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Un personnel polyvalent est essentiel pour surmonter les défis, notamment ceux liés au COVID-19. Les entreprises reconnaissent désormais l’importance de l’upskilling et du reskilling. Mais elles ne savent pas toujours comment procéder à grande échelle. Ou comment exploiter efficacement des technologies comme les learning management systems (LMS). Si les collaborateurs peuvent accéder à une pléthore de formations, certifications et badges, de nombreux dirigeants peinent encore à discerner ce qui aura le plus d’impact.

Beaucoup d’organisations ont démontré leur capacité à faire basculer leurs salariés en télétravail presque du jour au lendemain. Alors que les entreprises commencent à s’adapter à cette nouvelle réalité, on peut se demander comment progresser sur d’autres problématiques. Comme celle de l’apprentissage sur le lieu de travail. Avec des solutions et des technologies innovantes les dirigeants étudient la meilleure façon d’y parvenir, en évaluant comment communiquer de manière authentique, recueillir des insights et mettre en œuvre des formations plus efficaces.

Parallèlement à une stratégie des effectifs, les entreprises peuvent suivre les étapes suivantes pour soutenir la formation et le développement de leurs collaborateurs.

collaborateur au bureau

1. Déterminer les déficits de compétences et anticiper les besoins à long terme

Après avoir déterminé leurs objectifs et évalué plusieurs scénarios, les entreprises élaborent une stratégie des effectifs adaptée. Pour la déployer, une étape clé est de combler l’écart entre les compétences que vos collaborateurs ont déjà et celles qu’ils doivent acquérir. De nombreuses entreprises, lorsqu’elles s’adaptent à l’incertitude économique, évaluent ces écarts tout en déterminant s’il faut réduire les effectifs. Aussi important soit-il de réfléchir aux besoins d’aujourd’hui, considérer les besoins en effectifs et compétences pour les 5 à 10 prochaines années est tout aussi central, si ce n’est plus. Si certaines compétences techniques deviennent rapidement caduques, d’autres, comme le leadership, représentent un investissement pour l’avenir. Il a également été démontré qu’un programme de formation solide aide à attirer et retenir les meilleurs talents.

La première étape dans l’élaboration d’une stratégie de gestion des talents est l’identification des emplois et des carrières qui nécessiteront l’upskilling des collaborateurs. Par exemple, de nombreux emplois seront reconfigurés avec des technologies telles que l’intelligence artificielle (IA). Les organisations devraient commencer par identifier les tâches essentielles à la croissance et à l’amélioration de l’expérience client. Ensuite, elles devraient identifier les ressources nécessaires pour les accomplir. Ressources qui incluent notamment les machines intelligentes et salariés requalifiés. Les nouvelles descriptions de poste devraient refléter le besoin de ces collaborateurs plus stratégiques et créatifs. Dans le cadre du recrutement, les technologies RH peuvent aujourd’hui aider les entreprises à prédire la réussite en évaluant la personnalité et les capacités cognitives des candidats.

De plus, pour évaluer en continu les compétences des collaborateurs, il faut envisager de développer une bibliothèque des compétences. Une base de données de ce que les salariés doivent savoir et des compétences qu’ils doivent posséder pour performer dans leurs fonctions. Dans un sens, il s’agit de descriptions de postes basées sur les compétences.

2. Interroger les collaborateurs

Les plates-formes technologiques RH peuvent recueillir des données en temps réel sur l’expérience des collaborateurs et les objectifs business, afin d’aider les entreprises à bien prioriser en matière d’upskilling. En interrogeant les collaborateurs, elles peuvent diagnostiquer les compétences actuelles d’une personne et recueillir des informations sur les compétences adjacentes.

Comprendre les besoins d’un collaborateur est essentiel, non seulement pour la stratégie d’upskilling, mais aussi pour améliorer l’expérience employé et la fidélisation. Pour de meilleurs résultats à long terme, les entreprises devraient aligner leurs efforts d’upskilling sur les plans de carrière des collaborateurs et leur développement. Un personnel heureux est souvent un personnel productif. Des recherches ont montré que les collaborateurs sont souvent « au mieux de leur carrière » lorsque leurs talents, leurs passions et les besoins de l’entreprise sont alignés.

3. Tenir compte des compétences, des connaissances et de l’expérience

Dans certains domaines, l’acquisition et le transfert des connaissances sont tout aussi importants que les compétences. Bien que les data scientists puissent être très demandés pour intégrer les technologies d’IA dans une entreprise, il n’est pas toujours suffisant qu’un collaborateur cherche à obtenir une certification en data science pour assurer la fonction. Les candidats devront avoir une connaissance approfondie des mathématiques ou de l’informatique pour comprendre le fonctionnement des algorithmes. Lorsque les entreprises n’ont pas la taille, la crédibilité ou l’expertise nécessaires dans certains domaines, elles peuvent s’associer à des institutions, organisations académiques ou professionnelles, pour une formation personnalisée.

Un cadre d’apprentissage largement référencé, le modèle « 70-20-10 », encourage les entreprises à promouvoir 70 % de l’apprentissage par l’expérience, 20 % par autrui (mentorat, coaching), et 10 % par la formation formelle. Mais le modèle peut être pondéré selon les domaines et compétences. Par exemple, les pilotes de ligne ont des exigences différentes selon la licence qu’ils souhaitent obtenir, notamment privée ou commerciale. Beaucoup estiment qu’une formation rigoureuse et formelle devrait peser plus de 10 % dans de nombreux domaines.

4. Repenser, remodeler et rééquiper les RH pour soutenir un processus d’apprentissage continu

L’une des clés d’une stratégie des effectifs réussie consiste à diffuser une culture de l’apprentissage. Les collaborateurs peuvent manquer de temps pour suivre une formation de deux heures. Heureusement la technologie, des applications aux systèmes de gestion de la formation (LMS), permet aux collaborateurs d’acquérir des compétences et de partager des connaissances entre eux par le biais d’un upskilling itératif. Ces capsules de formation peuvent prendre la forme de vidéos d’apprentissage de 10 minutes, au format « snacking », qu’ils peuvent visionner aussi bien hors ligne et sur smartphone qu’à la maison.

