloud computing sectorielles initiales pour le commerce de détail, les produits de consommation, l’automobile, les services publics et les machines et composants industriels. Pour en savoir plus : »Start Your Digital Transformation Journey : RISE avec SAP pour les industries« .

Malgré une brève baisse des émissions de carbone l’année dernière, cette année est en passe de devenir la deuxième plus forte augmentation des émissions de l’histoire. Le développement durable est aussi important pour la réussite des entreprises que le chiffre d’affaires et les bénéfices. C’est au cours de cette décennie que les entreprises doivent agir. L’objectif déclaré de SAP est de rendre la protection du climat mesurable, la diversité et l’inclusion visibles et les responsabilités éthiques transparentes.

Pour atteindre cet objectif et faire de la durabilité un processus de gestion essentiel, SAP a annoncé un portefeuille de nouveaux produits spécifiques à la durabilité. Il s’agit notamment de la solution SAP Responsible Design and Production, qui permet aux concepteurs de produits de faire des choix durables, de la conception initiale du produit à sa production, de la solution SAP Product Footprint Management, qui permet de suivre le développement durable tout au long du cycle de vie du produit, et de la solution SAP Sustainability Control Tower, qui offre une visibilité de bout en bout. Pour en savoir plus, lisez « Sustainability Management by SAP : Enabling Tomorrow Starts Today« .

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com .

Contacts presse SAP
Daniel Margato, Directeur Communication : 06 64 25 38 08 – daniel.margato@sap.com
Mateo Moreau : 06.31.80.86.93 – presse-sap@publicisconsultants.com
SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

 

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Source de l’article sur sap.com

 

“Cette initiative est née de notre profonde conviction que les entreprises, quelle que soit l’industrie, peuvent tirer parti du partage d’experiences.”

 

Il est ingénieur de formation, issu de Polytech’Nice-Sophia. Elle est diplômée en mathématiques appliquées et a validé une thèse en théorie de l’optimisation. Ils mènent leur carrière dans de grandes entreprises technologiques internationales. Et dirigent le Industrial Council of Artificial Intelligence Research (ICAIR). Olena Kushakovska (SAP) et Jean-Michel Sauvage (Amadeus) pilotent ensemble ICAIR depuis 2020. Ils ont une ambition claire pour l’organisation : accélérer le travail sur l’IA en mettant l’accent sur le développement durable. A l’occasion du 1er SAP Sustainability Summit, la directrice générale de SAP Labs France et le directeur R&D pour les solutions Revenue Management d’Amadeus se sont prêtés au jeu de l’interview croisée pour nous donner leur vision de l’IA durable.

  1. Quels sont les principaux avantages de l’IA dans votre secteur ?

Olena Kushakovska : Chez SAP, nous permettons à nos clients de devenir des entreprises intelligentes, d’utiliser les données pour bâtir des entreprises plus performantes, plus résilientes, plus rentables, plus agiles et plus durables. Nous mettons tout en œuvre pour que la réalité de l’entreprise intelligente soit pleinement intégrée avec les fonctionnalités d’Intelligence Artificielle.

Jean-Michel Sauvage : L’IA est une technologie majeure qui offre la meilleure utilisation possible des données et fournit un service plus performant, plus efficace, prévisible, personnalisé et à plus forte valeur ajoutée sur l’ensemble de la chaîne.

  1. Quand, pourquoi et comment vous êtes-vous engagé avec ICAIR ?

Olena : Amadeus et SAP sont membres fondateurs de ICAIR. La décision d’aller de l’avant a été prise entre Gilles Floyrac et moi il y a environ 2 ans. Gilles était le président d’Amadeus Nice à l’époque et la région Côte d’Azur venait de décrocher le label 3IA. Son idée était que les entreprises conduisent l’agenda industriel parallèlement au monde universitaire. Plus de 60 entreprises de la zone ont soutenu le projet 3IA. Nous avons contacté les entreprises que nous pensions intéressées (ex. IBM, ARM, NXP, Thales Alenia Space, Orange) et le “Club” est né. La réunion de mise en place entre les responsables de site pour sceller le club s’est tenue chez Amadeus puis la 1ère session de travail a eu lieu chez SAP en juin 2019.

Jean-Michel : Les techniques d’IA n’étant pas spécifiques à la résolution d’un problème, cette initiative est motivée par la forte conviction que les entreprises, même lorsqu’elles travaillent dans différents secteurs, peuvent bénéficier de l’apprentissage et du partage d’expériences sur les défis auxquels elles sont confrontées sur des problèmes techniques similaires.

« Nous nous efforçons d’utiliser l’IA de manière durable et d’atteindre les objectifs de durabilité de l’ONU au sein du secteur. » Olena KUSHAKOVSKA

  1. Qu’est-ce qui est spécial avec ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR se concentre sur la recherche appliquée, et à ce titre, est un moyen de lier la recherche fondamentale et les résultats académiques à leur application dans un environnement industriel.

Olena : ICAIR est à taille humaine, agile, diversifié, industriel, pratico-pratique, avec des cas d’utilisation réels. Des entreprises leaders dans le monde composent le conseil. Pour autant, il y a un faible niveau d’administration, une faible bureaucratie, mais beaucoup de bonne volonté et un grand écosystème. La bienveillance et le soutien sont sans faille, et l’implication continue !

  1. Pourquoi avoir choisi l’IA durable comme thème du programme ICAIR ? 

Jean-Michel : L’IA s’accompagne de défis, tant en termes de technologie, de puissance de calcul, que de biais d’apprentissage, ou de décisions humainement explicables. Nous pensons que l’IA peut être conçue et utilisée de manière durable et apporter de la valeur d’une manière qui respecte la planète et les communautés.

Olena : On questionne souvent l’IA en termes écologique ou éthique. Nous voulons envisager la durabilité dans un contexte beaucoup plus large, celui des objectifs de durabilité des Nations Unies. La durabilité s’entend comme la capacité de notre génération à atteindre ses objectifs, sans compromettre la capacité de la génération future à atteindre les leurs. Et ce, par rapport à toutes les ressources : naturelles, humaines, économiques. Nos efforts se concentrent sur l’IA durable pour atteindre les objectifs des Nations Unies au sein de l’industrie.

