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Quand on parle de solutions dans le cloud, ou le ‘nuage’, on évoque principalement l’utilisation de ressources informatiques mises à disposition par le biais d’Internet. Cette technique offre davantage de flexibilité et de rapidité. Elle se révèle également plus économique qu’une installation locale des composants et logiciels. Dans les solutions de Cloud Computing, les clients ne paient que pour les services basés dans le cloud qu’ils utilisent effectivement. En d’autres termes, vous pouvez grâce à cette technologie de pointe réduire vos coûts d’exploitation, faire fonctionner votre infrastructure informatique de manière optimale et efficace, et surtout, la faire évoluer en fonction de vos besoins. Mais au fait : qu’est-ce que le cloud ?

Qu’est-ce que le cloud ?

Le cloud, ou nuage en français, renvoie à une nouvelle conception de l’informatique. Les ressources de stockage, les logiciels d’analyse ou les applications sont basés sur Internet. Il s’agit donc de solutions dématérialisées, qui remplacent l’installation sur un réseau d’entreprise, en local. Le cloud constitue une infrastructure virtuelle sur laquelle des ressources accessibles depuis un navigateur ou une application dédiée sont mises à disposition. C’est le fournisseur des solutions de cloud computing qui se charge de la maintenance et de l’entretien de l’architecture sous-jacente.

Le terme ‘cloud’ est apparu dans les années 1990, pour désigner les parties d’une architecture dédiée à l’information et à son échange. On l’utilise couramment pour décrire les domaines informatiques dans lesquels des systèmes numériques comme des

ordinateurs de bureau, des serveurs, les smartphones ou les tablettes échangent des données. L’image du ‘nuage’ s’explique d’une part par le fait que cette architecture demeure pour une grande part voilée pour l’utilisateur, d’autre part par la dimension dématérialisée des ressources. L’histoire du cloud débute à proprement parler en 2006, lorsque Amazon décide de louer des capacités de stockage aux entreprises.

Depuis lors, l’offre croissante de services de cloud computing permet de délocaliser plus aisément à des prestataires externes des questions telles que le stockage des données ou la sécurité informatique. Les systèmes ERP cloud, par exemple, sont moins sensibles aux défaillances qu’un réseau local, dans la mesure où les données sont certes stockées sur un serveur, mais généralement de manière redondante, à plusieurs emplacements, ce qui limite le risque de perte. Les collaborateurs de l’entreprise peuvent alors se connecter par le biais d’Internet au stockage en ligne. Il leur suffit d’un PC, d’une tablette ou d’un smartphone pour accéder aux données dont ils ont besoin. L’accès peut se faire quel que soit l’endroit où ils se trouvent, au bureau, chez eux ou en déplacement.

Solutions de cloud computing : les avantages

Utiliser un ERP cloud présente pour les entreprises de nombreux avantages. Souvent, elles choisissent de passer à une solution cloud pour des raisons de coût. En effet, un ERP cloud permet de réduire l’investissement pour l’achat de matériel et de logiciels ou pour la mise en place de centres de données. De même, l’entreprise n’a pas besoin d’engager un expert en informatique pour gérer l’infrastructure locale, puisque celle-ci se trouve dans le cloud . Installer un centre de données local entraîne de nombreux frais pour une PME. S’y ajoutent des frais de gestion et le temps qu’il faut y consacrer, afin d’appliquer les mises à jour logicielles et de configurer le matériel. L’utilisation de logiciels cloud permet donc aux équipes informatiques en entreprise de se consacrer à d’autres missions et sur la stratégie commerciale. 

Le cloud computing est aussi plus rapide que les ressources locales. S’agissant d’offres à la demande, en libre-service, les PME et les ETI peuvent disposer en quelques minutes d’une puissance importante, mise à disposition par le prestataire. Il en résulte une meilleure flexibilité. L’entreprise n’a plus besoin de se soucier de la planification de ses capacités. C’est d’autant plus vrai que les services informatiques en cloud s’appuient sur un réseau puissant de centres de données. Il est régulièrement mis à niveau avec du matériel informatique rapide et efficace. La latence réseau est donc bien plus faible. 

Enfin, les solutions de cloud computing offrent des avantages en termes de fiabilité et de sécurité. Le cloud ERP simplifie la protection des données, la restauration en cas de problème et la continuité des activités. Le cloud permet en effet la mise en miroir des données, stockées à plusieurs endroits différents. Concernant la sécurité, c’est le prestataire de solutions cloud qui met à disposition les technologies de pointe. Il effectue également les contrôles indispensables. De cette manière, l’environnement informatique des PME et ETI est mieux sécurisé. Les données sont protégées et les applications résistent mieux aux menaces potentielles. 

Les différents types de solutions de cloud computing

L’un des avantages du cloud est, comme nous avons pu le voir, la flexibilité. Selon l’organisation des entreprises, les habitudes de travail et le fonctionnement des équipes, un type donné de cloud computing est plus adapté qu’un autre. Votre prestataire étudie votre cahier des charges et vous propose un ERP basé sur le cloud convenant réellement à vos besoins et à ceux de votre activité. Autrement dit, les solutions de cloud computing sont taillées sur mesure pour les différents utilisateurs. 

La première différence réside dans l’architecture du cloud sur lequel mettre en œuvre vos ressources. Il existe trois options pour la fourniture de services en cloud  : le cloud public, le cloud privé et le cloud  hybride. Dans le cas du cloud public, les ressources informatiques comme les serveurs et les supports de stockage se trouvent sur Internet. Le fournisseur donne accès aux logiciels et applications. Dans le cloud privé, à l’inverse, les ressources informatiques sont dédiées à une seule entreprise. Le cloud peut néanmoins être hébergé par un prestataire externe, pour les raisons que nous avons examinées ci-dessus. Enfin, le cloud hybride combine les deux solutions. 

Les services et les logiciels cloud, quant à eux, appartiennent aux catégories suivantes : 

  • IaaS, ou Infrastructure as a service
  • Paas, ou Platform as a service
  • Saas, ou Software as a service. 

Ces catégories peuvent évidemment se combiner pour fournir aux entreprises un service intégralement externalisé dans le cloud.

À quel moment une entreprise devrait-elle avoir recours à un ERP cloud ?

Vous vous demandez si des solutions de cloud computing sont faites pour vous ? Voici quelques éléments de réponse, sachant qu’aujourd’hui, environ un quart des entreprises a recours à un ERP cloud

La réponse à cette question est relativement simple. L’utilisation du cloud computing apporte un plus indéniable dès lors que les données de l’entreprise doivent être disponibles à partir de plus d’un terminal numérique. Lorsque les collaborateurs de la PME utilisent des terminaux mobiles comme le smartphone ou les tablettes, le recours au cloud s’impose. Le cloud permet, comme nous l’avons vu, l’accès décentralisé aux données. Vos collaborateurs peuvent y accéder de partout, et pas seulement depuis le siège de l’entreprise.

Les solutions en cloud sont intéressantes pour les entreprises qui sont basées sur plusieurs sites différents, d’où elles doivent pouvoir consulter une base de données commune. C’est aussi le cas lorsque l’entreprise connaît une croissance rapide et qu’il lui faut des capacités informatiques supplémentaires. Le cloud est par ailleurs une solution de mobilité par excellence, incontournable à l’heure du télétravail. Grâce au cloud  privé, la PME peut évoluer de manière flexible, en fonction de ses besoins en capacité de stockage et de calcul.  L’accès aux données est accordé de manière sécurisée uniquement à ceux qui doivent pouvoir s’en servir. Le plus souvent, l’investissement dans une solution de cloud computing est rentabilisé rapidement, en une année environ. 

Contrairement à ce qu’on pense souvent, les ERP cloud offrent une sécurité améliorée par rapport à la plupart des solutions locales. Le scepticisme que l’on rencontre parfois à l’égard des solutions en cloud n’est donc en aucun cas justifié. Le cryptage des données, en particulier, peut être mis en œuvre dans le cloud  comme sur un serveur local. Il est important que le prestataire fournisse une solution de cryptage adaptée, auquel cas le stockage en cloud ne pose pas de problème particulier. Pour une sécurité optimale, nous vous conseillons évidemment le recours à des solutions de cloud computing dans le cloud  privé. 

Le cloud pour quelles utilisations ?

Le cloud computing permet de nombreuses utilisations. En voici quelques exemples, parmi les plus intéressants pour les PME / ETI. Le cloud  permet tout d’abord de créer des applications et de les faire évoluer. On peut s’en servir aussi bien pour les applications sur ordinateur que pour les applications mobiles. Le cloud est particulièrement adapté aux applications API. Il est non seulement possible de les créer, mais aussi de les tester dans le cloud, de manière optimisée.

L’utilisation la plus courante est cependant le stockage de données, et leur restauration en cas de problème informatique. Le cloud contribue donc à la protection des données de l’entreprise. Ces données sont accessibles de partout. Il est facile de les analyser, en les partageant entre les membres de vos équipes et les différents services. Les services d’intelligence artificielle basés dans le cloud aident les dirigeants à prendre les meilleures décisions stratégiques. 

La puissance des solutions basées dans le cloud vous permettra aussi d’offrir des supports audio et vidéo à vos clients. Ils pourront les consulter depuis n’importe quel emplacement, et sur n’importe quel terminal. Enfin, ce type d’hébergement est aujourd’hui incontournable pour y stocker des logiciels cloud, avec utilisation à la demande, ce qu’on appelle SaaS pour Software as a service. 

Choisir les solutions de cloud computing SAP

SAP est spécialisé dans les solutions de cloud computing. Ce sont aujourd’hui plus de 200 millions d’utilisateurs du cloud qui les ont choisies comme support pour leur activité. SAP met en œuvre des technologies intelligentes depuis plus de 40 ans et accompagne les entreprises comme les PME / ETI. Aujourd’hui, SAP est la société de logiciels cloud leader dans le monde. Elle fournit en particulier des ERP cloud pour faciliter l’organisation de travail au quotidien et optimiser les processus de gestion. Tous les outils SAP peuvent être basés dans le cloud et sont conçus dans ce but. 