L’époque où les entreprises donnaient la priorité aux compétences de base et assignaient des sessions de formation à leurs collaborateurs est révolue. Aujourd’hui, les dirigeants peuvent tirer parti des technologies et des écosystèmes pour permettre aux collaborateurs de piloter leur propre apprentissage. Des outils personnalisables qui utilisent l’IA et le machine learning peuvent par exemple fournir une formation, un coaching et des feedbacks personnalisés.

5. Motiver les collaborateurs en les aidant à suivre leurs progrès

Il n’y a pas de modèle unique pour l’upskilling. Au lieu de proposer des plans de formation normatifs, les dirigeants devraient, pour une formation et un développement professionnel réussis, lire les signaux émis par leurs employés.

Grâce à des plans de développement des collaborateurs personnalisés et à l’apprentissage social, les collaborateurs peuvent rester engagés et concentrés grâce à la mise en réseau virtuelle et au mentorat, tandis que les managers les motivent pour atteindre les objectifs. Pour soutenir un personnel en distanciel, les messageries instantanées et les social boards peuvent être très utiles pour retrouver la dynamique collective. Parmi les autres techniques de motivation, on peut citer la gamification associée à des récompenses financières ou des cartes-cadeaux. Et les derniers learning management systems (LMS) permettent aux entreprises de délivrer, de suivre et de gérer le contenu, les certifications et les données des collaborateurs comme une source unique d’enregistrement de l’apprentissage.

Suivant la tendance croissante au partage et à la consommation d’information sur les médias sociaux, de nombreuses personnes s’attendent à avoir la maîtrise du moment et de la façon dont elles apprennent. Et encourager les collaborateurs à créer et à contribuer à leur propre contenu d’apprentissage en créant leurs propres « playlists d’apprentissage» leur permet de devenir, en matière de formation, leur propre patron. Et cela ouvre les portes du progrès individuel.

Grâce à une stratégie des effectifs qui s’aligne sur les objectifs stratégiques, les entreprises peuvent appliquer ces mesures pratiques pour identifier les opportunités de reskilling et les déficits à combler. Grâce à une amélioration de l’expérience et des résultats relatifs au reskilling, les entreprises peuvent soutenir un personnel à l’épreuve du temps. 

L’évolution des réalités dans le monde entier – de la modification des chaînes d’approvisionnement aux business models – a un impact sur toutes les entreprises. Celles qui peuvent réorienter leur personnel pourront relever les défis de l’avenir.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

WALLDORF, Allemagne – 27 janvier 2021 – SAP SE (NYSE: SAP) annonce « RISE with SAP », une offre phare visant à soutenir la transformation business des entreprises. RISE with SAP offre aux entreprises une toute nouvelle façon de repenser leurs processus métier pour soutenir leurs performances, et ce à toutes les étapes de leur transformation numérique. Avec son écosystème de partenaires solide, SAP offrira un retour sur investissement rapide et une grande flexibilité, le tout sans investissements initiaux élevés. Cette offre de Business Transformation-as-a-Service a été annoncée lors de l’événement « RISE with SAP: The Introduction » où SAP a également dévoilé son intention de faire une acquisition stratégique dans le domaine de l’intelligence des processus métier. Revivez le live avec Christian Klein et ses invités, dont Microsoft, Siemens et LiveKindly ici.

« Les tensions géopolitiques, les défis environnementaux et la pandémie en cours obligent les entreprises à faire face au changement plus rapidement que jamais », a déclaré Christian Klein, CEO de SAP. « Les entreprises capables d’adapter rapidement leurs processus métier prospéreront – et SAP peut les y aider. C’est la raison d’être de RISE with SAP : aider les entreprises à trouver en permanence de nouvelles façons de gérer leurs activités dans le cloud pour garder une longueur d’avance sur leur secteur. »

RISE with SAP est une offre unique pour chaque client, qui les accompagne vers l’Entreprise Intelligente. Proposée sous forme d’abonnement, l’offre comprend un accord de niveau de service, opérations et support.

L’approche holistique va aider les entreprises à véritablement transformer leur activité en allant au-delà d’une migration technique vers le cloud pour permettre une transformation continue. Avec son écosystème de partenaires solide, SAP va accompagner les entreprises dans leur transformation grâce à: 

  • La refonte des processus métier :
    • Business Process Intelligence repose sur le modèle de gestion et l’expertise de SAP en matière de processus acquise grâce à la collaboration avec ses 400 000 clients dans 25 secteurs. Les clients pourront continuellement analyser les performances de leurs processus de gestion, les comparer aux normes de l’industrie et les adapter facilement aux nouvelles exigences et demandes de l’entreprise. L’intelligence peut être intégrée aux processus métier grâce à une connexion directe au workflow SAP, à l’automatisation robotisée des processus (RPA) et à d’autres services d’intelligence artificielle (IA).
  • La gestion de la migration technique :
    • Les outils et services SAP prennent en charge l’ensemble du parcours technique avec un retour sur investissement rapide, auxquels s’ajoutent les offres de l’écosystème de SAP. Cela inclut des services automatisés pour faciliter le passage à des environnements de solutions modulaires et standard pour bénéficier plus rapidement de l’innovation dans le cloud, ainsi que le support d’architectes techniques pour faciliter la migration et une adoption plus forte.
    • L’infrastructure cloud choisie par le client se trouve dans un Data Center SAP ou celui d’un hyperscaler pour bénéficier des capacités de l’Infrastructure as-a-service sans limitation du système et des données.
  • La construction de nouveaux business models:
    • La Business Technology Platform fournit une couche sémantique ce qui permet de préserver le cœur du système propre ;
      • L’Enrichissement, l’extension et l’intégration des solutions SAP, partenaires ou tierces sont facilités en utilisant le même modèle de données et la même plateforme de services que les applications SAP.
      • Plus de 2 200 API permettent l’intégration des systèmes On-Premise, cloud et non SAP.
      • Pilotage et planification de l’organisation en temps réel , avec des données de qualité pour permettre le développement de scénarios Analytics, IA, et de planification, grâce à une couche de données sémantique
      • Des capacités low-code ou no code supplémentaires permettant d’étendre les solutions SAP, de l’intelligent RPA pour l’automatisation des processus, et un service de workflow pour modifier les processus à la volée.
  • SAP S/4HANA Cloud inclut de IA, de la RPA, des analyses avancées et des options de déploiement flexibles, selon la complexité du client.
  • Un accès unifié à l’un des plus grands réseaux d’entreprises au monde, comprenant les réseaux intelligents de fournisseurs et de logistique SAP, permettant aux entreprises de gérer l’entièreté de leur chaîne d’approvisionnement pour réagir plus rapidement aux évolutions du marché.