  1. Quel est le champ d’application d’ICAIR ?

Jean-Michel : ICAIR a été pensé de telle sorte que des chercheurs d’entreprises de Sophia Antipolis hébergeant des laboratoires de recherche travaillant dans différents contextes industriels, et sur différents sujets, puissent discuter et échanger leurs points de vue sur des questions communes liées à l’utilisation de l’IA dans leurs industries respectives.

Olena : Notre objectif est de travailler sur des projets communs et d’échanger sur les meilleures pratiques en matière d’apprentissage automatique et d’intelligence artificielle. Cela permettra de faire progresser les recherches en matière d’IA. Enfin, nous comptons utiliser notre puissance commune pour promouvoir la Côte d’Azur en tant que berceau de l’IA durable.

  1. Qu’est-ce qui vous motive personnellement ?

Olena : Ma volonté est de promouvoir notre grande collaboration, dans l’écosystème incroyablement riche sur le plan technologique et intellectuel de la Côte d’Azur, en montrant à nos maisons-mères que cet endroit est vraiment exceptionnel, et y développer une véritable communauté autour de l’IA. Je veux aussi que la France et l’Europe obtiennent la place qu’elles méritent dans le monde en ce qui concerne l’IA, en veillant à ce que l’IA soit utilisée à bon escient, que la Côte d’Azur soit identifiée comme l’endroit idéal pour l’IA durable, et enfin que les gens ne craignent plus l’IA.

Jean-Michel : Je suis un passionné d’aviation et d’informatique. Heureusement pour moi, les voyages et l’aviation en particulier sont des domaines pleins de défis combinatoires, très complexes à résoudre et à optimiser. Chez Amadeus, nous sommes déjà pleinement engagés dans le déploiement de l’IA. Nous sommes également engagés depuis de nombreuses années dans le développement de systèmes ouverts et interopérables, car nous pensons que c’est en combinant les meilleurs services « atomiques » que nous apporterons une plus grande valeur ajoutée à nos clients, à l’industrie du voyage et aux voyageurs. Mais nous savons aussi que, comme toute évolution de ce genre, elle a besoin de temps, d’expérience, de tests et d’apprentissage. L’IA s’accompagne de nombreuses questions et défis sans réponse. Avec ICAIR, nous faisons partie de l’apprentissage, de l’enseignement, et nous voulons y répondre de la bonne manière.

 

 

 

Les membres sont des entreprises internationales avec des sites sur la Côte d’Azur et menant des recherches en IA :

  • Accenture,
  • ACRI-ST,
  • AIRFRANCE KLM,
  • Amadeus,
  • ARM,
  • Hewlett Packard Enterprise,
  • IBM,
  • NXP Semiconductors,
  • Orange,
  • Renault Software Labs,
  • SAP Labs France,
  • STMicroelectronics,
  • Thales Alenia Space.

Le programme touche l’ensemble de l’écosystème du label 3IA de la Côte d’Azur :

  • Académiques : Institut 3IA, UCA (Université Côte d’Azur), Ecoles, Centres de Recherche
  • Secteurs d’activité : ICAIR, ClusterIA
  • Institutions : MIA, OTESIA, EuropIA
  • Associations : Telecom Valley, Pôle SCS

Des initiatives liées à l’IA lancées par ces acteurs soutiennent la dynamique territoriale de la Côte d’Azur. Elles se rapportent aux objectifs de développement durable des Nations unies et constituent le champ d’application du programme « IA durable ».

En savoir plus : ICAIR – Industrial Council of Artificial Intelligence Research

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Source de l’article sur sap.com

Ten years ago, people began talking about the “Independent Web.” Although we don’t commonly use the term anymore, that doesn’t mean that it’s not still as vital a topic of discussion today as it was a decade ago.

Today, I want to look at where the term came from, what it refers to today, and why it’s something that all of us in business, marketing, and web design should be thinking about.

What Is The Independent Web?

The Independent Web is a term that was coined back in 2010 by John Battelle.

In “Identity and The Independent Web,” Battelle broaches the subject of internet users losing control of their data, privacy, and decision-making to the likes of social media and search engines.

“When we’re ‘on’ Facebook, Google, or Twitter, we’re plugged into an infrastructure that locks onto us, serving us content and commerce in an automated but increasingly sophisticated fashion. Sure, we navigate around, in control of our experience, but the fact is, the choices provided to us as we navigate are increasingly driven by algorithms modeled on the service’s understanding of our identity.”

That’s the Dependent Web.

This is how Battelle explains the Independent Web:

“There is another part of the web, one where I can stroll a bit more at my own pace, and discover new territory, rather than have territory matched to a presumed identity. And that is the land of the Independent Web.”

In 2010, this referred to websites, search engines, and apps where users and their activity were not tracked. But a lot has changed since then, and many websites that were once safe to peruse without interference or manipulation are no longer.

What Happens When the Dependent Web Takes Over?

Nothing good.

I take that back. It’s not fair to make a blanket statement about Dependent Web platforms and sites. Users can certainly benefit from sharing some of their data with them.

Take Facebook, for instance. Since its creation, it’s enabled people to connect with long-lost friends, stay in touch with distant relatives, enable freelance professionals like ourselves to find like-minded communities, etc.

The same goes for websites and apps that track and use visitor data. Consumers are more than willing to share relevant data with companies so long as they benefit from the resulting personalized experiences.

But the Dependent Web also has a darker side. There are many ways that the Dependent Web costs consumers and businesses control over important things like:

Behavior

If you’ve seen The Social Dilemma, then you know that platforms like Facebook and Google profit from selling their users to advertisers.

That’s right. They’re not just selling user data. They’re selling users themselves. If the algorithms can change the way users behave, these platforms and their advertisers get to cash in big time.

Many websites and apps are also guilty of using manipulation to force users to behave how they want them to.

Personal Data

This one is well-known thanks to the GDPR in the EU and the CCPA in California. Despite these initiatives to protect user data and privacy, the exploitation of personal data on the web remains a huge public concern in recent years.

Content and Branding

This isn’t relevant to websites so much as it is to social media platforms and Google.

Dependent Web platforms ultimately dictate who sees your content and when. And while they’re more than happy to benefit from the traffic and engagement this content brings to their platforms, they’re just as happy to censor or pull down content as they please, just as Skillshare did in 2019 when it deleted half of its courses without telling its course creators.