Nous avons développé en particulier différentes solutions pour les PME / ETI afin de les aider à gérer leur trésorerie, leurs stocks, le télétravail, les missions des différents collaborateurs ou encore les opérations financières. Grâce aux solutions SAP, votre entreprise répond de manière plus agile à l’évolution du marché. De plus, elle améliore son indice de satisfaction client. Vous souhaitez en savoir plus sur nos solutions de cloud computing ou nos ERP cloud ?

N’hésitez pas à nous contacter, par téléphone, par courriel ou par le chat. Notre service de support analysera précisément vos besoins et vous orientera vers les solutions les mieux adaptées à votre entreprise.

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Source de l’article sur sap.com

The photograph is always looking to capture picture-perfect images with creating memories. Using smartphones cameras offers great optics with high-resolution and sharp results. Today photographers are increasing as they click high-quality images with excellent resolution. If you’re a beginner and want to click masterpiece, the best we could recommend is to go for the best photo editing app for iPhone and Android to create a great visual strategy.

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Source de l’article sur DZONE

There’s no shortcut to success when it comes to Google search results. That is unless you count pay-per-click advertising.

While pay-to-play will shoot your site to the top of the SERP immediately, it’s not a sustainable strategy for maintaining your position there. So, you’re going to have to get serious about SEO.

This guide will show you what to do to improve your SEO ranking and start seeing results this year:

  1. Use Google Analytics to track metrics
  2. Get an SSL certificate
  3. Improve mobile page speed
  4. Design a mobile-first UI
  5. Make your site accessible
  6. Optimize your images
  7. Create great content
  8. Structure your content for scannability and readability
  9. Create click-worthy title tags and meta descriptions
  10. Choose one focus keyword per page
  11. Improve your internal link strategy
  12. Use only trustworthy external links
  13. Get your site listed as a featured snippet
  14. Get high-quality backlinks
  15. Create a Google My Business page
  16. Refresh Your Content
  17. Regularly monitor Google Search Console

How to Increase Your Website’s SEO Ranking

If you can improve your SEO ranking — and get your pages closer to, if not on the highly coveted top SERP — you will:

  • Boost your site’s overall visibility as its authority in search grows;
  • Bring high-quality traffic to your pages;
  • Drive-up your conversion rate.

That said, search engine optimization is most effective when it’s an ongoing strategy as opposed to something you set up and forget about. So, some of the suggestions below will only need to be implemented once, while others you’ll have to return to every six months or so to make sure your site is on track.

Let’s get started.

1. Use Google Analytics to Track Metrics

If you haven’t yet begun tracking your website’s activity with Google Analytics, it’s the very first thing you need to do.

While Google Analytics alone can’t tell you how well or poorly your website ranks, there’s valuable data in there about what happens to the traffic that arrives from Google. Or any search engine your visitors use.

You can find this information under Acquisition > Source/Medium:

What you want to see here is that (1) you’re getting lots of visitors from organic search results (as opposed to paid) and (2) that they’re highly engaged. So, that means:

  • Longer times on site;
  • Multiple pages visited;
  • Lower bounce rates.

And if you configure Google Analytics to track different conversions on your site, you can see how well those organic visits convert.

Obviously, there’s a lot more you can track here. But you must understand if your SEO efforts are working in the first place, and that’s where you’ll get your confirmation.

2. Get an SSL Certificate

HTTPS has long been one of Google’s SEO ranking factors. Yet, of the two billion-plus websites that are online today, BuiltWith data shows that only 155 million have an SSL certificate installed:

Security and privacy are major concerns for consumers. So if you want to increase their confidence in your website, installing an SSL certificate is an easy thing to do. And it’ll put you in Google’s good graces, too.

If you don’t have one already, get one for free from Zero SSL.

3. Improve Mobile Page Speeds

Mobile loading speeds became a Google ranking signal in July 2018.

It was something we saw coming ever since smartphones overtook the desktop as the primary device people used to access the Internet. Once it became a ranking factor, though, mobile page speed was something we could no longer treat as a “nice to have.” It became a must.

And with Google’s most recent Core Web Vitals algorithm update, there’s no ignoring how big of a role your site’s mobile loading speeds (i.e., performance) play in ranking it.

To ensure that your site meets Google’s expectations for speed, bookmark the Core Web Vitals tool. It’ll tell you how your site performs across all four of the major ranking categories.

You’ll find your speed-related issues at the bottom of the page, along with resources to help you resolve them.

Most of those tips will have to do with optimizing your code. However, there are other things you can do to make your site load quickly:

  • Use well-coded themes and plugins;
  • Remove unused themes, plugins, media, pages, comments, backups, and so on from your database and server;
  • Install a caching plugin that’ll minify, compress, and otherwise make your site lightweight and fast.

It’s also not a bad idea to review your web hosting plan. You might not have the right amount of server power or resources to keep up with your existing activity.

4. Design a Mobile-First UI

On a related note, a mobile-first design can also improve your site’s loading speeds. Rebekah Carter wrote a really helpful guide on how to do this last year.

In addition to speeding things up — since you won’t be trying to jam a bunch of desktop-first design and content into a smartphone screen — it’s going to help your site rank better.

Just be careful when you do this. A mobile-first design doesn’t mean creating a scaled-back version of the larger site for smartphone users.

In fact, Google explicitly tells us not to do that and why:

“If it’s your intention that the mobile page should have less content than the desktop page, you can expect some traffic loss when your site is enabled mobile-first indexing, since Google can’t get as much information from your page as before.”

And if your response is that the content on desktop-only doesn’t matter, then it really shouldn’t be there. Don’t waste your visitors’ time with useless or repetitive content, as it’ll only give them more reason to abandon your site.

5. Make Your Site Accessible

Accessibility has come to the forefront of the SEO discussion thanks to Core Web Vitals.

Now, running your site through the tool will tell you if there are any inaccessibility issues that Google will ping you for. But that doesn’t make your site completely accessible.

Considering the rise in website accessibility-related lawsuits, you’ll want to take this seriously.

Because a bad experience due to inaccessibility won’t just cost you visitors and a lower search ranking, it’ll cost you a lot of money, too.

Here are some things you can do to ensure that your site and all its content is accessible.

6. Optimize Your Images

Technically, image optimization falls under the page speed tip. However, that’s not the only way you should be optimizing your images, which is why I wanted to address this separately.

According to HTTP Archive, the average weight of a mobile web page these days is 1917.5 KB. Images take up a sizable chunk of that weight:

Because of this, bloated image sizes are often to blame for slow pages.

You can do several things to optimize your images for speed, like using lightweight formats, resizing them, and compressing them. You’ll find 6 other image optimization tips here.

While those tips will help you speed up your site and, consequently, improve your SEO ranking, there’s something else you need to do:

Add alt text to your most important images.

One reason to do this is to improve accessibility. Another is so your web page can rank in both the regular Google search results and image results as this search for “WordPress by the numbers” does:

If you can write alt text that perfectly describes your graphic and matches the image searchers’ intent, you can create another ranking opportunity for your page.

7. Create Great Content

There are many technical ranking factors you have to pay attention to if you want to create a good experience for your visitors and rank well as a result. However, none of that will matter if your content sucks.

So, how do you make great content? It really depends.

Think about the difference between a page describing your web design services and a product page for a blender.

Your web design services page would need to:

  • Explain why hiring a web designer is a must;
  • What your design services entail;
  • What they can expect in terms of results;
  • Include some proof in the form of testimonials or portfolio samples;
  • Have information on next steps or how to get in touch.

That would be a comprehensive and useful page. If business owners searched for “hire a web designer near me” or “should I hire a web designer?”, that page would sufficiently answer their query.

A product page, however, would need to:

  • Provide a brief summary of the blender;
  • Show photos of the blender, different angles of it, as well as different variations of the product;
  • Display the price;
  • Allow customers to Add to Cart or Save for later;
  • Include technical specs of the blender;
  • Recommend related products;
  • Display sortable customer testimonials and ratings.

The last thing a shopper would want is to be directed to a product page that reads like one of your services pages.

So, great content not only needs to be well-written and error-free, but it needs to match the searcher’s intent and expectations. If you can do that, your visitors will stay as long as they need to read through everything, which will help strengthen the page’s ranking.

8. Structure Your Content for Scannability and Readability

Including necessary details and in the right format is an important part of making a page’s content valuable to the visitor. The structure is going to help, too.

For starters, you want to make sure every page is human-readable. So, that involves:

  • Shorter sentences and paragraphs;
  • Linkable table of contents for longer pages;
  • Header tags every few hundred words;
  • Descriptive and supportive imagery throughout;
  • Text callouts like blockquotes and bolded phrases.

By making a page less intimidating to read and easier to scan for a quick summary of what it is, you’ll find that more visitors are willing to read it and follow your calls to action.

You can use a tool like Hemingway to improve your page’s readability. Quickly pop the text of each page into the editor and follow the recommended suggestions:

You’re also going to have to think about how well Google’s indexing bots can read your page. They’re smart enough to pick up on cues but not smart enough to sit down and read your article on the benefits of Vitamin D or how to install a new showerhead.

So, you’ll need to use HTML meta tags as well as hierarchical header tags to tell the bots what the page is about.

If you’re building a WordPress site, you can use the Yoast SEO plugin to analyze how scannable and readable each page of your site is (among other things):

9. Create Click-Worthy Title Tags and Meta Descriptions

To get eyeballs on your really great content, the brief preview users see of it in search results needs to be able to lure them in. Get more clicks to your site from search, and Google will take notice.

But they can’t just be superficial clicks. If Google notices that your page is getting a ton of traffic that almost immediately drops off once they see the content on the page, your page will not fare well in search results.

So, your goal is to stay away from clickbait-y title tags and meta descriptions and make them click-worthy.

