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Paris le 2 mars 2021 – SAP France confirme une nouvelle fois son engagement en faveur de la diversité femmes-hommes dans le secteur des nouvelles technologies en signant la charte « Femmes & IA » du Cercle InterElles. Co-construite avec SAP, celle-ci vise à lutter efficacement contre les risques de biais cognitifs discriminants lors de la conception ou lors de l’utilisation de solutions ou de dispositifs à base d’intelligence artificielle. Cette signature s’inscrit plus largement dans la vision de SAP pour un secteur des nouvelles technologies plus paritaire et non-sexiste.

« L’intelligence artificielle est le miroir de nos représentations sociales et culturelles. C’est un outil puissant d’interprétation du réel avec le risque d’en amplifier les dérives. Fort de la connaissance des biais et opportunités de cette technologie, il s’agit d’ouvrir aujourd’hui une ère nouvelle bénéficiant des apports du numérique de façon responsable. », l’équipe « Femmes & IA » du Cercle InterElles

Cette charte sera présentée le jeudi 4 mars 2021 lors du 20e Colloque du Cercle InterElles, en présence d’Élisabeth Moreno, Ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances.

Investie dans le Cercle InterElles depuis juillet 2019 via son réseau SAP Business Women’s Network, SAP décide ainsi de s’engager davantage sur la question de l’intelligence artificielle en signant la charte « Femmes & IA » pour une intelligence artificielle responsable et non-sexiste. Celle-ci repose sur sept principes fondamentaux : le comité IA et la gouvernance, la conformité dès la conception, le choix et le traitement des données, la responsabilité et l’éthique algorithmique, l’évaluation et les points de contrôle, la diversité des équipes IA, la sensibilisation et la responsabilisation.

Prenant ce sujet très au sérieux, c’est au plus haut niveau que SAP s’engage, avec l’appui de de son comité exécutif. Premier signataire de la charte, SAP est rejoint par d’autres entreprises qui seront dévoilées le 4 mars 2021 lors 20eColloque du Cercle InterElles.

« SAP est un acteur clé de l’IA dans le monde mais aussi en France. Sur notre R&D de 1200 personnes dans l’hexagone 150 ingénieurs sont dédiés à cette technologie dans notre centre à Paris. Nos technologies d’IA inclues dans nos solutions RH permettent à nos clients de lutter contre les biais. SAP est également engagé depuis de longues années sur les sujets de la mixité. Nous pilotons ainsi un groupe de travail sur cette thématique à Tech For Good depuis plusieurs années. Il était donc tout naturel d’aller plus loin avec cette charte  », explique Gérald Karsenti, Président de SAP France

« SAP prend ainsi à cœur d’assumer son rôle de leader mondial du logiciel d’entreprise qui lui donne une responsabilité sur des sujets aussi importants que celui-ci : les dernières évolutions de nos logiciels vont vers l’Entreprise Intelligente, ce qui, bien entendu, comprend l’utilisation de l’intelligence artificielle. La problématique la plus importante est la confiance des utilisateurs dans ces technologies avancées, nous travaillons donc par exemple à l’intégration des techniques d’explications dans nos offres analytiques, qui permettent d’expliquer les résultats, y compris donc les biais. De plus nous avons une démarche proactive avec un comité d’éthique IA depuis 3 ans », explique Erik Marcadé, Directeur du SAP Labs Paris.

Distinguée pour la deuxième année consécutive par le Bloomberg Gender-Equality Index, SAP met en place de nombreuses initiatives, telles que les programmes Les Décodeuses et Femmes Entrepreneures, pour promouvoir la parité dans un secteur encore largement dominé par les hommes.

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Source de l’article sur sap.com

SAP France affiche un Index de 76/100 en 2021 au titre de l’année 2020.

Cet Index a été calculé sur la base de 5 indicateurs :

  • Les écarts de rémunération femmes-hommes sur 40 points
  • Les écarts de répartition des augmentations individuelles sur 20 points
  • Les écarts de répartition des promotions sur 15 points
  • Le pourcentage de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité sur 15 points
  • Mixité des dix plus hauts salaires sur 10 points

L’index SAP France publié en 2021 met en lumière une amélioration sur l’aspect écarts de rémunération femmes-hommes et un maintien de la note maximale sur l’aspect promotions avec, cette année, un écart en faveur des femmes. La note maximale est également obtenue sur l’aspect des augmentations salariales pour les femmes au retour de congé maternité.

La répartition des augmentations individuelles ne tient pas compte des collaborateurs ayant bénéficié d’une promotion durant la période de référence qui ne sont pas intégrés dans le calcul de cet indicateur et à ce titre impacte négativement le score de cet indicateur.

