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Déboguer des sites web avec les outils de développeur Safari

Déboguer des sites web peut être une tâche difficile, mais en utilisant les outils de développeur Safari, cela devient plus facile et plus rapide !

Safari : le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones

Je suis un scientifique excité qui vient de faire une découverte sensationnelle : Safari est le navigateur par défaut sur les iPads, Macbooks et iPhones. Il se classe deuxième dans les préférences des navigateurs, juste après Chrome. Ses plus de 250 fonctionnalités offrent aux utilisateurs des avantages remarquables qui le distinguent des autres navigateurs les plus populaires tels que Chrome et Firefox. De plus, la popularité de l’iPhone a entraîné une part de marché mondiale des smartphones de 53,6 % pour Safari.

L’année dernière, le nombre d’appareils actifs d’Apple a connu une augmentation significative à 1,5 milliard. Puisque la base d’utilisateurs continue de croître, Apple s’assure constamment d’une expérience utilisateur presque parfaite et d’une performance optimisée sur tous ses appareils.

Pour répondre à ces exigences, Apple a mis en place une base de données qui stocke des informations sur les performances et les préférences des utilisateurs. La base de données est mise à jour en permanence pour s’adapter aux changements des appareils et des systèmes d’exploitation. Elle permet également aux développeurs de créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est également utilisée pour surveiller les performances des applications et des services afin de garantir une expérience optimale pour les utilisateurs.

Grâce à cette base de données, Apple est en mesure d’offrir une expérience utilisateur exceptionnelle et une performance optimale sur tous ses appareils. Les développeurs peuvent également créer des applications plus rapides et plus fiables qui s’adaptent aux besoins des utilisateurs. La base de données est donc un outil essentiel pour Apple pour offrir une expérience utilisateur optimale à ses utilisateurs.

Source de l’article sur DZONE

Installer des panneaux solaires sur les camions frigorifiques, dématérialiser les processus dans les entrepôts, utiliser des données précises en temps réel pour gérer le coût environnemental des livraisons par produit et par itinéraire… Ces initiatives, et bien d’autres, sont au centre des préoccupations des leaders de la Supply Chain, qui s’efforcent de rendre cette dernière plus durable et d’alléger le fardeau pour la planète.

Si ces actions figurent en bonne place dans l’agenda logistique, c’est que la durabilité est un levier important. Selon le Forum international des transports, les émissions de dioxyde de carbone devraient afficher une hausse de 16 % d’ici 2050, à la suite de l’augmentation du transport de marchandises – et ce, même si les pays s’engagent à les freiner. Si l’on n’intervient pas, les villes du monde entier accueilleront des millions de véhicules de livraison de fret et de colis en plus au cours de la prochaine décennie. Résultat : davantage d’embouteillages et une augmentation équivalente des émissions de gaz à effet de serre, comme le signale le Forum économique mondial.

La conclusion qui s’impose : il est primordial de trouver comment rendre la logistique et les livraisons plus durables du point de vue environnemental.

« Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques », remarque Josué Velázquez Martínez, directeur du laboratoire des Supply Chains durables du Centre de transport et de logistique du MIT. « Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs, et s’efforcent vraiment d’améliorer tous les aspects de la Supply Chain ».

Ces mêmes entreprises pourraient se trouver contraintes de prendre davantage de mesures. Si l’on se réfère aux règles en vigueur, nombre d’entre elles n’indiquent pas suffisamment les émissions générées par leur Supply Chain dans leurs rapports de durabilité, voire les omettent totalement, indique le New York Times. Or, il est possible qu’elles y soient bientôt obligées, car les autorités de régulation ont aujourd’hui la logistique dans le collimateur. Aux États-Unis, le législateur envisage de demander aux entreprises publiques de déclarer leurs émissions tout au long de leur Supply Chain. L’UE a également élaboré une proposition de directive qui renforce les règles de communication d’informations en matière de durabilité.

Les entreprises s’intéressent de plus en plus à la durabilité des opérations logistiques. Elles font face à des pressions croissantes de la part du législateur et des consommateurs.

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Les attentes des consommateurs, les réglementations et la demande du marché poussent les dirigeants d’entreprises à agir davantage sur le terrain de la durabilité. Tout naturellement, c’est au niveau des systèmes de logistique et de distribution que sont mises en place de nouvelles normes, qui contribueront largement à créer un avantage concurrentiel. En effet, les entreprises qui économisent sur la livraison en utilisant moins d’énergie et de ressources bénéficient d’un meilleur retour sur investissement (sur leur parc de camions, par exemple) et imaginent des modes de livraison plus efficaces. À cela s’ajoute, du côté des consommateurs, une conscience accrue du coût environnemental des livraisons et une volonté de choisir des options moins rapides pour préserver la planète.

Mais pour voir l’avènement d’une logistique durable, nous devons optimiser nos itinéraires de transport, construire des entrepôts plus efficaces et utiliser plus souvent et plus efficacement les données. Autant de tâches qui n’ont rien de simple. Avant de pouvoir réellement mesurer les progrès en matière de développement durable et agir sur l’empreinte carbone des produits, il y a de nombreuses étapes à mettre en œuvre.


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D’après le rapport « Le paradoxe de la Supply Chain durable » établi par SAP et Oxford Economics, les cadres dirigeants ne connaissent pas encore suffisamment leur Supply Chain et éprouvent des difficultés à la rendre plus durable. Ils en sont encore à fixer des objectifs, et non à les mettre en application. Près de la moitié des personnes interrogées jugent que la complexité et le coût sont les deux principaux obstacles dans cette démarche de durabilité.

Mais comme l’explique Shimon Gowda, responsable de configuration de la Supply Chain chez Chainalytics, une pression croissante incite les entreprises à gagner en visibilité sur leur Supply Chain globale et à atteindre la neutralité carbone. « De plus en plus d’entreprises s’efforcent de mesurer l’empreinte carbone de leur réseau actuel », ajoute-t-il. « Les leaders du secteur mettent tout en œuvre pour élaborer une mesure précise et exacte, qui servirait de point de référence auquel comparer une situation à l’instant t. »

Pourquoi la logistique constitue un objectif de durabilité majeur

La logistique est une mission complexe. Elle consiste à gérer l’acheminement des matières premières, des produits intermédiaires et des emballages à travers le monde en direction des sites de production, mais aussi la distribution des produits depuis leur lieu de fabrication jusqu’au consommateur. Or, le transport fait partie des domaines dans lesquels l’objectif « zéro émissions » est un enjeu important. Il s’agit notamment de réduire les distances parcourues et d’utiliser plus efficacement les différentes options. Il n’est pas rare, par exemple, que des camions reviennent à vide une fois leur livraison effectuée.

 

Prenons l’exemple des transports frigorifiques : nous utilisons des camions réfrigérés pour transporter les produits pharmaceutiques, les fruits et légumes, les produits laitiers, la viande et les boissons. Cela nécessite de maintenir la chaîne du froid à l’intérieur de la remorque – ce qui consomme beaucoup d’énergie, traditionnellement de l’essence.

 

Certaines entreprises contribuent à rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives. eNow, par exemple, installe des panneaux solaires sur le toit des remorques. Quant à Coldtainer, il fabrique des boîtes de stockage pour la chaîne du froid.

Certaines entreprises s’efforcent de rendre le transport frigorifique par camion plus durable en alimentant les systèmes de réfrigération à partir de sources d’énergie alternatives.

 

D’après le média NPR, des entreprises bien établies telles que FedEx et DHL investissent dans des matériels et des équipements tels que des véhicules électriques. Mais M. Martínez en est convaincu : se concentrer uniquement sur de nouveaux véhicules est le meilleur moyen de manquer d’importantes opportunités.