What’s more, while social media and search engines have become the place to market our businesses, some of our branding gets lost when entering such oversaturated environments.

Income

When algorithms get updated, many businesses often feel the negative effects almost immediately.

For example, Facebook updated its algorithm in 2018 to prioritize “meaningful content.” This pushed out organic business content and pulled regular user content to the top of the heap.

This, in turn, forced businesses to have to pay-to-play if they wanted to use Facebook as a viable marketing platform.

Access

The Dependent Web doesn’t just impact individuals’ experiences. It can have far-reaching effects when one company provides a critical service to a large portion of the population.

We saw this happen in November when AWS went down.

It wasn’t just Amazon’s servers that went down, though. It took out apps and sites like:

  • 1Password
  • Adobe Spark
  • Capital Gazette
  • Coinbase
  • Glassdoor
  • Roku
  • The Washington Post

And there’s absolutely nothing that these businesses or their users could do but sit around and wait… because Amazon hosts a substantial portion of the web.

Innovation

When consumers and businesses become dependent on platforms that predominantly control the way we live and work, it’s difficult for us to stand up for the little guys trying to carve out innovative pathways.

And that’s exactly what we see happen time and time again with Big Tech’s buy-and-kill tactics.

As a result, we really lose the option to choose what we use to improve our lives and our businesses. And innovative thinkers lose the ability to bring much-needed changes to the world because Big Tech wants to own the vast majority of data and users.

How Can We Take Back Control From The Dependent Web?

Many things are happening right now that are trying to push consumers and businesses towards a more Independent Web:

Consumer Privacy Protection: GDPR and CCPA empower consumers to control where their data goes and what it’s used for.

Big Tech Regulations: The Senate held tech regulation hearings with Facebook’s and Twitters’s CEOs.

Public Awareness Initiatives: Films like The Social Dilemma bring greater awareness to what’s happening on social media.

Ad Blocker Adoption: Adblocker usage is at an all-time high.

Private Search Engine Usage: Although Google dominates search engine market share, people are starting to use private search engines like Duck Duck Go.

Private Browsing Growth: Over 60% of the global population is aware of what private browsing is (i.e., incognito mode), and roughly 35% use it when surfing the web.

Self-hosted and Open Source CMS Popularity: The IndieWeb community encourages people to move away from Dependent platforms and build their own websites and communities. This is something that Matt Mullenweg, the founder of WordPress, talked about back in 2012.

“The Internet needs a strong, independent platform for those of us who don’t want to be at the mercy of someone else’s domain. I like to think that if we didn’t create WordPress something else that looks a lot like it would exist. I think Open Source is kind of like our Bill of Rights. It’s our Constitution. If we’re not true to that, nothing else matters.”

As web designers, this is something that should really speak to you, especially if you’ve ever met a lead or client who didn’t understand why they needed a website when they could just advertise on Facebook or Instagram.

A Decentralized Web: Perhaps the most promising of all these initiatives are Solid and Inrupt, which were launched in 2018 by the creator of the Web, Tim Berners-Lee.

As Berners-Lee explained on the Inrupt blog in 2020:

”The Web was always meant to be a platform for creativity, collaboration, and free invention — but that’s not what we are seeing today. Today, business transformation is hampered by different parts of one’s life being managed by different silos, each of which looks after one vertical slice of life, but where the users and teams can’t get the insight from connecting that data. Meanwhile, that data is exploited by the silo in question, leading to increasing, very reasonable, public skepticism about how personal data is being misused. That in turn has led to increasingly complex data regulations.”

This is something we should all keep a close eye on. Consumers and businesses alike are becoming wary of the Dependent Web.

Who better than the creator of the web to lead us towards the Independent Web where we can protect our data and better control our experience?

 

Featured Image via Pexels.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

Nous entendons souvent des analystes conseiller aux entreprises de repenser, réorganiser ou même complètement transformer leurs business models.

Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Est-ce pertinent pour tous les types de produits, y compris les miens, qui ont toujours été vendus de la même manière aux clients ?

Les exemples de business models transformés et couronnés de succès sont nombreux et connus de tous :

  • Musique en streaming plutôt que sur CD physiques, d’ailleurs, vos enfants ont-ils même déjà entendu parler des CD et des vinyles ?
  • Vidéos en streaming (dans ma propre ville, il n’y a plus aucun magasin de location de films). Et les services de streaming remplacent même peu à peu la télévision traditionnelle. Le choix avant tout !
  • De plus en plus de voitures sont louées ou partagées, en particulier au sein de la jeune génération. La flexibilité compte, comme le fait de pouvoir louer une voiture plus grande le week-end, simplement au moment où on en a vraiment besoin.
  • Souvent, les logiciels ne sont plus vendus, mais proposés via des abonnements, même dans des environnements privés. Vous pouvez ainsi toujours profiter de la version la plus récente, offrant les dernières fonctionnalités, et de l’espace cloud associé pour stocker vos documents en toute sécurité et les partager avec vos amis. Y a-t-il jamais eu une autre façon de consommer les logiciels ?

Et certains de ces « nouveaux business models » ont non seulement remplacé les « business models traditionnels », mais aussi offert une place à de nouveaux acteurs sur le marché. Des startups inconnues ont silencieusement attaqué des marques bien connues, les contraignant à une position défensive.

Et l’histoire récente montre que ces modèles de consommation sont bien acceptés par les clients. Ce n’est plus seulement la qualité des produits qui compte, mais aussi le mode de consommation, le service et la fiabilité associés.

Envisager et tester des changements et des orientations complètement différentes en matière d’offres est vraiment une excellente idée. Il s’agit non seulement d’innover en matière de produits physiques et de fonctionnalités, mais aussi de façonner quelque chose de nouveau : un nouveau produit offrant une perspective étendue et une valeur accrue aux clients, avant que d’autres ne s’en chargent.

Mais il faudra pour cela surmonter un obstacle, lié au fait qu’un business model transformé à ce point changera non seulement la vie des clients, mais aussi votre entreprise, et ce par bien des aspects :

  • Façon d’interagir avec vos clients (directement et de manière bien plus rapprochée)
  • Nombre accru de clients et nécessité d’interagir directement avec eux
  • Processus de facturation (réguliers et non plus ponctuels)
  • Nouveaux modèles de tarification dans votre système (mensuels, basés sur l’utilisation, etc.) et automatisation de leur exécution et traitement
  • Gestion des abonnements et de la satisfaction client
  • Automatisation accrue des processus (facturation, relance, contrôle des factures, etc.)
  • Etc.