La parité et la mixité est une priorité pour SAP France, qui est engagé dans une politique à long terme dans ces domaines. SAP France entend poursuivre ses efforts et ses engagements dans le domaine de l’égalité professionnelle.

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Source de l’article sur sap.com

March is that time of year where the feeling of newness starts, from the first Spring days to fresh design projects. These trends are no exception, with fun new takes on some classic concepts.

Circles are always popular, but the top trend is an animated take on the traditional element; plus, fun pink and purple color palettes and a few faux split screen designs round out trending styles.

Here’s what’s trending in design this month.

Circle Animations

Circles are one of those shapes that never leave the design sphere. They have a lot of classical meaning and are flexible in terms of design options.

Designers are having a lot of fun with this shape right now. From animations to text circles to image frames, they seem to be all over the place.

More recently trending is more circle-shaped animations. This trend maintains a circle’s properties as a unified and harmonious element with movement to create more engagement and make you look at the design just a little bit more.

Each of these examples uses circles in a different but equally interesting – and animated – way.

Universal Favourite uses a circular blob. It’s almost like a giant bubble. It wiggles and flows, and stretches within the space without any help from the user. It has a smoothly quality that makes you want to stare at it. The color here helps, with the circle and background not having an immense amount of contrast. Also, note the cute little circle button in the bottom corner.

Kenta Toshikura put most of the subtle animation for this design inside the circle. With a hover state, the entire circle moves on the screen with a second layer of animation, and the cursor is also a circle that hops around the black background.

Kffein takes a totally different approach with a circle made from the primary test elements. Identifying website information rotates in a circle around another geo shape on the main plane. Not only is there a circular animation, but an almost three-dimensional effect that happens due to the way elements are layered here.

 

 

Pink and Purple Palettes

The prevalent pink and purple color combination isn’t for everyone – although you wouldn’t know it from the number of designs using similar colors.

This bright combination almost screams “spring” and has a lightness to it that almost seems to lift the mood of any project. (Maybe color selection is a reflection of how we all want to feel.)

What’s nice about these colors is that they flow into one another nicely. They can also be expanded to fall into neighboring hues on the color wheel, such as red from pink and blue from purple.

Maybe the most popular use of this color pair is as a gradient. You can find pink to purple everywhere, from background gradients to image overlays to buttons and user interface elements. There’s no lack of use here.

Each of these examples shows opportunities with this color combination.

SMU uses bright pink, blue, and purple to create a giant “road sign” in the design that jumps out from the rest of the project. The sign almost seems out of place and doesn’t fit as part of the normal color palette. This is what draw you right to it.

USA Volleyball uses the popular gradient option and extends the pink to the purple palette to hints of blue and red. What’s great about this design is that it uses a super trend element and color option and makes it work with their current color palette. You can almost imagine the design conversation when someone wanted to use a pink to purple gradient for a brand that features red, white, and blue. The gamble paid off, and it works beautifully without being off-brand.

Blobmixer uses purple, pink, and a few other bright colors – note the animated circles, too – to draw users into the design. The entire project is a fun, customizable experience that you can play with, and the color choices are what make you interested enough to try. This design also offers a great example of tactile animation and elements that feel real even when you interact with them using a mouse on the screen.

 

 

Faux Split Screens

Split-screen designs were a huge trend for about two years. The aesthetic was also functional for content that required a this or that choice on the part of users.

Now, we see the design elements but without the function. (Maybe because it just looks nice and creates a sense of balance without a symmetrical design.)

These projects look like they might offer multiple gateways to content, but there is only one call to action on the dual-screen aside from navigation elements.

What this design option does is help draw the eyes across the screen. One side will immediately appeal to you, and when done well, you’ll feel a subtle push of pull from the color, text, and images to look at the other side as well.

Renaissance TV does it with heavy animation with “dancing dots” from an old TV that doesn’t work. But then you need to look at the green text to understand what is happening.

Yacht uses text weight and space to push the eyes across the screen. Almost everyone will go to the heavier areas first and then gaze across the screen through blocks of space to the final small text on the right side. And it all happens in a fraction of seconds.

Bonjour Paris pairs bold color with black and white images. You may look at either side first, depending on personal preference, but the other half of the screen is necessary for a complete understanding of the website.

 

 

Conclusion

While all of these design trends are evident in new and recent projects, the use of pink and purple color palettes – particularly with a gradient – seems to be everywhere you look. These color choices are popular and come in a lot of forms.

Maybe the most obvious is with brighter pink and purple gradients, but other variations are also trending. It’s definitely one to watch in the longer term.

