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Leader européen du popcorn, Nataïs souhaitait moderniser son ERP SAP ECC. La société a choisi l’ERP SAP S/4HANA Cloud, Private Edition, déployée avec le concours des équipes de STMS, à travers l’offre RISE with SAP.

Nataïs est une entreprise peu connue du grand public, et pourtant devenue en moins de trente ans le leader européen du marché du popcorn. La société adopte une logique de filière, allant de la semence au produit fini, avec des produits distribués en vrac ou fabriqués et conditionnés pour le compte de grandes enseignes.

Des centaines de millions de grains de popcorn préparés par Nataïs éclatent chaque jour dans les cinémas, foires, fêtes foraines et magasins du monde entier. Mais aussi dans les cuisines, Nataïs ayant produit plus de 210 millions de sachets micro-ondables en 2021.

Nataïs réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 60 millions d’euros, dont 90% à l’export, ses produits étant distribués dans plus de 50 pays. Nataïs compte 140 salariés et s’appuie sur un réseau de 240 agriculteurs locaux qui l’alimentent en maïs et que l’entreprise accompagne en retour dans leurs efforts en matière de développement durable et d’écoresponsabilité. L’ensemble de la « Popcorn family » partage un objectif ambitieux, celui d’être la 1re filière popcorn à atteindre la neutralité carbone, et ce à horizon 2025.

Objectif : moderniser un ERP SAP vieillissant

« Cela fait maintenant plus d’une décennie que nous travaillons avec un ERP SAP, utilisé par une centaine de personnes, confie Célia Ehmann, en charge du périmètre SI au sein de l’entreprise. En septembre 2021, nous avons lancé le projet Caribou, visant à moderniser notre ERP, au travers d’une migration vers l’ERP SAP S/4HANA. »

Nataïs ne voulait pas attendre le dernier moment pour basculer vers le nouvel ERP SAP. D’autant plus que certains projets de développement avaient été mis en pause dans l’attente de la bascule vers SAP S/4HANA.

STMS, qui avait déjà collaboré avec l’entreprise sur d’autres projets, a été choisi pour mener à bien cette migration. Lors de la présentation faite par STMS, Nataïs a eu l’opportunité de découvrir les solutions cloud de SAP, dont l’offre RISE with SAP. « Nous ne savions pas qu’il était possible de basculer en mode cloud. Cette présentation nous a donc permis d’aborder la question du cloud, et de l’offre RISE with SAP. »

En l’occurrence, le cloud permet d’apporter une réponse intéressante aux questions de licensing et de coût d’acquisition de SAP S/4HANA soulevées par l’entreprise gersoise. « Le licensing classique proposé par SAP n’est pas adapté à une PME comme la nôtre. Les avantages apportés par le cloud ont été ici décisifs. »

Après avoir éclairci certains points, comme le périmètre précis de la solution, la compréhension des FUE (Full Users Equivalents), les possibilités de connexion avec les autres applications de l’entreprise, ou encore les moyens de mettre en place un lien internet de secours Internet pour son futur ERP, Nataïs a décidé d’opter pour l’ERP SAP S/4HANA Cloud Private Edition, via l’offre RISE with SAP.

Un triple projet : SAP HANA, SAP S/4HANA et Cloud

Le projet a été lancé en fin d’année 2021. Ou plutôt les projets, Nataïs ayant décidé de basculer de SAP ECC vers SAP S/4HANA, mais également vers la base de données SAP HANA et vers le cloud.

« Concernant l’ERP, nous avons mené un audit en amont pour déterminer ce qu’il fallait modifier ou améliorer en priorité, explique Célia Ehmann. Nous n’avons rien changé du périmètre du système, mais cela nous a permis de définir une feuille de route de développement pour notre nouvel ERP. Nous allons conserver certains spécifiques, même si nous allons profiter du projet pour évaluer les efforts requis afin de basculer certains processus vers les standards préconisés par SAP. »

Le passage à la base de données SAP HANA ne sera pas un problème pour Nataïs, la taille de la base de données utilisée par son ERP SAP ECC restant raisonnable. « Nous allons toutefois mener quelques opérations de nettoyage et d’optimisation, lorsque cela fait sens. » La gestion des infrastructures ne posera pas plus de problèmes à Nataïs. « Je vois bien passer des échanges entre STMS, SAP et nos autres prestataires IT, mais ce sont eux qui se chargent de tous ces sujets techniques. »

Go live programmé pour le 4 mai 2022

La phase de recette a démarré le 15 mars, avec comme objectif un go live le 4 mai 2022. Si la migration est réalisée à périmètre constant, quelques changements notables seront appliqués au nouveau SI. « Nous allons refondre les droits d’accès, afin de sécuriser les rôles et autorisations de chacun. Nous allons également déployer plusieurs tuiles Fiori, relatives notamment à des KPI nous intéressant. Enfin, nous allons traiter quelques sujets liés à mobilité, lesquels devraient faciliter la vie de nos collaborateurs en logistique et approvisionnement maïs notamment.

Avant même sa finalisation, ce projet s’est d’ores et déjà traduit par un premier bénéfice : « Il nous a permis de former et animer une équipe d’utilisateurs clés dynamiques, qui partagent et échangent aujourd’hui leurs bonnes pratiques, et sont moteurs sur des projets d’optimisation de nos processus », conclut Célia Ehmann.

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With all the marketing aplomb of basement-coders worldwide, NFTs were named with an acronym that does little to clarify their utility.

You probably know by now that NFT stands for Non-Fungible Token; what is perhaps less clear is what “Fungible” actually means; in this context, it means interchangeable.

Consider an ounce of platinum. That platinum is fungible, meaning it can be exchanged for any other ounce of platinum. Now consider a piece of jewelry made from one ounce of platinum. That jewelry is not interchangeable with any other ounce of platinum; it has the same core materials, but it has unique characteristics that may be artistically valuable, such as shape, or craft. The jewelry is non-fungible.

The letter that actually matters in NFT is T for Token. Tokens are little chunks of a blockchain that is a universally agreed dataset. You don’t need to know how it works any more than you need to understand how a computer processor works; you just need to know it’s in there.

Like any new technology, NFTs are surrounded by propaganda, counter-propaganda, skepticism, evangelism, and Facebook-confusion. In this post, we’ll look at some of the common misconceptions so you can develop an informed opinion.

1. NFTs Are Bad For The Environment

We’ll tackle this one first because it’s the classic argument leveled against anything in the crypto-space, whether Bitcoin or NFTs, and it’s nonsensical.

