Articles

Currently, there are 1.9 billion active websites with 4.6 Google searches per day and more than 5.4 billion unique Internet users. To date, the market size of the Web Design Services industry is equal to $11 billion, with the total number of web developers and designers in the US expected to increase to 205,000 in 2030 from 178,900 in 2020.number of jobs

The revenue in the application development software industry is expected to reach $149.7 billion in 2022 and grow to $218.80 billion by 2027 at a CAGR of 7.89%. The top 5 countries expected to generate the most revenues over the 2022-2027 period include:

Source de l’article sur DZONE

Undertaking a digital transformation journey is easier said than done. Efforts to transform an organization often face significant challenges, including integration of legacy platforms with modern technology stacks, the skill sets required for implementation, and an organizational structure that can communicate and embrace change. According to a 2020 study by the Boston Group, 72% of digital transformations fail, falling short of their objectives, and are often met with radical consequences after. 

With so much at stake when it comes to transforming an organization, Adecco Group’s Sabine Laute suggests that a dedicated transformation office could be a viable solution.

Source de l’article sur DZONE

The introduction of the continuous integration/continuous deployment (CI/CD) process has strengthened the software release mechanism, helping products go to market faster than ever before and allowing application development teams to deliver code changes more frequently and reliably. Regression testing ensures no new mistakes have been introduced to a software application by testing newly modified code as well as any parts of the software that could potentially be affected. The software testing market size is projected to reach $40 billion in 2020 with a 7% growth rate by 2027. Regression testing accounted for more than 8.5% of market share and is expected to rise at an annual pace of over 8% through 2027, as per reports from the Global Market Insights group.

The Importance of Regression Testing

Regression testing is a must for large-sized software development teams following an agile model. When many developers are making multiple commits frequently, regression testing is required to identify any unexpected outcome in overall functionality caused by each commit. The CI/CD setup identifies that and notifies the developers as soon as the failure occurs and makes sure the faulty commit doesn’t get shipped into the deployment. 

Source de l’article sur DZONE

Que ce soit pour stocker vos données, collaborer avec vos employés, avec vos partenaires ou pour booster votre croissance, le cloud constitue une option plus sûre par rapport à un déploiement sur site.

La transformation digitale s’est largement accélérée ces dernières années, notamment avec le Covid, poussant les entreprises à adopter une dynamique plus souple et davantage en phase avec les nouveaux enjeux commerciaux et humains. Le cloud s’est donc révélé être un véritable facilitateur en termes d’agilité, d’ouverture à l’international, de croissance et depuis, le marché du cloud est en pleine expansion. Mais le passage au cloud-only peut effrayer, notamment à cause des questions de cybersécurité.

Cybersécurité, de quoi parlons-nous ?

Aucun système n’est infaillible, et avec toutes les actualités concernant les cyberattaques, la question de la cybersécurité est légitime. Selon une étude de l’assureur spécialisé Hiscox, de 2020 à 2021, la proportion des entreprises françaises ciblées par une cyber-attaque est passée de 38% à 43%.

Tous les types d’organisations, et ce, quelle que soit leur taille, sont exposés à des incidents de cybersécurité. Ces derniers peuvent avoir des degrés de gravité divers mais également être de différentes natures. Les entreprises peuvent être victimes de vol de données, de fraude ou encore d’espionnage, des cyberattaques, mais elles peuvent également subir des incidents internes, comme des perturbations au sein de leur service cloud.

Le vol des données est sans doute l’un des sujets les plus brûlants de l’actualité. Pourtant, après enquête, l’examen révèle le plus souvent que les informations piratées n’étaient pas stockées dans le cloud mais conservées sur site.

Si des contrôles en interne sont effectués dans la plupart des entreprises, ils s’avèrent souvent insuffisants au vu des menaces existantes. La Global Digital Trust Insights 2022 révèle que seuls 40% des dirigeants comprennent parfaitement les risques liés à la cybercriminalité et à la protection de la vie privée de leurs tiers. L’étude démontre que les équipes dirigeantes actuelles peinent à déceler l’importance du sujet de la cybersécurité, une situation qui expose alors les entreprises à des risques accrus au regard de l’augmentation des cyberattaques.

Que ce soit pour stocker vos données, collaborer avec vos employés, avec vos partenaires ou pour booster votre croissance, le cloud constitue une option plus sûre par rapport à un déploiement sur site. Mais le degré de sécurité de votre système cloud dépend surtout de la manière dont il est déployé et de la personne chargée de sa gestion.

S’entourer d’experts, la meilleure des cybersécurités

La cybersécurité est bien plus qu’un simple sujet informatique et il semble aujourd’hui que le niveau de maturité des entreprises dans ce domaine soit encore trop faible.

Si la multiplication des cyberattaques et l’évolution des réglementations incitent les entreprises à prendre des mesures, les éléments développés ne protègent que partiellement des risques.

Il faut savoir que la cybersécurité s’acquiert en deux temps: aux prémices, au moment de la configuration puis tout au long de son utilisation, grâce à une surveillance continue.

Une configuration sécurisée est essentielle pour se protéger des cybercriminels, d’autant que lorsqu’elle est correctement déployée, il est bien plus facile de maintenir la conformité du système. Or, une seule erreur de configuration peut exposer les entreprises à une vulnérabilité et à des conséquences bien trop risquées pour être ignorées.

Il est donc essentiel de se faire accompagner par une société experte pour tirer profit des multiples avantages du cloud, et ce, en toute sécurité.

Lorsque nos clients choisissent de muter vers le cloud, c’est toute une équipe dédiée qui les amène sur les plateformes reconnues, sans qu’ils ne se risquent à faire des erreurs en configurant eux-mêmes leur système.

Et par la suite, être suivi par une société experte tout au long de son activité, c’est se garantir d’être entouré par un important écosystème qui s’assure de la sécurité d’infrastructure, du réseau, du système d’exploitation et de la base de données de manière transparente, et ce partout dans le monde.