Il s’agit vraiment d’un changement complet de business model !

Bonne nouvelle : chez SAP, nous disposons non seulement de l’expertise nécessaire pour vous aider, mais aussi de solutions et de processus standardisés. Nombre de nos clients ont réussi à transformer leur entreprise et à se protéger vis-à-vis de nouveaux acteurs. Ils ont prouvé que c’était possible et sont parvenus à garder une longueur d’avance en matière d’innovation de business model.

Autre bonne nouvelle : les clients qui ont doté leur entreprise traditionnelle d’un business model moderne sont devenus plus forts et plus résilients face aux crises, quelles qu’elles soient. Ce n’est pas la seule raison qui doit vous pousser à penser autrement, et ce dès maintenant, mais il s’agit clairement d’un argument de poids.

Vous souhaitez obtenir les témoignages de nos clients et experts ?

Rejoignez-nous pour notre présentation BRIM (1), proposée dans le cadre du sommet virtuel SAP Finance and Risk, et découvrez les expériences et idées de nos clients et experts à travers leurs témoignages.

Nous sommes impatients de vous retrouver le 16 mars.


(1) BRIM est l’acronyme de Billing Revenue Innovation Management, pour gestion novatrice de la facturation et des revenus

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Source de l’article sur sap.com

A domain name is an essential element of every project, product, and company. It’s central to a brand and has a disproportionately large impact on user experience. Not only that, but it also impacts SEO and ultimately revenue.

Domain names are also one of the most commonly retailed elements in web technology, with most designers hoarding a small empire’s worth of domain names “just in case” the right side-project comes along.

Because so much of the information and advice on domain names is provided by companies selling domain names and is therefore not impartial, we wanted to bust some of the myths you’ll encounter.

Myth 1: Anyone Can Own a Domain Name

In fact, almost no one can own a domain name. As demonstrated by the (probably) annual renewal notices you receive, you are merely renting a domain name.

You pay a registrar, who registers the domain with ICANN (The Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) — or an entity to whom ICANN has delegated the responsibility for a particular TLD.

Even when renting a domain, you do not have the right to use it; thousands of UK-based businesses have had .eu domains stripped from them as a result of being removed from the EU.

Myth 2: There’s a Perfect Domain For Every Project

Domains do not have inherent value; they acquire value over time.

25 years ago, if you were building a search engine, the ‘perfect’ domain might have been search.com, find.com, or perhaps look.com — the particularly cynical might have opted for webads.com. You almost certainly wouldn’t have registered google.com because it says nothing about search.

Any domain name can acquire value through longevity, SEO, and branding

google.com acquired its value through a simple, relentless branding strategy and a generous dollop of luck.

Any domain name can acquire value through longevity, SEO, and branding.

Myth 3: Your Domain Name Should Contain Keywords

If you’re at the point of registering a domain name, either your business is new, or your digital strategy is. In either case, you have hopefully carried out keyword research, but without a live site, your keyword research hasn’t been validated. In other words, you don’t know what your keywords are.

Even if you’re confident that you know exactly what your keywords should be at this time, your keywords may change. The pandemic has required most businesses to pivot to some degree. eatoutny.com isn’t much use if legal restrictions have forced you to switch to a delivery business — unless you’ve also registered eatinny.com.

Furthermore, in the area of ecommerce, customers tend to view keyword-heavy domain names as budget options because they are like generic-brand goods. It may be that your business will only ever be a budget option, but it’s not a wise business decision to restrict your options.

There is an SEO benefit to keywords in a domain, but it is minimal and will almost certainly vanish in the next few years — even for EMD (Exact Match Domains) — because it is too close to gaming the system.

Myth 4: You Don’t Need a .com

As frustrating as it may be to seek out a .com you’re happy with, nothing says “late to the party” like a .biz domain.

A .co extension is slightly better in some regions because the .co.** format is commonly used; .co.jp for example. However, .co tends to be typed as .com by users accustomed to the more common format.

nothing says “late to the party” like a .biz domain

It’s possible to opt for pun-based names using regionally specific TLDs like buy.it, or join.in. This kind of strategy will play havoc with your local search strategy because computers don’t understand puns; you’ll potentially do quite well in Italy or India, though.

If you’re registering a domain for a non-profit, then .org is perfectly acceptable. However, carefully consider whether a domain is worth the lost traffic if you can’t also register the .com (because people will type .com).

The one exception is industry-specific TLDs that communicate something about the domain’s contents to a target demographic. For example, .design is a great extension for designers, and .io is fine for an app if it targets developers (i.e., people who understand the joke). You should also register the .com if you can, and if you can’t, carefully consider whom you’re likely to be competing with for SERPs.

This is not to say that anything other than a .com is worthless, just worth less than the .com.

Myth 5: A Trademark Entitles You to Register a Domain

Trademark registration and domain registration are two entirely different processes, and one does not entitle you to the other. This has been legally challenged a few times and fails far more often than it succeeds.

Trademarks are rarely blanket registrations, which means the trademark owner needs to declare the industry in which it will operate; there was no enmity between Apple Inc. and Apple Corp Ltd. until the former moved into music publishing and no one could download the White Album onto their iPod.

There is, however, a limited value in registering a domain that has been trademarked elsewhere. Not least because you will be competing against their SEO, and if they’re big enough to trademark a name, they’ve probably grabbed the .com.

Myth 6: Premium Domains Are a Good Investment

Premium domains are domains that have been speculatively registered in the hope of attracting a huge resale fee. The process is commonly referred to as ‘domain squatting.’

Domain squatters bulk-register domains in the hope that one of them will be valuable to someone. As a result, they are forced to charge exorbitant fees to cover their losses; a premium domain will cost anything from 1000–100,000% of the actual registration cost.

Setting aside the cost — which would be better spent on marketing — premium domains often come with legacy issues, such as a troubled search engine history, that you do not want to inherit.

Myth 7: A Matching Handle Must be Available on Social Media

The business value of a social media account varies from company to company and from platform to platform. Even if it is valuable to you, numerous marketing strategies will accommodate a domain name: prepending with ‘use,’ or ‘get,’ or appending with ‘hq,’ for example.

