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Combler les lacunes en matière de compétences est une responsabilité permanente des ressources humaines. Et à mesure que les conditions sociétales, business et macroéconomiques changent, les RH doivent réimaginer la force de travail de demain. Car le sol se dérobe constamment sous leurs pieds. Aujourd’hui, avec la crise du COVID-19, la vitesse à laquelle les RH doivent déployer les initiatives d’upskilling et de reskilling va en s’accélérant.

Upskilling et reskilling, de quoi parle-t-on ?

  • Définition de l’Upskilling (en français, « perfectionnement professionnel ») : former les salariés dans le but d’améliorer leurs performances dans leurs fonctions actuelles.
  • Définition du Reskilling (en français « requalification ») : former les salariés en vue d’une nouvelle fonction, en particulier lorsque les objectifs de l’entreprise ont changé.

La formation, une priorité renforcée par le contexte COVID-19

Malheureusement, il n’existe aucun plan reproductible pour une formation réussie. Chaque entreprise a des besoins spécifiques qui évoluent avec le temps. Dès mars 2020, les e-commerçants se sont empressés de recruter et de former (upskilling), afin de répondre à la hausse de la demande. Les services publics étaient, quant à eux, déjà engagés dans le reskilling. Avec l’introduction de technologies intelligentes permettant d’automatiser certaines tâches répétitives, ils ont pu donner une responsabilité accrue ou plus stratégique à leurs employés. Mais bien que l’intensité et la nature des efforts de formation aient varié d’un secteur à l’autre, le constat est général : le COVID-19 a forcé la main à toutes les entreprises. Reskilling et upskilling ne sont plus des mots à la mode : les efforts doivent être entrepris, et rapidement.

De nombreuses études montrent que les entreprises mènent une vraie guerre des talents, recrutant agressivement des candidats aux compétences identiques ou similaires. Pour certains postes il pourrait pourtant être plus économique, rapide et efficace de former les collaborateurs. Afin qu’ils puissent occuper des fonctions supérieures ou entièrement nouvelles. Mais il ne s’agit pas de choisir entre recruter et former. Ce qu’il faut, c’est un recrutement efficace associé à une stratégie de formation. Car investir dans les collaborateurs apporte plusieurs avantages : une réduction du turn-over ainsi qu’une amélioration de la productivité et de l’innovation.

HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

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HXM: The Importance of Continuous UpSkilling and Reskilling

Aujourd’hui l’urgence est plus forte que jamais. S’engager dans l’upskilling et le reskilling peut être la clé de la survie à la crise du COVID-19. Aussi bien pour les jeunes entreprises qui doivent réussir rapidement que pour les organisations installées qui recherchent de la stabilité et une croissance à long terme. La difficulté étant que, maintenant et dans un avenir prévisible, les RH devront trouver le juste équilibre entre embauches, formations et licenciements. Et ce à chaque heure de la journée.

Comprendre les besoins organisationnels et être capable d’y répondre rapidement sera la clé, non seulement de la carrière des professionnels RH mais aussi du succès des organisations qui les entourent.

Du télétravail à l’upskilling et reskilling

Arrêtez-vous un instant et pensez à quel point tout a changé en seulement quelques mois. À la fin de l’année 2019, si un DRH était entré dans le bureau du PDG et lui avait recommandé de commencer à planifier un futur avec des salariés majoritairement en télétravail, on l’aurait sans doute sèchement renvoyé à son bureau. Aujourd’hui le télétravail est devenu normal, si ce n’est la norme.

Mais le principal enseignement est que les organisations se sont révélées plus agiles et réactives que prévu. Et si chacun a été capable d’adopter le télétravail tout en restant efficace, pourquoi les entreprises n’arriveraient-elles pas à former les employés à de nouvelles compétences, rapidement, afin d’atteindre les objectifs fluctuants de l’organisation ? L’upskilling et le reskilling dans un environnement de travail à distance est un défi mais également une nécessité. Et gardons aussi à l’esprit que l’apprentissage « sur le tas », par la pratique, fera partie du chemin. En effet, trouver l’équilibre demande aujourd’hui une adaptation continue, voire même à la volée.

