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Trois étapes du processus de développement de produit

Le développement d’un produit peut être divisé en trois étapes principales : conception, production et commercialisation. Découvrez comment chaque étape contribue à la réussite du produit !

Rôle du gestionnaire de produit

Product Development Process

The product development process is a continuous cycle of research, design, development, testing, and launch. The product manager is responsible for ensuring that the product is built according to the product vision and that it meets the needs of the customer. The product manager will also need to ensure that the product is tested thoroughly before launch.

Frameworks

Frameworks are useful for product managers to remember the overall product development process. Some popular frameworks include Lean, Agile, and Scrum. Each of these frameworks has its own set of principles and practices that can be used to guide the product development process. The product manager should be familiar with the different frameworks and be able to apply them to their product development process.

Le rôle du Product Manager

Les Product Managers ne sont pas des managers de quiconque, à l’exception des stagiaires qui aspirent à devenir eux-mêmes des Product Managers. Le PM agit comme un noeud central dans le processus de développement du produit et est en fin de compte responsable du succès du produit. Le rôle réunit tous les points de vue et est conçu sans rapports directs afin que l’équipe d’ingénierie/design puisse établir une relation de communication ouverte pour exprimer leurs idées et leurs préoccupations.

Processus de développement du produit

Le processus de développement du produit est un cycle continu de recherche, de conception, de développement, de test et de lancement. Le Product Manager est responsable de s’assurer que le produit est construit conformément à la vision du produit et qu’il répond aux besoins du client. Le Product Manager devra également s’assurer que le produit est bien testé avant son lancement.

Cadres

Les cadres sont utiles pour que les Product Managers se souviennent du processus de développement du produit dans son ensemble. Certains cadres populaires incluent Lean, Agile et Scrum. Chacun de ces cadres a ses propres principes et pratiques qui peuvent être utilisés pour guider le processus de développement du produit. Le Product Manager devrait être familier avec les différents cadres et être en mesure de les appliquer à son processus de développement du produit.

Le test est une étape importante du processus de développement du produit. Il est essentiel que le produit soit testé avant son lancement afin d’identifier et de corriger les bogues et les problèmes techniques avant qu’ils ne deviennent des problèmes pour les clients. Les tests peuvent être effectués manuellement ou automatiquement, en fonction des exigences du produit et des ressources disponibles. Les tests manuels peuvent être effectués par des humains ou par des robots, tandis que les tests automatisés peuvent être effectués à l’aide d’outils logiciels spécialisés. Les tests peuvent également être effectués à l’aide d’outils d’analyse des performances pour vérifier la qualité et la stabilité du produit.

Le rôle du Product Manager est crucial pour le succès d’un produit. Il est responsable de veiller à ce que le produit soit construit selon la vision du produit et réponde aux besoins des clients. Il doit également s’assurer que le produit est bien testé avant son lancement. Les cadres tels que Lean, Agile et Scrum peuvent être utilisés pour guider le processus de développement du produit. Enfin, les tests

Source de l’article sur DZONE

Technologies such as artificial intelligence (AI), machine learning (ML), and natural language processing (NLP) have led the way to software robots that reduce the manual, time-consuming, and repetitive actions performed on digital platforms. The concept of automating tasks on digital platforms is called robotic process automation (RPA). RPA is a software robot that interacts with computer-centric processes and aims to introduce a digital workforce that performs repetitive tasks previously completed by humans. This Refcard introduces RPA technology, how it works, key components, and how to set up your environment.
Source de l’article sur DZONE


Regard croisé : pourquoi SAP S/4HANA est un ERP intelligent ?

Qu’est-ce qu’une Entreprise Intelligente et qu’est-ce qu’un ERP Intelligent ?

Pierre-Édouard Hamon, SOA People, et Christian Charvin, SAP, partagent leur vision de l’évolution du SI des entreprises.

Aujourd’hui, la plupart des entreprises ont à leur disposition un certain volume de données qu’elles n’exploitent pas. Cela représente pourtant une richesse qui permettrait aux organisations de mieux comprendre leur activité et leur marché. Être une Entreprise Intelligente, c’est savoir exploiter ces données afin d’optimiser son organisation, automatiser ses processus et se mettre en ordre de marche afin de relever de nouveaux défis.