The first thing to focus on is the length. Google only gives you a certain amount of space to make your pitch.

There are many tools you can use for this, but I prefer Mangools’s SERP Simulator:

It allows you to play around with your URL, title tag, and meta description and to watch in real-time as it fits the allotted space. You can also compare it to the pages that currently rank for the keyword you’re going after, which can be a really useful reference point. After all, if those sites have made it to the first SERP, then they’re doing something right.

Another thing to think about when writing click-worthy titles is how engaging they are.

The tool I recommend for this is CoSchedule’s Headline Studio:

I don’t find this useful so much for basic web pages. You don’t need to get creative with something like your About or Contact pages. But for content marketing? If you want to beat out competing articles for attention in Google, this tool will be very useful.

10. Choose One Focus Keyword Per Page

It’s not as though you can add a keyword tag to your page, and Google will automatically rank your site for it. That’s not what keyword optimization is.

Instead, what you do is select one unique keyword per page and write the content around it. So, it’s really more about creating a clear focus for yourself and then comprehensively unpacking the subject matter on the page.

Keep in mind, though, that if you want to improve your chances of ranking for the keyword, it needs to be relevant to your brand, useful for your audience, and your site needs to actually be able to compete for it.

You can use the Google Keyword Planner to find keywords that fit those criteria:

Ultimately, you should choose a keyword that:

  • Has a decent amount of monthly searches — over 1,000 is what I aim for;
  • Have “Low” to “Medium” amount of competition, but the lower, the better;
  • Matches the user intent. So take that keyword, put it into Google and see what you find. Then, look at the sites on that first page of search results. Do they match what your own page will address? If so, then you’ve found a keyword that aligns with your users’ search intent.

Now, if you’re writing great content that addresses your visitors’ questions and concerns, then optimizing for your focus keywords will happen naturally. The same goes for related keywords you might want to target. As you write the content for each page, the keywords will organically appear.

But remember how I said Google’s indexing bots need certain HTML and header tags to “read” the content on the page? This means you’ll need to include the focus keyword in some of those areas, so there is no question about what the page is about.

Here’s where your focus keyword should show up:

  • Title tag (H1);
  • Meta description;
  • Slug (hyperlink);
  • Within the intro;
  • The first H2 header tag;
  • Alt text for the most important image on the page;
  • Within the conclusion.

It should also appear throughout the page, along with variations of the keyword that people might search for.

You can use the Yoast SEO plugin to analyze this as well.

11. Improve Your Internal Link Strategy

Okay, so here’s where we start to get into SEO strategies that Google might not directly care about, but that can still drastically improve how well your site ranks.

Internal links, in particular, are valuable because they create an interconnected structure for your site. Here’s a basic example of why that’s important:

Let’s say these are the pages on your website. Each of them can be accessed from the home page and main navigation. This structure tells us that each page is related to the overall message and mission of the company, but they are not related to one another. And that doesn’t make sense, right?

When you’re educating visitors on your Web Design services, it’s naturally going to come up that you also happen to specialize in WordPress and eCommerce design. So, those internal links should appear on your Web Design page. And vice versa.

In addition, your Portfolio and Contact Us pages are likely going to be the most common CTAs on the site. Your prospective clients shouldn’t be forced to backtrack to the homepage or scroll up to the navigation to take action. By including these internal links or buttons within the content of the services pages, you’re giving them a quick and direct line to the next steps.

The more intuitive you make the user journey, the easier it will be for them to convert.

This is one reason why websites with a strong internal linking structure perform well in search results. Another reason is that internal links help Google’s bots find all of the content on your site and better understand how they relate to one another.

12. Use Only Trustworthy External Links

Link juice is one of the reasons why business owners are obsessed with getting backlinks. We’ll get to that shortly.

But it’s also something that comes into play when choosing external links to include on your site.

Link juice is the idea that one site can pass its authority to another through a dofollow link. So, by linking out to authoritative and trustworthy sources, your site may raise its own clout with the search engines because of that connection.

However, it works both ways. If you create external links to websites with misinformation that pose a security threat to visitors or are otherwise untrustworthy, that bad reputation can do your website harm.

So, make sure that every external link you use is necessary and reliable. If not, get rid of it.

13. Get Your Site Listed As a Featured Snippet

I said earlier in this post that pay-per-click advertising is the only way to shortcut the SEO process and get on the first page of Google. That’s not entirely true.

We’ve already seen how optimizing your images for Google Images search can shoot your site to the top of results. Another way to get ahead is by optimizing your page using structured data to land a spot as a featured snippet.

Like this page from Bankrate that answers the question “how do you get a loan”:

Remember that structured data alone won’t instantly move your web page into the featured snippet space. The content needs to be the best it can be, and the structured data needs to be well written.

Schema.org was created to help you pick the right category and write the structured data for it:

Use this to write up the relevant microdata for the pages to make the most sense to do so. For instance, an About page probably wouldn’t benefit from having structured data attached to it. However, a lengthy blog post that explains a step-by-step process would.

There are WordPress plugins (Yoast is one of them) that will help you insert this code into your pages if you prefer.

14. Get High-Quality Backlinks

Backlinks pointing to your website are a huge indicator to Google that your site is share-worthy and authoritative.

However, like everything else in SEO, you can’t cheat your way into a bunch of backlinks. They need to come from authoritative sources, and they need to be relevant. That’s why paying or bartering for backlinks isn’t usually effective. If your web page’s backlink doesn’t organically fit within the content on their site, visitors aren’t going to click on it.

There are lots of ways to go about building up a repository of backlinks that do generate authority for you and improve your SEO ranking in the process:

Get active on social media and become an authority there: The rule is generally that 80% of your posts need to be non-promotional. By sharing content from all kinds of sources that are relevant to your audience, you’re going to get more meaningful engagement. And this’ll eventually put the spotlight on your own content and get people to share it on social media, too.

This is something that Google will look at when ranking your site: What sort of social signals are coming from your brand?

Get featured as an expert: You don’t need to become an influencer for people to view you as an expert in your field. It’s all about your reputation.

By leveraging your reputation to get speaking gigs, you’ll grow your authority even more. Just make sure they’re relevant to what you do. So, look for podcasts, webinars, and conferences in your field that are looking for experts.

Become a guest blogger: If public speaking isn’t your forte, that’s okay. Turn your attention instead to lining up guest blogging gigs.

By writing high-quality content for authoritative websites (whether you get paid or not), you’ll bring more attention to your own brand. And Google will pass that authority onto your site.

15. Create a Google My Business Page

Any business can create a Google My Business page. There are a number of SEO-related benefits to doing this.

The first is that local businesses can literally put themselves on the map with Google My Business. Here’s what a Google search for “restaurants near me” looks like:

Even if your site doesn’t appear on the first SERP, the map that sits at the top of search results can give you a front seat anyway.

Another reason to create a My Business page is that you get to control your knowledge graph sidebar, like Ford’s Garage does here:

By including high-quality graphics, pertinent details about the business, and collecting positive customer reviews, this knowledge graph could do your brand’s reputation a lot of good in the eyes of Google and your prospects.

16. Refresh Your Content

This is useful for all of the content on your site, even your most high-performing pages.

If your site is starting to gain traction, take a close look at your Google Analytics data. You may find a few pages that no one seems to be paying attention to or, worse, that they always seem to bounce from.

In Google Analytics, go to Behavior > Site Content to figure out which pages are underperforming.

Then, ask yourself:

  1. Is this page even a necessary part of the user journey? If not, you can probably scrap it and have one less distraction on your site.
  2. If this page is necessary, what do you need to do to make it more valuable and relevant to your audience?

With the most popular pages on your site, it’s not unreasonable to expect that at least part of what you originally wrote will go stale or become irrelevant within a year or two. So, it’s a good idea to refresh these as well.

To do that, it’s simple. Do a search in Google for your focus keyword. Read through the top five results and see what sort of information your post is missing. Then update it accordingly.

Anything outdated or irrelevant should also be stripped out.

17. Regularly Monitor Google Search Console

Last but not least, you should keep your eyes on Google Search Console.

There’s a lot of valuable information in here that will tell you why your site might not be ranking as well as it could. You’ll find issues related to:

  • Indexing
  • Mobile usability
  • Security
  • Core Web Vitals

You’ll also find data on how well your site is ranking in general. You’ll find this under the Performance tab:

Use this to identify:

  • Which keywords you’re ranking for and are driving traffic to your site;
  • Which keywords you’re getting the most impressions from but not getting clicks from;
  • Which keywords you’re getting the most clicks from but not a lot of impressions;
  • Which keywords you rank low for and could stand to improve upon.

You can learn a lot about how strong your SEO strategy is. Just use the Clicks, Impressions, and Position tabs to sort your data so you can better understand what’s going on.

Then, prioritize fixing the pages that can and should be bringing your site highly qualified traffic but aren’t.

Wrap-Up

If you’re wondering how long it’ll take before you see an improvement in your SEO ranking, it depends. If your domain’s current authority is low, it can realistically take about six months to see major changes. That said, if you implement all of the suggestions above, you can certainly expedite that.

Just remember that there are no real shortcuts in SEO. You need to have an authoritative and trustworthy website and brand before anything else. So, take the time to build your credibility online so that these SEO tactics can really work.

Source

The post 17 Things You Can Do To Improve Your SEO Ranking In 2021 first appeared on Webdesigner Depot.


Source de l’article sur Webdesignerdepot

SAP Manufacturing Execution s’invite sur les lignes d’assemblage du géant Airbus. Une solution qui permet de faciliter le travail des opérateurs, tout en améliorant les performances des lignes de production.

Airbus est un acteur bien connu dans le monde de l’aviation civile, avec plus de 12.600 avions livrés à ses clients. C’est aussi un acteur majeur dans le monde des hélicoptères (plus de 12.000 appareils assemblés), de la défense et de l’espace.