L’objectif est clair, donner aux clients le plus haut niveau de fonctionnalité pour chaque fonction.

Grâce à une surveillance continue, la mise en place d’audits et l’élaboration de stratégies d’urgence, l’expertise du prestataire permet de mieux prédire, prévenir, détecter et réagir aux menaces. Ce choix, plus d’une centaine de nos clients l’ont déjà fait en France en 2021.

The post Cybersécurité, pierre angulaire de la mutation cloud appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Moving from studying design into the big wide world of web design is a daunting process. It’s a competitive and dynamic industry that’s growing all the time. It’s estimated that between 2020 and 2030, web designer jobs in the US will increase by 13%. One of the most challenging aspects of starting a career in web design is getting hired, especially as a freelancer. 

The first thing that most clients and agencies look for is usually your level of professional experience. They want to work with someone who, while perhaps not a veteran, has at least a few years of experience. This can lead to a lot of frustration for new designers. After all, how are you supposed to get experience if nobody hires you? 

Moreover, clients and agencies miss out on promising candidates when they pass up on skilled designers just because they don’t have experience. 

Here’s why we should all give zero-experience designers a chance.

1. Price

Professional web design doesn’t come cheap, and for a good reason. Most freelancers who have been in the business for many years have built a solid reputation for themselves and have no shortage of work. Web design agencies have a higher degree of accountability and a quality guarantee, which is why hiring their services can cost more. 

If you’re looking to get design work done on a tight budget, you’ll have better luck contacting someone with little or no experience. However, they’re most likely looking to build up their portfolio and will gladly offer you competitive rates.

2. No Experience Doesn’t Mean No Skill

Clients often assume that anything produced by an inexperienced designer will be sub-par or unusable. While it is true that an extensive portfolio is a good sign, it isn’t the only reason to hire someone. 

New web designers may not be as well versed in business, but many of them are still highly skilled and motivated individuals with a lot to offer. 

Whether self-taught or college graduates, they have devoted countless hours to becoming good at what they do. Instead of passing on a zero-experience candidate, give them a chance to show you what they can do with a mock-up. If you’re still dubious, then go with someone else. But you never know what someone has to offer until you put them to the test.

3. They Will Prioritize Your Job

As we’ve already established, finding work as a fresh-faced web designer can be challenging. This means that those with little to no experience are more likely to have time to devote entirely to your project, as they won’t be splitting their focus.

Agencies and well-established freelancers usually juggle several different projects at a time, meaning they will take longer to produce a result. If they happen to be working on a higher-paying job simultaneously with yours, you can guess which one they’ll prioritize. 

It’s always comforting to know that the person handling your design work is focused on you and you alone. You know your project won’t be on the back burner or forgotten about. 

4. You Will Foster Loyalty

This applies more to big web design agencies. New designers know their lack of experience counts against them, even for entry-level positions. If you choose to look past that and hire them anyway, they won’t forget it in a hurry. 

Once you’ve hired them, you have all the time in the world to help them learn the ropes. Include them in projects headed up by more experienced designers, give them lower priority jobs, and create an environment where their technical skills can flourish. 

Everyone has to start somewhere, and you can bet that they will remember who decided to give them an opportunity when nobody else would. A few years later, when they’ve found their feet in the industry, you’ll have a skilled, experienced designer with something you can’t buy: loyalty. 

5. They’re Eager to Learn

Industry veterans eventually become somewhat set in their ways. They develop their unique style and way of doing things, and while this isn’t bad, it’s different from someone freshly entering the industry for the first time. 

New designers are ‌much more eager to take instruction and expand their repertoire according to your needs. They have the time, energy, and motivation to learn new skills and may have a different approach to projects simply because they have not yet learned otherwise.

6. No Project Is Too Small

Not every job is going to be massive and high paying. People need web designers for small business sites, event pages, small ad campaigns, and other similar projects. Established designers looking for bigger fish will often pass up these kinds of jobs. But they are ideal for new designers who need to build their portfolio website.

On the other hand, new designers will usually take any opportunity to make money and gain experience. If your project isn’t massively complex or high stakes, use it as an opportunity to give someone a chance to showcase their skills. 

7. Everyone Starts Somewhere

No designer starts their career with experience, and many work in other design-related jobs for some time before they begin to do what they’re genuinely passionate about. Industries that make it hard for entry-level professionals to find work often discourage them from pursuing their goals. While philanthropy might not be high on the list of priorities for clients or agencies who want the best in the business, it’s always good to remember that growing industry means recognizing potential. 

Not every newbie will ‌be a prodigy. But without people out there willing to give them a chance, even the most gifted designer will eventually lose heart. 

Summary

In short, experience isn’t everything. While it is a vital asset to any designer, there is certainly room in the industry to allow those with potential to grow. 

So, next time you’re looking for new hires or someone to take on a freelance gig, remember what it’s like to be the new guy and consider hiring someone less experienced. You will sometimes find the brightest gems where you least expect them.

 

Featured image via Pexels.

Source

The post Why Zero Experience Designers Need A Chance first appeared on Webdesigner Depot.

Source de l’article sur Webdesignerdepot

When you hear the word “leadership,” do you think of a particular person?

If you’d been asked that question anytime before the 1900s, chances are you’d think of an accomplished politician or a battle-tested general. These were the people leading society for most of recorded history. Today, you might have someone else in mind.

Since the industrial era, the US has birthed a pantheon of founders who’ve arguably led our society as much as any statesman or president. We put Rockefeller and Ford right next to Lincoln and Jefferson. Think about it; these guys haven’t just changed the US; they’ve changed how the entire world lives and does business.

Founders of successful companies today command even larger amounts of capital and power than JD and Henry. With the rise of social media, they are often thrust to the forefront of their brands and the public, whether they like it or not. Some manage the responsibility better than others.