Pensez-y de cette manière : il a fallu des décennies avant que les téléphones portables ne puissent être glissés dans nos poches. Puis le smartphone est arrivé. Aujourd’hui, une application ou un jeu mobile peuvent devenir viraux à l’échelle mondiale, en quelques minutes.

La fonction RH connaît la même évolution rapide. Il y a quelques décennies le passage des documents papier aux fichiers informatiques s’opérait lentement. Aujourd’hui les RH ont délégué les tâches répétitives à des intelligences artificielles ou à des portails en ligne et élaborent des stratégies d’e-learning et de modélisation des effectifs. Si leur fonction est d’aligner les objectifs de formation sur les besoins de l’entreprise, alors les RH ont, comme tout le monde, besoin d’upskilling. Une stratégie de formation pertinente et agile, prête à être déployée à tout moment, est la carte que les professionnels RH ont en main avec leur siège à la table des décisions.

L’avenir du travail est là

Pour les RH, le défi n’est pas simplement d’identifier les lacunes en matière de compétences et de décider s’il faut embaucher ou former. Il s’agit de quantifier l’impact, revoir le plan d’action, puis de quantifier encore, etc. Dans un monde où chaque décision repose sur un calcul de ROI, même subjectif, il est essentiel pour les RH de relier les initiatives de formation aux objectifs immédiats et long terme de l’entreprise. Prenons deux exemples :

  • Delaware Consulting (1700 employés), en implémentant des solutions logicielles de formation robustes, a pu réaliser des économies grâce à un suivi plus précis de ses dépenses. Delaware a ainsi réduit de 5 % les coûts liés aux annulations de formations et de 12 % le temps consacré à l’administratif RH.
  • Newcrest Mining, en Australie, a utilisé des solutions logicielles similaires pour économiser 1,6 million de dollars US en frais de formation au cours des six premiers mois et a également dégagé 3,2 millions de dollars d’économies par gains de productivité la première année.

Le défi, cependant, est le temps : quand et comment les employés peuvent-ils être formés ? C’est particulièrement délicat lorsque l’on sait qu’un employé dispose en moyenne de 14 minutes de temps libre par semaine pour se former. Trouver un moyen d’ajouter une formation à la journée de travail est plus compliqué que de décider s’il faut ou non former. De plus, toute initiative d’upskilling ou de reskilling doit plus largement s’inscrire dans une planification stratégique des effectifs.

Cela signifie que certains salariés seront sélectionnés pour développer de nouvelles compétences quand d’autres seront laissés de côté. Les employés sont intelligents et savent ce qui se passe autour d’eux. C’est pourquoi les initiatives de formation doivent être accompagnés d’un plan de communication solide. Afin que les rumeurs, notamment sur les réductions d’effectifs, ne s’ébruitent pas. Toute stratégie de reskilling ou d’upskilling doit également être associée à un plan de communication interne solide. Un domaine où les RH assument une responsabilité croissante. Dans le cadre d’un vaste effort à l’échelle de l’entreprise, il est essentiel de veiller à ce que chacun, qu’il participe ou non à l’effort de requalification, comprenne les objectifs de l’organisation et la manière dont son travail sera affecté.

Les pièges et obstacles de l’upskilling et du reskilling

Il est également important de garder en tête différents scénarios. Comme la possibilité pour les salariés requalifiés d’exporter leurs nouvelles compétences ailleurs, voire chez un concurrent. Le turn-over est toujours une préoccupation, même en temps normal. Mais si l’attrition peut affecter le ROI associé à un effort de reskilling ou d’upskilling, l’alternative consistant à ne pas former, et donc à ne pas répondre à l’évolution du contexte, serait bien pire.