 

« Je constate qu’on s’intéresse beaucoup aux équipements, ce qui est vraiment une bonne chose pour le long terme », explique-t-il. « Mais en attendant, il y a de nombreuses opportunités auxquelles les entreprises ne font pas vraiment attention à ce stade. »

 

Lorsque votre kilométrage varie, choisissez le bon véhicule pour chaque itinéraire de livraison

Ces opportunités, qu’étudient notamment M. Martínez et bien d’autres personnes, ce sont notamment des systèmes de planification des transports qui optimisent les itinéraires, réduisent le kilométrage et les émissions, et analysent les effets de la topographie sur les performances des camions.

 

Renouveler sa flotte n’est pas, en soi, un mauvais choix. Mais un camion neuf n’est pas nécessairement la meilleure option, écologiquement parlant. Les recherches du laboratoire d’étude de durabilité des Supply Chains ont permis d’établir que le kilométrage, tel qu’il est mentionné sur les sites Internet des constructeurs automobiles, est divisé par deux environ en conditions de livraison réelles. L’écart tient probablement au fait que les tests des camions sont réalisés dans des conditions différentes.

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« Les constructeurs font probablement leurs tests dans des conditions qui n’ont rien à voir avec une exploitation réelle, en particulier sur les derniers kilomètres parcourus », avance M. Martínez.

Il suffit de comparer les performances d’un camion qui se déplace sur autoroute, à une vitesse moyenne comprise entre 65 et 80 km/h, et qui fait trois arrêts de livraison, avec celles du même camion qui parcourt une zone très vallonnée à 8 ou 16 km/h et qui effectue vingt arrêts de livraison. Les chiffres seront très différents, et dépendront du modèle. Les camions anciens ont tendance à afficher de meilleures performances que les neufs sur autoroute ; dans une étude menée avec l’entreprise de logistique mexicaine Coppel, l’équipe de M. Martínez a trouvé des exemples attestant d’une meilleure efficacité en carburant (jusqu’à 15 % de différence). L’étude a été réalisée en utilisant une vitesse, des longueurs de segments (soit la quantité d’arrêts sur un itinéraire donné) et un profil topographique moyens, et en s’appuyant sur l’apprentissage automatique pour classer les régions en fonction de ces caractéristiques – certaines étant plus résidentielles, d’autres urbaines, d’autres mixtes.

Imaginez que vous puissiez dire à un client : « Si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage. »

Josué Velázquez Martínez, Centre de transport et de logistique du MIT

Sur la base de l’analyse effectuée, l’équipe de Martínez a modélisé une réaffectation des véhicules permettant d’exploiter chacun sur les zones dans lesquelles il réalise les meilleures performances. Les résultats indiquent une réduction de 3 % du carburant utilisé – un chiffre non négligeable pour les entreprises, qui consacrent chaque année des millions à ce poste. À partir de la même hypothèse, l’équipe a également mis en place un projet pilote en conditions réelles, avec 10 véhicules sur un mois. Elle a constaté 8 % d’économies de carburant.

« Il n’est pas vraiment nécessaire d’investir, seulement de réaffecter le matériel existant », conclut M. Martínez. « Mais si vous comptez renouveler votre parc de véhicules, alors vous devez vous assurer que les nouveaux seront utilisés dans les régions attendues, puis réaffecter ceux que vous allez conserver dans votre exploitation. »

Ces résultats montrent comment la combinaison des données, des capacités de calcul et des algorithmes peut participer à améliorer le transport. La topographie a aussi son importance, ajoute M. Martínez, mais elle n’est généralement pas prise en compte dans les évaluations environnementales, car on opte plutôt pour les itinéraires les plus courts et les plus rapides, et parce que c’est un facteur complexe. Pourtant, c’est logique : monter une pente ne nécessite pas la même quantité d’énergie que de la descendre.

« Gérer ces données en utilisant le suivi GPS pour mieux cerner les faits et prendre des décisions mieux informées représente une opportunité considérable », explique-t-il. « C’est ce que j’appelle faire une petite place aux problématiques de la Supply Chain pour réduire réellement les émissions autant que possible, tout en continuant de répondre aux attentes de vos clients et d’atteindre vos objectifs commerciaux. »

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Une livraison le jour même est une opération complexe, car elle implique de nombreux déplacements dans les mêmes zones, avec des camions qui ne sont pas toujours pleins – ce qui augmente les émissions. Le laboratoire de recherche sur la durabilité des Supply Chains a réalisé une expérience pour voir si les consommateurs font des choix différents en fonction de leur sensibilité écologique et de leur capacité à attendre.

Dans cette expérience du « bouton vert », 52 % des clients ont effectivement changé leurs choix de livraison pour limiter leur impact environnemental. Le laboratoire a essayé différentes manières de quantifier ce paramètre pour l’utilisateur, par exemple la réduction des émissions de CO2 ou le nombre d’arbres sauvés. Avec l’exemple des arbres, les chercheurs ont établi que les clients étaient prêts à attendre quatre jours de plus en moyenne pour être livrés. Pour être précis, 70 % ont seulement déclaré qu’ils feraient ce choix, tandis que 52 % l’ont réellement fait – ce qui représente déjà plus de la moitié de la population considérée.

« Il est possible de communiquer avec transparence autour de la Supply Chain avec les clients, afin qu’ils puissent utiliser ces informations au moment d’acheter », insiste M. Martínez. Bien sûr, ce n’est pas simple. Il faut pouvoir indiquer les émissions de CO2 correspondant à chaque commande qui s’affiche dans le panier d’un consommateur, afin que ce dernier dispose de données précises et comprenne l’impact de sa décision. Cela nécessite de nombreuses analyses, voire la validation d’un tiers pour légitimer l’information fournie. Mais ce procédé représenterait un avantage significatif pour asseoir la crédibilité environnementale des marques.

« Imaginez que vous puissiez dire à un client :  si vous êtes prêt à atteindre deux, trois, quatre jours de plus, vous pourrez réduire l’empreinte carbone de tel pourcentage ; vous participerez à préserver l’environnement », explique M. Martínez.

La valeur ajoutée des entrepôts locaux en termes de durabilité

Ancrer les Supply Chains localement, en alternant entre les sources d’approvisionnement et sites de production locaux et éloignés, est une autre manière de renforcer leur durabilité. Dans cette perspective, les entrepôts jouent un rôle important : construire des hangars de petite taille, à proximité de la demande, permet en effet de réduire les temps de trajet et les émissions. Les entrepôts constituent aujourd’hui le type de bâtiment commercial le plus volumineux aux États-Unis et, à en croire l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les chiffres ne font qu’augmenter.

Il serait possible d’imposer aux entrepôts qu’ils soient autonomes énergétiquement et de les concevoir neutres en carbone. La production d’énergie alternative – par exemple, à l’aide de panneaux solaires installés sur le toit – semble couler de source et, dans certaines zones, elle est d’ores et déjà obligatoire ou subventionnée. L’Allemagne, par exemple, propose un soutien financier à l’installation d’infrastructures solaires. Aux États-Unis, il existe une multitudes d’aides fédérales et étatiques.

À Elizabeth, dans le New Jersey, East Coast Warehouse dispose de panneaux solaires sur son entrepôt, l’un des plus grands du Nord-Est des États-Unis. Kevin Daly, directeur commercial, indique que l’entreprise a récemment installé 4 900 modules solaires à haut rendement supplémentaires, qui ont généré plus de 2,5 GW en 2020. « Nos panneaux solaires ont vraiment dépassé nos attentes », se félicite-t-il.