The root of this myth is that cryptocurrency transactions use vast amounts of electricity, the generation of which is terrible for the environment. The answer is threefold:

Firstly, electricity is used to run computers that maintain a blockchain, such as Ethereum. The blockchain is maintained whether NFTs are minted (registered) or not.

Secondly, NFTs tend to be minted on blockchains like Ethereum that are moving to less resource-intensive models, blockchains like Solana that already have less resource-intensive models, or blockchains like Algorand that are already carbon-neutral.

Lastly, the fact is that electricity is not inherently planet-killing. Renewables like solar and wind are perfectly capable of powering the grid; it’s just that power companies make higher profits by burning fossil fuels. That swanky new electric car you’ve bought so you can drive guilt-free is fuelled with fossil fuels on the power company’s end (and that’s before you consider the damage done getting those minerals out of the ground).

Until the computer you’re using is solar-powered, repairable, and upgradable, anything digital is terrible for the environment; NFTs are as bad, but no more so, than anything digital.

2. NFTs Are Just [Insert Patronizing Economic Metaphor Here]

NFTs, and crypto in general, are frequently referred to as a Ponzi Scheme. In the 1920s, Charles Ponzi duped investors into handing over cash. Returns were paid to early investors with the income from new investors. Early investors made a lot of money, and later investors lost everything.

One of the key characteristics of a Ponzi Scheme is that it’s a confidence trick that presents itself as low-risk. NFTs as an investment are widely understood to be high-risk. Calling NFTs a Ponzi Scheme is an excellent way of letting people know you don’t know what a Ponzi Scheme is.

In the 17th century, the price of tulip bulbs reached astronomical proportions. The Dutch tulip trade was a complex economic investment system that eventually collapsed, thanks in part to a global pandemic. Ever since, Tulpenmanie (Tulip Mania, in English) has been a byword for an economic bubble.

NFTs are frequently linked to Tulip Mania, thanks partly to the prices and the expectation (or hope) that the market will collapse. However, if you drive through the Netherlands today, you’ll see vast fields of tulips. They’re not being grown because they’re worthless.

While demand may fluctuate, it doesn’t fluctuate as much as media hysteria implies. And ultimately, tulips are nice.

3. You Can Buy And Sell NFTs

This is where pedantry plays a role. You cannot buy and sell NFTs; NFTs are the vehicle by which you conduct transactions for digital (or, in some cases, physical) goods and services.

If you have software installed on your computer, you probably have a license key. The license key identifies you as holding certain rights over that software, such as being allowed to use it to produce digital goods of your own. The license key is how the company identifies you as the individual to whom it has sold those rights.

NFTs are license keys for digital goods that are recorded on a blockchain instead of being held in a single database.

4. NFTs Can Be Easily Copied

When I was a kid in the 90s, I would record music off the radio with a tape player. I’d make mix-tapes and give them away. I was, in every literal sense, pirating music. And it wasn’t just me; home-taping kept the cassette industry going for decades past its use-by date. Despite this, the music industry did not collapse.

Art is even easier to copy than music because there’s no risk of a vapid DJ wittering over the intro to I Wanna Be Adored.

On my morning commute, I pass a shop that sells art prints. Around 80% are screen prints of Marilyn Monroe. They are original prints made by an artist and sold for not inconsiderable amounts. Not one of those pieces diminishes the quality, importance, or financial value of Andy Warhol’s Marilyn Monroe prints in New York’s MoMA.

The difference is that MoMA’s Warhols have provenance — they can be tracked to a time and place and authenticated as by Warhol. Precisely the same provenance that NFTs provide digital artists.

5. You Can Get Rich From NFTs

Earning money, potentially a vast amount of money, is one of the main driving factors behind the boom in NFTs.

But the truth is that while it is possible to make a lot of money — some NFTs sell for millions of dollars — most NFTs sell for a modest amount.

If you are an accomplished artist with original ideas, you may make money from selling your art as NFTs. If you are an accomplished trader capable of recognizing quality, you may make money from buying and selling NFTs. However, very few people get rich.

6. NFT Resale Rights Undermine Value

NFTs have many potential uses, but the earliest adoption has been in digital art. The main economic benefit to artists is not just an easy way to sell their art but a widely accepted royalty system in which the original artist receives a commission every time the artwork is resold. It represents the ongoing investment the artist is making by continuing to produce and promote their work.

It might seem a strange way to approach ownership, but resale rights are not new in the art world. In the EU and the UK, the resale rights of artists are legally recognized. In France, the legal rights of the artist or the artist’s descendants to be compensated from the sale of artwork have been established in law for over a century.

Despite high-profile artists like Robert Rauschenberg fighting for resale rights, and legislation in New York and California supporting the concept, resale rights are still not recognized in the US.

NFTs introduce a fairer system that grants the same rights to all artists, that Europeans already enjoy.

7. NFTs Are Worthless

Anything with value, whether physical currency, NFTs, or a block of wood, only has value because two or more people agree it has value.

The most expensive baseball card in the world is reportedly a mint-condition Honus Wagner, priced at $3m. It might be hard to understand why anyone would pay $3m for a piece of cardboard with an image of a 1950s sportsman on it, but apparently, someone would.

All goods, all the things we spend money on, are worth what we agree they are worth. To me, a tulip bulb is worth more than a baseball card, but who knows, perhaps you don’t like tulips.

There are plenty of flaws in the systems that use NFTs, and there are plenty of detractors, but if you want to create and sell artwork and someone wants to buy it from you, NFTs are an excellent way of facilitating that transaction.

 

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Paris, 26 janvier 2022 – Alors que SAP France, 5ème filiale de SAP, le plus grand éditeur de logiciels d’entreprise au monde, entre dans une nouvelle phase d’accélération dans le Cloud, des changements ont été apportés à la direction de l’entité commerciale pour soutenir son succès en 2022 et au-delà.

 

Gérald Karsenti reste Président du conseil d’administration et assure la direction générale de l’entreprise.

Pour renforcer l’entité commerciale de SAP France,

Orlando Appell est nommé Directeur des Opérations. Il remplace Stéphanie Perchet qui quitte le groupe.

Membre du Comité de direction, Orlando aura pour mission de développer la stratégie opérationnelle et d’optimiser les processus de SAP France afin de répondre aux enjeux de développement business vers le Cloud, d’adoption de son offre RISE with SAP et d’accompagnement des entreprises sur leurs priorités économiques et environnementales.