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Everyday design fans submit incredible industry stories to our sister-site, Webdesigner News. Our colleagues sift through it, selecting the very best stories from the design, UX, tech, and development worlds and posting them live on the site.

The best way to keep up with the most important stories for web professionals is to subscribe to Webdesigner News or check out the site regularly. However, in case you missed a day this week, here’s a handy compilation of the top curated stories from the last seven days. Enjoy!

The Application of Augmented Reality in Web Design

15 Funny Web Design Memes Only Web Designers Will Get

Tauri: Build Desktop Applications with a Web Frontend

20 Best New Websites, February 2021

Spotify is Testing a Redesigned (and Much-Improved) Library UI

Boardly – A Minimalistic Planning Board for Your Projects

A Big List of Must-Bookmark Sites for Digital Designers

10+ HTML CSS Marquee Examples

7 JavaScript ES2020 Features You Should Try

16 Office Pranks For When Life Goes Back To Normal

What Is the Best Ecommerce Platform?

Choosing New Tools and Technology for Your Web Projects

Getting Deep into Shadows

Bablab – Portfolio Websites for Photographers and Artists

7 Essential WordPress Plugins for a New Client’s Website

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Design is on a loop; it goes round and round, repeating the same ideas, and revisiting the same problems. If you want to know what will happen in design tomorrow, take a look at yesterday.

This week’s quiz is a jaunt through the history of design. Do you know which typeface was chosen for the American Declaration of Independence? How about the location of the first design museum? Can you attach the design motto to the designer? Take the quiz and find out…

Memphis Image by Zanone. Nike Image by Regis-Hari Bouchard. London Underground image by Alessio Cesario.

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There are many reasons you might be wanting to improve your design skills this year. Perhaps you have extra time on your hands and want to put it to good use. Or maybe you’re new to web design and finding that there’s a lot you still don’t know how to do. It could also be that you recognize that the web is changing, and your skills could use some refreshing to keep up.

Whatever the reason, there are many ways to level up your web design skills in 2021. Here are 12 ideas to get you started:

Tip 1: Niche Down If You Haven’t Already

Jack-of-all-trades designers might be able to say “yes” to everyone. However, they’re going to be stretched very thin as they attempt to strengthen every skill needed to keep up with demand.

It’s much easier to become a trusted designer and to improve your skills if you have a smaller and more specific skill set to develop.

Just keep in mind that niching down doesn’t necessarily mean focusing on a particular industry. For instance, you might choose to be a UX designer instead of a web designer. Or you might specialize in designing ecommerce websites instead of monetized blogs. Just find something that you’re passionate about and will be good at doing, and zero-in on the skills needed for it.

Tip 2: Play Around in the Sandbox

Local development environments are useful for staging websites, doing redesigns, and testing updates safely away from live sites. But you can also use them for experimenting with new design techniques, trends, templates, plugins, and more.

Local by Flywheel is the one I prefer to use:

Here’s a good exercise to start with:

Take a website you like — something you’ve looked at in awe and couldn’t imagine ever building on your own. Then, put yourself to the test. See if you can recreate it in your sandbox.

Don’t be hard on yourself if you don’t figure it out right away. Consult your resources and give yourself time to make sense of what’s going on and implement it with the available skills and tools.

Tip 3: Redesign One of Your First Projects

There’s always a clear evolution in a designer’s skill set, from the day they begin designing to the present day. And that’s a good thing. If your work doesn’t improve or change with time, then you’re going to have a lot of catching up to do when the stagnation begins to hurt your business.

Want to see how much progress you’ve made so far? Revisit one of your first projects and look at it with fresh eyes. I bet you’ll see a big change in how you design today from how you designed that site then.

Now, ask yourself what you would do differently. And then, go to your sandbox and do the redesign.

Tip 4: Work on a Passion Project

A friend of mine is taking a UX design course and needed some users to run through a prototype he created for the class. He could create anything he wanted, so he designed an app related to his other love: Music.

While he could’ve easily thrown together some carbon copy of Spotify or SoundCloud, he came up with a completely new concept. And it was really impressive, to the point where I urged him to put it into production and see if he could list it in the app stores.

I think it’s when we’re really passionate about something that we’re willing to push past our limits. So, carve out some time to tackle that passion project you’ve been toying around with and see where it takes you.

Tip 5: Share Your Designs on Dribbble and Ask for Feedback

One of the reasons UX designers do user testing is how valuable users’ raw input is. While it would be nice to think that design is a completely subjective matter, that isn’t really the case when usability becomes compromised due to design choices.

Understanding what users like and dislike is an important part of taking your design skills to the next level. And a good way to do that is to share your designs on Dribbble.