Pierre-Édouard Hamon 

 

C’est la raison d’être de l’ERP Intelligent SAP S/4HANA. Cette nouvelle génération d’ERP simplifie l’accès à la donnée et en assure l’exploitation en temps réel. SAP S/4HANA propose des avancées clés pour aider les équipes au quotidien : le reporting opérationnel intégré et la gestion par exceptions permettent aux utilisateurs de se concentrer sur les points nécessitant une attention particulière ; la gestion avancée des workflows, associée à des fonctions collaboratives, fluidifie les échanges entre utilisateurs.

Christian Charvin

 

Une porte ouverte vers les nouvelles technologies

 

Le fait que l’ERP propose des tableaux de bord où l’information utile est directement remontée aux utilisateurs rend l’ERP SAP S/4HANA particulièrement facile à utiliser. Ceci permet de se concentrer sur les tâches les plus urgentes et aide à la prise de décision. Son interface de nouvelle génération est très proche de celles utilisées dans les applications desktops et mobiles du quotidien. Un atout pour accélérer la prise en main de l’ERP.

De nouvelles technologies permettent d’aller encore plus loin. Le RPA permet ainsi d’améliorer l’automatisation des processus, en mettant en place des robots capables de prendre en charge les tâches répétitives, libérant ainsi du temps aux équipes métiers. Le Machine Learning et l’Intelligence Artificielle s’appuient sur l’historique de données de l’entreprise pour prédire son futur. Ces technologies de forecasting automatique sont directement intégrées dans l’ERP.

Lorsque les entreprises vont mettre en œuvre ces technologies intelligentes, elles pourront s’appuyer sur des préconfigurés adaptés à leur secteur d’activité. Cela leur évitera de partir d’une feuille blanche et de se lancer dans l’inconnu. Y compris en cas de déploiement de l’ERP en mode cloud.

Pierre-Édouard Hamon

 

Cap vers le cloud !

 

Le cloud devient le mode de déploiement majoritaire des utilisateurs d’ERP SAP. Depuis le début de l’année 2021, 80% des clients SAP optent pour un déploiement de leur ERP SAP S/4HANA en mode cloud. Le cloud permet d’avoir une meilleure prédictibilité sur les coûts, de déléguer la gestion des infrastructures à des spécialistes et de disposer d’une flexibilité sans égale permettant d’adopter de nouvelles technologies et fonctionnalités au fil des besoins. Sans compter que le cloud est accessible de partout et permet donc une utilisation facilitée de l’ERP sur des sites distants, en mobilité ou en télétravail.

Christian Charvin

 

L’offre RISE with SAP permet de profiter de tous les avantages du cloud sans avoir à gérer la complexité de la relation avec les hyperscalers. Le contrat est directement pris en charge par SAP, qui se charge de garantir la disponibilité, la sécurité et la flexibilité de la solution, avec une prédictibilité totale sur les coûts. RISE with SAP permet de bénéficier de tous les avantages du cloud, avec une mise en œuvre rapide au travers des préconfigurés, et ce sans faire une croix sur les spécifiques. Et des mises à jour régulières de l’ERP donnent accès à de nouvelles fonctionnalités.

La SAP Business Technology Platform permet de déployer le code spécifique, mais aussi d’accéder à des technologies avancées, comme des systèmes de reconnaissance d’images, des outils d’analyse de l’expérience client ou même des agents conversationnels, qui vont à la fois assister les utilisateurs et faciliter la collaboration au sein de l’entreprise. La SAP BTP permet d’ouvrir l’ERP à un nombre illimité de technologies innovantes, proposées par SAP, ses partenaires ou tout autre fournisseur de services.

Pierre-Édouard Hamon

 

L’occasion de se réinventer

 

Ce mouvement massif vers le cloud s’accompagne d’un changement de paradigme chez nombre de nos clients. Ils adoptent une approche Fit to Standard consistant à utiliser un ERP aussi proche que possible de la version originale, afin de faciliter les montées de version. Les spécifiques, auparavant déployés dans le cœur de l’ERP, sont déportés sur la SAP BTP, qui sert également d’interface pour adopter des technologies innovantes : Chatbots, Blockchain, Internet des Objets, etc.

Christian Charvin

 

Pierre-Édouard Hamon  Christian Charvin

 

Pour en savoir plus :

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Source de l’article sur sap.com

This week, in a move like something from a particularly eventful episode of The Office, popular project management app company Basecamp banned political and societal discussion in the company’s internal communications.