In my opinion, the best businesses use all that capital, manpower, and name recognition to do more than simply make a profit. By leading with authenticity, inspiring positive action, and influencing their brand’s vision for innovation – they try to make a change.

I wanted to take a minute to reflect on some modern founder-led brands I think are doing a killer job of creating unique, world-changing businesses and company cultures. I also want to discuss the lessons I have learned from them.

Elon Musk – Tesla

When talking about founder-led brands of the 21st century, it’s hard to pass over electric vehicle manufacturer Tesla and its outspoken CEO, Elon Musk. Love him or loathe him, he belongs in any conversation on influential founders.

While Musk isn’t technically the founder of Tesla, he is one hundred percent responsible for the company’s direction over the past decade. I think two of the strongest leadership points for Musk are his focus on branding and innovation.

Tesla created showrooms and charging stations long before his business had the sales to justify the expense. People saw the name Tesla everywhere, got curious about it, and now that’s paying off big time. Tesla today is at the forefront of the EV industry while all the other car companies play catch-up.

Behind the scenes, Tesla was also early to create a vertically-integrated supply chain – giving it almost complete control over its product and logistics. That’s another feature with a hefty upfront price tag but paid off when the pandemic hit. Now the biggest automakers in the world are rushing to copy that model.

Musk arguably even convinced China to deregulate foreign ownership of automotive companies. That’s hard to prove. However, China changed its rules around foreign ownership of EV companies shortly after he refused to enter the country.

Arguably, Tesla today is one of the frontrunners in redefining how traditional companies run. Musk is known to hate bureaucracy and traditional hierarchies. He hires other people to take care of bureaucratic processes for him.

Musk is also known for hiring relatively young, hard-working employees into high-power management positions in the company and letting them prove themselves. That inspires extreme loyalty from his employees from an early age. Musk’s focus on efficiency and rejection of traditional hierarchies has sparked a small revolution in tech companies.

Finally, I respect Musk because he has goals beyond showing year-over-year growth to shareholders. That’s hard to do day in and day out.

Sara Blakely – Spanx

Sara Blakely is an example of a founder with her hands in every part of her business, from product creation to sales. Most importantly, she created an authentic company culture with values she felt the business world lacked.

For those who know her story, Spanx very nearly didn’t happen. Blakely pitched her slimming undergarment to multiple women’s brands run by men. Most told her it would never work.

It might seem silly now, but men used to think they knew women’s fashion better than women. It wasn’t until one executive gave Blakely’s product to his daughters to try out that he agreed to start stocking Spanx. It’s a great example of how businesses can make a lot of money by listening to their customers.

Besides founding a women’s clothing company that sells products women want, Blakely strived to bring “feminine energy” into the workplace. I saw this poignant quote from her in an article:

“Twenty-one years ago when I started Spanx, I ended up in the paper in Atlanta, and I was at a cocktail party and a couple of guys came up to me and they said, ‘Sara, we read about you. Congratulations! We heard you invented something.’ And I said, ‘Yes I did, I’m so excited.’ They said, ‘Business is war,’ and then they pat me on the shoulder and they kind of laughed at each other. I went back home to my apartment that night. I was 29 and I just thought, I’m not going to war. I’m going to do this very differently. I’m going to honor a lot of feminine principles — intuition, empathy, kindness. Just allowing myself to be vulnerable through this process. And of course, a lot of the masculine energy has helped me also — it was a balance. But I wasn’t going to do it by squashing the feminine.”

Blakely worked hard to create a sales-oriented company culture that was purposely welcoming from that point forward. She regularly scheduled “oops meetings” where employees could stand up and say how they messed up and turn it into a funny story. At Spanx, it was okay to make mistakes and learn from them.

Blakely wanted everything about her product to be fun, including the way it was sold. She created a mandatory boot camp for salespeople, which, among other things, requires employees to perform standup comedy. Little things like that resonated with people and made Spanx synonymous with “fun.” Even famous actresses were flashing their Spanx on the red carpet.

The lesson we can all learn from Spanx and Blakely is that fun and positive energy are great marketing tools for any business. Many companies try to push a fun culture publicly without any authentic leadership that genuinely exemplifies that narrative, they won’t have the same effect. Blakely’s story of Spanx is not just a story of the brand but a story of her life and the experiences that shaped her vision and goals.

Jack Dorsey – Block (FKA Square)

While better known for founding Twitter, Jack Dorsey has recently been in the news for his move to solely running payment processing business Block. I admire Dorsey because he radically encourages his teams to think differently about how they work.

Dorsey is known for optimizing ways to stay productive and focused throughout the day. He manages through unconventional tactics like communicating only through voice memos on his phone that he runs through transcription apps. He says this prevents him from being sidetracked by distractions on his computer. I think that kind of mindfulness is necessary now more than ever.

Dorsey tries to bring this level of focus to his interactions with his employees too. I saw a great quote from him in this article discussing computer-less meetings at Block.

“When phones are down and laptops are closed, the team can discuss any issue at hand without distraction. We can actually focus and not just spend an hour together but make that time meaningful — and if that time is 15 minutes, then it’s 15 minutes and then we move on with our lives.”

Besides limiting distractions, Dorsey is known to walk five miles to work daily, theme each day, and create detailed agendas and goals for each team meeting. In his former company, Twitter, the culture was frequently described as a space where employees could speak freely to management about things they wanted to change.

On that subject, Dorsey has been known to push hard for employee control in his companies. Perhaps ironically, he was also quoted saying he wants Twitter to break away from its co-founders’- vision and control, calling founder-led companies “severely limiting.” However, it still seems he has some sort of vision for the world that he wants to bring around via Block.

His business goals are visionary, pushing the boundaries of innovation in the financial world.

Dorsey is a known cryptocurrency enthusiast but had pushback from the Twitter team, including his CFO, about making a crypto-centric product. His move to payments processor, Block, seems to be a bid to follow his passion and exert his vision on the world.