Orlando a rejoint SAP en 2011 en tant que Directeur des services France, puis a occupé différents postes de direction dans le domaine des ventes et du delivery, tant au niveau des Market Units que des régions. Il avait précédemment eu des fonctions exécutives Services chez Bull, Sun et T-Systems où il a acquis une riche expérience du monde de l’IT en France et à l’étranger.

Depuis le début de l’année 2021, Orlando était COO des Services pour EMEA North.
Sa parfaite connaissance de l’industrie et du groupe, son approche centrée sur les clients et ses talents de leader seront de solides atouts pour SAP France.

 

 

Ryan Poggi, est nommé Managing Director par interim de l’entité commerciale dans l’attente du recrutement d’un nouveau directeur général. Il conserve son rôle de Chief Business Officer pour la région EMEA North.

Ryan fait partie de l’équipe de direction régionale et, en tant que Chief Business Officer, il est responsable de la consolidation des principales fonctions en contact avec les clients, y compris les engagements des clients stratégiques, les partenariats et l’offre RISE with SAP, qui sont des domaines-clés pour SAP France.

Ryan a rejoint SAP en 2007 et a depuis occupé différents postes de leadership en EMEA et en APJ avant de revenir en Europe en 2019.

Il apporte une expérience significative à la fois dans le développement de la vente complexe mais aussi dans le déploiement de grands clients.

 

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en “entreprise intelligente”. En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : 77 % des transactions commerciales mondiales entrent en contact avec un système SAP®. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en “entreprises intelligentes”. SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

Contacts presse SAP

Chloé Jalaguier : chloe.jalaguier@publicisconsultants.com

Robin Legros : robin.legros@publicisconsultants.com

SAP News Center. Suivez SAP sur Twitter : @SAPNews.

Veuillez tenir compte de notre politique de confidentialité. Si vous avez reçu cette alerte de presse dans votre courriel et que vous souhaitez vous désabonner de notre liste d’envoi, veuillez communiquer avec presse-sap@publicisconsultants.com et écrire Désabonnement dans la ligne Objet.

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Maps are a fascinating method for delivering content. At their best, they can create an intuitive way of presenting information and interacting with it. This is the advantage that digital maps, through mobile apps and websites, have over print maps and images where no interactivity is possible.

But it’s important to understand that more data ≠ better experiences. We all now have so much data available to us through multiple services that, arguably, the greatest challenge isn’t sourcing information but filtering it out. We can only handle so much information input before we become overloaded. This issue risks being omnipresent with maps. There are so many potential points of interest on a map that it’s essential to be clear about what needs to be exposed to users.

Also, UX design, map design, and user interface are all critical. While maps can be a powerful way of drawing people in, if end-users feel that you didn’t even consider the visual design, they’ll ‘bounce off’ your site or app in moments.

Common Use Cases

When are maps useful, and what problems do they solve? Let’s dive right into the most common use cases for maps used in web design.

Navigation and Direction

Like Google Maps shows, navigation and direction are arguably the classic case study for interactive maps. You are in one place and need to get to another. You can enter your destination, your current location, and the map will present suggestions for getting there. You can select the method of travel and adjust desired departure or arrival times. But you need to understand first what functionality your users need. How these options are exposed to users is a critical piece of UX design.

Also, if users are searching for options such as somewhere to eat, it’s not so straightforward. Then, how your map handles panning in real-time as users swipe around a city is going to be a big issue.

Showing Relationships and Trends Geographically

This is something that you’ll see in every election in any western country. We’re all used to seeing maps that give us a state-of-play for which state or seat is held by which party. Then, we might see projections based on voter intentions and projected voting swings deriving from that. Then, exit poll data can be projected with the map updated on an ongoing basis until the final result is confirmed.

The capability to do this is essential because if a static map were used, it’d be out of date any time a new poll was released. Also, voting intentions can change over a campaign, so such maps need to be dynamic. Of course, such maps are only as accurate as the available data, as the US 2016 election map showed.

Show Points of Interest

As mentioned previously, there’s a lot of data that can be exposed to map users. However, that doesn’t automatically mean that it should be. Usability is key. For example, when you look at a map, you’ll typically first see key points of interest. Which points of interest are going to be presented to you can vary.

One variant is zoom level. If your map is currently showing an entire city, the level of detail the map presents is deliberately limited. You’ll see districts, large roads, or geographic features such as rivers. If more detailed information were presented, users on mobile devices, in particular, would be overwhelmed. Even at this level, you’ll notice typography differences. These can include the city name being in bold or the names of different areas in capital letters. So the level of detail is coupled with the scale of the map. Zooming in a few notches will expose significant points of interest, such as museums. Zooming in to specific districts will reveal restaurants, coffee shops, and universities. This visual hierarchy is a critical way of managing the exposed level of information.

But information is still being abstracted away. It’s not until you tap on the museum that you’ll see information on opening hours and busy times. This is also typically presented with user photos and reviews. Context is also taken into account, so you’ll start to see local hotels and restaurants. So it’s not just individual points of interest that are important, but the connections between them.

6 Tips For Improving Interactive Maps

What are the challenges of creating effective maps, and how do people address the data overload problem? We’ll answer this question and go over the must-know aspects of map creation.

1. Ensure Security and Brand Trust

GDPR or General Data Protection Regulation. This is a critically important European law that extends a wide range of legal protection to European citizens regarding personal data. It’s not possible here to cover the full extent of the law, but here are some quick key points:

  • Consent is required for the processing of personal data; it cannot be assumed
  • You need to have a retention policy for information that’s capable of identifying people

Be aware that the latter doesn’t just cover commercial purposes. Research students have to submit GDPR forms that address what kind of data they’re sourcing and how they’ll be retaining it.

But the most crucial context is commercial. If a business suffers a data breach, it can be fined up to 20 million euros or 4% of annual worldwide turnover in the preceding financial year, whichever is greater. Therefore, any business storing data that could identify their customers will need to assess risk and compliance. Remember: it’s 4% of worldwide turnover, not EU turnover.

Also, anything of your business that you expose to your customers or users is an extension of your brand. Therefore, you need to assess your maps for brand compliance too. If you have primary brand colors and your map doesn’t abide by them, that’s a very poor look. Source the color hex codes directly from your brand team and involve them in design.

2. Use the Appropriate Type of Map

It’s also important to consider what type of map is most appropriate for your use case. Think carefully about what your users need, what you’re trying to communicate, what information you need to present, and how best to present it.

For example, points of interest style maps in a tourist app will be way more helpful than heat maps: people want to know where something is, key data like opening hours, and how to get there. A heat map showing the number of visitors to each attraction or area of a city is unlikely to be useful to tourists. However, it could be useful to the attractions themselves to map their visitors by heat map over time. This could help larger museums chart which exhibits are most popular.