In a post that has been revised for “clarification,” the company’s co-founder Jason Fried listed six rules for employees: No societal or political discussions at work; No more ‘paternalistic’ benefits; No more committees; No more lingering on past decisions; No more 360 reviews; No forgetting what we do here.

A follow-up post from Heinemeier Hansson notes that Basecamp will still permit discussion of issues deemed central to its business like anti-trust and privacy; certain civil liberties are to be championed, while others, like racism and climate change, are not.

On the surface, it seems reasonable, Fried and co-founder David Heinemeier Hansson would like you to believe that it is. After all, people are paid to work, not soapbox, right?

So why, if they’re the ones being protected, are Basecamp’s employees angry about the move?

It turns out, multiple sources from inside Basecamp are reporting that the ‘political’ and ‘societal’ issues referred to in Fried’s public memo were, in fact, frank and open conversations about Basecamp itself.

As reported by The Verge, way back in 2009, a list of ‘funny’ customer names began circulating at the company — hardly respectful, potentially racist, and certainly inappropriate. The misalignment between co-founders and staff occurred when staff members attempted to hold discrete conversations about this and numerous other diversity and inclusivity failings at the company. Fried’s move appears to be a direct attempt to halt criticism of the status quo at Basecamp.

Basecamp itself is a highly political organization: The co-founders have written several books advocating certain societal change; they even provided a campaign headquarters and substantial donation for a candidate for Chicago mayor. Both co-founders are highly active on social media, using their business positions to elevate their personal views.

The truth is that the solo entrepreneur is an almost mythical beast. Successful startups require contributions from a range of skills and experience beyond any one individual. Jason Fried may be the frontman, strutting up and down the stage in spandex pants, with David Heinemeier Hansson playing lead guitar with his teeth, but behind them, there’s a drummer keeping time, and behind them all, there’s a crew of roadies without whom none of the equipment will arrive, let alone sound good.

Basecamp’s founders argue that the company has a mission, and that mission is to create apps that streamline the workplace. But how can you develop a product that is inclusive if staff cannot discuss what inclusive means? The answer is, you can’t.

Discussing racial bias in advertising or the impact of company wastage, climate change, or gender pay gaps in HR meetings are all political and societal and lead to a healthier, more united company.

As designers, we often say that you cannot not communicate; every decision is a design decision; there is no such thing as “adesign.” Likewise, choosing to be apolitical is itself a political choice. The only way it is feasible to run a company like this is to treat employees like robots (in the word’s original sense).

If employees feel the need to discuss exclusionary policies in the workplace, do the company founders, who benefit from those policies (or they would not be in place), have a moral or legal right to restrict those discussions?

Although it is the first point in Fried’s list that has drawn most ire, it is the fourth item on the list that is most telling: “No more lingering or dwelling on past decisions.” Like a parent answering, “Because I said so,” Fried’s attitude to his staff is laid bare in one statement.

It turns out two wealthy white men would rather their employees not try to change the world or even their workplace.

When Coinbase announced a similar move last year, it lost 5% of its staff. If Basecamp suffered the same loss, it would amount to three people. Hardly a disaster. The question for the founders — who, judging by the number of follow-ups and clarifications they’ve published, are aware the ice they’re on is perilously thin — is whether this kind of controversy creates irreparable reputational damage.

 

Featured image via Pexels.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

L’éthique est au cœur de la démarche IT de la MAIF. Robotiser les processus, oui, à condition que cela soit bénéfique aux sociétaires, aux collaborateurs, ainsi qu’aux performances et aux engagements sociaux de l’entreprise. À ce jour, une quinzaine de robots ont été déployés avec succès.

La MAIF est un assureur à part. Capitalisant sur ses valeurs mutualistes et sociales, la MAIF est financièrement solide, a décroché 16 fois le Podium de la relation client pour le secteur de l’assurance, tout en restant le seul assureur à faire partie des 50 entreprises les plus admirées des Français (IFOP – JDD – Nov 2019). Un impressionnant palmarès, mais qui ne doit pas faire oublier les questions d’efficacité opérationnelle. Un élément clé de satisfaction des sociétaires.