Block has since made headlines for being extremely bullish on cryptocurrencies, while many have expressed doubts. Dorsey even changed the business’s name to Block to better reflect its focus on blockchain and famously purchased $50 million worth of Bitcoin in 2020. All the while, Dorsey has been quietly creating arms of his business in the hopes of improving BTC’s usefulness. That may pay off down the line.

Melanie Perkins – Canva

I identify strongly with Melanie Perkins, co-founder of graphic design SaaS, Canva. Besides being roughly the same age, we both came from nondescript beginnings with no background in entrepreneurship or tech.

Canva is an excellent example of a business created by becoming intimately familiar with a customer problem and executing. Perkins spent years teaching people how to use design platforms like Adobe Creative Suite because they were so complicated. Taking that knowledge, she started a simple product to help customers create high school yearbooks. That expanded into a super app covering every aspect of design.

This super-app has unlocked a way for millions to learn design and produce high-quality content at any skill level. The cost to use Canva is many times lower than anything else on the market.

While Canva is an amazing product, what I like most about Perkins is that she believes business serves a higher purpose than maximizing profits.

When she was suddenly thrust into the limelight with a $40 billion valuation, people were even more impressed by Perkins’ philanthropic goals. She vowed to donate a 30 percent stake in Canva to a charity dedicated to eliminating poverty (about $12 billion). She is also known to regularly fundraise for 25,000 different nonprofits through her app. She doesn’t just inspire people with words, but by actions, she’s actually taking.

Canva is very public about its ethos. I like their values because they are general yet avoid the jargon many companies fall into. They are:

  • To be a force for good and empower others;
  • Pursue excellence;
  • Be a good human;
  • Make complex things simple;
  • Set crazy big goals and make them happen.

Besides revolutionizing how modern businesses design and harness goodwill marketing, Canva was also one of the forerunners of the remote work trend.

Most of Canva’s “Canvanauts” worked from homes worldwide even before the pandemic. Canva showed a lot of tired old businesses that you could still run a successful company without having employees in the office 24/7.

How I Try to Learn From the Best

Finally, I want to talk about what I am trying to contribute to my team and society with my current business, startup acquisition marketplace, MicroAcquire.

As I’ve mentioned, I think it is very much on myself as a founder to set the tone of my business – and that starts with who I hire. When I’m searching for new employees to join the “#Micromafia” I not only look for productive workers, I look for people I genuinely enjoy spending time with. It’s the best feeling in the world to go to meetings where you leave thinking, “That was really fun.”

Besides creating a great team, I’ve tried to address another problem I see again and again at major tech companies: employee burnout. There’s a reason the average tenure of a tech employee is three years.

I love working on startups. It’s like playing a video game for me, and it’s probably why I’m a founder. That said, I know my employees don’t always feel the same way. As CEO, I make sure my team knows I want them to live their lives outside of MicroAcquire.

On the business side of things, I take cues from the best. Like Musk and Dorsey, I want to preemptively create features that I know our customers will love. I knew people wanted an easy way to sell their startups because I wished I’d had one back when I was doing it.

Like Spanx and Tesla, I also strongly believe in the power of innovative branding – and I make sure we spend in areas that will give us significant returns down the line.

For example, we’ve made it easy to get MicroAcquire merchandise online completely free. The extra exposure we get from tech people rocking MicroAcquire t-shirts is more than worth the cost. We also created our own media publication Bootstrappers.com to tell the founder stories we thought major publications had missed. That’s been a huge hit with our customers, who also happen to be founders. These people traditionally have had to spam inboxes and pay for press because they didn’t raise billions in funding.

Finally, like Blakely and Perkins, I also want to actively listen to customer feedback and make sure we create a necessary and desired product. That’s why I make sure we’re constantly engaging with our community both on our website and social media. Many of the features we’ve added are just things we’ve heard mentioned multiple times from customers.

So far, I love the community we’ve created online and in the office. I don’t claim to have the winning formula, but I feel we are making a real difference out there. We’re lucky to live in a world with so many smart people getting their ideas out and making a positive change in the world.

 

Featured image via Unsplash.

Source

The post 4 Founder-Led Brands That Are Done Right first appeared on Webdesigner Depot.

Source de l’article sur Webdesignerdepot

Le cœur du système d’information d’Atos, comprenant 42 systèmes et 500 interfaces, a été basculé vers le cloud Microsoft Azure, au travers de l’offre RISE with SAP. Un projet mené en seulement 9 mois par les équipes d’Atos.

Atos est un des leaders mondiaux des entreprises de services du numérique, avec une présence dans 71 pays et un effectif de 105.000 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires annuel de près de 11 milliards d’euros. Atos est un acteur engagé : partenaire des Jeux olympiques et paralympiques depuis 2001, le groupe met également en œuvre une stratégie net-zéro visant à la fois à atteindre la neutralité carbone en interne, mais aussi à proposer des services et produits décarbonés à ses clients.

Jusqu’alors, Atos hébergeait son système d’information dans ses propres datacenters, dont l’ERP Nessie. Une offre basée sur des solutions SAP, ayant basculé en 2020 vers l’ERP Intelligent SAP S/4HANA. Fin 2020, l’entreprise a décidé de migrer Nessie vers le cloud.

