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Remontée des données en temps réel, connexion des partenaires, mise en place d’un jumeau numérique, industrialisation de la fabrication sont quelques-unes des pistes d’évolution possibles dans le monde de la construction.

« Le monde de la construction se trouve à un point d’inflexion : le numérique va fondamentalement changer les business models, les méthodes et l’économie du secteur » constate Johnny Clemmons, Global Vice President en charge de cette thématique chez SAP. La demande devrait rester soutenue dans les décennies à venir, avec des projets d’une complexité croissante et une pression toujours aussi forte sur les marges.

Les techniques déjà employées dans l’industrie manufacturière peuvent trouver des débouchés dans le secteur de la construction :

• automatisation des tâches répétitives amenant peu de valeur ajoutée ;
• analyses et rapports en temps réel, pour un véritable pilotage de la production ;
• exploitation des données issues des capteurs, afin d’améliorer la prise de décision ;
• introduction de technologies interactives et de robotique.

Des chantiers connectés

Le responsable d’un chantier centralise de nombreuses informations sur l’avancement des travaux, mais souvent au travers d’une saisie manuelle, qui ne sera remontée que plus tard chez le constructeur. Impossible dès lors de piloter les chantiers de façon centralisée, ces données ne pouvant – au mieux – avoir un intérêt que lors d’études à postériori. Autre problème, chaque corps de métier va se charger d’une tâche précise, qu’il gérera souvent en toute indépendance.

Le premier enjeu consiste à casser ces silos, via une remontée des informations en temps réel dans l’ERP, ce qui ouvrira la voie à un pilotage centralisé des chantiers. L’amélioration de la collaboration entre les différents intervenants permettra également de créer de nouvelles synergies. L’équipe en charge des approvisionnements, les architectes, les ingénieurs et le donneur d’ordres pourront ainsi trouver des voies d’optimisation. Par exemple en proposant des structures plus modulaires, adaptées à l’utilisation de blocs préfabriqués, qui permettront – au travers de l’automatisation – d’améliorer la productivité, les coûts et la qualité.

Des partenaires connectés

À moyen terme, la Modélisation des Informations du Bâtiment (BIM, pour Building Information Modeling) promet de mieux gérer la construction d’un ouvrage, au travers d’un modèle unique du bâtiment, d’un processus de gestion basé sur la donnée, mais aussi de logiciels dédiés. Une approche qui n’est pas sans rappeler les systèmes de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) qui se démocratisent dans l’industrie.

Les intervenants vont pouvoir s’appuyer sur ce modèle pour synchroniser leurs efforts avec le maximum d’efficacité. Des technologies comme le rendu 2D/3D ou les jumeaux numériques renforceront cette démarche en optimisant la construction et en améliorant la prise de décision.

Du fait d’une remontée des informations en temps réel, il sera également possible de suivre les progrès d’un chantier en direct et donc l’évolution des coûts et marges. Avec comme bénéfice pour les contractants d’être payés plus rapidement lorsque leurs missions sont achevées.

Le prédictif en ligne de mire

Remontée de données en temps réel et mise en place d’un jumeau numérique sont les deux éléments clés pour aller au-delà de l’analyse traditionnelle et aborder le sujet du prédictif.

L’Internet des Objets est également une voie pour le prédictif. Connectés, les équipements des chantiers de construction font remonter des informations aux constructeurs. Un moyen d’améliorer la maintenance de ces équipements, en assurant leur entretien avant que les pannes ne surviennent. Mais également un moyen d’optimiser leur exploitation. Certains équipements lourds sont d’ores et déjà connectés. Une opportunité pour les entreprises souhaitant démarrer leur digitalisation par un projet simple, au ROI immédiatement mesurable.

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF SAP SE (NYSE : SAP) et E.ON SE ont annoncé un nouveau partenariat visant à développer une plateforme basée sur la solution SAP S/4HANA Utilities. La plateforme permettra d’adapter à l’avenir du secteur les processus de facturation et les échanges d’informations avec les acteurs du marché de l’énergie.

SAP et le fournisseur d’énergie E.ON prévoient de développer une nouvelle plateforme de processus et de technologies conçue pour l’exploitation du réseau d’E.ON. Ensemble, les deux partenaires de premier plan souhaitent établir une nouvelle norme dans le secteur des réseaux électriques en Allemagne. E.ON a pour objectif d’utiliser les solutions cloud de SAP (SAP S/4HANA) pour améliorer l’efficacité et la cohérence des processus centraux relatifs à la facturation et à l’échange d’informations au sein du groupe. Ainsi, les fournisseurs d’énergie, les opérateurs de réseau et les exploitants de compteurs du groupe E.ON pourront partager des informations plus rapidement et facilement, et avec plus de précision. Les processus seront normalisés et les différents systèmes de facturation de l’énergie ainsi que les échange de données des centres régionaux d’E.ON seront migrés vers la nouvelle plateforme. La cohérence des données permettra à l’entreprise de déployer des solutions standard, de suivre les meilleures pratiques et de réduire les coûts liés au développement de logiciels personnalisés. Les clients du réseau d’E.ON y verront également des avantages. Des processus allégés et normalisés permettront à l’entreprise de répondre de manière encore plus rapide et efficace aux demandes des clients.