L’entreprise s’étend dans le Maryland et en Géorgie, et envisage d’utiliser l’énergie solaire sur les entrepôts qu’elle y crée. M. Daly fait remarquer que le processus est plus simple pour les sociétés qui sont propriétaires de leurs bâtiments, entre autres parce que la communauté des développeurs s’inquiète des obligations que les panneaux peuvent engendrer, et du poids qu’ils peuvent ajouter à une structure. Ce point mis à part, ajoute-t-il, c’est une décision d’investissement, qui est souvent liée aux subventions.

À l’intérieur des entrepôts, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

M.Daly pense que davantage d’entrepôts adopteront l’énergie solaire et d’autres formes d’énergie alternatives. « Je ne doute pas qu’à mesure que la technologie se perfectionnera, elle deviendra encore plus efficace et plus bénéfique pour tout le monde. »

Des systèmes de gestion des entrepôts plus intelligents: Les entreprises utilisent des technologies intelligentes pour optimiser leurs opérations quotidiennes dans les entrepôts.

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Le fonctionnement interne des entrepôts et les livraisons sont également devenus plus durables. East Coast Warehouse a choisi de gérer ses opérations de répartition sur des tablettes et des terminaux mobiles, et de se débarrasser autant que possible du papier – et ce, dans un secteur qui en a toujours utilisé beaucoup.

Grâce aux options numériques, les chauffeurs routiers peuvent rester dans leurs camions pour gérer toutes les formalités depuis leur tablette, y compris les lettres de voiture, qui peuvent être envoyées directement aux destinataires par voie électronique. En plus de limiter la consommation de papier, ce mode de fonctionnement permet davantage de transparence. La preuve de livraison – où, quand et qui a signé – peut être intégrée à un système de gestion du transport et archivée automatiquement.

« Ce processus, qui nécessitait beaucoup d’heures de travail et d’opérations manuelles pour numériser et remplir les papiers, est devenu beaucoup plus gérable si on fait les choses de la bonne manière » conclut M. Daly.

De plus en plus d’entreprises cherchent à optimiser les opérations au sein de leurs entrepôts, comme l’explique Mme Gowda, de Chainalytics. Revenir aux principes fondamentaux de l’organisation et, par exemple, placer les unités de gestion de stock les plus importantes et qui transitent le plus dans des emplacements rapidement et aisément accessibles, est un moyen de limiter l’énergie utilisée par les chariots élévateurs.

« Le simple fait de rationaliser tout cela peut vraiment changer la donne, même au niveau de l’émission de gaz à effet de serre, car cela revient à optimiser vos opérations en tentant de tirer le meilleur parti des ressources disponibles sur le site », insiste Mme Gowda.

La logistique durable s’appuie sur des données

On en revient toujours à la même question : « Vos données sont-elles de bonne qualité ? » Parce qu’il ne suffit plus d’utiliser des données d’historique ou d’estimer des paramètres tels que les émissions générées par les camions.

Désormais, des sociétés tierces proposent les outils nécessaires pour déterminer les émissions de CO2 réelles d’un véhicule donné, à partir des informations opérationnelles collectées. Ces outils sont capables de transmettre ces informations sur des tableaux de bord, de manière à faciliter une approche stratégique dans la réflexion et les actions à mener – et à créer ainsi une Supply Chain plus cohérente de bout en bout.

Autre grand objectif d’un grand nombre de marques et de fabricants : pouvoir ventiler les émissions par produit, de leur conception à leur mise hors service. Ces informations, réclamées par les consommateurs, peuvent constituer un facteur de différenciation considérables pour une marque si elles sont bien compilées et communiquées avec précision (c’est-à-dire sans déclarations non étayées ni « greenwashing »).

D’après Mme Gowda, on prête de plus en plus d’attention à la logistique inverse, car les entreprises modernes consacrent davantage d’analyses à mieux comprendre le coût environnemental de leurs produits, tout au long de leur cycle de vie. Les clients de Chainalytics souhaitent aujourd’hui élaborer des scénarios qui accordent la priorité aux gaz à effet de serre, et non aux coûts. Dans ce domaine, la création d’un jumeau numérique se révèle très utile.

« Il devient un peu difficile de répondre à ce genre de questions sans disposer d’une plateforme de jumeau numérique complètement fonctionnelle », explique Mme Gowda. « Mais nous sommes définitivement plus efficaces qu’il y a dix ans. Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes. »

Nous sommes vraiment en mesure de comprendre notre propre impact, et nous essayons de créer davantage de solutions pour favoriser des Supply Chains plus vertes.

Shimon Gowda, responsable de conception de la Supply Chain chez Chainalytics

Rationaliser l’approvisionnement et les prévisions de la demande peut également renforcer la durabilité, indique Mme Gowda. Tout au long de la Supply Chain, chaque acteur dispose de ses propres métriques prévisionnelles. Mais s’il y a une faille en amont, elle se répète et s’amplifie en aval. Cela peut entraîner une surproduction de la part de toutes les entreprises de la chaîne, ce qui signifie des déchets ou des produits excédentaires qui se retrouvent dans les entrepôts après avoir voyagé dans le monde entier. « C’est typiquement le scénario que nous cherchons à éviter quand nous essayons d’évoluer vers un fonctionnement plus durable, neutre en carbone », conclut-elle.

Un concept de Supply Chain appelé « planification collaborative et réapprovisionnement prévisionnel » est en train de gagner du terrain. C’est un autre exemple de scénario dans lequel les jumeaux numériques jouent un rôle essentiel, car chaque acteur de la Supply Chain peut voir les données transférées par les autres. Par exemple, le fabricant est en mesure de consulter les prévisions du détaillant final trois mois à l’avance. Tout problème peut ainsi être identifié et résolu plus tôt. « Cette solution renferme un vrai potentiel de progression vers l’économie circulaire, car elle implique de se montrer minimaliste dans sa consommation, dans ses transferts… sur tous les points, en somme », explique Mme Gowda.

À mesure que les entreprises s’attachent à évaluer l’impact environnemental réel de leur Supply Chain et de leurs opérations logistiques, les livraisons se rationalisent, de manière à générer moins de déchets et moins d’émissions. Un bonne nouvelle pour l’environnement comme pour les clients !

 

Note des éditeurs : Découvrez des idées logistiques plus durables et des exemples pratiques dans L’économie circulaire se popularise ; 5 vérités sur la Supply Chain dans le monde post-COVID-19 ; et Sur la terre, la mer et dans les airs : des technologies émergentes pour maîtriser le changement climatique.

 

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Source de l’article sur sap.com

Le 03 février 2023, le CERT-FR a pris connaissance de campagnes d’attaque ciblant les hyperviseurs VMware ESXi dans le but d’y déployer un rançongiciel.

Dans l’état actuel des investigations, ces campagnes d’attaque semblent exploiter …
Source de l’article sur CERT-FR

Les modèles « en tant que service » font désormais partie de notre quotidien de consommateurs. À quand remonte la dernière fois que vous avez acheté un CD ou un DVD ? En ce qui me concerne, je ne m’en souviens pas. Toute ma famille utilise des plateformes de diffusion continue pour tout cela. Mes fils et moi commandons même nos lames de rasoir et nos crèmes de rasage selon un modèle similaire. Bien sûr, on dirait bien que c’est toujours moi qui paye, mais c’est un autre sujet !

Ce concept de vente d’un résultat en tant que service est communément appelé « servitization ». Hier simple modèle de consommation, c’est aujourd’hui une approche commerciale plus large, dans laquelle les dépenses d’investissement pour un équipement représentent de plus en plus un obstacle aux yeux de l’acheteur. Souvent, il est bien plus intéressant d’avoir accès au même équipement moyennant des frais mensuels, basés sur une utilisation à l’heure ou encore sur le débit.