« Plusieurs raisons ont mené à ce choix, explique Frédéric Aubrière, DSI groupe d’Atos. Chaque changement opéré sur un SI on-premise se traduit par des dépenses d’investissement (CAPEX), qu’il faut valider auprès de la direction financière. Avec le cloud, la discussion peut se recentrer sur les seules dépenses d’exploitation (OPEX), ce qui participe à lever certains verrous. En déléguant la gestion des infrastructures à un hyperscaleur, nous libérons également des ressources IT internes, qui peuvent se concentrer sur leur cœur de métier. Enfin, la crise sanitaire a démontré que la flexibilité apportée par le cloud était un atout pour les entreprises. »

Un des arguments mis en avant par Atos est que le cloud est devenu suffisamment mature pour supporter des workloads critiques. « Pendant longtemps, le cloud a été réservé à des systèmes connexes, l’ERP restant hébergé sur site. Aujourd’hui, le cœur du SI n’est plus un terrain interdit au cloud. J’estime qu’il peut et doit basculer vers le cloud. » En migrant le cœur de son système d’information vers le cloud, Atos entend lancer un message fort en direction des entreprises qui hésiteraient encore à adopter ce modèle de déploiement. Le projet est donc particulièrement stratégique pour le groupe. « Ce que nous avons réalisé avec notre SI, nous pouvons le faire pour celui de nos clients », confirme Frédéric Aubrière.

Un projet mené à bien en seulement 9 mois

Atos a mis en œuvre tout son savoir-faire – et la force de frappe de ses nombreux experts – pour réaliser cette migration en un temps record. Le choix s’est porté sur l’offre RISE with SAP, avec un déploiement effectué sur les infrastructures Microsoft Azure de Francfort. Un choix stratégique là encore, les serveurs utilisés dans ce datacenter Microsoft étant des Bull Sequana S. Du matériel conçu par Bull, filiale d’Atos, et certifié SAP, avec des instances pouvant atteindre les 12 To en scale up (et plus d’une centaine de téraoctets en scale out).

Le projet a démarré fin 2020. Dès avril 2021, le système de test basculait en live, suivi par les instances de développement et de qualité. L’instance de production est entrée en fonction le 13 septembre 2021, soit environ 9 mois après le début du projet. Un tour de force de la part d’Atos. Si l’ERP a été migré sans modifications majeures, le périmètre du projet reste en effet particulièrement important. « Nous avons migré notre ERP vers le cloud, mais aussi l’ensemble des systèmes connexes gravitant autour de lui », explique Frédéric Aubrière. Au total, 42 systèmes ont été migrés et 500 interfaces. 5000 tests ont été effectués afin de couvrir un large spectre de cas d’utilisation.

« Hormis quelques ajustements dans les paramètres de connexion, la bascule a été transparente pour les utilisateurs. Le portail MyAtos est toujours accessible de la même façon et permet toujours d’accéder aux mêmes services. Notre SI est par ailleurs toujours aussi stable et performant. » Les performances des infrastructures correspondent jusqu’à maintenant au cahier des charges d’Atos, avec un SLA de 99,7% et un RPO très proche de zéro (30 minutes). « Nous allons exécuter un dry run du DRP dans les prochains mois, afin de mesurer le délai de reprise d’activité de notre SI », confie le DSI d’Atos.

SAP BTP et décarbonisation en ligne de mire

Avec son contrat unique, l’offre RISE with SAP est un facteur de simplification lors du passage au cloud. « Avoir un unique contrat, signé en direct avec SAP, nous permet de nous affranchir de la complexité de la tarification des hyperscaleurs, confirme Frédéric Aubrière. C’est une forme de contrat plus confortable pour les clients et apportant une meilleure prédictibilité sur les coûts. RISE with SAP nous permet également de conserver notre code et nos applications. Il permet de basculer vers le cloud de façon non violente, en respectant les processus et spécificités du groupe. »

Une fois le SI stabilisé et les processus calés entre SAP et Atos, l’entreprise compte travailler sur la prochaine génération de son ERP. Au menu, un nettoyage du code spécifique et son adaptation à la SAP Business Technology Platform (SAP BTP). En parallèle, une connexion avec certains services Microsoft Azure sera mise en place. Autre tâche confiée à la DSI d’Atos, la décarbonation du fonctionnement de sa nouvelle plate-forme cloud. L’élasticité propre aux infrastructures cloud devrait permettre au groupe d’ajuster les ressources au plus près des besoins. L’objectif d’Atos est d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2028.

The post Atos bascule son ERP SAP S/4HANA vers le Cloud avec l’offre RISE with SAP appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

IBM et SAP renforcent leur partenariat afin d’aider leurs clients à migrer les applications des solutions SAP® vers le Cloud

IBM est le premier partenaire à proposer une infrastructure Cloud et des services techniques managés de manière intégrée dans le cadre de l’offre RISE with SAP

 

ARMONK, N.Y. et Walldorf, Allemagne, le 10 février 2022 : IBM (NYSE: IBM) a annoncé aujourd’hui qu’elle s’associait avec SAP (NYSE : SAP) pour fournir une expertise en matière de technologie et de conseil afin de permettre aux clients d’adopter plus facilement une approche Cloud hybride et de migrer les applications critiques des solutions SAP® vers le Cloud pour les secteurs réglementés et non réglementés.

Alors que les clients cherchent à adopter des stratégies de Cloud hybride, la migration des applications qui constituent l’épine dorsale du fonctionnement de leur entreprise nécessite un environnement Cloud hautement sécurisé et fiable. Avec le lancement aujourd’hui de l’option IBM – Premium Supplier pour RISE with SAP, les clients disposeront des outils nécessaires pour accélérer la migration de leurs applications SAP en local vers IBM Cloud, avec des capacités de sécurité de pointe[1].

IBM dévoile également un nouveau programme, BREAKTHROUGH with IBM pour RISE with SAP, un portefeuille de solutions et de services de conseil qui permettent d’accélérer et d’amplifier le passage à SAP S/4HANA® Cloud. Construits sur une plateforme flexible et évolutive, les solutions et services utilisent des processus intelligents pour rationaliser les opérations. Ils offrent un modèle d’engagement qui permet de planifier, d’exécuter et de soutenir la transformation globale de l’entreprise. Les clients ont également la flexibilité et le choix de migrer les applications des solutions SAP vers le Cloud en bénéficiant d’une expertise sectorielle approfondie.