More importantly, it’s unwise to allow a third-party to define your long-term brand identity; sure, Facebook is huge now, but then so was the T-Rex.

Myth 8: You Need a Domain Name

A domain name is an alias, nothing more. You don’t actually need a domain name — what you need is an IP address, which a domain name makes human-friendly.

Think of domain names as an accessibility issue; humans are less able to read IP addresses than computers, and domains bridge the gap. (See how helpful accessibility is?)

While a domain name is beneficial, question whether a sub-domain or even an IP address would do. Registering a domain is an exciting stage of a project that many people never get past, leaving themselves with a huge collection of domains that they pay an annual fee for, and never actually develop.

What Makes a Good Domain Name

Now we’ve dispelled some of the myths surrounding domain names, let’s look at the key characteristics shared by good domain names:

A Good Domain Name is Brandable

A brandable domain is non-generic. It’s the difference between a sticky-plaster and a band-aid. Unique is good, rare is acceptable, generic is a waste of money.

A Good Domain Name is Flexible

Keep it flexible. Don’t tie yourself to one market or one demographic. Your domain name needs to work now and fifty years in the future.

A Good Domain Name is Musical

Six to 12 characters and two to three syllables is the sweet spot. Names in that range have a musical rhythm our brains find it easier to retain and recall.

A Good Domain Name is Phonetic

There are 44 word sounds in the English language. Other languages have similar totals. If you use a domain name that is pronounced phonetically, it will be easy to communicate.

Source

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2020 aura été une année clé pour le SI de Laboratoire Renaudin. L’industriel basque a en effet basculé vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA, avec son partenaire STMS, en s’appuyant sur la méthodologie Move to SAP S/4HANA.

PME familiale indépendante, Laboratoire Renaudin est devenu au fil des décennies un véritable industriel de la pharmacie, avec son site de production de 20 000 m², situé à Itxassou, au cœur du Pays Basque. Sa spécialité ? Les injectables de petit volume (ampoules, flacons et poches). En 2019, l’entreprise a ainsi écoulé 87 millions d’ampoules, essentiellement auprès d’hôpitaux et de cliniques, en France comme à l’étranger.

Laboratoire Renaudin utilise des solutions SAP depuis 2012, avec un ERP très intégré, présent tout au long de la chaîne de production. Une solution qui gère la plupart des processus et est utilisée par 120 des 220 salariés de l’entreprise. La tierce maintenance applicative de cette offre est assurée par l’intégrateur STMS, spécialiste depuis plus de 10 ans des solutions SAP.

Le SI de l’entreprise était arrivé à un tournant. Les conditions étaient favorables à la migration d’ECC vers SAP S/4HANA et l’entreprise craignait de devoir faire face par la suite à un embouteillage de migrations réalisées sur le tard. Certains développements programmés en interne avaient également intérêt à être réalisés pour l’ERP intelligent SAP S/4HANA et non pour ECC, afin de ne pas rajouter de dette technologique supplémentaire.

Cette mission de migration a été tout naturellement confiée à STMS, qui a appliqué la méthodologie Move to SAP S/4HANA en prélude au projet. « Nous avons souscrit à l’offre Move, dans des conditions tout à fait transparentes, explique André Mateescu, directeur commercial de Laboratoire Renaudin et sponsor du projet. Nous n’avons eu aucune mauvaise surprise, dans la mesure où tout a été bien cadré et les budgets tenus. »

Une méthodologie claire pour une migration réussie

Première étape, comprendre quelle valeur attendre de SAP S/4HANA et quelle approche adopter pour répondre aux besoins métiers et à la stratégie générale de l’entreprise. Cette phase permet aux utilisateurs et à la direction de se projeter dans le futur ERP. Seconde étape, analyser la solution existante afin d’en détecter les points faibles, de recenser les spécifiques et d’identifier les opportunités de simplification du SI et d’adoption de nouvelles technologies.

L’utilisation de SAP Readiness Check 2.0 permet de disposer d’une vue d’ensemble des applications et modules recommandés. L’ABAP Test Cockpit offre pour sa part de tester les spécifiques existants sous SAP S/4HANA. Enfin, les processus de l’entreprise sont comparés aux standards du marché et les outils obsolètes décommissionnés.

Fort des enseignements tirés de ce travail préparatoire, STMS a pu proposer plusieurs trajectoires de migration vers SAP S/4HANA, appuyées chacune par un budget et un planning. Laboratoire Renaudin a opté pour une migration à périmètre constant, permettant de limiter la durée du projet au strict nécessaire. Mais avec une réduction des pain points, la recherche de quick wins, des optimisations autour de la base de données et une modernisation des cockpits, au travers de Fiori.

Un projet mené à bien en 10 mois

Le projet s’est composé d’une phase de migration technique effectuée entre mars et mai 2020. Puis d’une recette métier menée avant et après les congés d’été, suivie d’une bascule à blanc réalisée en octobre. La première phase de la recette a permis de tester les différents flux et de faire remonter les écarts. Pendant l’été, l’équipe technique a pu se pencher sur ces problèmes, avant une seconde phase de recette dédiée à la qualification opérationnelle de la nouvelle solution. La phase de bascule à blanc s’est révélée essentielle pour mesurer avec précision la durée du basculement entre l’ancienne et la nouvelle solution.

La crise sanitaire a eu un effet inattendu sur le projet en reculant son déploiement du 11 novembre 2020 à mi-décembre. Un déploiement qui devrait se dérouler sur trois jours. « Nous fournissons nos produits à des services de réanimation et d’urgence. Nous ne pouvions donc pas nous permettre d’arrêter notre activité en pleine montée de la seconde vague de la Covid, constate André Mateescu. Mais je reste serein quant à la mise en production de la solution. »

Des gains importants sur la base de données

Les premiers bénéfices des technologies SAP HANA se font d’ores et déjà sentir. À commencer par d’importants gains sur la taille de la base de données, qui est passée de 345 Go à 170 Go. Un bénéfice direct de la méthodologie Move to SAP S/4HANA, qui offre l’occasion de réorganiser les données. L’analyse préparatoire a permis également de décommissionner 23 % de spécifiques qui n’étaient plus utilisés.