C’est en 2017 que la MAIF s’est penchée sur les technologies de RPA (Robotic Process Automation). Après une première expérimentation, l’assureur a compris tout l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette technologie. Suite à appel d’offre, la solution de SAP a été choisie et déployée en 2018.

« Nous répondons aux sollicitations des métiers, qui expriment leurs besoins et décrivent une solution d’automatisation. Après étude du projet, le RPA est souvent préconisé pour répondre à ces demandes, car il est souple, facile à mettre en œuvre, avec un budget restreint » explique Jocelyn Paris, Chargé d’étude des systèmes d’information à la MAIF.

Avec le RPA, il n’est pas nécessaire de développer de nouvelles applications dans l’environnement MAIF : le robot va tout simplement reproduire des actions utilisateur. Ce qui est à la fois rapide et peu coûteux. Une quinzaine de robots sont aujourd’hui en production.

Une aide précieuse pour le service contrats

Les assureurs ont une responsabilité d’évaluation du niveau de risque de chaque assuré. Plusieurs fois par an, la MAIF fait ainsi ressortir les situations en alerte. Toutefois, un tiers de ces alertes peuvent être écartées selon des règles spécifiques et sans qu’il soit nécessaire de se mettre en relation avec l’assuré. Ce travail fastidieux peut être confié à un robot, libérant ainsi du temps pour les collaborateurs. Mis en place en un peu plus d’un mois, ce robot est un succès et se charge de sortir les fiches pouvant l’être de façon automatique.

Lors du batch d’avril 2020, les collaborateurs n’ont pas pu avoir un accès direct aux fiches papier. Le robot a donc été modifié pour reporter l’ensemble des fiches au prochain batch de septembre. Les services en charge d’imprimer et de traiter ces fiches ont été soulagés d’une tâche difficile à mettre en œuvre en télétravail. Les processus de RPA ont ainsi montré leur capacité à s’adapter rapidement à une nouvelle situation.

« Nous avons démarré avec un premier robot chargé de faciliter la régularisation des situations comptables de certains de nos assurés. Sur 15.000 cas recensés par an, 8000 à 9000 sont maintenant traités par ce robot, soit 1500 heures gagnées, témoigne Magalie Vincent, Responsable d’équipe au service contrats. Un nouveau robot, déployé en janvier 2020, aide à traiter les fiches d’observation de la sinistralité. Sur 8000 fiches, le robot a pu en écarter 2600. Cela simplifie notre travail en nous soulageant d’une tâche chronophage, qui mobilisait jusqu’à 15 collaborateurs. Nous pouvons ainsi nous pencher sur les cas les plus intéressants et nous recentrer sur notre rôle d’analyse du risque. »

Notez qu’une phase d’ajustement des critères d’action de ce nouveau robot devrait lui permettre de prendre en charge un plus grand nombre de dossiers.

Une accélération des rapprochements bancaires

Il est parfois difficile d’effectuer des rapprochements entre les paiements reçus et les contrats des assurés. Chaque jour, des centaines de règlements ne sont pas rattachés automatiquement au compte d’un sociétaire. La MAIF dispose d’un outil pour faire ressortir les virements non identifiés et d’un autre pour rechercher des coordonnées bancaires dans les bases de la société. L’affectation au bon sociétaire des fonds reçus sans référence reste toutefois un travail fastidieux.

Le rapprochement entre ces différentes bases de données est une tâche qui peut être en grande partie automatisée. Le robot se charge de prendre la référence d’un paiement dans le premier outil et de rechercher à qui il pourrait correspondre dans le second. Le service de la gestion économique dispose ainsi de plus de temps pour se pencher sur des dossiers complexes.

« Le robot nous aide dans ce travail fastidieux, long et très répétitif, confirme Sylvie Carasco, Chargée de gestion comptable, service comptabilité assurance et réassurance. Il est capable de rechercher simultanément dans plusieurs bases de données suivant des critères comme le nom ou l’IBAN, et de trouver un ou plusieurs sociétaires pouvant correspondre. Le travail de recherche est ainsi défriché, ce qui permet d’accélérer la clôture de chaque dossier. Ce robot est d’une aide précieuse, en particulier lors des périodes d’échéances annuelles, où 500 à 600 recherches doivent être effectuées chaque jour, occupant de 7 à 8 personnes à temps plein. »

Là encore, ce robot s’est montré particulièrement utile pendant la crise du Covid-19. Avec un taux de réussite de 80 %, il remplit ses objectifs. L’amélioration continue des critères d’action du robot devrait encore augmenter son efficacité.