C’est pourquoi il est essentiel de relier directement les efforts de formation aux résultats de l’entreprise. Par exemple : si l’objectif est de stimuler les ventes en formant de nouveaux commerciaux, il faut mesurer la hausse des ventes. Cherchez des partenaires dans l’entreprise qui peuvent s’appuyer sur des outils ou localisez des parties prenantes pour vous aider à mesurer l’impact de votre travail. Les craintes d’attrition ou de perte de temps équivalent, en fin de compte, à une paralysie par l’analyse. S’engager dans le reskilling et l’upskilling est une question de capacité de l’entreprise à faire face à la concurrence. C’est pourquoi les RH ne doivent pas être considérées comme une entité administrative mais comme une entité pouvant s’attaquer de front aux déficiences de l’entreprise.

Être compétitif dans le contexte business moderne exige à la fois de réimaginer la fonction RH et de créer une culture de l’apprentissage. L’un ne va pas sans l’autre. Les efforts de formation exigent également des RH qu’ils aient une stratégie claire sur les personnes qui recevront de nouvelles compétences et sur ce qu’elles sont censées apporter à l’avenir. Enfin, il faut tenir compte de la manière dont la technologie peut évoluer et avoir un impact sur l’efficacité de tout effort de formation. Un système de gestion de la formation (LMS) moderne peut vous aider à atteindre vos objectifs d’upskilling et de reskilling.

Alors que la pandémie de COVID-19 est un facteur de complication, il faut considérer la formation comme un facteur clé de stabilité et de croissance à long terme. Qui aide à pivoter face aux défis. Le COVID-19 a accéléré les tendances déjà en place et a mis en évidence ce que les entreprises savaient déjà : les organisations dont vous entendrez parler comme des « success stories » dans quelques années seront celles qui se seront activement engagées dans l’upskilling et reskilling de leurs salariés en vue des défis à venir. En raison de la pandémie, les entreprises doivent simplement évoluer à un rythme plus rapide. Et pour ce faire, elles doivent, de même que leurs employés, être plus « smart ».

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

Née de la crise sanitaire, la jeune startup Bretonne Aumenu fait confiance à la solution SAP Business One pour se développer rapidement et proposer aux restaurateurs une alternative cloud au traditionnel menu papier. L’objectif : accompagner les restaurateurs pour les aider à respecter et appliquer des conditions sanitaires strictes et sans danger pour leurs clients.

Une solution en kit 100% cloud prête à l’emploi pour le restaurateur

Aumenu fournit un support physique et digital permettant de remplacer les cartes par un menu consultable sur smartphone via la lecture de QR codes pour éviter les risques de contamination. Ces codes sont présents sur des étiquettes autocollantes, adhésives, lavables et résistantes qui sont positionnées sur les tables des restaurants.

Le restaurateur choisit son kit en fonction du nombre d’espaces qu’il souhaite équiper puis active son compte lui donnant accès à sa plate-forme où il peut déposer ses fichiers pdf, word, powerpoint, excel pour mettre en ligne ses menus et accéder aux informations de ses clients. Avec 25% des utilisateurs qui laissent leurs e-mails en scannant le QR code, Aumenu, avec SAP Business One, permet aux restaurateurs d’acquérir et de constituer très rapidement une importante base de données. Cette dernière a un impact immédiat sur le business mais aussi sur la relation client.

Être opérationnelle dès l’ouverture des bars et des restaurants

Avec le plan de déconfinement progressif, la startup Aumenu avait pour enjeu principal d’être opérationnelle très rapidement et de pouvoir livrer partout en France. Elle souhaitait pour cela se munir d’une solution cloud complète qui lui permette de gérer toute son activité : CRM, prise de commande, facturation, production des menus digitaux, livraison etc. La solution devait également être capable de supporter la croissance de la startup, et notamment s’ouvrir à l’international.

Accompagné par W3COM, Aumenu a choisi SAP Business One, une solution cloud complète conçue spécifiquement pour les besoins des TPE/PME. Celle-ci centralise en effet dans un seul système toutes les activités de l’entreprise, leur permettant de gagner du temps et de booster leur croissance. Elle compte de nombreux avantages qui ont su répondre aux attentes de la startup : une personnalisation grâce à des solutions métiers adaptées à l’activité du client, une flexibilité et un accompagnement évolutif pour s’adapter à la croissance de la structure, une très grande simplicité d’utilisation pour une prise en main rapide et un accès à toutes ses informations en temps réel pour une grande réactivité et flexibilité.