Here’s an example of UI8 asking for feedback:

Tip 6: Create a Design Toolbox

I’m a huge fan of automation and shortcuts powering things behind the scenes in business.

After all, one of the reasons you become a web designer is so you can design, right? When you’re bogged down with administrative and logistical tasks, that’s time spent away from doing what you enjoy.

One way in which you can streamline your backend processes is by putting together a design toolbox. Your preferred CMS. Flexible templates or apps you use from project to project. Website testing tools. And so on.

As you do this, it’ll force you to examine how you build websites. Are you really working as efficiently as possible? Are there newer apps or systems that’ll help you design better sites? And as you improve your design toolbox, you’ll improve your design skills.

Tip 7: Subscribe to Your Favorite Blogs

I have a hard time recommending this one, only because I’m reluctant to sign up for yet another newsletter. That said, I do see the value in subscribing to some blog newsletters as I don’t always remember to revisit their websites and check out the latest content.

What I’d suggest you do is pick one or two design blogs that have a good variety of content and publish regularly. And then pick one small business or freelance blog.

WebdesignerDepot, of course, is a good one to start with as it comes at a good frequency, recommends great reads from all around the web, and is fluff-free:

I’d also recommend signing up for one that’s focused on your niche as well as one for business.

As a freelancer, I’d vote for the Freelancers’ Union newsletter. There’s always something timely and useful in there.

Tip 8: Listen to a Podcast

I just adopted a second dog, so I’ve spent a lot more time on walks while house-training her. At first, I was stressed about it because it was time spent away from work. However, I started to fill that time with podcasts and found that it helped me work better for the rest of the day.

One reason is that I’ve been listening to work-related podcasts, which are always chock full of helpful tips. Another reason is that it gives my eyes a rest from looking at the screen so that when I come back 15 or so minutes later, I feel refreshed and ready to go.

Rebekah Carter has a good set of web design podcast recommendations to get you started.

Tip 9: Take a Free Online Design Course

There’s an overabundance of information online. If you want to brush up on CSS, there are hundreds of YouTube courses that cover it. If you want to learn how to use a new WordPress plugin, you’ll find dozens of great tutorials across various online course platforms, YouTube channels, and even people’s blogs.

There’s no need to go back to school to become a better designer. Here are five places where you’re bound to find free courses for web designers.

Tip 10: Read a Book on Design Principles or Theory

It’s easy to lose sight of design principles when your clients are clamoring for a website that will make them a lot of money, get them a lot of readers, and so on. Sure, you can design a UI and UX that works, but do you remember why the design choices you made are effective?

Choose a book — just one to start — that’ll help you reconnect with the roots of good web design. Not only will you get a good refresher on web design principles or design theory, but you might learn something brand new.

Here are some of my favorite books for web designers:

Tip 11: Find Your People

Now more than ever, finding a community of like-minded web designers, developers, or freelancers is important. It’s not just about having a group of people to vent to when clients drive you nuts (though that’s great, too).

It’s about finding a group that brings something new to the table and enriches your understanding of web design and what it means to be a web designer.

If you’re on Facebook or LinkedIn, start there. There are tons of web design and freelance groups that have productive discussions every day. If you prefer to meet up with local designers and developers, check out Meetup.

You may be surprised by how many groups there are and the kinds of meetups they have planned.

Tip 12: Attend a Virtual Conference

Did any of you attend a design conference last year? I did. I virtually attended Adobe MAX — from the comfort of my home, in my pajamas, for three days.

I scheduled my assignments around the sessions I wanted to attend and didn’t have to pick one over the other (i.e., “Do I make money or do I learn something new?”).

Some of the sessions showed us how to do more with Adobe’s tools, while some of them featured design and business leaders who shared personal insights on how to work more effectively. It was a great way to shake up my normal routine and to get a ton of information about the future of web design in a short period of time.

Which of These Tips Will You Use to Improve Your Design Skills?

Like I said before, there’s a lot you can do to improve your design skills. Just be careful not to overdo it.

Pick one or two things on this list to start with. If you have more time in your schedule and you’re excited about what you’ve learned so far, add a couple more.

Just take it slowly. Your brain will only be able to absorb so much at once. Plus, the last thing you want is to burn yourself out on skills training and not have the energy to complete your work.

 

Featured image via Unsplash.

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If you like to build websites with WordPress, then you’re in for a treat.

Now, for the first time, you don’t need to know how to code to use Google’s popular Material Design system on your WordPress website; the web giant has released a WordPress plugin and theme to import its colors, icons, UI elements, and typography straight into your CMS.

Google already provided a set of tools for generating Material Design themes, but until now you needed to know how to copy that code across to your site files. With this latest plugin and theme, all you need to do is click and go.