Pour plus d’informations sur RISE with SAP, lisez les blogs de Christian Klein, Juergen Mueller Thomas Saueressig, Uwe Griegoleit, et Jan Gilg.

Lisez ce que les partenaires SAP ont à dire ici.

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Source de l’article sur sap.com

La maintenance palliative cède progressivement la place à de la maintenance préventive, voire prédictive, grâce aux apports des capteurs et de l’Intelligence Artificielle. De nombreux industriels ont validé cette approche. Reste à passer à l’action.

La maintenance peut représenter de 10 % à 15 % des coûts de production. Le prédictif est en mesure d’aider à optimiser ces coûts. Toutefois, si 76 % des clients SAP interrogés pensent qu’il est important de pouvoir prédire la défaillance d’équipements, seuls 21 % sont satisfaits de leur politique de maintenance actuelle.

Mettre en place une maintenance prédictive demande :

  • des données de fonctionnement remontant rapidement et en quantité suffisante ;
  • l’utilisation d’algorithmes permettant de prédire les défaillances ;
  • l’appel à l’expertise des métiers : un élément clé de toute politique de maintenance.

Le recours à un jumeau numérique

« Les capteurs amènent un flot de données qui va remonter dans un jumeau numérique, lequel fonctionne en parallèle de l’équipement physique. Ce jumeau permet de prédire les besoins de maintenance, » explique Rodolphe Roy, directeur général d’ATS.

Réplique parfaite d’un objet ou d’un processus, le jumeau numérique est alimenté par les données venant du jumeau physique, ce qui permet d’en reproduire fidèlement l’état et de s’en servir comme base pour de la simulation.

« Il y a une vingtaine d’années, la simulation permettait de déterminer pourquoi les choses ne marchaient pas. Aujourd’hui, elle permet de prédire le fonctionnement physique d’objets très complexes, » témoigne Eric Bantegnie, vice-président et general manager Systems & Platform chez Ansys.

Le jumeau numérique ne répond pas seulement aux enjeux de maintenance, mais aussi aux enjeux de performance. « Nous pouvons dorénavant simuler le fonctionnement d’un processus de fabrication. Cela permet de confronter le résultat de la simulation aux performances du processus réel, afin de vérifier si son exécution est optimale. »

Enfin, l’utilisation des données d’exploitation est utile lors de la conception de nouvelles offres, qui ne repartiront alors pas d’une feuille blanche.

L’humain au cœur de tout

L’humain est essentiel dans la transformation des processus de maintenance. Les échecs dans les projets de transformation numérique sont en effet souvent liés à des soucis d’adoption des solutions et processus mis en place.

« C’est primordial, confirme Rodolphe Roy. Il faut accompagner cette transformation et aider à rapprocher les mondes de l’IT et de l’OT. L’IT doit proposer des outils parfaitement adaptés aux besoins des utilisateurs finaux, afin que cette courroie entre OT/IT ne se grippe pas. Il faut générer de la confiance : l’apport technologique ne doit pas inquiéter, mais au contraire rassurer. Il est crucial de repenser l’expérience homme-machine lors du passage à l’Industrie 4.0. »

La transformation numérique n’est pas seulement un défi, mais aussi une opportunité pour rendre l’industrie plus attractive et attirer de nouveaux talents. « Elle augmente la valeur des métiers et permet d’en créer de nouveaux, par exemple autour de la mise en œuvre et de la manipulation des jumeaux numériques, illustre Eric Bantegnie. L’opérateur de maintenance, spécialiste de la compréhension physique des équipements, gagne ainsi une compétence numérique. »

Vers du Product as a Service ?

La maintenance prédictive permet d’imaginer de nouvelles façons de commercialiser une offre, par exemple avec le Product as a Service, où c’est l’usage du produit qui est facturé et non le produit lui-même. Mais avant d’en arriver là, un défi attend les entreprises : le passage à l’échelle.

« Aujourd’hui, l plupart des industriels ont testé ces technologies, qui sont arrivées à maturité, explique Rodolphe Roy. Les grandes questions sont maintenant : comment passer à l’action ? Combien cela va-t-il me coûter ? Quel ROI attendre ? »

« Quelques centaines de milliers de jumeaux numériques seulement ont été déployés dans le monde, ajoute Eric Bantegnie. Mais nous sommes sur une trajectoire qui pourrait nous mener au milliard d’ici 3 à 5 ans. Il faudra toutefois savoir éviter une nouvelle guerre des standards, en assurant l’interopérabilité des solutions. »


En savoir plus sur les solutions SAP pour l’industrie 4.0


 

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Source de l’article sur sap.com

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Source de l’article sur sap.com

L’intelligence artificielle (IA) s’impose comme le nouvel intermédiaire entre les entreprises et les clients dans la décision d’achat.

L’IA s’impose dans l’expérience client

La complexité de la vie moderne soumet notre cerveau à une vraie surcharge cognitive. Pour y remédier, les clients se tournent vers les IA et se fient à leurs recommandations, délaissant les interactions traditionnelles avec les marques.

Ainsi acceptons-nous volontiers les recommandations de Netflix pour les séries, de Spotify pour la musique ou les résultats affichés par Google. Nous faisons tellement confiance à ces suggestions que 35% des achats sur Amazon et 75% des visionnages sur Netflix sont issus des recommandations du Machine Learning, selon McKinsey (1).

Pourquoi ? Parce que, dans l’expérience, les clients distinguent de plus en plus les aspects routiniers des aspects riches de sens (voir « Donner du sens à l’expérience »). Et à mesure que la précision et l’utilité des IA augmentent, les clients délèguent les décisions qu’ils jugent « sans importance ». Certaines entreprises se voient alors coupées de leurs clients et forcées de composer avec des IA agissant comme des gardiens.