Grâce à la servitization, les fabricants trouvent de nouveaux moyens de se rapprocher de leurs clients à travers des modèles économiques inédits. Pour ce faire, ils établissent une relation suivie, basée sur des transactions mensuelles alignées sur la consommation, le débit, la disponibilité ou l’exploitation des équipements plutôt que sur une transaction ou une vente ponctuelle attribuant la responsabilité de la maintenance au prestataire de services.

La servitization appelle des produits plus intelligents

Pour rendre la servitization possible, les équipementiers doivent concevoir des produits plus intelligents, capables de collecter les informations nécessaires à une facturation précise de leurs clients. Ils doivent également s’assurer que leurs équipements fonctionnent en permanence, et génèrent les données dont ils ont besoin pour prévoir les opérations de maintenance qui éviteront les pannes. Grâce à l’Internet des Objets (IdO), des capteurs emmagasinent les informations d’utilisation, de débit ou de performances pertinentes pour alimenter le processus de gestion en tant que service.

Grâce à un jumeau numérique de la machine, le fabricant et le client sont tous deux en mesure d’en surveiller les performances et d’utiliser les algorithmes d’apprentissage automatique afin d’évaluer le degré d’efficacité de son utilisation.

La valeur ajoutée de la servitization

Faire des services une part croissante et dynamique de votre activité, c’est accéder à de nouvelles sources de revenus et améliorer vos marges tout en évitant la banalisation et en érigeant la durabilité en véritable facteur de différenciation.

Prenons un exemple fictif. Soit une entreprise qui produit des machines à laver. Cette entreprise souhaite mettre en place un modèle de « lavage en tant que service », dans lequel elle facturerait ses clients en fonction du nombre de lavages réalisés chaque mois par leurs appareils.

Si, comme moi, le client fait partie d’une famille de cinq personnes, qui utilise la machine quotidiennement, il paiera davantage qu’une personne seule qui ne l’utilise qu’une fois par semaine. Le dénominateur commun est que la machine à laver doit fonctionner à pleine performance chaque fois que nécessaire.

Réinventer les modèles de services

Cette nouvelle offre de service requiert des contrats basés sur les résultats, qui incluent des mesures de performances des cycles de lavage et des accords de niveaux de service (SLA) garantissant une disponibilité à 100 %.

Afin de proposer une expérience immersive aux clients, une application peut leur fournir des données en temps réel sur leurs cycles de lavage : le moment où ils se terminent, combien de cycles ont été exécutés dans le mois, le coût, l’empreinte carbone, les performances de la machine…

Ces informations sont également utilisées par le fabricant et par une société de maintenance tierce pour gérer le cycle de vie complet des services, dans tous ses aspects : de l’installation à la facturation en passant par la garantie, l’émission de tickets de service, les interventions sur site, les réparations en atelier, la facturation et les solutions de financement.

Le modèle de service réduira également l’impact environnemental global de la machine en permettant une surveillance de la consommation d’énergie et d’eau, ainsi qu’une prise en charge de la mise hors service et du recyclage afin de maintenir l’équipement dans l’économie circulaire.

Des services précis afin de réduire les coûts et d’améliorer l’expérience client

La disponibilité des données relatives aux machines aide le fabricant et le partenaire de maintenance à repenser leurs opérations de gestion des services. Ils s’appuient sur une planification avancée basée sur l’IA pour hiérarchiser les interactions, améliorer l’utilisation des ressources et réduire les temps de déplacement.

Lorsqu’un technicien de service est dépêché pour réparer une machine, il doit avoir toutes les pièces nécessaires et toutes les informations de dépannage à portée de main via un appareil mobile. Il peut même être guidé dans son travail de réparation grâce à des lunettes à réalité augmentée. Le problème peut ainsi être résolu en une intervention, ce qui évite les longs délais provoqués par une commande de matériel après le rendez-vous.

Révolutionner le retour sur investissement en augmentant les performances des équipements et en allongeant leur durée de vie

Grâce à la visibilité accrue garantie par les capteurs d’IdO intégrés aux machines à laver, le fabricant est désormais en mesure d’assurer un suivi continu des performances de tous les équipements utilisés. Il peut ainsi surveiller leur état et leurs performances par rapport aux accords de niveau de service.

Le fabricant peut également tirer parti des données émises par toutes les machines et, grâce à des algorithmes d’intelligence artificielle, identifier des tendances ou encore anticiper le risque de défaillance. Il peut aussi proposer des opérations de maintenance préventive afin de limiter les pannes et de renforcer le service client. Enfin, ces informations peuvent être transmises aux équipes de recherche et de développement afin qu’elles éliminent tout problème récurrent au moment de concevoir la prochaine génération de la machine.

Un cycle de service de lavage vraiment complet

Il est évident que le modèle économique « en tant que service » perdurera – dans nos vies privées bien sûr, mais aussi de plus en plus au sein des entreprises modernes, auxquelles il permettra de dégager des gains dans tous les domaines.

Pour découvrir comment tracer votre voie vers une gestion de service d’excellence, téléchargez le récent livre blanc de Copperberg intitulé « Transformer la gestion des services pour une servicisation fructueuse ».

 

Richard Howells, Vice-président ERP et Supply Chain numérique chez SAP

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Source de l’article sur sap.com

Aujourd’hui, et pour la première fois depuis des dizaines d’années, l’inflation est devenue une question centrale dans les entreprises. Les taux ayant atteint des records historiques dans la plupart des pays développés, les chefs d’entreprise s’appuient sur le dernier rapport économique mensuel et sur des perspectives assez floues pour prendre leurs décisions : réduction de la production, augmentation des prix, recherche de nouveaux fournisseurs.

Mais quelle que soit la situation des pays – forte hausse, baisse spectaculaire, ou apparente stabilité –, l’inflation entraîne des conséquences de toutes sortes qui varient selon le secteur d’activité, le pays et la conception de la supply chain. Il existe un risque de manque de liquidités nécessaires à la fluidité des opérations. Les actions bancaires centralisées sur les taux d’intérêt peuvent faciliter ou restreindre les activités de prêt et d’emprunt à court terme. Même les défis liés à la supply chain peuvent s’atténuer ou s’intensifier selon la fluctuation des coûts et l’évolution des coûts du stock disponible.

Il n’existe pas d’outil financier simple ou magique que les entreprises peuvent utiliser pour contourner le problème de l’inflation, mais les technologies intelligentes peuvent y contribuer. Les outils tels que l’intelligence artificielle (IA) et l’analytique prédictive aident les entreprises à anticiper et à voir leurs opérations dans leur globalité, à simuler et anticiper les imprévus, et à orienter leurs modèles économiques selon les besoins. Mais surtout, elles disposent de nombreuses options pour comprendre les circonstances économiques, prévoir l’impact, prendre des mesures à court terme, et établir des structures pour consolider leur position.

Voici trois domaines clés dans lesquels ces types de technologies peuvent aider les entreprises à comprendre l’impact des défis de l’inflation, à agir vite et à préparer l’avenir.

Des mouvements de trésorerie en toute intelligence et confiance

La valeur globale de l’argent et des actifs est vouée à diminuer ; plus tôt une entreprise aura des liquidités, plus tôt elle pourra réaliser plus de choses. Pour atténuer ce risque, les entreprises doivent prendre conscience de l’impact potentiel de divers scénarios : hausse des prix des marchandises, pénurie de matières premières, etc. Fortes de ces connaissances, elles doivent pouvoir faire des prévisions de trésorerie complètes et claires, et créer des stratégies flexibles pouvant être ajustées pour gérer efficacement les manques ou excès de trésorerie.