 

You need to install both the plugin and theme to take advantage of Material Design for WordPress. Using the add-ons, you can tweak your typography via Google Fonts, add-in MD color, and even choose your own icons. If even that’s too much, pick one of the pre-built themes. One of the best features is that the plugin warns you if your customizations break accessibility guidelines, saving you a do-over when you discover it later on.

Google calls it “an experimental plugin and theme,” which means it’s subject to change. And Google has been quick to emphasize that the plugin is very much a work in progress, asking for feedback to help them direct future development efforts.

It’s a really great option for anyone who’s starting on the web, building their first site, or who really wants a nice reliable design system that they can build on in the future.

It’s yet another automation tool that has driven WordPress to the top of the technology pile and made it the CMS of choice for 40% of the web. As tech hots up and AI continues to develop, it’s hard to dismiss the idea that one day soon, our only contribution to websites will be paying the hosting bill!

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Le mois dernier, 162 personnes d’horizons très différents ont embarqué à bord d’un navire pour rejoindre le Sommet contre la pollution plastique des océans (OPLS) dans le gyre de l’Atlantique Nord, un système circulaire de courants océaniques. Ces personnes ont pris part à une expédition de recherche expérimentale pour mieux comprendre l’étendue de la pollution plastique, et pour développer des partenariats et des solutions intersectorielles en vue de relever ce défi mondial au cours de la prochaine décennie.

Organisée par SoulBuffalo, cette expérience immersive a été conçue pour mettre les décideurs en situation, afin qu’ils puissent observer et ressentir par eux-mêmes le côté catastrophique de la pollution plastique. Selon l’Oceanic Society basée en Californie, entre 4 et 12 millions de tonnes métriques de plastique sont déversées chaque année dans l’océan, soit suffisamment pour couvrir tout le littoral de la planète ! Et ces chiffres devraient plus que doubler dans les dix prochaines années.

Cependant, la pollution plastique océanique est un problème que nous pouvons résoudre. Nous savons comment ramasser les ordures et nous savons comment les recycler. Selon Ted Siegler, un économiste spécialisé dans les ressources qui a travaillé pendant 25 ans sur la gestion des ordures dans les pays en développement, l’urgence est de construire les institutions et systèmes nécessaires pour y parvenir avant que l’océan ne se transforme irrémédiablement en une « soupe plastique » dénuée de toute forme de vie.

Pas un poisson en vue

Le groupe OPLS était constitué de producteurs, fabricants, marques, recycleurs et syndicats d’éboueurs. Étaient également au rendez-vous des experts financiers, des scientifiques, des revues comme le National Geographic, des chercheurs, des leaders éclairés et des innovateurs, depuis les cadres d’entreprises telles que Coca-Cola, Nestlé, Procter & Gamble et Dow Chemicals, jusqu’aux ONG telles que Greenpeace, WWF et Ocean Conservancy.

Chaque fois que le navire s’approchait d’algues sargasses, les participants interrompaient leurs réunions pour sauter dans des bateaux pneumatiques munis de leur équipement de plongée.

Ils ne virent aucun poisson de la journée. Et au début, ils ne virent pas beaucoup de plastique non plus. Le plastique est trompeur, car il n’est pas visible à la surface. Dans l’océan, il se décompose en petites particules qui sont capturées par les algues et ingérées par les espèces marines.

« Le vrai problème, c’est ce qui n’est pas visible », déclare Michael Groves, PDG de Topolytics, une entreprise d’analyse de données dédiée à la gestion des déchets, qui participait à l’expédition. Il explique que sur une distance d’un kilomètre, le navire a récupéré 76 débris microplastiques immédiatement sous la surface.

Multipliez ce chiffre par la quantité de microplastique présente dans la colonne d’eau qui descend jusqu’à une profondeur de 2,5 kilomètres et vous comprendrez l’immensité du problème.

Accepter la responsabilité

Comme l’explique Virginie Helias, directrice du développement durable chez Procter & Gamble, « le problème de la pollution plastique dans nos océans relève de la responsabilité de tous aujourd’hui, y compris des entreprises qui produisent et utilisent une grande partie du plastique dans le monde. »

John Hocevar, directeur de la campagne Océans de Greenpeace, le confirme.