SAP Business One pour s’étendre rapidement à l’international

La solution offre déjà plusieurs bénéfices à la startup. L‘évolutivité de la plateforme permet une production et un déploiement des étiquettes partout en France mais aussi dans le monde. Ainsi, Aumenu peut s’internationaliser très rapidement et facilement. Les données sont également collectées d’une façon très structurée et peuvent engendrer des effets de levier importants. Enfin, les services additionnels à valeur ajoutée pourront facilement être complétés à ces données et process existants.

Aujourd’hui, la startup doit s’adapter à la période de déconfinement et proposer aux restaurateurs une solution toujours plus satisfaisante et adéquate à la situation. Le challenge est de généraliser et de normaliser la solution d’Aumenu dans les 16 millions de restaurants à travers le monde.

« SAP Business One est au cœur du service fourni par notre startup. La solution nous a permis de nous développer en seulement 15 jours : un vrai record ! Il était évident qu’un tel projet devait s’appuyer sur un ERP solide, de bonne réputation avec l’agilité de son ouverture vers le web, la technologie HANA et l’accès en Hosted by SAP », explique Caroline Guerizec, cofondatrice de Aumenu.

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Source de l’article sur sap.com

Les personnes handicapées sont confrontées à des défis spécifiques, lors de la saisie de la main-d’œuvre. Selon l’organisation des Nations Unies (ONU), dans les pays en développement, 80 à 90% des personnes en âge de travailler handicapées sont au chômage. Dans les pays industrialisés, le taux de chômage des personnes handicapées est au moins le double de ceux qui n’ont pas de handicap. Dans certains pays, il devrait être aussi élevée que 50 à 70 pour cent.

Cette grande inexploité main-d’œuvre crée des opportunités pour les organisations – l’accès à de nouveaux viviers de talents et d’engager des personnes qui apporte des points de vue de leurs équipes. Comme beaucoup de diversité et d’inclusion des sujets, le vrai changement nécessite délibérée des cotisations à un milieu de travail inclusif de la culture. Accenture a constaté que les sociétés avec des haut de l’insertion des personnes handicapées sont deux fois plus susceptibles d’avoir plus de rendement total des actionnaires par rapport à leurs pairs. En outre, les entreprises qui ont amélioré leur inclusion des personnes handicapées, au fil du temps, sont quatre fois plus susceptibles d’avoir rendement total des actionnaires qui se démarquent de leurs pairs.

Définition d’une Fondation

Soixante-dix pour cent de handicap non visible
Vous pouvez penser que vous n’avez pas quelqu’un dans votre équipe ou dans votre milieu de travail qui a un handicap, mais les chances sont que vous faites. Avec de nombreux handicaps être nonvisible, il est important de ne pas faire de suppositions. Plutôt, de créer un milieu de travail inclusif où chacun peut se connecter et de contribuer.

Apprendre le jargon
Les mots sont importants, et il est important d’avoir une compréhension de base lors de la communication avec ou à propos des personnes handicapées. La plupart des individus préfèrent personne comme première langue, ce qui signifie qu’ils identifient comme une personne et ayant une déficience. Par exemple, au lieu de dire “personne sourde”, vous pouvez dire “quelqu’un avec la perte de l’audition” ou “quelqu’un qui est sourd”. Chacun de nous est différent et a des préférences individuelles, donc si vous n’êtes pas sûr, demandez à la personne.

Rencontrer et de saluer
Au moment de l’introduction de quelqu’un avec un handicap, de leur serrer la main, ou les salue toutefois vous le feriez avec n’importe qui d’autre. Si la personne est aveugle, verbalement identifier vous-même et les autres autour de vous. Si la personne est accompagnée par un interprète ou un fournisseur de soins, de parler directement à la personne handicapée.