Transport for London is charting passenger movement on the London Underground by detecting when a device with Wi-Fi comes into range and then passes out of range. They’re using this to understand overall user journeys and movements within individual stations to better manage disruptions.

3. Avoid Pop-Ups

It should go without saying by now that auto pop-ups are despised. It doesn’t matter what they’re doing or what they’re offering; an unwanted pop-up can only get in the way. The level of impact is even greater on a phone where pop-ups take up even more screen space.

Given this, many users close them without even reading them. So if you’re using pop-ups, don’t kid yourself. You’re likely just irritating users and increasing the likelihood that they’ll ‘bounce off’ or uninstall.

4. Avoid Auto-Geolocation

Auto-geolocation sounds incredibly convenient but can result in some real problems. For example, if there are any bugs with auto-geolocation, you could get false results. If someone connects through public building Wi-Fi, you could get false results. If they’re connecting through a VPN then, unless you get the user’s IP address and check if it’s the exit portal of a VPN, you could get false results.

The problem is most significant with mobile maps. If a map user is looking at a points of interest map, they likely have a specific and immediate use. This means it’s in their best to get the most accurate results possible. So why not just ask them?

Precision and Accuracy

These terms have specific meanings in geolocation. ‘Precision’ is the exactness of the data. ‘Accuracy’ is how closely the information on a map matches the real world. So you want precision and accuracy to be spot on, or data risks losing value. This applies not just to the gathering of data but to the representation of it. For example, if you have street-level data but your maps don’t present individual streets, then any representation of data on that map is likely to have poor accuracy. That map might succeed in abstracting irrelevant information but presenting an imprecise and inaccurate view.

5. Avoid Map Legends as Much as Possible

In many cases, primarily points-of-interest maps, they’re just not needed anymore. An essential part of user experience design isn’t just visual hierarchy but information hierarchy. You can mouse over on a desktop or laptop to get the essentials of a location, e.g., the museum’s name and its opening hours. On a mobile device, you can tap on that location to get the essentials, and you can tap on another location to move on; you don’t even have to press back. Given that, a legend would get in the way. So this simple piece of information design solves information overload issues.

As with all rules, there are exceptions. A good one is a heat map where a density of what’s being measured needs to be communicated. It doesn’t matter what the data is; it just needs to be something where mapping provides greater insight, especially if it informs decision-making. Sales is an excellent example for a national or multinational company. Of course, weather forecasting can make use of literal heat maps.

6. Accessibility Compliance

Not everyone has perfect eyesight. Even if someone has excellent vision, they could still be colorblind (8% of men and 0.5% of women are). Given that, take the W3C’s accessibility standards into account and treat them as a baseline or minimum barrier to entry for compliance. You shouldn’t feel good about the possibility of excluding 8% of your potential audience or customers. Ensure you keep your UX designers involved and don’t shy away from creating senior-friendly web designs.

Put simply: imagine if you could appeal to a new demographic that’s not catered to. If your competitors ignore them, you could give them a real reason to choose you instead by taking some straightforward steps. If your competitors are catering to them, you also need to. If you don’t, you’re just giving potential customers a big reason to ignore you.

Conclusions

The key takeaway is that there’s far more to creating good maps than just good cartography. That can be critical, too, though this may vary depending on the use case.

This will be a team effort because your map will involve data sets, design decisions, and, yes, cartography. You’re going to need to involve brand and IT too. So think about design principles and development methodologies.

First and foremost, what are your users’ needs? If you haven’t done any user research or taken the time to understand the customer journey, are you adding anything or getting in the way? It’s easy to see the department that requested the map as stakeholders, but you should probably view your users as stakeholders too.

This sounds complex, but as you hopefully now appreciate, a map is probably more complicated than you thought.

 

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SAP NEWSBYTE – 15 décembre 2021 – SAP SE (NYSE : SAP) annonce aujourd’hui qu’elle a été positionnée comme leader dans l’étude  » The Forrester Wave™ : Master Data Management, Q4 2021« .

Forrester Research Inc, l’un des principaux cabinets mondiaux de recherche et de conseil, a étudié, analysé et noté 15 fournisseurs et a désigné SAP comme leader. Le rapport a analysé l’application SAP® Master Data Governance et a noté ses « bonnes capacités de MDM multi domaine à l’échelle » ainsi que ses « modèles de données, règles de gestion, flux de travail et interfaces utilisateurs préétablis pour prendre en charge les déploiements MDM ». Les 24 critères de notation employés par Forrester Research couvraient trois catégories : l’offre actuelle, la stratégie et la présence sur le marché.

Le rapport indique que SAP « prend en charge une solution MDM multi domaine pour un déploiement sur site, dans un Cloud privé et public, avec des fonctionnalités de qualité, d’intendance et de gouvernance » et « se concentre sur l’extension des services Cloud, l’augmentation de l’automatisation et de l’intelligence, et la fourniture de solutions de gestion des données plus intégrées. »

Le rapport Forrester souligne que « les clients de référence ont principalement eu des retours positifs sur SAP [Master Data Governance] », l’un d’entre eux soulignant que « la mise en œuvre de SAP [Master Data Governance] nous a apporté un meilleur contrôle gouvernemental et une efficacité rationalisée. »

« Dans notre économie numérique, avoir des vues correctes, complètes et opportunes des données est primordial pour réussir« , a déclaré le Dr Andreas Doehrn, Responsable de l’ingénierie de la gestion des données de référence chez SAP. « SAP Master Data Governance améliore la qualité et la cohérence des informations en consolidant et en centralisant la gestion du cycle de vie des données de référence. Nous pensons que la reconnaissance par Forrester de SAP comme leader dans cette évaluation témoigne de la robustesse de nos solutions de données et des avantages que nous apportons à nos clients.  »

Partie intégrante de SAP Business Technology Platform, SAP Master Data Governance permet aux entreprises de créer une source unique de vérité en unissant les sources de données SAP et tierces et en traitant en masse des mises à jour supplémentaires sur de gros volumes de données. Les clients peuvent établir une stratégie de gestion des données de référence qui est cohérente et harmonisée, dans tous les domaines, afin de simplifier la gestion des données d’entreprise, accroître la précision des données et réduire le coût total de possession.

Pour en savoir plus sur le classement de SAP, lisez le rapport complet ici.

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Source de l’article sur sap.com

Notre mission chez SAP, c’est d’aider le monde à mieux fonctionner et d’améliorer la vie des gens.