Avant la crise sanitaire, les livraisons étaient en forte croissance (+37 % sur 5 ans) et le carnet de commandes promettait du travail aux usines d’Airbus pour les 8,5 années à venir. L’arrivée du Coronavirus et son impact massif sur les déplacements par avion ont provoqué une chute massive des activités de la société. Si l’entreprise travaille déjà sur les avions de demain, avec par exemple des modèles à l’impact carbone réduit de 25 %, elle doit aussi optimiser sa production.

« Dans ce contexte d’adaptation rapide au changement, l’introduction d’un système de pilotage de la production (MES, pour Manufacturing Execution System) va être un élément clé de notre transformation », explique Alexandre Sizaret, Head of Production System Efficiency & Manufacturing Digitalisation, Airbus. Le projet a été lancé fin 2016, mais l’arrivée de la crise lui a donné un nouvel élan.

SAP et Sopra Steria à la manœuvre

SAP Manufacturing Execution (SAP ME) est aligné avec les principes du système d’information d’Airbus, AOS (Airbus Operating System) : standardisation des processus, management visuel, suivi et amélioration continus. Il vient naturellement compléter l’ERP et le PLM au sein des usines. Enfin, son interface utilisateur simple est adaptée aux opérateurs travaillant sur des chaînes de production.

Airbus veut répondre à plusieurs challenges au travers de SAP ME : l’organisation de la production (organisation des effectifs, allocation des ressources…) ; le pilotage de l’activité (lignes de production, séquences à exécuter et avancement des séquences) ; l’interfaçage avec l’opérateur (au travers de tablettes, voire de smartphones) ; le support (détection des problèmes et alerte du manager, de la maintenance ou d’autres fonctions support).

Un core model pour toutes les usines Airbus

Pour son projet, Airbus a opté pour une approche core model associant une équipe pluridisciplinaire et multifonctionnelle. « Nous avons mis tout le monde autour de la table – opérateurs, management, intervenants métiers et techniques – afin de mettre au point une unique solution adaptée à toutes les usines, dans tous les pays », explique Alexandre Sizaret.

Après les phases de cadrage et de maquettage, la construction de la solution a été réalisée, avec une mise en place des différentes fonctionnalités de manière incrémentale. Une première version a été déployée sur des usines pilotes volontaires. L’organisation a souhaité ensuite prendre un peu de recul pour identifier les sources d’irritation. Dans le même temps, une analyse a été menée sur l’utilisation du MES et l’adhésion aux processus proposés. « Nous avons voulu vérifier que l’outil répondait bien aux besoins exprimés et qu’il était correctement utilisé. » Une importante phase de consolidation avant le déploiement à grande échelle de SAP ME.

La solution est aujourd’hui présente sur l’ensemble des sites européens du groupe : 10 usines et 2 lignes d’assemblage final. Soit un total de 279 stations de production. 7700 personnes ont été formées, dont 5500 sont des utilisateurs réguliers de SAP Manufacturing Execution. Plus de 2,4 millions d’opérations ont été effectuées sur SAP ME au cours de l’année 2020. Pour tenir cette charge, le système est réparti sur quatre sites, selon un même core model.

Au sein des sites de production, des écrans géants ont été déployés, secondés par des tablettes, smartphones et équipements IoT (scanners, lecteurs de badges…). SAP ME interagit directement avec l’ERP SAP, que ce soit pour la qualité, la conformité, la gestion des aléas, la maintenance ou encore la logistique. Il interagit aussi avec le PLM. Il est ainsi possible de visualiser pièces et maquettes en 3D et de disposer d’instructions de montage détaillées.

Plus d’efficacité au quotidien

SAP Manufacturing Execution est vu par Airbus comme un facilitateur du travail des opérateurs. Mais aussi comme un élément clé pour mesurer, soutenir et améliorer les performances des lignes de production. « Parmi les bénéfices les plus visibles, nous constatons une réduction des temps de production, des déplacements des opérateurs, de la documentation de production et plus généralement du recours aux documents papier, constate Alexandre Sizaret. Un autre bénéfice, moins facilement mesurable, est l’amélioration des performances des lignes de production, au travers d’un meilleur pilotage et d’une meilleure réactivité face aux aléas. »

Le MES est un élément clé pour épauler la production au quotidien, mais aussi un socle qui va aider  à la démocratisation de nouvelles technologies, comme les jumeaux numériques ou la maintenance prédictive. « Nous souhaitons aller vers l’opérateur 4.0 en le connectant à la bonne information, au bon moment, au travers de technologies comme la réalité virtuelle, la réalité augmentée ou l’interaction vocale avec les solutions numériques. Nous voulons également nous servir de la puissance de la data pour améliorer les processus, détecter les bonnes pratiques et prévenir les aléas. C’est un changement de paradigme qui nous permettra de basculer de la réaction à l’anticipation. »

 

 

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Source de l’article sur sap.com

Le Big Data est le flot d’informations dans lequel nous nous trouvons tous les jours (des zettaoctets de données provenant de nos ordinateurs, des terminaux mobiles et des capteurs). Ces données sont utilisées par les entreprises pour orienter la prise de décisions, améliorer les processus et les stratégies, et créer des produits, des services et des expériences centrés sur le client.

Le Big Data désigne non seulement de gros volumes de données, mais aussi des données de nature variée et complexe. Il dépasse généralement la capacité des bases de données traditionnelles à capturer, gérer et traiter ce type de données. De plus, le Big Data peut provenir de n’importe où et de tout ce que nous sommes en mesure de surveiller numériquement. Les satellites, les appareils IoT (Internet des Objets), les radars et les tendances des réseaux sociaux ne sont que quelques exemples parmi la multitude de sources de données explorées et analysées pour rendre les entreprises plus résilientes et compétitives.


L’importance de l’analyse du Big Data

La véritable valeur du Big Data se mesure d’après votre capacité à l’analyser et à le comprendre. L’intelligence artificielle (IA), le machine learning et les technologies de base de données modernes permettent de visualiser et d’analyser le Big Data pour fournir des informations exploitables en temps réel. L’analyse du Big Data aide les entreprises à exploiter leurs données en vue de saisir de nouvelles opportunités et de créer de nouveaux modèles de gestion. Comme l’a si bien dit Geoffrey Moore, auteur et analyste de gestion, « sans analyse du Big Data, les entreprises sont aveugles et sourdes, errant sur le Web comme des cerfs sur une autoroute ».

How does Big Data and Analytics work? Simply Explained

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How does Big Data and Analytics work? Simply Explained


L’évolution du Big Data

Aussi inconcevable que cela puisse paraître aujourd’hui, l’Apollo Guidance Computer a emmené l’homme sur la lune avec moins de 80 kilo-octets de mémoire. Depuis, la technologie informatique s’est développée à un rythme exponentiel, de même que la génération de données. La capacité technologique mondiale à stocker des données a doublé tous les trois ans depuis les années 1980. Il y a un peu plus de 50 ans, lors du lancement d’Apollo 11, la quantité de données numériques générées dans le monde aurait pu tenir dans un ordinateur portable. Aujourd’hui, l’IDC estime ce chiffre à 44 zettaoctets (soit 44 000 milliards de gigaoctets) et prévoit qu’il atteindra 163 zettaoctets en 2025.

44 zettaoctets de données numériques aujourd’hui, IDC

163 zettaoctets de données numériques en 2025, IDC

Plus les logiciels et la technologie se développent, moins les systèmes non numériques sont viables. Le traitement des données générées et collectées numériquement requiert des systèmes de data management plus avancés. En outre, la croissance exponentielle des plates-formes de réseaux sociaux, des technologies pour smartphones et des appareils IoT connectés numériquement ont contribué à l’émergence du Big Data.


Types de Big Data : que sont les données structurées et non structurées ?

Les ensembles de données sont généralement catégorisés en trois types, selon leur structure et la complexité de leur indexation.

Illustration des différents types de big data : données structurées, données non-structurées, données semi-structurées.

  1. Données structurées : ce type de données est le plus simple à organiser et à rechercher. Il peut inclure des données financières, des machine logs et des détails démographiques. Une feuille de calcul Microsoft Excel, avec sa mise en forme de colonnes et de lignes prédéfinies, offre un moyen efficace de visualiser les données structurées. Ses composants peuvent facilement être catégorisés, ce qui permet aux concepteurs et administrateurs de bases de données de définir des algorithmes simples pour la recherche et l’analyse. Même lorsque les données structurées sont très volumineuses, elles ne sont pas nécessairement qualifiées de Big Data, car elles sont relativement simples à gérer et ne répondent donc pas aux critères qui définissent le Big Data. Traditionnellement, les bases de données utilisent un langage de programmation appelé SQL (Structured Query Language) pour gérer les données structurées. SQL a été développé par IBM dans les années 1970 pour permettre aux développeurs de créer et gérer des bases de données relationnelles (de type feuille de calcul) qui commençaient à émerger à l’époque.
  2. Données non structurées : cette catégorie de données peut inclure des publications sur les réseaux sociaux, des fichiers audio, des images et des commentaires client ouverts. Ces données ne peuvent pas être facilement capturées dans les bases de données relationnelles standard en lignes et colonnes. Auparavant, les entreprises qui voulaient rechercher, gérer ou analyser de grandes quantités de données non structurées devaient utiliser des processus manuels laborieux. La valeur potentielle liée à l’analyse et à la compréhension de ces données ne faisait aucun doute, mais le coût associé était souvent trop exorbitant pour en valoir la peine. Compte tenu du temps nécessaire, les résultats étaient souvent obsolètes avant même d’être générés. Contrairement aux feuilles de calcul ou aux bases de données relationnelles, les données non structurées sont généralement stockées dans des lacs de données, des entrepôts de données et des bases de données NoSQL.
  3. Données semi-structurées : comme leur nom l’indique, les données semi-structurées intègrent à la fois des données structurées et non structurées. Les e-mails en sont un bon exemple, car ils incluent des données non structurées dans le corps du message, ainsi que d’autres propriétés organisationnelles telles que l’expéditeur, le destinataire, l’objet et la date. Les dispositifs qui utilisent le marquage géographique, les horodatages ou les balises sémantiques peuvent également fournir des données structurées avec un contenu non structuré. Une image de smartphone non identifiée, par exemple, peut indiquer qu’il s’agit d’un selfie et préciser l’heure et l’endroit où il a été pris. Une base de données moderne exécutant une technologie d’IA peut non seulement identifier instantanément différents types de données, mais aussi générer des algorithmes en temps réel pour gérer et analyser efficacement les ensembles de données disparates.