« Les personnes présentes sur ce navire représentent des entreprises responsables d’une grande partie de l’empreinte plastique de la planète. Nous avons donc réuni ici les personnes réellement à même de résoudre le problème de la pollution plastique », a-t-il affirmé. « Plusieurs entreprises se concentrent sur des solutions en aval telles que le recyclage et l’éducation des consommateurs, mais ce dont nous avons besoin, c’est d’un plus grand nombre d’individus, d’entreprises et de gouvernements qui assument la responsabilité de la fin de production. »

John Hocevar estime que nous ne pourrons pas venir à bout de la pollution plastique tant que nous continuerons à en tirer parti et déclare que la plupart des entreprises ne sont même pas conscientes de la quantité de plastique qu’elles produisent. Le point de départ pour toute entreprise est d’évaluer son empreinte plastique, puis de se fixer des objectifs pour la réduire.

Mais il y a aussi de bonnes nouvelles. Plusieurs marques durables comme Procter & Gamble intensifient leurs initiatives en matière d’économie circulaire pour réduire, réutiliser et recycler les matières plastiques et autres ressources, et beaucoup d’autres prennent des mesures pour lancer des initiatives similaires.

Adidas, par exemple, fabrique des chaussures à partir du plastique repêché dans les océans. L’on doit cette idée à John Warner, un fondateur de la chimie verte, qui faisait partie de l’expédition.

Dow Chemicals, l’un des sponsors de l’expédition OPLS, a récemment annoncé qu’il participerait à une levée de fonds mondiale d’un milliard de dollars pour venir à bout des déchets plastiques dans l’environnement.

Jim Sullivan, qui pilote l’accélérateur d’innovation de SAP en matière de développement durable à l’échelle mondiale et qui a participé à l’organisation de l’expédition, souligne que pour résoudre une crise mondiale de cette ampleur, nous devons entamer un dialogue ouvert et parfois difficile avec les différentes parties prenantes. Nous devons également adopter une approche multisectorielle qui permette d’identifier les compromis avec d’autres défis mondiaux, tels que le changement climatique, afin d’éviter des conséquences graves. De plus, nous devons utiliser des métriques communes pour donner la priorité aux activités les plus significatives et suivre les progrès réalisés sur la voie des aspirations telles que le « zéro plastique » dans la nature en 2030.

Préserver plutôt que consommer

Il n’existe aucune solution ou entreprise capable de résoudre ce problème à elle seule. Les partenariats et les solutions évolutives tels que le Sommet contre la pollution plastique des océans constituent une pièce centrale du futur que nous devons inventer.

Dans un premier temps, il vaudrait la peine de revenir sur le « conflit d’intérêts initial entre les populations autochtones et les populations à l’ère industrielle, à savoir la gestion de la terre, de l’eau, du feu et de l’air ». Selon Patricia Anne Davis, gardienne de la sagesse navajo, ce conflit d’intérêts est toujours d’actualité.

Les populations autochtones ont protégé ces éléments depuis le début de l’humanité, alors que les populations à l’ère industrielle ont saccagé la planète en seulement un ou deux siècles. Ce conflit n’est plus durable et doit cesser, dans l’intérêt de tous les êtres humains de la planète.

« Nous devons passer de la consommation à la préservation », indique Damien Johnson, qui participait au sommet en tant que représentant du bureau d’innovation SAP en Amérique du Nord. Damien Johnson estime que la solution comporte deux volets : premièrement, stopper l’introduction de nouveaux déchets plastiques et deuxièmement, améliorer les processus de recyclage des déchets existants.

« L’utilisation du plastique a été motivée par l’innovation et le souhait d’améliorer l’expérience client.  Nous devons à présent utiliser la technologie et l’innovation pour maintenir cette expérience, mais supprimer les matières plastiques à usage unique », conclut-il.

Créer de la valeur

L’un des problèmes qui se pose avec les déchets plastiques, c’est qu’ils ne possèdent pas encore de valeur marchande…

Dans de nombreux pays comme le Brésil et l’Inde, les ramasseurs de rue récupèrent du métal, des guenilles et du papier, puis les revendent en vue de leur recyclage. Mais la plupart des matières plastiques n’intéressent personne, car elles ne possèdent aucune valeur marchande.

« Le pire, c’est que les entreprises qui veulent utiliser du plastique recyclé ont du mal à en trouver sur le marché », déclare Padmini Ranganathan, vice-présidente globale Produits et innovation chez SAP.

C’est pour cette raison que Padmini Ranganathan et son équipe sont en train d’intégrer de nouvelles entreprises comme Plastics for Change sur Ariba Network, pour associer l’économie parallèle de ramassage de déchets à des systèmes plus officiels d’offre et de demande de matières secondaires.

« Nous devons intégrer les déchets plastiques dans la chaîne logistique, afin qu’ils ne soient pas récupérés dans le secteur illégal, car les éboueurs travaillent dur pour trier et convertir les déchets en valeur marchande », prévient Padmini Ranganathan.

La solution à long terme passe par un changement de fond, aussi bien dans le système de flux d’articles que dans les systèmes numériques.