Grâce aux solutions de gestion du fonds de roulement de Taulia, qui font aujourd’hui partie de SAP, les directeurs financiers guident au mieux leur entreprise. Ils peuvent choisir d’ajuster les stratégies de comptabilité clients et fournisseurs, ou d’exploiter la ligne de crédit au plus faible coût disponible de leur établissement bancaire. De plus, des outils financiers, par exemple pour la gestion des escomptes dynamiques et le financement de la supply chain, peuvent débloquer des actifs circulants.

Les solutions de gestion des actifs circulants rendent avec précision les conditions d’inflation au moyen de prévisions basées sur l’IA et de vues mises à jour, toujours à la disposition des planificateurs d’entreprise. De la planification et de la simulation à la sélection des alternatives de financement et des processus de contrôle adéquats, ces fonctions travaillent de manière synchrone
pour offrir une coordination efficace des mouvements de trésorerie, à partir d’une source de confiance unique, parfaitement intégrée à toute l’entreprise.

Toute décision, finalement, concerne les mouvements de trésorerie, et la combinaison d’informations exhaustives et en temps réel, de possibilités générées automatiquement, et d’insights prédictifs, peut aider les entreprises à prendre en toute confiance les meilleures décisions. Et, alors que leur valeur évolue au fil du temps, il sera possible d’acheter et de gérer les marchandises et actifs au prix d’origine, moyennant des coûts de détention inférieurs au taux d’inflation.

Limiter l’exposition aux différences mondiales

Les pays ont rarement les mêmes taux d’inflation, mais l’augmentation des prix des marchandises entraîne inévitablement une hausse des coûts des matières premières. Et dans les pays où l’inflation est plus élevée ou instable, les devises peuvent se déprécier rapidement, provoquant des taux de change record.

Ces fluctuations économiques mondiales peuvent être particulièrement risquées pour les entreprises qui ont emprunté du capital pour profiter des faibles taux d’intérêt ces dernières années. L’inflation est déjà en train d’éroder leur stratégie de remboursement prévue pour les prêts en cours. Et en cas d’une plus forte instabilité dans une autre région, les pressions sur les coûts pourraient encore s’aggraver, les marges se resserrer et l’accès aux liquidités diminuer.

Grâce à l’application SAP Treasury and Risk Management, les responsables de la trésorerie et les directeurs financiers peuvent surveiller les positions de risque, l’évolution des prix des marchandises, et les taux de conversion des devises, même en temps de grande instabilité économique. Ils peuvent développer des stratégies de comptabilité de couverture conformes à l’aide d’une piste d’audit complète, tout en respectant les réglementations telles que le Règlement sur l’infrastructure du marché (EMIR) et la dernière version des Normes internationales d’information financière (IFRS 9).

Les équipes de gestion de la trésorerie peuvent aussi obtenir plus d’insights pour faire face à la dette et gérer les investissements plus efficacement. La solution SAP Treasury and Risk Management offre des informations telles que la trésorerie disponible, des risques liés aux soldes et le retour sur investissement, et surveille les investissements par rapport aux éventuelles fluctuations du taux d’intérêt. En outre, les opérations d’emprunt et de prêt tout au long de la vie d’un prêt peuvent être saisies, analysées et déclarées au fur et à mesure.


Intervenez vite aujourd’hui pour préparer votre avenir

Lorsque les coûts d’ingénierie et de production de produits manufacturés augmentent, les entreprises doivent décider de réduire leurs marges ou de répercuter ces coûts supplémentaires sur le client. C’est un choix difficile, surtout lorsque les consommateurs trouvent déjà les prix très élevés.

En intégrant les solutions SAP Digital Supply Chain à SAP Business Network, les entreprises d’achats, d’approvisionnement et de logistique obtiennent les insights dont ils ont besoin pour générer plus de revenus de chaque dépense et optimiser la réduction des coûts. Ensemble, elles peuvent effectuer des simulations et analyses par simulation pour identifier et engager les partenaires commerciaux capables de gérer les situations émergentes, telles que la hausse de la production, et de réduire encore davantage les pertes financières et matérielles.

Bien sûr, pour gérer efficacement les risques inflationnistes, les entreprises doivent avoir accès aux données adéquates pour prendre des décisions et faire avancer leur supply chain. La combinaison de SAP Digital Supply Chain et de SAP Business Network permet aux entreprises de gérer les ressources de manière plus stratégique afin d’augmenter la productivité, de réduire les coûts d’exploitation et de permettre aux collaborateurs de se consacrer à des tâches plus stratégiques. De plus, les entreprises peuvent éviter les retards et interruptions de la supply chain pour prévenir les pertes de revenus, et éviter les coûts imprévus grâce à une visibilité sur la capacité des stocks et de la production, la maintenance des actifs et les processus logistiques.

Exploiter une position financière solide

Compte tenu des récentes inflations, il est très important pour survivre de comprendre et de gérer les risques financiers dans la supply chain. Et les entreprises capables de progresser et de prendre les bonnes décisions au bon moment sont celles qui disposent d’une visibilité claire sur leurs données et processus relatifs aux achats, à supply chain et à la logistique.

Pour de nombreuses entreprises dans le monde, les solutions SAP sont déjà l’un des moyens les plus efficaces de protéger leur solidité financière en période d’inflation. Elles continueront d’ailleurs à alléger leurs défis au fur et à mesure que leur portefeuille évolue afin de répondre aux besoins d’une économie en mutation et d’un environnement compétitif.

En savoir plus : https://www.sap.com/france/products/erp/s4hana.html

Article de Neil Krefsky, Eamon Ida, Haresh Chhaya, Max Hendrickx25 août 2022

Neil Krefsky est directeur du marketing produits pour la gestion des finances et des risques chez SAP.

Haresh Chhaya est responsable des solutions pour la gestion de la trésorerie et des fonds de roulement chez SAP.

Max Hendrickx est directeur principal du centre d’excellence pour la gestion du fonds de roulement chez SAP.

Eamon Ida est directeur du marketing pour les solutions dédiées aux réseaux d’entreprises chez SAP

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Source de l’article sur sap.com

Web2 software engineers have benefitted from design standards, mature programming languages, and vulnerability tools to minimize the risks of an attack. Failure to do so can result in a situation similar to my “Equifax Attack: Only a Matter of Time” publication back in 2017.

Those working in Web3 projects find themselves at an exciting stage. Initiatives like bounties and Decentralized Autonomous Organizations (DAOs) drive new opportunities for these pioneers to explore. Unfortunately, the Web3 landscape is not as mature or defined as earlier phases in the web frontier. Compounding the situation is the risk those challenges impose in a decentralized environment — where exploitation can result in losing a large volume of assets, as well as the time it takes to secure an auditing service for smart contract code and the duration of the audit itself

Source de l’article sur DZONE

WALLDORF, Allemagne — 11 mai 2022 — Aujourd’hui, à l’occasion du salon SAP Sapphire à Orlando, en Floride, SAP SE (NYSE : SAP) annonce ses toutes dernières innovations apportant de la valeur ajoutée à ses clients dans quatre domaines critiques : la résilience de la supply chain, le développement durable, la transformation des processus de gestion et le développement d’applications no-code.

Selon une étude récente du Boston Consulting Group, si 80 % des entreprises se tournent vers les solutions numériques pour relever les défis actuels, seules 30 % d’entre elles parviennent à une véritable transformation numérique de leur activité. Les annonces d’aujourd’hui aident les clients de SAP à accélérer leur parcours de transformation grâce à des solutions innovantes basées sur le cloud qui couvrent les processus de gestion end-to-end dont les clients ont le plus besoin. Ces annonces seront faites le premier jour de SAP Sapphire, la conférence mondiale des clients et partenaires de SAP, qui se déroule en personne et virtuellement du 10 au 12 mai 2022.