Les sources du Big Data

Les objets générateurs de données se développent à un rythme spectaculaire, depuis les drones jusqu’aux grille-pains. Toutefois, à des fins de catégorisation, les sources de données sont généralement divisées en trois types :

Illustration des différentes sources du big data : données sociales, données machine, données altérables.

Données sociales

Comme leur nom l’indique, les données sociales sont générées par les réseaux sociaux : commentaires, publications, images et, de plus en plus, vidéos. En outre, compte tenu de l’ubiquité croissante des réseaux 4G et 5G, on estime que le nombre de personnes dans le monde qui regardent régulièrement des contenus vidéo sur leur smartphone atteindra 2,72 milliards en 2023. Bien que les tendances concernant les réseaux sociaux et leur utilisation évoluent rapidement et de manière imprévisible, leur progression en tant que générateurs de données numériques est incontestable.

Données machine

Les machines et appareils IoT sont équipés de capteurs et ont la capacité d’envoyer et de recevoir des données numériques. Les capteurs IoT aident les entreprises à collecter et traiter les données machine provenant des appareils, des véhicules et des équipements. Globalement, le nombre d’objets générateurs de données augmente rapidement, des capteurs météorologiques et de trafic jusqu’à la surveillance de la sécurité. Selon l’IDC, il y aura plus de 40 milliards d’appareils IoT en 2025, générant près de la moitié des données numériques mondiales.

Données altérables

Il s’agit des données parmi les plus évolutives au monde. Par exemple, un détaillant international traite plus d’un million de transactions client par heure. Si l’on ajoute à cela les transactions d’achat et bancaires au niveau mondial, on comprend mieux le volume phénoménal de données générées. En outre, les données altérables contiennent de plus en plus de données semi-structurées, y compris des images et des commentaires, ce qui les rend d’autant plus complexes à gérer et à traiter.


Les cinq V du Big Data

Ce n’est pas parce qu’un ensemble de données est volumineux qu’il s’agit nécessairement de Big Data. Pour être qualifiées en tant que telles, les données doivent posséder au minimum les cinq caractéristiques suivantes :

Illustration des 5 V du Big Data : Volume, Vitesse, Variété, Véracité, Valeur.

  1. Volume : même si le volume n’est pas le seul composant qui constitue le Big Data, il s’agit d’une de ses caractéristiques principales. Pour gérer et exploiter pleinement le Big Data, des algorithmes avancés et des analyses pilotées par l’IA sont nécessaires. Mais avant tout cela, il doit exister un moyen fiable et sécurisé de stocker, d’organiser et d’extraire les téraoctets de données détenus par les grandes entreprises.
  2. Vitesse : auparavant, les données générées devaient ensuite être saisies dans un système de base de données traditionnel (souvent manuellement) avant de pouvoir être analysées ou extraites. Aujourd’hui, grâce à la technologie du Big Data, les bases de données sont capables de traiter, d’analyser et de configurer les données lorsqu’elles sont générées, parfois en l’espace de quelques millisecondes. Pour les entreprises, cela signifie que les données en temps réel peuvent être exploitées pour saisir des opportunités financières, répondre aux besoins des clients, prévenir la fraude et exécuter toute autre activité pour laquelle la rapidité est un facteur clé.
  3. Variété : les ensembles de données contenant uniquement des données structurées ne relèvent pas nécessairement du Big Data, quel que soit leur volume. Le Big Data comprend généralement des combinaisons de données structurées, non structurées et semi-structurées. Les solutions de gestion des données et les bases de données traditionnelles n’offrent pas la flexibilité et le périmètre nécessaires pour gérer les ensembles de données complexes et disparates qui constituent le Big Data.
  4. Véracité : bien que les bases de données modernes permettent aux entreprises d’accumuler et d’identifier des volumes considérables de Big Data de différents types, elles ne sont utiles que si elles sont précises, pertinentes et opportunes. S’agissant des bases de données traditionnelles alimentées uniquement avec des données structurées, le manque de précision des données était souvent dû à des erreurs syntaxiques et des fautes de frappe. Les données non structurées présentent toute une série de nouvelles difficultés en matière de véracité. Les préjugés humains, le « bruit social » et les problèmes liés à la provenance des données peuvent avoir un impact sur la qualité des données.
  5. Valeur : les résultats de l’analyse du Big Data sont souvent fascinants et inattendus. Mais pour les entreprises, l’analyse du Big Data doit fournir une visibilité qui les aident à gagner en compétitivité et en résilience, et à mieux servir leurs clients. Les technologies modernes du Big Data offrent la possibilité de collecter et d’extraire des données susceptibles de procurer un avantage mesurable à la fois en termes de résultats et de résilience opérationnelle.

Avantages du Big Data

Les solutions modernes de gestion du Big Data permettent aux entreprises de transformer leurs données brutes en informations pertinentes avec une rapidité et une précision sans précédent.

  • Développement de produits et de services :l’analyse du Big Data permet aux développeurs de produits d’analyser les données non structurées, telles que les témoignages clients et les tendances culturelles, et de réagir rapidement.
  • Maintenance prédictive : dans le cadre d’uneenquête internationale, McKinsey a constaté que l’analyse du Big Data émanant des machines IoT pouvait réduire les coûts de maintenance des équipements jusqu’à 40 %.
  • Expérience client :dans le cadre d’une enquête réalisée en 2020 auprès de responsables d’entreprises du monde entier, Gartner a déterminé que « les entreprises en croissance collectent plus activement des données sur l’expérience client que les entreprises à croissance nulle ». L’analyse du Big Data permet aux entreprises d’améliorer et de personnaliser l’expérience de leurs clients avec leur marque.
  • Gestion de la résilience et des risques :la pandémie de COVID-19 a été une véritable prise de conscience pour de nombreux dirigeants d’entreprise qui se sont rendu compte à quel point leur activité était vulnérable. La visibilité offerte par le Big Data peut aider les entreprises à anticiper les risques et à se préparer aux imprévus.
  • Économies et efficacité accrue : lorsque les entreprises effectuent une analyse avancée du Big Data pour tous les processus de l’organisation, elles peuvent non seulement détecter les inefficacités, mais aussi déployer des solutions rapides et efficaces.
  • Amélioration de la compétitivité : les informations obtenues grâce au Big Data peuvent aider les entreprises à réaliser des économies, à satisfaire leurs clients, à concevoir de meilleurs produits et à innover dans les opérations de gestion.

IA et Big Data

La gestion du Big Data repose sur des systèmes capables de traiter et d’analyser efficacement de gros volumes d’informations disparates et complexes. À cet égard, le Big Data et l’IA ont une relation de réciprocité. Sans l’IA pour l’organiser et l’analyser, le Big Data n’aurait pas grande utilité. Et pour que l’IA puisse générer des analyses suffisamment fiables pour être exploitables, le Big Data doit contenir des ensembles de données suffisamment étendus. Comme l’indique Brandon Purcell, analyste chez Forrester Research, « les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

« Les données sont au cœur de l’intelligence artificielle. Un système d’IA doit apprendre des données pour remplir sa fonction ».

Brandon Purcell, analyste, Forrester Research


Machine learning et Big Data

Les algorithmes de machine learning définissent les données entrantes et identifient des modèles associés. Ces informations permettent de prendre des décisions avisées et d’automatiser les processus. Le machine learning se nourrit du Big Data, car plus les ensembles de données analysés sont fiables, plus le système est susceptible d’apprendre, de faire évoluer et d’adapter ses processus en continu.


Technologies du Big Data

Architecture du Big Data

À l’instar de l’architecture du bâtiment, l’architecture du Big Data fournit un modèle pour la structure de base déterminant la manière dont les entreprises gèrent et analysent leurs données. L’architecture du Big Data mappe les processus requis pour gérer le Big Data à travers quatre « couches » de base, des sources de données au stockage des données, puis à l’analyse du Big Data, et enfin via la couche de consommation dans laquelle les résultats analysés sont présentés en tant que Business Intelligence.

‍Analyse du Big Data

Ce processus permet de visualiser les données de manière pertinente grâce à l’utilisation de la modélisation des données et d’algorithmes spécifiques aux caractéristiques du Big Data. Dans le cadre d’une étude approfondie et d’une enquête de la MIT Sloan School of Management, plus de 2 000 dirigeants d’entreprise ont été interrogés sur leur expérience en matière d’analyse du Big Data. Comme on pouvait s’y attendre, ceux qui s’étaient impliqués dans le développement de stratégies de gestion du Big Data ont obtenu les résultats les plus significatifs.

Big Data et Apache Hadoop

Imaginez une grande boîte contenant 10 pièces de 10 centimes et 100 pièces de 5 centimes. Puis imaginez 10 boîtes plus petites, côte à côte, contenant chacune 10 pièces de 5 centimes et une seule pièce de 10 centimes. Dans quel scénario sera-t-il plus facile de repérer les pièces de 10 centimes ? Hadoop fonctionne sur ce principe. Il s’agit d’une structure en open source permettant de gérer le traitement du Big Data distribué sur un réseau constitué de nombreux ordinateurs connectés. Ainsi, au lieu d’utiliser un gros ordinateur pour stocker et traiter toutes les données, Hadoop regroupe plusieurs ordinateurs sur un réseau pouvant évoluer presque à l’infini et analyse les données en parallèle. Ce processus utilise généralement un modèle de programmation appelé MapReduce, qui coordonne le traitement du Big Data en regroupant les ordinateurs distribués.