Les IA relèguent les entreprises en arrière-plan de plusieurs façons :

Les IA effectuent de plus en plus de tâches

Les IA étant capables de regrouper, d’indexer et d’analyser des montagnes de données, les clients ont de plus en plus confiance dans leur capacité à interpréter leurs préférences personnelles et à faire des choix à leur place. Aux recherches en arrière-plan réalisées par les IA s’ajouteront bientôt les achats en arrière-plan.

Les IA, nouvelles audiences à conquérir

Le marketing émotionnel peut susciter la fidélité chez les humains mais pas chez les IA. À mesure que les clients confieront les décisions d’achat de routine aux IA, les entreprises auront besoin de nouvelles stratégies pour conquérir ces nouvelles audiences automatisées.

Les frontières entre les tâches vont disparaître

On regroupe souvent les tâches ménagères et administratives en catégories, comme le nettoyage de la maison ou le paiement des factures. Mais avec des IA qui prennent en charge différentes tâches à la fois, ces frontières disparaîtront. Les entreprises incapables de s’adapter à ce changement dans la façon d’appréhender les tâches perdront des clients.

Comment votre entreprise peut-elle s’adapter ?

Devenez l’intermédiaire IA de votre secteur

Créez une intelligence artificielle spécialisée qui apporte des connaissances uniques à vos clients. Appropriez-vous les fonctionnalités des IA pour mettre ces connaissances et compétences spécialisées à disposition des clients, directement et par le biais d’IA généralistes.

Proposez des produits optimisés par l’IA

Au fur et à mesure que les points de contact avec les clients seront relégués au second plan, les produits joueront un rôle plus central en tant qu’ambassadeurs de la marque. Le Big Data, l’IoT et le Machine Learning permettent d’améliorer l’expérience client en augmentant la satisfaction, en réduisant la charge cognitive et en éliminant les actions inutiles. Trouvez des moyens de créer un lien avec vos clients par le biais des produits.

Optimisez votre visibilité auprès des IA

Les systèmes basés sur l’IA constitueront le prochain « espace linéaire » numérique où optimiser le placement des produits. Cette discipline d’optimisation est encore balbutiante mais vous pouvez déjà vous appuyer sur votre équipe de référenceurs SEO afin de prendre le leadership dès le début. Des descriptions factuelles de vos produits et services contribueront à votre succès auprès des IA.

Améliorez les interactions avec vos clients

Utilisez des outils basés sur l’IA pour animer les interactions avec vos clients en fournissant aux collaborateurs de 1ère ligne des informations client et des suggestions de messages. Par exemple, les outils d’analyse et le Machine Learning peuvent servir à offrir aux collaborateurs une visibilité approfondie sur chaque client, améliorant ainsi la personnalisation des interactions.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références

(1) Ian MacKenzie, Chris Meyer et Steve Noble, « How Retailers Can Keep Up with Consumers » (Comment les détaillants peuvent répondre aux besoins des clients), McKinsey & Co., octobre 2013, https://www.mckinsey.com/industries/retail/our-insights
/how-retailers-can-keep-up-with-consumers.

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Source de l’article sur sap.com

Sur un marché devenu très volatile, la planification de la supply chain devient de plus en plus difficile. Des technologies prédictives s’appuyant sur des données internes et externes, ainsi que des jumeaux numériques permettront d’affiner les prévisions.

La supply chain doit s’adapter pour faire face aux défis d’agilité et de résilience du marché. « La supply chain est un domaine en pleine évolution, avec des sujets comme la data, la robotique, l’IoT ou l’intelligence artificielle », confirme Manuel Davy, Fondateur et CEO de VEKIA.

Quels sont les enjeux de la supply chain ?

  1. Satisfaire les clients.
  2. Réduire les stocks.
  3. Maîtriser les coûts opérationnels.

Mais sur un marché devenu très volatile, où les clients exigent de plus en plus une livraison à J+1, les choses peuvent rapidement se compliquer. « La supply chain c’est extrêmement simple : il suffit d’avoir le bon stock au bon endroit au bon moment : fois des centaines de milliers de point de gestion ou de points de stockage, fois des millions de références, et avec beaucoup d’incertitudes. »

L’une des clés du succès réside dans la prise en compte de ces incertitudes. Mais également dans la capacité à accompagner le client dans ses changements de mode de consommation. Pendant le confinement, ce sont les entreprises capables d’adresser les clients par des canaux numériques, comme l’e-commerce, qui ont tiré leur épingle du jeu. L’omnicanalité s’est imposée alors comme un facteur de résilience.

La prédiction est au cœur de la supply chain

« La planification est partout dans la supply chain, poursuit Manuel Davy. Les technologies les plus avancées sont en mesure de prévoir finement la demande des consommateurs, ce qui permet en remontant dans la supply chain d’anticiper toutes les opérations. »

L’amélioration des prévisions peut suivre deux voies : voir plus loin, grâce à une puissance de calcul accrue ; être plus fin, au travers de l’analyse de plus de données. Le fait de prendre en compte les données d’expérience (comme le ressenti des consommateurs vis-à-vis des produits ou de la marque) permettra par exemple de mieux satisfaire les clients.

Être capable d’agréger des données endogènes et exogènes (météo, réseaux sociaux…) est donc un facteur clé pour améliorer les processus de prédiction et de planification. Par ailleurs, il est primordial de savoir faire circuler les données internes et de les enrichir. Par exemple en disposant d’une vision en temps réel du stock, assurée par de l’IoT.

Autre voie d’amélioration, la mise en place d’un jumeau numérique de la supply chain, permettant de tester des scénarios de type what-if, afin de gagner en agilité ou en résilience. Ou tout simplement pour évaluer l’impact du lancement d’un nouveau produit.

Savoir passer du plan à l’action

Il est essentiel que le prédictif influe directement sur les opérations de l’entreprise (data to action), tout en n’écartant pas l’humain du processus de décision. « La planification reste un sujet humain. Il ne faut pas écarter l’humain, qui est le pilote et aura le dernier mot, car lui seul sait appréhender des situations très incertaines, comme celles que nous avons rencontrées récemment, explique Manuel Davy. Mais nous pouvons donner à l’humain des moyens d’être plus efficace : des algorithmes, des données, de la puissance de calcul. »

La transformation de la supply chain est un sujet riche et passionnant. Mais aussi global, comme le souligne le CEO de VEKIA : « quand on commence à transformer une supply chain, cela entraîne l’ensemble de l’entreprise vers l’industrie 4.0. ». L’occasion peut-être d’évaluer de nouvelles stratégies de supply chain management, comme le DDMRP (Demand Driven MRP), qui s’appuie non plus sur des prévisions, mais sur la demande réelle.