“Depuis 50 ans, les solutions critiques de SAP et son expertise sectorielle approfondie aident les entreprises du monde entier à fonctionner au mieux”, a déclaré Christian Klein, PDG et membre du conseil exécutif de SAP SE. “Nous sommes particulièrement bien placés pour continuer à favoriser la réussite de nos clients dans un monde qui évolue rapidement, en favorisant la transformation numérique basée sur le cloud qui résout les défis les plus pressants des clients, depuis la résilience de la supply chain au développement durable.”

 

Supply chain résilientes et réseaux commerciaux intelligents

Les innovations SAP améliorent l’efficacité et la transparence de la supply chain, permettant ainsi d’améliorer les performances et la résilience. Parmi ces innovations, SAP annonce aujourd’hui une nouvelle suite d’applications iOS qui rationalisent la supply chain numérique et donnent aux travailleurs des outils intuitifs. Les deux premières de ces applications – SAP Warehouse Operator et SAP Direct Distribution – ont été lancées aujourd’hui et sont disponibles dans l’App Store d’Apple.

En outre, le nouveau SAP Digital Manufacturing cloud réunit les dernières innovations en matière d’analyse, d’edge computing et d’automatisation avec des processus de fabrication end-to-end à la pointe de la technologie pour aider les clients à optimiser les performances de fabrication. SAP Business Network continue également d’évoluer pour devenir le plus grand réseau d’entreprise au monde et, avec l’intégration de Taulia, les clients peuvent libérer la valeur liée à leur fonds de roulement.

 

Faire passer les entreprises de la parole au geste en matière de développement durable

Le portefeuille croissant de solutions SAP en matière de développement durable est idéalement positionné pour aider les entreprises à passer du discours volontaire à l’action concrète. Parmi les nouveautés présentées aujourd’hui, citons les nouvelles fonctionnalités de SAP Cloud for Sustainable Enterprises qui aident les entreprises à innover dans les domaines clés de la gestion du développement durable. Il s’agit notamment de l’amélioration de SAP Product Footprint Management, qui permet aux clients de réduire l’empreinte carbone de leurs produits à grande échelle grâce à la connectivité en direct de SAP S/4HANA Cloud, y compris les capacités de transport et de déplacement.

 

Permettre la transformation des processus d’entreprise

Les clients continuent d’adopter RISE with SAP, pour redéfinir leurs processus de gestion end-to-end et passer à un ERP modulaire et agile dans le cloud. Plusieurs clients seront présents sur la scène du Sapphire pour montrer comment ils utilisent RISE with SAP pour innover en matière de business. Les partenaires aident également nos clients à mettre ces innovations à l’échelle grâce aux meilleures pratiques et aux solutions sur mesure : RISE with SAP and SOAR with Accenture intègrent et fournissent maintenant ce dont les entreprises ont besoin pour une transformation basée sur le cloud, y compris la gestion de l’infrastructure du cloud, la gestion des applications et les services d’exploitation. La dernière version de SAP Service Cloud comprend de nouvelles fonctionnalités de gestion dynamique et de modélisation des cas, ainsi qu’une intégration native avec Qualtrics® XM Discover et Microsoft Teams, afin d’améliorer la capacité des entreprises à tenir les promesses de leur marque grâce à une meilleure visibilité, une plus grande responsabilité et des délais de résolution plus courts.

 

Accélérer l’innovation avec le développement No-Code/Low-Code, l’automatisation des processus, les données et l’IA.

SAP AppGyver, l’une des principales solutions de développement d’applications d’entreprise no-code/low-code, inclut désormais une intégration native avec SAP Service Cloud et est disponible dans le cadre du volet gratuit de SAP Business Technology Platform. SAP Process Automation, qui fait également partie du SAP BTP Free Tier, a été amélioré pour la gestion des flux de travail no-code et l’automatisation robotique des processus (RPA).

SAP fournit également de nouvelles innovations SAP AI pour optimiser intelligemment les processus opérationnels end-to-end, y compris le lead-to-cash, design-to-operate, recruit-to-retire et source-to-pay. SAP offre également à tous les étudiants un accès gratuit à des ressources et à des expériences d’apprentissages personnalisées dans la « student zone» du portail d’apprentissage. Pour répondre au besoin croissant de développement accéléré d’applications par des utilisateurs non techniques, SAP lance un parcours d’apprentissage amélioré qui prépare les étudiants à de nouvelles certifications en low-code /no-code.

 

Guide des actualités SAP Sapphire 2022

Plus de détails sur toutes les nouvelles, les lancements et les mises à jour dans le Sapphire News Guide.

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Source de l’article sur sap.com

Le système d’exploitation Microsoft Windows propose un service de gestion des requêtes HTTP sous la forme d’un pilote en mode noyau appelé http.sys. Une vulnérabilité a été découverte dans ce pilote pour Windows Server 2019, Windows Server 2022, Windows 10 et Windows 11. Elle permet …
Source de l’article sur CERT-FR

Le système d’exploitation Microsoft Windows propose un service de gestion des requêtes HTTP sous la forme d’un pilote en mode noyau appelé http.sys. Une vulnérabilité a été découverte dans ce pilote pour Windows Server 2019, Windows Server 2022, Windows 10 et Windows 11. Elle permet …
Source de l’article sur CERT-FR

La mise en oeuvre d’un nouveau système ERP offre une occasion majeure de transformer numériquement votre entreprise. Non seulement vous pouvez dépasser les fonctionnalités limitées ou la technologie obsolète de votre ancien système, mais vous pouvez également tirer parti des capacités du système ERP moderne pour vous aider à saisir de nouvelles opportunités commerciales.

Cependant, toutes les mises en place ne se déroulent pas sans heurts. Alors comment préparer votre entreprise à une mise en oeuvre réussie de l’ERP ? Comment éviter les coûts et les risques inutiles ? Ces meilleures pratiques de mise en œuvre d’un ERP peuvent vous aider à éviter les pièges les plus courants et à profiter plus rapidement des avantages de votre nouveau système ERP.

Par où commencer votre projet ERP ?

Lorsque les gens pensent à la mise en oeuvre d’un système, ils commencent souvent par envisager les fonctionnalités souhaitées. Mais les nouvelles fonctionnalités ou technologies ne sont pas le cœur du problème ; ce dont une entreprise a besoin pour se développer, ce sont des processus de gestion modernes. Ce n’est qu’avec des processus efficaces qui vous permettent d’être agile et réactif que vous pourrez stimuler votre compétitivité et mieux servir vos clients internationaux.

Souvent, les processus existants sont rigides et ne répondent pas aux besoins de l’entreprise. Même lorsque des processus éprouvés et rentables sont en place, ils doivent souvent être mis à jour pour répondre à l’évolution des besoins ou être enrichis de nouvelles fonctionnalités, comme l’accès mobile, les alertes et la veille économique. Il est donc important de toujours garder ces processus au cœur de votre plan de mise en œuvre.

Quel est le plus grand facteur de réussite ? Votre équipe de projet.

Toutes les études de cas sur la mise en oeuvre d’un ERP se rejoignent
: le facteur déterminant est l’équipe de mise en œuvre.

Un excellent logiciel n’est excellent que s’il est mis en œuvre par une équipe solide. Si les membres de l’équipe n’ont pas le temps, le soutien ou les compétences nécessaires pour effectuer le travail efficacement, ils ne réussiront pas – et le projet souffrira probablement de retards, de coûts supplémentaires et/ou d’un logiciel qui ne répond pas aux besoins de l’entreprise.