Lacs de données, entrepôts de données et NoSQL

Les bases de données traditionnelles de type feuille de calcul SQL servent à stocker les données structurées. Le Big Data non structuré et semi-structuré nécessite des modèles de stockage et de traitement uniques, car il ne peut pas être indexé et catégorisé. Les lacs de données, les entrepôts de données et les bases de données NoSQL sont des référentiels de données capables de gérer les ensembles de données non traditionnels. Un lac de données est un vaste pool de données brutes qui n’ont pas encore été traitées. Un entrepôt de données est un référentiel de données qui ont déjà été traitées à des fins spécifiques. Les bases de données NoSQL fournissent un schéma flexible qui peut être modifié en fonction de la nature des données à traiter. Ces systèmes présentent chacun des avantages et des inconvénients, c’est pourquoi de nombreuses entreprises utilisent plutôt une combinaison de ces référentiels de données pour répondre au mieux à leurs besoins.

Bases de données in-memory

Les bases de données traditionnelles sur disque ont été conçues pour SQL et les bases de données relationnelles. Bien qu’elles soient capables de traiter de gros volumes de données structurées, elles ne sont pas adaptées au stockage et au traitement des données non structurées. Dans le cas des bases de données in-memory, le traitement et l’analyse se font entièrement dans la RAM, pour ne pas avoir à extraire les données d’un système sur disque. Les bases de données in-memory reposent également sur des architectures distribuées. Cela signifie qu’elles peuvent atteindre des vitesses beaucoup plus élevées en utilisant le traitement parallèle, par rapport aux modèles de base de données sur disque à un seul nœud.


Fonctionnement du Big Data

Le Big Data remplit ses fonctions lorsque son analyse fournit des informations pertinentes et exploitables qui améliorent l’activité de manière significative. Pour se préparer à la transition vers le Big Data, les entreprises doivent s’assurer que leurs systèmes et processus sont en mesure de collecter, de stocker et d’analyser le Big Data.

Illustration du fonctionnement du Big Data : collecter le Big Data, stocker le Big Data, Analyser le Big Data

  1. Collecter le Big Data.Une grande partie du Big Data est constituée d’énormes ensembles de données non structurées qui émanent de sources disparates et incohérentes. Les bases de données traditionnelles sur disque et les mécanismes d’intégration des données ne sont pas suffisamment performants pour les gérer. La gestion du Big Data requiert des solutions de base de données in-memory et des solutions logicielles spécifiques de l’acquisition de ce type de données.
  2. Stocker le Big Data.Comme son nom l’indique, le Big Data est volumineux. De nombreuses entreprises utilisent des solutions de stockage sur site pour leurs données existantes et espèrent réaliser des économies en réutilisant ces référentiels pour traiter le Big Data. Toutefois, le Big Data est plus performant lorsqu’il n’est pas soumis à des contraintes de taille et de mémoire. Les entreprises qui n’intègrent pas dès le départ des solutions de stockage Cloud dans leurs modèles de Big Data le regrettent souvent quelques mois plus tard.
  3. Analyser le Big Data. Il est impossible d’exploiter pleinement le potentiel du Big Data sans utiliser les technologies d’IA et de machine learning pour l’analyser. L’un des cinq V du Big Data est la « vitesse ». Pour être utiles et exploitables, les informations du Big Data doivent être générées rapidement. Les processus d’analyse doivent s’auto-optimiser et tirer régulièrement profit de l’expérience, un objectif qui ne peut être atteint qu’avec l’IA et les technologies modernes de bases de données.

Applications du Big Data

La visibilité offerte par le Big Data est bénéfique à la plupart des entreprises ou secteurs d’activité. Cependant, ce sont les grandes entreprises aux missions opérationnelles complexes qui en tirent souvent le meilleur parti.

Finance

Dans le Journal of Big Data, une étude de 2020 souligne que le Big Data « joue un rôle important dans l’évolution du secteur des services financiers, en particulier dans le commerce et les investissements, la réforme fiscale, la détection et les enquêtes en matière de fraude, l’analyse des risques et l’automatisation ». Le Big Data a également contribué à transformer le secteur financier en analysant les données et les commentaires des clients pour obtenir les informations nécessaires à l’amélioration de la satisfaction et de l’expérience client. Les ensembles de données altérables figurent parmi les plus importants et les plus évolutifs au monde. L’adoption croissante de solutions avancées de gestion du Big Data permettra aux banques et aux établissements financiers de protéger ces données et de les utiliser d’une manière qui bénéficie à la fois au client et à l’entreprise.

Hygiène et santé
publique

L’analyse du Big Data permet aux professionnels de santé d’établir des diagnostics plus précis, fondés sur des données avérées. De plus, le Big Data aide les administrateurs d’hôpitaux à identifier les tendances, à gérer les risques et à limiter les dépenses inutiles, afin de consacrer le maximum de fonds aux soins des patients et à la recherche. En cette période de pandémie, les chercheurs du monde entier s’efforcent de traiter et de gérer au mieux la COVID-19, et le Big Data joue un rôle fondamental dans ce processus. Un article de juillet 2020 paru dans The Scientist explique comment des équipes médicales ont pu collaborer et analyser le Big Data afin de lutter contre le coronavirus : « Nous pourrions transformer la science clinique en exploitant les outils et les ressources du Big Data et de la science des données d’une manière que nous pensions impossible ».

Transport et logistique

L’« effet Amazon » est un terme qui définit la manière dont Amazon a fait de la livraison en un jour la nouvelle norme, les clients exigeant désormais la même vitesse d’expédition pour tout ce qu’ils commandent en ligne. Le magazine Entrepreneur souligne qu’en raison de l’effet Amazon, « la course logistique au dernier kilomètre ne fera que s’intensifier ». Les entreprises du secteur s’appuient de plus en plus sur l’analyse du Big Data pour optimiser la planification des itinéraires, la consolidation des charges et les mesures d’efficacité énergétique.

Éducation

Depuis l’apparition de la pandémie, les établissements d’enseignement du monde entier ont dû réinventer leurs programmes d’études et leurs méthodes d’enseignement afin de faciliter l’apprentissage à distance. L’un des principaux défis a été de trouver des moyens fiables d’analyser et d’évaluer la performance des étudiants et l’efficacité globale des méthodes d’enseignement en ligne. Un article paru en 2020 au sujet de l’impact du Big Data sur la formation et l’apprentissage en ligne indique, au sujet des enseignants, que « le Big Data les aide à gagner en confiance pour personnaliser l’enseignement, développer l’apprentissage mixte, transformer les systèmes d’évaluation et promouvoir l’apprentissage continu ».

Énergie et services publics

Selon le U.S. Bureau of Labor Statistics, le service public consacre plus de 1,4 milliard de dollars aux relevés de compteurs et s’appuie généralement sur des compteurs analogiques et des lectures manuelles peu fréquentes. Les relevés de compteurs intelligents fournissent des données numériques plusieurs fois par jour et, grâce à l’analyse du Big Data, ces informations permettent d’accroître l’efficacité de la consommation énergétique, ainsi que la précision des prix et des prévisions. En outre, lorsque les agents n’ont plus à se charger des relevés de compteurs, la saisie et l’analyse des données peuvent permettre de les réaffecter plus rapidement là où les réparations et les mises à niveau sont les plus urgentes.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

L’upskilling des effectifs est depuis longtemps une priorité pour les organisations. Aujourd’hui, alors que les dirigeants réagissent aux perturbations mondiales, avec pour beaucoup un personnel en télétravail, ils s’appuient plus que jamais sur les technologies et les systèmes de gestion de la formation (LMS).

La crise mondiale du COVID-19 et l’instabilité économique obligent de nombreuses entreprises à « faire plus avec moins » en matière de reskilling et d’upskilling. Heureusement, les technologies de formation sont suffisamment matures pour que les entreprises puissent choisir parmi une gamme de fonctionnalités adaptées à leurs besoins et à leur budget.

Lorsque Discovery, compagnie d’assurance multinationale est passée au travail à distance, les RH ont identifié qu’environ 500 de ses collaborateurs n’étaient pas productifs. Plutôt que de chercher des solutions de court terme pour améliorer la productivité, la compagnie s’est focalisée sur la préparation du personnel aux métiers de l’avenir, par le reskilling. La priorité de l’entreprise reste ses salariés – et cela inclut de les équiper pour demain.

En période de croissance comme de crise les dirigeants s’efforcent de trouver les meilleures solutions pour leurs collaborateurs. Par exemple, les hôpitaux, les instituts de recherche et les organismes de santé répondent aux besoins du personnel de première ligne en créant des technologies de formation et des ressources éducatives visant à prévenir et limiter l’exposition au COVID-19.

Bien que les dernières avancées changent la donne pour les LMS, tous les investissements technologiques ne conviennent pas nécessairement à toutes les entreprises. Voici les éléments que les entreprises peuvent considérer lorsqu’elles investissent dans une nouvelle solution.

1. Des fonctionnalités liées à vos objectifs

Lorsqu’on choisit parmi toutes les options proposées par les technologies de formation, la première chose à vérifier est que les fonctionnalités répondent aux besoins, aux objectifs et à la stratégie des effectifs de l’entreprise. Pour beaucoup d’organisations, des plates-formes flexibles et ouvertes peuvent être nécessaires pour prendre en charge les nombreux éléments critiques.

Par exemple, une entreprise énergétique pourrait limiter l’accès à une zone particulière d’une installation nucléaire aux employés ayant complété une formation obligatoire et certifiante. L’entreprise aurait alors besoin d’un système de gestion de la formation (LMS) capable d’intégrer la certification des employés à ses formations et opérations sensibles.