Nous concevons des solutions qui stimulent l’innovation, favorisent l’égalité et multiplient les opportunités au-delà des frontières et des cultures. C’est ce que nous nous efforçons de faire également avec le programme People To Work : former des personnes sans emploi sur les solutions de gestion SAP et leur redonner de l’espoir.

De nombreuses études ont démontré que la transition numérique allait entrainer dans les cinq à dix ans à venir un déficit de compétences numériques important en Europe et qu’il est urgent de commencer à former massivement les européens au monde digital. Les clients SAP ont un fort besoin de compétences sur nos solutions, tant pour la gestion des processus métier au quotidien que pour l’implémentation des projets et la maintenance des applications. Pour répondre à ce besoin de nos clients et partenaires, et favoriser le retour à l’emploi de personnes éloignées du monde du travail, SAP a mis au point le programme People To Work avec un très grand succès en Allemagne : depuis 20 ans, ce sont 400 000 demandeurs d‘emploi qui ont été formés et 80% d’entre eux ont retrouvé un emploi à l’issue de la formation.

Il y a des millions d’utilisateurs SAP dans le monde et la France est un pays qui compte une base installée des logiciels SAP très importante. De nombreuses offres d’emploi demandent des compétences SAP et cela va en s’accélérant : avoir été formé et disposer d’une certification SAP est un réel atout sur le CV d’un candidat. Nous nous sommes donc dits que nous pouvions contribuer à faire sortir du chômage des centaines, voire des milliers de demandeurs d’emploi en France avec ce programme qui peut aussi accueillir des personnes en situation de handicap.

Plus concrètement, les formations s’adressent à deux principaux types de profils :

  • Les utilisateurs finaux des solutions SAP, c’est à dire les assistants comptables, les personnels des services achats ou de l’administration des ventes par exemple,
  • Les consultants, recrutés en général par les ESN (Entreprises du Secteur Numérique) qui mettent en place les systèmes d’information des entreprises et soutiennent la transformation numérique.

Dans le cadre du programme People To Work, SAP met à disposition son matériel de formation officiel : les manuels de cours, les systèmes pour pratiquer les exercices et la plateforme numérique d’auto-formation SAP Learning HUB.

Le déploiement du programme People To Work en France a commencé début 2020 et nous sommes fiers d’avoir déjà formé 800 personnes avec un taux de retour à l’emploi de 100% pour ceux ayant suivi un cursus consultant et de 80% pour un cursus utilisateur SAP.

Les formations sont dispensées par nos partenaires officiels M2I Formation et Fitec, acteurs de la formation établis depuis longtemps sur le marché français et qui ont une bonne proximité avec Pôle Emploi, ce qui facilite le recrutement des candidats dans le programme. Ces partenaires sont présents en région parisienne ainsi qu’en province, avec une très bonne couverture nationale permettant de s’adresser au plus grand nombre. Les formations sont financées à l’aide de fonds gouvernementaux alloués par Pole Emploi, la région ou les OPCOs, de nombreux dispositifs sont disponibles.

Les métiers du numérique gagnent à être connus et le marché du travail demeure très actif dans ce secteur, et ce depuis de nombreuses années. Ils peuvent être porteurs d’avenir pour des jeunes qui ont du mal à s’insérer dans la vie active, mais aussi pour des personnes sur des métiers en décroissance et qui souhaitent se reconvertir. Les formations du programme People To Work ne nécessitent pas de compétences en informatique ou en programmation.Les profils recherchés peuvent être des jeunes diplômés en gestion ou autre domaine, mais aussi des comptables ou des assistants dans le domaine des achats ou des ventes en entreprise. Le niveau BAC peut suffire pour les formations des cursus utilisateurs finaux.

Fort de cette belle expérience, nous avons souhaité donner un élan supplémentaire au programme People To Work en France en participant aux Trophées Défis RSE, créés il y a 10 ans par le Magazine News RSE. Ces trophées ont pour but de mettre à l’honneur divers acteurs soucieux de leur impact et désireux d’affirmer leurs engagements et responsabilités pour leurs salariés, pour leur écosystème, pour l’environnement et donc pour la planète et les générations futures. Nous avons eu la joie de remporter le trophée dans la catégorie « Inclusion sociétale ». Notre initiative et ses résultats prometteurs ont en effet convaincu le jury du bien-fondé de celle-ci : redonner un emploi à des personnes éloignées du monde du travail ou dans des secteurs en décroissance, en leur donnant de nouvelles opportunités dans le monde numérique en pleine expansion.

Claire Couturier, responsable programme People To Work en France et Marie-Line Ségla, Directrice formation

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Source de l’article sur sap.com

Une vulnérabilité a été découverte dans Microsoft Exchange, initialement dans le cadre de la compétition de cybersécurité Tianfu Cup qui a eu lieu en juillet 2021. Elle permet à un attaquant ayant accès aux identifiants d’un utilisateur de provoquer une exécution de code arbitraire …
Source de l’article sur CERT-FR

J’ai récemment eu une conversation avec le responsable produits d’un grand fabricant d’équipements industriels. Chaque machine comporte de  multiples variantes, est vendue à des centaines de clients, ce qui représente des milliers d’installations à travers le monde et peut être utilisée pendant des décennies. Mon interlocuteur m’expliquait qu’il avait reçu un appel d’un de ses clients  pour la mise à niveau d’une de ses machines pour en augmenter la productivité et optimiser. De ce fait, les équipes de ce responsable produits  vont être très occupées pour répondre à cette demande au cours des prochaines semaines, voire des prochains mois. Imaginez maintenant le nombre de ressources et le temps qui seraient nécessaires s’il avait à répondre à plusieurs demandes similaires en parallèle.

Voyons quelles sont les tâches les plus importantes qui sont requises pour élaborer un plan de réponse complet à destination de ce client :

  • évaluer le potentiel de revenus de la demande de mise à niveau ;
  • analyser la réplicabilité de la solution auprès d’autres clients ;
  • vérifier l’état de fonctionnement de l’équipement ;
  • évaluer le mode d’utilisation de la machine ;
  • valider la compatibilité de la dernière configuration proposée par l’ingénierie ;
  • comprendre les nouvelles exigences applicatives ;
  • effectuer une analyse des risques ;
  • analyser les perturbations de la chaîne d’approvisionnement ;
  • collaborer avec les fournisseurs et les partenaires pour élaborer le plan d’exécution ;
  • et probablement bien plus encore…

Il est également important de noter le nombre de systèmes, de processus et de partenaires requis pour construire et appliquer ce plan d’intervention.