Les entreprises qui ont connu des revers ou des échecs en matière d’ERP ont souvent affecté des employés qui « avaient le temps » de travailler sur le projet. Mais pour réussir, vous devez recruter les personnes dont « vous ne pouvez pas vous passer ». Il s’agit des personnes bien occupées qui connaissent les processus opérationnels, travaillent bien avec les autres membres de l’organisation et ont le respect de la direction. Dédiez ces personnes au projet à plein temps (40 heures de disponibilité), ou autant d’heures que possible par semaine.

N’ajoutez à l’équipe de projet clé aucune personne qui ne peut pas consacrer au moins 25 % de son temps (minimum 10 heures) au projet chaque semaine. Les membres de l’équipe consacrant moins d’un quart de leur temps pourront rattraper les activités du projet mais n’y apporteront aucune valeur ajoutée.

Le soutien de la direction à votre équipe est essentiel. Dans toute mise en œuvre importante, des décisions doivent être prises concernant les priorités et les compromis en matière de ressources. Sans un soutien et un engagement fort, même les équipes qualifiées peuvent échouer.

La mise en oeuvre rapide d’un système ERP moderne est l’une des choses les plus importantes qu’une entreprise puisse réaliser. Cela vaut la peine d’y consacrer vos meilleurs éléments et de poser les bases du succès dès le départ.

Comment planifier la mise en œuvre de votre ERP

Planifiez la séquence de mise en place de façon réaliste. Tenez compte de la disponibilité de votre équipe de direction, des managers et des experts internes qui contribuent à l’effort.

Classez vos besoins par ordre de priorité afin de pouvoir vous concentrer sur les gains importants tout en constituant une base logicielle et technologique de base qui pourra évoluer en fonction des besoins de votre entreprise.

Votre plan détaillé et vos indicateurs clés de performance seront adaptés à vos besoins spécifiques. Toutefois, les activités clés suivantes sont des étapes communes à toutes les mises en place réussies :

Mise en oeuvre d'un ERP

1. Sélectionnez un partenaire intégrateur pour vous aider à la mise en œuvre

Votre équipe de projet n’est probablement pas très expérimentée dans la mise en œuvre d’un logiciel ERP ; elle aura besoin d’aide. Cherchez et sélectionnez un ou plusieurs consultants qualifiés pour la mise en oeuvre de l’ERP, ayant une connaissance approfondie et une expérience de l’application ERP que vous allez installer. Confirmez qu’ils comprennent comment la nouvelle solution logicielle soutient vos processus d’affaires actuels et à venir. Interrogez leurs références pour le vérifier.

Vos partenaires intégrateurs doivent disposer d’un personnel formé à votre secteur d’activité et disponible sur vos sites. Si vous avez des clients et des fournisseurs internationaux, vos partenaires doivent avoir les compétences nécessaires en matière de commerce international, de langues et de devises pour rationaliser votre mise en œuvre.

Enfin, examinez le logiciel de gestion de projet que l’entreprise utilise pour vous assurer qu’il est compatible avec votre système interne de planification, d’ordonnancement et de suivi.

2. Détaillez toutes les tâches du projet

Votre partenaire de mise en place vous aidera à dresser une liste détaillée de toutes les tâches à accomplir. Cette liste sera longue. La formation seule, par exemple, comprend de nombreuses tâches :

  • Formation de l’équipe de projet : Votre équipe doit se familiariser avec le logiciel afin de pouvoir décider comment adapter vos processus d’entreprise.
  • Formation de l’équipe informatique : L’équipe informatique doit être formée afin de comprendre comment installer et maintenir le système de manière optimale.
  • Formation des utilisateurs métiers : Toutes les personnes appelées à utiliser le logiciel doivent apprendre comment il fonctionne.
  • Formation continue : Les nouveaux utilisateurs auront besoin d’être formés au fur et à mesure qu’ils rejoignent votre entreprise, vous devrez donc mettre en place un plan à plus long terme.

La liste des tâches doit être divisée en phases. Il faut prévoir du temps pour le pilote en salle de conférence, la personnalisation de l’application, l’intégration à d’autres applications et sources de données, la mise en œuvre de l’infrastructure, le nettoyage des données, l’acceptation par les utilisateurs, etc.

3. Calculez les heures de travail

Estimez soigneusement le temps nécessaire à chacune des tâches. Pour ce faire, comprenez la tâche et le travail qu’elle implique, puis déterminez le nombre d’ « heures de travail » nécessaires. Il peut s’agir d’une fourchette d’heures, mais elle doit être précise. Additionnez les heures de travail pour chaque phase du projet et désignez la personne chargée de les réaliser.

C’est pourquoi il est important de faire appel à un partenaire intégrateur qui connaît bien la solution logicielle. Si vous effectuez cette étape correctement, vous serez en mesure de calculer avec précision votre calendrier, de déterminer si vous avez besoin d’aide en dehors de votre équipe actuelle et de limiter les dérapages.

4. Créez un calendrier réaliste

Maintenant que vous avez calculé les heures de travail disponibles et nécessaires, vous pouvez créer un calendrier réaliste. Dans de nombreux cas, le premier passage révèle un problème de capacité par rapport au calendrier de mise en œuvre qui avait été présenté à l’origine aux dirigeants.

Voici un exemple de calcul qui illustre les écarts potentiels :

  • Délai de mise en service prévu = 12 mois ou 1 an
  • Nombre total d’heures de travail disponibles sur une période de 12 mois = 540/semaine ou 28 080 heures/an
  • Nombre total d’heures de travail nécessaires à la mise en place = 42 000 heures au total
  • Heures requises divisées par les heures disponibles par an = 1,496 années

Le résultat ? La date de mise en service est manquée avant le début du projet. Voici quelques solutions possibles :

  • Réduire le scope – même si l’équipe a convenu que ces tâches sont essentielles.
  • Repousser la date à une date réaliste
  • Ajouter plus de ressources internes et externes (heures de travail disponibles)
  • Décomposer le projet en phases

C’est ici que l’équipe de direction devra prendre la décision. Ce n’est qu’un exemple des raisons pour lesquelles ils doivent être impliqués dans le processus de sélection et de mise en œuvre du logiciel.

5. Menez un projet pilote

Une fois le projet lancé et avant la mise en service, effectuez un test ou un pilote (dans une salle de conférence) avant le déploiement complet. Ce pilote interne vous permettra de vous assurer que vous avez mis en place les processus opérationnels appropriés pour les besoins actuels et futurs de l’entreprise. Lorsque vous concevez vos nouveaux processus, il est important de comprendre l’éventail des options disponibles dans votre système ERP – et de valider vos processus avec l’équipe de projet et les parties prenantes de la communauté des utilisateurs.

Au cours de cette phase de plusieurs semaines, votre partenaire de mise en place installera un logiciel pilote qui vous permettra de tester tous vos processus et de vous assurer qu’ils fonctionnent comme prévu, sans surprise. Souvent, vous pouvez appliquer les meilleures pratiques pour gagner du temps, en particulier si vous disposez des outils de configuration pour effectuer des ajustements rentables à mesure que vous affinez vos opérations.

6. Nettoyez vos données

Cela semble simple, mais le nettoyage des données est une activité chronophage. Il est préférable de commencer à évaluer l’exactitude de vos données dès que possible, car il faut beaucoup d’efforts pour réaliser cette étape correctement. Au cours du projet, des changements de processus métiers se produiront – soyez donc prêt pour des étapes supplémentaires de gestion des données pendant la mise en œuvre.

7. Tenez tout le monde informé

Chaque semaine, un membre du personnel doit contacter toutes les parties prenantes clés afin qu’elles soient informées des points positifs et moins positifs de l’avancement du projet de mise en œuvre. Le pire scénario est celui où les gens ne sont pas tenus au courant et sont pris par surprise.

La plupart des bons systèmes de gestion de projet comportent des représentations visuelles de l’avancement du projet.