De même, une entreprise pharmaceutique pourrait avoir besoin de valider l’apprentissage pour se conformer aux réglementations nationales sur les médicaments. Une solution qui offre de l’innovation au niveau de l’écosystème, y compris des applications partenaires, peut fournir des fonctionnalités supplémentaires et flexibles tout au long du cycle de vie des collaborateurs (y compris lors du recrutement, de l’onboarding, du développement et de la gestion de la succession). Si certaines grandes entreprises peuvent avoir besoin de solutions ouvertes qui prennent en charge divers cas d’utilisation, d’autres peuvent vouloir une solution adaptée à un secteur spécifique, comme l’éducation ou la santé. Quoi qu’il en soit, les entreprises devrait prendre le temps de rechercher la technologie pouvant soutenir au mieux leurs objectifs.

2. Flexibilité

De nombreuses entreprises ayant des sites multiples ou un important personnel auront besoin d’un LMS orienté entreprise si elles s’engagent dans le reskilling de centaines voire de centaines de milliers d’employés.

Avec la généralisation du télétravail, les PME/ETI peuvent également avoir besoin d’un LMS qui puisse être étendu au domicile de leurs employés de manière sûre et efficace. Les technologies d’apprentissage mobiles accessibles en déplacement, y compris sur smartphones, pourraient améliorer l’adoption par les télétravailleurs et les employés qui manquent de temps de formation dédié, comme les commerciaux terrain.

Si les outils qui intègrent des formations en réalité virtuelle (VR) ou en réalité augmentée (AR) ne sont peut-être pas adaptés à toutes les situations, ils peuvent être utiles pour préparer les collaborateurs à des situations d’urgence ou à des scénarios uniques. Ces technologies émergentes sont un excellent exemple de la manière dont les outils de formation modernes peuvent aider les entreprises à relever de nouveaux défis et aider les collaborateurs à se perfectionner et se requalifier.

Walmart, par exemple, a formé plus d’un million d’employés en 2019 à la réalité virtuelle afin de proposer un apprentissage immersif. L’entreprise a également envoyé des casques VR dans les magasins pour entraîner les employés à la mise en place d’une machine qui récupère les commandes passées en ligne. Se libérant ainsi de la nécessité d’envoyer plusieurs personnes pour l’assembler, l’entretenir et dispenser une formation.

Qu’ils travaillent dans le retail, sur des plateformes pétrolières ou dans des exploitations agricoles, de nombreux employés pourraient atteindre de nouveaux niveaux de productivité et d’engagement grâce à des solutions personnalisables et flexibles.

3. Collaboration entre les employés – et les employeurs

Dans de nombreux cas, permettre aux collaborateurs de piloter leur apprentissage peut améliorer l’adoption des programmes, l’engagement et la culture de l’apprentissage. De nombreux employés réagiront positivement à l’upskilling itératif. Lequel leur apporte un sentiment d’appartenance et de fierté. Cet upskilling itératif peut par exemple prendre la forme de vidéos produites par les collaborateurs et partagées avec leurs collègues.

L’apprentissage social peut apporter des avantages à un personnel en télétravail. En atténuant l’isolement, l’anxiété et le manque de motivation auxquels les équipes peuvent être confrontées. Les social boards, chats et « missions » gamifiées sont quelques-unes des caractéristiques des LMS qui peuvent améliorer la collaboration tout en maintenant la distanciation physique. Les managers peuvent également utiliser ces fonctionnalités pour cibler les compétences qui correspondent aux nouvelles priorités et encourager les équipes à atteindre leurs objectifs.

4. La gestion du changement en support  

Intégrer un programme d’upskilling dans toute l’entreprise est une initiative majeure qui relève de la gestion du changement. L’alignement des valeurs, des personnes et de la culture d’entreprise pour atteindre un résultat souhaité ne viendra pas uniquement de l’adoption d’une nouvelle technologie. La gestion du changement occupe une place essentielle dans les discussions relatives à l’expérience de formation. Et ce pour au moins trois raisons.

  • Premièrement, s’assurer que la technologie est adaptée à l’organisation et au personnel permet d’augmenter son taux d’adoption et d’en tirer meilleur parti.
  • Deuxièmement, une gestion du changement réactive et basée sur les données permet de prolonger la durée de vie de la technologie.
  • Troisièmement, l’intégration d’une technologie de formation dans une organisation requiert une gouvernance. Elle nécessite notamment d’affecter la responsabilité sur les rôles et les données segmentées que vous pouvez collecter. De nombreux experts du reskilling vous diront que la gouvernance est toute aussi importante, si ce n’est plus, que la technologie de formation elle-même.

Les RH ne sont pas les seuls à investir dans ces solutions. La majorité des utilisateurs sont rattachés à la sécurité, conformité et formation à la vente. Alors que les budgets restent serrés et que des tensions peuvent surgir entre les services pour savoir qui doit avoir le contrôle des priorités en matière de reskilling et d’upskilling, les fonctionnalités des LMS devraient fournir un vrai retour sur investissement (ROI). Les bénéfices peuvent inclure le gain de temps lié à la recherche et au partage d’informations ; ou l’augmentation des revenus (ou réduction des coûts) résultant de la normalisation des technologies et du soutien à la formation. Par exemple, une étude indépendante sur SAP Jam, réalisée par Forrester Consulting, a révélé que le ROI moyen a augmenté de 18,5 % entre 2016 et 2018, les clients ayant trouvé davantage de façons d’utiliser la plateforme de collaboration.

Pour soutenir la gestion du changement qui accompagne l’introduction d’une nouvelle technologie, les entreprises doivent chercher des solutions qui offrent la possibilité de bêta-tester, d’itérer et d’adapter cette technologie aux besoins des collaborateurs. Les logiciels d’entreprise doivent offrir un support client aux dirigeants et aux employés pour une expérience d’apprentissage sans faille.

« De nombreux experts du reskilling vous diront que la gouvernance est toute aussi importante, si ce n’est plus, que la technologie de formation elle-même »

5. Méfiez-vous des mots à la mode et restez concentré sur vos collaborateurs

Les LMS d’aujourd’hui peuvent utiliser des technologies de pointe comme l’intelligence artificielle (IA) et le machine learning pour fournir tout ce qui est nécessaire, du coaching aux plans de développement des collaborateurs. Et ce à une échelle jamais atteinte auparavant. Mais alors que les dirigeants évaluent les options de LMS qui offrent ces nouvelles technologies et ces mots à la mode, il est important qu’ils restent d’abord engagés dans une stratégie des effectifs axée sur les objectifs de l’entreprise.

Si des fonctions comme la gamification et l’apprentissage social peuvent avoir un impact majeur pour certaines organisations, elles peuvent manquer de pertinence pour d’autres. Pour de nombreuses organisations, l’apprentissage classique en salle avec un formateur pourrait encore avoir toute sa place à l’avenir. L’écoute continue des collaborateurs fournira des informations utiles pour répondre à leurs besoins et concevoir une expérience d’apprentissage efficace.

De nombreux experts de l’upskilling conviendront que la formation et l’upskilling est un défi pour les employés et les employeurs. Alors que les entreprises investissent massivement dans les nouvelles technologies, l’objectif premier est d’investir efficacement dans le personnel.

La stratégie à long terme d’une entreprise en matière d’effectifs ne se limite pas au système de gestion de la formation (LMS) qu’elle a choisi. La gestion de l’expérience de formation inclut les nouvelles compétences et connaissances que les personnes vont acquérir ainsi qu’une méthode de travail efficace et agile. Un excellent programme d’upskilling aidera les collaborateurs à pivoter vers les nouveaux rôles qu’ils devront occuper demain et à soutenir l’innovation de rupture dans toute l’entreprise.

Publié en anglais sur insights.sap.com

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Source de l’article sur sap.com

Over the years, experts have repeatedly discussed the possible impact of mixed realities on web design. Concepts like AR and VR are expected to have the potential to change the way that we interact with websites on a fundamental level.

Now that we’re in the year 2021, however, discussions about AR aren’t just observational anymore. The age of mixed-reality interfaces is here, in everything from Pokémon Go, to Snapchat filters.

The question is, how do web designers create incredible user experiences in a world where there are now multiple digital realities to consider?

The Benefits of Experimenting with AR

Before we look at some of the steps that web designers can take to enhance their projects with AR, it’s worth examining the benefits of interacting with augmented reality in the first place. 

While virtual reality replaces the typical world around us completely with digital components, AR augments it. This means that developers and designers need to learn how to thrive in an environment where the real world and the digital one work together. 

The most common AR application for website owners is to provide a solution for real-time and remote product visualization. Imagine being able to try on a pair of shoes before you buy them online. That’s a service that the Vyking brand can deliver by creating technology that “reinvents” the digital shopping experience. 

This test functionality plays a massive role in purchasing decisions. In a world where people can’t see a shade of make-up in person when they’re shopping online, or check how an item of furniture looks in their home, AR has a crucial role to play. 

In simple terms, AR helps shoppers to make more informed purchases. 

Here’s how you can use augmented reality to deliver incredible UX. 

1. Focus on Real-Time Feedback

Augmented reality is all about connecting the real world to the virtual world. 

Doing this provides users a unique experience – one that’s filled with real-time feedback that can deliver crucial and insightful information. For instance, an augmented reality system in a GPS app can calculate the average time before reaching a destination based on previous trips.

Another option is for an augmented reality to use solutions like face-mapping to help customers determine how a certain makeup product will look before they buy it. For instance, that’s the case for the Mary Kay Mirror Me app, which simplifies the process of shopping for make-up. 

When designing for AR, experts need to consider how they can provide customers with real-time information that they can use to make better purchasing decisions. 

2. Define input and output

Although you’ve probably performed similar exercises when designing for traditional websites and applications in the past, defining inputs and outputs of UX in AR environments can be tough.

Defining inputs and outputs allows you to determine which elements of an interface your user can actually interact with, in your interface. This gives you a better idea of what to “augment.” For instance, you might decide that physical gestures like a swipe of the hand will be essential for AR inputs. However, you’ll also need to consider how each mobile device offers different input possibilities. 