Tout est question de stratégie globale

Nous voyons de nombreux clients de tous secteurs, en particulier dans la haute technologie, l’énergie, les équipements industriels, la santé, l’aérospatiale et le pétrole et le gaz, cherchant à tirer une part croissante de leurs revenus de services stratégiques. C’est un objectif commun aux fabricants d’équipements d’origine (OEM) recherchant des marges plus élevées, une proximité accrue avec leurs clients et des revenus récurrents.

Pour y parvenir, les entreprises doivent élaborer une stratégie globale, en intégrant les services d’ingénierie à la gestion des actifs, afin de rapprocher les OEM des opérateurs.

Dans cet article, je vous expose les éléments stratégiques liés à l’intégration du monde de l’ingénierie et de l’opérationnel, qui permettront aux OEM et aux opérateurs de maximiser la valeur de leur collaboration et de mettre en place une base permettant d’explorer de nouveaux business models, tel que le Product as a Service.

Éléments stratégiques d’une intégration des services d’ingénierie à la gestion des actifs

Ne serait-il pas intéressant de disposer d’un package de solutions prêt à l’emploi permettant de gérer tous les actifs installés, prenant en compte leur durée de vie et leur état ?

Comment y parvenir ?

Voyons quelques-uns des éléments stratégiques qui permettront de briser les silos fonctionnels, pour bénéficier d’une vue à 360 degrés du cycle de vie des produits et des actifs.

 

 

  • Tout d’abord, un OEM doit savoir déterminer la configuration d’un actif existant à partir des spécifications du produit issues de l’ingénierie. Il s’agit ici de la capacité à suivre et à gérer entièrement l’actif lors son installation, puis tout au long de son cycle de vie et jusqu’à sa mise hors service. L’un des aspects importants est de comparer dynamiquement l’actif en fonctionnement avec les configurations d’ingénierie les plus récentes, afin de prendre les bonnes décisions de maintenance ou de mise à niveau.
  • Le deuxième élément est la façon dont les partenaires collaborent et partagent des données. En créant un écosystème collaboratif de nouvelle génération basé sur le cloud, les équipementiers, les opérateurs, les fournisseurs et les partenaires de service vont disposer d’une plate-forme commune. Elle permettra de rassembler l’ensemble des partenaires, de partager du contenu, des données, et même d’étendre les processus métiers au-delà des murs de l’entreprise. L’objectif est de permettre aux OEM et aux opérateurs de déterminer quelles mesures doivent être prises et à quel moment.
  • Le troisième aspect est l’efficacité avec laquelle nous utilisons les données d’ingénierie en amont pour améliorer la gestion des actifs. Avec une ingénierie de service efficace, nous pouvons établir une nomenclature des services, des conceptions de services, identifier des systèmes critiques, définir des caractéristiques de performance, planifier des stratégies de service, créer des aides visuelles et bien plus encore. Les données de l’ingénierie de service peuvent être utilisées efficacement dans plusieurs flux de gestion des actifs, tels que la planification de la demande, les services sur le terrain, la gestion des garanties, les plans de maintenance et les stratégies d’actifs. En activant une continuité numérique de bout en bout, il est possible de connecter les données tout au long de la chaîne de valeur d’un service, de sa conception à son utilisation.
  • Enfin, l’un des éléments clés est de permettre aux entreprises de capturer et d’analyser les données transactionnelles et de performance des actifs opérationnels. Une fois restituées sous forme exploitable, ces informations permettront de générer des plans de service dynamiques, mais aussi d’identifier les modifications de conception à apporter, ainsi que les mises à niveau possibles afin de maximiser la valeur d’un actif. Cette boucle de rétroaction continue reposant sur l’ensemble de la base installée permettra aux OEM de proposer de meilleurs produits, plus durables.

Afin de répondre à cette évolution des besoins métiers sur le terrain de l’intégration des services d’ingénierie à la gestion des actifs, SAP et Siemens Digital Industries Software ont récemment annoncé  une extension de leur partenariat qui leur permettra de fournir de nouvelles solutions de gestion du cycle de vie intelligent des services et des actifs. Il est essentiel que tous ces éléments stratégiques soient liés aux processus métiers de la chaîne d’approvisionnement et qu’ils soient accessibles sur une plate-forme unique pour que les équipementiers et les opérateurs puissent en tirer une valeur commerciale.

 

Découvrez la valeur stratégique qu’il y a à gérer le cycle de vie de produits intelligents et connectés avec des technologies numériques à travers l’ensemble de votre entreprise et de l’entreprise étendue.

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Source de l’article sur sap.com

La gestion financière de l’entreprise déborde de beaucoup le pré carré qu’on lui attribue habituellement. Sa fonction première est de tenir les cordons de la bourse. Mais elle joue aussi un rôle essentiel dans le développement stratégique de l’entreprise. Des ressources humaines à l’expérience client, en passant par la logistique ou le marketing, la fonction finance doit pouvoir collaborer étroitement avec tous les acteurs de l’organisation. D’où l’importance de déployer un outil de gestion financière tenant compte de l’entreprise dans toute sa complexité. Un domaine dans lequel l’ERP a su démontrer son talent, aussi bien en matière de gestion financière, de gestion de comptabilité que d’analyse prospective.

Qu’est-ce qu’un ERP ?

Un ERP (Enterprise Resource Planning) ou PGI (Progiciel de Gestion Intégrée) permet aux entreprises de centraliser tout leur système d’information au sein d’un seul outil de gestion.

Le modèle de l’ERP a beaucoup évolué au fil des décennies. Grâce aux progrès de la numérisation et du cloud computing, il offre désormais une solution globale qui facilite la gestion de toutes les fonctions de l’entreprise, à commencer par la gestion financière.

Le choix d’un ERP passe souvent par la définition précise des besoins et des objectifs des entreprises. Ces derniers varient non seulement en fonction du cœur de métier et de l’environnement concurrentiel, mais aussi de la structure même de l’entreprise. C’est pourquoi il est fréquent de sélectionner son ERP de gestion financière en fonction de la taille de son organisation : TPE, PME/PMI, ETI ou grande entreprise.

ERP ou logiciel de comptabilité ?

Durant de nombreuses années, la notion d’ERP a été associée au logiciel de comptabilité utilisé par les services comptables au sein de la plupart des entreprises. Encore aujourd’hui, l’apparition du terme ERP comptable démontre que les fonctionnalités de l’outil sont souvent résumées à la gestion de la comptabilité.