Commencez par les processus les plus importants de votre entreprise

Toutes les entreprises n’ont pas les mêmes problèmes. Il est donc préférable de passer en revue vos processus opérationnels et de classer par ordre de priorité ceux qui doivent être abordés en premier. Voici une liste de domaines à haute valeur ajoutée à prendre en compte :  

  • La veille stratégique, y compris les alertes de gestion et les tableaux de bord : Votre équipe a besoin de mises à jour rapides sur les problèmes de l’entreprise, ainsi que de la possibilité d’approfondir facilement les détails pour résoudre rapidement les problèmes – au bureau, à la maison ou sur la route. Vous avez besoin d’une intelligence d’affaires intégrée et de données qui se trouvent dans une base de données unique.
  • Gestion de la relation client (CRM) : Aujourd’hui, les processus CRM touchent généralement toutes les parties d’une entreprise. Les ventes directes, les distributeurs, les showrooms, le commerce électronique, le service client et les commerciaux partagent tous des informations sur les clients avec la gestion des commandes, les opérations, les achats, l’ingénierie, les comptes clients et l’expédition.
  • Finance et comptabilité : Des transactions financières précises et en temps réel, des indicateurs clés de performance et des analyses sont essentiels à toute entreprise, et ils doivent couvrir tous les sites et départements. Outre la comptabilité, elles doivent être intégrées à l’évaluation des coûts, à la budgétisation, aux prévisions, aux projets, à la gestion des actifs, à la conformité et à la gestion de la trésorerie.
  • Gestion de la chaîne logistique (DSC) et fabrication : Les délais serrés, les faibles marges et les perturbations de la chaîne d’approvisionnement constituent un défi pour toutes les entreprises. Leur gestion nécessite un travail d’équipe – collaboration avec les fournisseurs, les transporteurs, les sociétés d’import/export, les banques et d’autres partenaires – souvent sur des appareils mobiles répartis sur plusieurs sites.
  • Ressources humaines (RH) : La gestion d’une main-d’œuvre diversifiée est plus difficile aujourd’hui que jamais, et votre équipe a besoin d’un accès immédiat et sécurisé aux informations sur les employés pour la paie, les avantages sociaux, la budgétisation, la programmation et les besoins de conformité. De plus, le recrutement, le développement et la fidélisation des employés constituent une part importante de l’évaluation des plans d’affaires actuels et proposés.
  • Langues, devises et sites multinationaux : À mesure que vous développez votre entreprise, en particulier si vous vous implantez dans de nouvelles régions ou de nouveaux pays, vous devez être en mesure d’ouvrir et de développer de nouvelles opérations de manière cohérente et rapide. Cela nécessite des capacités logicielles étendues et avancées, ainsi que des services cohérents de la part de votre fournisseur de logiciels sur chaque site.
  • La mobilité : La capacité d’accéder à l’information et de travailler à distance est désormais vitale – comme l’a démontré la pandémie de COVID-19. Les entreprises qui disposent des outils nécessaires pour s’adapter rapidement peuvent prendre l’avantage en période de perturbation.

Conseils pour atténuer les risques liés à la mise en œuvre d’un ERP

Tous les projets comportent un élément de risque. Vous trouverez ci-dessous cinq conseils précieux pour améliorer vos chances de mener à bien votre projet dans les délais et les budgets impartis.

  1. Choisissez des partenaires expérimentés en matière de logiciels, de processus opérationnels et de mise en oeuvre qui possèdent un savoir-faire sectoriel et local. Interrogez toujours des références dans des entreprises comme la vôtre.
  2. Ne poussez pas une technologie dépassée au-delà de ses limites. Éliminez les anciens systèmes autonomes dépassés et, dans la mesure du possible, consolidez vos données dans une base de données unique (version unique de la vérité) avec une veille économique intégrée pour des performances multinationales.
  3. Dans l’économie numérique, les entreprises doivent souvent intégrer des systèmes entre les unités commerciales ainsi qu’avec les clients et les fournisseurs. Confirmez que vous disposez de capacités d’intégration dans le cloud et d’une expertise en matière de réseaux de fournisseurs.
  4. Évitez les dérives du projet. Il est fréquent de découvrir des besoins et des opportunités au cours de la mise en œuvre d’un ERP. Il est donc important de gérer les ordres de modification pour éviter les retards et les dépassements de coûts.
  5. Confirmez que vous disposez d’une expertise cohérente sur tous vos sites. Vous avez besoin d’une formation, d’une mise en place et d’une assistance, souvent fournies par la direction locale, les distributeurs de logiciels, les sociétés de conseil et votre partenaire logiciel.

Conseils pour éviter les coûts supplémentaires liés à la mise en œuvre d’un ERP

L’investissement dans un nouveau système ERP comprend l’engagement en temps de votre entreprise, le conseil en processus métier et en mise en œuvre, les logiciels et les services cloud, ainsi que l’équipement en ordinateurs, tablettes et téléphones – il est donc important de contrôler le projet et les coûts.

Voici quelques points clés à suivre :

  • Restez concentré sur le coût total de possession (TCO). Gérez vos coûts totaux – et les avantages au fil du temps pour minimiser les dépenses et maximiser le rendement. N’oubliez pas que la mise en œuvre d’un système ERP aura un impact important sur votre entreprise.
  • Respectez l’orientation de l’entreprise et n’imposez pas de changements de processus inutiles. Dans de nombreux cas, les entreprises sont contraintes de modifier leur mode de fonctionnement pour s’adapter à leur logiciel, ce qui augmente les coûts de mise en œuvre et d’exploitation.
  • Concentrez-vous sur les processus de routine qui apportent une valeur significative à l’entreprise.  La gestion des commandes des clients, la mise à jour des prix, l’ajout de nouveaux produits et services, la modification des détails de fabrication et l’intégration des nouveaux employés sont des exemples de ces processus de routine.
  • Évitez les personnalisations et tirez parti d’une interface utilisateur configurable, des tableaux de bord, des alertes, des flux de travail, de la veille économique et des fonctionnalités mobiles. Grâce à ces fonctionnalités, vous pouvez rationaliser le travail de tous vos services ainsi que procéder à des ajustements rapides et rentables si nécessaire.
  • Les piratages de systèmes et les violations de données coûtent cher. Lorsque vous utilisez Internet, utilisez une solution ERP en nuage sécurisée si nécessaire – confirmez que vos fournisseurs de logiciels et de services prennent en charge une gamme d’options de déploiement de logiciels sécurisés.

Quand votre mise en oeuvre ERP sera-t-elle terminée ?

Une fois votre mise en oeuvre initiale terminée, vous aurez toujours besoin de la flexibilité nécessaire pour ajouter des fonctionnalités supplémentaires à votre entreprise. De nombreux changements peuvent être à l’origine de ces opportunités, comme de nouveaux sites, de nouvelles gammes de produits et de services, et des acquisitions.

La transformation numérique offre également des possibilités supplémentaires de faire équipe avec les clients et les fournisseurs pour redéfinir la manière dont les affaires sont menées dans votre secteur. Souvent, ces projets incluent de nouvelles technologies, comme l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle (IA), ainsi que l’intégration avec des équipements et des véhicules utilisant l’Internet des objets (IoT) pour améliorer la vitesse et l’efficacité.

Prêt à passer à l’étape suivante ?

Dans tout projet ERP, il y aura des problèmes inattendus – alors attendez-vous à en rencontrer dans le vôtre. Mais, en suivant les meilleures pratiques pour une mise en oeuvre réussie de l’ERP, vous pouvez les identifier et les traiter dès qu’ils se présentent afin de gérer efficacement vos risques et vos coûts.

Essayez une solution ERP moderne cloud

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Source de l’article sur sap.com