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BERLIN – SAP SE (NYSE : SAP) annonce que son fonds d’investissement, SAP.iO Fund, a soutenu Jina AI, une entreprise berlinoise fournissant une solution de recherche basée sur les réseaux de neurones, en open source.

Jina AI combine les récentes avancées en matière de Machine Learning en traitement du langage naturel, vision et reconnaissance vocale dans une nouvelle plate-forme de recherche, afin d’offrir une plus grande précision, flexibilité et adaptabilité aux entrées de recherche.

Le projet principal de Jina AI, Jina on GitHub, permet aux utilisateurs de créer une solution de recherche native dans le cloud, fonctionnant sur la base du Deep Learning. Jina permet de réduire de plusieurs mois à quelques minutes le temps nécessaire à la construction d’un réseau de neurones prêt pour la production et adapté aux environnements commerciaux ; qui exigent un cycle de développement rapide. Depuis la sortie de On GitHub en mai 2020, ce projet a déjà attiré plus de 2 000 engagements de la part de 48 contributeurs du monde entier. Dès maintenant, Jina prend en charge la recherche de texte, d’image, de vidéo, d’audio et de données multimodales. D’autres types de données seront pris en charge à l’avenir.

« Alors que les entreprises accélèrent leurs transformations numériques, un besoin est apparu pour une recherche d’entreprise plus efficace et précise » a déclaré Ram Jambunathan, vice-président senior de SAP et directeur général de SAP.iO. « Nous sommes enthousiasmés par le potentiel de Jina AI à fournir une solution de recherche précise aux clients de SAP. »

Jina AI a été fondée par le Dr Han Xiao, qui est connu pour le développement de l’infrastructure de recherche de nouvelle génération pour l’application de messagerie de Tencent, WeChat. Il est également connu pour son leadership au sein du bureau du programme Open Source de Tencent, où il a encouragé la culture open source et de développement de la société. Xiao a été membre du conseil d’administration de la Linux Foundation AI en 2019 et est fondateur et président de l’association germano-chinoise de l’IA.

 

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La crise économique actuelle pousse les entreprises vers des logiciels et des services basés sur le cloud computing qui sont peu gourmands en ressources, rentables et faciles à déployer. SAP est dans une position unique pour offrir ces solutions.

Le groupe New Ventures and Technologies de l’entreprise, dirigé par Max Wessel, est une unité exploratoire mise en place pour produire rapidement des technologies de pointe, orientées vers l’avenir. En plus de diriger le groupe, M. Wessel est directeur de l’innovation pour SAP et directeur général de SAP Bay Area. Wessel nous parle ici de son approche pour encourager l’innovation.

Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

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Fostering Innovation in the Intelligent Enterprise

Q : Qu’est-ce que l’innovation chez SAP ?

R : L’innovation est un grand mot, et nous en faisons beaucoup chez SAP. C’est dans chaque changement progressif que nous apportons à un produit, dans chaque itération de notre modèle commercial et de notre approche pour engager les clients. Et nous devrions être fiers de tout cela. Lorsque les clients nous demandent ce qu’ils pensent de l’innovation, c’est souvent à propos de l’adoption de technologies et de modèles commerciaux véritablement nouveaux. Ces dernières années, SAP a fait de grands progrès en ciblant les changeurs de jeu en plus de notre activité principale. Par exemple, l’équipe Voice AI de Newport Beach utilise le traitement du langage naturel pour analyser les données du centre d’appel SAP Concur afin de déterminer l’efficacité d’un engagement. Au lieu de passer des centaines d’heures à vérifier manuellement les journaux d’appels, l’intelligence artificielle (IA) prend le relais. C’est un excellent exemple de l’utilisation d’une nouvelle technologie pour résoudre un problème ancien. Comment SAP crée-t-il de l’innovation organique ?

Dans toute l’entreprise, nous introduisons de nouvelles fonctionnalités, de nouveaux produits et de nouveaux services sur ce qui semble être une base quotidienne. Cette innovation nous a permis de nous implanter solidement dans l’environnement de nos clients. Cependant, pour assurer une croissance transformatrice, nous avons également besoin d’une grande vision. Nous devons nous projeter dans dix ans, identifier les grands problèmes qui méritent d’être résolus, puis les attaquer de manière à apporter de la valeur à nos clients.

Parallèlement à cette vision, SAP doit donner à ses innovateurs les moyens d’explorer de nouvelles technologies, de travailler avec les clients sur des preuves de concept (POC) et de partager de grandes idées avec des collègues du monde entier. C’est cet échange qui nous permet d’identifier ensemble les grandes idées. L’année dernière, plus de 20 000 employés se sont engagés dans notre programme d’intrapreneurs, et lors de notre réunion de lancement du développement en janvier, nous avons officiellement lancé l’outil SAP Technology Radar, une plateforme centrale et interne d’échange de connaissances sur les nouvelles technologies. Nous voulons que chaque employé contribue au processus de développement de SAP. Et notre équipe New Ventures and Technologies soutient cette conversation.

Quelles sont les grandes tendances que vous observez ?

Il existe encore un énorme potentiel pour l’apprentissage machine au sein de l’entreprise. C’est pourquoi nous continuons à pousser les capacités d’IA dans la reconnaissance vocale et à étudier la génération de données synthétiques et les nouvelles méthodes de cryptage. Nous pensons qu’elles joueront un rôle dans l’introduction de capacités d’IA avancées dans l’entreprise.

Mais ce n’est pas seulement une question de technologies. Il s’agit aussi de simplifier le déploiement et la personnalisation des logiciels grâce à des logiciels « sans code » et à l’automatisation des processus d’entreprise. Ces progrès permettront à presque tout le monde de créer une application commerciale, sans avoir besoin d’être ingénieur.