Et des dizaines d’autres projets en préparation…

Le service qui gère les conventions automobiles en est déjà à trois robots déployés et un quatrième en cours de développement. Très intéressé par le RPA, le service conventions réfléchit à d’autres processus que cette technologie pourrait contribuer à automatiser.

« C’est un travail que nous avons mené sur plusieurs années, explique Céline Beunet, Responsable du service conventions. Les robots du service convention adressent des tâches précises : prise en charge d’un évènement non déclaré via l’ouverture d’un dossier et l’envoi d’un courrier au sociétaire ; automatisation du changement d’assureur lorsque le recours a été initialement présenté à la mauvaise partie ; suivi du remboursement du forfait, lorsqu’un recours présenté par une compagnie adverse a été contesté et refusé. Dans ce dernier cas de figure, le robot vérifie dans les échanges informatisés que nous avons bien été remboursés, puis classe le dossier. Ce que j’aime, c’est la possibilité de fixer les conditions d’action du robot et non de lui confier 100 % des processus. Ainsi, dès qu’un cas est litigieux, le gestionnaire reprend automatiquement la main. »

Le premier ROI du RPA est le temps qu’il fait gagner aux équipes. Économique et facile à mettre en œuvre, c’est un outil sans concurrence pour automatiser les processus. « Par rapport au coût d’automatisation d’une chaine logicielle, le RPA revient quasiment 10 fois moins cher, confirme Jocelyn Paris. Mais attention, le ROI est évalué selon quatre axes : la satisfaction des sociétaires ; la satisfaction des collaborateurs ; la performance de l’entreprise ; et l’aspect RSE. On ne veut surtout pas d’un robot qui remplace l’humain, mais d’une technologie qui aide l’humain. »

Maintenant que la plate-forme est en place et accessible largement, les demandes affluent et devraient sans nul doute s’intensifier. « La société française va vers plus de réglementation et d’administratif. Le RPA peut contribuer à atténuer ce phénomène. Si un robot peut s’occuper d’un traitement administratif, c’est aussi bien, car nous préférons que nos collaborateurs se focalisent sur leur cœur de métier : la relation humaine. » L’assureur militant s’engage ainsi au service de la performance comme du bien-être de ses collaborateurs.

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Source de l’article sur sap.com

Les marchés de clients individuels, optimisés par les plateformes et les algorithmes, peuvent désormais devenir instantanément une communauté ouverte pour des actions collectives et coopératives.

L’essor des communautés numériques

La technologie aide les clients à interagir plus facilement et à s’organiser en un nombre infini de communautés numériques exigeantes, parfois même révoltées.

Ces communautés se forment souvent de manière spontanée et se développent de façon exponentielle à un coût quasi nul. Nous le voyons, par exemple, lorsque de simples histoires individuelles deviennent virales ou lorsque des entreprises ont à affronter, quasiment du jour au lendemain, des foules qui entreprennent des actions difficiles à gérer.

La création et le partage d’objets sociaux sont au cœur de cette révolution des communautés numériques (1). Les communautés numériques étaient initialement basées sur des intérêts communs et se sont formées autour de points de rassemblement en ligne tels que des groupes de discussion et leurs artefacts numériques, les publications. De nos jours, les objets sociaux numériques prennent toutes sortes de formes, comme les tweets, les photos, les évaluations par les pairs et les mises à jour de statut (c’est-à-dire à peu près tout ce qui suscite un intérêt et une participation de masse et qui peut être facilement partagé).

Plus de 140 000 communautés mondiales se sont formées sur Reddit, couvrant des sujets très sérieux, et d’autres beaucoup plus obscurs. Par exemple, un groupe de 71 000 membres partage des photos de coussinets d’animaux.

La facilité avec laquelle des groupes comme celui ­ci peuvent se former, communiquer et agir implique que ces communautés sociales ne sont pas limitées à des objectifs de divertissement. Certaines sont clairement formées pour déstabiliser ou disrupter des entreprises. Les téléspectateurs, par exemple, ont réussi à faire revivre des séries télévisées, à faire pression sur celles qu’ils n’aimaient pas et à exiger que certaines soient réécrites.