L’annonce faite aujourd’hui qu’IBM devient un premium supplier fait de la compagnie le premier fournisseur Cloud à proposer des services d’infrastructure, de transformation métier et de gestion technique des applications de manière intégrée dans le cadre de RISE with SAP. La désignation d’IBM en tant que premium supplier s’inscrit dans la continuité des efforts de longue date déployés par SAP pour offrir un choix et des options aux clients, en soutenant davantage les clients d’IBM qui préfèrent que leur package RISE with SAP s’exécute sur IBM Cloud.

De plus, la migration vers SAP S/4HANA® sur IBM Cloud à partir de datacenters en local peut potentiellement apporter les avantages suivants, selon une étude d’IDC, sponsorisée par IBM[2] :

  • Retour sur investissement : selon les utilisateurs interrogés, la migration vers SAP S/4HANA® sur IBM Cloud a entraîné une augmentation du chiffre d’affaires pour jusqu’à 90 % des entreprises qui ont effectué la transition.
  • Réduction des coûts : Plus de 80 % des organisations ayant participé à l’étude ont déclaré avoir constaté une réduction des coûts opérationnels.
  • Une productivité accrue : 9 entreprises sur 10 interrogées dans l’étude ont déclaré avoir amélioré leur productivité après avoir migré vers SAP S/4HANA® sur IBM Cloud.

« Nous sommes ravis de faire progresser notre partenariat de longue date avec SAP à travers RISE », a déclaré John Granger, Senior Vice President, IBM Consulting. « Notre engagement commun est de répondre à nos clients, notamment ceux des secteurs hautement réglementés, là où ils en sont dans leur parcours numérique, tout en leur offrant des choix pour migrer ou moderniser leurs applications critiques avec une approche de Cloud hybride. »

« BREAKTHROUGH with IBM est un complément exceptionnel à RISE with SAP, car il jette les bases permettant à nos clients de se lancer dans la transformation de leur entreprise ou de la faire progresser. En outre, il réaffirme la valeur que les clients reconnaissent à RISE with SAP ainsi que l’impact et l’opportunité d’innovation que RISE with SAP offre aux organisations qui migrent vers le Cloud. Je suis convaincu que l’expertise et l’expérience combinées de SAP et d’IBM permettront d’accélérer l’adoption du Cloud et la croissance des activités pour les clients du monde entier », a déclaré Brian Duffy, President of Cloud, SAP.

IBM et SAP ont travaillé avec des centaines de clients dans le monde entier sur des milliers de projets individuels visant à moderniser leurs systèmes et leurs processus métier sur la base d’une approche Cloud hybride ouverte. Parmi les exemples récents, citons Coca-Cola European Partners, Parle Products, Harmont & Blaine, Puravankara Ltd et Virgin Megastore KSA.

Soulignant son engagement envers SAP S/4HANA®, à la fois en tant que client SAP et partenaire commercial depuis 50 ans, IBM a également réalisé un investissement important dans RISE with SAP en engageant la transformation de ses propres applications SAP. IBM est un nouveau Premium Supplier pour l’offre RISE with SAP et utilise le Cloud hybride d’IBM, y compris l’Infrastructure as a Service IBM Power, afin d’améliorer les performances, la disponibilité et la sécurité des déploiements d’éditions privées de SAP S/4HANA® Cloud.

Pour en savoir plus sur le programme BREAKTHROUGH with IBM pour l’offre RISE with SAP : https://www.ibm.com/services/sap/rise-with-sap.

 

À propos d’IBM

IBM est un leader mondial du Cloud hybride et de l’IA, ainsi que des services aux entreprises, qui aide ses clients dans plus de 175 pays à capitaliser sur les connaissances issues de leurs données, à rationaliser leurs processus métier, à réduire leurs coûts et à acquérir un avantage concurrentiel dans leurs secteurs d’activité. Près de 3 000 entités gouvernementales et entreprises dans des domaines d’infrastructures critiques tels que les services financiers, les télécommunications et les soins de santé font confiance à la plateforme Cloud hybride d’IBM et à Red Hat OpenShift pour impacter leurs transformations numériques rapidement, efficacement et en toute sécurité. Les innovations révolutionnaires d’IBM en matière d’IA, d’informatique quantique, de solutions Cloud spécifiques à certains secteurs et de services aux entreprises offrent des options ouvertes et flexibles à nos clients. Tout cela est soutenu par l’engagement légendaire d’IBM en matière de confiance, de transparence, de responsabilité, d’inclusivité et de service.

Pour en savoir plus : www.ibm.com

Les déclarations d’IBM concernant ses orientations et intentions futures sont sujettes à modification ou retrait sans préavis et ne représentent que des buts et des objectifs.

 

À propos de SAP

La stratégie de SAP vise à aider chaque organisation à fonctionner en « entreprise intelligente ». En tant que leader du marché des logiciels d’application d’entreprise, nous aidons les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer au mieux : Les clients de SAP génèrent 87 % du commerce mondial total. Nos technologies de Machine Learning, d’Internet des objets (IoT) et d’analytique avancées aident nos clients à transformer leurs activités en « entreprises intelligentes ». SAP permet aux personnes et aux organisations d’avoir une vision approfondie de leur business et favorise la collaboration afin qu’elles puissent garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Nous simplifions la technologie afin que les entreprises puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent – sans interruption. Notre suite d’applications et de services de bout en bout permet aux clients privés et publics de 25 secteurs d’activité dans le monde de fonctionner de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun.

Pour plus d’informations, visitez le site www.sap.com.

[1] Based on IBM Hyper Protect Crypto Service, the only service in the industry built on FIPS 140-2 Level 4-certified hardware. FIPS 140-2 Security Level 4 provides the highest level of security defined in this standard. At this security level, the physical security mechanisms provide a comprehensive envelope of protection around the cryptographic module with the intent of detecting and responding to all unauthorized attempts at physical access.

[2]  IDC White Paper, sponsored by IBM, Business Benefits Possible by Choosing the Right Cloud Provider to Run SAP Workloads. Doc #US47166220, December 2020.