La décision en faveur de l’adoption de cette nouvelle technologie découle de l’intégration d’Innogy SE, une entreprise du secteur de l’énergie, au sein du groupe E.ON. Le plan de développement du réseau d’E.ON est d’établir des processus de facturation et des systèmes informatiques standard dans toutes ses entités. Les premiers bénéfices du projet, c’est-à-dire l’optimisation des processus, sont attendus dès le milieu de 2022. La mise en œuvre de solutions cloud innovantes devrait permettre à long terme au groupe de réduire ses coûts de 40 %.

Dans le cadre de ses activités, et plus particulièrement de l’exploitation du réseau, E.ON doit se conformer aux réglementations établies par l’Agence fédérale Allemande des réseaux, la Bundesnetzagentur. Le partenariat avec SAP et les possibilités offertes par la nouvelle plateforme, modulable et stable, faciliteront le respect des nouvelles réglementations, telles que les formats d’échange de données standard. De plus, les processus métier exécutés sur la plateforme cloud SAP peuvent être facilement étendus. Grâce à son évolutivité, la plateforme offre également des possibilités d’innovation.

« Notre partenariat avec SAP nous permet de repenser les processus et les structures, surtout après l’acquisition d’Innogy », explique Thomas König, membre du conseil d’administration et responsable des réseaux énergétiques, E.ON SE. « Ce projet va établir une nouvelle norme sur le marché. Les capacités d’automatisation et de normalisation de la nouvelle plateforme vont considérablement améliorer l’efficacité de nos processus. »

« Ce partenariat rapproché avec E.ON n’est pas seulement un excellent exemple de la façon dont la technologie peut simplifier la prise de décision des entreprises, promouvoir de nouveaux modèles économiques et générer une valeur durable », déclare Christian Klein, CEO de SAP SE. « Cette décision est également le signe d’un engagement fort envers les solutions Industry Cloud de SAP et démontre qu’en matière de transformation numérique, nous sommes le partenaire de choix de nos clients. »

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF SAP SE (NYSE : SAP) annonce que ERG, l’un des principaux producteurs d’électricité indépendants en Europe dans le secteur des énergies renouvelables, a mis en œuvre les solutions SAP Ariba pour digitaliser et unifier ses opérations d’achat.

En activité depuis plus de 80 ans, ERG a effectué sa transition du pétrole vers l’énergie verte en 2008 en produisant de l’électricité à partir de sources d’énergie renouvelables comme l’énergie éolienne, solaire et hydroélectrique et les centrales de cogénération thermoélectriques à haut rendement et à faible impact environnemental.

La digitalisation des achats vient soutenir les objectifs de transformation cloud d’ERG

ERG adopte des technologies cloud pour obtenir une infrastructure plus flexible avec une meilleure intégration, des processus améliorés, des mises à jour plus rapides et des coûts de gestion réduits. ERG a choisi les solutions SAP Ariba dans le cadre d’une stratégie visant à consolider ses achats sur une plateforme unique, rapprochant les besoins de diverses fonctions commerciales afin de partager des informations avec tous ceux qui en ont besoin au bon moment.

« Après une évaluation approfondie des solutions disponibles, nous avons choisi les solutions SAP Ariba pour leur facilité d’intégration avec nos systèmes SAP existants, et pour offrir à nos fournisseurs une interface unique à partir de laquelle ils peuvent se connecter et collaborer avec notre organisation et nos partenaires », a déclaré Anna Campi, responsable du contrôle de la planification des achats et de la gestion des fournisseurs chez ERG. « Depuis que nous avons adopté les solutions SAP Ariba, nous avons réalisé des économies considérables par rapport à la solution précédente. Nous avons également amélioré notre structure de qualification des fournisseurs par secteur de produits grâce aux solutions SAP Ariba, qui proposent une liste de fournisseurs beaucoup plus précise et plus fiable. »

Grâce aux solutions SAP Ariba Sourcing et SAP Ariba Supplier Lifecycle and Performance, ERG pourra collaborer avec ses fournisseurs tout en s’assurant qu’ils sont alignés sur ses principes organisationnels et son code de conduite. Elles aideront notamment ERG à évaluer régulièrement la conformité de ses fournisseurs stratégiques, qui représentent environ 80 % des achats de la société. Grâce à la collaboration en temps réel, ERG pourra améliorer ses marges d’exploitation et récompenser ses fournisseurs stratégiques pour leur conformité.