Outputs are a little simpler. For instance, you could offer a three-dimensional model of a product that your customers are interested in. Once you have that output, you can think about how the customer will interact with it by changing colors or position.

3. Embrace Customer-Friendly Performance

Another feature at the heart of AR applications is interactivity. 

Good designs in the augmented reality world need to be simple to access and use, otherwise customers will end up avoiding them. For instance, 60% of customers say they want to use AR when they’re shopping for furniture. However, they’re only going to use your app if it actually works. 

The Décor Matters website and app mix gamification with home decorating features that help customers get a better view of the home goods they’re planning on buying. The website even has inspiration pages available to help users find and try new design options with their AR technology. 

When designing for AR, think about how you can make your applications or technology as simple to use as possible, so customers actually want to interact with it. 

4. Address the Environment

In augmented and virtual reality applications, it’s important to remember that interfaces aren’t bound by physical screens. The viewport will move with the user, shifting perspectives in response. Most AR designers will use four different signifiers to describe AR environments:

  • Public environment: The entire body of the user is involved as a controller, like with the Xbox Kinect or Nintendo Wii;
  • Intimate environment: Where a user can be seated – often in a desktop environment;
  • Personal environment: AR on smartphones, mobile devices, and tablets, like Pokémon Go;
  • Private environments: Completely private spaces, such as with wearable technology like the Google Glass solution.

The environment that you’re designing for will be crucial for your project outcomes. Remember, spatial considerations need to be carefully considered when accounting for how users will interact with objects in a frame. 

5. Remember User Fatigue

Another thing to keep in mind when designing for AR technology is that user fatigue is likely to be a much more significant consideration. After all, people interact with websites and applications in a much more intimate and in-depth way when AR is involved. 

AR applications can often use the entire body of a customer as a controller. Because of this, designers need to be careful about exhausting interactions. High-effort and repetitive interactions could tire the user out mentally and physically, causing them to give up on the interaction. 

When designing, you’ll need to consider how you might over-stimulate the user with too many interaction-focused elements at once. Keep it simple.

6. Remember the Essential Principles of UX Design

Remember, just because you’re tapping into a relatively new technology doesn’t mean that you should abandon all the basic tenets of user experience design that you’ve come to understand over the years. Although UX is constantly evolving and changing, it’s always going to keep a few fundamental principles in mind. 

For instance, you’ll always strive to give users the best digital experience in exchange for the lowest amount of effort on their part. Additionally, you’ll need to think about how you can make end-users as comfortable as possible when they’re interacting with new types of technology on websites and apps. 

For instance, since AR is most commonly associated with gaming in the current environment, it might be a good idea to implement gamification concepts into your AR design. What can you do to make sure your customers are having fun?

For instance, Inkhunter is an app that allows users to try on tattoos just like using a filter on Snapchat. The experience feels familiar, comfortable, and exciting.

Unlocking the Potential of AR Web Design

Augmented Reality technology has come a long way over the years. Today, developers and designers can access simple plug-in tools like WordPress VR, allowing designers to upload 360-degree videos into WordPress sites and other unique web extensions. 

Augmented reality is becoming much more readily available on sites and apps of all shapes and sizes. Additionally, customers are accessing more ways to unlock AR’s power through everything from headsets to mobile interfaces. 

However, just like any new technology in the web design world, designers need to think carefully about how they will overcome the challenges in user experience that AR can present. For instance, though AR can offer more information for a customer and help them make purchasing decisions faster, there are also risks. For instance, add too many interactive features to a single website or application, and you could scare users off with too much information. 

In the short-term, web designers need to explore the new tools that are available to them and think about the customers they’re designing for. Only this way will we be able to make any considerable advances in the possibilities of AR. 

Are You Ready to Embrace AR?

Designing for augmented reality applications and websites can be an intimidating concept – even for seasoned designers. However, this is just another technology that creatives can use to drive better experiences for end-users. 

Learn how the latest technology works and get an insight into your customers’ needs, and you’ll be amazed at what you can accomplish in the AR world.

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Source de l’article sur Webdesignerdepot

By the end of the year, the number of global smartphone users is expected to reach 3.5 billion. That’s a significant 9.3% increase over the last 12 months.

In a world where everyone is constantly connected to their mobile devices, it makes sense that web developers and designers would need to consider new rules for how they create engaging experiences. After all, most of us find browsing from our smartphones to be much more convenient than sitting down at a laptop each day.

With a little luck, you’re already taking steps to mobile optimize your website but standards are changing all the time. To make sure your website is up to scratch, here’s your guide to prioritizing your site for mobile, ready for the new year.

Understanding Mobile-First Design

The first step in updating your web design and development principles, is understanding the concept of mobile first design, and how it’s changed.

With a responsive website, you create something that adjusts to the screen size of any device; with a mobile-first site, you’re focusing first-and-foremost on the user experience that people get when they’re on mobile, taking that as your starting point, and building from there. Instead of building your website for the desktop and using mobile as an afterthought, you start with a consideration of mobile.

Even Google is highlighting the demand for this process lately, with the mobile-first indexing algorithm. If you can’t design for mobile-first, then you could risk your clients being unable to rise up the search engine ranks.

So, how do you get started?

1. Start With the Right Tools

Web developers and designers are nothing without a great toolkit.

The good news is that there are solutions out there that can help you to master the right skills for a mobile-focused user experience. For instance, Skeleton is excellent for small-scale projects that require fluid grids and minimal compiling.

Alternatively, Bootstrap can offer a one-size-fits-all solution for the front-end development for mobile devices. There’s a default grid system available, plenty of components, and JavaScript plugins to work with.

With the right tools, you can minimize and prioritize the content that’s most valuable for your website projects. This is crucial for maximizing website speed and creating clarity when it comes to content and imagery.

For instance, check out the ESPN website; it’s split into very easy-to-follow categories of content that are perfect for scrolling on a smartphone. The grid of videos makes it feel like you’re using a tool like YouTube.

2. Prioritize Mobile-First Elements

Once you have the right tools to assist you, it’s time to begin building your mobile-first website from the ground up. Rather than jumping straight into considerations of the latest design trends, it’s important to start with the foundations.

For instance, navigation within a mobile page is usually hidden under a hamburger button. However, you can take this concept to the next level too. For example, the Shojin mobile website only demonstrates the most important website options within the navigation bar to avoid overwhelming users.

The key here is to keep things as simple as possible, without restricting what your audience can do when they visit your website. Although you want to keep the number of interactive elements on your site small, you also need to ensure that those elements are easy to find and use.

All buttons and CTAs should be clear and tappable. Fonts need to be large enough to read from any screen, and your navigation system needs to be 100% simple, without slowing anything down.

On average, we recommend making all clickable elements at least 48 pixels in height.

3. Use Responsive Imagery and SVGs

Images are a crucial part of any website. They add context and appeal to your design. However, they can also seriously slow down your website if you’re not careful.

Remember, different devices have different demands when it comes to imagery. A desktop page may need a 1200px wide image, while a mobile-only needs the image to be 400px wide at most. The old way of making your images work was to load a large resolution image and use the same file on every platform. Unfortunately, this slows downloading time significantly.

Instead, it’s better to have at least two different versions of the same image for your mobile and desktop solutions. You can also consider SVG.

SVGs are incredibly scalable – more so than bitmaps. With SVG, you can ensure any icon or graphic continues to look sharp and clickable across all devices. Because these files are often smaller, your site loads quicker too! Hubspot is great at using SVGs.

Intricate illustrations are a massive component of HubSpot’s brand. If those images were saved as PNGs or other alternative files, then they would take forever to load. Because they’re all SVGs, you can enjoy the same consistent experience across desktop and mobile.

4. Get the Typography Right

It’s not just the big graphics and images that make a huge difference to your website when it comes to mobile-first design. You also need to think about the legibility and clarity of your website across all devices and platforms. If people can’t read the value proposition of the company that you’re designing for, you’re going to have a major problem.

Focus on making your content as easy to read as possible. Look into the typefaces that seem most appealing on a range of devices.

Remember to balance the body and heading font sizes for the device size too. You’ll need to ensure that the experience feels consistent and smooth as your users scroll through each page. Just take a look at the mobile version of the IMPACT website, for instance.

The headings aren’t as huge as they are on the desktop version of the website, and they’re displayed below, rather than above the featured image. However, this helps to give a more immediately eye-catching and structured experience to mobile users.

There’s even a handy “Search Engine Optimization” tag included, that users can click on if they want to find more related articles.

When it comes to typography, remember that it’s not just size and clarity that matter, but how things are structured throughout your website too. Your type should naturally guide your visitors along the page.

5. Master Available Device Features

Finally, on smartphones, you can accomplish a range of amazing things that you might not be able to do when using a desktop device. Your users can make calls, open apps, send messages, and more, all from within their mobile browser. They can also move their smartphone around a room, taking advantage of concepts like AR and VR.

Taking advantage of the unique capabilities that smartphone design can offer gives you a chance to get unique with your user experience.

Making the most of the mobile experience can be much simpler than you’d think. For instance, on a desktop site, you could list your phone number on a contact page. On a mobile site, the number can begin a call when clicked. You can also take the same approach with email addresses, and social media icons too.

Depending on how experimental you feel, there’s also plenty of opportunities to go above and beyond with your mobile features. You may decide to create a mobile app version of a website that your customers can download onto their phones.

Alternatively, you can look into things like AR technology. This could allow your users to practice placing items of furniture that they may be thinking of buying from an online retailer into their house, so they can see how well they work with their other interior design choices.

Making the Most of Mobile-First Design

Ultimately, having a responsive website that works on both mobile and desktop devices is mandatory in the modern world. However, going above and beyond with mobile-first design is a great way to get ahead of the game.

If you can focus on building a website that puts the experiences of mobile users first, then you can create something that’s much more likely to grab audience attention and deliver amazing experiences.

If nothing else, showing your clients that you have what it takes to design for mobile is an excellent way to ensure that you can gain as many new project opportunities as possible.

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