Demander d’abord
Vous pouvez voir une occasion d’aider quelqu’un avec un handicap – l’ouverture d’une porte, de guider quelqu’un vers le bas d’un couloir, ou de modification de l’éclairage dans une pièce. Au lieu de supposer que la personne a besoin d’aide, demandez-leur si vous pouvez les aider et d’attendre que l’offre soit acceptée. Ils connaissent leurs capacités meilleurs. Aussi, demandez avant de toucher un appareil ou d’un animal qui peut être utilisé pour de l’aide. Un chien-guide peut être en mode de travail et votre interaction pourrait interférer avec la capacité du chien à guider en toute sécurité de la personne.

Nous sommes tous juste de vivre nos vies
Tout le monde est différent et a sa propre personnalité et de ses besoins. Si vous avez rencontré une personne avec un handicap, c’est exactement ce que vous avez fait, rencontré une personne avec un handicap. Ne présumez pas que la prochaine personne avec un handicap, vous rencontrer a les mêmes préférences. Posez des questions lorsque vous ne connaissez pas et d’apprendre de chaque personne que vous interagissez avec.

Quelqu’un n’est pas d’inspiration parce qu’ils ont un handicap
Une personne est une source d’inspiration si ils ont accompli quelque chose de grand, avec ou sans handicap. Même si votre intention peut être gratuit, appeler quelqu’un “d’inspiration” ne peuvent être prises que de dénigrer. Si personne ne fait l’éloge vous pour voyageurs se rendant à une réunion d’affaires, pourquoi gush plus de cela pour quelqu’un d’autre?

Votre Impact dans la Création d’un milieu de Travail Inclusif de la Culture

Fournir un contenu accessible
Utilisez la fonction de l’accessibilité aux dames de s’assurer que ceux qui sont malvoyants ou aveugles peuvent consommer le contenu. Si vous fournissez des copies papier de documents, assurez-vous d’avoir une version électronique vous permet de le partager. Ajouter le sous-titrage et l’audio-description pour les vidéos.

Réévaluer les événements l’équipe de
Si votre équipe moral événements n’ont pas changé en une décennie, il peut être intéressant de regarder de plus près. Nous avons tous probablement entendu parler des “bro culture” et d’éviter de l’équipe de liaison des événements qui sont centrées autour de l’alcool, mais avez-vous également considéré comme l’accessibilité de vos événements? Par exemple, c’est l’espace physiquement accessibles pour quelqu’un ayant une mobilité réduite? L’activité inclure un environnement avec des lumières et des bruits forts que quelqu’un sur le spectre de l’autisme pourrait être sensible?

Mettre en œuvre inclusive réunion de pratiques
Préréglage de l’ordre du jour et partager des ressources à l’avance. Ceci n’a pas seulement l’efficacité de l’entraînement et de la collaboration, mais elle crée également de l’inclusion. Les individus auront plus de temps pour traiter l’information et d’être prêt à contribuer. Vous pouvez également envisager d’autres moyens pour quelqu’un de s’exprimer verbalement, l’ajout d’un commentaire sur le document, par messagerie instantanée, ou après la réunion en une seule conversation.

Supprimer les obstacles dans le processus d’embauche
Si vous êtes un recruteur ou gestionnaire d’embauche, d’évaluer l’accessibilité de votre processus de demande. Si vous êtes à profit pour interviewer un candidat, examiner les objectifs de vos questions. Qu’essayez-vous évaluer? Est-il une autre manière de poser la même question que peut-être le plus inclusif? Par exemple, une commune de la technique d’entretien est de demander à un candidat pour expliquer un concept particulier de l’enquêteur, comme s’ils étaient un enfant. L’intention est susceptible d’évaluer les connaissances du candidat du concept — peuvent-ils briser le concept en facile-à-comprendre les pièces? Cependant, au lieu de mettre en valeur le candidat de l’expertise sur le sujet, il peut être sans le savoir, dépistage de talent, car il évalue leurs compétences en communication, plutôt que de leur expertise sur le sujet.