Laboratoire Renaudin travaille dans un secteur particulier, nécessitant de nombreux développements sur mesure. « Nous avions un peu peur de changer de système de base de données du fait de nos spécifiques, en particulier sur la production, témoigne Amaia Sedes, responsable qualification de l’entreprise. Si cette partie a nécessité beaucoup de travail, elle n’a finalement pas eu d’impact majeur sur la phase de recette. »

C’est là encore un des bénéfices de l’approche Move, qui permet de bien cadrer, planifier, puis traiter les différents thèmes d’une migration vers l’ERP intelligent SAP S/4HANA.

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Source de l’article sur sap.com

Le climat économique et social actuel a mis les entreprises de toutes tailles face à des défis inédits. Notre époque n’avait encore jamais connu de tels chamboulements, à la fois internes et externes. Les directeurs et services financiers, qui s’efforcent de bien gouverner leur entreprise, vivent sans doute les moments les plus difficiles de leur carrière.

À l’heure actuelle, le directeur financier et surtout l’équipe de planification et d’analyse financières doivent continuer d’avancer malgré de nombreuses incertitudes, notamment :

  • l’impact des perturbations des canaux de ventes sur le chiffre d’affaires
  • la gestion du flux de trésorerie et des liquidités
  • la gestion des dépenses et la maîtrise des coûts
  • les projections financières optimistes et les conseils basés sur des suppositions floues

Incertitudes et choix à faire

Pour le service de planification et d’analyse financières, ce ne sont pas des questions isolées, mais tout un ensemble de problèmes et de doutes qu’il faut gérer de manière globale. Faut-il puiser dans une ligne de crédit pour préserver la fluidité du fonds de roulement ? Le flux de trésorerie et les liquidités actuels permettront-ils de couvrir les dépenses à court terme ainsi que les initiatives de capital actuelles et à venir ? Peut-on bénéficier des programmes gouvernementaux d’aide salariale ? Que dire aux actionnaires sur les prévisions du solde de l’année ? Existe-t-il des moyens d’aider nos clients à réussir ?

Ces questions se posent aux services financiers, mais aussi à l’ensemble de l’entreprise, dont les différentes équipes se penchent sur les budgets et les tactiques envisageables.

  • Les programmes actuels tiennent-ils compte du marketing ?
  • La chaîne logistique est-elle confrontée à des disruptions ?
  • Quelles sont les conséquences pour la planification de la demande
  • Quelles sont les suggestions des RH concernant les niveaux d’effectifs actuels, et quels effets auront-elles sur les résultats ?

Il faut regrouper tous ces budgets et modèles individuels en une vue unique pour pouvoir comprendre les interdépendances.

Planification d’entreprise collaborative pour éliminer les silos

Un paradigme de planification moderne permettrait de résoudre facilement ces problèmes : la planification d’entreprise collaborative. Elle consiste entre autres à éliminer les silos, et ainsi à relier instantanément toutes sortes de plans. Les finances disposent donc d’un aperçu réel de la santé financière actuelle pour ne prodiguer que les conseils les plus avisés. Par exemple, elles peuvent évaluer l’impact d’un plan commercial sur les campagnes marketing, ou relier un processus S&OP (ventes et opérations) rapproché à un plan financier. Un analyste peut déterminer quel plan d’effectifs pourrait impacter la productivité des collaborateurs et la trésorerie.

Les finances doivent aussi pouvoir prendre des décisions rapides. Grâce à la planification d’entreprise collaborative, le service financier n’est pas tenu de suivre les plans établis. Aujourd’hui, on ne peut plus travailler dans un environnement où les plus mauvais services financiers repoussent les décisions parce qu’ils utilisent des feuilles de calcul et outils de planification obsolètes. Si au contraire ils disposent des technologies adéquates, ils pourront instantanément simuler l’impact de plusieurs scénarios. Les outils d’analyse modernes associés aux outils d’analyse prédictive et au Machine Learning leur permettront de suivre les recommandations pour obtenir les meilleurs résultats. Quant aux tableaux de bord et à la visualisation intégrée, ils offrent aux utilisateurs finaux un reporting en temps réel et une expérience esthétiquement agréable avec un risque d’erreur minimal, contrairement aux feuilles de calcul.

Une discussion instantanée pour une prise de décision rapide

Enfin, la plupart des organisations, y compris les services financiers, ont étendu leur capacité de travail à l’espace virtuel ; elles ne sont plus limitées par les murs de l’entreprise. La planification d’entreprise collaborative encourage la discussion instantanée pendant la planification et la prévision. Les problèmes géopolitiques ont eu des répercussions extraordinaires sur les prix des marchandises. Une situation qui, tout comme les problèmes liés à la pandémie, nécessite une collaboration et un consensus immédiats. Les décisions doivent être prises sans délai, sans le soutien des réunions, messages vocaux ou fils d’e-mails.

Avec la planification d’entreprise collaborative, les services financiers peuvent guider leur entreprise pour l’aider à obtenir les meilleurs résultats et à continuer d’avancer dans le bon sens malgré les difficultés du moment. La planification d’entreprise collaborative permet aux finances de comprendre tous les aspects de leur entreprise, de recommander et d’évaluer divers scénarios, de prendre les bonnes décisions, et de se positionner comme les véritables leaders de l’entreprise.

Pour en savoir plus, lisez ce rapport de Ventana Research intitulé « Planification d’entreprise collaborative : Améliorer la valeur opérationnelle de la planification et de la budgétisation à l’échelle de l’entreprise ».

À propos de Pras Chatterjee

Pras Chatterjee est directeur marketing produits principal pour la planification et l’analyse chez SAP, en particulier pour les solutions SAP Analytics Cloud et SAP Business Planning and Consolidation. Avant de rejoindre le service Marketing produits, Pras était directeur du cabinet SAP EPM et responsable des services SAP Business Analytics en Amérique du Nord. Il a également été architecte de solutions pour SAP, spécialisé dans la planification et les consolidations dans le monde entier. Comptable agréé, Pras a travaillé au service financier de diverses sociétés de logiciels, dont plusieurs entreprises du Fortune 500.

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Source de l’article sur sap.com

Les clients accordent de plus en plus d’importance à l’expérience qu’ils reçoivent plutôt qu’au prix ou au produit. C’est pourquoi l’expérience client est rapidement devenue une priorité absolue pour toutes les entreprises. En 2020, avec les livraisons à domicile et les mesures de distanciation sociale mises en place en réponse à la COVID-19, les consommateurs sont passés à la commande sur smartphone pour acheter de tout, de la soupe aux noix.