 

The post IBM et SAP renforcent leur partenariat afin d’aider leurs clients à migrer les applications des solutions SAP® vers le Cloud appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Après avoir adopté l’ERP SAP S/4HANA, METEX NØØVISTAGO a souhaité améliorer son processus d’élaboration budgétaire. Une tâche confiée à SAP Analytics Cloud Planning, déployé par le Groupe KPC.

METEX NØØVISTAGO est un acteur industriel à la pointe de la bio-industrie.L’entreprise produit des ingrédients fonctionnels (principalement des acides aminées à ce jour) par fermentation pour le marché de la nutrition animale et bientôt de la cosmétique : 1 usine, 100KT d’acide aminées par an, 200M€ de CA annuel, et 350 salariés.

En juin 2020, METEX NØØVISTAGO a déployé un nouveau système d’information en mode greenfield, comprenant l’ERP intelligent SAP S/4HANA, un data warehouse SAP BW/4HANA et l’outil d’analyse de données SAP Analytics Cloud. « Un changement de taille pour METEX NØØVISTAGO,qui avait travaillé pendant 35 ans sur IBM AS/400 », explique Paul Stoffaes, DSI de l’entreprise.

Reste un processus qui n’avait pas été refondu : la planification budgétaire. « Le processus de forecast était réalisé sur Excel, ce qui était long, laborieux et source de nombreuses erreurs. Le contrôle de gestion passait plus de temps à consolider les données qu’à les analyser. Quant au processus d’élaboration budgétaire, il était encore plus fastidieux ».

METEX NØØVISTAGO a donc décidé de mettre en place une solution capable de livrer des prévisions au mois, à l’année et sur plusieurs années, avec une agilité permettant l’intégration aisée de nouveaux produits ou de nouveaux processus. L’objectif est de libérer du temps au contrôle de gestion, afin qu’il puisse se focaliser sur son cœur de métier, l’analyse et le pilotage.

SAP Analytics Cloud Planning déployé sur l’élaboration budgétaire

La société a confié la modélisation de son processus à l’un des modules de SAP Analytics Cloud, le module de Planning. « L’utilisation de SAP Analytics Cloud Planning permet de faciliter l’intégration avec l’ERP SAP S/4HANA, constate Paul Stoffaes. Il y a également une certaine logique à l’utiliser, car nos collaborateurs connaissent déjà SAP Analytics Cloud dans le cadre de la Business Intelligence. »

Le déploiement de la brique Planning de SAP Analytics Cloud a été confié à KPC : « Ils ont bien compris nos enjeux et ont su proposer un déroulé de projet et une méthodologie adaptés, ainsi qu’un chiffrage lisible. Leur capacité à s’engager au forfait sur un planning serré a également été une des raisons du choix de KPC. » METEX NØØVISTAGO avait en effet fixé comme contrainte une réalisation du projet dans un délai restreint de 5 mois.

Le cœur fonctionnel de la solution mise en place est un P&L présenté par produit, accompagné de plusieurs modèles de simulation. Chaque équipe dispose de son propre accès à la solution, afin d’y faire remonter ses données et prévisions : commerciaux, production, achats, logistique… Les informations sont synchronisées chaque jour – dans les deux sens – entre les référentiels SAP S/4HANA, SAP BW/4HANA et SAP Analytics Cloud, au travers de SAP Data Hub.

Voici le détail du processus mis en place :

  • L’équipe de vente fait remonter ses informations : volumes, prix, commissions…
  • L’équipe en charge des achats définit les prix moyens pondérés.
  • L’équipe de production travaille en parallèle sur la définition des nomenclatures.
  • Le contrôle de gestion pilote l’ensemble du processus, en intervenant lorsque nécessaire.

Un projet réussi, qui renforce l’adoption de SAP Analytics Cloud

« De notre point de vue, le projet est une réussite, résume Paul Stoffaes. Il a été mené à bien dans les délais, avec un budget maîtrisé. KPC a su faire preuve d’une solide expertise fonctionnelle et technique. Nous avions séparé le projet sous forme de lots, permettant de dispatcher les livrables tout au long du développement, ce qui s’est avéré très confortable. »

Quels bénéfices a identifié METEX NØØVISTAGO?

  • Des gains de productivité, avec une réduction de la durée du processus et une plus grande autonomie des parties prenantes.
  • Des gains en fiabilité, les données étant extraites puis remontées directement depuis et vers l’ERP SAP S/4HANA.
  • Des gains de flexibilité : « Auparavant, évaluer chacune des hypothèses pouvait tourner rapidement au cauchemar. Aujourd’hui, nous sommes beaucoup plus sereins. »

Le tout avec comme résultat global une amélioration des prévisions. Mais aussi un bénéfice inattendu : un intérêt renouvelé des collaborateurs pour SAP Analytics Cloud. « L’utilisation de SAP Analytics Cloud Planning a poussé certains utilisateurs à se pencher sur SAP Analytics Cloud BI », confirme Paul Stoffaes. La DSI s’attendait à une adoption rapide de SAP Analytics Cloud Planning par les utilisateurs de SAP Analytics Cloud BI. La fertilisation a finalement aussi été constatée dans l’autre sens !

The post L’industriel METEX NØØVISTAGO s’appuie sur SAP Analytics Cloud Planning pour son élaboration budgétaire appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com

Réduire l’empreinte carbone d’un produit nécessite une vision de bout en bout de son cycle de vie. Pour cela, il est nécessaire de casser la barrière IT existant entre la conception et la supply chain. SAP et Siemens proposent des intégrations avancées entre PLM et ERP. Avec Atos, ils s’allient pour aider les industriels à relever le défi climatique.

Les industriels sont confrontés à un triple défi : proposer des produits toujours plus complexes, dans des délais toujours plus serrés, tout en réduisant leur empreinte carbone. Le bilan de la COP26 de Glasgow est sans appel : constater la réalité du changement climatique ne suffit plus, il faut agir. Histoire de compliquer la situation, la raréfaction des matières premières s’ajoute aujourd’hui à l’urgence climatique.