Découvrir votre propre risque de biais
Nous avons tous des préjugés, y compris certains que nous ne réalisent même pas que nous avons. En savoir plus sur les biais implicites en prenant de l’université de Harvard Handicap Test d’associations Implicite et le blocage de 15 minutes sur leurs calendriers à réfléchir sur les résultats.

Évaluer votre organisation du handicap de l’équité
Handicap:EN fournit une compression à l’outil d’analyse comparative pour l’insertion des personnes handicapées. En savoir plus ici.


Devan Vaughn est directrice de la Diversité et de l’Inclusion et de la Responsabilité Sociale de l’Entreprise chez SAP, d’Accord.
Cette histoire est initialement paru sur le SAP Accord des salles de rédaction.

Source de l’article sur SAP News Center

Vous pourriez supposer que, lorsqu’il s’agit de faire son choix de garder leurs organisations en cours d’exécution en douceur et sur le budget, les financiers, les décideurs sont de faire ces choix sur la base de données claires et leur confiance dans les données. Comme il s’avère, ce n’est pas toujours exacte hypothèse.

Une récente enquête menée par SAP d’Accord et Kelton Mondiale a montré que 59 pour cent des financiers décideurs de travail dans l’etat, la ville et le gouvernement local et de l’enseignement supérieur croire les outils financiers et les systèmes utilisés dans leurs organisations sont sujettes à l’erreur, et 68% d’avoir à prendre des décisions sans une visibilité complète sur les informations nécessaires. Beaucoup de ces dirigeants admettre que la fraude, le gaspillage et les abus sont les défis à relever leurs organisations face et que leur vulnérabilité à ces types de risques est à la hausse:

  • Les deux tiers des répondants admettent que la fraude, le gaspillage et les abus sont les défis de leur organisation est actuellement confrontée.
  • Plus du quart des répondants déclarent que leur vulnérabilité aux risques de fraude et d’abus augmenté dans la dernière année.
  • Environ un tiers-dire le nombre d’inexactitude des rapports de dépenses et les factures soumises a augmenté au cours de la dernière année.

Inexacte de Prise de Décision Conduit à des Risques

La vérité est, il est arrivé aux meilleurs d’entre nous. Nous pouvons tous susceptibles souviens d’une fois où nous avons pris une décision sans avoir les informations de base nécessaires pour le faire, et que la décision peut ne pas avoir produit le plus de résultats favorables.

Pourquoi? Afin de prendre de bonnes décisions d’affaires et d’éviter de regrettables erreurs, nous avons besoin d’accéder à toutes les informations optimal de sorte que nous n’avons pas à l’aveuglette.

Les dommages à la réputation de mauvais de prise de décision peut être catastrophique pour un secteur public de l’organisation potentiellement conduisant à une diminution du financement et de la confiance.

Une récente étude de l’Association of Certified fraud Examiners (ACFE) a identifié le haut de la fraude dépenses que les entreprises et les organismes gouvernementaux à engager. Elles comprennent:

  • Cinq pour cent d’une organisation typique, les revenus annuels sont perdus à cause de la fraude
  • Quatre-vingt-neuf pour cent des cas de fraude impliquer le détournement de fonds, y compris rembourrage de voyage et des demandes de remboursement de frais
  • Annuel médian de la perte de US$114 000 de détournement de fonds

En dépit de ces menaces, de l’etat, la ville et le gouvernement local et de l’enseignement supérieur les décideurs sont confrontés à ces défis chaque jour. Environ un quart des répondants affirment que leur organisation a involontairement signalé incorrecte des données de budget, en raison d’inexactitudes dans les rapports de dépenses ou des factures. Et, 26% disent que leur organisation involontairement ressources allouées là où il ne devrait pas avoir à cause de l’prévoyant plus de budget qu’il a eu réellement.