Il existe toutefois des ERP comptables qui représentent une évolution certaine dans le domaine du logiciel de comptabilité. Ils regroupent :

La gestion de la comptabilité générale ;

  • L’analyse des écritures comptables ;
  • Le Fichier des Ecritures Comptables, ou FEC, un document qu’il est obligatoire de transmettre à l’administration fiscale depuis 2014 ;
  • Le rapprochement des écritures bancaires ;
  • Les déclarations de TVA ;
  • La comptabilisation des décaissements et encaissements ;
  • La comptabilité des comptes clients et fournisseurs.

Toutes ces fonctionnalités sont incluses au sein d’un logiciel qui propose de nombreux autres outils : gestion des ressources humaines, logistique, suivi de la relation client, analyse des performances de vente, etc.

L’ERP finance, ou le FRP

Le terme FRP (ou Financial Resource Planning) est apparu dans les années 2000 pour désigner un nouveau type de logiciel de gestion financière. Il s’agit en premier lieu d’un produit orienté PME et grandes entreprises. Il leur permet de piloter leur gestion financière avec un outil de type ERP. Depuis, d’autres solutions logicielles ont été développées en reprenant le principe de l’ERP appliqué à la gestion financière de l’entreprise.

Aujourd’hui, les ERP proposent des fonctions utiles aux entreprises de toute taille, y compris dans la gestion de leurs finances. En effet, ils coordonnent gestion de comptabilité et gestion financière. De plus, ils apportent de nombreux autres bénéfices en termes de productivité, de rentabilité, de gestion des risques ou encore de stratégie marketing.

Quel ERP choisir pour votre gestion financière ?

L’utilité de l’ERP finance a été solidement démontrée pour les PME, les ETI et les entreprises de plus grande taille. Cependant, nombre d’entre elles hésitent encore sur le choix de leur progiciel de gestion intégrée. Deux cas de figure :

  • Il s’agit d’une PME/ETI en cours de création ou n’ayant jamais fonctionné avec un ERP pour leur gestion financière ;
  • Une  première intégration a déjà eu lieu avec un ERP Finance. Mais, l’entreprise souhaite évoluer vers une nouvelle solution plus adaptée à ses besoins actuels. Un changement d’ERP peut s’imposer lorsque le logiciel actuel ne couvre plus tous les besoins de l’entreprise, ou bien lorsqu’il a atteint ses limites fonctionnelles.

Dans les 2 cas, PME ou entreprises de taille intermédiaire sont confrontées à une gamme de plus en plus étendue de progiciels, aux fonctionnalités toujours plus séduisantes. La première étape consiste donc à définir précisément les attentes de chaque entreprise pour sa fonction finance. Or, les besoins de cette dernière sont beaucoup plus importants qu’il n’y paraît. L’étude menée conjointement par Oxford Economics et SAP le démontre.

Un ERP finance pour soutenir la coopération stratégique entre vos services

Le rôle du service financier ne se réduit pas aux fonctions comptables et budgétaires de l’entreprise. C’est un acteur stratégique de son développement. En collaborant avec les autres services de l’entreprise, il apporte une visibilité essentielle à leur stratégie, grâce au soutien financier qu’il apporte.

Sur un panel de 255 cadres financiers interrogés dans le cadre de l’étude menée par SAP et Oxford Economics :

  • 28 % déplorent le manque de coopération entre les différents services de l’entreprise ;
  • 25 % estiment que leur entreprise connaît des difficultés à élaborer une analyse de rentabilité ou une orientation stratégique.

Les outils financiers de l’ERP doivent donc être adaptés à ce besoin de la fonction finance de participer à une stratégie de développement globale. Leur objectif permet de briser l’organisation « en silo » qui dresse une barrière hermétique entre les différents services.

Un outil de gestion financière pour faire face aux risques

En cette période marquée par l’apparition de la Covid-19 et ses conséquences majeures sur l’économie mondiale, la fonction finance est plus que jamais un acteur incontournable de la gestion du risque.

Une gestion financière harmonisée permet par conséquent de mieux anticiper les évolutions de l’entreprise :

  • En fonction des changements de réglementation ;
  • Sous la pression d’événements extérieurs : crises sanitaires, économiques, financières, etc.

Expérience client et expérience collaborateur

L’étude SAP/Oxford Economics soulève également la question de l’amélioration de l’expérience client et de l’expérience collaborateur. Un domaine de première importance, fréquemment souligné par les entreprises les plus performantes du marché.

Le rôle du directeur financier consiste dans ce cadre à coordonner les efforts des différents services : département commercial, gestion de la relation client, communication, etc. L’ERP Finance fait une fois encore office de ciment entre ces fonctions.

L’amélioration de l’expérience collaborateur est tout aussi essentielle. C’est même une problématique majeure pour le chef d’entreprise : fidélisation des employés, transmission de la culture d’entreprise, coopération, montée en compétences… Autant de questions essentielles à la santé et au développement de l’organisation.

Là aussi, la gestion du financement des formations professionnelles internes, la fluidité des relations entre RH et employés, l’optimisation des outils de paie, etc. font partie intégrante des responsabilités de l’équipe financière.

SAP : 3 ERP pour optimiser la gestion financière des PME et des ETI

Concepteur expert de solutions de gestion financière pour les entreprises de toutes tailles, SAP a mis au point différents ERP spécialement calibrés selon les besoins de votre PME ou de votre ETI. 3 ERP finance à découvrir dès aujourd’hui : SAP S/4HANA, SAP Business One et SAP Business ByDesign.

SAP S/4HANA

SAP S/4HANA est une solution ERP développée par SAP pour la base de données SAP HANA. Il est deployable sur cloud privé ou public, en interne ou sous une forme hybride. Ce progiciel intègre toutes les dernières évolutions numériques :

  • Cloud Computing : facilitez l’accès aux données de l’entreprise à tous ses acteurs, sur un support 100 % sécurisé. Libérez de l’espace données avec la base In-Memory en colonnes ;
  • UX optimisée : SAP S/4HANA mise sur une interface intuitive, accessible à tous les collaborateurs quelle que soit leur connaissance des nouvelles technologies ;
  • Gestion financière facilitée : Grâce à l’IA intégrée et les fonctions d’analyse améliorées, les analyses et insights sont plus rapides. Votre service financier détient un outil conçu pour l’amélioration des performances de l’entreprise ;
  • Réduction des coûts : optimisation de l’infrastructure informatique, rationalisation des flux, amélioration de la fonction logistique… L’usage d’un ERP Finance adapté fait partie des leviers budgétaires à actionner pour augmenter la rentabilité de l’entreprise.