La dernière tendance est l’application de nouveaux modèles commerciaux pour fournir des logiciels de manière fondamentalement différente. Par exemple, nous sommes désormais en mesure de mettre en relation des petites et moyennes entreprises (PME) avec des partenaires de prêt dans Ariba Network, en utilisant leurs factures comme point de référence pour le crédit. Cela nous a permis d’ouvrir le crédit à des entreprises qui en ont désespérément besoin pendant la crise économique actuelle, sans frais pour les entreprises ou pour nos clients SAP Ariba – tout cela parce que nous avons expérimenté ce nouveau modèle commercial au cours des deux dernières années.

Comment trouvez-vous ces points forts dans le portefeuille de SAP ?

SAP brille lorsque nous comprenons le problème du client, que nous avons une expertise approfondie du domaine dans un secteur d’activité donné et que nous infusons de nouvelles technologies pour résoudre le problème. Le produit de prêt aux PME que je viens de mentionner, Apparent Financing by SAP, est venu de l’équipe d’Ariba Network sur la base de conversations qu’ils ont eues avec leurs clients. Ils avaient une compréhension approfondie du problème du client, mais ils avaient besoin d’un partenaire technologique et l’ont trouvé dans notre organisation.

Une partie de notre rôle consiste à entamer une conversation avec l’ensemble de SAP sur l’avenir. Chaque année, nous menons diverses campagnes d’innovation chez SAP. Grâce à ces efforts, une grande partie des projets que nous lançons viennent directement des experts de notre entreprise. J’encourage mon équipe à adopter l’esprit d’un débutant en prenant du recul pour écouter toutes les idées des experts en produits et comprendre où se trouvent les nouvelles opportunités.

Comment éviter la cannibalisation de nos solutions classiques ?

Je préfère que nous cannibalisions nos solutions classiques plutôt que de laisser un concurrent le faire. C’est là que nous devons faire preuve de créativité et de conviction. Si nous sommes convaincus que le monde changera dans 10 ans, nous devrions alors nous engager dans une cannibalisation des flux existants. Le passage au « cloud » au cours de la dernière décennie est une chose dont SAP devrait être immensément fier. Mais le nuage est plus qu’un nouveau mécanisme de livraison, et il nous a obligé à réorganiser beaucoup de nos produits. Et nous l’avons fait avec audace, convaincus que le nuage serait le mécanisme de diffusion préféré de nombre de nos clients dans de nombreuses situations.

Comment pouvons-nous inciter nos employés à être plus innovants ?

Je m’oppose à la prémisse selon laquelle les employés ne sont pas assez innovants. Je reçois de nos collègues plus d’idées plus créatives et une compréhension plus approfondie d’un problème de l’industrie que vous ne pouvez l’imaginer. Au lieu d’inciter les gens à être plus innovants, nous devons les responsabiliser. L’une des initiatives dont je suis le plus fier chez SAP est notre programme d’intrapreneuriat. Lorsque j’ai repris l’organisation, moins de 3 000 personnes participaient chaque année à notre groupe d’exploration et d’accélération. Nous en avons maintenant plus de 20 000, et l’objectif cette année est d’en engager 25 000.

La raison pour laquelle nous menons le programme intrapreneuriat n’est pas que nous pensons qu’il va générer de meilleures idées – les idées sont déjà là. Il s’agit de donner aux gens un moyen de développer ces idées, de les tester et de les commercialiser. Et plus nous en ferons pour faciliter l’innovation, plus il sera facile pour les gens d’innover.

Que devons-nous faire pour permettre un meilleur rendement de l’innovation ?

Je pense que nous avons besoin de trois ingrédients : un capital patient, une structure créative et un mandat exécutif. S’attaquer aux grands problèmes prend du temps, et c’est pourquoi nous devons planifier en termes d’horizons temporels de dix ans. Nous devons mettre en place de petites équipes pour résoudre les problèmes que seul SAP peut résoudre et leur donner la patience et la structure qui leur permettent d’apporter de la valeur au marché. Si elles s’attaquent à des problèmes suffisamment importants, si on leur donne ce mandat, si on leur permet d’emprunter une voie non linéaire, elles feront des choses étonnantes.

En tant que directeur général de SAP Bay Area, quels avantages y a-t-il à faire partie des 20 sites mondiaux qui composent le réseau de laboratoires SAP ?

Au début de la pandémie COVID-19, nous avons pu joindre tous les directeurs de laboratoires par téléphone pour comprendre les meilleures pratiques réglementaires et les communications numériques dans différents environnements culturels. C’est un parfait exemple de la façon dont nous pouvons exploiter le meilleur d’une force de développement mondiale pour favoriser l’amélioration. Mais nous combinons également des idées et des forces lorsqu’il s’agit d’activer la base d’employés pour stimuler l’innovation, de créer des hackathons, de donner aux employés les moyens de trouver de nouvelles idées commerciales ou d’étendre notre portée dans l’écosystème afin d’identifier des partenaires locaux qui peuvent mettre nos produits et services sur le marché.

Quelle est votre recette personnelle pour pérenniser SAP ?

Tout ce que nous faisons du point de vue de l’innovation doit viser à rendre les logiciels d’entreprise plus personnels, plus flexibles et plus ouverts. Il est plus facile que jamais de connecter les systèmes entre eux, ce qui signifie que plus vos systèmes et votre écosystème sont ouverts, plus vous pouvez proposer une grande variété d’innovations. SAP compte 100 000 employés, mais 7,5 milliards de personnes sur la planète sont motivées pour nous aider à améliorer le fonctionnement du monde. Nous serions négligents si nous ne nous ouvrions pas aux idées extérieures sur la manière de faire évoluer les logiciels d’entreprise.

 

 

Publié initialement en anglais sur news.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

L’initiative « Evolution Partnership » vise à fournir de nouvelles solutions sectorielles intelligentes offrant des processus de bout en bout qui aident les entreprises à accélérer la modernisation des systèmes et des flux de travail.

ARMONK, N.Y., et WALLDORF — IBM (NYSE : IBM) et SAP SE (NYSE : SAP) annoncent la prochaine évolution de leur partenariat, avec des projets visant à développer plusieurs nouvelles offres créées pour permettre aux entreprises de piloter leur activité par les données et leur offrir un parcours plus prédictible.