Pour réussir, les entreprises doivent être capables de créer des objets sociaux importants aux yeux des groupes numériques et, par extension, de devenir la pièce maîtresse du fonctionnement du groupe. Il s’agit de trouver le bon équilibre : elles doivent éviter de déclencher la colère d’un groupe et de devenir l’objet de leur mépris.

Les clients se regroupent pour influencer les entreprises de quatre façons :

Ils utilisent les produits comme objets sociaux

Plusieurs sociétés de jeux en ligne ont donné naissance à des communautés participatives en transformant leurs jeux en objets sociaux. Les gamers peuvent partager des stratégies, créer de nouvelles versions des jeux et y jouer ensemble. Les sociétés de services musicaux transforment les playlists favorites en objets sociaux, qui sont ensuite facilement partagés avec d’autres personnes à la recherche du mix parfait.

Ils font des choix informés

Aujourd’hui, les sites d’avis sont généralement utilisés pour complimenter ou critiquer une entreprise en fonction de l’expérience vécue. D’autres utilisent ces avis pour décider quel produit acheter. De plus en plus de communautés numériques optimisées par l’IA se formeront pour partager opinions, conseils, bonnes pratiques et expériences personnelles autour d’intérêts communs.

Des ressources groupées

Les plateformes de données permettent aux clients de se regrouper pour acheter des articles à prix réduit. Les plateformes basées sur les coupons offrent des prix réduits sur des quantités minimums définies par le fournisseur. Les sites de financement participatif (Crowdfunding) permettent aux clients d’attirer l’attention sur une cause charitable ou de proposer leur aide pour développer de nouveaux produits. En échange d’un paiement initial, les donateurs reçoivent généralement le nouveau produit dès son lancement.

Ils font travailler collectivement les robots d’IA

Chargés par les clients d’obtenir le meilleur prix (par exemple via des comparateurs), les robots d’IA pourraient à l’avenir collaborer pour négocier et acheter collectivement des marchandises. Les robots d’IA apprendront à rechercher et à mobiliser d’autres robots d’IA pour aider à servir au mieux les intérêts de tous leurs clients.

Que peut faire votre entreprise ?

Rendre le partage social naturel

Utilisez le Big Data et l’IoT pour concevoir des objets sociaux qui s’intègrent à vos produits, plateformes numériques et à votre présence en ligne et que les gens veulent créer et partager. Oubliez la création et le contrôle de tout le contenu pertinent de l’entreprise, et optez pour le développement de communautés au sein de l’entreprise afin de partager du contenu qui bénéficie à l’entreprise dans le cadre de leurs interactions sociales.

Devenir le centre d’attention de votre communauté

Votre produit peut représenter la raison d’être d’une communauté, en permettant aux gens d’interagir de manière utile entre eux. Par exemple, de nombreux fabricants d’appareils de fitness utilisent des applications pour créer des communautés autour de ces appareils et accroître les interactions via des plateformes numériques.

Aider les communautés à trouver un sens

Aidez les communautés numériques à comprendre ce qu’elles veulent être, à défendre leurs valeurs et à atteindre leurs objectifs. Plusieurs entreprises de prêt-à-porter, par exemple, ont tiré profit de la volonté de leurs communautés de faire une différence à l’échelle mondiale, en associant l’achat d’un produit à une aide destinée à des communautés dans le besoin.

Publié en anglais sur insights.sap.com


Références

(1) « Social objects » (Objets sociaux), Wikipedia, consulté le 2 octobre 2018, https://en.wikipedia.org/wiki/Social_objects.

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Source de l’article sur sap.com

Comment améliorer, contrôler et automatiser ses processus ? L’utilisation de SAP Cloud Platform permet aux entreprises d’atteindre leurs objectifs de Process Excellence.

Une connaissance fine des processus et la capacité à les améliorer en continu sont les clés de l’excellence opérationnelle de l’entreprise. Ceci nécessite agilité, collaboration, automatisation et intelligence dans les processus.

Cet objectif d’excellence des processus peut être atteint au travers d’un cycle comprenant quatre étapes :

  1. compréhension des processus ;
  2. amélioration des processus ;
  3. automatisation des processus ;
  4. surveillance et ajustement des processus.