De plus en plus de personnes utilisent des applications mobiles pour faire venir de la nourriture à leur porte. Les consommateurs savent à quel point il est important d’utiliser ces applications, que ce soit dans le confort de leur propre maison ou sur le trajet domicile-travail. Avec des options de personnalisation pour enregistrer leurs préférences, des informations précises sur les prix et des offres à portée de main, les attentes des consommateurs en matière de rapidité et d’absence de friction pour passer leurs commandes n’ont jamais été aussi grandes.

Bien entendu, pour pouvoir offrir une excellente expérience au client à ce niveau, il faut investir dans des technologies et des processus intelligents.

Renforcer les capacités du commerce électronique

Ce n’est pas seulement un dépanneur et un détaillant de carburant typique, mais Casey’s General Stores Inc. (Casey’s) est la cinquième plus grande chaîne de pizzas d’Amérique, avec plus de 19 millions de pizzas servies chaque année. En développant des liens communautaires solides, la marque est intégrée au tissu des petites villes du Midwest, offrant un service de proximité 24 heures sur 24, soutenant des causes importantes et célébrant les héros locaux.

Si la marque a su gagner des adeptes, Casey’s devait faire plus avec ses systèmes de commande et de paiement en ligne. Ils ont été construits sur des logiciels vieillissants qui n’ont pas su suivre le rythme de l’époque, ce qui a eu pour conséquence une expérience client en ligne qui n’était pas à la hauteur de l’essence de la marque, hyper pratique et axée sur la communauté.

Ainsi, dans le cadre de sa transformation numérique, il était non seulement essentiel pour Casey’s de renforcer ses capacités en matière de commerce électronique, mais il lui fallait aussi mettre l’expérience du client au premier plan et répondre plus rapidement aux changements du marché.

Pour ce faire, elle a dû utiliser des technologies intelligentes pour créer une application pratique pour smartphone et un site Web mobile afin de rationaliser les commandes par téléphone portable, ce qui a permis aux habitants de ces villes du Midwest de prendre leurs pizzas préférées très facilement et rapidement. En même temps, dans le but de l’aider à atteindre de nouveaux niveaux de confort, Casey’s a conçu un programme de fidélisation des clients.

citation de Art Sebastian, VP de Casey's

Rationalisation des processus de commande et de paiement

Pour rationaliser le processus de commande et de paiement en permettant aux clients de payer en ligne, Casey’s a déployé les solutions SAP Commerce Cloud et SAP Customer Data Cloud du portefeuille SAP Customer Experience. L’application mobile permet aux clients de passer des commandes de ramassage ou de livraison, de définir une carte de crédit par défaut pour le paiement, de personnaliser les commandes de pizza, de trouver un magasin, de parcourir le menu, de suivre les commandes, de réorganiser les favoris et de vérifier le prix du carburant.

Dans les cinq mois qui ont suivi son lancement, Casey’s a généré environ 65 % de ses revenus numériques grâce à l’application et 30 % supplémentaires grâce au Web mobile.

En lançant son premier programme de fidélité numérique, Casey’s Rewards, sur SAP Customer Data Cloud, Casey’s a organisé les données, le consentement et les préférences des clients et les a reliés directement à ses applications sur SAP Commerce Cloud. D’un seul coup, Casey’s est en mesure de récompenser sa légion de fans avec des offres à valeur ajoutée, tout en l’aidant à mieux connaître leurs besoins – ce qui lui permet en fin de compte de proposer des expériences qui dépassent ces besoins.

Une évolution rapide à l’époque de COVID-19

L’investissement de Casey dans les technologies intelligentes a également permis à ses magasins de rester ouverts pendant la période de COVID-19 et à l’entreprise d’avancer plus rapidement que jamais. Pour répondre aux attentes des clients pendant cette période, Casey’s a donné la priorité aux livraisons sans contact, s’est associé à un service de livraison tiers, a élargi la gamme de produits de marchandises générales disponibles en ligne et a lancé un service de livraison en bordure de trottoir.

Pour en savoir plus sur la transformation numérique de Casey’s, nous avons rencontré Art Sebastian, vice-président de Digital Guest Experience chez Casey’s à SAPPHIRE NOW Converge. Dans cette interview de quatre minutes, il décrit comment le détaillant de la supérette a fait de l’expérience client un avantage concurrentiel. Pour en savoir plus, consultez l’étude sur la transformation de l’entreprise, « Casey’s : Building True Customer Loyalty Over Pizza ».

Article publié en anglais sur blogs.sap.com

 

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Source de l’article sur sap.com

Alors que le confinement – mis en place pour ne par faire de nouvelles victimes – se poursuit, le terme Folding @ home fait le tour des cercles scientifiques.

Il ne s’agit pas d’une nouvelle façon de s’attaquer à cette « pile de linge » qui semble grossir de semaine en semaine ; c’est une approche technologique fascinante pour aider les scientifiques à découvrir un remède contre le COVID-19.

Selon les scientifiques, les protéines sont constituées d’une chaîne linéaire de substances chimiques – les acides aminés – qui, si elles sont efficaces, se « plient » en structures compactes et fonctionnelles. La façon dont les composants d’une protéine s’arrangent et se déplacent détermine sa fonction. Les virus ont également des protéines, qui sont utilisées pour supprimer notre système immunitaire et se reproduire.

Pour aider à lutter contre le coronavirus, les scientifiques et les médecins doivent comprendre comment la protéine virale fonctionne, ou «se replie», s’ils veulent trouver des moyens de l’arrêter.

C’est là que le Big Data rencontre l’épidémiologie. En exécutant des simulations informatiques qui les aident à comprendre les parties mobiles des protéines, les chercheurs pensent que les données qu’ils collectent les rapprocheront d’un remède.

«Il n’y a jamais eu plus d’experts réunis pour se concentrer sur un seul et même sujet», déclare Michael Schmidt, architecte de Converged Cloud chez SAP.

Cependant, l’exécution des innombrables simulations nécessaires requiert une puissance de calcul énorme. C’est là que les entreprises et le grand public entrent en jeu. Le don de la puissance de calcul inutilisée peut accélérer la vitesse d’exécution de ces simulations, ce qui peut nous rapprocher d’un remède.