Plus de 400 entreprises ont modernisé leurs systèmes et leurs processus d’entreprise grâce au partenariat de transformation digitale d’IBM et de SAP. Alors que la pandémie de COVID-19 continue d’avoir des répercussions importantes sur de nombreux secteurs à travers le monde, les organisations s’aperçoivent qu’elles ont besoin de l’agilité nécessaire pour s’adapter de manière fluide à l’évolution des conditions de marché et à la demande des clients.

« L’avenir à court et à long terme des organisations est défini par leur capacité à répondre de manière proactive aux conditions de marché actuelles, difficiles et sans précédent », a déclaré Adaire Fox-Martin, membre du Conseil d’administration de SAP SE. « Les entreprises acquièrent un avantage concurrentiel en débloquant les données en amont et en aval de leur chaîne de valeur, ce qui leur permet de découvrir de nouvelles opportunités de revenus et de créer des expériences exceptionnelles pour leurs clients et leurs collaborateurs, tout en raccourcissant les délais pour créer de la valeur. Le partenariat de SAP avec IBM réunit la puissance d’applications intelligentes et l’expertise technologique pour permettre aux entreprises de créer de la valeur plus rapidement et d’injecter les transformations nécessaires au soutien de leur activité aujourd’hui et demain. Ce partenariat sera utile à nos clients sur le marché et au niveau de leur bilan. »

La prochaine évolution du partenariat entre IBM et SAP vise à créer de la valeur plus rapidement via la transformation des entreprises, à accélérer l’innovation sectorielle grâce à des offres de données à valeur ajoutée spécifiques à chaque secteur, à dynamiser l’expérience client et collaborateur et à leur offrir une flexibilité et un choix ultimes pour exécuter leurs charges de travail dans des environnements de cloud hybride.

« Pour être compétitives dans un monde bouleversé en profondeur et en évolution rapide, les entreprises doivent être capables de remodeler leur organisation pour créer des processus métiers efficaces et automatisés, en appliquant des technologies avancées pour transformer les processus statiques et cloisonnés en flux de travail agiles et intelligents », a déclaré Mark Foster, senior vice president d’IBM Services. « Les nouvelles solutions dévoilées aujourd’hui marquent une nouvelle étape dans le partenariat entre IBM et SAP qui dure depuis 48 ans tandis que nous aidons nos clients à accélérer leur parcours pour devenir des entreprises cognitives. Notre collaboration avec SAP est conçue pour aider nos clients à accélérer la prise de décisions et à créer des expériences plus significatives pour leurs clients et leurs collaborateurs. »

Cette nouvelle collaboration entre IBM et SAP fournira des solutions conçues pour débloquer une nouvelle valeur pour les clients :

Réinventer les flux de travail avec des processus de bout en bout sectoriels intelligents

Annoncé la semaine dernière, l’Industry Cloud de SAP propose des solutions verticales innovantes pour favoriser une transformation rentable et une croissance durable. Pour répondre à la demande du marché en matière d’innovation sectorielle, IBM et SAP ont commencé à définir et à fournir conjointement des solutions basées sur le cloud avec des flux de travail sectoriels intelligents de bout en bout pour permettre aux clients de prendre des décisions commerciales basées sur les données. La première offre portera sur les processus métiers LTO (Lead-To-Order) et Plan-To-Manufacture pour le secteur des machines et composants industriels, afin d’aider les fabricants industriels à réinventer les processus de flux de travail afin d’accroître la productivité et la satisfaction des clients. IBM et SAP ont fait équipe avec les principales entreprises du secteur des machines et composants industriels pour concevoir et développer les capacités futures. En tant que partenaire de développement du service SAP Model Company, IBM travaille également avec SAP au développement d’un service SAP Model Company for Telecommunications qui aidera les fournisseurs de télécommunications à transformer leurs processus de contact avec la clientèle et de back-office, ainsi qu’à optimiser au maximum le rendement de leurs investissements dans la 5G.

Flexibilité grâce aux solutions de cloud hybride

Selon une enquête récente de l’ASUG (Americas’ SAP Users’ Group), une majorité des personnes interrogées ont déclaré qu’elles utilisent ou prévoient d’utiliser SAP S/4HANA dans un modèle de cloud hybride. Les entreprises continuent à faire évoluer rapidement leurs modèles économiques et à reconfigurer leurs processus afin de mieux accompagner leurs clients et répondre aux nouvelles demandes du marché. Beaucoup se tournent vers une stratégie de cloud hybride pour une approche « Intelligent Enterprise ». Afin de donner aux clients la flexibilité nécessaire pour exécuter les charges de travail dans l’environnement cloud le plus optimal, IBM, Red Hat et SAP collaboreront pour apporter les services gérés de SAP sur site en validant les déploiements privés de SAP Cloud Platform et les services de support connexes sur Red Hat OpenShift. Cette solution, actuellement proposée à certains clients pionniers, devrait permettre aux clients de créer des extensions side-by-side avec la sécurité souhaitée, une exigence essentielle pour les clients des secteurs réglementés.

Réimaginer les expériences des clients et des collaborateurs

Avec Internet, les smartphones et les réseaux sociaux, il n’a jamais été aussi facile pour les clients et les collaborateurs de partager leurs observations sur la qualité de leurs expériences avec les entreprises, les produits, les responsables ou les services partagés. L’étude Global C-Suite d’IBM a révélé que 82 % des chefs d’entreprise croient fermement que les données contribuent à créer un avantage stratégique, en consolidant la confiance des clients et en augmentant les profits. Pour aider les entreprises à accroître la valeur à partir des données, IBM et SAP prévoient de fournir des technologies et des services en s’appuyant sur le portefeuille de SAP Customer Experience et les solutions de gestion de l’expérience de SAP (Qualtrics) pour permettre aux clients de fournir une expérience omnicanal de nouvelle génération et de mesurer et améliorer l’efficacité des expériences des parties prenantes. Cette collaboration est conçue pour contribuer à la fidélisation des clients, à l’engagement des clients et des collaborateurs et à la qualité des marques et des produits dans de nombreux secteurs. IBM prévoit d’intégrer l’utilisation des solutions de gestion de l’expérience de SAP dans la réalisation des projets, dans le cadre de la gestion du changement organisationnel d’IBM, afin d’offrir aux clients une expérience de projet différenciée et optimisée.