Pour l’enseignement supérieur, des organisations, ces types d’erreurs peuvent avoir des effets négatifs directs sur les élèves. L’Université du Texas (UT) à Tyler récemment trouvé ses calculs pour l’ensemble de trajet de quatre ans de recherche. D’autres ont été accordées que ne l’étaient réellement prévu, et l’université a répondu par la révocation entre 50 et 60 ces bourses – longtemps après que les élèves avaient accepté à l’UT Tyler et les autres collèges, les délais ont expiré. De nombreuses admissions dirigeants estiment que ces actions contraires à l’éthique et des étudiants ont pris aux médias sociaux pour partager leurs malheureuses histoires.

Les risques liés à la réputation éprouvée par l’UT Tyler sont juste un exemple de pourquoi la précision, la visibilité et la conformité sont de la plus haute importance pour toute organisation.

La lutte contre la Fraude et l’Atteinte de la Conformité avec l’IA et l’Engagement des Employés

Pour ceux qui travaillent dans le secteur public, en ne respectant pas les règles et règlements gouvernementaux n’est pas une option. La bonne nouvelle est qu’il existe de nombreuses façons dont ces petites organisations peuvent commencer à s’éloigner de cette question – y compris par une meilleure formation des employés, une réglementation plus stricte des processus internes, et une étroite collaboration avec les chefs de l’information. En fait, le gouvernement et l’enseignement supérieur, les organisations mettent en œuvre diverses initiatives pour rester au courant.

Selon les Kelton Mondial de l’enquête, près des deux tiers (69%) ont demandé à leurs employés pour en savoir plus sur cette information ou procéder régulièrement à des vérifications (65 pour cent) pour recueillir le plus actuel de la réglementation de l’information. Plus de la moitié aussi regarder au-delà des murs de leur organisation – en particulier les pairs dans le secteur public – pour trouver les meilleures pratiques pour le respect de la conformité à la réglementation.

Dans le même temps, de mettre les technologies qui permettent simultanément d’automatiser les tâches fastidieuses et sujettes à erreur de processus comme l’audit des charges et de la facture de données, mais l’apprentissage et deviennent de plus en plus efficace au fil du temps — est la plus efficace à long-terme de la stratégie.

J’ai vanté les avantages de l’automatisation avant, mais ceux sur les lignes de front: La majorité (55%) des répondants au sondage qui ont entièrement automatisé, outils pour les notes de frais, factures, ou la gestion des déplacements à différents stades de mise en œuvre affirment que leur organisation est d’une meilleure gestion de la fraude, le gaspillage et les abus au sein de leurs organisations.

Plus loin encore, ceux qui ont complètement automatisé le processus de facturation sont environ deux fois plus susceptibles que ceux qui n’ont pas 39 pour cent contre 21 pour cent — à-dire qu’il y a eu moins d’erreurs dans ces rapports. Pima Community College à Tucson, en Arizona, est un excellent exemple d’un établissement d’enseignement supérieur qui a récolté les avantages de l’automatisation. Son processus de gestion de voyage, les dépenses et les factures utilisé pour être très manuel – avec du papier à base de demandes et remboursements étant la norme. On peut imaginer le potentiel de la marge d’erreur avec cette approche. En introduisant de nouvelles technologies et de l’automatisation de la vérification des règles, Pima pour réduire les erreurs et les violations de conformité, et à son tour augmenté l’adhésion à la politique.

Sur le Kelton Enquête Mondiale

Le Kelton Mondiale étude a recueilli les réponses de 313 financiers décideurs de travail dans l’etat, la ville et le gouvernement local et de l’enseignement supérieur pour en savoir plus sur la façon dont ces organisations sont la réduction des risques, le maintien de la conformité, et d’optimiser l’efficacité de ce qui fonctionne bien, ce que d’autres pourraient apprendre de ce que certaines organisations sont en train de faire, et où l’application de nouveaux systèmes et processus pourrait régler le temps et la précision des questions.


David Ballard est vice-président senior du Secteur Public chez SAP, d’Accord.
Cette histoire est initialement paru sur le SAP Accord des salles de rédaction.

Source de l’article sur SAP News Center