« Outre les ERP et les processus de gestion, nous devons exploiter des systèmes numériques agiles et évolutifs au fur et à mesure que la chaîne logistique du plastique se transforme », déclare Padmini Ranganathan.

Technologie et travail d’équipe

Bien que la pollution plastique des océans soit un immense défi, ces experts estiment que si les gouvernements, les ONG, les consommateurs et les entreprises s’associaient, il serait possible de le relever en dix ans. En effet, la plupart des matières plastiques sont rejetées dans l’océan par cinq fleuves en Asie, ce qui signifie qu’une simple réduction de 20 % des matières plastiques déversées dans les cours d’eau au cours des sept prochaines années permettrait de revenir aux niveaux de pollution plastique océanique des années 1990.

La technologie pour y parvenir existe déjà. Les entreprises durables jouent un rôle majeur dans la solution. Elles transforment leurs activités avec des modèles circulaires qui permettent aux consommateurs et aux producteurs de refuser, de réduire, de réutiliser et de recycler. En réunissant les entreprises, les gouvernements, les ONG et les groupes de protection des océans, il est possible de créer une solution globale pour un avenir durable.

Publié initialement en anglais sur Forbes dans la catégorie Brandvoice

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Source de l’article sur sap.com

De nombreuses études (1) estiment que les organisations financières dédient plus de 50% de leur charge de travail à la collecte et l’analyse de données. C’est pourquoi l’automatisation est un outil à fort potentiel.

Avec la plateforme SAP S/4HANA, l’ERP nouvelle génération, SAP introduit un ensemble de techniques  permettant à la machine d’imiter une forme d’intelligence réelle, l’Intelligence Artificielle.

Les domaines d’application sont nombreux et peuvent être mis au service de la transformation de la fonction finance.

Le Machine Learning  pour optimiser la réconciliation bancaire

La réconciliation bancaire est un exemple de processus qui implique de nombreuses actions manuelles, notamment pour les flux d’encaissements :

  • des volumes importants de paiements à réconcilier manuellement malgré des règles prédéfinis,
  • des paiements sans références factures, des données de base incomplètes, des paiements avec écarts qui complexifient les actions de réconciliation,
  • des règles spécifiques à mettre en place en fonction des pays, des formats, des modes de paiements.

SAP introduit dans la suite SAP S/4HANA, une solution innovante basée sur du Machine Learning et permettant d’atteindre des taux d’automatisation proche de 97%.

La solution apprend des données et actions historiques, c’est-à-dire des répétitions (patterns) dans un ou plusieurs flux de données (extraits de comptes électroniques, avis de paiements, banques partenaires/sociétés,…) et en tire des prédictions de réconciliation en se basant sur des statistiques.

Les critères de réconciliation sont ainsi continuellement affinés et  les nouveaux cas, les exceptions, traités en autonomie. Les taux d’automatisation considérablement améliorés contribuent à réduire les coûts de déploiements et coûts opérationnels.

L’analyse prédictive pour améliorer la prise de décision

L’évolution constante des modèles économiques  impose aux directions financières de gagner en efficacité et en agilité. Elles doivent anticiper les impacts sur les revenus, la profitabilité, l’affectation des ressources afin d’orienter la stratégie de l’entreprise.

La plateforme SAP S/4HANA embarque des scénarios d’analyses prédictives permettant d’établir des prévisions de chiffre d’affaires très fiables via des algorithmes se basant sur des données actuelles et historiques, internes et externes à l’organisation tel que le pipeline des ventes, les tendances du marché, l’évolution du PIB d’un pays, etc.

Ces prédictions effectuées en temps réel alimentent le processus de planification budgétaire et sont déclinées à tous les niveaux de l’organisation où des ajustements peuvent être effectués.

A cela s’ajoutent des outils de simulation permettant de visualiser l’impact des choix stratégiques tel que les changements d’organisation, le développement de nouveaux produits, etc.

Lutter contre la fraude et la cybercriminalité

La crise sanitaire et économique inédite que nous vivons ouvre aux fraudeurs de nouvelles failles pour parvenir à leurs fins. De nombreuses attaques n’étant jamais identifiées, il est impossible de déterminer avec précision les pertes pour les entreprises. En 2020, d’après l’ACFE Report to the Nations (2), la fraude et la cybercriminalité ont causées des pertes estimées à plus de 3 Milliards € dans 125 pays  (~5% du chiffre d’affaires des entreprises concernées, avec une moyenne de 415 K€ par attaque en Europe).

Avec SAP S/4HANA, SAP propose des solutions pour contrôler des volumes importants de transactions, identifier en temps réel les menaces et transactions frauduleuses et ainsi limiter les risques de pertes financières.