Automatisation des processus pour accélérer la transformation

IBM et SAP travaillent ensemble à la mise en place de l’IBM Accelerated Move Center, une usine de migration de nouvelle génération conçue pour automatiser et accélérer encore plus la démarche « Intelligent Enterprise » et donner aux clients plus de prévisibilité sur leur transition vers SAP S/4HANA. Cette nouvelle offre sera une approche d’intégration toute prête qui utilise des modèles sectoriels de base préconfigurés et exploite des outils d’automatisation et de configuration créés en collaboration avec IBM Research.

Ces nouvelles offres seront basées sur l’Intelligent Suite de SAP et les solutions Industry Cloud de SAP. Elles permettront aux clients de bénéficier des technologies de SAP et d’IBM telles que l’IA, l’apprentissage automatique, l’automatisation et l’analytique. Ces offres s’appuieront sur la nouvelle plateforme d’évolution d’IBM, qui offre une vue unique sur les solutions IBM et une préconfiguration de ses Industry Impact Solutions, et qui interagit avec la plateforme technologique d’entreprise de SAP. Celai permet aux entreprises de créer des aperçus avancés, d’intégrer des capacités et de créer, étendre et améliorer les applications SAP. Cette combinaison vise à aider les clients à bénéficier plus efficacement de « l’intelligent Suite » de SAP, à migrer vers le cloud, à transformer les données en valeur commerciale et à utiliser les technologies émergentes pour soutenir les flux de travail intelligents.

Conditions et détails des accords définitifs à finaliser.

À propos de IBM

Pour plus d’informations sur IBM Services, rendez-vous sur https://www.ibm.com/services.
Pour plus d’informations sur les services SAP d’IBM, rendez-vous sur https://www.ibm.com/services/sap.

Les déclarations concernant l’orientation et les intentions futures d’IBM peuvent être modifiées ou retirées sans préavis, et ne représentent que des buts et des objectifs.

À propos de SAP

SAP est le leader du marché des applications d’entreprise : 77% des transactions financières mondiales passent par un système SAP. L’entreprise accompagne les organisations de toute taille et de tout secteur à mieux opérer. Nos technologies de machine learning, d’Internet des objets (IoT), d’analytique avancée et de gestion de l’expérience aident nos clients à transformer leur activité en « entreprise intelligente ». SAP dote les professionnels d’une vision approfondie sur leur activité et favorise la collaboration pour garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Pour les entreprises, nous simplifions la technologie afin qu’elles puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications de bout en bout et nos services permettent à plus de 440 000 clients d’opérer de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Pour plus d’information, visitez le site www.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Rosny-sous-Bois, ville dynamique de Seine Saint-Denis, anticipe les nombreuses transformations engendrées par le Grand Paris notamment sur son nombre d’habitants. Déjà desservie par le RER E, la commune de 45 000 habitants entrée dans la métropole du Grand Paris en 2016, verra s’ouvrir trois nouvelles stations de la ligne 11 en 2023, et une station de la future ligne 15 en 2025. Ainsi, la mairie anticipe sa croissance démographique pour devenir un ville phare de l’est parisien. Pour anticiper ces changements, le numérique est un atout du futur Rosny-sous-Bois. La ville a donc choisi la solution SAP Conversational AI pour accueillir au mieux ses futurs citoyens.

La mise en place d’un chatbot, première pierre vers une vocalisation des services de la ville

Depuis janvier 2019, un chatbot développé par la solution SAP Conversational AI fait office d’interface privilégiée avec les habitants de Rosny-sous-Bois. L’objectif est d’assurer un premier niveau de service public différenciant par rapport aux villes voisines en proposant un service simple d’utilisation capable de répondre aux questions des citoyens de la commune en 24/7.

« Nous avons choisi la solution SAP car elle était la seule à pouvoir couvrir l’ensemble de nos services. Son caractère langage agnostique nous permet également de prendre le tournant de la vocalisation des services. En effet, Nous souhaitions également pouvoir répondre en plusieurs langues pour répondre à des populations non-francophones et offrir des services publics de qualité pour tous les habitants », explique Menahd Ouchenir, Conseiller Municipal délégué à la ville numérique.

Une solution rapidement adoptée par les habitants de la ville

En l’espace d’un an, le chatbot de SAP est rentré dans le quotidien des habitants de la ville de Rosny-sous-Bois. Ils n’hésitent pas à lui poser des questions impactant leur quotidien : les jours de collecte des poubelles, les transports fonctionnant en période de grève, les services disponibles pendant le confinement ou encore les dates des élections municipales.

« Les habitants de la ville ont rapidement fait du chatbot un outil de leur vie quotidienne : nous comptabilisons maintenant 2 500 utilisateurs uniques par mois, 4,5 messages par utilisateur, un taux de compréhension de 74%, et un taux de précision de 0,878. Pendant la période de confinement, cela nous a permis de maintenir un lien supplémentaire avec les habitants de la ville et de répondre à leurs interrogations. En complément, le chatbot est un atout de communication et pousser les utilisateurs à aller vers les contenus du site. Cela nous permet donc d’aller plus loin dans notre rôle de service public », ajoute Menahd Ouchenir.

Améliorer constamment la solution pour accueillir les futures populations de la façon la plus efficace possible

Avec 300 intentions et 2 700 tournures de questions comprises par le chatbot, la solution proposée par SAP est largement opérationnelle. Toutefois, les équipes communication et événementiel de la mairie analysent constamment les questions posées par les habitants afin d’enregistrer de nouvelles tournures de phrases et de nouveaux sujets pour que l’IA les comprenne de manière optimale par la suite. L’objectif final est maintenant d’arriver à soulager les différents pôles de la mairie en déléguant l’ensemble des questions quotidiennes au chatbot, et ainsi faciliter l’emménagement des nouveaux rosnéens.

L’avantage de cette solution est sa capacité à adresser des périmètres et métiers hétérogènes, et ainsi de répondre à des questions sur un grand nombre de domaines.

« Le résultat de cette intégration à notre site web est très satisfaisant. Nous souhaitons à long terme enrichir notre socle de données technologiques grâce à SAP pour pouvoir nous diriger vers une vocalisation toujours plus sophistiquée », conclue Menahd Ouchenir.

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