« Collaborer avec ses fournisseurs n’a jamais été aussi important qu’aujourd’hui, car les entreprises se concentrent actuellement sur la continuité de leur activité », a déclaré Chad Crook, senior vice president and global head of Customer Engagement and Adoption, SAP Procurement Solutions. « Avec les solutions SAP Ariba, ERG dispose d’un processus digital simplifié de gestion des dépenses de bout en bout sur une seule plateforme et d’une meilleure capacité de communication et de collaboration avec ses fournisseurs, qui lui permet d’assurer la conformité et la fluidité des opérations entre ses partenaires commerciaux. »

L’engagement d’ERG en faveur des énergies renouvelables et du développement durable

La société ERG est engagée en continu dans développement durable. Pour la deuxième année consécutive, elle figure parmi les 50 grandes entreprises les plus durables au monde, selon l’indice Corporate Knights Global 100, et est cotée à la Bourse de Milan. Cette initiative, et l’objectif que s’est fixé ERG de développer ses projets de production et d’achat tout en améliorant les processus de bout en bout, ont influencé ses achats. Conformément aux nouveaux principes écologiques de la société, le conseil d’administration d’ERG a récemment approuvé un code de conduite pour les fournisseurs.

 

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Source de l’article sur sap.com

Le CERT-FR a connaissance de campagnes de détection de la vulnérabilité CVE-2020-0688 affectant le serveur Exchange de Microsoft. Une campagne de détection fait partie de la phase de reconnaissance qui est préalable à la phase d’exploitation.

Pour rappel, la …
Source de l’article sur CERT-FR

Le CERT-FR a publié un avis concernant la CVE-2019-11043 qui affecte PHP et permet l’exécution de code arbitraire à distance.

Un code d’exploitation est maintenant disponible sur internet, facilitant l’utilisation de cette vulnérabilité.

Ce code d’exploitation nécessite une …
Source de l’article sur CERT-FR

Learn more about how to create a Keylogger for Linux.

Recent studies estimate that between 100 to 150 million computers worldwide could be directly infected by at least one form of malware such as Trojan or Keylogger in order to be remotely monitored or controlled by hackers. By using this kind of software, a hacker will be able to recover your personal information, including the usernames and passwords you use to connect to your favorite social network accounts, mail services, bank account credentials, and much much more.

Personally, I’m sure you’ve always wondered how these hackers managed to discover valuable data so easily, their secrets, and their techniques. But most importantly, I’m sure you’ve wondered how to prevent personal data from being stolen? In this article, we will focus on the Keylogger and how to create such a program in Python.

If you are interested in learning more, check out this post on the Most Usful Linux Command-Line Tricks

Source de l’article sur DZONE

Le CERT-FR a connaissance de cas d’exploitation de la vulnérabilité CVE-2019-10149 qui affecte Exim et permet une exécution de commande arbitraire à distance.

Cette vulnérabilité est triviale à exploiter, d’autant plus que du code d’attaque est disponible publiquement sur …
Source de l’article sur CERT-FR

Le 22 août 2018, la fondation Apache a publié un correctif de sécurité pour le framework d’application web Struts. Celui-ci concerne la vulnérabilité CVE-2018-11776 permettant d’exécuter du code à distance sans authentification. L’exploitation ne nécessite pas l’installation de modules …
Source de l’article sur CERT-FR

La gouvernance d’un SI s’appuie sur la mise en place d’indicateurs de mesure et de suivi.

Le framework méthodologique développé par Ankaa Engineering® organise ces différents compteurs en 4 grandes familles :
Exploitation
– Temps d’arrêt des systèmes
– Charge LAN et WAN
– Indisponibilité applicative
– Temps de réponse
– Audit sécurité (Mises à jour anti-virus, patches, réinitialisation de mots de passe, etc)
Support
– Nombre d’appel total utilisateur
– Nombre de tickets (ouverts, en cours, fermés)
– Nombre moyen d’incidents par utilisateur (ou service)
– Durée moyenne de traitement d’un ticket
– Délai moyen de résolution d’un ticket
Projet
– Audit de conformité de la solution avec les attentes exprimées.
– Nombre de jours de correctifs post-livraison
– Ecarts entre le nombre de jours de tests prévus et celui réalisé
– Ecarts entre la documentation réalisée et celle prévue
– Ecarts entre le délai de livraison réalisé et celui prévu
– Ecarts entre le budget réalisé et le prévisionnel
– Tableau de capacité d’affectation réelle des ressources sur les projets
Finance
– Part du budget DSI / Budget global
– Part de l’effectif DSI / Effectif global
– Budget annuel d’acquisition de logiciel
– Budget annuel d’acquisition de matériel
– Budget annuel d’achats de services
– Budget de maintenance applicative, matériel
– Valeur annuelle du SI / utilisateur
– Cout de maintenance du SI / utilisateur

Compte tenu des moyens à mettre en oeuvre pour faire vivre ces compteurs, le but n’est pas d’avoir un tableau de bord exhaustif mais ne faire le choix des indicateurs les plus pertinents en fonction des besoins de suivi et/ou de l’organisation de la DSI.