L’Intelligence Artificielle émet des recommandations permettant d’affiner continuellement les règles de contrôle et l’identification de nouveaux schémas de fraude sur la base de données historiques internes comme externes. Les taux d’efficacité dans la détection des anomalies et des fraudes se trouvent considérablement améliorés.

Au-delà des multiples scénarios disponibles en standard, SAP complète son offre SAP S/4HANA par une plateforme d’innovations dans le cloud (Business Technology Platform) qui permet de développer des applications et extensions autour du cœur SAP S/4HANA.

À travers la Business Technology Platform, les départements financiers ont accès aux technologies innovantes tel que le Machine Learning, l’analyse prédictive, les chatbots ou encore la Blockchain, à partir desquelles ils peuvent imaginer de nouveaux cas d’usages.


(1) A future that works: Automation, employment and productivity, Mckinsey&Company

(2) Report to the Nations, ACFE

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Source de l’article sur sap.com

La Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels (DNCCGCP) de la Ligue Nationale de Basket (LNB) s’appuie avec succès sur la solution SAP Analytics Cloud pour répondre à 4 grands principes : assurer la pérennité des clubs, favoriser le respect de l’équité sportive, contribuer à la régulation économique des comptes et évaluer la santé financière des clubs. Le besoin initial : mettre en place un outil fiable et performant pour consolider les données financières et analyser ces dernières facilement. Cette collaboration s’inscrit dans la continuité de la stratégie de digitalisation de la LNB.

La Ligue Nationale de Basketball organise et gère les championnats professionnels masculins par délégation de la Fédération Française de Basketball.

Centraliser sur le cloud les données financières des 18 clubs français

Les données financières de chaque club sont réparties sur des postes produits et des postes charges. Les postes produits, principales sources de recettes, sont liés aux matchs (billetterie, buvette et merchandising), aux subventions des collectivités territoriales, au sponsoring privé et aux droits TV. Les postes charges sont quant à eux liés aux salaires des joueurs et des entraîneurs. Pour créer un socle commun et centraliser toutes ces données, la LNB a fait le choix de SAP Analytics Cloud pour ses capacités de stockage et de transmission des données, son aspect collaboratif mais aussi pour ses états de restitution simplifiés. Toutes les données sont désormais stockées sur le cloud SAP pour plus de simplicité, d’accessibilité et de gain financier.

« La Ligue Nationale de Basket a engagé une stratégie tournée vers le numérique il y a plusieurs années. Elle a même créé cette année sa propre chaine OTT. En choisissant SAP Analytics Cloud, nous avons fait le choix d’avoir un socle commun qui permet de veiller à la santé financière des clubs, d’évaluer les zones de risques et d’identifier les irrégularités. Le Cloud était important car n’engendrait pas de coût pour les clubs et apportait beaucoup de simplicité d’usage », explique Paul Lafont, Référent de la Commission de Contrôle de Gestion et du Conseil Supérieur de Gestion Contrôleur de Gestion.

Réduire les temps de traitement et accélérer la prise de décision

En 2017, la LNB et SAP créent une architecture commune visant à imposer un plan comptable à tous les clubs pour faciliter le contrôle de leurs données, comparer leurs santés financières et mieux évaluer les zones de risques. Etendue ensuite aux clubs en septembre 2018, la solution SAP apporte de nombreux bénéfices métiers aux clubs et à la LNB comme :

  • Un stockage de données et la création d’un historique instantané et accessible à tous.
  • L’importation directe des balances comptables dans l’outil : gain de temps, limite du risque d’erreur, pas de ressaisie des données de l’échéance précédente…
  • Le développement de la capacité d’analyses des clubs à travers des états de restitution.
  • L’optimisation des flux liés à la collecte instantanée des infos financières.

Désormais, la LNB possède une vue instantanée des comptes des clubs. Les gains de temps sont également très importants. Pour les clubs, la soumission des données financières est désormais 8 fois plus rapide, passant de deux jours ouvrables à deux heures chaque cycle budgétaire. La LNB a également gagné 1,5 jours de saisie manuelle des données pour chaque cycle budgétaire grâce à l’importation automatisée des données.

«Les capacités de planification de SAP Analytics Cloud nous permettent de collecter, stocker et analyser plus efficacement les informations financières de toutes nos équipes. Cela nous fournit des informations financières fiables et approfondies qui nous aident à remplir notre mission et contribuent à assurer la viabilité économique des clubs. La solution nous a permis de prendre des décisions rapides pendant la pandémie COVID-19, avec des simulations montrant les impacts financiers de l’interruption de la saison », conclut Paul Lafont.

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