Big Data Meets Epidemiology

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Big Data Meets Epidemiology

 

L’initiative a eu un grand coup de pouce lorsque NVIDIA a lancé un appel aux joueurs du monde entier, leur demandant de rejoindre le combat.

« Les ordinateurs de jeu sont des machines extrêmement puissantes », explique M. Schmidt. Avant cette crise, les joueurs utilisaient souvent leur capacité de réserve pour « miner » des cryptomonnaies et gagner un peu d’argent en parallèle. Mais maintenant, ils font don de la puissance de leur unité de traitement graphique (GPU) à la science ».

SAP s’est joint à cet effort. Pour que cela démarre rapidement, l’équipe DevOps de Schmidt a automatisé sa contribution en capacité, en augmentant la capacité de calcul de réserve existante. Cette capacité est située sur la plateforme d’édition d’entreprise convergente en nuage de la société, la même plateforme qui héberge un grand nombre de clients de SAP. Lorsque la crise COVID-19 a frappé, l’équipe a envisagé d’utiliser cette première mise en œuvre pour programmer et faire évoluer dynamiquement une unité centrale de traitement (CPU) et un GPU Folding@home à partir de la plateforme, en les augmentant lorsque les systèmes sont inactifs et en les réduisant lorsque d’autres charges utiles en ont besoin.

«L’une des choses que notre cloud fait vraiment bien est de répartir la charge sur les nombreux ordinateurs que nous avons dans nos centres de données», explique Schmidt. «Nous pouvons mesurer en temps réel la pression que nous mettons dans le système et réduire automatiquement la capacité que nous accordons à Folding @ home si nécessaire, en nous assurant vraiment qu’aucune charge utile productive n’est affectée.»

De plus, comme SAP maintient toujours une capacité de réserve pour ses clients, quelques nœuds GPU de rechange ont été ajoutés au projet. Bien que ces serveurs dédiés soient peu nombreux, ils peuvent calculer des unités de travail étendues qui donnent une très grande puissance de traitement pour des charges de travail très lourdes. L’équipe a ensuite augmenté sa contribution au projet Folding@home, en fournissant une moyenne de 19 pétaflops – ce qui équivaut à environ 50 000 CPU et GPU supplémentaires par rapport à sa capacité de réserve normale dans le cloud.

La charge de travail est répartie sur trois continents et neuf régions. L’équipe SAP se classe actuellement parmi les 200 premiers contributeurs, plus que les autres entreprises de logiciels. M. Schmidt se dit ravi des résultats, mais se souvient qu’il ne s’agit pas vraiment d’une compétition. « Nous sommes tous dans le même bateau, et je suis heureux que les autres entreprises donnent aussi beaucoup ».

En savoir plus sur l’objectif et la promesse de SAP: https://www.sap.com/corporate/en/purpose.html

Article publié pour la première fois en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Avec son réseau mondial, SAP co-innove dans des domaines cruciaux tels que l’éducation et l’accès à la technologie, afin d’aider le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie des gens. En des temps comme aujourd’hui, de nouvelles voies d’innovation sont nécessaires – et parfois, ce sont les plus petits d’entre nous qui nous surprennent le plus.

Le mois dernier, des élèves de sixième et de septième année (secondaire) au Danemark ont ​​eu la possibilité de participer à des cours pour apprendre le codage virtuel grâce à une collaboration entre l’Association danoise de l’industrie (ITC), certains de ses membres et Sofaskolen ou «l’école du canapé».

Ils proposent quotidiennement des tutoriels virtuels en direct gratuits pour les élèves du primaire, depuis la crise du COVID-19, sur YouTube et sur la chaîne de télévision nationale TV2. Sofaskolen a contacté l’Association danoise de l’industrie ITC pour créer une classe de code virtuelle.

SAP Danemark est un membre fondateur du concept de classe de code et soutient depuis 2016 le projet visant à combler le déficit de compétences numériques. C’est la première fois que la classe de code est proposée de manière virtuelle.
Avec NNIT, membre fondateur du concept classe de code, et Netcompany, un partisan du concept, ont défié la créativité des enfants sur trois thèmes :
  • Code for the Climate: SAP a demandé aux étudiants de développer une solution qui nous permet de mieux gérer le climat, par exemple via une application ou un jeu qui prend en charge le recyclage ou aide à éviter le gaspillage alimentaire. Pour préparer les enfants, ils avaient été initiés à la pensée de conception de base et au codage Scratch la veille.
  • Code for the Body: le NNIT voulait que les élèves trouvent une solution qui nous fasse bouger davantage, car trop de gens s’assoient sans vraiment bouger. Cette solution pourrait, par exemple, être une application ou un jeu qui apporte de l’exercice au travail ou du mouvement dans une journée d’école, de manière amusante.
  • Code for Love: Netcompany s’est concentré sur le fait que de nombreuses personnes sont trop seules, en particulier en ce moment pendant cette période de confinement. Ils ont demandé aux élèves de trouver des solutions qui mettent les gens en contact, par exemple, à travers une solution qui permet aux grands-parents et petits-enfants de mieux se connaître, ou qui permet aux voisins de découvrir qu’ils ont des intérêts communs.

Pendant trois jours, les étudiants ont travaillé en petits groupes virtuels sur l’une des questions ci-dessus. À la fin du cours, les idées ont été présentées aux entreprises qui leur ont fourni un retour d’information sur leurs solutions créatives, à l’instar de l’émission de télévision « Dragons Den ».

Louise Ferslev, PDG de MyMonii et connue de l’émission télévisée «Løvens Hule», la version danoise de «Dragons Den» (programme dans lequel les entrepreneurs présentent leurs idées commerciales à un panel d’investisseurs), a entraîné les enfants sur la manière de présenter leurs idées aux entreprises.

Bien que l’enseignement se soit déroulé dans un environnement virtuel sur sofaskolen.dk une initiative d’éducation en ligne gratuite de COVID-19 d’Alinea, il y a eu beaucoup d’interaction pendant la semaine et les organisateurs ont été impressionnés par la variété des idées et la qualité des présentations et des techniques vidéo proposées par les élèves.

Une nouvelle génération courageuse, avisée en matière de technologie et sensibilisée à l’environnement, est en route.

En savoir plus sur l’objectif et la promesse de SAP: https://www.sap.com/corporate/en/purpose.html

Posté initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com