Le sujet de l’empreinte carbone est crucial pour trois raisons principales :

  • Les clients sont toujours plus nombreux à demander comment sont fabriqués les produits qu’ils achètent et quelle est leur empreinte carbone. Une empreinte que l’entreprise doit être capable de mesurer.
  • La législation devient de plus en plus contraignante, poussant ainsi les entreprises à être plus vertueuses en matière d’environnement. Mais également à mettre en place des outils montrant la réalité de leurs actions dans ce domaine.
  • La RSE met en exergue le sens des responsabilités des entreprises. La green line (empreinte écologique) devient progressivement aussi importante que la top line (revenus) et la bottom line (marges).

Une problématique à traiter de bout en bout

« L’Union Européenne veut réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55% en 2030 et vise la neutralité carbone en 2050. 2030, d’un point de vue industriel, c’est presque aujourd’hui, constate Denis Goudstikker, Teamcenter Business development Executive chez Siemens Digital Industry Software. À ce jour, un tiers des entreprises se sont fixé un objectif zéro émission, mais seulement 9% de ces entreprises ont réellement lancé des actions en vue de les réduire. »

Pour qu’un produit ait un impact environnemental minimal, il faut l’optimiser de bout en bout, de la conception à la production en passant par son utilisation et son recyclage. « La plupart des entreprises se concentrent uniquement sur les émissions liées à leur activité, explique Olivier Everaert, Head of Green PLM chez Atos. Elles ne prennent pas en compte l’ensemble du cycle de vie du produit et de sa chaîne de valeur, ce qui mène à des résultats sous-optimaux. Il faut penser en termes de réseau, où tous tendent vers un but commun, du fournisseur de matière première à l’industriel… et jusqu’au consommateur. »

« La réduction des impacts environnementaux commence dès la conception du produit, enchaîne Bruno Hemery, Head of Siemens partnership, SAP France. Elle se poursuit avec les approvisionnements (matières premières, emballage, etc.). Puis lors de la fabrication : produire mieux permettra d’avoir moins de rebuts en bout de chaîne et de consommer moins d’énergie. La logistique peut aussi être optimisée, en regroupant par exemple les approvisionnements de plusieurs fournisseurs (parfois concurrents) devant livrer un même client. Il faut également être capable de mieux connaître l’usage des produits, ce qui permettra de les améliorer au fil des versions. Enfin, d’autres éléments sont à prendre en compte, comme le recyclage et l’économie circulaire. »

Les actions en faveur de l’environnement ne sont pas forcément des investissements coûteux. Réduire la quantité de déchets générée lors de la production se traduit ainsi par une diminution des besoins en matière première et donc un abaissement des coûts de revient.

SAP et Siemens, artisans de la continuité numérique

Pouvoir prendre en charge l’ensemble du cycle de vie d’un produit nécessite de casser une barrière dans le système d’information de l’entreprise, celle séparant la conception, pré carré du PLM, et les fonctions finance, achat, production, vente, prises en charge par l’ERP. « Il faut décloisonner ces deux mondes, afin de mettre en place une continuité numérique, confirme Bruno Hemery. L’information pourra ainsi circuler dans les deux sens, la conception influant sur la supply chain et – partie innovante – la supply chain et l’usage du produit pouvant influer plus directement sur la conception. La continuité numérique permet également de s’assurer que l’information est identique des deux côtés. »

Le partenariat annoncé le 14 juillet 2020 entre SAP et Siemens vise à donner corps à ce concept de continuité numérique. Il s’est traduit par la livraison de nouvelles intégrations entre les offres de Siemens et de SAP. « Cette intégration fine entre nos deux plateformes donne une compréhension de l’ensemble du cycle de vie d’un produit permettant de s’assurer dès sa conception que l’on va dans la bonne direction, tout en restant compétitifs. La clé de la réussite est d’être capable d’amener des processus vertueux et compétitifs, » résume Denis Goudstikker.

Par ailleurs, la réduction de l’empreinte carbone passe souvent par de l’innovation. C’est le cas par exemple lorsqu’un constructeur automobile adopte des motorisations électriques ou à hydrogène. « La continuité numérique permet de créer des conditions favorables à l’adoption d’innovations, tout en maîtrisant le risque et en préservant la compétitivité de l’organisation, poursuit Denis Goudstikker. C’est un environnement qui permet de se préparer à n’importe quel scénario. »

Des ateliers pédagogiques animés par Atos

Atos sait diagnostiquer la chaîne de valeur des entreprises, afin de les aider à mettre en place une supply chain durable. Chaîne de valeur dont la visibilité et la transparence seront assurées par la mise en place d’une continuité numérique. La grande majorité des entreprises restent toutefois au début de cette transformation. Atos propose des ateliers pédagogiques gratuits leur permettant de mieux comprendre les applications pratiques de cette approche.

« Nous présentons une vingtaine de cas d’usages qui couvrent l’ensemble du cycle de vie d’un produit et nous montrons quelle est leur contribution sur l’empreinte carbone, détaille Olivier Everaert. Lors du premier atelier, les participants sont invités à nous faire remonter leur avis sur ces cas d’usage. Sont-ils applicables à leurs métiers ? Semblent-ils valables ? Peuvent-ils être améliorés ? Le second atelier permet de faire une plongée sur quelques cas d’usage sélectionnés, puis de discuter avec les participants de leur feuille de route de transformation. »

Ces ateliers d’idéation mettent l’accent sur le codéveloppement des cas d’usages et la cocréation des trajectoires de transformation des entreprises. Un premier brainstorming avant le passage à l’action…

The post SAP, Siemens et Atos : la continuité numérique comme réponse au défi climatique appeared first on SAP France News.

Source de l’article sur sap.com