« Il est essentiel de comprendre les processus existants, avant de pouvoir les améliorer et en tirer plus de valeur », résume Olivier Enault, Presales for Information & Process Excellence, SAP France. La première phase consiste donc à découvrir les processus au travers de la technologie Process Mining de Celonis, qui va les détecter et les analyser.

Redessiner les processus avec SAP Cloud Platform Workflow

SAP Cloud Platform Workflow va permettre de créer ou redéfinir des processus, de façon transparente et simple. « SAP Cloud Platform Workflow propose un moteur complet de design et d’orchestration des workflows, explique Laurent Rieu, Business Development Director EMEA, SAP. Il permet de digitaliser des processus précédemment basés sur des opérations manuelles (par exemple des échanges de mails) et de les orchestrer de manière rigoureuse. »

L’exemple type de processus RH est l’arrivée d’un nouvel employé. En liaison avec le SI, le processus va enchainer des actions, combinant des règles métiers prédéfinies et des tâches effectuées manuellement. Un premier manager va par exemple vérifier que le coach et le matériel assigné à l’employé sont les bons. Un second va se charger d’organiser le déplacement du nouvel employé, lié à sa formation, etc. Et en fin de chaine, il sera possible de collecter l’expérience utilisateur au travers de l’offre Qualtrics, afin d’améliorer encore ce processus.

Automatiser les processus avec SAP Intelligent RPA

Toutes les tâches sans valeur ajoutée sont ensuite automatisées au travers de SAP Intelligent Robotic Process Automation. « Lancés par les utilisateurs ou déclenchés automatiquement suivant un évènement donné, les robots proposent un ROI très rapide, témoigne Laurent Rieu. Les projets de RPA sont courts (quelques semaines) et libèrent immédiatement du temps pour les collaborateurs de l’entreprise. »

L’objectif n’est pas d’éliminer l’humain de l’équation, mais d’automatiser tout ce qui peut l’être. Selon les cas, les processus seront donc entièrement automatisés (sous la supervision d’un responsable) ou partiellement automatisés, les robots servant alors de lien et de support aux différents intervenants.

Déploiement et surveillance assurés par SAP Cloud Platform

Les processus sont déployés par la suite sur SAP Cloud Platform. Le monitoring est alors pris en charge par SAP Cloud Platform Process Visibility. Cet outil offre une vue en temps réel des processus et de leurs instances et fait remonter immédiatement les informations sous la forme d’indicateurs de performance destinés aux utilisateurs métier. Ainsi, des tableaux de bords permettent d’identifier rapidement tout incident ou ralentissement.

Les informations fournies par SAP Cloud Platform Process Visibility serviront de base à un nouveau cycle d’amélioration et d’automatisation des processus. C’est cette boucle d’amélioration continue qui permettra d’atteindre l’objectif d’excellence des processus.

Accélérer la mise en œuvre des projets de digitalisation et d’automatisation des processus

Maintenant que la proposition de valeur des activités de digitalisation et d’automatisation des processus est claire, la question importante reste la suivante : « Comment accélérer la réalisation de tels projets ? ».

SAP Cloud Platform ne se contente pas de fournir les briques technologiques pour implémenter ces scénarios de digitalisation et d’automatisation des processus. Nous allons plus loin et proposons des modèles complets de processus, de robots d’automatisation et de tableaux de bord de pilotage prêts à l’emploi pour permettre de simplifier la mise en œuvre rapide de tels scénarios, tout en fournissant la flexibilité requise pour assurer l’adéquation entre ces modèles et les besoins de nos clients.

Vous trouverez ainsi une collection grandissante de robots d’automatisation prédéfinis sur notre site en ligne Intelligent RPA Store

Vous trouverez également un ensemble de modèles de processus et de tableaux de bord sur notre site API Business Hub

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Source de l’article sur sap.com

Whether it’s heart rate tracking or a reminder to take medicine, the Internet of Things (IoT) has brought a new revolution in the healthcare industry. IoT is bridging the gap between doctors, healthcare facilities and patients by allowing them to connect remotely.

Grand View Research revealed that the global IoT in the healthcare market is expected to reach $534.3 billion by 2025, expanding at a CAGR of 19.9% over the forecast period. From personal fitness tracking products to remote monitoring applications and surgical robots, IoT has the potential to bring innovation to the healthcare ecosystem.

Source de l’article sur DZONE