SAP Business One

Cet ERP spécifiquement conçu pour les TPE et les PME prend le relais de votre logiciel de comptabilité pour vous permettre une gestion rationalisée de tous les processus métiers indispensables au fonctionnement de votre entreprise.

L’ERP est deployable sur Cloud ou in situ par le biais de la plateforme SAP HANA. Business One intègre la gestion de la comptabilité, la gestion des finances et toutes les fonctions stratégiques de l’entreprise au cœur d’un seul et même outil.

L’entreprise gagne en efficacité. Par conséquent, l’analyse de ses performances lui offre plus de visibilité, grâce à une interface accessible et adaptée aux besoins de vos collaborateurs. SAP Business One vous permet ainsi de passer à une nouvelle phase de votre développement. Son déploiement rapide et sa facilité d’exécution facilitent votre prise de décision dans tous les domaines.

SAP Business ByDesign

SAP Business ByDesign est une suite ERP complète pour accompagner la croissance des PME et des ETI :

  • Un outil de Cloud Computing clé en main, prêt à l’emploi ;
  • Des processus rationalisés de bout en bout grâce à une application intelligente ;
  • Une analyse en temps réel de toutes vos performances et indicateurs clés.

Cet ERP intègre gestion financière, logiciel de comptabilité, mais aussi outils d’analyse évolués pour exploiter tout le potentiel de votre entreprise et prendre les bonnes décisions quant à son développement. Il est particulièrement adapté aux organisations connaissant une forte croissance et désirant atteindre des objectifs plus ambitieux.

Conclusion : l’ERP Finance SAP au service de toutes les PME et ETI

Au-delà du simple outil de gestion comptabilité, l’ERP est un système d’information et d’analyse perfectionné, en évolution constante. SAP a tiré profit de sa longue expérience auprès des petites et moyennes entreprises pour concevoir les progiciels les plus pertinents. Ce sont désormais des partenaires incontournables de l’entreprise, accessibles à tous ses collaborateurs.

Vous hésitez encore sur le choix de votre ERP de gestion financière ? Les conseillers SAP sont à votre disposition pour vous présenter les produits les plus adaptés à votre cœur de métier.

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Source de l’article sur sap.com

Les Sablières J. Leonhart ont refondu totalement leur Système d’Information en optant pour SAP S/4HANA Cloud Essentials, appuyé d’un spécifique déployé sur la SAP Business Transformation Platform (ex SAP Cloud Platform). Objectif : disposer d’un ERP standardisé et homogène, mais aussi fiable et évolutif.

Le Groupe Leonhart est un acteur historiquement spécialisé dans l’extraction et la valorisation de sable et de granulats. Il commercialise entre autres des agrégats, des pierres naturelles, du béton prêt à l’emploi et divers produits en béton pour la préfabrication lourde et légère. L’industriel alsacien dispose également de ses propres services de transport et de location d’engins de chantiers. Il a soufflé ses 100 bougies en 2020.

Le groupe réalise un chiffre d’affaires annuel de 120 millions d’euros, pour 600 salariés répartis sur une quinzaine de sites sur le territoire français. Il a connu une forte croissance sur les 20 dernières années. « Au fil de cette croissance, nous nous sommes retrouvés avec un SI très hétérogène, comprenant de nombreux outils spécifiques à chaque activité, plus ou moins bien connectés entre eux », explique Nicolas Battesti, Directeur Administratif et Financier.

La société a souhaité mettre en place un SI standardisé et structurant, couvrant l’ensemble de ses processus métiers et permettant un accès rapide aux données. « Nous avions besoin d’une plate-forme commune à toutes les sociétés du groupe, poursuit Nicolas Battesti. Notre responsable SI a défini un cahier des charges précis et détaillé de notre future solution, puis nous avons démarché les intégrateurs. »

Un ERP SAP, en mode SaaS

L’appel d’offres a été lancé fin 2020, avec comme objectif une étude exhaustive des solutions disponibles sur le marché et des modes de déploiement proposés. Le Groupe Leonhart a rapidement compris les avantages et inconvénients d’un déploiement sur site ou dans le cloud. C’est donc bien informé qu’il a opté pour du SaaS.

« Ce qui nous a plu dans le SaaS, c’est la maîtrise des coûts, explique Nicolas Battesti. Mais également la facilité à monter en version. Auparavant, on travaillait avec des outils qui n’étaient plus adaptés, faute d’avoir su évoluer. Disposer de solutions qui progressent au fil du temps était donc important pour nous. Nous voulions miser sur une offre pérenne. »

Au vu du cahier des charges de l’industriel, Nagarro ES a proposé l’ERP SAP S/4HANA Cloud Essentials, qui couvre les besoins métiers exprimés, avec la possibilité de se connecter au reste du SI de l’entreprise via la SAP Business Transformation Platform (anciennement SAP Cloud Platform). La seule partie non couverte nativement par l’ERP est la pesée des camions entrant et sortant des sablières. Nagarro ES s’est appuyé sur son laboratoire d’innovation pour proposer un développement spécifique reposant sur la SAP Business Transformation Platform et des technologies novatrices, comme la reconnaissance visuelle et l’Internet des Objets. Le résultat est un pont bascule connecté à SAP, avec une technologie qui permet la reconnaissance des plaques d’immatriculation internationales, la pesée du camion, et la génération automatisée du reçu.

Repartir de zéro

Le Groupe Leonhart a été séduit par la richesse fonctionnelle de la solution, mais aussi par la méthodologie SAP Activate, l’approche Fit-to-Standard et la capacité de Nagaro ES à répondre à des besoins métiers spécifiques. « Ce partenaire nous semble solide, en termes de taille, de santé financière et d’expertise des équipes, témoigne Nicolas Battesti. Nous avons jusqu’à maintenant toujours eu à faire à des consultants disponibles et expérimentés, avec la sensation que nos besoins étaient bien compris. »

L’industriel a souhaité repartir d’une page blanche pour son nouvel ERP, avec un périmètre fonctionnel assez large, allant du contrôle de gestion à la finance en passant par la production, la relation client et la logistique. Mais aussi l’analytique : « la BI intégrée nous a beaucoup plu, car elle reste facile d’utilisation, quoique puissante. »

Les ateliers ont commencé début mars 2021. La volonté du Groupe Leonhart de coller au plus près des standards et la trajectoire du projet clairement définie en amont augurent de travaux qui devraient se dérouler dans d’excellentes conditions. La mise en production de l’ERP SAP S/4HANA Cloud Essentials est programmée pour janvier 2022.

 

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Source de l’article sur sap.com